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Heute — 26. November 2024Haupt-Feeds

Ligue des champions – Bayern Munich vs PSG : Où regarder le match en direct et en live streaming ?

Von: walid
26. November 2024 um 17:38

StadeLa première phase de la Ligue des Champions touche à sa fin, et chaque point compte désormais pour les équipes en lice. Ce mardi, le Paris Saint-Germain affronte le Bayern Munich à l’Allianz Arena dans le cadre de la 5ᵉ journée de la compétition.

Ce match s’annonce crucial pour les Parisiens, qui doivent impérativement obtenir un résultat positif pour espérer une qualification directe en huitièmes de finale, voire accéder aux barrages. Avec seulement quatre points, le PSG occupe actuellement la 25ᵉ place au classement de la Ligue des Champions.

De son côté, le Bayern Munich n’est pas en reste dans les difficultés. Les Bavarois, 17ᵉ avec 6 points, sont également en quête d’un succès vital pour espérer franchir la phase de groupes.

Ce duel à l’Allianz Arena sera donc déterminant pour les deux équipes, qui joueront leur avenir européen.

Informations pratiques :

Chaîne : Canal+ Foot
Heure : 21h00
Stade : Allianz Arena
Ville : Munich

L’Allemagne a besoin de plus de travailleurs migrants à long terme

26. November 2024 um 11:11

Une étude récente montre qu’à long terme, le marché du travail allemand dépendra « dans une large mesure » chaque année des immigrés.

Menée par la Fondation allemande Bertelsmann, l’étude indique que, pour fournir suffisamment de main-d’œuvre, il faudra environ 288 000 travailleurs étrangers par an d’ici 2040. C’est ce que rapporte l’agence de presse allemande (DPA), le 26 novembre 2024.

L’étude souligne que la migration de main-d’œuvre vers l’Allemagne est actuellement bien inférieure à ce qui est nécessaire.

L’experte en matière d’immigration de la Fondation, Susan Schulz, a déclaré à l’agence DPA que les obstacles doivent être réduits et les conditions des immigrants doivent être améliorées.

Un deuxième modèle de prévision suppose que 368 000 travailleurs migrants seront nécessaires chaque année jusqu’en 2040. De 2041 à 2060- sur la base des effets positifs de la migration précédente-, le besoin moyen devrait atteindre environ 270 000 travailleurs migrants par an.

Sans immigrants supplémentaires, l’étude s’attend à ce que la population active diminue de son nombre actuel de 46,4 millions de travailleurs à 41,9 millions de travailleurs – soit une baisse d’environ 10 % – en raison du changement démographique.

L’étude indique qu’en cas de manque d’immigration, les effets seront différents au niveau régional. Puisque la baisse de la population active dans le Länder le plus peuplé (Rhénanie du Nord-Westphalie) sera approximativement moyenne, avec une baisse de 10 %.

Ainsi, les Länder de Thuringe, de Saxe-Anhalt et de Sarre seront les plus touchés. La pénurie de personnel sera également importante dans les Länder de Bavière, de Bade-Wurtemberg et de Hesse.

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Tunisie- France : La France sur le point de retrouver sa place de 1er partenaire commercial de la Tunisie

26. November 2024 um 11:33

Commerce mondialSelon les chiffres du commerce extérieur publiés, le 11 novembre 2024, par l’Institut National de la Statistique (INS), la France, en réalisant 15,2% du total des échanges de la Tunisie avec l’extérieur, durant les dix premiers mois de l’année, retrouve sa place de 1er partenaire commercial de notre pays.

Les français ont perdu cette place, ces dernières années, en faveur de l’Italie.

Dans le détail, on lit qu’à fin octobre 2024, le solde de la balance commerciale entre les deux pays est déficitaire à hauteur de 15,7 Mds TND , un niveau comparable à celui de 2023 (15,8 Mds TND).

La légère réduction du déficit (-137 M TND) s’explique par une hausse des exportations (+2,1% ; +1 Md TND) à 51,6 Mds TND (15,4 Mds EUR), plus prononcée que celle des importations (+1,4% ; +936 M TND) à 67,3 Mds TND (20,1 Mds EUR).

Les principaux clients de la Tunisie à fin octobre 2024 sont la France (21,7% des exportations), l’Italie (18,7%) et l’Allemagne (13,3%) tandis que les principaux fournisseurs sont l’Italie (12,2% des importations), la Chine (11%) et la France (10,2%).

