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Heute — 23. Mai 2025Haupt-Feeds

Législatives partielles-Bizerte nord: Une première liste de 7 candidatures retenues

La liste préliminaires des candidats retenus pour les législatives partielles à la délégation de Bizerte-nord, prévues le 29 juin 2025, comprend sept candidats, a fait savoir le président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), Farouk Bouasker.

Il s’agit de: Adnène Allouche, Mahmoud Essayed, Mehrez Ghannouchi, Fatma Rabiî, Kamel Gaïdi, Kamel Chetouane et Hichem Arfaoui, a précisé Bouasker, lors d’un point de presse tenu, vendredi 23 mai, au siège de l’IRIE à Bizerte.

A cette occasion, le président de l’ISIE a appelé les électeurs à se diriger aux bureaux de vote pour accomplir leur devoir électoral, assurant que l’Instance des élections a mené à bien tous les préparatifs logistiques et humains de ce rendez-vous électoral.

La délégation Bizerte-nord compte 12 imadas et 89631 électeurs répartis en 23 centres de vote qui contiennent 74 bureaux de vote.

L’Instance des élections dévoilera la liste définitive des candidats retenus, le 8 juin 2025.

La proclamation des résultats du premier tour des législatives partielles à Bizerte-nord aura lieu entre le 30 juin et 2 juillet 2025, selon le calendrier électoral.

Avec TAP

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CSR Power Forum 2025 : L’intelligence artificielle au cœur de la RSE les 28 et 29 mai à Gammarth

La quatrième édition du CSR Power Forum se tiendra les 28 et 29 mai à Gammarth, autour du thème : « Repenser la stratégie RSE/ESG à l’ère de l’intelligence artificielle ».

D’après la page officielle de l’événement sur Facebook, ce Forum, dédié à la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et aux critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG), réunit chaque année un public exigeant composé d’experts, de dirigeants, de décideurs politiques et d’acteurs associatifs engagés dans la transition durable.

Cette nouvelle édition se concentre sur la transformation des stratégies de durabilité par l’IA et propose un programme dense mêlant conférences, panels thématiques et formations certifiantes.

Quatre panels principaux aborderont la gestion intelligente du capital humain, la finance durable, la transformation de la relation entreprise consommateur grâce à l’IA, et l’accélération de la transition énergétique par l’innovation technologique. Des ateliers pratiques traiteront notamment de l’harmonisation du reporting ESG, de la cybersécurité pour les organisations responsables et de la contribution des entreprises au développement territorial inclusif.

En outre, des formations dispensées par l’AIPS (American Institute of Professional Studies), organisme américain reconnu, seront proposées. Un hackathon collaboratif et une cérémonie de remise des CSR Awards , récompensant les initiatives les plus innovantes en matière de RSE et d’intelligence artificielle, complètent le programme.

Organisé en partenariat avec la Fédération Tunisienne des Sociétés d’Assurances (FTUSA) et Ernst & Young (EY), le CSR Power Forum 2025 s’impose comme une plateforme incontournable pour le networking, l’apprentissage et la co-construction d’un avenir plus responsable.

Avec TAP

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Femmes et agriculture : un rôle ancestral à soutenir

