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Succès médical de l’institut de neurologie Mongi Ben Hamida de la Rabta

09. November 2024 um 14:00
Succès médical de l'institut de neurologie Mongi Ben Hamida de la Rabta | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (Santé) – Une équipe médicale de l’institut de neurologie Mongi Ben Hamida à la Rabta a effectué avec succès une intervention par voie Endovasculaire pour traiter un patient souffrant d’une malformation artérioveineuse.

La spécialiste en neuroradiologie interventionnelle Pr Nadia Hammami, a indiqué dans une déclaration à la TAP que cette intervention sans chirurgie a été effectuée sous la supervision de Jacques Moret, expert international en radiologie interventionnelle, soulignant que l’équipe médicale tunisienne est dotée d’une grande expérience dans ce genre d’interventions.

Dans ce contexte, elle a précisé que l’état de santé de ce patient est plus complexe et délicat que les cas traités auparavant ».

« L’équipe médicale a effectué un cathétérisme des artères cérébrales vascularisant la malformation en procédant à l’injection d’un produit spécifique » a-t-elle expliqué, signalant que cette opération vise à réduire les risques d’hémorragie sans avoir recours à la chirurgie.   

Dr Hammami a ajouté que le taux de réussite de ce genre d’interventions, qui durent entre une et deux heures dépasse les 90 pc, néanmoins a-t-elle précisé, elles peuvent entrainer certaines complications estimées à 7 pc de risque d’hémorragie cérébrale et 1 pc de risque de décès. 

Elle a affirmé que cette intervention a été diffusée en direct, lors d’une conférence ayant pour thème « la radiologie interventionnelle » avec la participation de plusieurs jeunes médecins.

De son côté, le directeur général des structures de santé publique au ministère de la santé a indiqué que l’institut national de neurologie Mongi Ben Hamida à Tunis, qui bénéficie d’une renommée à l’échelle arabe et internationale, a accueilli des patients de toutes les régions de la république qui ont subi des interventions chirurgicales et médicales réussies, malgré leur complexité.

« Une deuxième salle sera équipée prochainement à l’institut Mongi Ben Hamida consacrée aux interventions médicales » a-t-il précisé, ajoutant que des centres similaires seront crées dans plusieurs régions en vue de réduire la pression sur cet institut et les délais d’attente des patients.    

CMR consacré au secteur de la santé et à la couverture sanitaire : Assurer une protection sociale plus équitable

09. November 2024 um 11:10

La batterie de mesures prises lors du CMR présidé par le Chef du gouvernement vise à renforcer l’efficacité du secteur de la santé en Tunisie qui s’est nettement dégradé et consacrer le rôle social de l’État. Des objectifs déjà annoncés dans le manifeste électoral du Président Kaïs Saïed en octobre dernier lors de sa candidature à la magistrature suprême. On passe très vite de la parole à l’action.  

Le démarrage en trombe de la nouvelle équipe gouvernementale n’est plus à démontrer avec la tenue de diverses réunions présidées par le Chef du gouvernement, Kamel Maddouri, s’instaurant dans le cadre du suivi et de la mise en exécution des directives présidentielles. Conseils ministériels restreints (CMR) et réunions ministérielles périodiques se succèdent à un rythme soutenu pour examiner aussi le suivi de l’état d’avancement des plans et programmes d’action. Le relâchement n’est plus permis face aux velléités de résistance aux changements qui prennent forme dans la mauvaise gestion et la corruption dans les services clés relevant du secteur public, à l’instar de ceux de la santé et de la couverture sociale.

