La députée Syrine Mrabet a commenté, dans la soirée de ce mercredi 16 juillet 2025, sa démission, annoncée sur les réseaux sociaux via la fuite de sa lettre de démission qu’elle a adressée à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP)
Dans la soirée de ce mercredi, Syrine Mrabet a dénoncé la fuite dudit document et a réaffirmé son attachement aux institutions de l’État : «Je suis la fille de l’État, je crois en ses lois, en ses canaux officiels et en ses procédures administratives. Je ne suis pas responsable de ceux qui n’ont ni loyauté ni conscience et qui divulguent des documents administratifs », a-t-elle noté.
Tout en remerciant ceux qui l’ont soutenue, Syrine Mrabet a déploré que certaines parties aient tenté d’instrumentaliser sa démission à des fins politiques, en commentant : «Kaïs Saïed mon président un jour, mon président pour toujours… à suivre … ».
La détention préventive de l’homme d’affaires Samir Jaieb a été prolongé de quatre mois, sur décision du juge d’instruction du Pôle judiciaire économique et financier.
C’est ce qu’affirme une source citée, ce mercredi 16 juillet 2025, par Mosaïque FM sachant que cette décision a été prise dans le cadre d’une affaire liée à des soupçons de corruption et au blanchiment d’argent et pour laquelle il a fait l’objet d’un mandat de dépôt émis par la chambre d’accusation spécialisée dans les affaires de corruption près de la Cour d’appel de Tunis.
Rappelons que Samir Jaieb, homme d’affaire opérant dans les secteurs de l’hôtellerie et de l’immobilier, a été dans une autre affaire à 5 ans de prison pour des infractions douanières et de change.
À l’approche de la 98e cérémonie des Oscars, qui se tiendra le 15 mars 2026 à Los Angeles, le ministère des Affaires culturelles vient de lancer son appel à candidatures pour représenter la Tunisie dans la catégorie « Meilleur film international’.
Dans son communiqué le ministère précise que le film représentant la Tunisie aux Oscars dans la catégorie de « L’Oscar du meilleur film international », sera sélectionné par une commission organisée sous l’égide du Centre National du Cinéma et de l’Image (CNCI).
« A cet effet, nous invitons les professionnels dont les films correspondent aux critères définis par l’Académie des Oscars à déposer une demande écrite au bureau d’ordre du CNCI à la cité de la culture avenue Mohamed V Tunis », précise le département de la Culture, en précisant que la date limite de dépôt est fixée au 15 août 2025 à 13h00.
La demande doit être accompagnée des justificatifs confirmant l’éligibilité du film. (Lien dédié)
Le secrétaire général adjoint et porte-parole de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a fermement dénoncé la condamnation de Sanki Assoudi à 10 ans de prison ferme.
Selon Sami Tahri, « Sanki Assoudi a été condamné en sa qualité de secrétaire général de l’Union régionale du travail à Kasserine, et non comme le prétendent certains médias », lit-on dans un poste publié sur la page du SG adjoint de l’UGTT.
La même source a également évoqué « un jugement injuste qui s’apparente à une volonté de répandre la terreur et à faire atteinte le mouvement syndical».
Selon les informations officielles Sanki Assoudi a été condamné, pour soupçon de falsification de diplômes, dans le cadre d’une enquête au sein de la Société nationale de cellulose et de papier Alfa (SNCPA), où il occupait le poste de chef de service.
Six ouvrières agricoles ont été blessées ce mercredi 16 juillet 2025 dans le renversement d’un camion à Mornag dans le gouvernorat de Ben Arous.
Les blessées ont été transférées au Centre de traumatologie et des grands brûlés, indique le directeur régional de la santé à Ben Arous, Farhat Zahmoul dans une déclaration à l’agence Tap.
La même source a ajouté que l’état de santé des victimes est stable sachant que d’autres ouvrières victimes du même accident ont été évacuées vers les hôpitaux de La Rabta et Charles Nicolle à Tunis et ont pu rentrer chez elles.
La grève des agents de la Pharmacie centrale de Tunisie, initialement prévue demain jeudi 17 juillet 2025, vient d’être annulée.
Cette décision a été prise suite à une réunion de conciliation organisée ce jour, au siège de l’administration générale de gestion des conflits du travail et de promotion des relations professionnelles regroupant les représentants de l’union générale tunisienne du travail (UGTT) et le syndicat de base des agents de la pharmacie centrale.
Cette réunion a également compté la participation des représentants de la partie gouvernementale et la direction générale de la pharmacie et s’est soldée par l’annulation de la grève.
