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La Presse de Tunisie
- Après le « shutdown » du gouvernement : licenciement massif des fonctionnaires de l’administration
Après le « shutdown » du gouvernement : licenciement massif des fonctionnaires de l’administration
Marokko – Rabat begrüßt US-Ankündigung eines Waffenstillstands in Gaza
Marokko lobt diplomatische Bemühungen Washingtons und bekräftigt Unterstützung für eine Zweistaatenlösung im Nahen Osten. Das Königreich Marokko hat die Ankündigung eines Waffenstillstands zwischen Israel und den palästinensischen Gruppen, vor allen der Hamas, im Gazastreifen begrüßt, die auf eine Initiative des US-Präsidenten Donald Trump, in Abstimmung mit zahlreichen arabischen Staaten und unter direkter Vermittlung der USA, […]
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Qui est Bill Bazzi, le nouvel ambassadeur des États-Unis à Tunis ?
Wall Street : légère hausse en ouverture, les techs tirent le marché
La Bourse de New York a ouvert en légère progression mardi, au lendemain de nouveaux records pour le S&P 500 et le Nasdaq. Les investisseurs restent attentifs à la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) et aux annonces liées au secteur de l’intelligence artificielle.
Une ouverture prudente
Dans les premiers échanges, le Dow Jones gagnait 77,60 points (+0,17%) à 46 772,57 points. Le S&P 500 progressait de 0,10% à 6 747,26 points, tandis que le Nasdaq Composite avançait de 23,11 points (+0,10%) à 22 964,78.
L’appétit pour le risque demeure soutenu par les perspectives de croissance dans les technologies de pointe, notamment l’IA, alors que les investisseurs relativisent les craintes d’une paralysie prolongée de l’administration américaine, fermée depuis mercredi dernier.
L’IA dope les valeurs technologiques
Côté valeurs, Dell s’appréciait de 4,4% après avoir relevé sa prévision de croissance à long terme, soutenue par la demande en solutions liées à l’intelligence artificielle.
AMD gagnait 6,6%, bénéficiant de relèvements d’objectifs de cours de Citigroup, Barclays et Bernstein, après un bond de 23,7% la veille lié à la signature d’un accord pluriannuel avec OpenAI.
En revanche, Tesla reculait de 0,43% avant la présentation attendue d’une version plus abordable de son SUV Model Y.
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La chronique de Recherches internationales — Trump prix Nobel ?

On parle de l’attribution du prix Nobel de la paix au président américain Trump. Est-ce possible ? Après tout, il a tant œuvré pour la paix ! Rappelons-nous. N’a-t-il pas manifesté sa volonté de rattacher le Canada aux États-Unis en tant que nouvel État fédéré ? N’a-t-il pas revendiqué le Groenland au Danemark ? N’a-t-il pas déclaré que le canal de Panama devrait être restitué aux USA ?
N’est-il pas, au prétexte de la sécurité d’Israël, au nom de son appui inconditionnel et de son principal pourvoyeur d’armes, complice du génocide commis à Gaza ? N’a-t-il pas tenu des propos ahurissants sur la transformation de l’enclave en complexe touristique et dans ce dessein Trump n’apporte-t-il pas son soutien à l’expulsion des Palestiniens de Gaza ?
Lors du sommet de l’OTAN de La Haye en juin 2025, n’a-t-il pas imposé aux États membres de l’Union européenne– même s’il n’a pas réussi à faire plier l’Espagne- l’augmentation de leurs dépenses de défense à hauteur de 5 % de leur PIB; contre 2 % par exemple pour la France à l’heure actuelle ?
A-t-il vraiment invité les Présidents d’Azerbaïdjan et d’Arménie à la Maison Blanche pour parachever l’accord de paix entre les parties ou bien pour ouvrir la voie à une domination politique, militaire et commerciale dans la région, et profiter des richesses de son sous-sol, notamment du pétrole ? N’a-t-il pas ainsi obtenu des droits exclusifs sur le développement du corridor de Zanguezour qui relie l’Azerbaïdjan aux Républiques d’Asie centrale, renforçant ainsi la position des États-Unis face à l’Iran, la Russie et la Chine ?
Sa rencontre avec Poutine en Alaska en vue de négocier un hypothétique échange de territoires et un accord de paix entre l’Ukraine et la Russie n’avait-elle pas pour véritable objectif, au mépris des intérêts mêmes de l’Ukraine, de tenter de battre en brèche les relations croissantes entre la Russie et la Chine concrétisées par le développement de l’Organisation de coopération de Shanghai, et de lui permettre de concentrer son action stratégique sur la Chine, principal rival économique et politique des États-Unis ?
