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Heute — 30. Oktober 2025Haupt-Feeds

Secteur bancaire tunisien : l’UGTT menace d’une nouvelle grève avant le Nouvel An

30. Oktober 2025 um 18:01

La Fédération générale des banques, institutions financières et assurances, affiliée à l’UGTT, a confirmé la tenue d’une grève générale les 3 et 4 novembre 2025 dans tout le secteur bancaire tunisien, en réaction à l’échec du dialogue social et à l’absence de réponses concrètes de la part des autorités. Selon Yassine Trikki, membre du bureau […]

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Fitch Ratings souligne l’environnement difficile des banques tunisiennes  

30. Oktober 2025 um 12:48

Les banques tunisiennes continuent d’évoluer dans un environnement difficile, marqué par une inflation élevée, une croissance économique atone et des taux d’intérêt élevés, a indiqué l’agence de notation américaine Fitch Ratings.

En effet, la croissance du crédit (0,6 % sur les cinq premiers mois de 2025) traduit à la fois une demande de financement modérée et une forte absorption des ressources par l’État, réduisant ainsi l’accès des autres secteurs économiques aux crédits, a expliqué l’agence dans une analyse publiée mardi 28 octobre 2025.

A rappeler qu’en septembre 2025, Fitch Ratings a relevé la note souveraine de la Tunisie à «B-» avec perspective stable. Toutefois, cette amélioration ne devrait pas se traduire par une amélioration significative des conditions d’exploitation des banques, malgré la révision à la hausse de la note de l’environnement opérationnel, explique l’agence de notation.

Le taux des créances douteuses (NPL) du secteur a atteint 14,7 % fin mars 2025, soit le plus haut niveau depuis quatre ans (contre 13,1 % fin 2021). Une part importante de ces créances correspond toutefois à des actifs hérités de périodes antérieures, ce qui laisse entrevoir un potentiel de réduction substantielle du ratio de NPL à moyen et long termes, précise l’agence.

La rentabilité du secteur demeure modeste, avec un rendement moyen des capitaux propres (ROE) de 10,6 % sur la période 2022–T1 2025.

Au premier semestre 2025, le résultat net cumulé des dix principales banques a progressé de 13 % en glissement annuel, mais cette évolution a été pondérée par la hausse du coût du risque (+21 %) et par une augmentation des charges d’exploitation (+8 %).

Les conditions de liquidité restent satisfaisantes et devraient être maintenues en 2026. Les dépôts de la clientèle, principale source de financement des banques, ont progressé de 3 % sur les cinq premiers mois de 2025 (contre 10 % en 2024), tandis que les encours de crédit n’ont augmenté que de 0,6 %. Le refinancement auprès de la Banque centrale de Tunisie (BCT) représentait 5 % du passif sectoriel à fin mai 2025.

Les conditions de liquidité favorables devraient se maintenir, soutenant une augmentation progressive de l’exposition des banques à la dette souveraine en 2026, estime la même source, précisant que cette tendance est soutenue par une faible demande de crédit privé et des rendements ajustés du risque attractifs sur les titres publics.

D’après Tap.

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Tunisie : grève des banques et assurances les 3 et 4 novembre pour réclamer des augmentations salariales

30. Oktober 2025 um 12:20
Tunisie : grève des banques et assurances les 3 et 4 novembre pour réclamer des augmentations salariales

Ahmed Jaziri, secrétaire général de la Fédération générale des banques, des institutions financières et des compagnies d’assurance, a déclaré que la grève prévue les 3 et 4 novembre dans le secteur bancaire et assurantiel constitue un moyen de pression pour relancer le dialogue, et non une fin en soi. Il a souligné que l’augmentation salariale […]

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Grève maintenue dans le secteur bancaire : La Fédération appelle le président à intervenir

30. Oktober 2025 um 11:43

La Fédération générale des banques, institutions financières et compagnies d’assurance a lancé un appel au président Kaïs Saïed afin qu’il intervienne pour obliger le Conseil bancaire et financier à reprendre le dialogue.

Un appel urgent pour éviter l’arrêt du secteur

Le secrétaire général de la fédération, Ahmed Jaziri, a déclaré, ce jeudi 30 octobre, sur Jawhara FM que l’arrêt de travail prévu les 3 et 4 novembre pourrait être annulé uniquement si un dialogue sérieux s’instaure avec le Conseil. Selon lui, toutes les tentatives de négociation ont échoué et ni le ministère des Finances, ni la Présidence du gouvernement n’ont répondu à leurs sollicitations.

Des revendications salariales et légales ignorées

Le secteur bancaire n’a pas bénéficié de la revalorisation salariale de 25% prévue pour 2025, contrairement à d’autres secteurs comme la Poste ou la fonction publique. Malgré trois réunions de négociation, le Conseil bancaire et financier refuse toute discussion sur cette augmentation.

Ahmed Jaziri a également rappelé que la loi n°41 de 2023, visant à limiter les taux d’intérêt sur les crédits à long terme, n’a été appliquée que par une seule banque, alors que le président avait appelé à son application sans exception.