Deux experts de l’Organisation des Nations unies (Onu) se disent alarmés par la détérioration de la situation des droits des avocats et des droits humains en Tunisie. Il s’agit de Margaret Satterthwaite, Rapporteuse spéciale sur l’indépendance des juges et des avocats, et Irene Khan, Rapporteuse spéciale sur le droit à la liberté d’expression et d’opinion. (Ph. Marche de protestations des avocats le 16 mai 2024 à Tunis).
Plus de 60 avocats font l’objet d’enquêtes pénales depuis juin 2024, nombre d’entre eux étant accusés de graves accusations allant de la diffusion de fausses nouvelles à l’outrage à fonctionnaires, selon des définitions juridiques larges, soulignent lesdits experts dans un communiqué.
Parmi les avocats arrêtés ou poursuivis de manière très médiatisée, ces derniers citent Ghazi Chaouachi, Sonia Dahmani, Ahmed Souab, Dalila Msaddek, Islem Hamza, Ayachi Hamami, Mehdi Zagrouba et Lazhar Akremi.
Ils omettent cependant de citer Abir Moussi, la présidente du Parti destourien libre (PDL), avocate de son état, incarcérée depuis le 3 octobre 2023 et poursuivie dans plusieurs affaires que ses partisans disent «montées de toutes pièces pour la faire taire».
Par ailleurs, les experts parlent de harcèlement et d’intimidation des avocats se manifestant, selon eux, par «des poursuites pénales, des agressions physiques et des restrictions légales». En cas de condamnation, ils sont généralement passibles de lourdes peines de prison et de lourdes amendes.
Les experts ont appelé la Tunisie à se conformer aux normes internationales. «Nous appelons la Tunisie à se conformer aux normes internationales prévoyant que les avocats doivent pouvoir exercer leurs fonctions professionnelles sans intimidation, entrave, harcèlement ou ingérence indue. Ils ne doivent pas faire l’objet de poursuites ni de sanctions administratives, économiques ou autres pour tout acte accompli conformément aux devoirs, normes et règles déontologiques reconnus de la profession. Comme tout être humain, les avocats ont droit à la liberté d’expression et d’opinion», ont-ils souligné.
Ils estiment, également, que «la répression contre les avocats fait suite à un environnement politique de plus en plus restrictif depuis que le président Kaïs Saïed a pris le pouvoir en Tunisie par décrets après une prise de pouvoir en 2021».
«Cette décision intervient également après qu’Amnesty International a souligné la détérioration de la situation et le ciblage accru des avocats, soulignant que cela compromettait l’accès à la justice en mars 2024. Elle fait également suite à une grève nationale menée par le Conseil des avocats tunisiens après une descente de police au siège du barreau tunisien et l’arrestation d’un éminent critique du gouvernement [Sonia Dahmani, Ndlr], indiquent les experts onusiens dans leur communiqué.
Par ailleurs, la Commission internationale de juristes (CIJ) a également condamné le recours de la Tunisie aux lois contre les fake news et aux lois antiterroristes pour «arrêter, détenir et poursuivre arbitrairement des avocats».
Le 15 juillet 2025, la prestigieuse Dragão Arena de Porto, au Portugal, a accueilli la toute première édition de Porto MMA Clash, plus précisément l’événement PMC 1. Le Tunisien Hamza Hamry a battu le Portugais Albert Dolisso dans un combat qui était très attendu par le public local.
Dès les premières secondes du premier round, Hamry a imposé un rythme élevé et une pression constante. Grâce à une lecture précise du combat et une technique au sol maîtrisée, il a réussi à placer une soumission par Heel Hook.
Le combat s’est conclu à 2 minutes et 17 secondes du premier round, offrant à Hamry une victoire nette par soumission.
Avec cette victoire, le combattant tunisien améliore son palmarès professionnel à 5 victoires pour 2 défaites (5‑2). Celle-ci marque une étape majeure dans sa progression sur la scène internationale du MMA.
Hamry continue de représenter dignement la Tunisie, gravissant sans cesse les échelons vers l’élite mondiale du sport de combat.
Des organisations de défense des droits humains condamnent la condamnation de Ramlah Dahmani en vertu du décret 54, la qualifiant d’escalade dangereuse dans le ciblage des femmes défenseures des droits humains et de criminalisation de la solidarité. Nous reproduisons ci-dessous leur communiqué. (Ramlah Dahmani manifestant à Tunis pour la libération de sa soeur Sonia. Ph. Zied Jaziri.)