N’a-t-il pas déclenché une guerre économique contre le monde entier, en particulier la Chine et les pays de l’Union européenne en augmentant les droits de douane à des niveaux exorbitants ?
Sous prétexte de lutte contre les narcotrafiquants, n’a-t-il pas envoyé une armada de guerre dans les eaux territoriales vénézuéliennes pour déstabiliser le gouvernement en place ? N’a-t-il pas au même moment rebaptisé le Département américain de la Défense en « Département de la Guerre », affichant ainsi au monde entier son amour de la paix ?
Non content de mobiliser l’armée à la frontière mexicaine pour stopper les migrants, n’a-t-il pas continué à ériger de hauts murs le long de la frontière ?
En pleine crise économique n’a-t-il pas déployé l’armée dans les rues de Washington pour mener la guerre contre ses propres concitoyens pauvres et sans abri ?
N’a-t-il pas envoyé des unités militaires dans les États américains gouvernés par l’opposition démocrate, sous prétexte d’y combattre la criminalité ?
Que pourrait faire de plus ce « faiseur de paix » pour prouver qu’il mérite ce prix ? On pourrait poursuivre l’énumération au risque de susciter la lassitude du lecteur. En vérité Trump poursuit avec détermination une politique de « faucon à l’intérieur, busard à l’extérieur ». Mais l’oiseau symbole de la paix n’est ni un busard ni un faucon, c’est la colombe rendue célèbre par Picasso. Or, Trump veut chasser cette colombe. Parmi les rabatteurs figurent certains chefs d’État qui appellent de leurs vœux l’attribution du Nobel de la paix à Trump. À la suite d’Israël, le Pakistan, le Cambodge, le Gabon, l’Azerbaïdjan et l’Arménie ont rejoint la « caravane ».
On ne peut évoquer les velléités de Trump et de ses soutiens pour l’obtention du Nobel de la paix sans se souvenir d’un précédent historique. Le 29 septembre 1938, le Premier ministre britannique Chamberlain, le Premier ministre français Daladier, le ministre italien des Affaires étrangères Galeazzo Ciano et Hitler signaient les accords de Munich qui entérinèrent l’occupation par l’Allemagne de la région des Sudètes, au sud de la Tchécoslovaquie. Les signataires prétendirent avoir sauvegardé la paix au mépris des nombreuses critiques et mises en garde sur l’expansionnisme hitlérien. Moins d’un an après ces accords, le 1er septembre 1939, Hitler attaquait la Pologne, déclenchant la guerre la plus sanglante de l’Histoire.
Douze parlementaires suédois proposèrent alors la candidature de Chamberlain au prix Nobel de la paix au nom de ce « succès ». En revanche, l’un des membres antifascistes du parlement suédois, le député Erik Brandt, adressait le 27 janvier 1939 une lettre au Comité Nobel de la Paix par laquelle il proposait, par pure dérision, la candidature de Hitler. Dans sa lettre, Brandt écrivit : « Avant tout, après la Bible qui est peut-être la plus grande et la plus répandue œuvre littéraire du monde, c’est grâce à son amour pour la paix et à ses succès décrits dans son célèbre livre Mein Kampf… qu’il mériterait vraiment le Prix de la Paix. »
Les sarcasmes de Brandt eurent un large écho dans le monde entier. Bien entendu les nazis accueillirent avec joie cette proposition, car pour eux Hitler était « digne » du Prix Nobel de la Paix. A contrario, certains milieux, n’ayant pas saisi le caractère satirique de la lettre, l’avaient vivement rejetée. Brandt, par une lettre envoyée au Comité norvégien du Prix Nobel de la Paix la veille de l’annonce officielle des candidats, le 1er février 1939, informa qu’il retirait sa proposition. Il semble que le Comité ait compris le message : en 1939 le Prix Nobel de la Paix n’a pas été décerné. La rancune d’Hitler ne se fit pas attendre longtemps : le 9 avril 1940 il envahissait la Norvège.
Au cours du XXe siècle plusieurs présidents et hommes politiques américains ont obtenu le prix Nobel de la Paix. Deux d’entre eux retiennent une attention particulière : le premier est Wilson. Il est l’auteur des principes qui ont permis aux États-Unis de développer leur suprématie sur la scène internationale et de forger les ressorts de la « Pax americana ». Ils ont servi de base intellectuelle au Traité de Sèvres de 1918 qui permit le partage du territoire de la Turquie entre les pays occidentaux. Le second est le général Marshall, l’un des bâtisseurs du « rideau de fer » de la guerre froide et d’un Plan d’aide économique prétendument désintéressé aux pays européens à l’issue de la Seconde Guerre mondiale.