La fédération réitère que le retrait de la grève ne sera possible qu’à travers un véritable dialogue avec le Conseil bancaire et financier, soulignant la gravité d’un arrêt de travail qui toucherait l’ensemble du secteur.

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Gestern — 29. Oktober 2025Haupt-Feeds

Fitch Ratings : la rentabilité bancaire reste sous pression malgré la reprise

29. Oktober 2025 um 19:19

Banque NotationLes banques tunisiennes continuent d’évoluer dans un environnement difficile, marqué par une inflation élevée, une croissance économique atone et des taux d’intérêt élevés, a indiqué l’agence de notation américaine Fitch Ratings.

En effet, la croissance du crédit (0,6 % sur les cinq premiers mois de 2025) traduit à la fois une demande de financement modérée et une forte absorption des ressources par l’État, réduisant ainsi l’accès des autres secteurs économiques aux crédits, a expliqué la même source dans un commentaire publié, mardi.

A rappeler qu’en septembre 2025, Fitch Ratings a relevé la note souveraine de la Tunisie à « B- » avec perspective stable. Toutefois, cette amélioration ne devrait pas se traduire par une amélioration significative des conditions d’exploitation des banques, malgré la révision à la hausse de la note de l’environnement opérationnel, explique l’agence de notation.

Le taux des créances douteuses (NPL) du secteur a atteint 14,7 % fin mars 2025, soit le plus haut niveau depuis quatre ans (contre 13,1 % fin 2021). Une part importante de ces créances correspond toutefois à des actifs hérités de périodes antérieures, ce qui laisse entrevoir un potentiel de réduction substantielle du ratio de NPL à moyen et long termes, précise l’agence.

Et d’ajouter que la rentabilité du secteur demeure modeste, avec un rendement moyen des capitaux propres (ROE) de 10,6 % sur la période 2022–T1 2025.

Au premier semestre 2025, le résultat net cumulé des dix principales banques a progressé de 13 % en glissement annuel, mais cette évolution a été pondérée par la hausse du coût du risque (+21 %) et par une augmentation des charges d’exploitation (+8 %).

Les conditions de liquidité restent satisfaisantes et devraient être maintenues en 2026. Les dépôts de la clientèle, principale source de financement des banques ont progressé de 3 % sur les cinq premiers mois de 2025 (contre 10 % en 2024), tandis que les encours de crédit n’ont augmenté que de 0,6 %. Le refinancement auprès de la Banque centrale de Tunisie (BCT) représentait 5 % du passif sectoriel à fin mai 2025.

Les conditions de liquidité favorables devraient se maintenir, soutenant une augmentation progressive de l’exposition des banques à la dette souveraine en 2026, estime la même source, précisant que cette tendance est soutenue par une faible demande de crédit privé et des rendements ajustés du risque attractifs sur les titres publics.

CHIFFRES CLES

  • 0,6 % de croissance du crédit : un signe clair de la faiblesse de la demande de financement dans l’économie réelle.
  • 14,7 % de NPL : niveau le plus élevé depuis quatre ans, mais principalement hérité de créances anciennes.
  • 10,6 % de ROE : la rentabilité reste modérée malgré une légère amélioration.
  • +13 % de bénéfice net : un résultat en hausse, mais limité par le coût du risque et les charges.
  • 5 % de refinancement BCT : la dépendance au financement central reste sous contrôle.

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Banques tunisiennes : Fitch Ratings alerte sur un environnement toujours “difficile”

29. Oktober 2025 um 19:14

Malgré la stabilité retrouvée des indicateurs macroéconomiques, les banques tunisiennes restent confrontées à une combinaison défavorable de taux d’intérêt élevés, de croissance molle et de pression sur la rentabilité, selon l’agence de notation Fitch Ratings.

Une reprise crédit en panne

Dans un commentaire relayé mardi par l’agence TAP, Fitch Ratings estime que le secteur bancaire tunisien évolue toujours dans un environnement « difficile », marqué par la lenteur de la croissance du crédit, évaluée à 0,6 % sur les cinq premiers mois de 2025.
Cette stagnation traduit à la fois une demande de financement limitée et une forte mobilisation des ressources bancaires au profit de l’État, au détriment des autres secteurs économiques.

Autrement dit, la politique de financement public, bien qu’indispensable à la stabilité budgétaire, pèse indirectement sur la capacité des banques à soutenir l’investissement privé.

Des risques maîtrisés, mais persistants

Si Fitch Ratings a relevé en septembre dernier la note souveraine de la Tunisie à “B-” avec perspective stable, cette amélioration « ne devrait pas se traduire par une amélioration notable des conditions d’exploitation des banques ».
L’agence rappelle que l’environnement opérationnel demeure contraint : inflation forte, croissance atone, taux directeurs élevés et coût du risque en hausse.

Le taux des créances douteuses (NPL) a atteint 14,7 % fin mars 2025, soit son plus haut niveau depuis quatre ans. Une part importante de ces créances reste cependant « héritée de périodes antérieures », laissant espérer une amélioration progressive à moyen terme.

