La 26e édition du Forum de l’Economiste… en photos
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Nicusor Dan. Retenez bien ce nom. Il est né le 20 décembre 1969 à Fagaras, en Transylvanie. C’est le nouveau président élu de la Roumanie, à l’issue de la présidentielle organisée dimanche 18 mai 2025.
Discret, il est plutôt connu pour ses méthodes musclées contre la corruption à Bucarest, la capitale dont il était le maire, comme le rappelle le site web français Sud-ouest.
Pourtant, au lendemain du premier tour, l’équation était mal engagée pour lui, parce que devancé de 20 points par le nationaliste George Simion.
“Equation“, avez-vous dit. Nicusor Dan en sait justement quelque chose, lui le matheux, comprenez qu’il maîtrise les sciences mathématiques. En effet, sa lutte contre la corruption à Bucarest et ses connaissances en maths lui ont sans doute permis de déjouer les pronostics. Comme quoi les maths, cela sert à quelque chose. Mais aussi l’honnêteté.
« À 55 ans, Nicusor Dan a décidé de se lancer dans la course après “le choc“ du 24 novembre. Et ce, quand l’élection a été dominée par une figure d’extrême droite que personne n’attendait, puis annulée sur fond de soupçons d’ingérence russe. Il s’est vu en homme providentiel après avoir constaté que l’ascension de l’extrême droite était en grande partie due au rejet d’une classe politique “corrompue“ et “arrogante“, aux manettes depuis la fin du communisme en 1989 ».
Quelques jours avant l’élection de dimanche, le futur président disait à ses supporters : « Cela ne peut pas continuer ainsi, nous voulons du changement. Il nous reste encore un petit pas à faire pour que nous disposions enfin d’autorités capables de bâtir ensemble la Roumanie dont nous rêvons… Nous devons surmonter la haine et les divisions », rapporte Sud-ouest.
C’est un homme engagé pour l’Europe. Un soutien à Kiev infaillible. « Une carte qu’il a mise en avant pour l’emporter face à “l’isolationniste“ George Simion ».
Enfin, on dit de Nicusor Dan que c’est un petit prodige des maths. « Vainqueur à deux reprises des Olympiades internationales, il part étudier dans les années 1990 en France, d’abord à Normale Sup puis à la Sorbonne où il décroche un doctorat ».
Chercheur et professeur à l’université de Bucarest, il se lance dans l’activisme civique en créant l’association “Sauvez Bucarest“, milite contre le développement urbain illégal et pour la préservation des bâtiments historiques.
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Selon des médias américains citant un communiqué de son cabinet de l’ancien président démocrate des États-Unis, Joe Biden, a été « diagnostiqué d’un cancer de la prostate avec métastases osseuses ».
Et le même communiqué de préciser: « Bien qu’il s’agisse d’une forme plus agressive de la maladie, le cancer semble hormono-sensible, ce qui permet une prise en charge efficace. Lui et sa famille étudient actuellement les différentes options thérapeutiques ».
Affaire à suivre
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Ainsi, une étude de IBM nous apprend que « l’investissement sur des projets en lien avec l’IA n’apporte pas spécialement une garantie de retour sur investissement ». Et pour parvenir à ce diagnostic, IBM a sondé 2 000 dirigeants dans 33 pays opérant dans 24 secteurs d’activités sur les premiers bilans qu’ils pouvaient tirer de l’IA et sur son développement dans les prochaines années. C’est ce que rapporte BDM.
Si l’on en croit l’étude d’IBM, « seulement 25 % des projets en lien avec l’IA ont atteint le retour sur investissement prévu au cours des dernières années ». Encore plus grave, « seuls 16 % (en France c’est 18 %) des projets mis en place se sont déployés à l’échelle de toute l’entreprise ».
Et l’étude de conclure sur ce volet : « En voulant développer rapidement des solutions à base d’intelligence artificielle, les entreprises se sont lancées dans une course à l’aveugle sans connaître tous les tenants et les aboutissants qu’un tel projet pouvait déclencher ».