Si, à première vue, la proposition d’attribuer le Nobel de la Paix à Trump pouvait s’apparenter à une plaisanterie, à y regarder de plus près elle apparaît répugnante et effrayante. Cette sidérante proposition est lourde de significations sur les menaces qui pèsent sur la paix dans le monde. Elle exprime le visage barbare et tyrannique de l’impérialisme, de la montée de l’extrême droite et de l’impuissance du droit international.
L’attribution du prix à Trump romprait avec l’esprit même du Prix Nobel de la Paix.
Le Comité Nobel ne doit pas céder aux sirènes de l’impérialisme. Il doit choisir parmi les personnalités qui ont véritablement lutté pour la paix et consacré leur vie à cette cause.
Cette chronique est réalisée en partenariat rédactionnel avec la revue Recherches internationales à laquelle collaborent de nombreux universitaires ou chercheurs et qui a pour champ d’analyse les grandes questions qui bouleversent le monde aujourd’hui, les enjeux de la mondialisation, les luttes de solidarité qui se nouent et apparaissent de plus en plus indissociables de ce qui se passe dans chaque pays.
Site : http://www.recherches-internationales.fr/
https://shs.cairn.info/revue-recherches-internationales?lang=fr
Mail : recherinter@paul-langevin.fr 6, av. Mathurin Moreau; 75167 Paris Cedex 19
Abonnements 4 numéros par an : 55 Euros, Étranger 75 Euros
Enis Coskun,
Ancien Secrétaire général et fondateur du Mouvement de la Paix de Turquie
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Actualités Tunisie webdo.tn
- L’ambassade US en Tunisie annonce des services limités en raison du shutdown
L’ambassade US en Tunisie annonce des services limités en raison du shutdown
L’ambassade des États-Unis à Tunis a annoncé que, en raison de l’interruption des crédits budgétaires aux États-Unis, ses communications ne seront plus mises à jour régulièrement jusqu’à la reprise complète des opérations. Seules les informations urgentes liées à la sécurité et à la sûreté seront diffusées pendant cette période. Le shutdown est un terme utilisé aux États-Unis pour désigner la suspension partielle des activités gouvernementales lorsqu’il n’y a pas d’accord au Congrès sur le budget ou sur le financement d’une partie de l’administration fédérale.
Toutefois, les services programmés pour les passeports et les visas, tant aux États-Unis que dans les ambassades et consulats américains à l’étranger, continueront à fonctionner dans la mesure du possible, précise le communiqué officiel.
Les ressortissants tunisiens et autres voyageurs sont invités à consulter le site travel.state.gov pour obtenir des informations actualisées sur les services disponibles.
Ce communiqué reflète les conséquences directes du shutdown américain, qui entraîne un ralentissement partiel des services gouvernementaux à l’étranger, tout en maintenant les opérations essentielles. Les citoyens tunisiens souhaitant voyager aux États-Unis devront donc anticiper leurs démarches et rester attentifs aux informations publiées par l’ambassade.
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Maghreb-Post
- Marokko – US-Investitionen sollen Anerkennung des marokkanischen Hoheitsanspruchs auf Westsahara untermauern
Marokko – US-Investitionen sollen Anerkennung des marokkanischen Hoheitsanspruchs auf Westsahara untermauern
Washington signalisiert mit Wirtschaftsdiplomatie Unterstützung, während Marokko und USA ihre politischen und wirtschaftlichen Beziehungen vertiefen New York – Die Vereinigten Staaten (USA) wollen die im Jahr 2020 ausgesprochene Anerkennung des marokkanischen Hoheitsanspruchs auf die Westsahara nun auch durch konkrete wirtschaftliche Maßnahmen untermauern. Wie die marokkanische Nachrichtenagentur MAP berichtet, kündigte der stellvertretende US-Außenminister Christopher Landau nach […]
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Actualités Tunisie webdo.tn
- Visa américain : Les étudiants étrangers dans le collimateur après la mort de Charlie Kirk
Visa américain : Les étudiants étrangers dans le collimateur après la mort de Charlie Kirk
Les États-Unis passent à l’action. Ceux qui célèbrent l’assassinat de Charlie Kirk risquent la révocation immédiate de leur visa. Les étudiants étrangers sont concernés.
Le ton est clair : « Si vous êtes ici avec un visa et que vous célébrez l’assassinat d’une figure politique, préparez-vous à être expulsé », a déclaré Marco Rubio, secrétaire d’État américain, sur X.
Cette mesure ne fait pas de distinction : étudiants, travailleurs, visiteurs… tous sont sous surveillance. Ceux qui publient sur les réseaux sociaux leur soutien à la mort de Charlie Kirk sont dans le collimateur.
Christopher Landau, secrétaire d’État adjoint, a lui aussi appelé à signaler les étrangers qui « glorifient ou se réjouissent » de l’événement.
