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Heute — 12. Oktober 2025Haupt-Feeds

Afrique subsaharienne : croissance revue à la hausse en 2025

Von: hechmi
12. Oktober 2025 um 14:03

La région continue de naviguer entre signes de reprise et défis structurels persistants. Les dernières prévisions macroéconomiques, les initiatives régionales et les grands projets d’infrastructures dominent l’actualité.

Prévisions de croissance revue à la hausse

La Banque mondiale a revu à la hausse ses prévisions pour l’Afrique subsaharienne : 3,8 % de croissance en 2025, soutenue par la baisse de l’inflation et une plus grande stabilité des changes.

Selon le rapport Africa’s Pulse, la croissance attendue atteindrait 3,8 % en 2025, après 3,5 % en 2024, avec une accélération possible à 4,4 % les années suivantes.

Pourtant, la Banque africaine de développement (AfDB) ajuste à la baisse ses propres estimations pour 2025 (3,9 %) en raison de l’incertitude liée aux tarifs commerciaux mondiaux.

Appuis financiers ciblés & projets structurants

L’AfDB prévoit d’octroyer 500 millions USD à la Nigeria en soutien budgétaire, dans le cadre d’un programme de 1 milliard sur deux ans.

Le bloc COMESA (marché commun d’Afrique orientale et australe) a lancé une plateforme de paiements numériques inter-États, favorisant les transactions dans les monnaies locales pour réduire les coûts liés au dollar.

En Mozambique, un projet hydroélectrique de 6 milliards USD – le plus ambitieux de l’ère récente dans la région – vise à renforcer l’accès à l’électricité.

Enjeux structurels : électricité, dette & commerce régional

L’accès à l’électricité demeure un frein majeur : le nombre de personnes sans électricité stagne, en grande partie à cause d’une croissance démographique rapide qui annule les progrès.

De plus, l’accent est désormais mis sur la production industrielle et la viabilité économique des réseaux (et non uniquement sur l’accès rural immédiat).

Sur le plan du financement, l’AfDB prévoit dès 2027 de lever 5 milliards USD tous les trois ans sur les marchés de capitaux pour alimenter ses prêts aux pays à faibles revenus.

Enfin, la dépendance aux flux commerciaux externes et aux marchés étrangers rend la région vulnérable aux chocs tarifaires mondiaux, incitant des ajustements prudents.

Chiffres clés de la semaine

  • Croissance projetée pour l’Afrique subsaharienne en 2025 : 3,8 % selon la Banque mondiale
  • Soutien budgétaire de l’AfDB au Nigeria : 500 millions USD
  • Projet hydroélectrique du Mozambique : 6 milliards USD

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Gestern — 11. Oktober 2025Haupt-Feeds

Investissemnt : L’entreprise espagnole “happypunt” choisit Messadine pour implanter sa future filiale

Von: walid
11. Oktober 2025 um 09:00

L’entreprise espagnole “happypunt” spécialisée dans l’industrie de la mode rapide a annoncé, vendredi, l’ouverture prochaine d’une filiale à Messadine au gouvernorat de Sousse. Cette ouverture est prévue pour début 2026 et devrait générer plus de 130 emplois directs.

L’annonce a été faite lors d’une rencontre, tenue vendredi, au siège de l’Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation (APII), entre le Directeur Général de l’Agence, Omar Bouzouada et le directeur commercial de “happypunt”, Jordi Castells, qui était accompagné de ses collaborateurs.

D’aprés un communiqué de l’APII, les dirigeants de “happypunt” ont, à cette occasion, exprimé leur confiance dans le climat des affaires tunisien, soulignant que la position stratégique de la Tunisie, la compétitivité de sa main-d’œuvre et la qualité de son environnement industriel répondent pleinement à leurs attentes.

De son côté, Bouzouada a souligné l’importance de cette nouvelle implantation, qui témoigne de l’attractivité de la Tunisie comme destination industrielle et d’investissement, présentant un aperçu du tissu industriel national, de ses capacités d’innovation et des dispositifs d’appui mis en place par l’APII pour accompagner les investisseurs.

Il a également exprimé la disposition de l’APII à faciliter l’installation de cette filiale et à contribuer à la réussite de ce nouveau projet, porteur d’opportunités pour la région du Sahel et pour le secteur textile tunisien.

L’APII considère que cette nouvelle implantation vient renforcer la position de la Tunisie comme hub industriel compétitif et attractif en Méditerranée.