ABS

Gestern — 25. November 2024Haupt-Feeds

Allemagne : vers la suppression des milliers d’emplois chez Bosch 

25. November 2024 um 13:47

La multinationale allemande Bosch prévoit de réduire ses effectifs mondiaux de 5 500 postes, en raison de la faible demande de véhicules électriques.

Le fournisseur allemand de pièces détachées automobiles, Robert Bosch, a annoncé le 23 novembre 2024 son intention de réduire ses effectifs mondiaux de 5 500 postes au cours des prochaines années. Il invoque, à cet égard, la stagnation des ventes mondiales d’automobiles, a rapporté Deutsche Welle.

Selon la porte-parole de l’entreprise citée par le quotidien, environ 3 800 suppressions d’emplois seront effectuées en Allemagne. Le nombre exact de suppressions d’emplois sera négocié avec les représentants des salariés, a-t-elle déclaré vendredi.

Le groupe supprimerait 3 500 emplois dans sa division de logiciels automobiles d’ici 2027, dont environ la moitié en Allemagne.

Bosch a également annoncé son intention de supprimer jusqu’à 1 300 postes entre 2027 et 2030 dans sa division de direction basée à SchwaebischGmuend, dans le sud-ouest de l’Allemagne.

La société a déclaré dans un communiqué, cité par le média, que la faible demande de véhicules électriques avait un « impact direct » sur le nombre de commandes passées par les fabricants à Bosch.

« L’industrie automobile souffre d’une surcapacité importante », a déclaré Bosch. Tout en ajoutant que la concurrence et la pression sur les prix ont continué à s’intensifier.

Le directeur de Bosch, Stephan Hoelzl, a déclaré que l’entreprise devait s’adapter à l’évolution de l’environnement du marché et réduire durablement les coûts « pour renforcer notre compétitivité ».

En octobre, le président du conseil d’administration Stefan Hartung a mis en garde dans une interview au Tagesspiegel contre une baisse des revenus au cours de l’année à venir, affirmant qu’il ne pouvait pas exclure de nouvelles suppressions d’emplois en Allemagne.

Bosch avait déjà annoncé en décembre 2023 son intention de supprimer 1 500 emplois dans son activité de sous-traitance automobile.

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Les mandats d’arrêt de la CPI sont un test pour la communauté internationale

25. November 2024 um 08:40

Alors que la Cour pénale internationale (CPI) a toujours fait l’objet de critiques virulentes comme ne s’attaquant qu’à des dictateurs africains déchus et tombés en disgrâce chez les Occidentaux, voilà que les mandats d’arrêt internationaux contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant changent cette donne et prouvent que la juridiction internationale n’est pas sélective dans son application du droit. Par conséquent, la balle n’est plus aujourd’hui dans le camp de la CPI mais de la communauté internationale et des pays occidentaux qui doivent prouver qu’ils se soumettent à l’application des décisions de la Cour. 

Imed Bahri

Le journal britannique The Observer, version du week-end du Guardian, a estimé que les mandats d’arrêt internationaux émis par la CPI contre Netanyahu et Galant sont un examen auquel le monde ne doit pas échouer. 

Le journal considère que l’intervention de la CPI doit être soutenue par le système international fondé sur des règles afin que nous ayons un meilleur avenir. Pour The Observer, l’accusation de Netanyahu et Gallant par la CPI d’avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité à Gaza aurait d’énormes répercussions sur Israël, la Palestine et le système judiciaire international fondé sur le droit que la Grande-Bretagne et ses alliés se sont engagés à respecter. C’est une tentative sans précédent, nécessaire et transnationale de poursuivre en justice des responsables occidentaux démocratiquement élus. C’est un test dans lequel la communauté internationale ne doit pas échouer.

The Observer rappelle la réaction de Netanyahu qui avait rejeté les accusations, les qualifiant de ridicules et d’antisémites et attaqué la CPI en la considérant comme un organe partial et politisé.

«Aucune décision anti-israélienne flagrante ne nous empêchera – et elle ne m’empêchera pas non plus de continuer à défendre notre pays par tous les moyens», a-t-il déclaré.