Rentabilité sous tension

Entre 2022 et le premier trimestre 2025, le rendement moyen des capitaux propres (ROE) s’est établi à 10,6 %, confirmant la modération de la rentabilité du secteur.
Au premier semestre 2025, les résultats nets cumulés des dix principales banques ont certes progressé de 13 % en glissement annuel, mais cette hausse a été amputée par la flambée du coût du risque (+21 %) et des charges d’exploitation (+8 %).

Liquidité : un équilibre fragile mais stable

Fitch relève néanmoins que les conditions de liquidité restent satisfaisantes.
Les dépôts de la clientèle – principale source de financement des banques – ont progressé de 3 % sur les cinq premiers mois de 2025 (contre +10 % en 2024), tandis que les encours de crédit n’ont augmenté que de 0,6 %.
Le refinancement auprès de la Banque centrale de Tunisie (BCT) représentait 5 % du passif total à fin mai 2025.

Ces conditions devraient se maintenir en 2026, soutenant une exposition accrue des banques à la dette souveraine, estime Fitch, « compte tenu de la faible demande de crédit privé et de rendements publics attractifs ajustés au risque ».

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Tunisie : Les banques et institutions financières annoncent une grève générale

16. Oktober 2025 um 18:33

Le conseil sectoriel des banques et des institutions financières a décidé, ce jeudi, d’appeler à une grève générale sectorielle les 30 et 31 octobre prochains, selon les informations rapportées par le site Ech-Chaab News.

Cette décision intervient en défense du droit syndical et du droit à la négociation au titre de l’année 2025, selon la meme source. Les représentants du secteur dénoncent également « les décisions unilatérales et imposées » prises sans concertation, estimant qu’elles menacent le dialogue social au sein des établissements financiers.

Les syndicats exigent l’ouverture de discussions sérieuses sur les revendications professionnelles et sociales des employés du secteur bancaire. Ils soulignent que ce mouvement de grève vise à rappeler l’importance du respect des engagements et des mécanismes de négociation collective.

Sauf avancée dans les pourparlers avec les autorités concernées, le secteur bancaire connaîtra ainsi un arrêt total d’activité durant ces deux jours, ce qui pourrait avoir des répercussions sur les services financiers au niveau national.

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Blanchiment d’argent : La BCT appelle les banques à renforcer leurs dispositifs de vigilance

10. Oktober 2025 um 18:36

La Banque Centrale de Tunisie (BCT) a adressé, ce vendredi, de nouvelles instructions aux banques et établissements financiers pour intensifier leurs efforts dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Cette démarche intervient à la suite de la publication des résultats actualisés de l’évaluation nationale des risques pour la période 2022-2024.

Dans son communiqué, l’Institut d’Émission a appelé les institutions financières à redoubler de vigilance et à appliquer rigoureusement les diligences en matière de conformité. La BCT insiste notamment sur la nécessité de consolider les dispositifs internes de prévention, de renforcer les contrôles et de mettre à jour les programmes de formation dédiés à la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.

L’objectif est de maintenir un haut niveau de compétence des cadres et agents bancaires, afin de mieux détecter et prévenir les opérations suspectes.

Un contexte de surveillance accrue

Cet appel intervient alors que le président de la République, Kaïs Saïed, a récemment dénoncé l’existence de transferts d’argent clandestins en provenance de l’étranger, évoquant des flux financiers opaques susceptibles d’alimenter des activités illégales.

La BCT semble ainsi vouloir resserrer les mailles du filet autour des circuits financiers suspects, dans un contexte régional marqué par une vigilance accrue des organismes internationaux.

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Kaïs Saïed : « De nombreuses banques doivent se conformer à la politique de l’État »

21. August 2025 um 10:26

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu mercredi 20 août 2025 au palais de Carthage le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, Fethi Zouhair Nouri, qui lui a remis le rapport annuel de l’institution pour l’année 2024.

Cette rencontre a été marquée par un appel ferme du chef de l’État à une réforme du secteur bancaire et à une meilleure cohérence avec les choix économiques de l’État.

Lors de l’entretien, le président a rappelé le rôle fondamental de la Banque centrale, non seulement dans la politique monétaire, mais aussi dans le soutien à l’économie nationale. Il a insisté sur la nécessité de distinguer « indépendance » et « séparation », estimant que certains choix devaient être révisés en profondeur.

Kaïs Saïed a souligné que l’autosuffisance et le refus des ingérences étrangères avaient déjà prouvé leur efficacité. Il a également évoqué le rôle du Comité des analyses financières, chargé de lutter contre la corruption, le blanchiment d’argent et la fuite de capitaux à l’étranger.

S’agissant du secteur bancaire, le président a été catégorique : « Certaines pratiques doivent disparaître » et « de nombreuses banques doivent appliquer la politique de l’État ». Il a exhorté les banques publiques comme privées à contribuer davantage à l’investissement et à faciliter les transactions des citoyens.

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