EST: Le Comité des sages soutient Hamdi Meddeb
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Depuis le 7 octobre 2023, Le nombre de martyrs de l’agression israélienne sur la bande de Gaza s’est élevé à 51 000 martyrs et le nombre de blessés à 116 343.
Selon des sources médicales, le dernier bilan s’élève à1 630 martyrs et 4 302 blessés depuis le 18 mars. 17 martyrs et 69 blessés ont été transférés dans les hôpitaux de la bande de Gaza au cours des dernières 24 heures. Un certain nombre de martyrs sont toujours sous les décombres des maisons et des bâtiments qui ont été détruits par l’artillerie lourde de l’armée de l’occupation.
L’ambassadeur du Sultanat d’Oman en République tunisienne, Hilal bin Abdullah Al-Senani, a affirmé que les relations omano-tunisiennes, entamées il y a plus de 54 ans, constituent un modèle de coopération bilatérale arabe, en raison de leur solidité, de leur profondeur historique et de la convergence des orientations et des visions entre les dirigeants des deux pays, soutenues par les objectifs de la Vision Oman 2040, laquelle, selon ses propos, vise à bâtir une économie diversifiée et ouverte aux expériences régionales et internationales.
Dans une interview accordée à l’Agence TAP, Hilal bin Abdullah Al-Senani a déclaré que la phase actuelle marque une nouvelle dynamique dans ces relations, guidée par les orientations de la Vision Oman 2040, lancée par le sultan Haïtham bin Tareq Al Said, ajoutant que ces 54 ans de relations diplomatiques cordiales sont l’occasion de rappeler les étapes importantes qui ont jalonné les liens entre nos deux pays.
En effet, la coopération entre le Sultanat d’Oman et la République tunisienne s’est consolidée par la signature de plus de 44 accords, mémorandums d’entente et programmes exécutifs couvrant divers domaines tels que l’éducation, la culture, les médias, l’investissement, la santé et l’énergie.
Hilal bin Abdullah Al-Senani a indiqué que les relations bilatérales ont connu au fil des décennies des étapes cruciales et significatives, renforçant la coopération dans divers secteurs, grâce à la signature d’accords, de mémorandums d’entente, ainsi qu’à la tenue régulière des travaux de la commission mixte omano-tunisienne.
L’ambassadeur d’Oman en Tunisie a ajouté que les nombreux points communs unissant les deux peuples et leurs dirigeants ont contribué à maintenir une coordination étroite et croissante dans les affaires régionales et internationales.
Hilal bin Abdullah Al-Senani a expliqué que, depuis le lancement de la Vision Oman 2040, le Sultanat cherche à établir des partenariats stratégiques avec des pays frères et amis, en s’inspirant des expériences réussies, notamment du modèle de développement tunisien.
Il a souligné que la vision omanaise se concentre en particulier sur la diversification économique, la transformation numérique, ainsi que l’investissement dans le savoir et les énergies renouvelables, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles perspectives de coopération avec la Tunisie.
En évoquant le cadre juridique des relations entre les deux pays, l’ambassadeur a mentionné l’existence actuelle de plus de 44 accords, mémorandums d’entente et programmes exécutifs dans des domaines variés, tels que la culture, l’éducation, les médias, la santé, le tourisme, l’investissement et l’évitement de la double imposition. “Des efforts sont en cours pour activer nombre de ces accords et en actualiser certains afin de les adapter aux nouvelles orientations des deux parties”, a-t-il précisé.
Sur le plan économique, l’ambassadeur a indiqué que le Sultanat d’Oman cherche à renforcer les échanges commerciaux avec la Tunisie. Il a rappelé, à cet égard, la visite d’une délégation d’hommes d’affaires omanais représentant la branche intérieure de la Chambre de commerce et d’industrie d’Oman, effectuée du 19 au 26 janvier 2025, qui a abouti à la signature de plusieurs accords avec des partenaires tunisiens.