Les femmes sont l’épine dorsale de l’économie rurale et de l’agriculture familiale en Tunisie, comme partout dans le monde. D’ailleurs, l’agriculture familiale qui assure 85% de l’alimentation dans le monde repose sur les femmes. Ces dernières devraient, compte tenu du rôle qu’elles jouent dans la garantie de la sécurité alimentaire, bénéficier de tout l’accompagnement et l’appui nécessaires et occuper la place qu’elles méritent dans les politiques et plans nationaux de développement, selon les intervenants au séminaire national qui s’est tenu, vendredi 23 mai, à Tunis, sur le « renforcement du rôle des femmes dans la conservation dynamique des systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial (SIPAM) en Tunisie ».
 Organisée à l’UTAP, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la biodiversité (22 mai), cette conférence a réuni de nombreuses femmes agricultrices et responsables de GDA, venant de plusieurs régions du pays, des représentants des divers départements ministériels (Environnement, Agriculture, Femme…), en plus du représentant de la FAO et des deux chambres parlementaires (ARP et CNRD).
 Le monde compte actuellement 95 Systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial, définis par la FAO comme étant « des systèmes et des paysages remarquables d’exploitation de terres, riches en une diversité biologique d’importance mondiale et évoluant grâce à l’adaptation d’une communauté à son environnement, à ses besoins et à ses aspirations au développement durable ».
La Tunisie, qui projette de créer 5 sites de systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial (SIPAM), d’ici à 2030 et qui compte déjà trois inscrits dans la liste mondiale, soit les jardins suspendus de Djebba (Béja), les oasis historiques de Gafsa et les cultures Ramli, de Ghar El Melh, est actuellement le premier pays d’Afrique du Nord et de la région MENA, en termes de nombre de SIPAM promus par le pays dans le cadre de sa Stratégie et Plan d’action nationaux sur la biodiversité (2018-2030), comme une priorité pour développer le savoir et valoriser le savoir-faire traditionnel (objectifs Aichi 18 et 19).
Noureddine Nasr, expert international en développement rural et agricole, a déclaré aux médias que la femme joue un rôle crucial dans la préservation de la biodiversité et des systèmes agricoles ingénieux menacés de disparition. « Ce rôle consiste par exemple à préserver et faire durer les traditions culinaires à partir d’ingrédients et de semences artisanales non importées comme c’est le cas pour le maïs de Gafsa qui sert à préparer des plats et des soupes comme la « sliga » et le « hsa » pendant l’hiver. À Ghar El Melh, Bizerte, les cultures de pommes de terre et de haricot blanc spécifique à cette localité sont aussi jalousement gardées et conservées par les agricultrices. Ce sont elles qui assurent la conservation et la valorisation des produits et des savoir-faire dans des sites et des écosystèmes fragiles », a-t-il expliqué.
 La Tunisie projette, dans le cadre d’un programme dédié à la conservation impliquant les collectivités locales pour la valorisation des connaissances et des savoir-faire traditionnels, de créer 5 sites SIPAM d’ici à 2030, notamment à Ghar El Melh, Kerkennah, Djebba, Kesra et l’agrosystème Jessour. Mais, selon Nasr, il existe en Tunisie beaucoup plus que 5 sites SIPAM. « Il faut revenir à un recensement, déjà élaboré en 2010-2011, des systèmes en Tunisie qui pourraient être inscrits sur la liste du patrimoine mondial, dont les Ksour de Matmata, Chnenni, Douiret (sud de la Tunisie), les systèmes pastoraux et nomades à Médenine, les systèmes de pêche à la Charfia à Kerkennah et autres ».
Le porte-parole de l’UTAP, Fethi Ben Khelifa, a appelé les autorités à intégrer le plan d’action sur l’agriculture familiale, élaboré en coordination avec 5 départements ministériels, au plan de développement national 2026-2030.
L’agriculture et les produits agroalimentaires, qui contribuent à hauteur de 14% à la main-d’œuvre nationale, 9% à l’exportation et 6% à l’investissement, ne bénéficient que de 3% des financements, a-t-il regretté.
Les femmes agricultrices représentantes des Groupements de développement agricole (GDA) et des sites SIPAM sont unanimes à souligner que leur objectif est de préserver le patrimoine national tout en créant des moyens de subsistance et de garantir une vie décente à leurs famille et aussi une dynamique économique pour les communautés locales.
Ferida Djebbi, présidente du GDA Kounouz Djebba, qui présentait les pratiques de valorisation des figues de Djebba à travers le séchage et la transformation en confitures, a évoqué certains problèmes auxquels font face les femmes agricultrices. En plus des difficultés parfois d’écoulement des produits sur les marchés, elle a évoqué le coût de renouvellement des certificats bio, estimé à 2 mille dinars.
« Pour des GDA confirmés et des sociétés bien établies, ça ne pourrait pas poser de problème, mais pour des groupements de femmes dans un milieu rural, payer 2 mille dinars pour renouveler un certificat valorisant les produits locaux et de terroir, c’est aberrant », a indiqué Djebbi.
Pour des femmes reconnues comme « conservatrices confirmées de patrimoine agricole artianal national » et qui contribuent activement à la garantie de la sécurité alimentaire, un surcroît d’efforts est nécessaire, d’après les intervenants et intervenantes, pour préserver leurs droits, leur rendre hommage et leur témoigner gratitude.
Une exposition de produits du terroir et de produits valorisés par les GDA et les sites SIPAM a été organisée, à cette occasion, à l’UTAP.
Avec TAP

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Forum de Kazan : coopération Russie-OCI en marche

Quelque 130 accords et mémorandums d’entente ont été signés au terme du « Kazan Forum 2025« , le XVIe Forum économique international « Russie – monde islamique », qui s’est tenu du 13 au 18 mai à Kazan, 6e plus grande ville de Russie et capitale de la République du Tatarstan.

Ont pris part à cet événement, 96 pays et 82 districts fédéraux russes ainsi que 8 500 invités dans le programme d’affaires de ce forum annuel de la Russie et des pays membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). Il a l’ambition d’être une plateforme pour booster la coopération entre la Russie et les États membres de de cette organisation dans une multitude de secteurs.

Les autorités russes ont indiqué que les relations commerciales entre la Russie et le monde islamique sont en progression tout autant que le nombre de projets d’investissements internationaux grâce à ce forum, insistant sur l’importance de « construire un dialogue international entre la Russie et les pays islamiques ».