Les organisations soussignées condamnent fermement le verdict par contumace rendu le 1er juillet 2025 contre la militante Ramlah Dahmani, la condamnant à deux ans de prison avec effet immédiat. Ce jugement a été rendu en vertu de l’article 24 du décret 54 de 2022, qui criminalise la diffusion de «fausses informations» via les réseaux de communication.
Cette disposition, trop large et vague, a été systématiquement utilisée pour réprimer l’expression pacifique et la critique légitime. Les accusations découlent de déclarations publiques dans lesquelles Dahmani a évoqué les conditions de détention de sa sœur, avocate et commentatrice politique, Sonia Dahmani.
En outre, le prononcé de la peine par contumace, sans garantir la présence de l’accusé ni son droit à la défense, constitue une grave violation du droit à un procès équitable garanti par l’article 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP).
Cette décision est le dernier exemple en date de l’instrumentalisation du décret 54 par les autorités tunisiennes pour restreindre la liberté d’expression, museler la dissidence et criminaliser les actes de solidarité. Elle s’inscrit dans le contexte plus large d’une répression sans précédent des libertés publiques en Tunisie depuis 2021, où des textes juridiques d’exception, au premier rang desquels le décret 54, sont régulièrement utilisés pour cibler les droits humains et l’expression politique, en violation flagrante des principes de légalité et de l’interdiction de l’abus de droit pour criminaliser les droits et libertés fondamentaux.
Cette tendance s’accompagne de restrictions croissantes imposées à la société civile, d’une érosion de l’indépendance de la profession d’avocat et d’une pression croissante sur les médias indépendants.
La condamnation de Ramlah Dahmani pour avoir exercé son droit légitime d’exprimer ses préoccupations concernant les violations commises contre sa sœur constitue une grave violation des normes internationales relatives aux droits humains, notamment de l’Observation générale n° 34 du Comité des droits de l’homme des Nations Unies sur l’article 19 du PIDCP, de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples et de la Déclaration des Nations Unies sur les défenseurs des droits de l’homme.
Les déclarations de Dahmani ne peuvent être considérées comme une simple opinion personnelle ; elles s’inscrivent dans le cadre plus large de l’exercice par les familles de leur droit de dénoncer les abus commis contre leurs proches, une extension fondamentale du rôle des défenseurs des droits humains.
Néanmoins, les autorités judiciaires ont choisi de la poursuivre sans ouvrir d’enquête indépendante et effective sur les allégations de mauvais traitements, en violation flagrante des Principes des Nations Unies relatifs aux enquêtes efficaces sur les violations graves des droits humains et du droit à un recours effectif.
Cette affaire est indissociable du contexte plus large de l’escalade judiciaire en Tunisie, où le décret 54 a été systématiquement appliqué contre les journalistes, les syndicalistes, les militants et les familles des détenus politiques. L’objectif est de démanteler les réseaux de solidarité sociale et d’isoler les détenus de la vue publique. Elle reflète également une tendance alarmante à l’intensification de la répression visant les femmes défenseures des droits humains et à la réduction au silence de leur présence politique et sociale dans la vie publique.
Ramlah Dahmani illustre parfaitement une politique de représailles visant à réduire au silence les défenseurs, à intimider leurs proches et à entraver la circulation des informations sur les violations des droits. Elle témoigne d’un mépris systématique des obligations constitutionnelles et internationales de la Tunisie, notamment celles contractées devant le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies et les organes conventionnels. L’article 31 de la Constitution tunisienne garantit la liberté d’opinion et d’expression. Parallèlement, l’article 49 stipule que toute restriction doit être justifiée conformément aux principes de nécessité et de proportionnalité, conditions manifestement non remplies en l’espèce.
Nous, les organisations soussignées, considérons cette décision comme un dangereux précédent dans le recours à une législation d’exception pour criminaliser la solidarité légitime et la requalifier de « cybercriminalité ». Il s’agit d’une violation aggravée des droits des défenseurs et contribue à l’instauration d’un climat de peur et de silence forcé par le biais de poursuites judiciaires.