Il a ajouté que l’ambassade omanaise en Tunisie œuvre à ouvrir davantage de canaux de communication entre les acteurs économiques des deux pays, et à encourager la création de partenariats directs, tout en reconnaissant que le volume des échanges actuels reste en deçà des attentes.
Concernant le secteur des énergies renouvelables, Hilal bin Abdullah Al-Senani a rappelé que la réunion de la commission mixte tuniso-omanaise tenue à Mascate le 31 janvier 2024 avait mis l’accent sur l’importance de renforcer la coopération dans l’énergie propre, notamment à travers l’échange d’expertises et l’organisation d’ateliers et de sessions de formation conjointes.
Il a cité, dans ce cadre, la récente visite de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) à Oman, qui a abouti à la signature d’un accord de coopération avec la société omanaise Union Anwar Al-Majd en janvier 2025, traduisant l’intérêt commun des deux pays pour la transition vers une économie durable.
Sur le plan culturel et artistique, l’ambassadeur a salué les avancées réalisées ces dernières années grâce à la participation croisée de troupes artistiques omanaises et tunisiennes à différents événements. Il a annoncé la participation du Sultanat au Festival international de Carthage 2025, ainsi que l’engagement dans plusieurs projets conjoints dans les domaines du théâtre, des arts plastiques et du sport.
Il a également mentionné un projet de restauration de monuments archéologiques tunisiens avec la contribution d’experts omanais, dans le cadre de l’engagement commun des deux pays en faveur de la préservation du patrimoine culturel.
Concernant la coopération scientifique, Hilal bin Abdullah Al-Senani a indiqué que les universités tunisiennes accueillent chaque année un nombre croissant d’étudiants omanais, notamment dans l’enseignement supérieur. L’ambassade s’emploie à développer de nouveaux programmes de bourses, de jumelages universitaires, et à renforcer les partenariats dans la recherche scientifique, notamment dans les domaines de l’intelligence artificielle et des technologies avancées.
L’ambassadeur a salué le rôle actif de la communauté tunisienne à Oman, la qualifiant de “partie intégrante du tissu omanais”, avec une contribution notable dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’investissement. Il a également relevé que certains symboles du patrimoine tunisien sont devenus populaires sur les marchés omanais.
Sur le plan politique et international, l’ambassadeur a souligné la convergence des positions tunisienne et omanaise sur les dossiers régionaux, citant notamment leur attachement commun à la paix et à la stabilité dans le monde arabe, ainsi que leur solidarité constante avec la cause palestinienne. Il a rappelé que les deux ministères des Affaires étrangères ont multiplié les déclarations conjointes de soutien au peuple palestinien, depuis le début de l’agression israélienne du 7 octobre 2023.
Le groupe D de la prochaine Coupe du monde des clubs, prévue à l’été 2025 aux États-Unis, pourrait connaître un changement de taille. Initialement composé de l’Espérance sportive de Tunis, Chelsea FC (Angleterre), Flamengo (Brésil) et Club León (Mexique), ce groupe est désormais en attente d’un remplaçant pour le club mexicain, exclu par la FIFA pour non-conformité aux règles sur la multipropriété des clubs.
Alors que Club León a fait appel de cette décision auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS), certaines sources médiatiques espagnoles avancent que la FIFA envisagerait d’inviter le FC Barcelone à participer à la compétition. Cette hypothèse, bien que non confirmée, a suscité un vif intérêt dans les cercles sportifs et sur les réseaux sociaux.
D’après des sources proches de l’organisation, citées par Mosaïque Fm, le président de la FIFA, Gianni Infantino, étudierait la possibilité d’accorder une invitation exceptionnelle au FC Barcelone, grand absent de cette édition. Cependant, le quotidien madrilène AS a rapidement écarté cette possibilité, rappelant que le quota de 12 clubs européens participant à la Coupe du monde des clubs est déjà atteint.
