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1er Forum du Codéveloppement des filières de la Santé Tunisie – Libye – France

28. November 2024 um 17:33

Forum du codéveloppement des filières de la Santé, se tiendra le 3 décembre 2024 au Sheraton Hôtel Tunis, à partir de 9h00. Ce forum est organisé par le Club Santé Tunisie-Libye, en lien avec Business France, les ministères de la santé en Tunisie et en Libye et l’Ambassade de France. L’inauguration sera réalisée par Madame GUEGUEN l’ambassadrice de France en Tunisie, Monsieur BOUZOUITA, Directeur Général de la santé (Tunisie) et Monsieur SAED, Ministre adjoint de la santé (Libye).

Ce Forum vise à renforcer la coopération entrepreneuriale entre la France, la Tunisie et la Libye dans le domaine de la santé, avec le Club Santé Tunisie – Libye, créé en 2017 sous l’égide de l’Ambassade de France. Ce Club d’entreprises est co-piloté par Business France et Pierre Fabre, il regroupe 23 filiales françaises implantées en Tunisie, parmi lesquelles des leaders de l’industrie pharmaceutique et du secteur de la santé comme SANOFI.

L’évènement s’adresse aux entreprises et professionnels du secteur de la santé dans les trois pays et réunira les autorités concernées, les entrepreneurs, chercheurs et experts publics et privés.

L’objectif de ce forum est de discuter des défis et d’échanger sur les solutions possibles pour améliorer et développer les infrastructures et services de santé entre les deux rives de la méditerranée.

Plusieurs experts interviendront (Institut Pasteur de Tunisie, INNORPI, INPI, Expertise France, Chambre syndicale des cliniques privées, AFD, Agence Nationale des Médicaments et Produits de Santé), aux côtés d’entreprises des trois pays. Des recommandations seront proposées en suivi afin de soutenir la croissance et l’amélioration de la filière.

Programme :

-Inauguration Officielle
-Le secteur de la santé en Tunisie, défis et perspectives
-Le secteur de la santé en Libye, défis et perspectives
-Protection de la propriété intellectuelle, levier de croissance
-Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)
-Financement du secteur de la santé et programme de codéveloppement
-Utilisation de l’IA générative dans la distribution pharmaceutique et gestion des risques associés.
-Clôture

Ce Forum est soutenu par SANOFI, SERVIER, LLOYD ASSURANCES, PIERRE FABRE et BUSINESS FRANCE.

L’inscription à cet évènement est gratuite et obligatoire (dans la limite des places disponibles) : https://forms.office.com/e/tiY5Qd6CPe

BUSINESS FRANCE est l’agence nationale au service de l’internationalisation de l’économie française. Elle est chargée du développement international des entreprises, ainsi que de la prospection et de l’accueil des investissements internationaux en France. Elle promeut l’attractivité et l’image économique de la France, de ses entreprises et de ses territoires et gère le V.I.E (Volontariat International en Entreprise). Business France dispose d’un Bureau au sein de l’Ambassade de France en Tunisie et s’appuie sur un réseau de partenaires publics et privés.   www.businessfrance.fr 

Club Santé Tunisie Libye Club d’Entreprises et d’Institutions regroupant les filiales françaises implantées en Tunisie https://www.linkedin.com/company/club-sant-tunisie/

Premier Forum du codéveloppement des filières de la santé Tunisie-Libye-France à Tunis

28. November 2024 um 16:11

Le 1er Forum du codéveloppement des filières de la santé se tiendra le 3 décembre 2024, au Sheraton Hôtel Tunis. Il est organisé par le Club Santé Tunisie-Libye, en collaboration avec Business France, les ministères de la Santé tunisien et libyen et l’ambassade de France.

L’inauguration sera réalisée par Anne Gueguen (ambassadrice de France en Tunisie), M. Bouzouita (directeur général de la santé) et M. Saed (ministre adjoint de la santé de Libye), informe l’ambassade de France dans un communiqué.

