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Heute — 04. Juli 2025Haupt-Feeds

BEI : 62 % des PME freinées par des coûts logistiques et douaniers élevés

04. Juli 2025 um 14:03

Au-delà du financement et de la concurrence, les PME font face à des obstacles techniques et relationnels importants dans leur stratégie exportatrice. L’enquête BEI révèle que 62 % des PME dénoncent des coûts logistiques, douaniers et de conformité prohibitifs. Tandis que 44 % évoquent la difficulté à identifier des partenaires commerciaux à l’étranger.

Ces contraintes freinent l’intégration des PME dans les chaînes de valeur internationales, pourtant essentielles pour assurer une croissance pérenne à l’export. Le programme Trade & Competitiveness propose ainsi un accompagnement structuré pour aider les entreprises à surmonter ces barrières, notamment via des formations techniques et un soutien à la mise aux normes et à l’innovation, afin de renforcer leur compétitivité sur les marchés internationaux.

Ainsi ces trois volets illustrent les enjeux majeurs auxquels sont confrontées les PME tunisiennes en 2025, ainsi que les réponses apportées par la BEI et l’Union européenne pour soutenir leur développement et leur intégration à l’international.

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BEI : 60 % des PME confrontées à la pression des marchés étrangers

04. Juli 2025 um 12:13

Une enquête récente menée par la Banque européenne d’investissement (BEI) dans le cadre du programme Trade & Competitiveness (TCP), cofinancé par l’Union européenne, révèle que 60 % des PME tunisiennes identifient la concurrence accrue et la saturation des marchés étrangers comme leurs principaux obstacles à l’exportation. 

Cette étude, réalisée auprès de 150 dirigeants de PME opérant dans les secteurs clés de l’agro-industrie, du textile et de l’automobile, dresse un état des lieux du  tissu entrepreneurial qui fait face  à un environnement international très compétitif. Il convient de noter que les PME représentent près de 97 % du tissu productif national, manifestant une forte volonté d’ouverture à l’international. 

Toutefois, il faut rappeler également que les PME sont confrontées à des réalités structurelles et conjoncturelles. Ce qui limite leur développement, que ce soit via la saturation des marchés que via la pression concurrentielle. Cela signifie également que cela impacte fortement l’export. 

De ce fait, un tel constat met l’accent sur l’importance de renforcer la compétitivité via des formations ciblées sur des sujets stratégiques comme les règles d’origine ou la décarbonation. Et ce, dans le but de mieux positionner les PME tunisiennes sur les marchés européens.

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BEI : pour 48 % des dirigeants de PME, le financement constitue un frein à leur exportation

04. Juli 2025 um 12:05

L’accès au financement demeure un enjeu crucial pour les PME. En effet, l’enquête de la BEI a révélé que 48 % des dirigeants estiment que le manque de financement comme un frein principal à leur développement à l’international. Tandis que 88 % des PME interrogées exportent déjà. Et dont seulement la moitié qui exportent de façon  régulière.

En ces temps de réflexion, le Trade & Competitiveness Programme agit en réponse à cette problématique. Il met en lumière que pour faciliter l’accès au crédit, devraient être liées des lignes de financement dédiées. Et qu’elles soient également allégées en garanties et orientées vers des projets structurants. 

En partenariat avec les banques tunisiennes, ces dispositifs visent à libérer la capacité d’investissement des PME pour leur permettre de franchir le cap de l’international avec des bases solides.

Par ailleurs, les PME impactées par un environnement financier difficile, sont confrontées au monopole des grandes entreprises. Ce qui entraîne une difficulté à obtenir des crédits bancaires sur le long terme. 

Toutefois, le taux de décès des PME reste élevé, avec une durée de vie moyenne de 18 mois. Ce qui souligne l’urgence d’un accompagnement ciblé et d’une réforme du cadre législatif et fiscal pour soutenir durablement ce secteur vital de l’économie du pays.

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Enquête l Les facteurs qui freinent la croissance des PME tunisiennes

04. Juli 2025 um 11:26

Faisant écho à la Journée mondiale des petites et moyennes entreprises, la Banque européenne d’investissement (BEI) a dévoilé, jeudi 3 juillet 2025, à Tunis, une nouvelle enquête intitulée Enquête BEI / UE : Les défis des PME en Tunisie en 2025, réalisée dans le cadre du Trade & Competitiveness Programme (TCP) cofinancé par l’Union européenne.

L’étude, menée auprès de 150 dirigeant.e.s de PME tunisiennes opérant dans les chaînes de valeur exportatrices du pays, notamment l’agro-industrie, le textile et l’automobile, dresse le portrait d’un tissu entrepreneurial à la fois combatif et contraint, qui cherche à se projeter à l’international malgré un environnement particulièrement compétitif.

Des ambitions freinées

Les PME, essentielles à l’économie tunisienne et représentant près de 97% du tissu productif national, incarnent une volonté d’ouverture mais butent encore sur des réalités structurelles et conjoncturelles qui freinent leur essor.