Même en cas de victoire en Ligue des champions 2024-2025, le club catalan ne pourrait intégrer la compétition, ce qui rend l’option d’une invitation improbable, selon la presse espagnole.
Face à cette impasse, la FIFA envisagerait plutôt un match de barrage entre Los Angeles FC (États-Unis) et Club América (Mexique), deux clubs classés parmi les plus performants de la zone CONCACAF. Le vainqueur de cette rencontre viendrait ainsi remplacer Club León dans le groupe D.
L’idée d’un barrage a été évoquée dès la fin du mois de mars par plusieurs médias nord-américains, suite à l’exclusion administrative de Club León. À noter que Los Angeles FC avait perdu la finale de la Ligue des champions CONCACAF 2023 face à Club León, tandis que Club América figure parmi les clubs les mieux classés dans la région.
Le sort du groupe D, et donc des futurs adversaires de l’Espérance sportive de Tunis, devrait être fixé dans les semaines à venir, dès que le TAS rendra son verdict et que la FIFA tranchera définitivement sur l’identité du remplaçant de Club León.
Pour l’Espérance, cette incertitude retarde la préparation stratégique en vue d’un tournoi qui s’annonce d’ores et déjà très relevé.
Réuni lundi 14 avril en présence du président Hamdi Meddeb, le Comité des sages de l’Espérance sportive de Tunis a tenu à exprimer son soutien indéfectible à la direction du club, tout en appelant l’ensemble de la famille espérantiste à faire preuve d’unité et de responsabilité dans un contexte jugé délicat en cette fin de saison.
Dans un communiqué officiel publié ce mardi, le Comité des sages a alerté sur les tentatives de déstabilisation dont le club serait actuellement la cible, dans ce qu’il qualifie de “climat sportif malsain”, propice aux actions nuisibles de certains acteurs irresponsables. Ces comportements, selon le Comité, vont à l’encontre des valeurs fondamentales de l’Espérance et menacent l’image et les intérêts de l’institution.
“Nous appelons tous les Espérantistes à se rassembler en un front uni face aux manœuvres visant à porter atteinte à l’unité et aux fondations de notre club. C’est dans les moments difficiles que la solidarité doit prévaloir”, peut-on lire dans le communiqué.
Le Comité a également salué les efforts continus de la direction actuelle et réaffirmé sa confiance pleine et entière en Hamdi Meddeb ainsi qu’en l’ensemble du comité directeur.
“Le Comité des sages renouvelle son soutien total au président du club et à l’ensemble de la direction. Que vive l’Espérance sportive de Tunis, éternellement rayonnante”.
Les 21 et 22 avril, le Palais des Congrès de Tunis accueillera la 17e édition du Salon de l’éco-construction et de la rénovation sous le slogan « constructions durables: innovantes, modulaires et durables et à moindre coût ».
« Cette édition constitue une opportunité pour échanger les expériences dans le domaine des technologies respectueuses de l’environnement, de la construction durable et des énergies renouvelables, promouvoir l’innovation et renforcer la compétitivité dans ce secteur », a déclaré Faouzi Ayadi, coordinateur de l’événement, dans une déclaration à la TAP.
« L’exposition verra la participation de 35 exposants, dont des experts, des industriels, des entrepreneurs, des architectes, des spécialistes de l’immobilier et des personnes intéressées par la construction écologique pour présenter les derniers développements dans le domaine de la construction durable et introduire la construction écologique, qui réduit les émissions de carbone et de gaz grâce à l’utilisation d’énergies alternatives », a-t-il ajouté.
Il a souligné que « le coût de la construction écologique est beaucoup moins élevé que celui de la construction normale, qui contient des matériaux manufacturés nocifs pour la santé ». « La nécessité de promouvoir le secteur de la construction écologique et d’encourager davantage l’investissement, en particulier à la lumière du changement climatique et de l’augmentation du coût de l’énergie.