Le Forum de Kazan a porté sur la numérisation de la coopération entre la Russie et les pays de l’OCI et a traité de domaines très diversifiés, se rapportant à la coopération internationale, l’industrie halal, le sport, le financement et l’investissement islamiques, le tourisme, la culture, le commerce, l’économie, les ressources humaines, les sciences et technologies et l’informatique.

Le chargé d’affaires ad interim à l’ambassade de Tunisie a Moscou, Bechir Langar, a déclaré à l’occasion de ce forum, à l’Agence TAP,  que la Russie oriente ses efforts vers le développement des relations avec les pays arabes, islamiques et africains dans de nombreux domaines économiques, notamment les technologies de l’information, la sécurité informatique, le transport, outre les domaines de l’éducation.

 Et d’expliquer: la Tunisie en tant que pays importateur net de céréales, de pétrole et dérivés et d’engrais, accorde un intérêt spécial au développement des relations avec la Russie. L’ambassade de Tunisie à Moscou est en train de prospecter le marché russe en vue d’identifier les sociétés russes intéressées par l’importation de l’huile d’olive tunisienne ainsi que des dattes, du prêt-à-porter et des cosmétiques.

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La Manouba : la récolte céréalière estimée à 850 mille quintaux

La production céréalière dans le gouvernorat de La Manouba devrait atteindre, cette année, 850 mille quintaux, en hausse de 50% par rapport à l’année précédente (470 mille quintaux), dont 520 mille quintaux de blé dur.

Selon le commissariat régional au développement agricole (CRDA), les superficies céréalières emblavées s’élèvent à 35 mille 500 ha avec un rendement moyen estimé de 24 quintaux par hectare.

La région compte 128 moissonneuses-batteuses, 5 centres de collecte d’une capacité de stockage de 200 mille tonnes, 160 faneuses à foin, 365 tracteurs et 200 citernes.

La saison des moissons au gouvernorat de La Manouba devrait démarrer, respectivement, les 1er et 11 juin, pour les superficies d’orge et de blé.

Avec TAP

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Appel à projets pour jeunes créateurs africains : « Ateliers Sud-Sud : Ici et Ailleurs »

L’Association tunisienne du Multimédia et de l’Audiovisuel (AMAVI) ouvre un appel à idées dans le cadre de son programme « Ateliers Sud-Sud : Ici et Ailleurs », destiné aux jeunes entrepreneurs culturels de Tunisie, du Maroc et du Sénégal. Soutenu par des partenaires institutionnels et associatifs, ce dispositif panafricain propose un parcours d’incubation combinant formations, mentorat et résidences de co-création dans trois pays.

Cet appel s’adresse aux porteurs de projets âgés de 18 à 35 ans, résidant en Tunisie, au Maroc ou au Sénégal. Les candidats doivent proposer des initiatives innovantes dans les industries culturelles et créatives (hors cinéma), en lien avec les cultures africaines.

L’objectif ? Renforcer les échanges et le co-développement entre jeunes talents africains, tout en valorisant les récits locaux. Le programme inclut :

  • Des ateliers de formation et d’accompagnement

  • Un mentorat personnalisé

  • Trois résidences en présentiel (Tunisie, Maroc, Sénégal)

Partenaires et soutiens institutionnels

Parmi les partenaires figurent :

  • La Fondation HIBA (Maroc)

  • CinéKap Group & Up’Courts (Sénégal)

  • La Direction de la Coopération Internationale de l’Ambassade de Suisse en Tunisie

  • Le Fonds FEF via l’Ambassade de France en Tunisie

Ce projet s’inscrit dans une dynamique panafricaine, visant à favoriser les collaborations Sud-Sud et à promouvoir une identité créative africaine plurielle.

Avec TAP

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Soulagement pour les agriculteurs : la STEG lance un plan d’allègement des dettes

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a lancé, à compter du 19 mai 2025, une opération de rééchelonnement des créances impayées des agriculteurs bénéficiant du tarif agricole en basse tension. Cette mesure permet un étalement des dettes sur une période pouvant aller jusqu’à sept ans.

Dans un communiqué publié sur sa page officielle Facebook, la STEG précise que ce dispositif restera en vigueur jusqu’au 1er septembre 2025, échéance fixée pour le dépôt des demandes.

De ce fait, les exploitants agricoles souhaitant bénéficier de cette mesure sont invités à présenter une demande écrite auprès de l’agence régionale compétente de la STEG, conformément à la procédure établie.

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Avec la réforme du code du travail, un « lendemain radieux » attend les Tunisiens 

Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé, jeudi 22 mai 2025, au palais de Carthage, une réunion du Conseil des ministres suite à la réforme du code de travail.