Or, quand on a interrogé les chefs d’entreprise sur ce qui les a poussés à se lancer dans cette précipitation, ils ont répondu que c’est « la peur de se faire distancer par les concurrents ». Plus précisément, des 64 % des répondants reconnaissent que le risque de rester à la traîne « les pousse à investir dans certaines technologies avant même d’avoir une compréhension claire de ce qu’elles apportent à l’entreprise », et ce contre 37 % qui estiment qu’« il vaut mieux être rapide et prendre des risques plutôt que d’être prudent et de prendre son temps ».
Pourtant ce faible retour sur investissement (16%) aurait pu refroidir les entreprises à investir dans des projets liés à l’intelligence artificielle, mais ce n’est pas le cas pour une majorité d’entre elles. D’ailleurs, « 61 % des dirigeants confirment qu’ils se préparent à développer des agents IA à grande échelle dans les deux prochaines années ». Et ce même si cette ambition reste tempérée par les performances à court terme de l’IA : « 65 % des dirigeants déclarent suivre attentivement le retour sur investissement avant de poursuivre ou d’augmenter leurs investissements. Une prudence assez contradictoire avec leur volonté affichée de déployer l’IA à grande échelle ».
L’étude d’IBM considère par ailleurs que l’humain est pris en considération dans l’investissement dans l’IA. En effet, « parmi les dirigeants interrogés, 69 % estiment que la réussite de leur entreprise réside dans leur capacité à maîtriser des stratégies complexes afin de prendre des décisions cruciales, ce qui n’est pour le moment pas réalisable avec l’intelligence artificielle ».
Ceci étant, plus de 30 % d’entre eux affirment que «… la main-d’œuvre devra se recycler ou se requalifier au cours des 3 prochaines années afin de répondre aux enjeux de l’IA ». Et l’étude de poursuivre : « Dans un marché du travail en pleine mutation, les entreprises capables de s’adapter rapidement auront une longueur d’avance. Aujourd’hui, 54 % des organisations (et 74 % en France) recrutent pour des postes liés à l’IA qui n’existaient pas encore l’an dernier. Une illustration claire de la transformation accélérée du monde professionnel ».
Conclusion : une certaine déception pour les entreprises ayant cru que l’IA était la solution toute faite pour rentabiliser leurs investissements. Cependant, l’espoir est permis, car on n’arrêtera pas cette révolution.
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A noter que cette libération a été possible grâce au président de l’Angola et président en exercice de l’Union africaine, João Lourenço.
En effet, Ali Bongo, son épouse Sylvia, et leur fils, Noureddin, arrêtés depuis coup d’Etat opéré par le général Brice Clotaire Oligui Nguema en 2023, comme l’écrit la présidence angolaise. « À la suite des initiatives du président de la République d’Angola et président en exercice de l’Union africaine, João Lourenço, auprès du président Brice Oligui Nguema du Gabon, la famille Bongo a été libérée et vient d’arriver à Luanda », rapporte RFI.
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Comme d’habitude, le classement 2025 des marques les plus valorisées au monde est dominé par des entreprises américaines, avec 82% de leur valeur totale, contre seulement 7% pour les marques européennes et 6% pour les chinoises. Ce sont là les principaux enseignements de l’édition 2025 du rapport Kantar BrandZ, dévoilé jeudi 15 mai 2025.
Kantar précise que ce classement s’appuie sur la valorisation boursière combinée à des données d’analyse de perception consommateur, « recueillies via plus de 4 millions d’entretiens dans 54 pays ». Le classement 2025 montre que les 10 marques les valorisées – donc les plus puissantes – sont toutes américaines, avec les GAFAM et à leur tête Apple.
Ainsi, Apple poursuit sa dynamique avec plus de 1 000 milliards de dollars de valorisation en 2024. En effet, « la marque à la pomme, qui présentera ses innovations logicielles le 9 juin prochain, écrit BDM, atteint désormais 1 299 milliards de dollars de valorisation boursière, soit une hausse de 28% en un an, et conserve la tête du classement pour la quatrième année consécutive ».
La firme devance Google qui occupe la 2e position (944,1 milliards), Microsoft (884,8 milliards), Amazon (866,1 milliards) et désormais NVIDIA qui se hisse à la 5e place aux dépens de McDonald’s – reléguée à la 8e position.
Derrière ces mastodontes, Kantar souligne également une forte augmentation de la valorisation cumulée du top 100, portée par le secteur technologique.
