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Combien de satellites la Tunisie a-t-elle mis en orbite jusqu’à présent?

12. Mai 2025 um 12:15

Dans son rapport récent, l’Association tunisienne de l’espace indique que la Tunisie a lancé un seul satellite, Challenge One, en mars 2021, en partenariat avec la Russie, via la société privée Telnet. Ce lancement symbolise une étape importante dans la démarche tunisienne pour se faire une place dans l’industrie spatiale.

Avec 13 satellites chacune, l’Égypte et l’Afrique du Sud sont en tête parmi les pays africains, devant le Nigeria et l’Algérie. Ces pays disposent des infrastructures nécessaires à la production, à l’assemblage et au contrôle des satellites. Ils unissent leurs efforts avec la Chine, la Russie et le Royaume-Uni pour faire progresser leurs capacités spatiales.

Le rapport mentionne également que, malgré les défis pour l’Afrique d’autonomiser ses lancements spatiaux, plusieurs pays africains collaborent avec des partenaires internationaux comme la France, le Japon et l’Italie. Ces initiatives visent à accélérer le progrès technologique sur le continent.

Après plusieurs années de préparation et d’investissement dans ses infrastructures locales, la Tunisie a lancé son premier satellite Challenge One, axé sur l’Internet des objets, malgré sa position encore modeste dans ce secteur.

Avec un coût de 1,2 million de dollars, ce projet constitue une étape initiale vers une ambition plus ambitieuse : déployer une constellation de 30 satellites dans un avenir proche. Le rapport souligne que, malgré ses capacités de lancement modestes, l’Afrique pourrait voir une croissance de son industrie spatiale grâce à l’émergence de nouvelles agences et à des partenariats stratégiques.

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Tunis accueille le MENAFRICA DIGITAL SUMMIT 2025 : IA, cybersécurité, blockchain et métavers au programme

Von: walid
12. Mai 2025 um 09:33

L’Université de Tunis El Manar organise, du 13 au 15 mai 2025, la “MENAFRICA DIGITAL SUMMIT 2025” à l’École Nationale d’Ingénieurs de Tunis (ENIT).

Cet événement vise à évaluer l’état actuel de la digitalisation dans les différents secteurs, à partager les meilleures pratiques et à proposer

des actions concrètes en faveur d’une transformation numérique inclusive et durable.

Réunissant des représentants des ministères, des universités, des experts ainsi que des acteurs du secteur public et privé, cette rencontre se veut une véritable plateforme de collaboration intersectorielle pour promouvoir l’innovation et renforcer la compétitivité économique et sociale grâce au numérique.

Le programme prévoit plusieurs sessions de formation spécialisées, organisées en parallèle durant les trois jours du sommet autour des thématiques suivantes : Compétences numériques avancées, IA, inclusion, collaboration et éducation ouverte, LLMs for Software Engineering, Stratégies de cybersécurité et protection des données, Technologie Blockchain, Plongée dans le Métavers, défis, opportunités et perspectives……

 

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Le cri d’alarme du Pr Mohamed Louadi : comment l’IA tue notre capacité à penser ?

09. Mai 2025 um 11:20

« Et si l’intelligence artificielle nous rendait… moins intelligents ? » C’est le paradoxe glaçant que dévoile le Pr Mohamed Louadi, professeur à l’ISG, dans une interview percutante sur RTCI ce 9 mai 2025. Alors que l’IA génère des réponses en un clic, l’universitaire alerte : nous sommes en train de perdre l’art du questionnement, cette étincelle qui a toujours propulsé l’humanité.

Le Pr Mohamed Louadi a ouvert son intervention par une analogie musicale éloquente, comparant l’évolution des modes d’apprentissage à la disparition des soirées dansantes des années 1960-1970. « À l’époque, un morceau de neuf minutes permettait des rencontres, des échanges, une construction progressive de la relation. Aujourd’hui, nous zappons d’une réponse à l’autre sans jamais prendre le temps de comprendre. »

Cette métaphore illustre un phénomène plus large : le déclin de la patience cognitive. L’universitaire rappelle que les anciennes générations apprenaient par cœur les tables de multiplication, exercice aujourd’hui rendu obsolète par les calculatrices. « Nous avons externalisé notre mémoire. Pire : nous perdons la capacité même de mémoriser. » Cette tendance s’accélère avec les chatbots comme ChatGPT, où lesvétudiants « réussissent moins bien à long terme parce qu’ils ne retiennent rien », selon une étude de mars 2025 citée par M. Louadi.