Ce Forum vise à renforcer la coopération entrepreneuriale entre les trois pays, la France, la Tunisie et la Libye, dans le domaine de la santé, avec le Club Santé Tunisie – Libye, créé en 2017 sous l’égide de l’ambassade de France.

Co-piloté par Business France et Pierre Fabre, ce club d’entreprises regroupe 23 filiales françaises implantées en Tunisie, parmi lesquelles des leaders de l’industrie pharmaceutique et du secteur de la santé comme SANOFI, explique le communiqué.

L’événement s’adresse aux entreprises et professionnels du secteur de la santé dans les trois pays et réunira les autorités concernées, les entrepreneurs, les chercheurs et autres experts publics et privés. L’objectif de ce forum est de discuter des défis et d’échanger sur les solutions possibles pour améliorer et développer les infrastructures et les services de santé entre les deux rives de la Méditerranée.

Plusieurs experts y sont attendus et interviendront. En l’occurrence : l’Institut Pasteur de Tunisie; l’INNORPI; l’INPI; Expertise France; la Chambre syndicale des cliniques privées; l’AFD; l’Agence nationale des médicaments et produits de santé; aux côtés d’entreprises des trois pays.

Des recommandations seront proposées en suivi afin de soutenir la croissance et l’amélioration de la filière.

Au programme, après l’inauguration officielle, on assistera à la présentation des défis et perspectives du secteur de la santé en Tunisie et en Libye, de la protection de la propriété intellectuelle comme levier de croissance, de la responsabilité sociétale des entreprises, du financement du secteur de la santé et du programme de codéveloppement, de l’utilisation de l’IA générative dans la distribution pharmaceutique et gestion des risques associés.

A noter que ce Forum est soutenu par SANOFI, SERVIER, LLOYD ASSURANCES, PIERRE FABRE et BUSINESS FRANCE.

L’inscription à cet évènement est gratuite et obligatoire (dans la limite des places disponibles) : https://forms.office.com/e/tiY5Qd6CPe

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BUSINESS FRANCE est l’agence nationale au service de l’internationalisation de l’économie française. Elle est chargée du développement international des entreprises, ainsi que de la prospection et de l’accueil des investissements internationaux en France. Elle promeut l’attractivité et l’image économique de la France, de ses entreprises et de ses territoires et gère le V.I.E (Volontariat International en Entreprise).

Business France dispose d’un Bureau au sein de l’Ambassade de France en Tunisie et s’appuie sur un réseau de partenaires publics et privés. www.businessfrance.fr 

Club Santé Tunisie Libye : le Club d’Entreprises et d’Institutions regroupent les filiales françaises implantées en Tunisie https://www.linkedin.com/company/club-sant-tunisie/

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Le projet Fast impulse l’entrepreneuriat féminin en région en Tunisie

28. November 2024 um 12:55

Le projet Fast (Femmes et Accélérations pour les startups et TPE) a été clôturé lors d’une cérémonie officielle, le 26 novembre 2024, au palais Ksar Said, à Tunis, sur une note d’enthousiasme pour un écosystème entrepreneurial dynamique œuvrant pour l’éclosion de plus en plus de projets à impact social et environnemental générateurs d’emplois.  

Le projet Fast s’inscrit dans le cadre de l’initiative Jet (Jeunesse, entrepreneuriat et numérique en Tunisie) formalisée dans une déclaration d’intention signée par les gouvernements français et tunisien en 2018 et à la suite d’un partenariat fructueux entre l’Agence Française de Développement (AFD), la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) et Expertise France. Il est né comme une suite logique pour assurer non seulement une continuité du projet Enlien (Entrepreneuriat et lien social en Tunisie) clôturé en 2022, mais aussi grâce à une approche ciblée et adaptée aux besoins du secteur, pour soutenir les structures d’accompagnement et dynamiser davantage l’entrepreneuriat en particulier féminin et lutter ainsi contre le chômage.