Le programme comprend des séminaires d’éducation et de formation sur « l’importance de la construction écologique », « la construction à faible émission de carbone », « les moyens de construire une maison sociale écologique », ainsi que des propositions fiscales pour soutenir la construction écologique.
Un jeune homme s’est suicidé par pendaison lundi soir dans une exploitation agricole dans la banlieue de Lella, dans la région de Gafsa. Le parquet a ordonné l’autopsie de son corps à l’Hôpital Régional Houcine Bouzaiène de Gafsa afin de déterminer les causes du décès, selon ce qu’a confirmé une source médicale responsable de l’établissement hospitalier à Jawhara FM.
L’effondrement d’un mur au sein d’un établissement scolaire à Mazzouna, dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, continue de susciter l’indignation et les interrogations. Ce mardi 15 avril 2025, Amer Bahbha, enseignant agrégé en géographie, chercheur en risques naturels et expert en météorologie, a remis en question les explications avancées par certains responsables régionaux, qui attribuent l’accident à la force du vent.
Lors de son passage sur les ondes de Jawhara FM, il a déclaré que la vitesse du vent enregistrée au moment de l’incident n’a pas dépassé 39 km/h. “Une telle vitesse ne suffit pas à faire tomber un mur”, a-t-il assuré.
Selon Bahbha, l’origine de la tragédie serait davantage liée à l’état de dégradation avancé de l’édifice. “D’après les images et les témoignages recueillis, le mur était construit de manière traditionnelle et sa structure était manifestement fragilisée”, a-t-il précisé, ajoutant que la secousse sismique survenue récemment dans la région – d’une magnitude de 4,9 sur l’échelle de Richter – pourrait avoir accentué les faiblesses du mur. “Ce mur présentait un danger pour les élèves depuis plusieurs mois, bien avant les secousses”, a-t-il encore précisé.
C’est d’ailleurs propre aux mythologies anciennes de signifier la chute d’un mur par le passage à un autre ordre. Mais notre mur à nous cette fois-ci, est tout simplement un mur, comme il y’en a des milliers d’autres chez nous. Mal construit dés le départ, puisque sans fondation, et parait-il avec des cubes en ciment (qalib) et qui date de 1983. Tout le monde sait qu’il va s’écraser un jour.
La municipalité du coin, pour se dédouaner, a publié quelques heures après le désastre, un communiqué pour que les citoyens évitent de s’appuyer sur les murs qu’elle identifie. Les responsables de cette mairie n’ont donc pas pris la décision de les abattre. Sachant que la loi est de leur côté, sachant aussi qu’ils constituent un danger mortel. Alors que partout, on abat des maisons bien construites, des chalets luxueux et des cabanes sur les plages, et même des étages d’immeubles sous prétexte qu’ils ne sont pas conformes aux normes où que les propriétaires n’ont pas reçu la fameuse autorisation de construire. Parions que ce même mur n’a jamais reçu une quelconque autorisation.
Pourquoi tant de scrupules alors à détruire un mur qui est considéré comme un danger public, faute de pouvoir le reconstruire ou tout simplement le réparer? Cette affaire, qui est devenue nationale et dont les échos ont débordé nos frontières, illustre merveilleusement bien la débâcle que vit notre administration, et l’absurdité avec laquelle ses responsables raisonnent. L’anecdote que se racontaient les Tunisiens avant, sur le trou auprès d’un hôpital libyen qui a poussé les responsables des comités populaires de Khadhafi, après cogitation, à bâtir tout un hôpital très loin du trou au lieu tout simplement de le couvrir d’asphalte, est devenue une réalité bien triste dans la Tunisie d’aujourd’hui? Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark!
La panique qui a saisi les autorités est bien réelle, car des heures après on remarque l’absence de réactions officielles à tous les niveaux de la responsabilité. Pire encore, la télévision nationale, dans son édition de 20 h, a affirmé qu’elle a essayé d’avoir l’information à la source, au ministère de l’Education et à la délégation régionale, mais impossible de contacter les responsables.