Cette politique s’inscrit dans la continuité de mesures déjà sévères : des milliers de visas avaient été annulés pour des publications jugées « problématiques » par l’administration américaine. Les étudiants pro-palestiniens avaient notamment été ciblés.
La révocation du visa peut conduire à une expulsion immédiate du territoire. Les étudiants tunisiens et autres ressortissants étrangers doivent mesurer chaque publication en ligne.
Les droits civiques et la liberté d’expression sont au cœur du débat. Mais pour Washington, la ligne est tracée : célébrer la mort d’un citoyen américain, c’est se mettre hors-la-loi.
America will not host foreigners who celebrate the death of our fellow citizens.
— Secretary Marco Rubio (@SecRubio) September 16, 2025
Visa revocations are under way. If you are here on a visa and cheering on the public assassination of a political figure, prepare to be deported. You are not welcome in this country. pic.twitter.com/dQys2OAeK7
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Arrestation du suspect dans l’affaire du meurtre de Charlie Kirk
La police américaine a annoncé l’arrestation du principal suspect dans l’affaire du meurtre de Charlie Kirk, figure conservatrice connue aux États-Unis. L’homme, identifié comme Tyler Robinson, âgé de 22 ans, a été interpellé dans le comté de Washington, dans l’État de l’Utah, mettant fin à plusieurs jours d’intense traque policière.
Selon les enquêteurs, l’arrestation a été rendue possible grâce au signalement d’un membre de la famille du suspect, qui aurait reconnu Robinson sur des images de vidéosurveillance diffusées par les autorités. Des éléments matériels ont également été saisis, notamment une arme à feu de type fusil à verrou, présumée avoir été utilisée lors de l’attaque, ainsi que des douilles portant des inscriptions à caractère politique ou social.
Les premiers éléments de l’enquête indiquent que Robinson aurait tenu, dans des échanges privés en ligne, des propos laissant entendre qu’il envisageait de commettre un acte violent. Un de ses colocataires aurait également confié aux enquêteurs que le jeune homme parlait récemment de récupérer une arme.
Le suspect fait désormais face à plusieurs chefs d’accusation, dont meurtre aggravé, infractions liées aux armes à feu et obstruction à la justice. Les autorités n’ont pour l’instant pas communiqué d’éléments précis concernant les motivations du suspect, laissant ouvertes plusieurs hypothèses, y compris celle d’un mobile politique.
Cette arrestation marque un tournant majeur dans cette affaire qui a choqué l’opinion publique américaine et suscité une vive émotion sur la scène politique.
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Actualités Tunisie webdo.tn
- 11 septembre : 24 ans après, retour sur une tragédie qui a changé le monde
11 septembre : 24 ans après, retour sur une tragédie qui a changé le monde
Aujourd’hui, le 11 septembre 2025, marque le 24ᵉ anniversaire des attentats du 11 septembre 2001, une journée qui a bouleversé le monde entier. Ce jour-là, quatre avions de ligne ont été détournés par des membres du groupe terroriste Al-Qaïda.
Deux ont percuté les tours jumelles du World Trade Center à New York, un autre a frappé le Pentagone à Arlington, en Virginie, et le dernier s’est écrasé en Pennsylvanie après que les passagers aient tenté de reprendre le contrôle de l’appareil. Ces attaques ont causé la mort de près de 3 000 personnes et ont profondément marqué l’histoire contemporaine.
Une journée tragique
Le matin du 11 septembre 2001, les États-Unis ont été frappés en plein cœur. À 8h46, le vol American Airlines 11 s’écrase contre la tour nord du World Trade Center. À 9h03, le vol United Airlines 175 frappe la tour sud. À 9h37, le vol American Airlines 77 atteint le Pentagone. Enfin, à 10h03, le vol United Airlines 93 s’écrase dans un champ en Pennsylvanie après que les passagers aient tenté de maîtriser les pirates de l’air. Ces événements ont été retransmis en direct à la télévision, bouleversant des millions de téléspectateurs à travers le monde.
Les conséquences immédiates
Les attentats ont provoqué une onde de choc mondiale. Les États-Unis ont réagi en lançant la « guerre contre le terrorisme », qui a conduit à l’invasion de l’Afghanistan pour renverser le régime taliban et démanteler Al-Qaïda. Cette guerre a duré près de 20 ans, jusqu’à la prise de pouvoir des talibans en 2021. Sur le plan intérieur, les États-Unis ont renforcé leur sécurité nationale, notamment avec la création du Département de la Sécurité intérieure et la mise en place de mesures de surveillance accrues.