Pour le journal britannique, Netanyahu devra faire mieux que ces éléments de langage surconsommés. Cette question n’a rien à voir avec l’antisémitisme, ni avec le droit d’Israël à se défendre mais plutôt avec la question de savoir comment faire face à de telles accusations. Il s’agit d’impunité et de justice. Netanyahu et Gallant doivent se rendre volontairement au tribunal et se défendre devant l’organe juridictionnel international.

Une campagne militaire disproportionnée

Le journal a constaté que les mandats d’arrêt émis par la CPI contre Netanyahu, Gallant et Muhammad Deif, le chef militaire du Hamas qui a été assassiné selon Israël ne suscitent ni surprise ni étonnement. Le procureur de la CPI, Karim Khan, a demandé ces mandats en mai et, après une longue enquête, les dirigeants israéliens n’ont pas coopéré.

Netanyahu et Gallant ont eu suffisamment de temps pour contester les preuves qui ont conduit à leur condamnation pour crimes contre l’humanité, notamment meurtre, torture et autres actes inhumains et crimes de guerre par famine. Netanyahu aurait dû prendre l’initiative et accepter qu’un organisme indépendant enquête sur les allégations mais il a rejeté cette idée. En effet, toute enquête indépendante portera sur l’échec des renseignements et de la sécurité israéliens lors de l’opération Déluge d’Al-Aqsa, le 7 octobre 2023, et sur le rôle qu’il y a joué.

Israël prétend que la CPI n’a aucune compétence légale à son égard. Comme la Chine, la Russie et les États-Unis, Israël n’est pas signataire du Statut de Rome dont est issue la CPI. Cependant, comme l’a expliqué la Chambre préliminaire de la CPI, la Palestine a été reconnue comme membre de la Cour en 2015 et les enquêtes sur les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité se concentrent sur les territoires palestiniens.

En outre, le débat sur l’égalité morale mené par la CPI entre les dirigeants israéliens et les dirigeants du Hamas est sans fondement et fondamentalement immoral car un crime est un crime quels que soient le lieu, la politique et l’idéologie de son auteur.

Pour The Observer, tout le bruit et la fureur suscités par l’annonce des mandats d’arrêt ne devraient pas occulter le problème sous-jacent. Le fait est que les dirigeants politiques israéliens se sont lancés dans une campagne militaire disproportionnée en réponse aux attaques du Hamas qui ont tué 1200 personnes et en ont capturé 250 autres entraînant la mort d’environ 44 000 Palestiniens pour la plupart des civils et ce nombre ne concerne que les corps retrouvés. Cela continue de causer d’énormes souffrances à des centaines de milliers de Gazaouis.

The Observer affirme que Netanyahu et Gallant sont considérés comme des partenaires responsables de la campagne, et la question est: Est-ce vrai ou non?

C’est la question à laquelle la CPI et le monde extérieur à Israël exigent une réponse. En l’absence d’une décision juste, fiable et juridiquement contraignante, justice ne sera jamais rendue et les meurtres pourraient ne jamais cesser. Le journal ajoute que ceux qui craignent que la vérité éclate ou la trouvent politiquement inappropriée ont accéléré le processus de déformation et de perte de crédibilité de la CPI.

Le sentiment d’exception d’Israël

Il est regrettable que les attaques de Netanyahu contre le tribunal et son procureur trouvent un écho dans les déclarations des hommes politiques israéliens de tous bords. Le journal Haaretz a écrit dans un éditorial: «On aurait pu espérer que l’annonce de la CPI soulèverait des questions spécifiques en Israël sur l’éthique de la guerre en cours à Gaza mais malheureusement, le gouvernement et l’opinion publique, soutenus par la plupart des médias, refusent d’écouter.» 

Cet état délibéré de déni et le sentiment d’exception d’Israël trouvent un écho aux États-Unis, un proche allié et son principal fournisseur d’armes et bailleur de fonds financier.

Le président Joe Biden a qualifié les mandats d’arrêt de scandaleux et la Maison-Blanche les a refusés catégoriquement. Une fois de plus, l’écart entre ces perceptions biaisées et la façon dont la plupart des autres pays perçoivent la guerre à Gaza se creuse. Les États-Unis n’ont jamais soutenu la CPI sauf lorsque elle prend des décisions qu’ils approuvent comme porter des accusations de crimes de guerre contre le président russe Vladimir Poutine et l’ancien dirigeant soudanais Omar Hassan Al-Bashir.

