Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 03. Dezember 2025Haupt-Feeds

Aslan Berjeb: Le secteur cosmétique génère plus de 1,6 milliard de dinars

03. Dezember 2025 um 14:50

L ‘industrie cosmétique constitue un pilier économique, comptant plus de 600 entreprises et contribuant à 1,6 milliard de dinars au PIB du pays. Pourtant, ce secteur fait face à des obstacles réglementaires stricts et à une pression fiscale accrue, comme en 2018 avec les droits de consommation qui ont fait chuter sa part de marché local de 25% à moins de 15%.

Lors d’une conférence de presse organisée mercredi 3 décembre 2025 à Tunis, la Conect dresse l’état des lieux. Le thème de ladite conférence est : “Les fabricants de cosmétiques en Tunisie : obstacles réglementaires et pression fiscale croissante”.

À cette occasion, Aslan Berjeb, président de la Conect, revient sur l’importance de ce secteur qui, rappelons-le, a le statut d’industriel par excellence. Comme tout secteur industriel, il souligne l’importance d’échanger avec les autorités de tutelle afin de trouver des résultats concrets.

Interrogé par leconomistemaghrebin.com sur la vision du secteur, il a répondu qu’il s’agit d’un secteur au potentiel énorme. Et de rappeler également que ce secteur contribue à hauteur de plus de 1,6 milliard de dinars à l’économie nationale. Il compte plus de 600 entreprises, des grandes et des PME…

Dans ce contexte, il précise : « C’est un secteur qui représentait, je le dis avec beaucoup d’amertume, 25% de notre consommation locale dans le domaine de la cosmétique et des produits cosmétiques. Mais cette part est tombée à un peu moins de 15% aujourd’hui. Ce qui s’explique par une année charnière, 2018, lors de laquelle des droits de consommation ont été instaurés, ayant changé complètement la donne au détriment de ce secteur ».

Cette situation ne fait que renforcer le secteur informel, qui ne paie pas de charges (taxes, impôts), regrette-t-il. Certes, cela protège le pouvoir d’achat du consommateur, mais met aussi en danger la sécurité et la qualité des produits.

Pour retrouver la compétitivité, il propose une vision partagée. Selon lui, non seulement les produits deviendraient plus compétitifs, et les entreprises plus solides, sur les marchés local et international, mais le consommateur bénéficierait également de produits plus attractifs, ce qui éviterait la réflexion selon laquelle le produit tunisien est presque aussi cher que le produit étranger.

Il souligne la nécessité d’un alignement des pratiques fiscales, douanières, etc., sur les standards internationaux pour soutenir une industrie locale déjà très compétitive en termes de qualité.

Concernant l’ouverture à l’alcool et aux produits essentiels, Aslan Berjeb explique qu’il s’agit d’autoriser l’importation de la matière première qu’est l’alcool, indispensable pour garantir une stabilité de qualité. Ce produit n’est pas un luxe, mais un élément d’usage quotidien pour les Tunisiens, nécessaire pour le corps, les cheveux, ainsi que pour la partie cosmétique.

Enfin, il estime nécessaire l’existence d’une réglementation claire : « Les principaux défis de ce secteur résident dans la mise en place d’une couverture réglementaire, notamment en termes de cahiers des charges, afin d’organiser ce secteur et de maintenir ses acteurs clés ».

Aslan Berjeb

L’article Aslan Berjeb: Le secteur cosmétique génère plus de 1,6 milliard de dinars est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Prédiction des rendements et gestion des risques par l’IA agricole

03. Dezember 2025 um 13:28

L’ITES et les AgriTech mettent l’IA au cœur de la prédiction des rendements et risques météo, optimisant les pratiques pour une agriculture résiliente.​​ C’est ce qui ressort de la dernière étude de l’Ites.