Des découvertes récentes
Vingt-quatre ans après les attentats, de nouvelles informations continuent d’émerger. En 2021, le président américain Joe Biden a demandé la déclassification de documents liés à l’enquête sur les attentats, dans un souci de transparence et pour apaiser les familles des victimes. De plus, des recherches ont révélé que de nombreux secouristes et travailleurs d’urgence exposés aux poussières toxiques de Ground Zero souffrent encore de maladies respiratoires graves, telles que des cancers et des maladies pulmonaires, des années après leur exposition.
Un héritage durable
Le 11 septembre 2001 a laissé une empreinte indélébile sur le monde. Il a redéfini les relations internationales, modifié les politiques de sécurité et influencé la perception du terrorisme. Chaque année, des cérémonies commémoratives sont organisées pour honorer la mémoire des victimes. Le Mémorial du 11 septembre à New York, inauguré en 2011, est un lieu de recueillement et de réflexion, avec les noms des victimes gravés autour de deux bassins situés à l’emplacement des anciennes tours jumelles.
Alors que le temps passe, le souvenir du 11 septembre 2001 reste vif. Il nous rappelle la fragilité de la paix et l’importance de la vigilance face aux menaces qui pèsent sur notre monde. Aujourd’hui, en ce 11 septembre 2025, nous nous souvenons des vies perdues, des héros qui ont risqué leur vie et de la résilience d’une nation et d’un monde entier face à l’adversité.
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Assassinat du conservateur Charlie Kirk : L’Amérique sous le choc
Charlie Kirk, figure majeure du mouvement conservateur américain et cofondateur de l’organisation étudiante Turning Point USA, a été assassiné mercredi lors d’un meeting organisé sur le campus de l’Université de la Vallée de l’Utah (Utah Valley University), à Orem.
Le drame est survenu en plein air, devant plus de trois mille personnes. Alors qu’il s’adressait à la foule dans le cadre de sa tournée baptisée « American Comeback Tour », une balle tirée depuis un bâtiment voisin l’a atteint au cou. Rapidement transporté à l’hôpital, il a succombé à ses blessures peu après son arrivée.
La nouvelle de sa mort a provoqué une onde de choc aux États-Unis. Le gouverneur de l’Utah, Spencer Cox, a dénoncé un « assassinat politique », tandis que le président Donald Trump a salué la mémoire d’un « patriote et martyr », ordonnant que les drapeaux soient mis en berne. De nombreux responsables politiques, toutes tendances confondues, ont condamné la montée de la violence politique et appelé à l’unité nationale.
Les circonstances exactes de l’attaque restent floues. Un suspect a été brièvement interpellé avant d’être relâché, et l’enquête se poursuit pour identifier le ou les auteurs de ce meurtre. Cet événement relance le débat sur la sécurité des meetings politiques, notamment sur les campus universitaires, où les dispositifs de protection sont jugés insuffisants par plusieurs observateurs.
L’assassinat de Charlie Kirk, dans un climat politique déjà marqué par une forte polarisation, soulève de vives inquiétudes sur l’avenir du débat public aux États-Unis et sur la capacité du pays à garantir la sécurité de celles et ceux qui prennent la parole sur la scène politique.
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Maghreb-Post
- Maghreb – Israels Angriff auf Doha – ein möglicher Wendepunkt für die arabische Sicherheitsordnung
Maghreb – Israels Angriff auf Doha – ein möglicher Wendepunkt für die arabische Sicherheitsordnung
Machtdemonstration Israels, Demütigung der arabischen Welt und des UN-Sicherheitsrats mit Potential zur weltpolitischen Umgestaltung. Köln – Der israelische Luftschlag auf die katarische Hauptstadt Doha am gestrigen 9. September 2025 ist nicht nur ein militärischer Präzisionsschlag gegen Hamas-Funktionäre. Er könnte ein langanhaltendes geopolitisches Erdbeben ausgelöst haben – eines, das die Sicherheitsarchitektur der arabischen Welt erschüttert, die […]
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Actualités Tunisie webdo.tn
- Le Conseil des régions et des districts dénonce le projet de loi américain visant la Tunisie
Le Conseil des régions et des districts dénonce le projet de loi américain visant la Tunisie
Le Conseil national des régions et des districts a réagi avec fermeté, lundi 8 septembre 2025, aux informations relayées sur l’examen par le Congrès américain d’un projet de loi proposant d’imposer des sanctions à la Tunisie pour ce qui a été présenté comme un « recul démocratique ».
Dans un communiqué officiel, l’institution a dénoncé une initiative portée par deux élus américains — l’un républicain et l’autre démocrate — connus, selon le texte, pour leur « allégeance aux lobbys sionistes ». Le Conseil estime que cette démarche illustre une volonté persistante de certaines sphères d’influence à Washington « d’imposer des politiques de domination aux peuples », tout en fermant les yeux sur des violations commises « au nom des droits humains et de la démocratie ».
