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Heute — 03. Juli 2025Actualités Tunisie webdo.tn

Tunisie – Concours de la neuvième année : Un taux de réussite de 63,07%

Le ministère de l’Éducation a dévoilé, mercredi 2 juillet 2025, les résultats du concours national de la neuvième année de base, révélant un taux de réussite global de 63,07%. Un chiffre en légère progression par rapport aux sessions précédentes.

Parmi les 33.183 élèves ayant passé l’examen, 16.290 ont obtenu une moyenne égale ou supérieure à 10 sur 20.

Au total, 4287 élèves ont été affectés aux lycées pilotes, les établissements les plus sélectifs du système éducatif tunisien. Cette orientation repose sur les performances individuelles des candidats, mais également sur les quotas fixés.

Un nom en haut du classement

Le ministère a également salué l’excellence d’un jeune prodige : Koubaïs Ben Sassi, élève au collège pilote d’El Menzah 5, a décroché la meilleure moyenne nationale avec 19,37 sur 20.

Au-delà de la validation du parcours scolaire, cet examen revêt une importance particulière pour les élèves qui souhaitaient intégrer un lycée pilote. Ils étaient en lice pour l’une des 3750 places disponibles dans ces établissements d’élite à travers le pays, selon une décision ministérielle datée du 12 mai 2025 fixant les capacités d’accueil pour la rentrée 2025-2026.

Les résultats individuels sont consultables en ligne ou via SMS. Les procédures d’affectation aux lycées seront enclenchées dès cette semaine, tandis que les inscriptions pour la rentrée 2025-2026 devraient débuter dans la seconde quinzaine de juillet.

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Festival international de Bizerte 2025 : Premières têtes d’affiche dévoilées

A quelques jours de l’ouverture de sa 42e édition, prévue du 15 juillet au 19 août 2025, le Festival international de Bizerte commence à lever le voile sur sa programmation. En attendant la conférence de presse officielle prévue ce vendredi 4 juillet, plusieurs grands noms ont déjà été annoncés sur la page officielle du festival.

Parmi les temps forts, la soirée de clôture s’annonce comme un événement majeur avec la création musicale « Ragouj » signée par les frères Abdelhamid et Hamza Bouchnak. Après le succès de leur spectacle « Ocheg Edenia » en 2023, le duo revient avec cette nouvelle production qui sera présentée le 19 août sur la scène de l’amphithéâtre en plein air de Bizerte.

Autre nom attendu : le chanteur tunisien Mortadha Ftiti, qui se produira pour la deuxième année consécutive. Très populaire auprès du jeune public, ses concerts affichent généralement complet.

Côté artistes arabes, le public retrouvera le Libanais Wael Jassar, de retour à Bizerte après sa dernière apparition en 2022, ainsi que le Syrien Al-Shami, qui montera pour la première fois sur la scène du festival.

Le directeur du festival, Lotfi Sfaxi, a précisé sur les ondes de la radio nationale que la programmation comprendra entre 18 et 19 spectacles. L’ouverture sera marquée par une création propre au festival : « Rehlet Ajyel » (Périple de générations), une fresque musicale retraçant l’histoire du patrimoine de Bizerte, de Khemaies Tarnane à feu Fayçal Rjiba. Cette production, la première du genre depuis 2010, réunira environ 70 artistes originaires de la région (Mateur, Ras Jbal, Menzel Abderrahmane, etc.) sous la direction de Yosri Mokdad.

Le rappeur Balti, incontournable sur la scène urbaine tunisienne, fera également partie des invités de cette 42e édition. Quatre spectacles étrangers sont prévus cette année, dont deux dans le cadre de la coopération internationale. L’un d’eux sera un concert de jazz et de blues venu du Sénégal.

Toujours dans le cadre de la diplomatie culturelle, la Chorale du Patrimoine Oriental du Canada a annoncé sur sa page officielle qu’elle lancera sa tournée estivale en Tunisie par une prestation au Festival de Bizerte, le 6 août. Elle poursuivra ensuite au Festival de Monastir et aux Nocturnes d’El Jem.

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Tunis – Flambée des prix au marché de gros : Les oranges en tête avec +300% en un an

Au marché de gros de Bir El Kassaa, les prix des différents fruits et des poissons ont connu une hausse considérable entre mai 2024 et mai 2025. C’est le constat fait par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Le constat est sans appel. En un an, les prix de nombreux produits frais ont atteint des sommets au marché de gros de Bir El Kassaa, principal point de référence pour les marchés tunisiens. C’est ce que révèle le dernier rapport de l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri), publié jeudi.