Les Américains craignent que la Cour n’intensifie les enquêtes sur leurs actions en Irak et en Afghanistan. Le journal n’exclut pas que Donald Trump protège Netanyahu lors de son entrée à la Maison Blanche. Il n’a cessé d’attaquer la CPI et a imposé en 2020 des sanctions odieuses à ses fonctionnaires et à leurs familles.

Même parmi les 124 pays qui ont signé le Statut de Rome, il y aura des pays hésitants. L’Allemagne tergiverse dans la prise de décisions tandis que le Premier ministre hongrois Viktor Orban a promis de dérouler le tapis rouge à Netanyahu s’il décidait de s’y rendre ce qui est inacceptable.

Ces dernières années, la CPI a été critiquée pour avoir semblé concentrer ses efforts sur les dirigeants africains déviants. Maintenant que les dirigeants occidentaux sont sur le banc des accusés, il ne faut plus hésiter. L’engagement futur des pays en développement en faveur d’un ensemble commun de règles et de lois mondiales pourrait dépendre de cette question et le monde observe l’Occident. 

Le journal britannique a rappelé la responsabilité particulière de la Grande-Bretagne qui a contribué à la création du CPI lorsque le ministre travailliste des Affaires étrangères, Robin Cook, était aux affaires. Il s’agit là d’une réalisation importante et précieuse qui ne devrait pas être remise en question maintenant. Le Premier ministre britannique Keir Starmer doit préciser catégoriquement et sans ambiguïté que si Netanyahu ou Gallant mettent le pied sur le sol britannique, ils seront arrêtés et remis au tribunal pour y être jugés. La question n’est pas politique ou personnelle mais relève de la justice.

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Championnat Allemagne: avant le PSG, le Bayern assure contre Augsbourg (3-0)

Von: Raja
23. November 2024 um 11:16
Championnat Allemagne: avant le PSG, le Bayern assure contre Augsbourg (3-0)

A quatre jours de recevoir le PSG en Ligue des champions, le Bayern Munich a patiemment construit son succès contre Augsbourg (3-0), avec un nouveau triplé de Harry Kane, vendredi soir lors de la 11e journée du championnat d’Allemagne. Avec cette cinquième victoire consécutive en Bundesliga, le Bayern réalise un début de saison quasiment parfait […]

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Faciliter la migration professionnelle entre la Tunisie et l’Europe

22. November 2024 um 11:33

La septième réunion du comité de pilotage du programme Thamm («Pour une approche globale de la gouvernance des migrations et de la mobilité de main-d’œuvre dans les pays de l’Afrique du Nord»), financé par l’Union européenne (UE), s’est tenue mercredi 20 novembre 2024 à Tunis pour discuter de la gouvernance de la migration professionnelle et du transfert de compétences.

C’est ce qu’a annoncé la délégation de l’UE en Tunisie qui cite les données de l’Institut national de la statistique (INS) et de l’Office international des migrations (OIM) pour 2021 sur les migrations internationales, selon lesquelles 40% des jeunes tunisiens âgés de 15 à 29 ans aspirent à migrer et 80% recherchent de meilleures opportunités d’emploi.

«Il est nécessaire de promouvoir l’accès légal des jeunes Tunisiens aux possibilités de formation, d’exercice et de transport», écrit le bureau de l’UE, dont les États membres se sont engagés auprès de la Tunisie à offrir des horizons concrets en matière de développement des compétences et de mobilité, garantissant des bénéfices communs aux deux parties.

Le programme Thamm, lancé en 2020 sous l’égide du ministère tunisien du Travail et de la Formation professionnelle, vise à améliorer les opportunités de formation et d’emploi en créant des plans de mobilité équilibrés et sûrs qui profitent à toutes les parties.

Financé par l’UE pour une valeur de 17,6 millions d’euros, il est cofinancé par l’Allemagne et l’Italie.

Le programme «Thamm Plus» représente une nouvelle opportunité pour une plus grande gouvernance et une simplification de la mise en œuvre des programmes de migration organisée et une consolidation de la relation entre migration et développement pour réaliser le concept de triple profit commun entre le pays d’origine, le pays d’accueil et les émigrants. Il représente également une extension du programme Thamm et vise à mettre en place un système vigilant permettant de suivre l’évolution du marché du travail pour déterminer les professions en demande au niveau national et international. Il vise aussi à améliorer la gouvernance de l’immigration de travail, en mettant en place des programmes de mobilité dans le cadre de la coopération entre les pays d’Afrique du Nord et l’UE, comprenant également des travaux de démonstration, des activités d’exposition réalisées ou en cours de mise en œuvre et de cristallisation des propositions dans le domaine.