Créée en 1996 et basée à Catalogne (Espagne), “happypunt” est aujourd’hui l’un des principaux fournisseurs européens de “fast fashion” (Mode rapide). L’entreprise se distingue par un modèle intégré, couvrant toutes les étapes de la chaîne de valeur, de la conception à la production, pour les plus grandes marques internationales de prêt-à-porter.

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Samir Abdelhafidh reçoit la BEI : cap sur une coopération économique renforcée

Von: walid
10. Oktober 2025 um 09:00

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh s’est entretenu, jeudi, avec Ulrich Brunnhuber, chef de division “Secteur public – Voisinage méridional” à la Banque européenne d’investissement (BEI), en visite de travail à Tunis.

Cette rencontre a porté sur l’état d’avancement des programmes de coopération financière et technique, ainsi que sur les perspectives et les opportunités disponibles pour renforcer davantage cette coopération dans la période à venir.

A cette occasion, Abdelhafidh a exprimé sa satisfaction quant aux relations privilégiées entre la Tunisie et la BEI, soulignant la volonté de les consolider dans le cadre du plan de développement 2026-2030.

Le ministre a également mis l’accent sur l’importance du dialogue entre les deux parties afin d’apporter plus de flexibilité aux programmes et opérations de financement.

Pour sa part, le responsable européen a évoqué la solidité de la coopération et du partenariat entre la Banque et la Tunisie, exprimant la détermination de les renforcer davantage sur les plans financier et technique au cours de la prochaine période, dans un esprit de respect et de confiance mutuels.

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2ème édition des journées de l’investissement à Médenine

09. Oktober 2025 um 15:14

L’île de Djerba abrite les 15, 16 et 17 décembre prochain, la deuxième édition des journées de l’investissement à Médenine, placée sous le thème “Smart investment in Medenine”.

Ce rendez-vous se tient après le succès de la première édition tenue en février dernier en coopération avec plusieurs partenaires sous le thème “investir à Médenine”, a indiqué à l’Agence TAP,  Sonia Mozher, cheffe de l’unité d’encadrement des investisseurs au gouvernorat de Médenine.

L’objectif de ces manifestations est de faire connaitre les spécificités de la région et son potentiel d’investissement de manière à stimuler davantage les projets, l’emploi et le développement dans le gouvernorat de Médenine, d’après la même source.

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Comment la Bourse de Tunis célèbre la Semaine Mondiale de l’Investisseur ?

09. Oktober 2025 um 13:02

La Bourse de Tunis a le plaisir d’annoncer qu’elle prend part à la Semaine Mondiale de l’Investisseur (World Investor Week 2024), lancée en 2017 par l’Organisation Internationale des Commissions de Valeurs (OICV), qui se déroule cette année du 06 au 12 octobre 2025. L’objectif de cette semaine est de promouvoir l’éducation financière des épargnants pour renforcer leurs capacités d’autoprotection, notamment.

A cet effet, la Bourse de Tunis a organisé ce jour en collaboration avec la World Federation of Exchanges (WFE), une cérémonie de sonnerie de cloche pour la culture financière ou « Ring the Bell for Financial Literacy », et ce à l’instar des autres membres de la WFE.

Cet évènement a vu la participation des étudiants de l’Esprit Tunis, qui ont participé à une séance de vulgarisation des principes du marché financier et du déroulement de la séance de cotation.

A noter que la Bourse da remporté le prestigieux prix « Africa’s Best Exchange for Financial Literacy » lors des Euromoney Capital Markets Awards 2025.

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Tunisie : L’élan d’investissement allemand freiné par une bureaucratie étouffante

16. September 2025 um 14:54

Malgré un climat économique mondial incertain, les entreprises allemandes présentes en Tunisie continuent d’afficher leur confiance dans le potentiel du pays. Mais cette confiance est fragilisée par une hausse notable des obstacles administratifs, selon l’enquête annuelle publiée mardi par la Chambre tuniso-allemande de l’Industrie et du Commerce (AHK Tunisie).

L’étude, relayée par l’agence TAP, révèle que 73% des entreprises sondées prévoient de maintenir ou d’augmenter leurs investissements entre 2025 et 2026. Mieux encore, 84% anticipent une croissance de leur activité, preuve que la Tunisie conserve une attractivité économique.

Concernant la conjoncture nationale, 69% estiment qu’elle se stabilisera ou s’améliorera en 2026, un chiffre en recul par rapport à 2024 (80%), mais qui traduit un optimisme relatif malgré les incertitudes.