Le communiqué établit également un lien entre cette offensive politique et la campagne menée à l’échelle internationale contre la Tunisie, dans laquelle interviendraient, selon le Conseil, des « parties internes » qui auraient perdu leurs privilèges après les changements enclenchés par le 25 juillet 2021.
Réaffirmant que « la souveraineté, l’indépendance de décision et la dignité du peuple tunisien sont des constantes intangibles », le Conseil rappelle que les choix politiques engagés par le président de la République, Kaïs Saïed, traduisent « l’expression sincère de la volonté populaire de s’émanciper de toute tutelle étrangère ».
Le texte souligne par ailleurs que la Tunisie reste attachée au principe de non-ingérence dans les affaires des autres États et entend développer des partenariats diversifiés, sur la base du respect mutuel et de l’intérêt partagé, à l’exception du « l’occupation sioniste », qualifiée de « menace pour l’humanité ».
Enfin, le Conseil appelle les Tunisiens à « resserrer les rangs » et à faire preuve de vigilance face à ce qu’il considère comme une attaque directe contre la souveraineté nationale. Il conclut en saluant la capacité du peuple à « se dresser une nouvelle fois en rempart de la liberté et de la dignité nationale ».
Lire aussi : Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain
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Actualités Tunisie webdo.tn
- Projet de loi sur la démocratie tunisienne : Sit-in devant l’ambassade US à Tunis
Projet de loi sur la démocratie tunisienne : Sit-in devant l’ambassade US à Tunis
Un « sit-in de la résistance » a débuté hier dimanche 7 septembre en fin de journée devant l’ambassade américaine à Tunis, à l’appel du Réseau tunisien de lutte contre le système de normalisation.
L’action, prévue pour durer environ une semaine, vise à dénoncer le soutien des États-Unis à l’entité sioniste dans sa guerre contre le peuple palestinien dans les territoires occupés et à exprimer le rejet de l’ingérence américaine dans les affaires intérieures tunisiennes à travers le projet de loi du Congrès intitulé « Rétablir la démocratie en Tunisie ».
Le coordinateur du sit-in, Ghassen Besbès, a déclaré à l’agence TAP que « l’action se poursuivra en principe jusqu’à dimanche prochain, en protestation contre l’escalade de l’agression sioniste contre le peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie, et contre l’arrogance américaine au Moyen-Orient et ses tentatives d’hégémonie en Tunisie, tout en soutenant la flottille mondiale de la résistance visant à briser le blocus de Gaza ».
Il a ajouté que « les revendications du sit-in portent sur la criminalisation de la normalisation avec l’entité sioniste, la lutte contre toutes les formes de normalisation actuelles et potentielles, la limitation des déplacements de l’ambassadeur américain en Tunisie, la cessation de la coordination sécuritaire et militaire avec les États-Unis, la suspension des relations avec ce pays, ainsi que l’octroi d’un soutien et d’une protection totale à la flottille maritime de la résistance et à ses participants, face aux risques de l’arrogance et de l’agression sionistes » lors de leur navigation en Méditerranée en direction de Gaza.
Le sit-in a débuté à 18h sur la place Zitouna, à quelques centaines de mètres de l’ambassade américaine, avec la participation de quelques dizaines de manifestants, en attendant l’arrivée d’autres participants, notamment ceux inscrits sur les listes de la flottille maritime mondiale qui doit partir de Tunisie vers Gaza le 10 septembre, ainsi que des personnalités représentant des organisations et partis soutenant cette initiative et opposés à l’ingérence américaine dans la région arabe et dans les affaires internes tunisiennes. Deux tentes, des tables, des chaises et des matelas ont été installés sur la place pour permettre aux protestataires d’y passer la nuit.
De son côté, Dhaou Jallali, cadre du Réseau de lutte contre le système de normalisation, a indiqué que le sit-in comprend un programme artistique, intellectuel, culturel et politique, dont l’une des principales activités consiste en des interventions sur l’impérialisme américain et ses ingérences contre la souveraineté nationale.
Lire aussi : Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain
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- Un parti politique réagit au projet de loi américain sur la démocratie tunisienne
Un parti politique réagit au projet de loi américain sur la démocratie tunisienne
Le Parti républicain a vivement critiqué le projet de loi présenté au Congrès américain sous l’intitulé « Restaurer la démocratie en Tunisie », le qualifiant d’« atteinte flagrante à la souveraineté nationale et d’ingérence inacceptable dans nos affaires intérieures ».
Dans un communiqué, le parti a affirmé que ce texte « révèle une nouvelle fois le double discours américain, qui prétend défendre la démocratie et les droits de l’Homme, alors que son histoire est jalonnée de soutien à la tyrannie et de répression des peuples ».