Des algorithmes analysent données satellitaires et capteurs pour anticiper les rendements et maladies, offrant conseils personnalisés comme des calendriers d’arrosage adaptés. La Banque mondiale souligne le rôle crucial en Tunisie pour la gestion de l’eau via apprentissage automatique et prévisions. Projets FAO testent ces technologies localement, alignés sur la matrice ITES urgence-impact.​​

Ces innovations IA transforment les défis en opportunités, sécurisant revenus agricoles et stabilité socio-économique.​

L’article Prédiction des rendements et gestion des risques par l’IA agricole est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Vers une agriculture IA durable : défis et perspectives ITES

03. Dezember 2025 um 11:10

L’étude ITES appelle à surmonter la formation, les infrastructures et le financement pour intégrer pleinement l’IA agricole, soutenue par des partenariats FAO et des forums régionaux.​​

Les projets pilotes en démontrent l’efficacité, mais exigent un accompagnement pour une adoption rurale, comme au Forum Méditerranéen 2025 à Tunis. En effet, l’imagerie satellitaire et l’IA aident à la transition écologique contre la dégradation des sols. La matrice ITES priorise l’urgence pour aligner sur les ODD 2030.​​ L’IA, bien déployée, forge une agriculture tunisienne innovante, vitale pour croissance et résilience nationale.​

Il convient de rappeler que les projets FAO testent ces technologies localement, alignés sur la matrice ITES urgence-impact.
​​
En somme, ces innovations IA transforment les défis en opportunités, sécurisant les revenus agricoles et la stabilité socio-économique.​

L’article Vers une agriculture IA durable : défis et perspectives ITES est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

ITES : irrigation intelligente, la révolution IA made in Tunisia

03. Dezember 2025 um 09:48

L’Institut Tunisien des Études Stratégiques (ITES) identifie l’intelligence artificielle (IA) comme un pilier essentiel du rôle social de l’État en agriculture tunisienne, en s’appuyant sur une matrice urgence-impact alignée sur les Objectifs de Développement Durable (ODD) 2030 pour optimiser les ressources hydriques et renforcer la résilience climatique.​​

Des startups tunisiennes amplifient ces recommandations en réduisant leur consommation d’eau de 35 % et en augmentant leur production de 15 %. Et ce, via des algorithmes d’apprentissage automatique adaptés au contexte national.

Des initiatives comme Irwise, lancées par de jeunes entrepreneurs tunisiens, exploitent l’IA et l’IoT pour révolutionner l’irrigation, en économisant l’eau et l’énergie dans un contexte de stress hydrique croissant.​

En effet, la solution Irwise permet un contrôle à distance des pompes via smartphone, analysant le sol, le climat et les cultures pour doser précisément l’eau et les intrants, avec des gains de 20 % sur la facture énergétique.

À La Manouba, des projets pilotes combinent IA, SIG et télédétection pour une agriculture de précision, réduisant les coûts et améliorant les récoltes. Ces avancées s’alignent sur les priorités ITES pour une matrice urgence-impact élevée en agriculture.​​

Ainsi, face au changement climatique, l’IA irrigationnelle positionne la Tunisie comme pionnière maghrébine, pavant la voie à une productivité accrue et durable.​

L’article ITES : irrigation intelligente, la révolution IA made in Tunisia est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

ITES : l’IA, levier stratégique pour l’agriculture

03. Dezember 2025 um 09:23

L’Institut Tunisien des Études Stratégiques (ITES) positionne l’intelligence artificielle comme un pilier du rôle social de l’État dans l’agriculture, via une matrice urgence-impact alignée sur les ODD 2030 pour optimiser ressources et résilience climatique.​

Le document de l’ITES classe les recommandations IA pour l’agriculture en fonction de leur urgence et impact, priorisant la gestion hydrique et la prédiction des rendements face aux défis tunisiens comme la sécheresse. Des startups locales, telles que Irwise, illustrent cela en réduisant de 35 % la consommation d’eau via l’IoT et l’IA, tout en boostant la production de 15 %. Cette approche soutient la sécurité alimentaire en intégrant prévisions météo et détection de ravageurs.​​

L’adoption massive de ces outils d’IA pourrait transformer l’agriculture tunisienne en modèle de durabilité, renforçant l’économie rurale et la souveraineté alimentaire.​

L’article ITES : l’IA, levier stratégique pour l’agriculture est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Gestern — 02. Dezember 2025Haupt-Feeds

Le bar branché de Ryad qui attire la jeunesse saoudienne

02. Dezember 2025 um 16:07

Un premier bar à bière sans alcool a ouvert à Riyad, capitale de l’Arabie saoudite, où la jeunesse saoudienne se presse pour découvrir cette boisson innovante.