En conséquence, nous :
– appelons les autorités tunisiennes à annuler immédiatement et sans condition la condamnation de Ramlah Dahmani et à mettre fin à toutes les procédures judiciaires y afférentes, car ce jugement constitue une sanction arbitraire portant atteinte aux garanties d’un procès équitable et à la liberté d’expression;
– demandons la suspension immédiate du décret n° 54 et le lancement d’un processus de révision législative afin de le rendre pleinement conforme aux obligations internationales de la Tunisie en matière de droits humains, en particulier au PIDCP, en vue de son abrogation complète, compte tenu de son utilisation systématique comme outil de répression;
– tenons les autorités tunisiennes pleinement responsables du ciblage des femmes défenseures des droits humains, notamment par des poursuites fondées sur des liens familiaux avec des prisonniers d’opinion. Nous affirmons que de telles pratiques constituent des formes de représailles politiques interdites par le droit international;
– appelons instamment les rapporteurs spéciaux des Nations Unies, en particulier ceux sur la situation des défenseurs des droits humains et sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression, à se saisir de toute urgence de cette affaire, à adresser des communications officielles au gouvernement tunisien et à inclure cet incident dans leurs prochains rapports comme un indicateur de grave détérioration de la situation.
Appelons l’Union européenne (UE) et tous les partenaires internationaux de la Tunisie à conditionner toute forme de coopération politique ou financière à des critères concrets en matière de droits humains, notamment des garanties visant à empêcher que l’assistance judiciaire ou le soutien technique ne soient utilisés à mauvais escient pour saper l’indépendance de la justice ou réprimer la société civile et les défenseurs des droits humains.
Le ciblage continu des femmes défenseures des droits humains, la criminalisation des liens familiaux et l’utilisation du système judiciaire comme outil d’intimidation ne feront qu’aggraver la crise des droits humains en Tunisie.
De telles pratiques affaiblissent les garanties constitutionnelles et enracinent le déclin institutionnel et juridique, détruisant ainsi toute voie crédible vers une gouvernance démocratique fondée sur l’État de droit et le respect des droits fondamentaux.
Le football, sport universel, captive des millions de fans à travers le monde, et l’essor des plateformes numériques a amplifié cette passion. Dans tous les pays du monde, comme en République démocratique du Congo, les supporters suivent avec ferveur les exploits de leurs idoles grâce à des services comme le pari foot en ligne rdc, qui permettent de s’engager activement dans l’univers du football tout en ajoutant une dimension stratégique et excitante à leur expérience de spectateur. Cette popularité mondiale a transformé certains joueurs en véritables icônes, dont la renommée dépasse largement les terrains.
Latif Belhedi
Le sport est aujourd’hui si lucratif que certains des joueurs les plus prestigieux gagnent encore plus grâce aux contrats de marque et aux sponsors qu’aux énormes salaires hebdomadaires qu’ils perçoivent de leurs clubs. Plus leur marque se développe, plus ils deviennent célèbres.
Cristiano Ronaldo
Cristiano Ronaldo est le meilleur buteur de tous les temps du football et potentiellement l’athlète le plus convoité de l’histoire. En 2025, après plus de 20 ans de carrière, l’attaquant avait disputé plus de 1 200 matchs avec l’équipe nationale senior et inscrit 890 buts pour le Sporting Lisbonne, Manchester United, le Real Madrid, la Juventus, Al-Nassr et l’équipe nationale portugaise.
Ronaldo est la personnalité la plus suivie sur Facebook et Instagram, et l’athlète le plus suivi sur Twitter. Il a gagné plus d’un milliard de dollars au cours de sa carrière.
La marque CR7, issue des initiales et du numéro de maillot du joueur portugais, a inspiré de nombreux projets, dont un musée et même une galaxie. Après que la superstar a mené le Portugal au succès à l’Euro 2016, l’aéroport international de Madère, sa ville natale, a été rebaptisé aéroport international Cristiano Ronaldo.
Lionel Messi
En décembre 2022, Messi a enfin remporté le trophée tant convoité, menant l’Argentine à sa troisième Coupe du monde, remportant le prix du Meilleur Joueur et inscrivant sept buts au passage. Sa publication Instagram d’après-match est la photo la plus populaire de l’histoire de la plateforme, avec 75 millions de mentions «J’aime». Il a été désigné à plusieurs reprises comme l’athlète le mieux payé au monde, est le visage d’Adidas depuis 2006 et est devenu en 2020 le deuxième footballeur de l’histoire à gagner plus d’un milliard de dollars.
Neymar da Silva Santos Jr
Même si les dernières années n’ont pas été tendres avec Neymar, il reste l’un des footballeurs les plus emblématiques du XXIe siècle. En 2011, alors qu’il jouait encore pour Santos, il a été nommé Footballeur sud-américain de l’année et a passé quatre ans à Barcelone, connaissant un immense succès, avant de devenir le footballeur le plus cher du monde en 2017, après avoir signé au PSG pour 200 millions de livres sterling.