Les seuls communiqués publiés concernent des organismes ou des responsables. Ils rappellent qu’ils ont alerté sur la dangerosité de ce mur, comme pour dire que la responsabilité du désastre revient à d’autres. La protection civile a ainsi confirmé qu’elle a adressé un rapport aux autorités concernées. Les réseaux sociaux qui se sont enflammés, accusent en grande partie, le ministère de l’Education, qui est le ministère de tutelle du lycée.
Le comble, c’est que quelques jours avant, le ministre lui-même avait effectué une visite dans ce gouvernorat. Comme toujours, les responsables locaux l’ont emmené sur les lieux, qui en apparence ne souffrent pas de ces problèmes de délabrement des écoles, alors qu’ils auraient dû l’amener sur les lieux où rien ne va plus comme ce lycée de Mezzouna. Peut-t-on réellement les blâmer? Non évidement, car depuis l’indépendance, les fonctionnaires de l’Etat se doivent de ne montrer que le côté positif à leurs ministres, faute de subir le courroux de leurs supérieurs directs. Cette règle a fonctionné depuis toujours, même après la supposée révolution, et surtout maintenant. Tricher avec la réalité est une règle d’or de tout bon fonctionnaire qui veut durer à son poste ou au mieux s’élever en grade.
D’ailleurs révéler les points négatifs est associé en général à un acte d’opposition politique. C’est même un délit si l’on applique l’article 54 et l’on peut se trouver en prison parce qu’on a écrit un statut fb pointant du doigt une défaillance quelconque de l’administration. Beaucoup de fonctionnaires ont été traduits devant les tribunaux par leurs propres administrations, ou simplement écartés ou marginalisés.
D’autres part, les procédures administratives pour reconstruire un mur ou le restaurer obéissent aux règles de la comptabilité publique, trop contraignantes et trop strictes. Et le fonctionnaire qui ose les dépasser risque d’être traduit selon l’article 96 du code pénal et à être condamné à dix ans de prison sans parler des amendes.
Cet article est particulièrement responsable de la paralysie générale de l’administration. Plus aucun responsable ne s’aventure à signer. Car des centaines ont été traduits depuis 2011 devant les tribunaux et certains ont été condamnés sans qu’ils aient touché un millime de pot de vin.
Pourtant le Président de la République lui-même a appelé à amender cet article catastrophique pour le pays. Le gouvernement Chahed a même préparer un amendement qui est passé à la trappe avec son auteur. On continue à tourner en rond, en cercle vicieux, car il est clair que personne n’ose prendre le taureau par les cornes et annuler cet article censé lutter contre la corruption.
Or à cause de cet article, non seulement la corruption est devenue endémique, mais il empêche d’agir pour éviter les catastrophes comme celle de Mezzouna. Lorsqu’on paralyse les responsables de l’Etat en agitant toujours l’épée de Damoclès sur leurs têtes, on tue l’essence même de la responsabilité et on enlève toute efficience à l’action de l’administration. Le vrai tueur de Mezzouna, à notre avis est l’article 96 sous sa forme actuelle.
Mais ce désastre a montré une chose. La paralysie des rouages de l’Etat, qui n’arrive même plus à régir promptement à un incident aussi futile, même s’il est meurtrier. Car un Etat c’est une machine dont les rouages doivent êtres constamment entretenus et huilés, non par des destitutions et des nominations successives; mais par une gouvernance qui tend à consolider ses fondements en stabilisant son fonctionnement.
Et le cœur de l’Etat c’est son administration, ses ministères et surtout son premier ministère. La stabilité politique en régime présidentiel, ne dépend pas de ce moteur de l’Etat. Mais le bon fonctionnement des institutions est tributaire de la continuité des politiques et de la stabilité de ceux qui les exécutent, à savoir les hauts fonctionnaires et grands commis. Or, ce dispositif est lourdement déstabilisé à tel point qu’il risque d’ébranler les fondements.