Le chef de l’Etat s’est félicité de la réforme du code du travail qui a officiellement consacré la suppression de la sous-traitance, lit-on dans un communiqué.

Il a, dans ce contexte, souligné que tout comme la suppression de la sous-traitance dans le code du travail a été source de joie, il en sera de même pour l’ensemble des autres secteurs où « des solutions radicales » seront adoptées.

De telles solutions vont décidément rompre à jamais avec le passé répugnant, a assuré le chef de l’Etat, promettant à ce propos un « lendemain radieux » où prévalent justice, liberté et la dignité nationale dans le cadre de la « cohérence » et de la « complémentarité » entre les fonctions législative et exécutive émanant d’une même et seule volonté populaire.

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Gestern — 22. Mai 2025Haupt-Feeds

Bourse de Tunis: Le Tunindex clôture jeudi sur une hausse(+0,23%)

Le marché Boursier a enchaîné une deuxième séance de hausse d’affilée. L’indice de référence a pris de 0,23 % à 11 422,38 points, dans un volume bien garni de 16,4 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Notons la réalisation d’une transaction du bloc, portant sur le titre POULINA GROUP HOLDING et totalisant une enveloppe de 1 MD.

Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING s’est offert la palme d’or. L’action du leaseur adossé au groupe AMEN s’est appréciée de 4,8 % à 20,500 D, dans un flux soutenu de 1,1 MD.

Le titre ASSAD a terminé la séance en territoire positif. L’action du producteur de batteries automobiles a signé une avancée de 4,2 % à 2,000 D. La valeur a été transigée à hauteur de 55 mille dinars seulement sur la séance.

Le titre SOTETEL s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. Dans un volume dérisoire de 24 mille dinars, l’action a reculé de -1,8 % à 6,500 D.

Le titre TPR s’est retrouvé parmi les plus fortes baisses de la séance. Drainant des échanges de 1,3 MD, l’action s’est délestée de -1,6 % à 9,550 D.

Le titre POULINA GROUP HOLDING a chapeauté le palmarès des échanges avec un flux de 7,2 MD. L’action s’est effritée de -0,1 %, terminant la séance à 15,170 D.

Avec TAP

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Refus de libération pour l’avocat Ahmed Souab

La chambre d’accusation spécialisée dans les affaires de terrorisme auprès de la Cour d’appel de Tunis a décidé de refuser la mise en liberté de l’avocat Ahmed Souab.

Le juge d’instruction principal du Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme avait émis un mandat de dépôt à l’encontre d’Ahmed Souab, en lien avec une déclaration qu’il avait faite concernant la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme en charge de l’affaire du complot contre la sécurité de l’État.

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Les dividendes distribués par les sociétés cotées en 2021, 2022 et 2023

Le rapport sur les dividendes se focalise principalement sur les montants distribués et leur évolution, les taux de distribution, les délais de distribution et les rendements en dividendes.

Ces indicateurs concernent aussi bien le marché dans sa globalité que les principaux secteurs cotés.

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Forum de L’Économiste Maghrébin 2025 : les sessions B2B, catalyseur d’opportunités concrètes

La 26ème édition du Forum de L’Économiste Maghrébin, tenue le 20 mai 2025, a marqué un tournant important dans la dynamique de l’événement. Et ce, en introduisant, pour la première fois, des sessions B2B bien ciblées par rapport aux besoins mutuels. Cette nouveauté s’est imposée comme un véritable moteur d’interactions économiques à fort potentiel, créant des opportunités et transformant ainsi le forum en plateforme concrète de création d’affaires.

Tout au long de la journée, ces sessions de mise en relation ont permis à plus de soixante-dix participants, issus de plus de quarante entreprises, d’enchaîner quelque 130 rendez-vous ciblés. L’efficacité de cette initiative repose en grande partie sur une plateforme numérique intelligente, conçue pour permettre aux participants de planifier leurs rencontres à l’avance.

En sélectionnant leurs créneaux horaires, les profils recherchés et les secteurs d’activité pertinents, ils ont pu construire un agenda sur mesure, optimisant ainsi leur temps de prospection.

Selon les témoignages recueillis, cette approche a permis à nombre d’entre eux de gagner l’équivalent de deux mois de démarchage commercial en une seule journée et d’identifier des opportunités de partenariat à fort potentiel d’affaires et commercial.

Soulignant l’importance de l’initiative, un participant a confié que les déplacements à l’étranger sont parfois indispensables pour les rencontres B2B, poussant les acteurs économiques à voyager spécifiquement pour ces occasions. Sauf que, fait-il remarquer, la rentabilité de ces déplacements n’est pas toujours assurée.