Le Parti républicain a par ailleurs souligné que « la seule voie pour protéger la Tunisie des ingérences étrangères réside dans l’unité nationale à travers le lancement d’un dialogue inclusif réunissant l’ensemble des forces politiques, sociales et civiles, ainsi qu’une véritable réconciliation nationale ».
Pour rappel, le député républicain Joe Wilson a annoncé, le 5 septembre courant, via la plateforme X, avoir présenté au Congrès, conjointement avec le démocrate Jason Crow, un projet de loi visant à « restaurer la démocratie en Tunisie ».
Selon ses initiateurs, ce texte ambitionne de « soutenir la démocratie en Tunisie et d’imposer des sanctions aux responsables tunisiens impliqués dans des violations des droits humains ».
Une chronologie des initiatives au Congrès
- 15 juin 2023 : dépôt du projet S.2006 par les sénateurs Jim Risch et Bob Menendez.
- 25 juillet 2023 : adoption en commission sénatoriale et inscription au calendrier législatif.
- Juillet 2023 : la Chambre des représentants adopte une résolution (H.Res.613) exprimant un soutien symbolique aux valeurs démocratiques en Tunisie, tout en soulignant les inquiétudes liées à l’arrestation d’opposants et à la restriction des libertés.
- 26 juin 2025 : une nouvelle résolution (S.Res.310) est introduite au Sénat, confirmant la vigilance américaine vis-à-vis de la situation en Tunisie.
Lire aussi : Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain
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- Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain
Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain
La démocratie tunisienne est de plus en plus observée à l’international. Au Congrès américain, plusieurs initiatives législatives ont vu le jour depuis 2023, traduisant l’inquiétude de Washington face à ce qu’elle appelle reculs démocratiques constatés en Tunisie. Le texte le plus emblématique est le Safeguarding Tunisian Democracy Act (S.2006), introduit au Sénat en juin 2023.
Son objectif eest de conditionner une partie de l’aide américaine à des progrès démocratiques concrets en Tunisie, tout en soutenant la société civile et en créant un fonds dédié au renforcement des institutions.
De quoi s’agit-il exactement ?
Le projet de loi S.2006 prévoit deux volets majeurs :
- Un volet restrictif : réduction de 25 % de l’aide américaine gérée par le Département d’État destinée à la Tunisie (y compris une partie de l’assistance sécuritaire), tant que certaines conditions ne sont pas remplies.
- Un volet incitatif : création d’un fonds annuel de 100 millions de dollars (2024–2025) pour soutenir la démocratie tunisienne, notamment le parlement, la justice indépendante, les médias libres et les ONG.
Pour que ces fonds soient débloqués, le Secrétaire d’État américain doit certifier que la Tunisie a accompli des progrès crédibles en matière de libertés, d’État de droit et de gouvernance.
Une chronologie des initiatives au Congrès
- 15 juin 2023 : dépôt du projet S.2006 par les sénateurs Jim Risch et Bob Menendez.
- 25 juillet 2023 : adoption en commission sénatoriale et inscription au calendrier législatif.
- Juillet 2023 : la Chambre des représentants adopte une résolution (H.Res.613) exprimant un soutien symbolique aux valeurs démocratiques en Tunisie, tout en soulignant les inquiétudes liées à l’arrestation d’opposants et à la restriction des libertés.
- 26 juin 2025 : une nouvelle résolution (S.Res.310) est introduite au Sénat, confirmant la vigilance américaine vis-à-vis de la situation en Tunisie.
Quelles implications pour la Tunisie ?
Ce projet n’est pas anodin. Trois implications majeures peuvent être dégagées :
- Un signal politique fort : le Congrès place la Tunisie dans la catégorie des pays sous surveillance démocratique. Cela fragilise l’image internationale d’un pays longtemps présenté comme l’exception démocratique du monde arabe.
- Un impact financier potentiel : si les conditions ne sont pas respectées, Tunis risque de perdre une partie de l’aide américaine, notamment en matière de sécurité et de développement.
- Une opportunité de réformes : la création d’un fonds dédié pourrait au contraire encourager le renforcement des institutions démocratiques, à condition que les autorités tunisiennes saisissent cette chance.
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- Ils n’ont plus que le visa comme arme : Washington verrouille l’ONU aux Palestiniens
Ils n’ont plus que le visa comme arme : Washington verrouille l’ONU aux Palestiniens
À l’approche de l’Assemblée générale des Nations unies, les États-Unis ont choisi une arme inattendue : le refus de visas. Mahmoud Abbas et plus de 80 responsables de l’Autorité palestinienne se voient interdire l’accès à New York, au nom de la « sécurité nationale ». Une décision symbolique, mais lourde de sens, qui réduit la diplomatie américaine à un outil administratif transformé en levier politique.
