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Heute — 27. November 2025Haupt-Feeds

Pluies diluviennes à Béja : les cours suspendus à Nefza et Amdoun

27. November 2025 um 15:15

Les fortes précipitations des dernières 24 heures ont provoqué des débordements d’oueds et perturbé les déplacements, poussant les autorités éducatives à interrompre les cours ce jeudi après-midi.

À Béja, plusieurs délégations ont été touchées par des pluies intenses ayant entraîné la montée rapide des eaux dans les oueds. Face aux risques d’inondation et aux difficultés de circulation, la direction régionale de l’Éducation a décidé de suspendre les cours à Nefza et Amdoun ce jeudi après-midi. La mesure s’inscrit dans un dispositif de vigilance renforcée.

Pluies abondantes et risques d’inondation

Depuis la nuit précédente, le gouvernorat de Béja a enregistré d’importants cumuls de pluie. Plusieurs oueds ont atteint des niveaux critiques, certains débordant sur les axes secondaires et bloquant temporairement la circulation dans différents points du relief nord-ouest.

Les autorités locales signalent des zones où les habitants peinent à se déplacer, en raison de chaussées glissantes ou partiellement submergées. Les équipes de protection civile restent mobilisées pour évaluer les points les plus sensibles et prévenir d’éventuelles évacuations.

Décision de suspendre les cours à Nefza et Amdoun

Interrogé par Diwan FM, le délégué régional de l’Éducation, Mohamed Farouk Ouichri, a confirmé que les établissements scolaires de Nefza et d’Amdoun n’assureraient pas les cours durant la séance de l’après-midi.

La décision intervient alors que les prévisions annoncent la poursuite des averses, rendant les trajets scolaires potentiellement dangereux pour les élèves et le personnel.

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Rencontre à Paris sur le PLF 2026 de la Tunisie

25. November 2025 um 12:18

Le Centre pour le respect des libertés et des droits de l’homme enTunisie (CRLDHT) organisé, dans le cadre de Liqaaet Eco, une rencontre d’analyse du Projet de loi de finances 2026 (PLF2026) sous le thème «PLF 2026 : l’exercice solitaire du pouvoir budgétaire», le 26 novembre 2026 à 19h au CICP (21ter Rue Voltaire, 75011 Paris).

La rencontre, animée par Karim Belkhiria, verra les interventions de Ali Kooli, ancien ministre de l’Économie et des Finances (2020–2021), expert des questions macroéconomiques, de la dette et du système bancaire; Mohamed Trabelsi, ancien ministre des Affaires sociales, spécialiste du dialogue social, de la protection sociale et des politiques d’emploi ; et Hédi Kammoun, représentant de l’association Alert, engagé sur les enjeux de gouvernance économique, de concurrence et de lutte contre l’économie de rente.

Cette rencontre est organisée «à un moment où la Tunisie traverse l’une des crises économiques, sociales, politiques et institutionnelles les plus graves de son histoire récente» et «à l’heure où les droits reculent et où la pauvreté s’étend, le débat sur le budget n’est pas un exercice technique : c’est un enjeu de justice, de dignité et de démocratie», écrit le CRLDHT dans sa note de présentation, dont nous reproduisons ci-dessous l’essentiel…

«Le budget 2026 est construit dans un contexte de tensions financières explosives : une dette publique qui atteint 147,4 milliards de dinars, soit 80,5 % du PIB, des besoins de financement colossaux de 27 milliards de dinars, et un déficit de près de 11 milliards que le gouvernement veut combler en puisant directement dans la Banque centrale, en émettant des sukuk et en pressurant encore davantage un système bancaire déjà exsangue. Ce choix n’est pas neutre : il engage l’avenir, il hypothèque les droits, et il place le pays dans une spirale dangereuse de dépendance et de fragilisation institutionnelle.