Les retours des participants ont été largement enthousiastes. « La session B2B a été exceptionnelle, en ce qu’elle a permis non seulement de rencontrer un large éventail d’acteurs, éditeurs, start-up, intégrateurs, mais aussi de partager des savoirs et de poser les bases de futures collaborations technologiques à forte valeur ajoutée », a mentionné Mehdi Bouzaiane, directeur exécutif de Siryos, lors de notre échange enthousiasmant avec lui. Il n’hésite pas à saluer avec chaleur l’organisation de cette nouveauté.

Mohamed Salah Mzougui, chargé du développement chez la start-up LegalTech, a quant à lui souligné que les bénéfices des rencontres ont dépassé le cadre prévu. Il affirme avoir échangé avec des profils particulièrement pertinents, y compris en dehors des rendez-vous formels. De même qu’il se dit confiant quant à la concrétisation de plusieurs de ces échanges en opportunités concrètes.

Amine Ben Hmida, CEO de la start-up Business Room, a salué l’organisation de cette première édition avec des mots élogieux. Selon lui, la structure mise en place a été à la hauteur des attentes : il affirme avoir identifié plusieurs profils intéressants au cours de ses rendez-vous. Ce qui laisse entrevoir de réelles perspectives de collaboration.

Pour Selim Mbazaia, BDM chez Talys, la valeur de ces sessions va au-delà des simples rencontres. Il évoque la possibilité de partenariats émergents, mais aussi l’inspiration d’idées nouvelles issues de ces échanges. Cette expérience lui a permis d’envisager des synergies inattendues avec des fintechs ou d’autres structures innovantes.

Même satisfaction du côté d’Inès Haffi, CEO de Arsela Technologies, qui s’est dite agréablement surprise par la qualité de l’organisation du forum, et en particulier par l’efficacité des sessions B2B. Pour elle, cette formule a permis d’établir un contact direct avec des interlocuteurs clés de manière rapide, fluide et productive.

Outre une série de conférences de haut niveau, cette édition du Forum de L’Économiste Maghrébin n’a donc pas seulement proposé. En introduisant un dispositif de networking structuré, fluide et opérationnel, elle a franchi un cap en matière d’impact concret. Ce format B2B, qui combine expertise, ciblage précis et technologie, s’est révélé être bien plus qu’un simple outil de mise en relation : un véritable accélérateur de business, et potentiellement, un pilier des prochaines éditions.

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Dernier appel pour postuler au Programme Fulbright avant le 15 juin 2025

L’ambassade des États-Unis en Tunisie annonce l’appel à candidatures pour le Programme Fulbright pour étudiants étrangers pour l’année universitaire 2026-2027. Ce programme prestigieux de bourses d’études offre aux diplômés tunisiens, aux jeunes professionnels en début de carrière et aux artistes l’opportunité de poursuivre un master ou de mener des recherches doctorales dans des établissements d’enseignement supérieur aux États-Unis. A travers le programme Fulbright, les étudiants tunisiens vivront une expérience immersive aux États-Unis et partageront la culture et les traditions uniques de leur communauté avec les Américains.

Le programme couvre les frais de scolarité et les frais nécessaires, une allocation pour les livres, le matériel et les déplacements, une allocation mensuelle pour le logement et la nourriture, ainsi qu’un régime d’assurance-maladie définis. La date limite pour soumettre une candidature est le dimanche 15 juin 2025.

Des bourses seront accordées pour des diplômes dans la majorité des disciplines*, notamment :

  • Les sciences humaines;
  • Les sciences sociales;
  • Les sciences;
  • La technologie;
  • L’ingénierie.

*Les programmes de troisième cycle ayant une composante clinique, comme la médecine et les soins infirmiers, ne sont pas autorisés.

Critères d’éligibilité

– Être citoyen tunisien, ne pas posséder la nationalité américaine ni le statut de résident permanent légal aux États-Unis, et résider en Tunisie pendant tout le processus de candidature, de sélection, de nomination et d’affectation.

– Avoir peu ou pas d’expérience antérieure d’études ou de vie aux États-Unis.

– Maîtriser l’anglais avec un score minimum de 90 au TOEFL iBT / 6.5 à l’IELTS / 120 au test Duolingo, ou être en mesure de participer à un programme d’anglais de longue durée (LTE) avant le début du programme académique.

– Être intéressé par l’apprentissage de l’histoire et de la société américaines, ainsi que par le partage de la culture tunisienne.

Les candidats à un master doivent avoir un solide dossier académique et être titulaires d’un diplôme équivalent à une licence américaine.

Les doctorants souhaitant effectuer une recherche doctorale d’un an doivent être inscrits dans un programme de doctorat en Tunisie, avoir commencé leur travail de thèse et posséder les qualifications académiques requises dans leur domaine.

Les bénéficiaires du programme Fulbright doivent retourner dans leur pays ou territoire de nomination pour une période minimale de deux ans après la fin du programme.