Neymar a été nommé capitaine de l’équipe nationale brésilienne en 2014 et est devenu le meilleur buteur de l’histoire de l’équipe en septembre 2023. Les blessures l’ont empêché de devenir le meilleur joueur du monde, mais le talent de l’attaquant est indéniable, et sa réputation de talent et de technique a toujours fait de lui un joueur extrêmement attrayant.
Talent, charisme et présence médiatique
Ces trois joueurs illustrent comment le talent, le charisme et une présence médiatique savamment orchestrée peuvent transformer un footballeur en une icône mondiale. Leur influence continue d’inspirer les fans et de façonner l’industrie du football. Pour ceux qui souhaitent prolonger leur passion pour le sport, télécharger bet apk permet aux fans d’accéder facilement aux plateformes de pari et de jeux depuis leur mobile, enrichissant ainsi leur expérience du football avec des options interactives et divertissantes.
Les experts des droits de l’homme des Nations Unies ont exprimé leur vive préoccupation face à la détérioration croissante de la situation des avocats en Tunisie au cours de l’année écoulée. Ils ont souligné l’augmentation du harcèlement, des arrestations arbitraires et des violations du droit à un procès équitable, qualifiant la situation de grave détérioration au cours de l’année écoulée.
L’Expo 2025 Osaka Kansai se tient du 13 avril au 13 octobre 2025 au Japon. Le Pavillon de la Tunisie à cet événement économique international est mis sous le slogan «Un partenariat pour l’innovation, la science et la technologie au service de la survie». Nous traduisons ci-dessous l’article consacré par le site Nippon.com à cette participation.
La Tunisie, située sur la côte méditerranéenne de l’Afrique du Nord, possède des plages et de magnifiques récifs coralliens, ainsi que de nombreux sites archéologiques classés au patrimoine mondial, comme l’ancien port de commerce de Carthage.
Le magnifique pavillon de la Tunisie incarne le surnom du pays, «Joyau de l’Afrique du Nord», avec ses mosaïques traditionnelles colorées et son jasmin, fleur nationale.
Dès l’entrée du pavillon, les visiteurs sont enveloppés d’un doux parfum floral. Les murs intérieurs sont ornés de mosaïques et de vidéos illustrant la fondation légendaire de Carthage par la reine Élyssa, l’histoire de la campagne du général Hannibal contre Rome, des paysages du Sahara, dans le sud du pays, et des représentations des technologies scientifiques modernes tunisiennes.
La boutique de souvenirs du pavillon propose des produits tunisiens, notamment une gamme de tapis aux motifs géométriques complexes, de la vaisselle colorée, de l’huile essentielle de jasmin et du savon naturel. De quoi vous donner envie de visiter la Tunisie.
Le pavillon de la Tunisie est situé dans la zone «Sauver des vies».
La Tunisie célèbre sa fête nationale de la femme le mercredi 13 août au Palais de la Fête nationale de l’Expo.
Le comédien Medani Naamoun est décédé mardi 15 juillet 2025 à l’âge de 81 ans, dans une clinique privée à Dely Ibrahim (Alger), des suites d’un cancer du poumon, ont rapporté plusieurs médias algériens.
Né en 1944 dans la Casbah d’Alger, Medani Naamoun a marqué la scène théâtrale algérienne grâce à son jeu naturel et son engagement pour le théâtre populaire. Il a notamment collaboré avec des figures emblématiques comme Mustapha Kateb et Mahieddine Bachtarzi.
Son visage et sa voix ont accompagné plusieurs générations d’Algériens à travers des pièces de théâtre et des productions télévisées où il incarnait aussi bien des rôles comiques que dramatiques, avec toujours une grande humanité.
Le ministère de la Culture a salué sa mémoire et son apport important à la culture nationale, rappelant son attachement aux valeurs de justice, de dignité et de partage.
Medani Naamoun laisse derrière lui un riche héritage artistique qui continuera d’inspirer le théâtre algérien.
Cela fait des années voire des décennies que l’on parle des mégaprojets en Tunisie et de la nécessaire accélération de leur réalisation, et que l’on ne voit rien venir. On en est d’ailleurs venus à ne plus vraiment y voir que des wishful thinking pour occuper les citoyens et leur faire miroiter une prospérité illusoire qui tarde à venir. Mais ne voilà-t-il pas que cette question est remise à l’ordre du jour pour la énième fois et par le énième chef de gouvernement dans une foison d’annonces dont on espère qu’elles seront un jour réalisées ? C’est à croire que nous autres Tunisiens, sommes devenus des champions dans l’art de faire du surplace.