Un Conseil ministériel restreint au Palais du gouvernement à la Kasbah a été récemment consacré à l’examen de plusieurs dossiers liés au secteur de la santé et à la couverture sanitaire. À ce propos, le Chef du gouvernement a mis en exergue l’importance de «concrétiser les dispositions constitutionnelles relatives au droit à la santé, à la sécurité et à la qualité des services de soins, ainsi qu’à la couverture sociale».  Pour mieux dire les choses, l’ancien expert des caisses de Sécurité sociale et actuel Chef du gouvernement a recommandé «la mise en place de programmes et de politiques innovants en vue de réhabiliter le secteur public de la santé et en améliorer l’efficacité, conformément aux directives du président de la République visant à établir une couverture sanitaire pour tous les Tunisiens, et à procéder à une révision en profondeur du système d’assurance maladie afin d’assurer une prise en charge équitable et de qualité».

Réhabiliter le secteur public de la santé

Parmi les décisions urgentes prises lors de ce CMR, la mise en place d’un comité de pilotage incluant des représentants de la présidence du gouvernement, des ministères de la Santé, des Finances, des Affaires sociales et des professionnels de la santé.  Ce comité sera chargé de «rendre les structures publiques de santé plus attractives et d’optimiser l’emploi des compétences et des équipements médicaux». Il s’agit aussi de «fournir les conditions de travail décentes pour le personnel médical et paramédical afin d’aiguiser leur motivation et de préserver la référence du secteur public».

Du côté du corps des médecins de la santé publique, cette mesure a été favorablement accueillie d’autant que les conditions parfois indécentes et même dégradantes dans lesquelles les jeunes médecins sont acculés à travailler les poussent à larguer les amarres. Le nombre de médecins tunisiens de différentes spécialités ayant été poussés au travail à l’étranger «est assimilé à une hémorragie interne qu’il faudrait rapidement diagnostiquer pour en connaître la cause et la stopper pour sauver le pays», souligne dans une étude DR Rym Haloues, socio-anthropologue de la santé. Selon l’INS, 3.300 médecins ont quitté la Tunisie au cours des cinq dernières années, ce qui équivaut à 5 promotions de la Faculté de médecine de Sousse, ajoute-t-elle.

Les facteurs incitant à la migration des médecins tunisiens sont inhérents aux salaires et conditions de travail dans l’hôpital public dont, en particulier, la surcharge des services hospitaliers, le manque ou la vétusté du matériel, le salaire non adéquat avec le cursus universitaire du médecin, le milieu de travail à risque avec de plus en plus de violence et d’actes d’agression à l’encontre du personnel médical. «Malgré leur importance, les forces d’attraction ne jouent qu’un rôle relativement secondaire comparativement à celles de répulsion. La migration est une décision difficile et complexe pour le médecin, car elle a des répercussions matérielles et psychologiques très élevées», souligne la même source.

Le manque de culture numérique : un handicap de taille

Parmi les autres décisions prises lors de ce CMR, le renforcement des outils de gouvernance, de la transformation numérique et de la surveillance pour améliorer la gestion des structures publiques de santé. Il faut rappeler à cet effet qu’un programme de développement de la santé publique a été élaboré en 2020 visant à réformer et moderniser le système d’information de la santé, mais c’est toujours la mise en application des objectifs tracés qui a fait défaut.   

Selon le ministère de la Santé, le taux de numérisation des services dans les hôpitaux universitaires a atteint 92%, et 77% dans les hôpitaux régionaux, tandis que le nombre total d’établissements de santé connectés au réseau national de santé est de 295. Plus de deux mille centres de santé de base seront également digitalisés au cours de la période à venir.

Lors d’une séance de travail tenue en présence du directeur général du Centre d’informatique du ministère de la Santé, réservée au suivi  de l’avancement des projets de numérisation dans le secteur et la discussion des plans futurs, le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a appelé à mobiliser toutes les ressources disponibles pour mettre en œuvre les projets de digitalisation le plus rapidement possible. Le ministre a souligné le rôle crucial de la digitalisation dans l’amélioration de la gouvernance des établissements de santé et le renforcement de la transparence et de l’efficacité. Il faut souligner que l’intelligence artificielle joue un rôle prépondérant en médecine. Il est donc inadmissible que les services sanitaires restent figés dans le temps n’offrant que de piètres perspectives de modernisation. Mais il faut tenir compte du fait que le manque de culture numérique du côté du citoyen et des agents a constitué aussi une entrave à la digitalisation dans les services de santé, sans oublier l’insuffisance des infrastructures numériques dans le secteur de la santé.