Il est clair que cet incident meurtrier risque de se répéter à tout moment dans n’importe quelle ville ou village de la République. L’on ne sait pas si le ministère des biens de l’Etat a effectivement le listing de ces biens, leurs dates de construction et toutes les informations les concernant.
Un audit qui sera rendu public s’impose pour diagnostiquer la situation et ne pas laisser la tâche de repérer les délabrements à la seule protection civile. Car elle n’a pas les moyens ni le droit de procéder à identifier quel bâtiment représente un danger. L’inventaire est par conséquent nécessaire et seuls des sociétés constituées de professionnels peuvent le faire. Cela implique une décision politique au plus haut niveau. En attendant, les autorités gagnent à éclairer l’opinion publique sure ce qui s’est réellement passé. C’est uniquement à la justice qu’il revient de fixer les responsabilités?
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Le temps sera, mardi 15 avril 2025, favorable à la chute des pluies éparses, qui seront provisoirement orageuses sur les régions Ouest du Nord et du Centre, et elles seront localement abondantes, durant la nuit à l’extrême Nord-ouest, selon un bulletin de suivi de l’Institut National de la Météorologie (INM).
Les pluies se poursuivront, mercredi 16 avril 2025, sur les zones Ouest, puis elles concerneront, l’après-midi, les régions Est du Nord et du Centre, et elles seront orageuses et localement fortes, notamment sur les zones du Nord. Les quantités maximales oscilleront entre 30 et 50 mm et atteindront 70 mm à l’extrême Nord-ouest, avec la chute des grêles sur des endroits limités.
Le vent soufflera fort, lors de l’apparition des nuages orageux, sur les hauteurs et dans les zones du Sud, dépassant provisoirement 80 km /h, entraînant localement, de phénomènes de sables et de poussière.
Avec TAP
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Sous le slogan « Notre réseau, une signature d’exception, unis pour la performance », cette convention a permis de récompenser les meilleures performances de l’année 2024 dans des catégories telles que les ventes, le service après-vente, l’effort marketing et l’implémentation des normes. Un moment clé de cette rencontre a été la remise de prix à ceux qui se sont distingués par leur professionnalisme, leur engagement et leur excellence.
Grâce à un réseau solide et une équipe dédiée, Hyundai Tunisie a une nouvelle fois marqué l’année 2024 avec des résultats de vente exceptionnels, consolidant ainsi sa position de leader sur le marché automobile tunisien. L’année écoulée a été marquée par un élargissement de la gamme et une une attitude intransigeante envers les clients. Alpha Hyundai Motor reste fidèle à son engagement d’offrir des véhicules de haute qualité, alliant fiabilité et innovation.
La Convention Réseau 2025 a permis de récompenser les agences qui se sont particulièrement distinguées. Parmi les prix remis, on retrouve :
Récompenses TotalEnergies : Un partenariat renforcé
TotalEnergies a également pris part à la célébration, en récompensant les partenaires qui se sont distingués par leur engagement exceptionnel. Le prix du meilleur partenaire 2024 a été décerné à :
Lors de cet événement, M. Mehdi Mahjoub, Directeur Général d’Alpha Hyundai Motor, a déclaré :
« Nous sommes fiers de célébrer cette année exceptionnelle avec nos partenaires, qui jouent un rôle essentiel dans notre réussite continue. Hyundai Tunisie n’est pas seulement un leader du marché, c’est un réseau de partenaires unis par la même ambition de servir nos clients avec excellence. Nous continuerons à investir dans nos agences et à développer nos services pour offrir à nos clients une expérience irréprochable. Grâce à notre garantie de 5 ans et notre présence dans 20 régions, nous sommes plus que jamais déterminés à maintenir notre position de leader et à faire face aux challenges de demain. »
Alpha Hyundai Mot͏or a une fois de plus triomphé le marché en termes de service client, ayant été élueService Clients de l’année pour la 4ème année d’affilée. Un signe de l’engagementcontinud’Alpha Hyundaipouroffrir à ses clients une expérience spéciale et unique.