Imed Bahri
L’accélération de la réalisation des mégaprojets et des projets stratégiques prioritaires dans les secteurs de la santé, du transport, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a été au centre de la 5e réunion périodique de la commission des mégaprojets présidée, mardi 15 juillet 2025, au palais de la Kasbah, par la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri.
Selon un communiqué de la présidence du gouvernement, la réunion a permis de passer en revue l’état d’avancement des projets en question (eh oui, il paraît que çà avance !) et les solutions proposées pour surmonter les difficultés rencontrées (parce qu’il y en a toujours des difficultés !).
Un hôpital, une école, et quoi encore ?
La commission a recommandé, dans ce cadre, de relancer, immédiatement, les travaux de l’hôpital régional de classe « B » de Sbeïtla, dans le gouvernorat de Kasserine, et ce, après la sélection de l’entrepreneur devant finaliser les travaux avant la fin de cette année, ainsi que les travaux du projet de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Bizerte, en choisissant l’entreprise de travaux publics qui les finalisera, au 1er trimestre 2026.
La commission a, également, appelé à entamer les procédures de lancement de l’appel d’offres relatif à la réalisation du port en eau profonde et de la zone des services logistiques à Enfidha, conformément aux normes internationales.
La cheffe du gouvernement a mis l’accent, à cette occasion, sur la nécessité d’accélérer l’achèvement de tous les projets publics programmés dans les délais, afin de réaliser le développement régional, la croissance économique et la justice sociale et partant impulser les investissements et créer des opportunités d’emploi.
Zenzeri a souligné que tous les gouvernorats, les délégations, les municipalités, les services des ministères et les structures publiques aux niveaux central, régional et local sont au service du citoyen et sont appelés, par conséquent, à résoudre tous les problèmes auxquels fait face tout citoyen ou investisseur.
La présidence du gouvernement a rappelé la mise en place du portail national e-people qui permet aux citoyens de signaler les difficultés rencontrées en termes de communication avec les services administratifs, outre la ligne simplifiée 1860 et les adresses électroniques boc@pm.gov tn ou bcrc@pm.gov tn.
Des plans sur la comète
Donc, si on a bien compris, les responsables du gouvernement ont recommandé, appelé, mis l’accent, rappelé, souligné, et quoi encore ? Des bulles et encore des bulles !
Pour ce qui est de la réalisation espérée des mégaprojets, comme ceux de port en eau profonde et de zone des services logistiques à Enfidha, dont on parle depuis le milieu des années 1990, il y a de fortes chances (ou des risques sérieux) qu’ils ne verront jamais le jour.
Au rythme où les choses avancent, ou n’avancent pas, notre scepticisme n’a même plus à être justifié.
Cela pour dire que ce qu’on attend des responsables du gouvernement ce ne sont pas des plans sur la comète, mais des engagements fermes, des décisions concrètes et des délais précis. On est vraiment las d’attendre et d’espérer des mégaprojets qui dépassent rarement la phase de l’annonce… Et inutile de rappeler ici la longue liste de ceux qui ont été abandonnés en cours de route.
Le secteur touristique tunisien a connu une croissance remarquable depuis le début de 2025. Selon le directeur général de l’Office national du tourisme tunisien (ONTT), Mohamed Mehdi Hlaoui, le nombre de visiteurs a dépassé les 4,3 millions de touristes jusqu’à la fin juin dernier, soit une augmentation de 11% par rapport à 2024. Quant aux recettes touristiques, elles ont enregistré une croissance de plus de 8% au cours de la même période, ce qui place le tourisme à la première place en termes d’injection de devises dans l’économie nationale.
Latif Belhedi
En ce début d’une saison estivale très prometteuse, le secteur est sur le point de connaître une croissance encore plus forte, avec des prévisions de croissance continue des revenus totaux jusqu’à la fin de l’année.
Cette dynamique témoigne d’une reprise et d’une expansion solides pour le secteur, notamment après les défis posés par les événements mondiaux de ces dernières années : pandémie du Covid, guerre Russie-Ukraine, guerre à Gaza…
Contribution économique essentielle
Le secteur du tourisme en Tunisie est non seulement une source majeure de revenus, mais joue également un rôle essentiel dans l’économie nationale d’une façon générale. Il contribue à environ 9% du produit intérieur brut (PIB) du pays, ce qui témoigne de son importance considérable dans le paysage économique global. Son impact va au-delà des gains financiers, puisqu’il emploie environ 400 000 personnes dans divers métiers, notamment dans l’hôtellerie et la restauration, les guides touristiques et les transporteurs.