Les investisseurs allemands mettent en avant plusieurs avantages compétitifs : la proximité géographique avec l’Europe, facilitant les échanges ; une main-d’œuvre qualifiée et compétitive, notamment dans les secteurs industriels et technologiques ; un rapport qualité/prix attractif des facteurs de production. Ces éléments expliquent le maintien d’une dynamique d’investissement et d’un intérêt soutenu pour le marché tunisien.

Une bureaucratie de plus en plus pesante

Si la confiance demeure, elle est assombrie par la montée des freins administratifs. L’enquête indique que 75% des entreprises interrogées déclarent rencontrer des difficultés liées à l’administration, aux procédures douanières ou encore à la Banque centrale, contre seulement 45% en 2024.

Le code des changes est cité parmi les principaux points de blocage, freinant la fluidité des transactions et des investissements.

Les entreprises allemandes réaffirment leur volonté d’investir en Tunisie, mais appellent les autorités à lever rapidement les barrières bureaucratiques. Un assainissement de l’environnement des affaires permettrait, selon l’AHK, non seulement d’attirer davantage d’investissements, mais aussi de stimuler la création d’emplois et de favoriser le transfert de compétences.

Il y a environ 300 entreprises allemandes actives en Tunisie. Ces entreprises emploient environ 90.000 personnes. Parmi ces 300 entreprises, environ 180 sont du secteur industriel et emploient environ 60.000 personnes.

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Tunisie-Égypte : Priorité aux investissements communs et à l’ouverture vers l’Afrique

12. September 2025 um 09:51

Les ministres tunisiens et égyptiens ont réaffirmé cette semaine leur volonté de renforcer le commerce bilatéral et de développer des investissements conjoints, lors de la 18ᵉ session de la Commission mixte tuniso-égyptienne et du Forum économique tenu au Caire.

Hassan Khatib, ministre égyptien de l’Investissement et du Commerce extérieur, a insisté sur la nécessité de relations commerciales équilibrées entre les deux pays et sur l’importance de l’ouverture vers les marchés africains. L’Égypte développe actuellement six centres logistiques sur le continent, offrant à la Tunisie des opportunités stratégiques pour faciliter échanges et projets communs.

Samir Abid, ministre tunisien du Commerce et du Développement des exportations, a souligné que « nos relations économiques et commerciales n’ont pas encore atteint le niveau de potentiel que peuvent offrir nos deux économies ». Il a appelé à diversifier les échanges, soutenir les PME et encourager des partenariats concrets entre entreprises tunisiennes et égyptiennes.

Le secteur privé au cœur du partenariat

Samir Majoul, président de l’UTICA, a rappelé le rôle clé du secteur privé et l’importance d’un saut qualitatif dans la coopération économique. Il a insisté sur la nécessité de lever les obstacles, développer le cadre juridique et favoriser l’investissement dans des secteurs stratégiques : santé, sécurité alimentaire, énergies renouvelables et technologies de communication.

Des initiatives concrètes pour l’avenir

Les deux gouvernements et les chambres de commerce ont convenu de mettre en place une feuille de route, d’identifier les secteurs prioritaires et d’organiser des rencontres régulières entre acteurs économiques. L’objectif est de créer un écosystème favorable aux investissements communs tout en renforçant l’intégration économique régionale et arabe.

La 18ᵉ session de la Commission mixte montre une volonté politique et économique forte pour transformer le partenariat Tunisie-Égypte en un moteur de croissance régionale. Entre levée des obstacles, soutien aux PME et ouverture vers l’Afrique, les deux pays cherchent à tirer pleinement parti de leur complémentarité économique et de leur position stratégique.

Lire aussi :

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Faut-il craindre la ruée chinoise en Tunisie ?

29. Juli 2025 um 12:57

La Chine multiplie les projets en Tunisie, à un rythme jamais vu auparavant. Infrastructures, industrie, tourisme, santé : les domaines d’intervention se diversifient, à mesure que Tunis et Pékin raffermissent leurs liens. Si certains y voient une aubaine, d’autres s’interrogent sur les véritables retombées de cette présence chinoise. Décryptage d’une dynamique en pleine expansion.

Depuis la visite du président tunisien en Chine à la fin du mois de mai 2024, la coopération bilatérale a franchi un cap. Ce déplacement a permis de formaliser un partenariat stratégique global, ouvrant la voie à une intensification des échanges économiques et politiques.

Sur le terrain, les projets se concrétisent rapidement. Parmi les plus emblématiques, le nouveau pont de Bizerte, long de 2,1 kilomètres, est en cours de construction par le groupe chinois Sichuan Road and Bridge Group. Ce projet vise à moderniser l’accès au nord du pays et à fluidifier le transport maritime.