Le Programme Fulbright pour étudiants étrangers

Depuis plus de 75 ans, le programme Fulbright a permis aux personnes passionnées et accomplies, issues de parcours variés, d’étudier, d’enseigner, de mener des recherches, d’échanger des idées et de trouver des solutions à des problématiques internationales majeures.

Depuis 1970, plus de 230 Tunisiens ont participé au programme. Les Fulbrighters vivent et apprennent aux côtés de personnes de différentes cultures et deviennent membres d’un réseau mondial qui favorise la compréhension mutuelle entre les nations, fait progresser le savoir au sein des communautés et améliore la vie à travers le monde.
À leur retour, ils rejoignent des milliers d’anciens boursiers qui occupent des postes de leadership dans leurs communautés, à l’échelle mondiale, et dans tous les domaines imaginables.

D’après communiqué

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BYD lance son roadshow national : vivez l’expérience de la mobilité électrique

La mobilité électrique s’impose progressivement en Tunisie, portée par des marques innovantes comme BYD (Build Your Dreams), leader mondial et local du secteur. L’arrivée de ces véhicules de nouvelle génération répond à une demande croissante pour des solutions de transport plus propres, économiques et faciles à entretenir. BYD lance son roadshow national : vivez l’expérience de la mobilité électrique.

Du 22 mai au 29 juin 2025, BYD organise un roadshow national à Tunis, Sfax et Sousse, offrant au grand public l’opportunité de découvrir et tester ses derniers modèles électriques et hybrides. Au programme : essais gratuits, ateliers pédagogiques pour enfants, mini-formations sur la technologie BYD, cadeaux et un grand tirage au sort pour gagner des week-ends dans des hôtels partenaires.

Calendrier du roadshow BYD

22 mai – 1er juin : Parking de Tunis City.

4 – 15 juin : Devant l’hôtel Ibis à Sfax.

18 – 29 juin : Parking du Mall of Sousse.

Les visiteurs pourront prendre le volant de modèles phares tels que le Tang EV (SUV haut de gamme 100 % électrique), l’Atto 3 (crossover agile), la Dolphin (citadine compacte), le Song Plus DM-i (SUV hybride rechargeable) et la King Plus DM-i (berline efficiente).

Les avantages des voitures électriques : un choix gagnant pour la Tunisie

Réduction de l’empreinte carbone

Une voiture électrique émet 22 à 28 % de CO₂ en moins qu’un véhicule thermique, et jusqu’à 80 % de réduction dans les meilleurs scénarios, même en tenant compte de la fabrication des batteries.

Sur l’ensemble de sa durée de vie, une électrique réduit de 55 à 80 % son impact environnemental par rapport à une voiture essence ou diesel. Zéro émission locale de CO₂ et de particules, contribuant à l’amélioration de la qualité de l’air dans les villes.

Économies substantielles à l’usage

Le coût d’entretien d’une voiture électrique est jusqu’à 30 % inférieur à celui d’un modèle essence ou diesel, grâce à une mécanique simplifiée et moins de pièces d’usure.

Les opérations de maintenance sont allégées : pas de vidange, pas de changement de courroie ou d’embrayage, et moins de pannes mécaniques.

Sur la durée de vie du véhicule, l’économie moyenne pour le propriétaire atteint près de 12 000 dinars.

Moins de pièces, moins de contraintes

Une voiture électrique compte environ 50 pièces mobiles contre plus de 600 pour une thermique, limitant les risques de panne et les interventions coûteuses. Les systèmes de freinage régénératif réduisent l’usure des plaquettes et des disques, allongeant leur durée de vie.

BYD, un acteur clé de la transition en Tunisie

Avec l’ouverture de nouvelles agences et une gamme complète de véhicules adaptés au marché tunisien, BYD s’impose comme un partenaire de la transition vers une mobilité plus durable. Son engagement se traduit par la proximité client, un service après-vente de qualité et une volonté d’accompagner chaque automobiliste dans l’adoption de l’électrique.

De son côté, Hajer Chekir, Directrice commerciale de BYD Tunisie, déclare: « Ce Roadshow est l’occasion pour le public tunisien de prendre le volant de la mobilité électrique de demain, dans un cadre accessible, pédagogique et chaleureux. Nous souhaitons sensibiliser et inspirer les conducteurs de demain à travers une expérience concrète et mémorable ».  déclare

En résumé, la voiture électrique en Tunisie, incarnée par des marques comme BYD, représente une solution d’avenir : plus économique, plus respectueuse de l’environnement et plus simple à entretenir. Le roadshow national BYD est l’occasion idéale de découvrir concrètement ces avantages et de prendre le volant de la mobilité de demain.