Situé sur l’une des avenues les plus fréquentées de la ville, ce bar, nommé A12, offre une ambiance conviviale avec des pintes de bière sans alcool, notamment une Warsteiner allemande à 0,0 %, servies à la pression.

Le lieu est devenu un rendez-vous prisé, notamment des jeunes souvent habillés en thobe traditionnel, qui apprécient de pouvoir vivre l’expérience sociale d’un bar. Tout en respectant la stricte interdiction de consommation d’alcool en vigueur dans le pays depuis 1952.

Cette initiative répond aussi à un désir d’ouverture tout en respectant les normes culturelles et religieuses. Et ce, en proposant un espace de détente et de convivialité adapté aux attentes des nouvelles générations, hyperconnectées et influencées par les réseaux sociaux.

L’article Le bar branché de Ryad qui attire la jeunesse saoudienne est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie – AIIB : les bases d’une coopération durable en matière d’infrastructures

02. Dezember 2025 um 11:53

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a reçu dans la journée du lundi 1er décembre 2025 Supee Teravaninthorn. Elle est conseillère spéciale du vice-président de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB), en visite de travail en Tunisie avec sa délégation. 

Cette rencontre fait suite à l’accord conclu lors de la réunion annuelle de l’AIIB tenue en juin dernier à Pékin. Réunion au cours de laquelle il avait été décidé d’envoyer une mission technique en Tunisie pour analyser les programmes et priorités de développement du pays. 

Pour sa part, Samir Abdelhafidh a insisté sur l’importance de cette visite, qui ouvre la voie à un alignement des priorités nationales avec les objectifs financiers de la Banque. Il a rappelé que les domaines favorisés par l’AIIB correspondent parfaitement aux orientations stratégiques de la Tunisie.

Ainsi, le ministre a exprimé son souhait de voir naître une coopération durable et fructueuse entre la Tunisie et l’AIIB, fondée sur un partenariat solide à moyen et long terme.

A cet égard, notons que la Tunisie est devenue membre de l’AIIB en 2022. Cette institution multilatérale regroupe aujourd’hui 110 pays membres.

Par ailleurs, Supee Teravaninthorn a souligné que cette visite vise à mieux comprendre les plans de développement tunisien. Et ce, en particulier dans les secteurs clés soutenus par la Banque, tels que l’eau, les énergies renouvelables, les transports et les infrastructures. 

Elle a réaffirmé la disponibilité de l’AIIB à étudier les projets proposés par la Tunisie et à mobiliser les financements nécessaires.

L’article Tunisie – AIIB : les bases d’une coopération durable en matière d’infrastructures est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Maher Ketari : « Suppression des quotas de voitures populaires, un bond de 10 % à 100 % pour répondre aux besoins des familles tunisiennes »

02. Dezember 2025 um 10:02

Acheter une voiture est devenu, pour beaucoup, le rêve d’une majorité de Tunisiens, afin de mettre un terme aux longues heures d’attente pour trouver un taxi, ou prendre le bus, ou le métro. Autrement dit, les transports se sont transformés en véritable parcours du combattant. Pour analyser cette situation, le député à l’ARP et membre de la Commission des Finances, Maher Ketari, dresse un état des lieux, dans une déclaration exclusive à leconomistemaghrebin.com.

Mais que sait-on vraiment de cette voiture importée pour chaque famille ? Même si la mesure ravit certains, elle laisse penser qu’il y a anguille sous roche.

Maher Ketari rappelle qu’il faut avoir un revenu ne dépassant pas un certain seuil si une seule personne travaille. Par exemple, si c’est le père ou la mère qui travaille, le revenu ne doit pas dépasser dix fois le SMIG. Si les deux parents travaillent, le revenu ne doit pas dépasser quatre fois le SMIG.