Financé par l’AFD avec un budget de 5,5 millions d’euros et mis en œuvre par la CDC avec l’assistance technique d’Expertise France sur une période de 36 mois, Fast se démarque par ses trois composantes spécifiques à savoir : 1- le soutien des programmes d’accélération et d’internationalisation des startups; 2- l’appui aux programmes d’incubation des structures d’accompagnement d’initiatives entrepreneuriales portées exclusivement par des femmes en région ; 3- le soutien des programmes permettant de renforcer la création de liens entre les startups/TPE/PME et les grandes entreprises (Open Innovation).

Fast est un véritable catalyseur pour l’écosystème entrepreneurial en Tunisie, plusieurs initiatives ont été soutenues dont 4 pour les programmes d’accélérations à l’instar de Flat6Labs, Wiki Startup, ConnectInnov World Bio Consulting et Novation city.

Dix initiatives pour les programmes d’incubation particulièrement pour les femmes en région à l’instar de Inco, Shanti, Lab’ess, Redstart, Tamss, AfkarWasabi, Initiative Tunisie, Skills to succeed, EFE et Addci Zarzis et, finalement, 3 initiatives pour l’open innovation à savoir Impact PartnerYunus Social Business, Actia et TAA.

Grâce aux efforts conjugués et à l’implication de tous ces acteurs, Fast a permis le soutient de 788 projets dont 638 ont été développés dans les régions et 50 sont exportateurs. 82% de ces projets sont portés par des femmes, 44,5% ont eu un impact environnemental et social positif et 63,5% des emplois créés sont occupés par des femmes.

La cérémonie de clôture du projet a eu lieu en présence de l’ambassadrice de France, Anne Gueguen et a réuni les représentants des différents partenaires du projet, les initiatives d’accélération, d’incubation, d’open innovation ainsi que les bénéficiaires finaux pour les féliciter et leur rendre hommage pour tous les efforts fournis et qui ont permis ces remarquables réalisations.

I. B. ( avec communiqué).

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Centres techniques tunisiens : un potentiel inexploité pour l’innovation industrielle ?

27. November 2024 um 07:00

InnovationAvec une dizaine de centres techniques industriels qui exercent une mission d’intérêt général dans les domaines de la veille technologique, de la recherche et développement et de la normalisation, la Tunisie aurait du disposer, quarante ans après la création de ces centres, d’une expertise significative en matière d’innovation industrielle et d’exportation de produits à haute valeur ajoutée.

Malheureusement, c’est loin d’être le cas. Au regard des réalisations accomplies, on ne peut que relever le mauvais rendement de ces boîtes d’ingénieurs multidisciplinaires.

Et pour cause. Il suffit de jeter un regard sur le degré de développement de l’industrie du pays pour s’en rendre compte. Après plus de cinquante ans de prétendue industrialisation, l’industrie tunisienne est encore sous-développée, peu intégré et toujours inapte à créer assez de valeur ajoutée. Ses produits, quand ils existent, sont rares, chers et dans certains cas de mauvaise qualité.

Mention spéciale pour l’industrie textile qui a vampirisé le plus net des investissements et des incitations fiscales et financières. Aujourd’hui, cette filière n’arrive pas à habiller la population tunisienne. Les Tunisiens s’habillent à hauteur de plus de 60% chez les fripiers.

Même remarque pour l’agro-alimentaire. Des produits du terroir, reconnus internationalement, de grande qualité, sont toujours exportés en vrac alors que le pays aurait pu en tirer d’importants gains en devises si jamais ils étaient conditionnés.

L’innovation érigée en priorité absolue

C’est seulement lorsqu’on a su que le site Tunisie de production internationale n’est plus compétitif dans les années à venir, avec l’avantage comparatif des bas salaires qu’on a commencé à prendre conscience de l’importance de l’innovation et de la qualification numérisée. Depuis, ces dernières sont érigées en priorités absolues avec comme corollaires, la réhabilitation et la revalorisation des centres techniques industriels et des centres de formation professionnelle.