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Kaïs Saïed reçoit des jeunes et promet des actions contre l’exclusion

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mercredi 21 mai 2025 au palais de Carthage, deux jeunes citoyens : Walid Jedd de Mezzouna (gouvernorat de Sidi Bouzid) et Wissam Mejdi de Bizerte. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de ses échanges réguliers avec la population pour recueillir ses préoccupations.

Dans un communiqué présidentiel, le chef de l’État a réaffirmé que la Tunisie menait une « guerre de libération nationale » sur tous les fronts et dans toutes les régions, visant à « restaurer » les services publics de base et à mettre fin à des décennies d’exclusion.

Il a souligné que ses déplacements sur le terrain ne constituaient pas une fin en soi, mais devaient déboucher sur des actions concrètes traduisant les revendications citoyennes en réalisations tangibles. Le président a dénoncé les campagnes de déstabilisation orchestrées par des réseaux occultes, affirmant qu’il n’accordait aucun crédit à ceux que « l’Histoire a déjà rejetés ».

Des mesures concrètes seront annoncées prochainement pour soutenir l’emploi et relancer les projets bloqués, notamment l’usine sucrière de Bizerte, a-t-il annoncé. Le chef de l’État a rappelé que le droit au travail figurait parmi les piliers de la dignité humaine. Il s’est félicité de l’adoption par l’Assemblée des représentants du peuple, dans la nuit de mardi à mercredi, d’une « loi historique » abolissant le système de sous-traitance – une avancée majeure pour des milliers de travailleurs précaires.

« La dignité des Tunisiennes et des Tunisiens constitue une ligne rouge infranchissable », a-t-il déclaré, qualifiant la marginalisation et l’exclusion de « crimes sociaux » à éradiquer. Il a plaidé pour une approche nationale globale afin de relever les défis du développement, réaffirmant le droit de chaque citoyen à vivre dignement dans une patrie juste et souveraine.

En conclusion, le président Saïed a exhorté la jeunesse tunisienne à s’impliquer activement dans la reconstruction nationale et l’élaboration d’un projet de société. « Par notre volonté inflexible et notre unité nationale, nous édifierons une Tunisie nouvelle », a-t-il conclu.

Avec TAP

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L’UE s’engage à poursuivre son soutien financier à la Tunisie jusqu’en 2027

L’Union européenne continuera d’appuyer la Tunisie pour la période 2025-2027, a déclaré l’Ambassadeur de l’UE en Tunisie Giuseppe Perrone lors d’une interview à l’Agence TAP. Les financements accordés depuis 2013 ont atteint près de 1,8 milliard d’euros, confirmant l’UE comme principal bailleur de fonds du pays.

Sur ce montant, 1,1 milliard d’euros ont été versés sous forme de dons d’appui direct au budget de l’État tunisien. De nouveaux financements sont prévus pour la période à venir, qu’il s’agisse de crédits, d’appui budgétaire direct ou de dons.

Ces fonds visent à soutenir la mise en œuvre des réformes nécessaires et le développement d’instruments financiers innovants pour financer des projets d’infrastructure de base identifiés par les autorités tunisiennes.

L’ambassadeur a précisé que ces aides peuvent être accordées en collaboration avec les États membres dans le cadre de l’initiative « Team Europe », avec plusieurs projets déjà identifiés dans les domaines de l’eau et des investissements.

Selon Perrone, cette diversité d’outils permettra de soutenir la Tunisie, ses autorités et sa société civile tant à court qu’à long terme, notamment face aux politiques protectionnistes qui affectent les secteurs d’exportation du pays.

Avec TAP

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Sécurité nucléaire : une feuille de route arabe pour mieux riposter

Le directeur général du Centre national de l’Énergie, des sciences et technologies nucléaires (CNESTEN), Adel Trabelsi, a souligné l’urgence pour les pays arabes, notamment la Tunisie, de renforcer leurs capacités à faire face aux urgences nucléaires et radiologiques. Il a mis en garde contre les risques liés aux catastrophes radiologiques, qu’elles surviennent dans le cadre d’un usage pacifique ou militaire des sources nucléaires, insistant sur la nécessité d’une stratégie régionale claire.

S’exprimant lors de la première réunion du comité technique à composition non limitée, chargé de la mise en œuvre de la feuille de route pour la coopération arabe en matière de préparation et de riposte aux urgences nucléaires et radiologiques, Trabelsi a alerté sur la vulnérabilité de la région arabe, dotée de réacteurs nucléaires et bordée par des couloirs maritimes denses en trafic commercial. Selon lui, cette exposition justifie une coordination renforcée entre les pays de la région, à l’image de la réponse européenne rapide à l’accident de Tchernobyl en 1986, qui avait permis d’en limiter les effets.

Trabelsi a également mis l’accent sur l’importance de relier les systèmes nationaux d’alerte et de réponse radiologique dans l’ensemble du monde arabe. Il a plaidé pour une mutualisation des expertises, des équipements et des compétences, afin de garantir une réaction rapide et efficace en cas de crise radiologique.