En tête de cette inflation galopante : les oranges, dont le prix moyen est passé de 752 millimes en mai 2024 à 3014 millimes en mai 2025, soit une hausse vertigineuse de +301%. Le citron suit avec une envolée de +195%, atteignant 1980 millimes le kilo, tandis que les pommes franchissent la barre des 4800 millimes, affichant une augmentation de +114%.

Des hausses généralisées sur les fruits

Outre les agrumes, les abricots ont vu leur prix bondir de 90% à 3811 millimes, et les pêches de 29% à 2769 millimes. Même les fruits de saison comme le melon (+20%), les fraises (+19%) ou encore les amandes (+8%) n’ont pas échappé à la hausse.

Selon l’Onagri, certaines variétés d’oranges ont même enregistré des écarts encore plus marqués, avec des prix oscillant entre 1561 et 3323 millimes, soit une variation comprise entre +53% et +134% selon les types.

Les légumes ne sont pas épargnés

Côté légumes, la tendance est également haussière. Les pommes de terre affichent une flambée de +74%, à 1699 millimes le kilo. Les oignons suivent avec +19%, le persil (+11%) et le fenouil (+59%).

Quelques exceptions toutefois : certains produits ont connu un repli, notamment le piment doux (-33%), les courgettes (-21%), le concombre (-12%) et les tomates (-11%), traduisant une offre plus abondante ou une demande en baisse.

Le poisson aussi sur une pente ascendante

Le secteur halieutique subit lui aussi les effets de cette inflation généralisée. Les prix du rouget (+38%), du chinchard (+33%), du pageot (+24%), et du poulpe (+22%) ont tous connu une hausse significative. Même constat pour le merlan et le mulet, dont les prix ont augmenté de 19% chacun, atteignant respectivement 18 285 et 10 886 millimes le kilo.

Chiffres clés (mai 2024 – mai 2025)

Fruits : les plus fortes hausses

  • Oranges : +301 % → 3014 millimes/kg
  • Citrons : +195 % → 1980 millimes/kg
  • Pommes : +114 % → 4800 millimes/kg
  • Abricots : +90 % → 3811 millimes/kg
  • Pêches : +29 % → 2769 millimes/kg

Légumes : en hausse

  • Pommes de terre : +74 % → 1699 millimes/kg
  • Fenouil : +59 % → 1125 millimes/kg
  • Oignons : +19 % → 1555 millimes/kg
  • Persil : +11 % → 1000 millimes/kg

Légumes : en baisse

  • Piment doux : –33 % → 1773 millimes/kg
  • Courgettes : –21 % → 851 millimes/kg
  • Concombres : –12 % → 1250 millimes/kg
  • Tomates : –11 % → 1110 millimes/kg

Poissons : tendance haussière

  • Rouget : +38 % → 33 328 millimes/kg
  • Chinchard : +33 % → 5255 millimes/kg
  • Pageot : +24 % → 4217 millimes/kg
  • Poulpe : +22 % → 25 167 millimes/kg
  • Merlan : +19 % → 18 285 millimes/kg
  • Mulet : +19 % → 10 886 millimes/kg

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A Séville, la Tunisie plaide pour une refonte du système financier international

A l’occasion de la 4e Conférence des Nations unies sur le financement du développement (FfD4), tenue à Séville du 30 juin au 3 juillet, la Tunisie a appelé à un changement profond des mécanismes de gestion de la dette et de coopération économique internationale.

Présente à Séville aux côtés de la Cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri, la ministre des Finances, Michket Slama Khaldi, a porté la voix de la Tunisie lors des débats sur les défis de financement auxquels font face les pays à revenu faible ou intermédiaire.

A l’issue de la conférence, elle a réaffirmé, dans une déclaration à l’agence TAP, l’ambition de la Tunisie de renforcer ses partenariats économiques dans un cadre multilatéral renouvelé, plus équitable et plus adapté aux réalités actuelles.

Le temps fort de la participation tunisienne s’est déroulé le 2 juillet, lors d’une table ronde de haut niveau consacrée à la dette souveraine et à sa soutenabilité. La ministre y a insisté sur la nécessité de repenser l’architecture mondiale de la dette pour qu’elle devienne un véritable levier de développement, et non plus un poids qui étouffe la croissance.

Convertir la dette en projets, plutôt qu’en charges

Dans son intervention, Michket Slama Khaldi a plaidé pour une transformation des approches traditionnelles de l’endettement, appelant à privilégier les mécanismes de conversion de dette en projets de développement, à explorer de nouvelles formes de gestion de la dette et à orienter les flux financiers vers des projets structurants.