Révision du système d’assurance maladie

Le second volet du CMR tenu sous l’égide du Chef du gouvernement concerne le lancement d’une révision approfondie du système d’assurance maladie en tenant compte des études évaluatives réalisées et des suggestions des parties prenantes du secteur. L’initiative est ambitieuse et doit impérativement accompagner la réforme du système de la santé, car les deux secteurs sont intrinsèquement liés et impliquent aussi celui des médicaments.

À cet effet, il a été décidé de renforcer les ressources financières pour la Pharmacie centrale de Tunisie par des fonds supplémentaires, en plus des versements mensuels de la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam), ainsi que la création d’une commission unifiée pour fixer les prix des médicaments de manière régulière sous la supervision de l’Agence nationale des médicaments, et avec la participation des ministères concernés. Il a été décidé aussi l’accélération de la mise en place du système d’échange de données électroniques entre la Cnam et les prestataires de services de santé dans les deux secteurs public et privé, en garantissant les moyens nécessaires à la généralisation de la carte «labes» de soins électronique.

Parmi les autres mesures annoncées lors de ce CMR, l’amélioration de la coordination entre le ministère de la Santé et la Cnam pour optimiser les critères de prise en charge des services de santé selon les normes et pratiques internationales et garantie du versement des contributions en suspens des caisses sociales auprès de plusieurs établissements publics pour permettre le règlement des créances de la Pharmacie centrale et des structures publiques de santé. Ces mesures sont susceptibles de mettre fin, d’une manière définitive, au cercle vicieux des dettes des deux caisses sociales (Cnss et Cnrps), de la Cnam et de la Pharmacie centrale qui ont fortement impacté le secteur de la santé en 2022.

Cette batterie de mesures vise à renforcer l’efficacité du secteur de la santé en Tunisie qui s’est nettement dégradé et consacrer le rôle social de l’Etat en assurant aux citoyens une prise en charge équitable et de qualité. Par ailleurs, le ministère des Affaires sociales avait annoncé au début de cette année l’augmentation du plafond annuel des montants des services de santé externes pris en charge dans le cadre du régime d’assurance maladie.

Il est beaucoup plus question aujourd’hui de mettre de l’ordre dans deux secteurs extrêmement interdépendants, à savoir celui de la santé publique qui s’est nettement dégradé et a été gangréné ces dernières années par la corruption et la mauvaise gestion, provoquant au passage la fuite de nos jeunes médecins, des crises à répétition et des drames jamais vécus en Tunisie, à l’instar de la mort de 12 nouveau-nés dans un hôpital et de 29 mille personnes suite à la pandémie de Covid-19. Sans oublier les dettes des institutions publiques et privées à l’égard des caisses de sécurité sociale qui s’élèvent à plus de 9.000 millions de dinars, selon une déclaration rapportée par la TAP en février 2024, du directeur général de la Sécurité sociale au ministère des Affaires sociales, Nader Ajabi.

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Institut Mongi Ben Hamida : Succès d’une intervention sans chirurgie pour traiter une malformation artérioveineuse

Von: Raja
09. November 2024 um 09:39
Institut Mongi Ben Hamida : Succès d’une intervention sans chirurgie pour traiter une malformation artérioveineuse

Une équipe médicale de l’institut de neurologie Mongi Ben Hamida à la Rabta a effectué avec succès une intervention par voie Endovasculaire pour traiter un patient souffrant d’une malformation artérioveineuse. La spécialiste en neuroradiologie interventionnelle Pr Nadia Hammami, a indiqué dans une déclaration à la TAP que cette intervention sans chirurgie a été effectuée sous […]

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Des députés revendiquent l’augmentation des budgets de l’éducation et de la santé

08. November 2024 um 21:17

Un nombre de députés ont appelé, vendredi 8 novembre, au Palais du Bardo, à la nécessité d’accorder la priorité aux secteurs de l’éducation et de la santé et de consacrer un budget supplémentaire pour améliorer la qualité de l’enseignement et des prestations sanitaires, notamment dans les régions intérieures du pays.