Unir les efforts pour une riposte coordonnée

La réunion, qui s’est tenue au siège de l’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO), a réuni plusieurs acteurs institutionnels, dont le Secrétariat général de la Ligue des États arabes, l’Agence arabe de l’énergie atomique, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), ainsi que des organisations régionales partenaires dans le cadre du mécanisme de coordination pour la réduction des risques de catastrophes.

Moustafa Saadi Jabouri, chef du département de réduction des risques de catastrophes à la Ligue des États arabes, a rappelé que la gestion des urgences nucléaires et radiologiques constitue désormais une priorité stratégique pour la région. Il a précisé que cette réunion visait à faire le point sur les avancées réalisées dans l’application de la feuille de route adoptée précédemment et à améliorer les mécanismes collectifs de riposte, dans un contexte de défis technologiques et écologiques croissants.

Jabouri a également souligné que la feuille de route permettra de clarifier les priorités régionales, de renforcer la solidarité entre les États arabes en cas d’incident nucléaire, et d’assurer un soutien concret aux pays touchés. Il a enfin averti que la présence de réacteurs au nord et à l’est du monde arabe, ainsi que l’usage quotidien de sources radioactives, impose une gestion technique rigoureuse pour éviter des conséquences sanitaires et environnementales graves.

Avec TAP

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Concours de création de trophée du prix Abou El Kacem Chebbi/Banque de Tunisie

La Banque de Tunisie annonce l’ouverture d’un concours pour choisir un trophée innovant pour les lauréats du Prix Abou El Kacem Chebbi et pour les personnalités du monde de la culture et des arts qui se sont distinguées par leur apport et leur contribution.

Conditions de participation : 

  • Le concours est ouvert à tous les artistes tunisiens professionnels et amateurs,
  • Chaque participant ne peut pas soumettre plus d’une maquette,
  • Chaque maquette soumise doit respecter les conditions techniques stipulées, le propriétaire de maquette précisant le matériau dans lequel il propose de réaliser son modèle (cristal taillé, métal plaqué, bronze, etc.).

Spécifications requises des modèles participants :

•  Le trophée devant symboliser la vie et l’œuvre de l’illustre poète Abou El Kacem Chebbi,

  • La hauteur du modèle ne doit pas excéder 25 cm, et son socle (base) doit être proportionné à sa hauteur.

Un prix de trois mille dinars (3000 dt) sera attribué à la maquette gagnante par un jury constitué à cet effet. Les maquettes participantes doivent être déposées au siège de l’administration du Prix Abou El Kacem Chebbi au 35, avenue Habib-Bougatfa, 1005 Bab Saadoun, Tunis.  Tél: 70 025 029

 La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 30 juin 2025.  Les résultats du concours seront annoncés dans la presse et sur le site Internet du Prix Abou El Kacem Chebbi/Banque de Tunisie.

N.B. : les maquettes participantes ne seront pas retournées à leurs propriétaires.

 

 

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Huile d’olive tunisienne : 88,1 % des exportations partent en vrac

Selon l’ONAGRI, les recettes d’exportation de l’huile d’olive tunisienne ont chuté de 28,9 % à 2 442,4 MDT durant les six premiers mois de la campagne 2024/2025, alors que les quantités exportées ont augmenté de 40,1 % atteignant 180,2 mille tonnes.

Cette baisse s’explique principalement par l’effondrement du prix moyen, qui a diminué de 48,9 % en avril 2025 par rapport à la même période l’année précédente, variant de 7,1 DT/kg à 18 DT/kg selon les catégories. L’huile d’olive conditionnée ne représente que 11,9 % des quantités exportées et 17,7 % des recettes, la majorité étant exportée en vrac (88,1 %). La catégorie extra-vierge constitue 82,5 % du volume total exporté.

L’Europe, principal débouché pour l’huile d’olive tunisienne

L’Union européenne reste le premier marché avec 59,5 % du volume des exportations, suivie par l’Amérique du Nord (24,9 %) et l’Afrique (9,6 %).

Les principaux pays importateurs sont :

  • L’Italie : 29 % des quantités exportées
  • L’Espagne : 26 %
  • Les États-Unis : 19,6 %.

Le secteur biologique en développement

L’huile d’olive biologique représente 34,3 mille tonnes exportées pour une valeur de 469,1 MDT, avec un prix moyen de 13,68 DT/kg (variant entre 13,47 DT/kg pour le vrac et 17,65 DT/kg pour le conditionné). Cependant, l’huile biologique conditionnée ne constitue que 5 % du volume biologique exporté. Les principaux marchés pour l’huile biologique sont l’Italie (58 %), l’Espagne (21 %) et les États-Unis (11 %).

Avec TAP

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