L’urgence éducative : réapprendre à questionner dans un monde de réponses toutes faites

Le cœur de l’intervention a porté sur ce que M. Louadi nomme « la crise existentielle de la question ». Avec Google, Wikipédia et l’IA générative, « les réponses sont devenues un bien gratuit, mais la vérité, elle, devient de plus en plus chère ». L’universitaire établit un parallèle historique saisissant :

« Socrate craignait que l’écriture ne tue la mémoire. Les Arabes ont résisté à l’imprimerie par peur de perdre l’art de la transmission orale. Aujourd’hui, nous devons résister à la tentation de déléguer notre curiosité aux machines. »

Le phénomène du prompt engineering (l’art de formuler des requêtes pour l’IA) symbolise cette inversion des valeurs : « Avant, c’était à la machine d’apprendre notre langage. Maintenant, c’est à nous d’apprendre le sien. C’est une capitulation intellectuelle. »

Le paradoxe ultime : une humanité dépassée par ses propres créations ?

En conclusion, le Pr Louadi a abordé la question brûlante de la superintelligence artificielle (AGI). Tout en rejetant l’idée d’une IA dotée de conscience (« C’est de l’anthropomorphisme naïf »), il met en garde contre ses dangers indirects : « Le vrai problème n’est pas que la machine devienne intelligente, mais que l’humain renonce à l’être. Quand un algorithme de TikTok décide à notre place quelle vidéo regarder ensuite, quand ChatGPT rédige nos mails avant même que nous ayons formulé notre pensée, nous sortons progressivement de la boucle cognitive. »

Sa solution? Un retour aux fondamentaux : cultiver la curiosité infantile (« Un enfant qui demande pourquoi le ciel est bleu fait œuvre de philosophe »); valoriser les questions sans réponses immédiates; et surtout, « réapprendre à vivre avec l’incertitude – cette compétence que les machines ne maîtriseront jamais. »

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Trump prévoit de lever les restrictions imposées par Biden sur les puces d’IA

08. Mai 2025 um 14:11

L’administration Trump prévoit de lever les restrictions sur les puces d’intelligence artificielle (IA) imposées sous Joe Biden, dans le cadre d’un effort plus large visant à réviser les restrictions sur le commerce des semi-conducteurs qui ont suscité de fortes réactions de la part des grandes entreprises technologiques et des gouvernements étrangers. C’est ce qu’a rapporté ce jeudi 8 mai Bloomberg

Des changements sont en cours alors que le président Donald Trump se prépare à un voyage au Moyen-Orient, où certains pays, dont l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, ont réagi aux restrictions bloquant leur accès aux puces d’intelligence artificielle. Les responsables américains travaillent activement sur une nouvelle règle qui renforcerait le contrôle des puces étrangères, selon les sources.

La mesure imposée sous Biden visait à empêcher la Chine d’acquérir la technologie des puces d’intelligence artificielle par le biais d’intermédiaires.

« Le régime de Biden est trop complexe, trop bureaucratique et entraverait l’innovation américaine », a déclaré le Bureau de l’industrie et de la sécurité du département américain du Commerce. « Nous la remplacerons par une règle beaucoup plus simple qui libérera l’innovation américaine et assurera la domination américaine de l’intelligence artificielle », a-t-il noté.

Toutefois, le ministère américain du Commerce continuera d’appliquer les restrictions strictes sur les exportations de puces pendant qu’il élabore une nouvelle règle.

Suite à ces annonces, les actions de Nvidia ont grimpé jusqu’à 3,1 %, le géant américain des puces électroniques ayant réagi fortement à l’augmentation des restrictions américaines sur les exportations de semi-conducteurs.