Ainsi, cette valorisation atteint 10 700 milliards de dollars en 2025, ce qui constitue une hausse de 29% sur un an. « Cette progression est largement portée par des marques disruptives qui s’appuient sur la technologie, et qui ont généré la majeure partie de la croissance de valeur au cours des 20 dernières années, tous secteurs confondus » , selon l’entreprise spécialisée dans l’analyse de données. Et au-delà du « Big 5 », Kantar assure « l’entrée remarquée » de ChatGPT à la 60e place ou celle de Stripe à la 85e place, ainsi que le retour dans le classement de Spotify (76e) et de Booking.com (89e).
Voici les dix marques les plus puissantes au monde en 2025, selon Kantar :
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Suite à l’échec des négociations avec le ministère de la Santé, l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM) a décidé d’observer une grève générale de cinq jours, ainsi que le boycott du choix des Centres de stage pour les médecins résidents, indique l’organisation dans un communiqué. La date de cette grève sera fixée prochainement.
L’OTJM explique que malgré une deuxième réunion tenue avec le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, « aucun progrès concret n’a été enregistré » concernant ses revendications.
Par conséquent, elle fait porter la responsabilité au ministère de la Santé des retards et autres entraves à même de compromettre le droit des citoyens à des soins de qualité.
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Il précise que ces doctorants refusent l’affectation dans les administrations publiques ou dans des domaines qui ne relèvent pas de leurs compétences et qualifications, rapporte un site de la place.
Lors d’une conférence de presse organisée jeudi 15 mai par la coordination au siège du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), M. Kouka a également appelé le ministère de l’Enseignement supérieur à dévoiler le nombre exact des postes vacants au sein des universités tunisiennes et dans les différentes spécialités scientifiques.
Il a rappelé que ledit ministère avait promis de fournir les statistiques des postes vacants avant le 21 mars 2025, promesse qui n’a pas respectée.
En outre, M. Kouka indique que la coordination revendique la publication des critères d’inscription des doctorants sur la plateforme électronique du ministère. Tout en assurant que les demandes des doctorants-chercheurs sont légitimes et fondées sur les recommandations du président de la République. En effet, ce dernier avait appelé à trouver des solutions à ce dossier dans les plus brefs délais.
Toutefois, le coordinateur indique que « les doctorants-chercheurs refusent catégoriquement la participation au concours qui sera organisé par le ministère de l’Enseignement supérieur, considéré comme l’unique mécanisme de recrutement ». Car ce concours ne tient pas compte de leur parcours scientifique.
L’article Le cri d’alarme des doctorants au chômage pour intégrer l’université est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
L’analyste explique : un regard sur le taux d’inflation des quatre premiers de l’année montre que dernier suit un trend baissier se situant à 5,6 %.
Il estime que les résultats de la politique monétaire de la Banque centrale de Tunisie impliquant un taux d’intérêt directeur autour de 8 %, pendant deux années successives, a entraîné une baisse des demandes des prêts de consommation pour les particuliers ainsi que des prêts d’investissement pour les entreprises.
Par ailleurs et toujours selon lui, plusieurs entreprises se plaignent de charges financières importantes. Et que le coût de l’investissement devient élevé. Ce qui a entraîné une baisse des investissements des unités économiques.
Sur autre volet, l’analyste financier affirme que la relation entre l’inflation et l’argent liquide en circulation n’existe pas. Pour expliquer l’augmentation des billets en circulation, Moez Hadidane souligne qu’il y a eu une progression considérable qui a eu lieu après la crise de la Covid-19. « En divisant le taux des liquidités par le PIB, la valeur moyenne était en général de 11 % en 2020 », précise-t-il. Ce taux atteint aujourd’hui 14,5%.
En outre, la hausse de cette valeur en dinar est tout à fait légitime, en ce sens que lorsque le PIB augmente, l’économie nationale a besoin d’une partie d’argent en liquide.
Il soulignera par ailleurs que si l’équation se fait en divisant la liquidité disponible par la masse monétaire, l’on obtiendra un taux de 17 % environ. Et d’ajouter que ce taux est aujourd’hui stable bien qu’il ait augmenté sensiblement de 0,7 %.
L’article Moez Hadidane prédit un taux d’inflation de 5 % à fin 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.