«Le PLF 2026 se présente comme un budget opaque, déséquilibré et construit hors des règles démocratiques. Il contourne les dispositifs de contrôle prévus par la Loi organique du budget, siphonne les ressources vitales de la santé, de l’éducation et de la protection sociale, tout en gonflant les budgets sécuritaires.

«Au lieu d’investir dans le soin, le savoir, l’emploi ou l’inclusion, l’État choisit la force, l’opacité et le repli. La disparition du débat public, la marginalisation du Parlement et le recul de la transparence financière ne sont pas des accidents : ils traduisent une volonté assumée de gouverner sans contrôle et sans comptes à rendre.

«En rupture totale avec les engagements internationaux et constitutionnels de la Tunisie, les arbitrages du PLF 2026 représentent une menace directe contre les droits économiques et sociaux. Ce projet budgétaire promet plus d’inégalités, une aggravation de l’effondrement des services publics, et une désindustrialisation qui nourrit un chômage massif, l’exclusion sociale et le désespoir — terreau fertile des dérives autoritaires et des colères collectives.

«Face à cette situation, cette rencontre ambitionne de décortiquer le PLF 2026, d’en dévoiler les implicites politiques et les conséquences humaines, et de construire, avec les participants, des alternatives crédibles. Parce qu’un budget n’est pas seulement une affaire de chiffres : c’est un choix de société. Nous défendons un budget fondé sur la justice sociale, la transparence, et la protection effective des droits fondamentaux — un budget au service du peuple, et non un instrument de consolidation autoritaire.»

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La philosophie trahie | Du combat citoyen au confort des chaires

23. November 2025 um 08:16

La philosophie a été kidnappée. Elle a été arrachée aux agoras, aux cafés, aux rues et aux consciences individuelles pour être emprisonnée dans des facultés aseptisées. Ce que l’on enseigne aujourd’hui sous ce nom n’est trop souvent qu’un simulacre, une momie intellectuelle que l’on commente à l’infini sans jamais lui redonner souffle. Les philosophes médiatiques, quant à eux, sont les bouffons de ce système, des faiseurs d’opinion qui recyclent le bruit ambiant en pseudo-pensée. Mais la philosophie véritable, celle qui mord sur le réel, n’a pas disparu. Elle a déserté les lieux de son supplice pour se réfugier dans le feu de l’acte créateur.

Abdelhamid Larguèche *

La philosophie institutionnelle est une imposture. Elle a oublié que son père fondateur, Socrate, philosophait non pas dans un amphithéâtre, mais sur la place publique. Elle a surtout oublié l’exemple magistral d’Ibn Khaldun, dont les pérégrinations à travers le Maghreb et l’Andalousie furent la matrice vivante de sa pensée. Ce n’est pas dans le silence d’une bibliothèque qu’il élabora sa Muqaddima, mais au contact des tribus, des cours princières, des champs de bataille et des marchés. Sa théorie de la ‘asabiyya (cohésion sociale) et des cycles civilisationnels naquit de l’observation directe des réalités politiques et économiques les plus concrètes, mêlant réflexion méditative et expérience pratique dans un dialogue permanent avec le monde.

L’héritage combattant bafoué

Cet esprit de combat n’a jamais cessé de hanter la vraie philosophie. Marx et Engels ne rédigeaient pas le Manifeste du Parti communiste pour le plaisir de la spéculation abstraite, mais pour armer les prolétaires d’une conscience de classe, transformer la misère quotidienne en force révolutionnaire. Leur célèbre phrase «Les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde diversement ; il s’agit de le transformer» est un acte d’accusation contre toute pensée désincarnée.

Quelques décennies plus tard, un écrivain, Émile Zola, héritait de ce courage avec son J’accuse!. Ce n’était pas un texte littéraire de plus, c’était un acte philosophique pur : risquer sa réputation, sa liberté, sa vie pour la vérité et la justice d’un officier juif injustement condamné. Il incarnait la pensée en action, refusant la distance confortable de l’intellectuel qui observe depuis sa tour d’ivoire.