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Tozeur : 130 experts réunis pour un atelier international sur la biodiversité sahélo-saharienne

07. Mai 2025 um 17:20

Les travaux de l’atelier international du réseau des experts des pays du Sahel et du Sahara ont démarré, mercredi à Tozeur ( les 7 et 8 mai), à l’initiative de l’organisation « “Sahara Conservation” en présence de 130 experts venus de plus de 20 pays.

L’objectif de cet atelier tenu en partenariat la direction générale des forêts (DGF) relevant du ministère de l’Agriculture, est de favoriser les échanges d’expériences autour de la conservation de la biodiversité, en particulier de la faune sauvage et des espèces menacées d’extinction.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le directeur général des forêts, Mohamed Naoufel Ben Haha, a souligné que la tenue de cet atelier en Tunisie illustre la reconnaissance des efforts déployés dans le domaine de la faune sauvage, notamment à travers le programme de réintroduction de l’oryx algazelle.

Il a par ailleurs alerté sur les pressions croissantes exercées par les changements climatiques, le braconnage et la dégradation des milieux naturels.

L’atelier vise également à jeter les bases de programmes de coopération entre la DGF et des organisations internationales spécialisées, avec des déclinaisons opérationnelles à l’échelle régionale. Ces initiatives profiteront directement aux forêts, réserves naturelles et parcs nationaux du pays.

Durant deux jours, des conférences, des panels d’experts et des sessions de réflexion sont prévus, en présence de partenaires techniques tels que l’Agence allemande de coopération (GIZ) et l’organisation “Marwell Wildlife”, active dans le domaine de la biodiversité.

La Tunisie entend tirer parti de ces dynamiques à travers la mobilisation de financements en faveur de projets dans des zones où la faune est en fort déclin, a souligné le responsable régional.

La DGF ambitionne, d’ici la fin de l’année, de lancer une série d’interventions dans les réserves naturelles et les parcs nationaux, dans le cadre de la coopération internationale.

Dans cette perspective, plusieurs actions sont prévues d’ici la fin de l’année, dont en particulier, le déploiement d’une série d’interventions dans les aires protégées.

Ces actions porteront notamment sur l’approvisionnement en fourrage, la sécurisation des points d’eau, le suivi sanitaire des espèces et l’aménagement de clôtures de protection, en partenariat avec des acteurs internationaux.

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Participation tunisienne au salon « London Tech Week 2025 » du 9 au 13 juin

La Tunisie prendra part au salon de la tech mondiale « London Tech Week 2025  » qui se tiendra du 9 au 13 juin, à Londres au Royaume-Uni, à travers un pavillon national de 36 m2 qui abritera 10 startups technologiques tunisiennes, dont 5 sont dirigées par la diaspora tunisienne, a fait savoir le directeur exécutif de la Conect International, Bilel Ben Hamida.

S’exprimant lors d’une info-session organisée, mercredi 7 mai, au siège de la Conect, pour présenter le salon, Ben Hamida a indiqué que la délégation tunisienne sera conduite par la Conect International et la Chambre de commerce tuniso-britannique (TBCC), précisant qu’il s’agit d’une première pour la Conect sur le marché britannique.

Il a ajouté qu’outre les 10 startups qui meubleront le pavillon national, la délégation tunisienne comportera également entre 20 et 30 entreprises nationales qui manifesteront l’intérêt de prendre part à ce salon.

D’après lui, les participants à ce salon auront l’occasion d’explorer les dernières avancées technologiques, de tisser des liens avec leurs pairs et de découvrir de nouvelles opportunités d’investissement et de financement.

La participation tunisienne est également soutenue par la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et Smart Capital, société mandatée par le gouvernement tunisien pour mettre en œuvre le programme Startup Tunisia.

Prenant part à cette info-session, la directrice générale de la CDC, Nejia Gharbi, a souligné que la participation tunisienne à ce salon va permettre d’accroître la visibilité de l’écosystème national de startups, de promouvoir le potentiel du pays en la matière et de renforcer l’interconnexion avec les startups de la diaspora tunisienne et les écosystèmes des startups d’autres pays.

