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Heute — 30. Juni 2025Haupt-Feeds

TUCAD et AFREXIMBANK scellent un partenariat stratégique pour le développement du continent africain

Von: La Presse
30. Juni 2025 um 09:54

En marge des AFREXIMBANK Annual Meetings tenus à Abuja (Nigeria), une convention de partenariat stratégique a été signée, le 27 juin 2025, entre le Tunisia Consortium for African Development (TUCAD), représenté par son président Anis Jaziri, et Kanayo Awani, vice-présidente exécutive d’AFREXIMBANK. La cérémonie s’est déroulée en présence de Mourad Abdesslem, vice-gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, de Mohsen Antit, ambassadeur de Tunisie au Nigeria, d’Aymen Zoghbi, directeur du département Trade, Investment and Corporate Finance d’AFREXIMBANK, et de Hafedh Ben Aifa, responsable Afrique du Nord au sein de la banque.

Ce partenariat ambitieux vise à appuyer le TUCAD dans le financement de projets structurants à fort impact sur le continent africain.

Le TUCAD est une initiative innovante portée par le Tunisia Africa Business Council (TABC). Il regroupe des entreprises tunisiennes de référence actives dans des secteurs stratégiques tels que les infrastructures, l’énergie, l’eau, les technologies, la construction, la logistique, l’assainissement, les services maritimes et l’ingénierie. En mutualisant leurs expertises, ces entreprises entendent proposer une offre intégrée fondée sur le modèle EPC (Engineering, Procurement and Construction), allant du conseil stratégique à la réalisation opérationnelle des projets.

L’objectif du TUCAD est clair : mobiliser les compétences tunisiennes pour accompagner les pays africains dans la conception, le financement et l’exécution de leurs projets de développement, en favorisant la complémentarité, l’excellence opérationnelle et la création de valeur locale.

De son côté, AFREXIMBANK s’impose comme un acteur de premier plan dans le financement du développement en Afrique. Sous le leadership du professeur Benedict Oramah, la banque a renforcé son rôle de catalyseur de la transformation économique, avec un portefeuille d’engagements cumulés de plusieurs centaines de milliards de dollars. Elle soutient des projets dans des secteurs clés tels que l’industrialisation, les infrastructures, l’agrobusiness, la logistique, l’énergie et la santé, à travers des instruments innovants, des lignes de crédit dédiées et des programmes structurants comme la Foire commerciale intra-africaine (IATF) ou le programme de développement des chaînes de valeur africaines.

La signature de cette convention illustre la confiance accordée par AFREXIMBANK à l’expertise tunisienne et marque une étape décisive dans l’ancrage de TUCAD comme acteur régional de référence dans le développement de projets à haute valeur ajoutée. Elle ouvre également la voie à une coopération renforcée en matière de transfert de technologies, de souveraineté industrielle et d’accélération de l’intégration économique du continent africain.

La Presse avec Communiqué

FfD4 Séville : Sarra Zaafrani Zenzri représente la Tunisie à la conférence de l’ONU sur le financement du développement

Von: walid
30. Juni 2025 um 10:13

La cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri participe, du 30 au 1er juillet 2025, à Séville (Espagne), au nom du président de la République Kaïs Saïed, aux travaux de la quatrième Conférence internationale onusienne sur le financement du développement (FfD4), consacrée à la mise en œuvre de l’Agenda 2030 et la promotion de la réforme de l’architecture financière internationale.

La Cheffe du gouvernement prendra part à une série de panels qui porteront sur différentes questions économiques. Elle s’entretiendra également, avec des chefs d’Etat et de gouvernement et des responsables d’institutions financières internationales et de groupes internationaux.

Cette quatrième édition de la conférence internationale sur le financement du développement vise à réformer le financement à tous les niveaux, y compris en donnant une impulsion à la réforme de l’architecture financière internationale, et de relever les défis qui freinent l’investissement.

La FfD4 rassemble une pléiade de dirigeants de tous les gouvernements, ainsi que les organisations internationales et régionales, les institutions financières et commerciales, les entreprises, la société civile et le système des Nations Unies, pour repenser la manière dont le monde finance le développement durable.