Au cours d’une séance plénière commune, tenue cet après-midi, entre le parlement et le Conseil régional des régions et des districts (CNRD), consacrée à l’examen des projets de loi des finances et de budget de l’Etat au titre de 2025, ils ont fait état de l’insuffisance des fonds réservés à l’enseignement et à la santé ayant impacté négativement les services.

Certains élus ont signalé la dégradation de la situation sanitaire dans plusieurs régions du pays, évoquant le manque des médecins spécialistes et d’équipements médicaux dans les hôpitaux régionaux et locaux.

Par ailleurs, plusieurs députés ont appelé à la nécessité d’introduire des réformes dans le secteur de l’enseignement supérieur et de réviser les mécanismes d’emploi précaire.

Ils ont relevé l’importance des sociétés communautaires dans le développement économique aux plans régional et local, soulignant la nécessité de consacrer une plus grande part du budget de l’état aux projets de développement dans les régions, outre le renforcement des petites et des moyennes entreprises pour permettre aux jeunes d’accéder à l’emploi.

Avec TAP

 

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L’Institut Mongi Ben Hamida réussit une intervention endovasculaire sur une MAV

08. November 2024 um 20:17

Une équipe médicale de l’institut de neurologie Mongi Ben Hamida à la Rabta a effectué avec succès une intervention par voie Endovasculaire pour traiter un patient souffrant d’une malformation artérioveineuse.

La spécialiste en neuroradiologie interventionnelle, Pr Nadia Hammami, indique que cette intervention sans chirurgie a été effectuée sous la supervision de Jacques Moret, expert international en radiologie interventionnelle, soulignant que l’équipe médicale tunisienne est dotée d’une grande expérience dans ce genre d’interventions.

D’ailleurs, tient-elle à le souligner, l’état de santé de ce patient est plus complexe et délicate que les cas traités auparavant. « L’équipe médicale a effectué un cathétérisme des artères cérébrales vascularisant la malformation en procédant à l’injection d’un produit spécifique » a-t-elle expliqué, signalant que cette opération vise à réduire les risques d’hémorragie sans avoir recours à la chirurgie.

Dr Hammami a ajouté que le taux de réussite de ce genre d’interventions, qui durent entre une et deux heures dépasse les 90 pc, néanmoins a-t-elle précisé, elles peuvent entrainer certaines complications estimées à 7 pc de risque d’hémorragie cérébrale et 1 pc de risque de décès.

Elle a affirmé que cette intervention a été diffusée en direct, lors d’une conférence ayant pour thème « la radiologie interventionnelle » avec la participation de plusieurs jeunes médecins.

De son côté, le directeur général des structures de santé publique au ministère de la santé a indiqué que l’institut national de neurologie Mongi Ben Hamida à Tunis, qui bénéficie d’une renommée à l’échelle arabe et internationale, a accueilli des patients de toutes les régions de la république qui ont subi des interventions chirurgicales et médicales réussies, malgré leur complexité.

« Une deuxième salle sera équipée prochainement à l’institut Mongi Ben Hamida consacrée aux interventions médicales » a-t-il précisé, ajoutant que des centres similaires seront crées dans plusieurs régions en vue de réduire la pression sur cet institut et les délais d’attente des patients.

Avec TAP

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Lissage brésilien et insuffisance rénale… Pr. Riadh Daghfous précise!!!