London Tech Week 2025 est un événement technologique de premier plan qui rassemble des leaders de l’industrie, des innovateurs et des passionnés du monde entier. Il propose une gamme variée de sessions, d’ateliers et de conférences animés par des experts et des professionnels de tous horizons.

Avec TAP

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Innovation tunisienne à Londres : la CDC et Smart Capital soutiennent les startups à la London Tech Week

07. Mai 2025 um 15:10

La Tunisie prendra part au salon de la tech mondiale “London Tech Week 2025 ” qui se tiendra du 9 au 13 juin, à Londres au Royaume Uni, à travers un pavillon national de 36 m2 qui abritera 10 startups technologiques tunisiennes, dont 5 sont dirigées par la diaspora tunisienne, a fait savoir le directeur exécutif de la CONECT International, Bilel Ben Hamida.

S’exprimant lors d’une info-session organisée mercredi, au siège de la CONECT, pour présenter le salon, Ben Hamida a indiqué que la délégation tunisienne sera conduite par la CONECT International et la Chambre de commerce tuniso-britannique (TBCC) précisant qu’il s’agit d’une première pour la CONECT sur le marché britannique.

Il a ajouté qu’outre les 10 startups qui meubleront le pavillon national, la délégation tunisienne comportera également entre 20 et 30 entreprises nationales qui manifesteront l’intérêt de prendre part à ce salon.

D’après lui, les participants à ce salon auront l’occasion d’explorer les dernières avancées technologiques, de tisser des liens avec leurs pairs et de découvrir de nouvelles opportunités d’investissement et de financement.

La participation tunisienne est également soutenue par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) et Smart Capital, société mandatée par le gouvernement tunisien pour mettre en œuvre le programme Startup Tunisia.

Prenant part à cette info-session, la directrice générale de la CDC, Nejia Gharbi, a souligné que la participation tunisienne à ce salon va permettre d’accroître la visibilité de l’écosystème national de startups, de promouvoir le potentiel du pays en la matière et de renforcer l’interconnexion avec les startups de la diaspora tunisienne et les écosystèmes des startups d’autres pays.

London Tech Week 2025 est un événement technologique de premier plan qui rassemble des leaders de l’industrie, des innovateurs et des passionnés du monde entier. Il propose une gamme variée de sessions, d’ateliers et de conférences animés par des experts et des professionnels de tous horizons.

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Entrepreneuriat et innovation sociale au cœur de l’ICDTM’25 à Hammamet

07. Mai 2025 um 14:51

La deuxième édition de la Conférence Internationale sur la Transformation Digitale et la Gestion (ICDTM’25) se tiendra les 30 et 31 mai 2025 à Hammamet, autour du thème “Entrepreneuriat et Technologies Émergentes : L’innovation technologique au service de l’impact social”.

Organisée conjointement par la Chaire BEST de MBS School of Business (France) et le Laboratoire Rigueur de l’Université de la Manouba (Tunisie), cette rencontre internationale a pour objectif de rassembler chercheurs, entrepreneurs, décideurs politiques et professionnels autour des enjeux de la transformation digitale et de l’innovation sociale.

Selon le site officiel de la Chaire BEST, Les participants auront l’opportunité de partager leurs expériences et d’explorer des stratégies innovantes pour renforcer l’impact social des technologies émergentes.

Les thématiques abordées incluront notamment la transformation digitale responsable, les modèles économiques sociaux innovants, l’intelligence artificielle éthique, le financement de l’entrepreneuriat social et le rôle des politiques publiques dans l’innovation sociale.

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Nomination : Walid Ben Salah à la tête de la Fédération Panafricaine des Experts Comptables (PAFA)

07. Mai 2025 um 12:23

Le président du conseil de l’Ordre des experts comptables de Tunisie (OECT) Walid BEN SALAH, a été élu, président de la Fédération Panafricaine des Experts Comptables (Pan-African Federation of Accountants – PAFA), pour le mandat 2025-2027, a fait savoir mercredi l’OECT.

L’élection a eu lieu a l’issue de l’assemblée générale de cette Fédération tenue le mardi 6 mai 2025, à Kigali, au Rwanda.