Selon les Nations Unies, le monde a besoin de 4.000 milliards de dollars supplémentaires chaque année pour relever certains des plus grands défis mondiaux, comme l’éradication de la pauvreté et la faim, la lutte contre le changement climatique et la réduction des inégalités.

“Ces objectifs font partie des 17 objectifs de développement durable adoptés par presque tous les pays, avec pour ambition de les atteindre d’ici 2030”, précise la même source. Toutefois, le retard s’accumule, principalement, en raison de l’insuffisance des financements et de leur irrégularité pour permettre de réels progrès, souligne l’ONU.

Mardi 25 juin 2025, les Etats membres de l’ONU sont parvenus, malgré le retrait des Etats-Unis, à un accord sur le document final de la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement et, le Compromis de Séville qui doit être formellement adopté lors du sommet, de la FfD4, a précisé l’ONU.

Fruit de plusieurs mois de négociations, ce document est présenté comme un cadre de référence renouvelé pour mobiliser les financements en faveur du développement durable, souligne la meme source. Il vise à répondre au déficit estimé à 4.000 milliards de dollars par an, dont pâtissent particulièrement les pays en développement.

Le texte a été soutenu par une large majorité des États membres, à l’issue de discussions menées par le Mexique, le Népal, la Zambie et la Norvège. Il ne crée pas une nouvelle feuille de route, mais renforce les engagements existants, notamment ceux pris dans le cadre du Programme d’action d’Addis-Abeba adopté en 2015, d’après l’ONU

Le sommet de Séville marquera la quatrième grande conférence onusienne sur le financement du développement, après celles de Monterrey en 2002, qui a adopté le consensus de Monterrey (Mexique) qui définissait les priorités du financement pour le développement.

Le forum de Séville doit permettre de formuler des engagements précis pour soutenir la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030.

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Gestern — 29. Juni 2025Haupt-Feeds

La cheffe du gouvernement à Séville pour la Conférence onusienne sur le financement

29. Juni 2025 um 13:25

La Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, est arrivée ce dimanche 29 juin, à Séville (Espagne) pour participer aux travaux de la quatrième Conférence internationale des Nations unies sur le financement du développement (FfD4), prévue du 30 juin au 1er juillet 2025.

Accueillie à l’aéroport international de Séville par l’ambassadrice de Tunisie en Espagne, Fatma Omrani Chargui, la Cheffe du gouvernement prendra part à une série de panels portant sur diverses questions économiques.

Elle s’entretiendra également avec des chefs d’État et de gouvernement, ainsi qu’avec des responsables d’institutions financières internationales et de grands groupes internationaux.

Cette quatrième édition de la Conférence sur le financement du développement vise à réformer les mécanismes de financement à tous les niveaux, notamment en donnant un nouvel élan à la réforme de l’architecture financière internationale, et à relever les obstacles qui freinent l’investissement.

La FfD4 réunit de nombreux dirigeants gouvernementaux, ainsi que des représentants d’organisations internationales et régionales, d’institutions financières et commerciales, d’entreprises, de la société civile et du système des Nations unies, afin de repenser les modalités de financement du développement durable.

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Prêt saoudien de 38 M$ pour financer un Oasis Hub dans le sud tunisien

29. Juni 2025 um 11:16

Le Fonds saoudien pour le développement (FSD) a signé un accord de prêt de 38 millions de dollars (143,287 millions de riyals saoudiens, 112 millions de dinars tunisiens) pour améliorer les infrastructures en Tunisie.

L’accord a été signé le 27 juin 2025 à Tunis par le Dr Samir Abdelhafidh, ministre de l’Économie et de la Planification, et Sultan bin Abdulrahman Al-Marshad, Ceo du FSD. Il vise à financer la mise en place d’un projet Oasis Hub dans le gouvernorat de Tataouine, dans le sud de la Tunisie. L’objectif est de soutenir le développement rural durable par la réhabilitation de plus de 1 000 hectares de terres agricoles dans différentes régions de Tunisie.

Selon l’Agence de presse saoudienne (SPA), le projet comprend le forage et l’équipement de 22 puits, l’extension de villages ruraux et de leurs infrastructures, ainsi que la construction de plus de 285 logements pour les bénéficiaires locaux.