08. November 2024 um 21:00
Lissage brésilien et insuffisance rénale… Pr. Riadh Daghfous précise!!! | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (Santé) – Le lissage brésilien est utilisé dans les salons de coiffure. Mais cette technique de soin capillaire qui consiste à injecter de la kératine dans les cheveux avant de les passer sous des plaques chauffantes, n’est pas sans risque pour la santé comme l’a précisé Pr. Riadh Daghfous Directeur Général du Centre National de Pharmacovigilance à UNIVERSNEWS qui a appelé à se méfier des produits utilisés pour les lissages brésiliens, qui peuvent provoquer des cas d’insuffisance rénale.

Les coiffeurs ignorent parfois eux-mêmes les risques. « L’acide glyoxylique donne un aspect lisse et brillant aux cheveux pouvant durer plusieurs mois. À l’origine de cette alerte, quatre cas d’insuffisance rénale aiguë ont été rapportés après utilisation d’un produit de lissage des cheveux contenant de l’acide glyoxylique dont 2 cas à Monastir, un cas à la Rabta et un ancien cas à Mahdia. Les signes d’insuffisance rénale apparaissent quelques heures après l’exposition à l’acide glyoxylique inclus dans le produit. Ils se manifestent par des douleurs abdominales ou lombaires et des nausées et/ou des vomissements. »

Pr. Riadh Daghfous insiste également sur l’importance de lire attentivement les étiquettes des produits capillaires. Si de l’acide glycolique ou du glyoxal figure parmi les ingrédients, il est impératif de les éviter. Il conseille  les salons de coiffure de prendre des précautions dans l’utilisation de ces produits, qui peuvent contenir des substances cancérogènes. 

Dans un communiqué publié ce jeudi 07 novembre 2024, le ministère de la Santé a mis en garde contre les risques sanitaires liés à l’utilisation des produits de lissage brésilien renfermant de l’acide glycolique. Ces produits, populaires pour leur capacité à améliorer la texture des cheveux, présentent des dangers considérables pour la santé des consommateurs, notamment des risques accrus de cancer des voies respiratoires et de la peau. (M.S)

Projet de Loi de Finances 2025: Réformes de la santé en Tunisie, de la télémédecine à la couverture médicale universelle

08. November 2024 um 15:34

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri a souligné, vendredi matin, à l’ouverture des travaux des séances plénières communes entre le parlement et le Conseil régional des régions et des districts, consacrées à l’examen des projets de loi des finances et de budget de l’Etat au titre de 2025, que le gouvernement œuvrera à améliorer les services de santé en s’employant à rétablir le rythme de réalisation d’un certain nombre de projets de santé dans les différentes régions et à les doter du personnel médical nécessaire au cours de l’année prochaine.

A cet égard, il a expliqué qu’il s’agit de vulgariser davantage le système du dossier médical numérique dans les consultations externes des structures sanitaires en plus de développer les cadres législatifs visant à protéger les droits des bénéficiaires des services de santé, et la responsabilité sanitaire, à réglementer la télémédecine et à numériser les processus de distribution des médicaments, des matériels de santé et des vaccins.

Dans le même contexte, il a évoqué les mesures urgentes prises par le gouvernement pour soutenir la pharmacie centrale tunisienne, et autoriser une révision complète du système d’assurance maladie pour améliorer les prestations et établir une couverture médicale globale, ainsi que sa volonté de préparer une réforme complète du système de sécurité sociale.

Il a également ajouté que des décisions ont été prises pour relancer et accélérer la mise en œuvre d’un certain nombre de projets importants bloqués depuis cinq à dix ans, tels que l’hôpital Roi Salman bin Abdulaziz à Kairouan, l’hôpital universitaire de Sidi Bouzid, l’hôpital multi-spécialités de Gafsa et un certain nombre d’hôpitaux régionaux.