 

Lire aussi: Voiture pour chaque famille: une promesse qui roule ou un mirage?

À titre d’exemple, le SMIG est de 500 dinars ; toute personne ayant un revenu brut entre 500 et 5 000 dinars a droit à cet avantage. La question essentielle est donc l’impact de cet avantage fiscal. Notre interlocuteur a répondu : « Il n’y a plus d’attente quand on veut acheter une voiture populaire chez un concessionnaire. Avec ce dégrèvement fiscal… Par exemple, si la voiture populaire de 4 chevaux coûte 38 000 dinars, celle de 5 chevaux coûtera environ 42 000 dinars, et surtout, elle sera exonérée du droit de douane ».

Il est possible d’acheter une voiture 5 chevaux sans payer ce droit, ce qui rend le prix final seulement 3 000 dinars plus élevé environ.

Marché de l’occasion et risques associés

Cela dit, l’article 55 autorise désormais chaque famille à importer une voiture sans payer de droits de douane, à condition que le véhicule ait au maximum huit ans d’âge et que cet avantage ne soit pas cumulable avec celui de la voiture populaire.

« Pour acheter une voiture d’occasion, même d’Europe, à un certain moment, vous n’avez pas de garantie constructeur, ni l’assurance que cette voiture n’a pas été trafiquée ». Il rappelle : « Il existe des risques de sécurité et de qualité concernant les voitures d’occasion importées, notamment l’absence de garanties constructeur et les risques de trafic ». Autrement dit, cet article risque de supprimer les voitures d’occasion ».

Il poursuit : « Le Tunisien peut s’orienter davantage vers le marché local, vers le neuf, avec une voiture à 40 000 ou 42 000 dinars, où il a la garantie constructeur, de deux à trois ans, voire quatre ans chez certains constructeurs, avec des garanties de sécurité et des pièces de rechange disponibles en Tunisie ».

Suppression du quota pour les voitures populaires

Il y avait une confusion sur le quota des voitures populaires. Le député précise : « Mais il n’y a pas de quota pour ces voitures. Le quota ne doit pas être inférieur à 10%. C’est-à-dire de 10% à 100% ».

Les concessionnaires peuvent vendre tous leurs quotas si la demande existe. Le secteur formel importe environ 600 000 à 700 000 voitures par an, suffisant pour couvrir les besoins des familles tunisiennes. « Cette loi contribuera à diminuer très sensiblement le prix de l’occasion en Tunisie, ce qui est également une bonne nouvelle pour les Tunisiens ».

Le transport public, un enjeu clé

Cela dit, la grande question demeure : même si c’est beau d’acheter une voiture, qu’en est-il du transport public ? Un pays qui se respecte doit aussi garantir un transport digne à ses citoyens.
À cet effet, Maher Ketari souligne : « L’exécutif a fourni environ 1000 bus jusqu’à présent pour essayer d’améliorer le transport en commun. Des appels d’offres sont en cours pour de nouvelles rames de métro et de nouvelles licences de taxi. Des bus neufs et d’occasion arriveront prochainement, notamment de Chine et de Suisse ».

 

Lire également : 200 bus genevois entament une seconde vie à Tunis

 

Un autre point important est la mise en place d’une application mobile pour les transports publics. « Une discussion est en cours pour relancer et améliorer les applications mobiles afin de mieux gérer les horaires des bus et métros ».

Il conclut : « Il faut que non seulement la consommation mais aussi l’investissement et la création de richesses reprennent, car tout repose sur la création de richesses et sur le climat de confiance des jeunes entrepreneurs, notre jeunesse très intelligente et éduquée, qui ne demande qu’à avoir sa chance de briller ».

L’article Maher Ketari : « Suppression des quotas de voitures populaires, un bond de 10 % à 100 % pour répondre aux besoins des familles tunisiennes » est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

ARP : la proposition de +7% revient sur la table

01. Dezember 2025 um 22:37

L’augmentation salariale revient de nouveau sur le tapis de l’ARP. La députée Dalel Lamouchi, présidente de la commission des secteurs productifs au Conseil national des régions et districts a souligné dans une déclaration à Mosaique fm, que la proposition visant à fixer une augmentation salariale minimale de 7% n’a pas été adoptée lors du premier vote.  Pour cette raison, un groupe de députés a décidé de la représenter afin d’assurer la collaboration entre les deux chambres législatives.