En outre, le projet améliorera les infrastructures de la région par la construction de routes, de canalisations et de réseaux d’eau potable et d’irrigation, tout en soutenant le développement d’établissements d’enseignement, d’installations agricoles et de centres culturels, sociaux et commerciaux. Ces efforts visent à améliorer la qualité de vie et à stimuler la croissance économique et sociale dans les gouvernorats du sud de la Tunisie.

I. B.

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Développement local à Manouba : un plan 2026-2030 axé sur justice sociale, économie et gouvernance

25. Juni 2025 um 11:21

Les huit conseils locaux du gouvernorat de Manouba ont achevé l’élaboration du plan local de développement 2026-2030, et l’ont remis au président du Conseil Régional conformément au calendrier préétabli.

L’accent a été mis lors de la préparation des plans de développement sur quatre axes principaux liés notamment à la justice sociale, l’infrastructure de base, l’économie et l’investissement privé ainsi que la gouvernance d’entreprise.

Selon la chargée de gestion du commissariat régional au développement à Manouba, Najet Ben Taieb, il a été procédé lors de l’élaboration du plan local, avec la participation de composantes de la société civile et des habitants, notamment à l’examen de la situation de développement , ainsi que l’étude des statistiques sur les projets et des indicateurs de développement dans chaque délégation, en plus des priorités risques et défis possibles.

La même source a souligné à l’Agence TAP qu’à partir de cette semaine, le processus d’accompagnement des membres du Conseil régional a débuté dans le cadre de l’élaboration du Plan de Développement Régional, processus qui se poursuit jusqu’au 22 juillet prochain.

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Plan quinquennal 2026-2030 : Quels projets seront intégrés au budget 2026 ?

24. Juni 2025 um 18:04

Le secrétaire général du ministère de l’Économie et de la Planification, Fawzi Ghrab, a souligné que le document préliminaire du plan de développement 2026-2030 sera prêt avant la fin de 2025, et qu’il sera examiné par les deux chambres législatives au début de l’année prochaine en l’absence d’un délai constitutionnel.

Ghrab a ajouté, dans une interview réalisée au studio de l’agence TAP, sur l’avancement de la mise en place du plan quinquennal de développement, que la priorité sera donnée au budget de l’État pour l’année 2026 qui sera examiné par l’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts, à condition qu’une attention soit plus tard accordée au plan de développement.

Dans le même contexte, il s’est référé au document préliminaire pour le plan de développement quinquennal qui pourrait être examiné par le Conseil des ministres avant la fin de cette année et approuvé conformément aux exigences de la circulaire n° 10 du chef du gouvernement de 2025, publiée le 22 avril 2025, liée au plan de développement quinquennal 2026-2030.

« Le plan de développement n’est pas soumis à des délais constitutionnels, comme c’st le cas pour le budget de l’État, et le document peut être discuté par le Conseil national des régions et les districts, et l’Assemblée des représentants du peuple, au cours de la première période de l’année 2026.

Pour le responsable, il y a une certaine flexibilité au niveau de la relation entre le budget de l’État et le plan de développement. « Il y a une tendance à prendre en considération certaines propositions de projets et à les inclure dans le projet de budget de l’État pour l’année 2026, si leur maturité est confirmée », a-t-il affirmé.

Il a estimé que l’inclusion, pour la première fois, du niveau interrégional, qui est basé sur 5 districts dans le prochain plan de développement, contribuera à renforcer les relations entre les régions ainsi que la compétitivité des régions.

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Plan de développement 2026-2030 : financement et hypothèses à définir après synthèse

24. Juni 2025 um 17:08

Jusqu’à présent, il n’est pas possible de fixer ni les hypothèses du plan de développement 2026-2030, ni le coût total de son financement. Mais ceci sera possible, dès l’achèvement de toutes les étapes de synthèse et la formulation du document préliminaire, a déclaré le secrétaire général du ministère de l’Economie et de la Planification, Faouzi Ghrab.

Dans une interview télévisée réalisée au studio de l’agence TAP, M. Ghrab a précisé que le plan quinquennal de développement est élaboré de manière participative et progressive dans le cadre d’une relation partant du niveau local pour atteindre le central.