Grâce à un tel niveau d’emploi, le secteur touristique contribue à dynamiser les économies locales, notamment dans les régions côtières où les touristes affluent pour profiter des magnifiques plages et des attractions culturelles du pays situé au cœur de la Méditerranée et doté d’un climat très clément, hiver comme été. La croissance continue du nombre de visiteurs et des revenus devrait entraîner la création de nouveaux emplois, stimulant ainsi le paysage économique global.
La diversité des attractions
La diversité des offres de la Tunisie, de ses plages méditerranéennes et de ses sites historiques à ses expériences culturelles uniques, contribue à la popularité croissante du pays comme destination touristique. Le pays possède de nombreuses attractions, notamment les ruines antiques de Carthage, les pittoresques médinas de Tunis et les paysages désertiques qui ont captivé l’imagination des voyageurs du monde entier. La richesse historique de la Tunisie, alliée à la beauté de son littoral, en a fait une destination de choix pour le tourisme culturel et les vacances balnéaires.
Le secteur touristique du pays a également bénéficié de l’intérêt croissant pour l’écotourisme et les voyages d’aventure, les régions désertiques devenant de plus en plus prisées par ceux qui recherchent des expériences uniques et hors des sentiers battus. Les efforts déployés par la Tunisie pour améliorer ses infrastructures, notamment les aéroports, les hôtels et les transports, ont permis d’accueillir un nombre croissant de visiteurs et de leur garantir un séjour agréable et sans accroc, même si sur le plan de la qualité des services, beaucoup reste encore à faire pour rehausser davantage l’image de la destination.
Réserves de devises renforcées
Facteur clé des entrées de devises, le secteur du tourisme contribue de manière significative à la stabilité économique de la Tunisie. L’augmentation des recettes touristiques soutient non seulement l’économie nationale, mais renforce également les réserves de devises du pays, essentielles au maintien de l’équilibre de la balance extérieure. Avec l’afflux croissant de touristes, la capacité du pays à attirer les investissements étrangers et à renforcer sa stabilité financière devrait se renforcer, consolidant ainsi ses perspectives économiques à moyen et long terme.
Cap sur l’avenir
Malgré les secousses et les contre-temps, le secteur touristique tunisien ne montre aucun signe de ralentissement. Grâce à des investissements continus dans les infrastructures et à l’accent mis sur la promotion du riche patrimoine culturel du pays, l’industrie touristique est prête à connaître une croissance soutenue dans les années à venir.
Face à l’intérêt croissant du monde entier pour les expériences de voyage durables et immersives, la Tunisie s’impose comme une destination de choix pour les amateurs d’histoire et d’aventure. Fort de son potentiel de développement, le secteur du tourisme restera un pilier de la réussite économique de la Tunisie, contribuant ainsi à la prospérité du pays.
L’Association tunisienne des grandes écoles (Atuge) organise la deuxième édition du Diaspora Month du 15 juillet au 15 août 2025. Point d’orgue de cette initiative, le Tunisia Global Forum (TGF) qui se tiendra le 22 juillet à l’hôtel Radisson Blu Tunis.
Plus qu’une simple série d’événements, cette initiative a pour vocation de transformer la période estivale, moment privilégié de retour au pays pour de nombreux compatriotes, en un véritable carrefour d’opportunités.
L’objectif est de créer des ponts durables, de permettre aux réseaux de compétences de la diaspora de se reconnecter activement avec les écosystèmes locaux, de partager leur expertise et de s’engager dans les dynamiques d’avenir de la Tunisie.
Mobilisation des talents de la diaspora
Conçu comme le rendez-vous business incontournable du mois, le TGF est une plateforme stratégique dédiée à la mobilisation des talents de la diaspora et des écosystèmes d’entreprises et d’innovation. Sa mission est de connecter concrètement celles et ceux qui, par leurs actions et leurs visions, contribuent à la transformation du pays et à son rayonnement international.
Le TGT est l’événement phare du Diaspora Month, qui se prolonge avec d’autres rendez-vous essentiels.
Connecter la diaspora aux startups locaux
Ainsi, le Diaspora Regional Networking déploiera cette dynamique au cœur des régions tunisiennes tout au long du mois. Cette importante tournée vise à connecter la diaspora aux écosystèmes d’entreprises et de startups locaux, transformant ainsi les opportunités en collaborations durables sur tout le territoire.