Mme Lamouchi a expliqué sur les ondes de Mosaïque fm que cette initiative est motivée par la nécessité d’améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs et employés, surtout face à la hausse constante des prix et à l’inflation croissante.
Elle a également reçu le soutien de plusieurs députés de l’ARP, espérant que la proposition sera cette fois votée favorablement pour garantir un mieux-être aux citoyens tunisiens confrontés à la hausse du coût de la vie.

L’article ARP : la proposition de +7% revient sur la table est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Taux monétaires inchangés en décembre: la BCT maintient le cap

01. Dezember 2025 um 18:39

La Banque Centrale de Tunisie (BCT) a publié ses indicateurs monétaires au 1er décembre 2025, confirmant une stabilité générale des taux clés. Le Taux du marché monétaire (TM) s’établit à 7,49%, en ligne avec le Taux d’intérêt directeur maintenu à 7,50%.​

Le Taux moyen du marché monétaire (TMM) pour novembre 2025 reste inchangé à 7,49%, marquant une stabilisation pour le troisième mois consécutif selon les données officielles de la BCT. Cette tendance reflète une politique monétaire prudente face à l’inflation modérée.​

Parallèlement, le Taux de rémunération de l’épargne (TRE) applicable en décembre 2025 est fixé à 6,50%, offrant un rendement stable pour les déposants dans un contexte de taux directeurs constants.​

L’article Taux monétaires inchangés en décembre: la BCT maintient le cap est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Haithem Debbiche, nouveau DG de Tetra Pak pour le Maghreb et l’Afrique de l’Ouest

01. Dezember 2025 um 11:51

Haithem Debbiche vient d’être nommé Directeur Général de la région Maghreb et Afrique de l’Ouest à Tetra Pak. Il occupait depuis 2024 le poste de Directeur général pour la région Afrique de l’Ouest. Il succède ainsi à Laurent Rodier pour la région Maghreb, assumant la direction de toute la zone Maghreb & Afrique de l’Ouest.

Diplômé de l’Université Paris Sorbonne, il cumule 21 ans d’expérience et a exercé des fonctions stratégiques dans le développement des activités et des partenariats dans ces régions.

Avec près de 20 années d’expérience dans le Maghreb, M. Debbiche possède une solide expertise et une connaissance approfondie des caractéristiques de la région. Il déclare être honoré par sa nomination et enthousiaste à l’idée de renforcer les liens avec les partenaires et les équipes locales.

Il considère le Maghreb et l’Afrique de l’Ouest comme des marchés à fort potentiel, avec pour priorité de développer des solutions alimentaires innovantes et sûres, afin de répondre aux besoins actuels des consommateurs tout en anticipant les produits du futur.

L’entreprise innove depuis plus de 70 ans et met au service de ses clients une expertise mondiale dans la fourniture d’équipements, solutions de traitement et de conditionnement alimentaires, avec une forte présence locale pour garantir disponibilité et support continu en toute circonstance.

L’article Haithem Debbiche, nouveau DG de Tetra Pak pour le Maghreb et l’Afrique de l’Ouest est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Hedia Arfaoui : “Les augmentations salariales du privé relèvent du dialogue social”

01. Dezember 2025 um 08:59

Les augmentations de salaires devraient émaner d’une négociation collective entre les partenaires sociaux et le gouvernement. C’est ce qu’a rappelé via son post Fb, Hedia Arfaoui, secrétaire générale adjointe chargée des relations arabes et internationales à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), et membre du conseil d’administration du Bureau international du travail.

Elle est revenue sur la convention internationale n° 98 sur le droit d’organisation et de négociation collective, ainsi que sur la n° 154 relative à la promotion de la négociation collective. Lesquelles consacrent un principe fondamental : la fixation des salaires dans le secteur privé, y compris les augmentations périodiques, qui relève exclusivement de la négociation collective entre partenaires sociaux.