Il a souligné que les institutions de l’Etat ont fourni uniquement l’accompagnement et la formation, ainsi que les documents nécessaires pour aider ces conseils. Le plan de développement, a-t-il dit, devrait traduire les aspirations des citoyens et répondre aux orientations qui seront appliquées par les politiques publiques, précisant qu’il s’appuie principalement sur la planification du territoire.

Les structures du ministère de l’Economie et de la planification, les offices de développement, les directions régionales au développement, et le réseau des coordinateurs des bureaux du programme de développement intégré ont participé au processus d’accompagnement et à l’organisation. Sachant que le ministère a indiqué avoir assuré environ 1200 opérations d’accompagnement des sessions tenues au niveau des conseils locaux jusqu’au 10 juin 2025.

Il a souligné que les grandes orientations et les axes de développement seront mis en œuvre d’abord au niveau local puis au niveau régional, en passant par le niveau régional. Précisant à cet égard que les ministères ne proposeront plus de projets au niveau local, comme c’était le cas auparavant.

Il a, par ailleurs, ajouté que chaque ministère, dans le cadre des orientations du nouveau plan, fournira un rapport sur les politiques publiques. Etant donné que chaque ministère dispose d’études prospectives et de politiques publiques approuvées et que les ministères proposeront quelques grands projets uniquement dans le cadre du plan.

Et d’ajouter qu’à cette phase, commence l’opération de synthèse entre les rapports locaux, régionaux et des districts, ainsi que les politiques publiques issues des ministères. Ce qui permettra d’identifier les grands thèmes du plan de développement et d’élaborer un draft de projet d’un document complémentaire.

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Quelles sont les priorités du plan tunisien 2026-2030 pour un développement inclusif ?

24. Juni 2025 um 15:45

Le plan de développement 2026/2030, élaboré dans un nouveau cadre institutionnel, a été achevé dans sa phase locale, tandis que le volet régional devrait être finalisé d’ici un mois, a indiqué le secrétaire général du ministère de l’Economie et de la Planification, Faouzi Ghrab.

Dans une interview réalisée au studio TV de l’agence TAP, Ghrab a rappelé que le plan en question est élaboré dans le cadre d’une relation partant du niveau local pour atteindre le central. Cette approche n’était pas adoptée dans les plans précédents qui ont été axés sur un système central présentant des propositions et des orientations de développement, a-t-il encore précisé.

Le responsable a souligné que le plan 2026/2030 intervient dans un cadre politique et institutionnel basé sous le signe « construction et édification » et basé sur la concrétisation des objectifs de la constitution, notamment, le rôle social de l’Etat et du compter sur soi tout en accordant une importance aux volets local et régional dans la proposition des politiques de développement.

Il a rappelé que le Conseil national des régions et des districts qui constitue la deuxième chambre parlementaire, est doté de prérogatives en termes d’élaboration et d’adoption de plans de développement.

Et d’ajouter que le rôle des ministères et des autorités publiques dans l’élaboration du plan porte sur l’accompagnement, la formation et la mise à disposition des outils nécessaires.

Au sujet de l’état d’avancement de l’élaboration dudit plan, le responsable a souligné que le ministère œuvre à respecter les délais du circulaire de la présidence du gouvernement.

Il a fait savoir que le plan 2026/2030 est basé sur un processus ascendant accordant aux conseils locaux et régionaux un rôle important dans la proposition des projets de développement, vu que ces structures reflètent la voix du citoyen et transmettent ses avis.

Dans sa contribution à l’élaboration du plan, chaque conseil passe par trois étapes; à savoir le diagnostic de la situation de développement, l’identification des problématiques et la mise en place des listes des priorités ou des projets, a-t-il précisé.

Des rapports sont par la suite soumis aux conseils régionaux qui devront à leur tour présenter un rapport de synthèse à la date du 22 juillet, a-t-il encore expliqué.

Il fait remarquer que l’accent est mis sur la proposition de projets réalisables en s’appuyant sur des donnés et des études techniques, ajoutant que le ministère fournit des fiches techniques de projets pour faciliter l’opération de proposition par les conseils locaux.