Si l’accès au financement et le manque de capital propre restent des préoccupations centrales pour les chef.fe.s d’entreprise interrogé.e.s, c’est la concurrence accrue et la saturation de certains marchés qui apparaissent comme les obstacles les plus difficiles à surmonter.

Dans un contexte mondial où les marchés sont de plus en plus saturés par l’affluence de divers produits et services, un quart des dirigeant.e.s de PME identifient la concurrence accrue comme leur principale difficulté à croître, devant le manque de capital (17%).

Mais c’est à l’international que leur compétitivité est encore plus mise à l’épreuve : 6 PME sur 10 estiment que la saturation des marchés étrangers et l’intensité concurrentielle limitent fortement leur développement.

Face à ce constat, le Trade & Competitiveness Programme mise sur le renforcement de la compétitivité : il propose des formations techniques ciblées, autour de sujets stratégiques comme les règles d’origine, ou encore la décarbonation, afin de positionner les PME tunisiennes comme des entreprises compétitives sur les marchés européens.

«Ce dont nous avons besoin, ce sont des idées audacieuses, des formations ciblées et un accompagnement structuré pour franchir les barrières à l’export. C’est ainsi que nos PME pourront renforcer leur compétitivité et s’imposer durablement sur les marchés internationaux», témoigne un chef d’entreprise tunisien interrogé lors de l’enquête.

Le manque de financement

Derrière chaque ambition se cache un besoin fondamental : celui des ressources. Pour 48% des dirigeant.e.s interrogé.e.s, le manque de financement est un frein principal à toute velléité d’internationalisation.

Malgré le fait que 88% d’entre elles exportent déjà, seulement la moitié le fait de manière régulière, tandis que 1 PME sur 10 reste entièrement absente des circuits d’exportation, faute de moyens pour investir dans l’innovation, la mise aux normes, ou la prospection commerciale.

Conscient de cet écart, le Trade & Competitiveness Programme met en œuvre des solutions concrètes : en partenariat avec les banques tunisiennes, il facilite l’accès au crédit via des lignes de financement dédiées aux PME, allégées en garanties, et orientées vers des projets structurants. Ces instruments visent à libérer la capacité d’investissement des entreprises et à leur permettre de franchir le cap de l’international avec des bases solides.

Freins structurels à l’exportation

Même pour les PME qui ont déjà engagé une stratégie exportatrice, les freins logistiques et commerciaux restent redoutables. 62% dénoncent des coûts logistiques, douaniers et de conformité prohibitifs, tandis que 44% évoquent la difficulté à identifier des partenaires commerciaux à l’étranger. Ces contraintes techniques et relationnelles entravent l’intégration dans les chaînes de valeur internationales, pourtant essentielle pour assurer une croissance pérenne à l’export.

L’enquête Trade & Competitiveness : Panorama des PME en Tunsie en 2025, commandée par la BEI et réalisée par l’institut de sondage Potloc, a été conduite en mai 2025 auprès de 150 propriétaires et/ou dirigeants de PME tunisiennes, sélectionnés pour être représentatifs à l’échelle nationale. Les entreprises interrogées appartiennent majoritairement au tissu productif des principales chaînes de valeur exportatrices ciblées par le programme Trade and Competitiveness de la BEI, cofinancé par l’Union européenne. Ces chaînes de valeur concernent les secteurs de l’agroalimentaire, de l’automobile et du textile.

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Gestern — 03. Juli 2025Haupt-Feeds

Exportation des PME en Tunisie : 60% pointent la saturation des marchés et la concurrence comme principaux obstacles

03. Juli 2025 um 16:02

En Tunisie, 60% des PME sondées ont affirmé qu’une concurrence accrue et la saturation des marchés représentent une de leurs principales préoccupations au moment de l’exportation, c’est ce qui ressort des résultats d’une enquête réalisée par la Banque européenne d’investissement (BEI) sur les défis des PME en Tunisie en 2025 publiée, jeudi.

Selon cette enquête réalisée dans le cadre du “Trade and Competitivenes Programme”(TCP) cofinancé par l’Union Européenne(UE), montre que près de la moitié des PME déplore un manque de financement limitant leur capacité à investir à l’international et que plus d’1 PME sur 10 n’arrive pas à franchir le cap de l’exportation.

En fait, l’étude, menée auprès de 150 dirigeants de PME tunisiennes opérant dans les chaînes de valeur exportatrices du pays, notamment l’agro-industrie, le textile et l’automobile, dresse le portrait d’un tissu entrepreneurial à la fois combatif et contraint, qui cherche à se projeter à l’international malgré un environnement particulièrement compétitif.

Les PME, essentielles pour l’économie tunisienne et représentant près de 97% du tissu productif national, incarnent une volonté d’ouverture mais butent encore sur des réalités structurelles et conjoncturelles qui freinent leur essor.