Seule exception : les diplomates officiellement accrédités auprès de la mission palestinienne à l’ONU, conformément à l’accord de siège qui engage les États-Unis à garantir l’accès des délégations aux Nations unies.
Washington justifie ce geste par des « considérations de sécurité nationale » et reproche à l’AP de mener des démarches judiciaires contre Israël devant la Cour pénale internationale (CPI) et la Cour internationale de justice (CIJ), tout en cherchant à obtenir une reconnaissance unilatérale d’un État palestinien.
Un visa transformé en arme diplomatique
Ce qui aurait pu paraître un simple acte consulaire prend ici la dimension d’un outil stratégique. Le visa devient une arme, l’ultime levier d’une diplomatie américaine à court d’options.
Plutôt qu’un plan de paix, une médiation régionale ou même des sanctions économiques, Washington choisit de fermer ses guichets. Un choix qui illustre une diplomatie de l’exclusion et de l’humiliation, où l’accès à un territoire se mue en instrument de chantage politique.
Réactions et contestations
Ramallah dénonce une décision « contraire au droit international » et une violation de l’accord de siège de l’ONU.
Du côté des Nations unies, la préoccupation est réelle : entraver la participation d’une délégation revient à fausser la représentativité de l’Assemblée générale.
Des voix critiques rappellent que cette manœuvre ne règle rien sur le fond et ne fait qu’accentuer le sentiment d’isolement palestinien au moment où la crise humanitaire à Gaza atteint un niveau inédit.
Le symbole contre la réalité
Derrière l’effet d’annonce, la portée pratique reste limitée : la question palestinienne sera bien présente à New York, portée par les alliés et soutiens régionaux.
Mais le geste révèle une tendance plus inquiétante : l’affaiblissement de l’arsenal diplomatique américain. À défaut de pouvoir proposer une solution politique crédible, Washington se replie sur des mesures symboliques, transformant l’arme du visa en bouclier dérisoire face à une cause portée par la scène internationale.
Une diplomatie réduite à un tampon administratif
Le refus de visas n’empêchera pas le débat palestinien d’occuper l’Assemblée générale. Mais il envoie un message clair : dans un monde en panne de diplomatie, les grandes puissances en viennent à brandir les outils les plus prosaïques comme instruments de coercition.
En fermant les portes plutôt qu’en ouvrant la discussion, Washington choisit l’arme du guichet, au risque de fragiliser encore davantage son image de médiateur au Proche-Orient.
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Tunisie : Nafti reçoit une délégation du Congrès américain
Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a appelé à développer davantage les échanges commerciaux avec les États-Unis et à lever les obstacles qui pourraient les entraver, afin de tirer parti des opportunités disponibles dans les deux pays et d’ouvrir de nouvelles perspectives d’investissement conjoint.
En recevant, ce jeudi 28 août 2025, une délégation du Congrès américain conduite par Mike Lawler, président de la sous-commission du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord relevant de la Commission des affaires étrangères et membre du groupe d’amitié avec la Tunisie, et comprenant également Ritchie Torres, membre de la Commission des services financiers, ainsi que plusieurs de leurs collaborateurs, dans le cadre d’une visite d’amitié et de travail en Tunisie, les deux parties ont réaffirmé la profondeur et la solidité des relations d’amitié historiques qui lient les deux pays depuis la signature du Traité de paix et d’amitié en 1797, dont ils célèbrent aujourd’hui le 228e anniversaire.
Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a indiqué que Mohamed Ali Nafti a réitéré la volonté de la Tunisie d’élever encore le niveau des relations bilatérales à travers l’intensification et l’élargissement des domaines de coopération, sur la base du respect mutuel et des valeurs communes qui fondent ces relations, conformément aux intérêts partagés des deux peuples amis.
Les deux parties ont passé en revue les secteurs prioritaires, tels que la sécurité, le développement durable, les énergies renouvelables et l’agriculture, qui demeurent des axes d’intérêt commun, en plus de la coopération académique, technologique et scientifique, considérés comme des piliers essentiels du rapprochement humain entre les deux pays, au service des intérêts mutuels et du renforcement des liens d’amitié entre les peuples tunisien et américain.
De son côté, la délégation américaine a salué la solidité des liens d’amitié unissant les deux nations, soulignant l’attention particulière que le Congrès accorde à la stabilité sécuritaire et économique de la Tunisie et au renforcement des relations tuniso-américaines, avec la volonté d’y apporter son appui parlementaire dans divers domaines.
Elle a également mis en avant l’importance de créer des passerelles entre les acteurs économiques du secteur privé, afin de soutenir les opportunités d’investissement américain en Tunisie et d’encourager la coopération dans l’ensemble des secteurs porteurs.
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