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Stratégie digitale 2026-2030 : vers une transformation technologique inclusive en Tunisie

23. Juni 2025 um 17:12

Le Ministère des Technologies de la Communication s’est lancé dans la préparation du plan de développement pour la période 2026-2030 du secteur des technologies de l’information et de la communication, à travers la formation d’équipes de travail regroupant des représentants des différentes structures participantes pour proposer des projets et des programmes.

Le ministre des Technologies de la communication, Sofiene Hemissi, a donné vendredi dernier le coup d’envoi de la préparation du plan de développement pour la période 2026-2030 au niveau du secteur des technologies de l’information et de la communication, en présence des cadres du ministère, institutions sous tutelle, et représentants de divers ministères et structures publiques, dont le ministère de l’Économie et de la Planification, en tant que coordinateur général et national dans l’élaboration du plan, selon un communiqué publié dimanche dernier.

Les participants ont exprimé leur pleine volonté de contribuer efficacement à l’illustration des propositions, soulignant l’importance d’évaluer les projets en cours dans le secteur de l’économie numérique pour permettre une identification précise des orientations et des projets et programmes pouvant être proposés dans le cadre du plan de développement 2026-2030.

La Ministre a, évoqué les changements et les grandes évolutions que connait le monde aujourd’hui dans le domaine technologique et la nécessité de bénéficier des avantages offerts, tout en prenant en compte les défis et enjeux qui se posent pour éviter leurs impacts économiques, sociaux et culturels négatifs.

Il a également souligné l’importance de traduire la nouvelle vision de la Tunisie en programmes et projets pratiques émanant de la volonté du choix du peuple tunisien et répondent à leurs aspirations. Il a recommandé dans ce contexte la nécessité d’un diagnostic précis et d’une évaluation approfondie de la situation actuelle, ainsi qu’un examen des problèmes et la fixation des priorités, pour proposer des projets et programmes fiables dans le secteur numérique.

 

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Samir Abdelhafidh : La Tunisie reste attractive pour les IDE malgré les chocs économiques

Von: walid
20. Juni 2025 um 18:55

« Malgré les chocs internes et externes des dernières années, l’économie nationale reste attractive pour les investissements directs étrangers qui ont augmenté de plus de 26% en 2024 par rapport à 2023 » a affirmé, vendredi, le ministre de l’économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, lors de la cérémonie du 30ème anniversaire de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (Fipa Tunisia) .

Le ministre a considéré que les entreprises étrangères installées en Tunisie constituent un moteur clé dans la métamorphose du tissu économique national en contribuant fortement à la création d’emploi ( 450 000 emplois soit près de 20% à l’emploi industriel et tertiaire), à la diversification sectorielle et aux équilibres macro-économiques (55% des exportations tunisiennes sont générées par des entreprises à capitaux étrangers).

Et d’enchaîner « grâce aux efforts déployés par la Fipa depuis sa création, la Tunisie compte aujourd’hui 4004 entreprises à participation étrangère qui représentent un stock d’IDE cumulé de plus de 45 milliards d’euros. La Fipa à également facilité l’implantation de plus de 120 centres de Recherche et développement faisant de la Tunisie un hub pour les services informatiques ».

Toujours selon lui « la Fipa a évolué au fil des années passant d’une logique purement promotionnelle à une logique d’accompagnement et de valorisation de l’image du pays ».

Le ministre a en outre, fait remarquer que les prochaines années seront marquées par de défis immenses mais aussi d’opportunités inédites liées à la transition énergétique, à la digitalisation, à la délocalisation industrielle, à l’intelligence artificielle, au développement durable, à la sécurité alimentaire et sanitaire.

« Face à ces défis, l’approche adoptée par la Tunisie repose sur trois piliers à savoir la modernisation de l’administration, le renforcement des compétences et le développement des territoires pour remédier aux inégalités régionales ».

Au sujet de l’idée de fusion des structures chargées de l’investissement, le ministre a déclaré aux médias que cette idée est en phase d’étude pour identifier les meilleurs scénarios à même de favoriser davantage les investissements dans le pays.

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