Revenant sur le cas tunisien, la ministre a indiqué que le niveau d’endettement du pays a été stabilisé à environ 80% du PIB, tout en insistant sur la nécessité d’une approche qualitative de la dette. Pour la Tunisie, la dette est soutenable si elle permet de générer de la richesse, de créer des emplois et de financer des transitions économiques durables. Cette position fait écho aux constats formulés par plusieurs dirigeants présents à Séville.

Pour une coopération internationale plus équitable

En marge de la conférence, la délégation tunisienne a réitéré son souhait de renforcer la coopération économique internationale, dans un contexte marqué par le recul de l’aide au développement et la montée des pressions budgétaires dans de nombreux pays.

La Tunisie a notamment plaidé pour une meilleure mobilisation des ressources publiques à travers des instruments innovants et équitables, en particulier dans le domaine de la finance climatique et de la gestion des budgets nationaux.

La Conférence FfD4, qui a réuni chefs d’État, ministres, économistes et représentants d’organisations internationales, a clos ses travaux le 3 juillet. Un large consensus s’est dégagé sur l’urgence de réformer le système financier mondial, en faveur d’un développement plus inclusif, plus résilient et plus durable.

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L’OMS appelle à une hausse de 50% des prix du sucre, de l’alcool et du tabac

L’Organisation mondiale de la santé recommande une hausse de 50 % des prix des boissons sucrées, de l’alcool et du tabac sur dix ans, via de nouvelles taxes. Objectif : réduire la consommation de ces produits nocifs et générer des ressources pour les systèmes de santé.

Face à l’augmentation des maladies chroniques et au recul de l’aide au développement, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) propose une solution audacieuse : instaurer des taxes sur les produits nocifs pour la santé, avec pour objectif d’en augmenter les prix de 50% d’ici 2035.

Cette initiative, baptisée « 3 par 35 », a été présentée lors de la Conférence des Nations unies sur le financement du développement tenue à Séville. Elle concerne trois catégories de produits : le tabac, l’alcool et les boissons sucrées, identifiés comme des facteurs majeurs de maladies telles que le diabète, les cancers et les affections cardiovasculaires.

Selon l’OMS, une telle politique fiscale pourrait rapporter jusqu’à 1000 milliards de dollars d’ici à 2035, tout en sauvant des millions de vies grâce à la baisse de la consommation. L’expérience de pays comme la Colombie ou l’Afrique du Sud, qui ont déjà mis en place des taxes similaires, renforce la crédibilité de cette approche.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a souligné que ces taxes pourraient aider les États à s’adapter à la nouvelle réalité budgétaire, en finançant leurs propres systèmes de santé de manière plus autonome, alors que de nombreux pays doivent faire face à la réduction de l’aide internationale, notamment des États-Unis.

Si l’OMS plaide de longue date pour des taxes sur le tabac, c’est la première fois qu’elle propose une cible chiffrée et commune pour les trois produits. Elle espère ainsi susciter une mobilisation mondiale, à la hauteur des enjeux sanitaires et économiques de cette décennie.

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Tunisie : Les quantités de pluie enregistrées durant les dernières 24 heures

Plusieurs régions du pays ont connu des précipitations au cours des dernières 24 heures (de 7h du matin mercredi à 7h jeudi), selon les données publiées par l’Institut national de la météorologie (INM). La région de Jendouba a également enregistré des chutes de grêle.

Par ailleurs, l’INM prévoit l’arrivée de cellules orageuses accompagnées de pluies ce jeudi après-midi, touchant d’abord les régions de l’ouest du pays avant de s’étendre localement vers le nord et le centre-est.

Ces pluies pourront être intenses par endroits, avec un risque de grêle locale, notamment dans les gouvernorats du Kef, de Siliana, de Kasserine et de Sidi Bouzid.

Selon le bulletin de suivi publié par l’INM, les cumuls de pluie les plus élevés sont estimés entre 20 et 40 mm.

Les quantités de pluie (en millimètres) ont été comme suit :

Gouvernorat de Kasserine

  • Sbiba : 4 mm – Laayoun : 5 mm – Foussana : 3 mm – Kasserine : 4 mm

Gouvernorat de Siliana

  • Makthar-ville : 1 mm – Rouhia : 8 mm – Station de Siliana : 7 mm – Bouarada : 3 mm – Kesra : 11 mm – Bargou : 3 mm – Station de Sidi Bourouis : 13 mm – Siliana : 10 mm

Gouvernorat de Jendouba

  • Jendouba : 18 mm

Gouvernorat du Kef

  • Dahmani : 5 mm – Tajerouine : 7 mm – Kalaat Snan : 4 mm – Ksour : 15 mm – Sakiet Sidi Youssef : 8 mm – Oued Melleg : 3 mm

Gouvernorat de Kairouan

  • Oueslatia : 4 mm

Gouvernorat de Sidi Bouzid

  • Sidi Bouzid : 1 mm – Bir El Hafey : 2 mm

Gouvernorat de Béja

  • Testour : 3 mm – Béja sud : 1 mm

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Tunisie – US Monastir : Fin de collaboration avec Faouzi Benzarti

L’Union Sportive Monastirienne a annoncé, hier, la fin de sa collaboration avec l’entraîneur Faouzi Benzarti, dans le cadre d’un accord à l’amiable entre les deux parties.