Le gouvernement œuvrera à améliorer les prestations de santé au cours de l’année à venir

08. November 2024 um 15:02

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a souligné, vendredi 8 novembre, à l’ouverture des travaux des séances plénières communes entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD), consacrés à l’examen des projets de loi de finances et de budget de l’État au titre de 2025, que le gouvernement œuvrera à améliorer les services de santé en s’employant à rétablir le rythme de réalisation d’un certain nombre de projets de santé dans les différentes régions et à les doter du personnel médical nécessaire.

À cet égard, il a expliqué qu’il s’agit de vulgariser davantage le système du dossier médical numérique dans les consultations externes des structures sanitaires en plus de développer les cadres législatifs visant à protéger les droits des bénéficiaires des services de santé, à réglementer la télémédecine et à numériser les processus de distribution des médicaments, des matériels de santé et des vaccins.

Dans le même contexte, il a évoqué les mesures urgentes prises par le gouvernement pour soutenir la Pharmacie centrale de Tunisie et autoriser une révision complète du système d’assurance maladie pour améliorer les prestations et établir une couverture médicale globale, ainsi que sa volonté de préparer une réforme complète du système de sécurité sociale.

Il a également ajouté que des décisions ont été prises pour relancer et accélérer la mise en œuvre d’un certain nombre de projets importants bloqués depuis cinq à dix ans, tels que l’hôpital Roi Salman bin Abdulaziz à Kairouan, l’hôpital universitaire de Sidi Bouzid, l’hôpital multi-spécialités de Gafsa et un certain nombre d’hôpitaux régionaux.

Avec TAP

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Ministre de la Santé : « Tous les centres de santé et hôpitaux de Sfax seront fournis en médicaments et équipés de matériel médical »

08. November 2024 um 10:25

Le ministre de la Santé, Mustafa Ferjani, a annoncé ce jeudi 7 novembre 2024, lors d’une visite imprévue dans plusieurs établissements de santé dans la région de Sfax, qu’un plan ambitieux de modernisation et de renforcement des infrastructures sanitaires sera mis en œuvre dans tout le gouvernorat. L’objectif est d’améliorer la couverture médicale et de garantir l’égalité d’accès aux soins à tous les citoyens, en particulier dans les zones rurales et les régions intérieures.

Lors de cette visite, M. Ferjani a affirmé que toutes les maisons de santé et hôpitaux régionaux de la ville de Sfax, y compris ceux des communes et quartiers périphériques, seront dotés de nouveaux équipements médicaux et de médicaments nécessaires pour répondre aux besoins de la population. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la politique de l’État visant à assurer une meilleure justice sanitaire et sociale. Et ce, malgré les défis liés aux ressources financières et logistiques.

Des mesures incitatives pour le personnel de santé et l’amélioration des services

Le ministre a également souligné que le gouvernement mettra en place plusieurs programmes incitatifs pour motiver les professionnels de santé. Ces mesures visent à améliorer la qualité des soins, réduire les délais d’attente et accélérer les programmes chirurgicaux. « Nous allons travailler à renforcer les capacités humaines du secteur et encourager les efforts pour que les services de santé soient non seulement plus accessibles, mais aussi de meilleure qualité », a-t-il précisé.

L’amélioration des infrastructures de santé dans les zones rurales et intérieures

Dans un discours orienté vers la justice sociale, le ministre a mis en avant l’importance de renforcer les services de santé en dehors des grandes villes, notamment dans les zones rurales et les régions intérieures du pays. Selon M. Ferjani, bien que les défis financiers et logistiques soient considérables, la volonté politique est présente pour surmonter ces obstacles et garantir à chaque citoyen l’accès à des soins de qualité, qu’il réside en milieu urbain ou rural. « Nous voulons donner la même priorité aux régions rurales qu’aux grandes villes en matière de services de santé », a-t-il insisté.