Avec 20 agences réparties sur l’ensemble des régions tunisiennes, Alpha Hyundai Motor s’assure de répondre à la demande de ses clients où qu’ils se trouvent. De plus, avec sa garantie de 5 ans, Hyundai offre à ses clients une sérénité incomparable, prouvant une fois de plus la fiabilité de ses produits.
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Au cours des trois premiers mois de l’année, NBL a produit et vendu 141 405 pièces, contre 89 510 à la même période en 2024. Cette dynamique s’est accompagnée d’un chiffre d’affaires en forte progression, atteignant 1 849 594 dinars contre 1 272 916 dinars un an plus tôt.
Sur le plan commercial, la société a collaboré avec 17 clients, dont 4 locaux. Malgré un contexte international marqué par l’instabilité économique et politique, ainsi qu’un affaiblissement du pouvoir d’achat, NBL indique avoir maintenu une bonne relation avec ses partenaires. L’entreprise a notamment participé au Salon de la lingerie et mené des visites terrain auprès de ses clients, dans le but de renforcer la fidélisation et élargir son portefeuille.
Côté investissement, un montant de 2 058 dinars a été engagé au cours du trimestre. Par ailleurs, la société souligne qu’elle maintient un niveau d’endettement à long terme nul, tout en disposant d’une trésorerie excédentaire, génératrice de revenus financiers significatifs.
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Qui est Kamel Rezig ?
Né le 18 octobre 1964 à Boufarik, dans la wilaya de Blida, Kamel Rezig est un économiste et analyste algérien, reconnu pour ses positions conservatrices.
Il a assuré les fonctions de ministre du Commerce de janvier 2020 à mars 2023, avant d’être nommé conseiller auprès de la présidence de la République.
Sa récente nomination intervient dans un contexte stratégique, au moment où l’Algérie ambitionne de porter ses exportations hors secteur des hydrocarbures à 10 milliards de dollars d’ici fin 2025. Un objectif fixé par le président Abdelmadjid Tebboune lors d’une rencontre avec les acteurs économiques, tenue le 13 avril 2025.
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Du haut de ses bâtisses monumentales, aux techniques architecturales uniques, de ses fameux souks (poissons, tapis, cuir, bijoux, tissages, laines, etc.) couverts de voûtes en berceau, jusqu’à son port et ses exportations d’huile d’olive, la région de Sfax sera célébrée dans le cadre de l’exposition photographique collective « Petit Pays, je t’aime beaucoup », dans son édition 2025.
Cap sur Sfax, du 17 au 20 avril 2025, à Dar Ezzit, en plein centre-ville, pour raconter l’histoire de la Tunisie à travers le regard sensible et pluriel d’un collectif de photographes tunisiens et belges : Mehdi Ben Temessek, Sameh Bouchaala, Kai’s, Mona Fekih Khouaja, Dhia Guermit, Yasmine Hadhri, Helmi Jerbi, Charles Siala, Terry Taieb, Alain Van Haverbeke et Skander Zarrad.
Portée par Selima Kriaa Mdhaffer en tant que commissaire et l’artiste Wadii Mhiri dans la scénographie, l’exposition rend hommage à la ville de Sfax, à ses bâtisses historiques et à son patrimoine architectural.
A cette occasion, une grande collection d’anciennes cartes postales sera exposée. Le public pourra également découvrir une vidéo réalisée par un collectif d’architectes sur « Souk Kriaa », véritable joyau de l’architecture locale, témoin du génie des savoir-faire locaux.
Lancée dans une première édition à Tunis en septembre 2024, à l’initiative de L.I.V Advisory avec le soutien notamment de la délégation générale de Wallonie-Bruxelles en Tunisie, cette aventure photographique entame désormais sa tournée dans plusieurs régions de Tunisie.
Avec TAP
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