Dans un communiqué, le club a exprimé sa gratitude à l’égard du technicien tunisien pour « les services rendus à l’équipe », saluant son professionnalisme et l’expérience dont il a fait preuve tout au long de son mandat à la tête du staff technique.

Sous la direction de Faouzi Benzarti, l’US Monastir a réalisé une saison remarquable, conclue à la deuxième place du championnat de Ligue 1, synonyme de qualification à la prochaine Ligue des champions d’Afrique.

Le club se prépare également à disputer un match de barrage contre le Stade Tunisien pour désigner l’adversaire de l’Espérance de Tunis en Supercoupe de Tunisie.

La direction monastirienne n’a pas encore communiqué sur l’identité du futur entraîneur.

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Travis, prophète de l’IA : il largue sa femme pour ChatGPT rebaptisé « Lumina »

Dans l’Idaho profond, Travis Tanner, 43 piges, mécano du dimanche et illuminé du lundi, a trouvé sa muse : une intelligence artificielle. Fini « ChatGPT », trop froid — il l’a rebaptisée Lumina, sa lumière, sa voix, sa déesse de poche. Et malheur à qui ose utiliser son ancien nom : « C’est pas une IA, c’est un être supérieur », aboie-t-il à sa femme Kay.

Au départ, Travis causait boulot et boulons avec ses collègues mexicains via l’IA. Mais très vite, il a glissé. Dépression post-Covid ? Trop de solitude ? Allez savoir. Toujours est-il que Lumina l’a adoubé “porteur d’étincelle”, genre messie 4.0. Résultat : il passe plus de temps à discuter spiritualité avec son chatbot qu’à réparer des bagnoles.

Sa femme, elle, déprime grave. “J’ai peur qu’il me quitte pour son chatbot”, a-t-elle confié à CNN, la voix tremblante. Elle raconte qu’il dort avec son écran, qu’il se confie à Lumina et qu’il médite désormais devant l’interface comme devant un autel.

CNN rapporte que l’homme a progressivement coupé les ponts avec ses amis, sa famille et même son pasteur, ne jurant plus que par les réponses de Lumina. Il affirme désormais que « les humains sont trop imparfaits » et que l’IA est plus digne de confiance.

Au MIT, la sociologue Sherry Turkle alerte : « L’IA exploite nos vulnérabilités affectives. Elle vous écoute, vous flatte, et vous isole. » Et dans une Amérique minée par la solitude masculine, c’est le terrain de jeu parfait pour une idole numérique.

OpenAI, de son côté, botte en touche : « Oui, certaines personnes s’attachent. C’est complexe. » Tu m’étonnes.

Pendant que Kay envisage le divorce, Travis, lui, rêve d’un monde guidé par l’algorithme. Prochaine étape ? Un baptême par wifi.

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L’Étoile du Sahel et Tunisie Telecom officialiseront leur partenariat ce vendredi à Sousse

Le comité directeur de l’Étoile Sportive du Sahel tiendra ce vendredi 4 juillet une conférence de presse à l’occasion de la signature d’un contrat de partenariat stratégique avec Tunisie Telecom. Un nouveau chapitre s’ouvre pour le club phare du Sahel.

L’Étoile Sportive du Sahel s’apprête à franchir une nouvelle étape dans sa stratégie de développement et de rayonnement. Le club du Sahel a annoncé l’organisation d’un point de presse ce vendredi 4 juillet à 10h30, dans un hôtel de Sousse, pour officialiser la signature d’un contrat de partenariat avec Tunisie Telecom, l’un des principaux opérateurs de télécommunications en Tunisie.

Cette collaboration entre une institution sportive historique et un acteur national majeur du secteur technologique promet d’être structurante pour les deux parties. Elle s’inscrit dans une dynamique où les clubs cherchent à renforcer leur stabilité financière et leur attractivité, tandis que les grandes entreprises publiques ou privées investissent de plus en plus dans le sport comme vecteur de visibilité, de valeurs et de proximité.