La PAFA, est l’organisme continental rassemblant les corporations professionnelles africaines dans l’objectif de développer la profession comptable sur le continent. Elle a été créée en 2011 et compte 58 organisations comptables professionnelles relevant de 47 pays africains.

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Hôpital régional de Jelma : début des travaux fin mai

06. Mai 2025 um 15:57

Selon un communiqué de la page officielle de Sidi Bouzid, Fayçal Belsaoudi, gouverneur de cette région, a effectué, lundi 5 mai 2025, une visite de terrain sur le site prévu pour la construction d’un hôpital régional de catégorie « B » à Jelma. Les travaux débuteront fin mai. Le gouverneur de Sidi Bouzid était accompagné d’une équipe du ministère de l’Équipement, du bureau d’études, de responsables régionaux et du représentant de l’entreprise chargée des travaux.         

Une réunion s’est tenue au siège du gouvernorat de Sidi Bouzid, appelant à une mobilisation collective pour garantir le bon déroulement des travaux de l’hôpital de Jelma dans les délais prévus par le contrat.                                                                                                                                          Nom du projet : construction et équipement d’un hôpital régional « B » à Jelma.
Financement : prêt du Fonds koweïtien pour le développement – Accord signé le 16/11/2017.
Supervision : ministère de l’Équipement, en coordination avec le ministère de la Santé.                                                        Capacité : 105 lits – 3 blocs opératoires.
Principaux services : urgences, consultations externes, imagerie, chirurgie, pédiatrie, gynécologie, pharmacie, etc.
Surface : 13 717 m² sur un terrain de 5,86 ha.
Coût : environ 90 millions de dinars.
Entreprise adjudicataire : Société Khaled Ali Al-Kharafi.
Début des travaux : fin mai 2025.
Durée des travaux : 26 mois.
Réception provisoire : juin 2027.                                                                                                                                                Réception définitive : Juin 2028.                                                                                                                                                            Ce projet vise à renforcer l’infrastructure sanitaire de Sidi Bouzid et à répondre aux besoins croissants des habitants de la région.

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Orange Tunisie inaugure un nouveau Data Center à Sousse pour répondre aux enjeux numériques de demain

06. Mai 2025 um 15:51

Orange Tunisie a inauguré un nouveau Data Center à Kalaa Kebira, Sousse, en présence de M. Sofiene Hemissi, Ministre des Technologies de la Communication, M. Brelotte Ba, Directeur Général Adjoint, Orange Moyen-Orient et Afrique et M. Thierry Millet, Directeur Général d’Orange Tunisie. Ce Data Center de dernière génération s’inscrit dans la dynamique de transformation numérique du pays et a été conçu pour répondre aux plus hauts standards en matière de performance, de sécurité et de résilience.

Un site stratégique pour une performance optimale

Avec une superficie de 1000 m² et un environnement technique conforme à la norme TIER III, ce nouveau Data Center garantit une disponibilité maximale des services hébergés, grâce à une redondance complète des systèmes. Il a été conçu pour offrir des solutions fiables, sécurisées et évolutives, en répondant aux besoins croissants des entreprises tunisiennes dans le domaine numérique.

Une infrastructure dédiée aux entreprises tunisiennes

Ce Data Center a pour vocation de soutenir non seulement les besoins internes d’Orange Tunisie, mais aussi ceux de ses clients B2B. Il offrira des solutions d’hébergement de haute qualité, couvrant des services tels que le cloud, la sauvegarde, ou encore la continuité d’activité, dans un environnement localement maîtrisé. Il s’adresse spécifiquement aux entreprises en quête de solutions numériques performantes et sécurisées.

Un projet 100% tunisien

Fruit d’un travail collaboratif entre entreprises tunisiennes, ce projet reflète le savoir-faire local dans les domaines de l’ingénierie, des infrastructures IT et des services numériques. Il témoigne de l’expertise nationale et de la volonté de renforcer l’écosystème technologique du pays.