Elisabeth Wolbers, ambassadeur d’Allemagne à Tunis, a déclaré, lors du lancement de Thamm Plus, que ce dernier «un programme qui promeut la migration de main d’œuvre sûre, ordonnée et régulière. La migration professionnelle crée des perspectives économiques à la fois pour la Tunisie en tant que pays d’origine ainsi que pour les pays européens de destination, dont l’Allemagne. Cet événement démontre à merveille l’étroite collaboration entre les partenaires tunisiens, les organisations internationales, l’Union européenne et ses pays membres ».

L’ambassadeur d’Italie, Alessandro Prunas, a déclaré que le programme Thamm Plus  «s’inscrit parfaitement dans les priorités du gouvernement italien telles que définies dans le Plan Mattei et le Processus de Rome, comme l’a confirmé la participation de la ministre italienne du Travail à l’inauguration du 4 novembre.» «Il s’agit d’une initiative gagnant-gagnant qui vise à créer, grâce au financement de l’Union européenne et du ministère italien de l’Intérieur et à l’expérience de l’OIM et de l’organisation Elis, une route migratoire régulière pour répondre aux besoins des entreprises italiennes du secteur de la construction, tout en garantissant un emploi décent aux travailleurs tunisiens», a-t-il ajouté.

 «Dans une conjoncture de forte demande de compétences sur le continent européen, le risque pour les pays d’origine serait de se vider de leurs forces vives. C’est pourquoi il est indispensable de construire ensemble des réponses équilibrées à la demande des acteurs économiques, en veillant à préserver le tissu économique local», a averti , pour sa part, le représentant de l’ambassade de France, Manuel Bufala.

Riadh Chaoued, ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, a souligné, de son côté, «l’importance du partenariat de mobilité avec les pays impliqués dans le programme Thamm, dans un esprit gagnant-gagnant, [qui] doit être bénéfique aussi bien pour la Tunisie que pour les pays partenaires (France, Allemagne, Italie et Belgique).» Il a également salué «la bonne collaboration et coordination entre les différentes parties prenantes de ce programme, ce qui a permis de créer un espace de dialogue entre toutes les parties impliquées dans la mobilité de main-d’œuvre, d’adopter une approche globale de traitement de la migration et d’avoir une vision commune dans ce domaine».

I.B.

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L’Allemagne interdit le gaz russe dans ses ports

15. November 2024 um 11:30

Le ministère allemand de l’Economie a ordonné aux terminaux gaziers publics de refuser les cargaisons russes de gaz naturel liquéfié (GNL). C’est ce que rapporte, jeudi 14 novembre 2024, le Financial Times. A noter que l’UE a interdit les opérations de réexportation de GNL russe via l’Union. Mais les livraisons destinées à être utilisées au sein de l’UE ne sont pas affectées.

La commande est intervenue après que Deutsche Energy Terminal a informé le gouvernement de Berlin que son unité flottante de regazéification et de stockage à Brunsbuttel devait recevoir une livraison de GNL russe, selon le rapport.

Dans une lettre du ministère datée du 6 novembre, le ministère allemand de l’Économie a demandé à Deutsche Energy Terminal « de n’accepter aucune livraison de GNL russe », écrit le média, citant le document.

Le ministère a attribué l’ordre à la nécessité de protéger « les intérêts publics primordiaux » du pays. De même qu’il a exhorté l’opérateur « à refuser les livraisons de GNL en provenance de Russie jusqu’à nouvel ordre ».

La lettre souligne également que l’acceptation du GNL russe serait en contradiction avec la raison première pour laquelle le terminal GNL a été construit, à savoir rendre l’Allemagne et l’UE « indépendantes du gaz russe ».

L’Allemagne a bénéficié de l’énergie russe bon marché pendant plus de deux décennies. Ainsi, avant l’invasion ukrainienne par la Russie en 2022, la première économie de l’UE dépendait de la Russie pour 40 % de ses importations de gaz et fut l’une des plus durement touchées par les réductions d’approvisionnement.