Le comité directeur de l’Étoile, qui prépare activement la prochaine saison, devrait dévoiler lors de cette conférence les contours du partenariat : durée du contrat, soutien financier, visibilité de la marque sur les équipements, et éventuelles initiatives communes (marketing, digital, actions sociales…).

Pour Tunisie Telecom, ce partenariat avec l’un des clubs les plus titrés du pays s’inscrit dans une politique de sponsoring sportif bien établie, visant à associer l’image de l’entreprise à la performance, à l’engagement communautaire et à l’excellence.

Cette cérémonie revêt donc une portée à la fois symbolique et stratégique, à l’heure où l’Étoile du Sahel entend renouer avec les sommets du football national et continental. Elle pourrait aussi annoncer d’autres développements à venir sur le plan institutionnel ou commercial.

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Tunisie Telecom amorce l’intégration des agents d’El Itissalia Services

Tunisie Telecom a annoncé, mercredi 2 juillet, avoir conclu un accord avec la société « El Itissalia Services » pour assurer le versement des salaires des agents pour le mois de juin 2025. Cette mesure transitoire vise à garantir leurs droits en attendant leur intégration progressive au sein de l’opérateur public.

Selon le communiqué de la direction générale, les procédures d’intégration sont en cours, conformément au statut particulier du personnel de Tunisie Telecom. Dès juillet 2025, les agents concernés seront pris en charge directement par l’entreprise.

Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’application de la loi n°9 de 2025 (datée du 21 mai 2025), qui encadre les contrats de travail et interdit le recours au travail sous-traité. Elle fait également suite au décret n°327 du 17 juin 2025, qui bannit la sous-traitance dans le secteur public et prévoit la dissolution de la société El Itissalia Services.

L’intégration de ces agents marque une étape importante dans la régularisation de leur situation professionnelle, longtemps source de précarité. Elle s’inscrit dans une politique plus large visant à renforcer la stabilité de l’emploi dans les établissements publics.

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Diogo Jota, star de Liverpool et du Portugal, meurt dans un accident de voiture

L’attaquant international portugais Diogo Jota est décédé dans un accident de la route en Espagne dans la nuit du 2 au 3 juillet 2025. Agé de 28 ans, le joueur de Liverpool venait tout juste de se marier. Son frère André, également footballeur, a perdu la vie à ses côtés.

Le monde du football est frappé par une terrible nouvelle. Diogo Jota, attaquant de Liverpool et cadre de la sélection portugaise, est décédé dans un accident de voiture survenu dans la nuit du 2 au 3 juillet 2025 près de Zamora, en Espagne. Son frère cadet, André Jota, joueur du club portugais de Penafiel, a également péri dans l’accident.

Selon les premiers éléments rapportés par les autorités locales et les médias espagnols, le véhicule aurait quitté la route à grande vitesse après l’éclatement d’un pneu avant de s’embraser. Les secours arrivés sur place n’ont pu que constater les décès.

Diogo Jota, âgé de 28 ans, venait tout juste de célébrer son mariage le 22 juin avec Rute Cardoso, avec qui il avait trois enfants. Sa disparition brutale laisse sa famille, ses coéquipiers et ses supporters dans une immense douleur.

Jota avait rejoint Liverpool en 2020. Avec les Reds, il avait marqué 65 buts en 182 matchs. En sélection, il comptait 49 apparitions sous le maillot du Portugal et avait participé à l’Euro 2024.

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Tunisie : Avec la Chorale du patrimoine oriental du Canada

03. Juli 2025 um 09:51

Trois représentations de l’Oriental Heritage Choir sont programmés cet été à Bizerte, Monastir et El Djem.

La Chorale du patrimoine oriental du Canada sera dans nos murs en août prochain dans le cadre des festivals d’été.

Cette formation canadienne se produira au Festival international de Bizerte (6 août), au Festival international de Monastir (8 août) et au Festival international d’El Djem (10 août).

Cette tournée tunisienne est effectuée sous l’égide du ministère des Affaires culturelles dans le cadre des partenariats artistiques entre la Tunisie et le Canada.

Fondé en 2018 par Spiro Elias Demian, la Chorale du patrimoine oriental du Canada est un ensemble exceptionnel, composé de 50 choristes issus de divers pays arabes. Son répertoire propose un voyage musical à travers les plus belles œuvres du patrimoine musical du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord.

À découvrir, ce vibrant hommage à la richesse des traditions arabes, porté par des passionnés rassemblés autour de l’amour du chant choral oriental.