Accessibilité, sécurité et résilience au cœur de l’infrastructure

Idéalement situé et adducté en fibre optique par les opérateurs de la place, le Data Center bénéficie d’un emplacement stratégique offrant une accessibilité optimale. Il intègre des technologies de pointe en matière de sécurité physique et logique, de contrôle d’accès et de continuité de service. Il constitue un élément clé de l’architecture réseau d’Orange Tunisie, renforçant ainsi la solidité et la fiabilité des services proposés à l’échelle nationale.

Avec cet investissement, Orange Tunisie confirme son engagement à soutenir l’économie numérique tunisienne et à accompagner les entreprises locales dans leur transition vers des solutions digitales souveraines, fiables et de haute qualité.

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Intelligence artificielle et journalisme : vers un encadrement pour préserver la diversité de l’information

Von: walid
06. Mai 2025 um 10:20

Le Conseiller pour la communication et l’information auprès du Bureau de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) pour la région du Maghreb, Ming Kuok-Lim, a plaidé, lundi, pour une coopération visant à exploiter des outils d’intelligence artificielle (IA) en vue de construire un espace numérique plus sûr loin de toute propagation de fausses nouvelles.

Le Conseiller de l’UNESCO s’exprimait au cours d’une rencontre organisée, lundi, à Tunis, par le Syndicat national des journalistes tunisiens, à l’occasion de la clôture du programme de célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, sur le thème : “La liberté de la presse à l’aune des évolutions géopolitiques et technologiques : l’intelligence artificielle comme exemple”.

Pour lui, le recours à l’intelligence artificielle est de plus en plus courant dans les domaines de la sélection, de la régulation et du stockage du contenu journalistique, ce qui rend ces outils « les véritables gardiens et dépositaires de l’information ».

Min Kuok Lim a, cependant, mis en garde contre le risque d’uniformiser, à travers les outils de l’IA, le paysage médiatique et saper, ainsi, les fondements de la diversité des contenus et la pluralité des opinions.

A cet effet, Il a souligné l’impératif de contrôler l’usage de l’intelligence artificielle, en la mettant au service du respect de l’éthique journalistique, des droits humains et de la liberté de la presse.

Il a rappellé que l’UNESCO avait adopté, en 2021, une série de principes fondamentaux pour contrôler l’intelligence artificielle, notamment les principes de transparence et de supervision humaine dans tout le processus de production de contenu.

En contrepartie, le Conseiller de l’UNESCO a énuméré les avantages de ces outils technologiques qui permettent de faciliter l’accès à l’information, son traitement, la gestion de volumes massifs de données, la traduction, ainsi que la production et l’adaptation rapide de contenus.

Dans le même contexte, le président du SNJT, Zied Dabbar, a fait noter que les journalistes, aux quatre coins du monde, sont aujourd’hui confrontés à un « défi technologique effrayant ».

Les journalistes font face pour la première fois à un outil qui les surpasse en matière d’intelligence et de capacité d’apprentissage, a-t-il lancé, affirmant que l’IA générative représente une menace pour le secteur, malgré certains avantages qu’elle peut offrir aux journalistes.

Par ailleurs, Dabbar a expliqué que les défis politiques, économiques, sociaux et sécuritaires actuels ont conduit à l’émergence des canaux de propagande soutenues soit par des régimes et des États, soit par des lobbies économiques, ce qui a fait perdre aux journalistes le contrôle de la production journalistique.

Il a mis en garde contre le risque de privilégier la liberté de l’éditeur, de l’annonceur ou du politique aux dépens de la liberté de la presse.

Le président du Syndicat a souligné la nécessité de restaurer l’autorité du journaliste sur son métier, malgré les opportunités offertes par l’IA pour améliorer la qualité du produit journalistique, dans un contexte marquée par une crise de confiance entre les médias et le public.

En abordant la situation du secteur de la presse, Dabbar a affirmé que la Tunisie est “pratiquement le seul pays où la loi régissant le secteur n’est pas appliquée aux journalistes”.

En Tunisie, le décret-loi 54 relatif à la lutte contre les crimes liés aux systèmes d’information et de communication, le Code pénal, le Code de procédure pénale, la loi de lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent, ainsi que le Code des télécommunications de 2002 sont utilisés, au lieu du décret-loi 115 régissant la liberté d’expression, de la presse et de publication, a-t-il regretté.

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