Aujourd’hui, que reste-t-il de ce combat ? Une caste de spécialistes qui parlent une langue morte, autiste, pratiquant avec délice la «distanciation» face aux crises qui brûlent le monde. Cette distanciation n’est que le nom savant de la lâcheté, l’exact contraire des pérégrinations khaldouniennes qui engageaient le corps et l’esprit dans la compréhension du réel. C’est la trahison suprême de l’héritage de Socrate, d’Ibn Khaldun, de Marx, de Zola. On a stérilisé la pensée, on l’a coupée de ses racines : la colère, la passion, le désespoir et l’espoir des femmes et des hommes.

L’art, dernier bastion de la pensée en révolte

Face à cette trahison, l’art est devenu la nouvelle guérilla philosophique. Là où le professeur pontifie sur l’aliénation sans jamais affronter le système qui la produit, l’artiste la rend palpable. Là où l’un disserte sur «le mal», l’autre, comme Goya, grave l’horreur de la guerre dans Los Desastres. Là où l’un théorise «le temps», l’autre, comme Chadi Abdel Salam, le rend palpable, structurant comme dans La Momie.

L’artiste est l’héritier direct du philosophe-séditieux, du penseur en mouvement. Comme Ibn Khaldun parcourant les routes pour comprendre les mécanismes de l’histoire, l’artiste arpente les territoires mouvants de la sensibilité contemporaine. Il ne représente pas la pensée; il la fait. Avec ses mains, avec la matière, avec son corps. Il pense en sculptant, en filmant, en peignant. Il se souvient que la philosophie n’est pas une discipline, mais une intensité, un engagement total.

L’IA, nouveau champ de bataille

L’intelligence artificielle (IA), loin d’être une menace pour la pensée, est une gifle salutaire. Elle nous force à cesser de nous adorer nous-mêmes. Que vaut notre «génie créateur» face à une machine qui synthétise et compose ? Notre «libre arbitre» face à un algorithme qui prédit ? C’est une occasion unique de rejouer les grands débats philosophiques, non plus dans l’abstrait, mais dans le concret le plus brutal.

L’IA est le nouveau désert que nous devons traverser, la nouvelle géographie mentale où doivent s’engager nos pérégrinations, comme Ibn Khaldun en son temps. Elle nous interpelle dans la rue numérique : «Connais-toi toi-même, si tu l’oses encore.»

Pour un philosophe en permanente sédition

Le philosophe de demain doit cesser d’être un notaire du passé. Il doit redevenir un dissonant, un pirate des significations établies, un pèlerin du réel à la manière d’Ibn Khaldun. Il n’a pas de chaire, il a un atelier, un studio, un code à écrire, des routes à parcourir. Il est plasticien, cinéaste, poète ou codeur. Son œuvre n’illustre pas un concept; elle «est» le concept en acte. Sa mission n’est pas de répondre, mais de déranger, de créer des brèches dans le confort mental, de maintenir ouvertes les plaies du questionnement.

La philosophie n’est pas morte. Elle a simplement déserté les facultés pour rejoindre la résistance. Elle est dans le geste de l’artiste qui défie, dans le code du développeur qui interroge, dans le corps du danseur qui incarne, dans les pérégrinations de ceux qui, refusant le confort du bureau, vont chercher la pensée au cœur des turbulences du monde. Le vrai philosophe aujourd’hui n’est pas celui qui parle d’une vie qu’il ne vit pas. C’est celui qui se tait, serre les dents, et crée.

* Historien.

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Tunisie | Un député déplore la perte de confiance entre le citoyen et la justice

16. November 2025 um 11:00

«Ce qui menace aujourd’hui l’Etat en Tunisie c’est la perte de confiance du citoyen dans le système judiciaire et dans sa capacité à garantir un procès équitable et transparent, sans intermédiation ni pression.»