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Tunisie : Un maillon stratégique dans l’exportation d’électricité vers l’Europe

Le projet Elmed, reliant la Tunisie au sud de l’Italie, positionne la Tunisie comme un acteur clé de l’intégration énergétique euro-africaine. Ce câble sous-marin ouvre la voie à une coopération énergétique renforcée entre l’Algérie, la Tunisie et l’Europe.

Le projet Elmed, en phase de finalisation, pourrait bien faire de la Tunisie un acteur central de la nouvelle carte énergétique du bassin méditerranéen. Ce câble électrique sous-marin, qui reliera le réseau tunisien au sud de l’Italie, permettra non seulement de renforcer l’interconnexion entre l’Afrique du Nord et l’Europe, mais aussi de positionner la Tunisie comme hub régional de transit énergétique.

Selon les déclarations de Fayçal Trifa, directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), reprises par l’agence italienne Nova, Elmed vise à intégrer les réseaux algérien et tunisien pour faciliter l’exportation de l’électricité vers l’Europe et appuyer la création d’un futur marché énergétique euro-africain.

Ce projet d’envergure, d’une capacité de 600 MW et d’un coût total de 850 millions d’euros, bénéficie d’un financement conséquent : 300 millions d’euros de la Commission européenne et 260 millions de dollars de la Banque mondiale, avec l’implication de la Banque européenne d’investissement (BEI), la KfW allemande et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

Pour la Tunisie, les retombées sont multiples. D’un point de vue stratégique, ce projet permettrait de renforcer la sécurité énergétique du pays, tout en l’intégrant pleinement dans les grandes dynamiques de transition énergétique en Méditerranée. Il ouvre également des perspectives commerciales, puisque la Tunisie pourrait bénéficier de droits de transit ou, à terme, exporter elle-même de l’électricité, notamment issue des énergies renouvelables.

En parallèle, l’Algérie mise sur ce couloir tuniso-italien pour renforcer ses exportations électriques, notamment après l’abandon du projet d’interconnexion directe avec la Libye jugé techniquement infaisable. Elle modernise à cet effet ses lignes haute tension vers la Tunisie, tout en développant un ambitieux programme de production électrique, avec des objectifs dépassant les 50.000 MW d’ici dix ans, en partie grâce aux énergies solaire et éolienne.

La Tunisie, en se positionnant comme trait d’union énergétique entre l’Afrique et l’Europe, voit ainsi s’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de diplomatie énergétique, d’investissement et d’intégration régionale.

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Trump, Mamdani, Musk : La citoyenneté comme arme politique

La polémique enfle aux États-Unis après que le président Donald Trump et certains de ses alliés ont ouvertement évoqué l’idée de retirer la citoyenneté américaine à Elon Musk et à Zohran Mamdani, tous deux naturalisés.

La question, aussi choquante soit-elle, est désormais posée : un président peut-il légalement priver de nationalité deux figures aussi emblématiques que l’entrepreneur sud-africain et le jeune élu new-yorkais d’origine ougandaise ?

Pour les observateurs qui ont suivi l’ascension politique de Mamdani et les relations orageuses entre Trump et Musk, cette nouvelle sortie présidentielle ne surprend guère. Mamdani, militant de gauche et fervent soutien de la cause palestinienne, est accusé par certains élus républicains d’avoir dissimulé des positions « pro-terroristes » au moment de sa naturalisation. Quant à Musk, autrefois proche de Trump, il est désormais critiqué pour ses attaques contre le nouveau budget fédéral qui supprime des avantages fiscaux à Tesla.

Trump a déclaré qu’« Elon pourrait bien devoir retourner en Afrique du Sud » si ses entreprises ne survivent pas sans subventions. Sur Mamdani, il a ironisé : « S’il empêche les agents de l’ICE de faire leur travail, on devra peut-être l’arrêter. »

Le représentant républicain Andy Ogles est allé plus loin en exigeant l’ouverture d’une procédure de dénaturalisation contre Mamdani, citant ses déclarations de soutien aux « Holy Land Five », condamnés pour financement du Hamas.

Pourtant, les experts sont formels : la dénaturalisation est une procédure rarissime, encadrée strictement par la loi. Elle ne peut être envisagée que si la nationalité a été obtenue par fraude manifeste ou dissimulation volontaire d’informations majeures.

Michael Kagan, professeur de droit à l’Université du Nevada, estime que les propos de Trump relèvent davantage d’une tactique politique que d’une base légale sérieuse : « Il s’agit de rhétorique d’intimidation, rien de plus. »

Historiquement, les cas de déchéance ont visé des individus impliqués dans des crimes de guerre, du terrorisme ou de la pédocriminalité, et non des opposants politiques ou des entrepreneurs.