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Les « Sages » de l’économie allemande prévoient une croissance de 0,4% en 2025

14. November 2024 um 14:15

Pour 2025, le Conseil d’experts économiques qui conseille le gouvernement fédéral s’attend à une croissance limitée de 0,4%, alors que pour cette année il prévoit une récession de 0,1%. Dans sa propre évaluation, le gouvernement avait estimé que l’année prochaine, l’économie connaîtrait une croissance de 1,1 %.

Les cinq « Sages » de l’économie allemande, qui se sont réunis le 13 novembre 2024, sont cependant en désaccord sur leurs propositions de relance. Quatre d’entre eux estiment que les politiciens utilisent souvent trop peu de ressources de l’État pour investir, principalement parce que des projets spécifiques sont rentables plus tard, après les prochaines élections, et choisissent plutôt d’augmenter les dépenses de consommation, comme les retraites, afin de se rendre populaires auprès des électeurs.

Les « Sages » réclament donc l’instauration de règles garantissant que l’État ne néglige pas les investissements à long terme, notamment dans les domaines de la défense, de l’éducation, des transports et des infrastructures de transport.

L’économiste Veronica Grimm prend position et qualifie les propositions d' »irréalisables », notant qu’elles ne tiennent pas compte de la présence ou non de l’argent. Elle n’est pas non plus d’accord avec l’opinion de ses collègues selon laquelle les dépenses d’investissement pourraient être exemptées du « frein à l’endettement » et s’oppose, entre autres, à la suppression des subventions publiques à l’énergie dans l’industrie ou au sauvetage d’entreprises en difficulté avec des fonds publics.

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L’Allemagne se dirige vers des élections anticipées

13. November 2024 um 11:17

Le vote anticipé fait suite à l’effondrement de la coalition au pouvoir en Allemagne, en raison de difficultés économiques et de conflits sur l’aide à Kiev.

Un nouveau Parlement allemand sera élu le 23 février prochain. C’est ce qu’ont rapporté mardi 12 novembre 2024 des médias allemands, dont l’agence de presse DPA, citant des sources officielles. La date aurait été convenue entre les sociaux-démocrates du chancelier Olaf Scholz, leurs partenaires de coalition restants, les Verts et le principal parti d’opposition en Allemagne, l’Union chrétienne-démocrate (CDU).

Cette décision fait suite à la dissolution de la coalition au pouvoir composée de trois partis, dont le Parti libéral-démocrate (FDP), favorable aux entreprises. La semaine dernière, M. Scholz a limogé le ministre des Finances, Christian Lindner, qui est également le chef du FDP. La décision du chancelier a incité le parti de Lindner à se retirer officiellement de la coalition, laissant Olaf Scholz avec un gouvernement minoritaire.

Les médias allemands ont d’abord rapporté que les dirigeants des trois partis de la coalition n’étaient pas parvenus à trouver un terrain d’entente sur la manière de faire face au déficit de plusieurs milliards d’euros de l’Allemagne. Les trois partenaires étaient en désaccord sur la politique économique et financière du pays ces derniers mois.

En oure, M. Scholz a ensuite reconnu que l’aide à l’Ukraine était devenue un point de discorde majeur dans les négociations de coalition. Le chancelier affirme avoir proposé un plan en quatre points, qui prévoyait notamment « d’accroître notre soutien à l’Ukraine », ce que Lindner a rejeté.

Au vu de ces événements, le président allemand, Frank-Walter Steinmeier, s’est dit prêt à convoquer des élections anticipées. Tout en ajoutant que le pays avait besoin « d’une majorité stable et d’un gouvernement capable d’agir ». Pour que ces élections anticipées aient lieu, M. Scholz devra convoquer un vote de confiance pour son gouvernement et le perdre.

Si le gouvernement perd le vote, M. Steinmeier aura 21 jours pour dissoudre le Parlement. Un délai de 60 jours est ensuite fixé pour organiser de nouvelles élections en Allemagne. Selon l’agence de presse allemande, le 23 février tombe dans ce délai.

Cette date coïncide à peu près avec le début des hostilités majeures entre Moscou et Kiev, qui ont éclaté le 24 février 2022, lorsque la Russie a lancé son invasion militaire. On ignore si cette date a joué un rôle dans le processus de décision des parties allemandes.

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