C’est ce qu’a déclaré le député Malik Kammoun lors de l’examen du budget du ministère de la Justice, samedi 15 novembre 2025, en présence de la ministre de la Justice, Leila Jaffel. Il a ajouté : «Ce qui est encore plus grave pour une nation, c’est lorsque l’Etat traite la population non comme des citoyens libres qui ont des droits et des libertés, mais comme des sujets (ou de simples chiffres, études, plans et loi de finances)», ajouté le député, en appelant l’Etat à œuvrer pour gagner à nouveau la confiance du citoyen.

Malik Kammoun a également déploré les conditions de travail difficiles des juges, la situation dans les prisons qui sont archipleines et l’inefficacité des programme de réinsertion des prisonniers, pointant du doigt la non application des jugements, la lenteur des procédures et des délais judiciaires. Certains palais de justice se sont transformés en «cimetières où l’on enterre les droits des gens», a-t-il lancé.

Le député a aussi souligné le climat d’insécurité où l’expression d’une opinion peut être perçue comme une menace, ajoutant que les citoyens, les journalistes et certains élus se sentent sous pression, tandis que les parents voient l’avenir de leurs enfants compromis «pour un mot, un statut ou une discussion privée». Ce qui, selon lui, aggrave la rupture entre l’État et la population.

I. B.

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Forum à Tunis sur le leadership économique féminin en Méditerranée

14. November 2025 um 09:52

Le Conseil international des femmes entrepreneures (Cife) et la Konrad Adenauer Stiftung organisent un congrès de haut niveau sous le thème «Leadership féminin et intégration économique : synergies stratégiques entre la Tunisie et la Méditerranée».

Ce forum méditerranéen incontournable vise à redéfinir le rôle de la femme dans la prise de décision économique. Il verra le lancement du Conseil régional pour la parité en Méditerranée, une initiative visant à mettre en place des mécanismes contraignants pour la représentation des femmes aux postes de décision.

Il mettra également en lumière le rôle crucial des entreprises dirigées par des femmes en tant que locomotive d’innovation et de développement, et abordera le renforcement de la participation des femmes à la diplomatie économique et leur impact global sur la consolidation de la coopération régionale en Méditerranée.

On attend la participation de ministres, ambassadrices, entrepreneures et leaders féminins méditerranéens dans le cadre de panels de discussion approfondis qui révéleront comment accélérer l’accès des femmes aux hauts postes et son impact sur la gouvernance et la croissance économique.

L’événement se tiendra mardi 18 novembre 2025 à l’hôtel Mövenpick les Berges du Lac, Tunis, en présence de Fatma Thabet Chiboub, ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie ; Rachida Jebnoun, présidente du Cife ; Alessandro Prunas, ambassadeur d’Italie et Anne Gueguen, ambassadrice de France.

Lors d’un précédent forum sur «Le leadership des entreprises et l’autonomisation économique des femmes», le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle a indiqué que, selon un classement des «100 meilleures femmes entrepreneures», 46 % des femmes incluses étaient actionnaires ou directrices de société, 34 % étaient entrepreneures et 20 % étaient cofondatrices, reflétant une présence croissante dans le leadership des entreprises.

Le programme du forum comprend des panels thématiques consacrés aux femmes influentes, au renforcement de l’entrepreneuriat féminin, au leadership économique et au rôle des réseaux d’entreprises féminines dans la transformation de l’économie tunisienne.

Parmi les sujets qui seront abordés figurent l’accès au crédit et aux marchés, l’innovation, la transition écologique et numérique, ainsi que les opportunités de coopération avec les partenaires européens et méditerranéens dans les secteurs du tourisme, des services et des chaînes d’approvisionnement industrielles.