Deux initiatives ont été prises à cette fin. Elles méritent qu’on s’y attarde. La première a consisté en la nomination, au mois de juin 2024,  par le ministère de l’industrie, des mines et de l’énergie, de nouveaux directeurs généraux à la tête de 4 centres techniques industriels. Il s’agit de Noureddine Guizani (Centre technique des industries mécaniques et électriques (CETIME), Issam Krid (Centre technique de l’agroalimentaire (CTAA), Narjes Maslah Hammar (Centre technique de l’emballage et du conditionnement (PACKTEC) et Riadh Ben Rejeb (Centre national du cuir et de la chaussure (CNCC).

“Les centres techniques tunisiens, des pépites à valoriser pour relancer l’industrie.”

Espérons que ces nouvelles nominations ont été décidées sur la base non pas de critères de favoritisme et de copinage comme cela a été le cas jusqu’à ce jour, dans l’administration tunisienne, mais sur la base de contrats programmes et d’objectifs réalisables. Notre souhait est que ces nouveaux directeurs généraux soient reconnus comme des chefs de projets et des animateurs de compétences créatrices et innovantes. Avec ce profil de responsables, l’obligation de résultats doit être le maître mot.

La deuxième initiative a porté sur la promotion de la communication sur les innovations accomplies par les centres techniques.

Tout récemment, le centre technique du textile a créée l’évènement en communiquant sur un produit innovant qu’il a encadré et accompagné dans ses laboratoires. Il s’agit  du développement avec succès d’une nouvelle forme de textile technique, dénommée  “géotextile” économe en eau.

“Le géotextile, une preuve que l’innovation tunisienne a de beaux jours devant elle.”

Mis au point par une startup et objet d’un brevet d’invention avalisé par l’INNORPI, ce type de textile, qui aide à économiser l’eau d’irrigation utilisée aussi bien pour les arbres d’ornement que pour les arbres fruitiers, permet de protéger les dattes et d’autres fruits.

Expérimentée durant trois saisons, Géotextile Économiseur d’Eau, a prouvé  une plus grande efficacité par rapport aux autres produits utilisés à la même fin par les agriculteurs au sud du pays.

La startup a également mis au point un produit pour protéger la grenade et un troisième pour protéger le raisin.

Par delà cette prise de conscience du rôle déterminant que peuvent jouer les centres techniques, leur restructuration souhaitée n’est pas, du reste, une fin en soi. Elle demeurera insuffisante et inefficiente tant que le gouvernement ne l’a pas accompagnée par la mise en place d’un écosystème numérique favorisant l’innovation, la recherche et la performance.

Plaidoyer pour la mise en place d’un écosystème favorisant l’innovation

Il faut reconnaître que pour le moment, la Tunisie traîne d’importantes insuffisances en matière d’innovation. Au nombre de celles-ci, le rapport 2023 de l’indice mondial de l’innovation publié par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), évoque la mauvaise qualité de l’environnement numérique en général.

Dans le détail, le rapport relève : « des tarifs douaniers élevés, un écosystème de recherche peu développé, des exportations au contenu technologique réduit,  un recours insuffisant à l’économie de la connaissance et une main d’œuvre non-numérisée ».

“L’industrie tunisienne a besoin d’un électrochoc pour sortir de l’ornière.”

Le rapport fait état également de la faible qualité des institutions, l’instabilité juridique, la modicité de l’investissement dans l’infrastructure dédiée à l’innovation. Et la liste des insuffisances est loin d’être clôturée.

Cela pour dire in-fine que les centres techniques industriels du pays ont encore du chemin à parcourir pour s’affirmer en tant que structures qui stimulent et favorisent l’innovation, la maîtrise des technologies (Intelligence artificielle et autres) et l’ancrage, dans les entreprises, de deux pré-requis de l’innovation : le souci de l’excellence et le souci de la qualité.

Abou SARRA

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