Dans le domaine du sport, la réhabilitation du stade olympique d’El Menzah bénéficie d’un financement chinois. En parallèle, des entreprises chinoises s’intéressent au secteur automobile, avec des projets d’implantation d’usines de fabrication de pièces détachées en Tunisie.

Sur le plan industriel, outre les gisements de sels qui vont etre explorés par les Chinois, un groupe chinois est sur le point d’acquérir une cimenterie tunisienne pour plus de 100 millions de dollars. C’est l’un des plus gros investissements directs chinois récents dans le pays.

Le secteur du tourisme n’est pas en reste : la Tunisie ambitionne d’attirer 30 000 touristes chinois en 2025, contre 20 000 l’année précédente. Pékin soutient également la création de centres culturels et éducatifs, à l’image de l’Institut Confucius de Sousse ou de projets d’hôpitaux universitaires, notamment à Sfax.

Une comparaison avec d’autres pays africains

La Tunisie n’est pas un cas isolé. Depuis une décennie, la Chine est devenue l’un des principaux investisseurs sur le continent africain. Des projets colossaux ont vu le jour dans plusieurs pays :

  • Au Kenya, la Chine a financé la ligne ferroviaire Nairobi–Mombasa, une infrastructure majeure pour le pays.
  • En Éthiopie, les Chinois ont investi dans les chemins de fer, les routes et les barrages hydroélectriques.
  • En Guinée, en Ouganda et au Gabon, des barrages, ports et autoroutes sont sortis de terre grâce à des crédits chinois.

Ces investissements ont permis de combler le déficit en infrastructures, de créer des emplois et de stimuler la croissance. Toutefois, plusieurs pays africains ont également connu des effets secondaires préoccupants : endettement élevé, projets peu rentables, manque de transfert technologique, et conditions de travail parfois discutables.

Quels impacts ?

En Tunisie, les investissements chinois ont déjà permis la création de milliers d’emplois, notamment dans le bâtiment et l’industrie. Les projets en cours s’attaquent à des secteurs structurels délaissés depuis des années : transports, énergie, infrastructures sportives ou encore santé.

Mais certains économistes appellent à la vigilance. La dépendance à un seul partenaire économique peut fragiliser la souveraineté du pays. En outre, la transparence autour des appels d’offres et des clauses contractuelles reste floue. Il est aussi essentiel de veiller à ce que les emplois créés bénéficient aux Tunisiens et que les entreprises locales soient intégrées dans les chaînes de valeur.

Derrière les investissements visibles dans les ponts, les stades ou les usines, la Chine poursuit en Tunisie une stratégie plus large, mêlant avantages économiques et rayonnement culturel. Ce que Pékin recherche, ce n’est pas uniquement un marché, mais un partenaire stratégique dans la région méditerranéenne, à la croisée de l’Afrique, de l’Europe et du Moyen-Orient.

Que veut la Chine de la Tunisie ?

Sur le plan économique, la Tunisie constitue un point d’entrée potentiel vers les marchés européens, grâce à ses accords préférentiels avec l’UE. Sa main-d’œuvre qualifiée et ses infrastructures portuaires – comme le futur port en eaux profondes d’Enfidha – intéressent particulièrement les groupes chinois qui souhaitent délocaliser ou exporter plus rapidement vers l’Ouest.

Mais au-delà de l’économie, Pékin déploie un véritable soft power en Tunisie, dans une logique d’influence culturelle. L’ouverture d’un Institut Confucius à Sousse, la multiplication des bourses d’études pour étudiants tunisiens, ou encore la diffusion croissante de programmes audiovisuels chinois en langue arabe sont autant d’exemples de cette stratégie d’enracinement culturel.

Plus récemment, des programmes de visites encadrées pour journalistes tunisiens en Chine se sont multipliés, souvent financés par le gouvernement chinois ou des agences liées au Parti communiste. Ces voyages visent à façonner une image favorable de la Chine et à tisser des liens avec les acteurs clés de l’opinion publique. Pour Pékin, la Tunisie n’est pas seulement un chantier, c’est aussi un média, un relai et potentiellement un allié diplomatique dans les enceintes internationales.

Dans cette optique, la Chine soigne sa communication, insiste sur le respect de la souveraineté tunisienne, et se présente comme une alternative bienveillante face aux anciennes puissances coloniales ou aux conditionnalités des institutions occidentales.

Lire aussi : Pourquoi les sels tunisiens intéressent-ils tant la Chine ?

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