I. B.

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Le budget du ministère des Transports en hausse de 17,7%, cap sur la modernisation du réseau

11. November 2025 um 15:40

Le budget du ministère des Transports pour l’année 2026 atteindra 1281 millions de dinars  (MD) en engagements et 1267 millions en paiements, enregistrant une hausse de 17,7% par rapport à 2025, a annoncé le ministre Rachid Amri.

Priorité au transport terrestre et au soutien des entreprises publiques

Selon le ministre, près de 93% des crédits seront consacrés au transport terrestre, avec 700 MD destinés à soutenir les entreprises publiques du secteur, notamment la Transtu, la SNCFT et les sociétés régionales de transport. Ces subventions représentent plus de la moitié du budget global, soit environ 55% des dépenses du ministère.

Des investissements pour moderniser le parc et le rail

Le programme d’investissement 2026 prévoit l’acquisition de 250 bus neufs, 300 bus d’occasion et 30 rames de métro. Un budget de 150 millions de dinars sera consacré à la réhabilitation et à la modernisation du réseau ferroviaire, afin d’améliorer la sécurité, la ponctualité et la performance du matériel roulant.

Le ministre Rachid Amri a annoncé la réactivation de la ligne ferroviaire n°11 reliant Kalaa Sghira, Kairouan et Kasserine, à l’arrêt depuis plusieurs années.

Une étude de faisabilité sera également lancée pour une ligne ferroviaire à haute performance reliant le nord au sud du pays via Kairouan, afin de renforcer la cohésion territoriale et le désenclavement des régions intérieures.

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Tunis : Le métro n°4 et un bus neuf vandalisés, les auteurs interpellés

31. Oktober 2025 um 10:25

Nouvel acte de vandalisme dans les transports publics de la capitale. Dans la nuit de jeudi à vendredi, le métro n°4 de la Société des Transports de Tunis (TRANSTU) a été attaqué à coups de pierres à l’intérieur de la station de la Place de la République. Plusieurs vitres ont été brisées, selon le PDG de la TRANSTU, Abderraouf Saleh.

Des attaques devenues quasi quotidiennes

Intervenant sur Jawhara FM, Abderraouf Saleh a dénoncé un « comportement totalement injustifiable » et alerté sur la recrudescence de ce type d’agressions, devenues selon lui « presque quotidiennes ». Ces actes, a-t-il rappelé, détériorent le matériel public et perturbent le service, privant les usagers de moyens de transport essentiels.

Le responsable a ajouté qu’un bus neuf a également été pris pour cible, son pare-brise avant ayant été fracassé. Ce véhicule venait tout juste d’être mis en service, a précisé la TRANSTU, soulignant le coût financier et opérationnel que représentent ces dégradations.

Les auteurs identifiés et arrêtés

Les forces de l’ordre sont rapidement intervenues et ont réussi à interpeller les agresseurs présumés, âgés de 15 à 20 ans. L’enquête se poursuit pour déterminer les circonstances exactes de ces attaques et d’éventuelles complicités.

Série noire

Ces dernières années, les transports en commun dans le Grand-Tunis ont connu plusieurs épisodes marquants comme le saccage d’un bus tout juste mis en service, le 30 juillet dernier, comme les actes répétés contre les métros des lignes 5 et 6, incluant la casse de vitres et des tentatives de sabotage technique, etc.

La multiplication de ces incidents pose la question de la capacité des autorités et des opérateurs à garantir la sûreté des transports publics. Les solutions ne peuvent se limiter à la réparation des dégâts et doivent s’étendre avec un renforcement de la surveillance dans les rames et aux stations (vidéoprotection, présence humaine) et une sensibilisation auprès des jeunes publics sur les conséquences juridiques et humaines de ces actes.

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Snapshot – Tunis : Tout s’effondre mais les gravats restent là !

03. September 2025 um 09:15

Spectacle affligeant à la confluence de la rue Zarkoun et de la rue de l’Ancienne douane.

Après l’effondrement d’un pan de mur, les gravats n’ont pas été enlevés depuis plusieurs semaines alors qu’aucune intervention notable n’a été effectuée par les services compétents.