« Si l’accès au financement et le manque de capital propre restent des préoccupations centrales pour les chefs d’entreprise interrogés, c’est la concurrence accrue et la saturation de certains marchés qui apparaissent comme les obstacles les plus difficiles à surmonter »a indiqué l’enquête.

Sur des marchés saturés, la compétitivité devient un facteur différentiel

Dans un contexte mondial où les marchés sont de plus en plus saturés par l’affluence de divers produits et services, un quart des dirigeants de PME identifient la concurrence accrue comme leur principale difficulté à croître, devant le manque de capital (17 %).

« Mais c’est à l’international que leur compétitivité est encore plus mise à l’épreuve : 6 PME sur 10 estiment que la saturation des marchés étrangers et l’intensité concurrentielle limitent fortement leur développement » a souligné l’enquête BEI.

Face à ce constat, le TCP mise sur le renforcement de la compétitivité en proposant des formations techniques ciblées, autour de sujets stratégiques comme les règles d’origine, ou encore la décarbonation, afin de positionner les PME tunisiennes comme des entreprises compétitives sur les marchés européens.

« Ce dont nous avons besoin, ce sont des idées audacieuses, des formations ciblées et un accompagnement structuré pour franchir les barrières à l’export. C’est ainsi que nos PME pourront renforcer leur compétitivité et s’imposer durablement sur les marchés internationaux», témoigne un chef d’entreprise tunisien interrogé lors de l’enquête.

Selon les résultats de l’enquête, 48 % des dirigeants interrogés évoquent que le manque de financement est un frein principal à toute velléité d’internationalisation.

Malgré le fait que 88% des PME exportent déjà, seulement la moitié le fait de manière régulière, tandis que 1 PME sur 10 reste entièrement absente des circuits d’exportation, faute de moyens pour investir dans l’innovation, la mise aux normes, ou la prospection commerciale.

Des freins structurels à l’exportation

Des freins structurels à l’exportation même pour les PME qui ont déjà engagé une stratégie exportatrice, les freins logistiques et commerciaux restent redoutables. 62 % des dirigeants sondés ont dénoncé des coûts logistiques, douaniers et de conformité prohibitifs, tandis que 44% ont évoqué la difficulté à identifier des partenaires commerciaux à l’étranger.

« Ces contraintes techniques et relationnelles entravent l’intégration dans les chaînes de valeur internationales, pourtant essentielle pour assurer une croissance pérenne à l’export »a dévoilé l’enquête.

Baptisé le «Trade and Competitivenes programme», ce dispositif met en œuvre des solutions concrètes en partenariat avec les banques tunisiennes. Il facilite l’accès au crédit via des lignes de financement dédiées aux PME, allégées en garanties, et orientées vers des projets structurants. Ces instruments visent à libérer la capacité d’investissement des entreprises et à leur permettre de franchir le cap de l’international avec des bases solides.

L’article Exportation des PME en Tunisie : 60% pointent la saturation des marchés et la concurrence comme principaux obstacles est apparu en premier sur WMC.

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Tunisie │ Les jeunes médecins en grève à partir de mardi

30. Juni 2025 um 12:57

Quelque 7 000 jeunes médecins et stagiaires se mettront en grève à partir du mardi 1er juillet 2025 dans tous les établissements de santé publics en Tunisie, pour exiger de meilleures conditions économiques et de travail.

C’est ce qu’a annoncé Baha Eddine Rabei, vice-président de l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM), dans un communiqué transmis à l’agence de presse Tap.

Cette grève fait suite à une série d’actions de protestation entamées en avril et répond à des revendications professionnelles restées lettre morte, jugées essentielles pour améliorer les conditions de travail et de vie des jeunes médecins.

Les jeunes médecins protestent contre l’absence de réponse du ministère de la Santé aux demandes de révision des rémunérations de nuit, d’exemption des médecins du service civil obligatoire et d’augmentation de leur salaire mensuel, qu’ils jugent insuffisant compte tenu de leur charge de travail.

Rabei a souligné que la grève était la conséquence directe d’un boycott massif, avec plus de 95% de participation, de quelque 6 200 jeunes médecins aux sélections de stage, proposées à cinq reprises par le ministère.

«Ces appels ont été ignorés en signe de protestation contre l’absence de dialogue sérieux», a-t-il noté. Il a également accusé les autorités de tenter de «diviser les rangs» des médecins en programmant à plusieurs reprises des sessions de sélection de stage, soulignant que la dernière réunion, tenue le 12 juin entre les représentants syndicaux et les autorités, n’avait abouti à aucun accord concret.

Les jeunes médecins ont déjà organisé plusieurs actions de protestation ces derniers mois, notamment une grève le 21 avril, une marche le 2 mai et une grève de cinq jours en juin pour faire valoir leurs revendications.

Cette grève intervient au moment où des milliers de médecins quittent le pays pour aller monnayer leur science sous des cieux plus cléments et où certaines spécialités se font de plus en plus rares dans les hôpitaux publics.

I. B.

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