Elle a rappelé que cette fixation ne doit pas être imposée par une intervention législative de l’État. “Ainsi, dans le secteur privé, les augmentations de salaire ne sont ni décidées par la loi ni par le Parlement, mais uniquement déterminées par des accords issus du dialogue social”, ajoute-t-elle.

Et de poursuivre : “Toutefois, ce principe connaît une exception importante concernant le salaire minimum garanti. Ce dernier constitue un outil de protection à la fois sociale et économique. Dans ce domaine, l’État peut intervenir par la réglementation et la législation afin d’assurer une protection minimale aux salariés les plus vulnérables.”

Et de conclure : “En revanche, tous les autres salaires et leurs augmentations demeurent soumis aux mécanismes de la négociation collective, conformément à la législation nationale et aux normes internationales du travail.”

L’article Hedia Arfaoui : “Les augmentations salariales du privé relèvent du dialogue social” est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Conférence Algérie-Mohamed Ali Nafti : « réparations coloniales africaines​ »

30. November 2025 um 19:07

Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, a pris part ce 30 novembre 2025 à Alger à la première session ministérielle de la Conférence internationale sur les crimes coloniaux en Afrique, organisée dans le cadre du thème 2025 de l’Union africaine : “ Justice pour les Africains et les personnes d’ascendance africaine à travers la réparation”.

Lors de son intervention, il a plaidé pour contrer les narrations coloniales via une stratégie participative, politique, juridique et éthique, allant au-delà des compensations et restitutions de biens spoliés culturels et financiers.​
Le ministre a appelé à réviser les politiques internationales envers l’Afrique, notamment sur la dette, les flux financiers illicites et le pillage des ressources, tout en lançant une campagne de sensibilisation contre leurs effets persistants comme la discrimination raciale et l’exclusion. Il a conclu en citant Nelson Mandela : “ La liberté de nos pays africains demeure incomplète tant que le peuple palestinien ne jouit pas de sa liberté et de son indépendance sur l’ensemble de son territoire, pleinement souverain, avec pour capitale El Qods ”.

L’article Conférence Algérie-Mohamed Ali Nafti : « réparations coloniales africaines​ » est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

PLF2026: boom attendu pour les véhicules hybrides rechargeables

30. November 2025 um 17:44

Une chose est sûre: les concessionnaires des voitures hybrides seront aux anges. En effet, l’article 46 du PLF 2026 marque un tournant dans la fiscalité automobile en plaçant les véhicules hybrides rechargeables (PHEV) au même niveau fiscal que les véhicules 100% électriques (VE).

Ce qui signifie que ces deux catégories bénéficient désormais d’une exonération totale des droits de consommation et d’un taux de TVA réduit à 7%, à condition qu’il s’agisse de véhicules dotés d’un moteur thermique et d’un moteur électrique rechargeable sur secteur.

À l’inverse, les hybrides non rechargeables (HEV) conservent un régime moins avantageux, limité à une réduction de 50% des droits de consommation, sous plafonds stricts de cylindrée.

Cette nouvelle architecture fiscale devrait entraîner une baisse sensible des prix des voitures hybrides rechargeables neufs. Ce qui stimule leur diffusion et soutient en parallèle le déploiement des bornes de recharge, déjà encouragé par le maintien des incitations sur les équipements dédiés.

Même si tout cela est beau, la question essentielle reste: nos routes, nos infrastructures sont-elles adéquates pour ces véhicules? Entre promesses et réalité, plusieurs questions devraient être posées…

L’article PLF2026: boom attendu pour les véhicules hybrides rechargeables est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Voiture pour chaque famille: une promesse qui roule ou un mirage?

30. November 2025 um 16:18

Acheter une voiture est, pour beaucoup, devenu le rêve d’une majorité de Tunisiens, afin de mettre un terme aux heures d’attente pour trouver un taxi ou prendre le bus ou le métro, où les transports se sont transformés en véritable parcours du combattant.

Mais que sait-on vraiment de cette voiture importée pour chaque famille ? Même si la mesure fait le bonheur de certains, elle laisse penser qu’il y a anguille sous roche, surtout au vu des dernières informations relayées par Mosaïque fm.