Par conséquent, une décharge publique a vu le jour et les poubelles se mêlent aux gravats.

Un spectacle surréaliste à une cinquantaine de mètres des axes commerciaux et touristiques de la médina de Tunis.

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Tunisie – TICAD 9 : Ligne directe avec le Cameroun, coopération renforcée avec le Sénégal

20. August 2025 um 09:21

En marge du 9e Sommet de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9), la cheffe du gouvernement tunisien, Sarra Zaafrani Zenzri, a multiplié les rencontres bilatérales ce mercredi 20 août 2025. Tunis a annoncé l’ouverture prochaine d’une ligne aérienne directe avec Douala (Cameroun) et réaffirmé, avec le Sénégal, sa volonté de consolider une coopération stratégique et durable.

À Yokohama, Sarra Zaafrani Zenzri a rencontré le Premier ministre camerounais, Joseph Dion Ngute, et le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye.

Faciliter les investissements et les échanges

Avec le Cameroun, la Tunisie a annoncé l’avancement des discussions pour l’ouverture d’une ligne aérienne directe Tunis–Douala. Cette liaison devrait faciliter les investissements, les échanges scientifiques, universitaires et médicaux, ainsi que dynamiser les secteurs du commerce, de l’industrie, de la santé et du tourisme.

Avec le Sénégal, l’entretien a porté sur les projets bilatéraux stratégiques et la préparation de la Haute Commission mixte tuniso-sénégalaise, prévue au premier semestre 2026.

Opportunités de coopération

Le Premier ministre camerounais a salué la diversité des compétences tunisiennes présentes dans son pays – médecins, ingénieurs, entreprises – qui contribuent déjà à la coopération économique.

De son côté, le président sénégalais a insisté sur la solidité historique des relations entre Tunis et Dakar, tout en mettant en avant les opportunités de coopération dans les secteurs vitaux et technologiques. Il a également souligné la convergence des positions entre les deux pays sur les grandes causes internationales, notamment la question palestinienne.

La dynamique du TICAD

La Tunisie cherche à diversifier ses partenariats sur le continent africain en capitalisant sur sa position stratégique de porte d’entrée vers l’Afrique. Ces rencontres bilatérales s’inscrivent dans la dynamique du TICAD, une plateforme initiée par le Japon pour renforcer les liens de coopération avec l’Afrique.

À noter que la Tunisie est le deuxième pays africain, après le Kenya en 2016, à avoir accueilli une édition de la TICAD, en 2022.

Ces annonces confirment la stratégie tunisienne de renforcement de son ancrage africain, avec une attention particulière portée aux secteurs vitaux et aux grands dossiers internationaux.

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16. Juli 2025: Schwaches Erdbeben südwestlich von Sidi Bouzid [M2.8]

Von: Wettermann
16. Juli 2025 um 20:09

Erdbeben-Überwachungsstationen haben am Mittwoch, den 16. Juli 2025, um 15.21 Uhr Ortszeit ein schwaches Erdbeben der Stärke M2.8 auf der

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Zensus 2024: Tunesien hat 11,972 Mio Einwohner

Von: Redaktion
17. Mai 2025 um 20:02

Zensus 2024: Laut der allgemeinen Bevölkerungs- und Siedlungszählung (RGPH2024) des Nationalen Statistikinstituts (INS), deren erste Ergebnisse am 17. Mai 2025 in einer Pressekonferenz veröffentlicht wurde, Mehr

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Demografie 2024: Tunesien hat 11,887 Mio Einwohner

Von: Redaktion
21. August 2024 um 15:16

Demografie 2024: Laut einer Statistik des Nationalen Statistikinstituts (INS), die Ende Juli 2024 veröffentlicht wurde, zählt die tunesische Bevölkerung 11,887 Millionen Einwohner. 24,39% davon leben im Großraum Mehr

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