Placée sous le thème «Innover pour attirer et investir pour transformer», cette journée d’exception a pour ambition de catalyser les énergies pour un avenir prospère. Plus de 1500 participants sont attendus, aux côtés de plus de 120 entreprises, startups prometteuses, clusters sectoriels, et institutions nationales et internationales.
Le format de l’événement a été pensé pour maximiser les interactions et les résultats : un vaste espace d’exposition dynamique pour présenter les innovations, des conférences plénières pour dessiner les feuilles de route stratégiques, des ateliers de réflexion pour co-construire des solutions, des talks inspirants pour partager les succès, et des sessions de rencontres B2B pour concrétiser les opportunités d’affaires.
Le secrétaire général régional de l’Union régionale du travail de Kasserine a été condamné à dix ans de prison ferme, selon une source proche du dossier citée par Mosaïque FM.
Le verdict a été rendu, ce mardi 15 juillet 2025, par la deuxième chambre pénale du tribunal de première instance de Tunis, sachant que la demande de libération du secrétaire général avait été rejetée en juin et le procès reporté à ce jour.
Notons que Sanki Assoudi a été arrêté dans le cadre d’une enquête au sein de la Société nationale de cellulose et de papier Alfa (SNCPA), où il occupe le poste de chef de service. Il est notamment soupçonné de falsification de diplômes, ce qui lui aurait permis d’évoluer au sein de l’entreprise.
Ces accusations ont été, dès le début de l’affaire, totalement rejetées par le concerné et par l’URT qui a pointé du doigt un « acharnement ».
Des activistes de la société civile et partis politiques à l’instar de l’Association Intersection pour les droits et les libertés et du parti Al-Jomhouri ont appelé à l’ouverture d’une enquête sur le décès de Hazem Amara à la prison de Belli à Nabeul.
Dans un communiqué publié ce mardi 15 juillet 2025, l’Association a dénoncé des manquements qui auraient causé le décès de Hazem Amara, dont la santé était déjà fragilisée par des maladies chroniques et qui nécessitait une prise en charge particulière, dont il n’a pas bénéficié. Intersection a de ce fait appelé à l’ouverture d’une enquête urgente et à la poursuites des coupables.
De son côté, le parti Al Jomhouri a imputé la responsabilité de ce drame à l’administration pénitentiaire et a pointé du doigt des conditions inhumaines de détention et une négligence médicale fatale pour le jeune homme qui aurait dû être placé sous la surveillance d’un médecin voire même hospitalisé, ayant récemment subi une opération à cœur ouvert.
Selon les mêmes sources, l’état de santé de Hazem s’était détérioré et une prise en charge médicale serait arrivée tardivement. Il a rendu l’âme à l’hôpital et la famille n’aurait même pas été informé par les autorités, déplorent l’association et le parti Al-Joumhouri.
Ces derniers demandent par ailleurs une évaluation de la situation au sein des prisons, considérant que ce drame n’est pas isolé et qu’il est urgent de mettre fin aux dépassements dans les prisons tunisiennes et de protéger les détenus et leur permettre de bénéficier de leurs droits.
Sous la direction musicale d’Achraf Betibi, Mohamed-Ali Kammoun accompagné de 120 artistes se produira, le 17 juillet 2025, au Festival international de musique symphonique à El Jem.
« 24 Parfums – Les Étoiles Symphoniques » est un hommage vibrant aux 24 régions tunisiennes, mêlant musique traditionnelle, jazz et symphonie et sera présenté par plus de 120 artistes sur scène, accompagnés de l’Orchestre Symphonique de Mégrine, dans une scénographie immersive sous les étoiles.
Les billets peuvent être réservés directement sur le site du Festival ou encore via le site teskerti festivaleljem.tn https://teskerti.tn/category/les-nocturnes-del-jem
Un Service de transport en bus au départ de Tunis est prévue pour cette soirée, précisent les organisateurs.
L’Espérance sportive de Tunis (EST) a annoncé l’engagement le joueur international mauritanien Ibrahima Keita.
Âgé de 23 ans, Ibrahima Keita qui évolue au poste d’arrière droit s’est engagé pour deux saisons, précise un communiqué des Sang et Or , ce mardi 15 juillet 2025,
Le jeune Ibrahima Keita a débuté sa carrière internationale avec la sélection mauritanienne en mars 2022 après avour rejoint le FC 93 Bobigny en National 2 en France.
Lors de la saison dernière il a évolué au TP Mazembe et affirme, ce jour dans une publication sur les réseaux, être devenu un « Mkashakh » et être heureux d’avoir rejoint l’Espérance de Tunis avec qui il « compte écrire l’Histoire ».