Quels sont les critères? 

L’article 55 prévoit l’octroi d’un avantage fiscal lors de l’importation ou de l’acquisition, sur le marché local, d’une voiture neuve ou d’occasion au profit d’une famille résidente, à condition qu’il ne soit accordé qu’une seule fois au cours de la vie.

Crédit photo: Mosaïque fm
Crédit photo: Mosaïque fm
Crédit photo: Mosaïque fm

Par “famille”, il faut entendre le couple (époux et épouse) et leurs enfants âgés de moins de dix-huit ans, le cas échéant, ainsi que la personne ayant la qualité de chef de famille en cas de divorce ou de décès de l’un des conjoints.
Quant aux critères de l’acquisition, ils sont multiples.

Pour commencer, la taxe à la consommation sur les voitures équipées d’un moteur thermique diesel d’une cylindrée n’excédant pas 1700 cm³, ou d’un moteur thermique essence d’une cylindrée n’excédant pas 1400 cm³, est fixée à 10%. La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est fixée à 7%.

Voiture pour chaque famille: cadeau ou piège? 

Ce qui veut dire que cet article 55 autorise désormais chaque famille à importer une voiture sans payer de droits de douane, à condition que le véhicule ait au maximum huit ans d’âge et que cet avantage ne soit pas cumulable avec celui de la voiture populaire. De plus, la revente est interdite pendant cinq ans à compter de la date d’importation, et le nombre de ces véhicules doit représenter au moins 10% du total des voitures importées.

Réagissant à cette nouvelle, l’expert en économie Ridha Chkoundali a souligné via son post fb que même si l’article 55 apparaît comme un avantage important pour les familles tunisiennes et un “ succès historique” pour ses promoteurs, ses conditions d’application sont en réalité très difficiles à remplir. Il souligne que toutes les familles ne sont pas concernées, mais uniquement celles dont le revenu brut ne dépasse pas dix fois le SMIG pour un seul parent ou quatorze fois pour le couple, et qu’une grande partie d’entre elles n’aura de toute façon pas les moyens financiers de procéder à l’importation du véhicule.

Il ajoute que les délais et les plafonds prévus réduisent encore la portée du dispositif : une famille remplissant toutes ces conditions pourrait ne pas en bénéficier si le nombre de voitures autorisées dépasse 10% du total des véhicules importés dans l’année. De ce fait, selon lui, cet article n’aura ni impact sur les équilibres financiers de l’État ni sur la balance commerciale, car le nombre réel de bénéficiaires restera très faible.

En somme, Ridha Chkoundali considère que ce chapitre relève davantage du rêve que de la réalité pour la majorité des familles tunisiennes : il fait naître beaucoup d’espoirs, mais ses conditions sont si exigeantes qu’il ressemble à une chimère, “une course derrière un mirage”.

L’article Voiture pour chaque famille: une promesse qui roule ou un mirage? est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Exonérations fiscales plébiscitées : l’ARP dit « oui »

30. November 2025 um 14:19

Au cœur d’un projet de loi de finances (PLF) 2026 visant à équilibrer 63,575 milliards de dinars de dépenses face à 52,560 milliards de recettes fiscales attendues, l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) accélère son examen parlementaire pour contrer la crise économique persistante.​

Les réformes fiscales phares, axées sur la modernisation, ont été plébiscitées : factures électroniques généralisées (chapitre 53 : 107 oui). Ce qui signifie que les entreprises devront, de façon quasi systématique, émettre et envoyer leurs factures sous un format numérique normalisé via une plateforme officielle, au lieu d’utiliser des factures papier.

Par ailleurs, les allègements en faveur des retraités (chapitre 56 modifié : 117 oui) et  des agriculteurs touchés par la sécheresse (chapitre 58 : 117 oui) ont,  eux aussi, recueilli une large majorité de « OUI ».