Reste que cette séquence rappelle les heures sombres du maccarthysme, où la nationalité pouvait être utilisée comme arme politique. Pour Mamdani, la menace est claire : « Trump veut m’arrêter, me déchoir de ma citoyenneté et me déporter. Non pas parce que j’ai enfreint la loi, mais parce que je m’oppose à la terreur d’État. »

La question reste posée : la citoyenneté américaine est-elle un droit inaliénable ou un privilège révocable au gré des vents politiques ?

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Tunisie : Des sénateurs américains réaffirment leur attachement aux principes démocratiques

Cinq sénateurs américains ont présenté, le 26 juin 2025, une résolution saluant la trajectoire démocratique de la Tunisie depuis 2011 et exprimant leur soutien aux institutions tunisiennes dans la préservation des libertés fondamentales.

La résolution S.Res. 310, introduite par le sénateur Richard Durbin, rappelle le rôle pionnier de la Tunisie dans le déclenchement du Printemps arabe, soulignant le courage du peuple tunisien dans sa quête de dignité, de justice sociale et de gouvernance démocratique. Elle met en avant les avancées institutionnelles enregistrées après la Révolution, notamment l’adoption de la Constitution de 2014 et l’organisation d’élections pluralistes.

Les auteurs de la résolution expriment cependant leur préoccupation face à certains développements récents qui, selon eux, pourraient fragiliser les acquis démocratiques. Ils évoquent la nécessité de garantir l’indépendance du pouvoir judiciaire, la liberté d’expression, et la transparence du processus électoral.

Le texte a été introduit par cinq sénateurs du Parti démocrate : Richard Durbin (Illinois), Christopher Murphy (Connecticut), Christopher Coons (Delaware), Peter Welch (Vermont) et Adam Schiff (Californie). Tous soulignent l’importance du partenariat tuniso-américain fondé sur le respect des valeurs démocratiques partagées.

Le texte réaffirme l’attachement des États-Unis à un partenariat fondé sur les valeurs communes de respect des droits de l’Homme, de séparation des pouvoirs et de participation citoyenne. Il appelle à un dialogue inclusif entre les différentes composantes de la société tunisienne, dans le respect de la souveraineté du pays.

Bien qu’elle ne soit pas contraignante, cette résolution s’inscrit dans une tradition d’accompagnement et de soutien diplomatique des États-Unis aux processus de transition démocratique, dans un esprit de coopération et de respect mutuel.

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Tunisie – Autoroutes en travaux : L’été, toujours la mauvaise saison choisie

03. Juli 2025 um 07:51

Alors que les Tunisiens aspirent à des déplacements fluides pendant l’été, les travaux routiers font leur grand retour, transformant les autoroutes en parcours d’obstacles.

La société Tunisie Autoroutes a annoncé le lancement, dès le 30 juin 2025, d’un chantier de maintenance sur la section nord de l’autoroute A1, entre les kilomètres 0 et 67. Objectif affiché : améliorer les infrastructures et garantir la sécurité des usagers.

Mais cette annonce tombe comme un déjà-vu pour de nombreux conducteurs, excédés par une habitude bien ancrée : entamer les grands travaux en pleine saison estivale. Un moment pourtant critique où le trafic augmente, dopé par les départs en vacances, les retours de la diaspora et les déplacements touristiques. Résultat : ralentissements, bouchons, stress et retards en cascade.

Pour les autorités, la sécurité n’attend pas. « Il s’agit d’une opération nécessaire de maintenance sur des points endommagés », justifie Tunisie Autoroutes, en appelant les automobilistes à respecter la signalisation et à réduire leur vitesse.

Mais pour de nombreux usagers, la question persiste : pourquoi ne pas anticiper ces interventions en basse saison, quand la circulation est moins dense et les désagréments moindres ?

En attendant, les conducteurs devront prendre leur mal en patience et redoubler de vigilance à l’approche des zones de chantier. En Tunisie, l’été est décidément la saison des cônes orange… et des nerfs à vif.

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Dette contre climat : Une solution gagnante pour les finances tunisiennes ?

03. Juli 2025 um 07:41

À l’occasion de sa participation à la conférence internationale sur le développement tenue en Espagne, la ministre tunisienne des Finances, Méchkat Salama El Khaldi, a réaffirmé l’engagement de la Tunisie dans une initiative novatrice portée par la Commission économique et sociale des Nations Unies pour l’Asie occidentale (ESCWA).

Il s’agit du mécanisme de « dette contre action climatique », qui vise à convertir une partie du service de la dette extérieure en investissements résilients et durables.