Seulement 3 amendements sur 11 ont passé l’épreuve (chapitres 35 maladies rares, 56 et 61 cinéma), 6 rejetés et 2 retirés, signe des négociations tendues entre ARP et le Conseil national des régions et districts.​

L’article Exonérations fiscales plébiscitées : l’ARP dit « oui » est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

ARP divisée : 95% pour la présidence, 59% seulement pour la culture

30. November 2025 um 13:13

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a poursuivi, depuis samedi 29 novembre 2025, et ce dimanche 30 novembre 2025 sa séance plénière commune consacrée à l’examen du projet de loi de finances pour 2026, en présence de la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi.​

Conformément à l’article 78 de la Constitution et aux textes budgétaires en vigueur, les députés ont lancé le vote en première lecture sur le titre du projet (100 oui, 1 abstention, 6 non), ainsi que sur les crédits des missions et missions spéciales.​

La séance plénière a validé la plupart des missions ministérielles avec des majorités contrastées : 95 oui pour la présidence de la République, 82 oui pour les Finances, mais seulement 61 oui pour l’Industrie et 59 oui pour la Culture. Autrement dit, ces deux secteurs l’industrie et la culture ont enregistré plus de refus que des “oui”.

L’article ARP divisée : 95% pour la présidence, 59% seulement pour la culture est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Message d’Abir Moussi à l’opinion publique

30. November 2025 um 11:10

La présidente du PDL Abir Moussi a adressé une lettre à l’opinion publique dans laquelle elle réaffirme sa détermination à poursuivre son combat politique, en se présentant comme une défenseure de “la République et de la gouvernance civile jusqu’à son dernier souffle”.

Elle assure qu’elle “ ne perdra pas espoir et qu’elle restera  à la pointe de ceux qui se consacrent à la sécurité du pays, à la stabilité des institutions, à l’intégrité du territoire national et à la paix du peuple”. 

Elle précise ne rien revendiquer qui sorte du cadre pacifique et légal, déclarant : “ N’attendez de moi aucun acte de violence, aucune violation de la loi, ni aucun appel à l’incitation, à la division ou à la discorde”.Tout en affirmant qu’elle acceptera que l’on porte contre elle “toutes les accusations  et que l’on tente de  » déformer, diffamer et traîner son nom dans la boue  sans pour autant la faire plier.”

A travers sa lettre, elle  annonce qu’elle soutiendra “tout mouvement populaire légitime, pacifique et organisé  porté par des forces civiles et politiques attachées au système républicain et aux principes du document Engagement patriote”. 

Elle affirme vers la fin  qu’elle “ ne permettra aucun vide  susceptible d’entraîner des « conséquences dangereuses ou regrettables  et promet de continuer à  bloquer la voie de l’injustice, de la violence, du chaos et de l’extrémisme”.

L’article Message d’Abir Moussi à l’opinion publique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le trio gagnant des retraités, plus de pension, moins d’imposition!

30. November 2025 um 10:21

Une bonne nouvelle pour les retraités. Aux dernières nouvelles, l’ARP a approuvé une augmentation des salaires et traitements dans les secteurs public et privé, ainsi que des pensions de retraite, pour les années 2026, 2027 et 2028, dans le cadre de l’article 15 du PLF 2026. 

Cette hausse, qui sera fixée par décret, s’accompagne d’une décision de réduction progressive de la charge fiscale sur les pensions, malgré l’opposition de la ministre des Finances, qui alerte sur l’impact de cette mesure sur la soutenabilité des finances publiques et la liquidité des caisses sociales.

Cela dit, la ministre des Finances Michket Slama Khaldi  a fait savoir qu’une grande partie des retraités à faible revenu bénéficie déjà d’une exonération totale de l’impôt et de la contribution sociale. Ce qui signifie que  la baisse d’impôt profitera davantage aux pensions les plus élevées, en contradiction avec le principe de justice fiscale et sociale. 

Il convient de noter que  la Tunisie compte environ 1,278 million de retraités, répartis entre le secteur public (environ 34,9%) et le secteur privé (environ 65,1%). Quant au coût budgétaire de ces mesures, il s’étendra au‑delà de 2026 pour atteindre 2028.

 

L’article Le trio gagnant des retraités, plus de pension, moins d’imposition! est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌
❌