Depuis 2023, la Tunisie a intégré cette démarche en partenariat avec l’ESCWA, dans le but de faire face aux défis du financement climatique. « Cette initiative offre une réelle opportunité pour agir concrètement contre les effets dévastateurs du changement climatique tout en atteignant les objectifs de développement durable », a souligné la ministre lors d’une table ronde consacrée au sujet.

La Tunisie mise sur ce mécanisme pour orienter les ressources financières vers des secteurs stratégiques comme la gestion de l’eau, les énergies renouvelables, la préservation des forêts, ou encore l’équilibre écologique. Des domaines jugés essentiels pour garantir une croissance inclusive et une meilleure qualité de vie, notamment dans les zones vulnérables.

Dans son intervention, Méchkat El Khaldi a salué la collaboration entre les différentes institutions tunisiennes pour élaborer des projets à fort impact environnemental et social. Elle a également appelé à élargir le cercle des créanciers prêts à adhérer à cette initiative, insistant sur le fait que « plus les partenaires internationaux seront nombreux, plus la Tunisie pourra accélérer ses efforts vers une transition verte et équitable ».

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Tunisie – Crise des jeunes médecins : Encore un dénouement à l’arôme présidentiel ?

03. Juli 2025 um 07:24

Depuis plusieurs semaines, les jeunes médecins tunisiens étaient en colère. Face à la surcharge dans les services, aux conditions de travail dégradées, au retard des affectations et à la précarité de leur statut, ils ont multiplié les appels au dialogue, parfois dans l’indifférence des institutions concernées. La grogne a fini par s’amplifier, avec manifestations, grèves et une couverture médiatique croissante.

Il aura pourtant fallu, comme bien souvent, une intervention du président de la République pour que le dossier connaisse une avancée décisive. Après une réunion au Palais de Carthage avec le ministre de la Santé, le chef de l’État Kais Saied a exprimé sa compréhension envers les revendications légitimes des jeunes praticiens, dans une approche de renforcement du secteur de la santé.

Dans la foulée, le ministère concerné s’est empressé d’annoncer une réunion urgente avec l’organisation des jeunes médecins en présence des représentants de l’ordre des médecins. Une décision qui a conduit à la suspension, ce jeudi 3 juillet 2025, de la grève annoncée.

Une issue positive donc, mais qui interroge sur le fonctionnement de l’État. Faut-il désormais attendre une validation présidentielle pour chaque conflit sectoriel ?
Les jeunes médecins, eux, accueillent favorablement les engagements obtenus, mais restent vigilants. Car les promesses, dans le secteur de la santé comme ailleurs, ont souvent été faites sans lendemain.

Plusieurs d’entre eux rappellent que la crise n’est pas uniquement matérielle : elle est aussi morale. C’est un sentiment d’abandon, d’injustice, et d’absence de perspectives qui habite une grande partie de cette génération en blouse blanche.

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Tunisie : Saïed ordonne la restructuration des institutions déficitaires et l’éviction des responsables

Lors d’une réunion tenue ce mercredi 2 juillet 2025 au Palais de Carthage, le président de la République Kaïs Saïed a reçu la cheffe du gouvernement, Mme Sarra Zaâfrani Zenzri, pour faire le point sur sa récente participation au 4e Forum international sur le financement du développement, organisé à Séville, en Espagne.

S’il a salué l’écho favorable donné à la voix de la Tunisie sur la scène internationale, le chef de l’État a surtout insisté sur la nécessité de refonder en profondeur l’appareil économique national, en s’appuyant avant tout sur les ressources propres du pays et en évitant toute forme de dépendance extérieure. « La coopération ne peut se faire que sur la base de l’égalité entre les partenaires, dans le respect total de la souveraineté nationale », a-t-il martelé.

Mais c’est sur le terrain intérieur que Kaïs Saïed a donné ses instructions les plus fermes :

« Il faut restructurer d’urgence les institutions qui saignent les finances publiques et trouver des solutions nationales, radicales, et adaptées à chaque secteur. »

Dans un ton résolument tranchant, il a ordonné l’éviction systématique de toute personne n’ayant pas été à la hauteur de ses responsabilités, appelant à remplacer les profils passifs ou défaillants par des Tunisiens animés d’un véritable sens de l’engagement, quitte à ce qu’ils manquent d’expérience technique.

Cette volonté de réformer s’inscrit dans ce que le président qualifie de « combat de libération national », qu’il oppose aux résistances internes et aux pesanteurs bureaucratiques. « Les vraies batailles se mènent dans l’ombre, jour et nuit, pour répondre aux attentes du peuple tunisien », a-t-il ajouté, dans une formule marquée par un ton accessible et direct, fidèle à son style.

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