Des recrutements et l’utilisation des technologies modernes

Concernant le recrutement dans le secteur de la santé, le ministre a révélé que le gouvernement avait programmé l’embauche de 3 000 nouveaux employés pour l’année 2024. À ce jour, environ 1 200 postes ont déjà été pourvus. Et des efforts continus seront déployés pour renforcer les équipes médicales avec davantage d’experts en spécialités, ainsi que du personnel paramédical et technique, en particulier dans les régions rurales et intérieures. Par ailleurs, le ministre a annoncé que l’utilisation de la télémédecine et des technologies modernes sera encouragée pour faciliter l’accès aux soins, réduire les déplacements des patients et améliorer la prise en charge, notamment dans les zones éloignées.

Prévenir les maladies chroniques grâce à l’éducation sanitaire

M. Ferjani a également insisté sur l’importance de la prévention dans la politique de santé publique. Selon lui, il est essentiel de sensibiliser la population à l’importance de l’éducation sanitaire, en mettant l’accent non seulement sur les maladies transmissibles, mais aussi sur les maladies chroniques comme le diabète. « Par la prévention, l’éducation à la santé, les programmes médiatiques et un mode de vie sain incluant une alimentation équilibrée et l’exercice physique, nous pouvons réduire de manière significative l’incidence des maladies chroniques. Ce qui permet de protéger les patients, d’éviter des complications et de diminuer les coûts de traitement à long terme », a-t-il souligné.

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Produits de lissage : le ministère de la Santé met en garde contre les risques liés à l’acide glycolique

Von: walid
08. November 2024 um 11:27
Produits de lissage : le ministère de la Santé met en garde contre les risques liés à l’acide glycolique

La directrice du contrôle sanitaire des produits à l’Agence Nationale de Contrôle Sanitaire et Environnemental des Produits au ministère de la Santé, Zahra Jemli, a déclaré à Mosaïque FM que l’avis de mise en garde émis hier par le ministère de la Santé concernant l’utilisation du produit de lissage Brazil CACAU fait suite à la […]

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Enquête préoccupante : des niveaux dangereux de mercure dans les boîtes de thon

Von: walid
08. November 2024 um 10:39
Enquête préoccupante : des niveaux dangereux de mercure dans les boîtes de thon

Une enquête alarmante a révélé que des métaux toxiques pourraient se cacher dans les boîtes de thon, notamment celles vendues dans les pays européens. Les tests effectués sur près de 150 boîtes achetées en France, en Italie, en Espagne, en Allemagne et en Grande-Bretagne ont conclu qu’elles étaient toutes “contaminées par du mercure”, selon ce […]

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Phytothérapie… comment se soigner avec les plantes??!!

08. November 2024 um 10:59
Phytothérapie… comment se soigner avec les plantes??!! | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (Santé) – La phytothérapie est pratiquée dans tous les pays du monde en tant que médecine alternative ou complémentaire. Utilisée pendant des siècles comme la seule et unique forme de médecine, elle est devenue la source des principes actifs utilisés en allopathie. C’est à partir des extraits purifiés des constituants de la plante que les chimistes ont pu synthétiser les principes actifs de la plupart des médicaments chimiques utilisés dans le monde. Aujourd’hui, pharmacologues et professionnels de l’industrie du médicament s’accordent sur le fait que la chimie seule ne suffit plus pour développer les médicaments du futur. Le médicament chimique –ou l’allopathie– est condamné à disparaître au profit de nouveaux médicaments dits phyto-médicaments ainsi que de compléments alimentaires à base de plantes selon le principe de la PPTAC pour faire face à ce défi sanitaire de l’émergence des nouvelles maladies. C’est une arme redoutable pour soigner les maladies complexes de notre siècle telles que les dérèglements métaboliques (diabète, cholestérol, surpoids), les cancers, les maladies infectieuses d’origine virales, bactériennes et parasitaires, le rhumatisme et les maladies génétiques.

Ce nouveau concept de développement des médicaments et compléments alimentaires à partir des plantes, redonne ses lettres de noblesse aux phyto-médicaments, et permet de valoriser et de conserver non seulement notre richesse naturelle, mais aussi nos us et coutumes ancestraux comme base de l’innovation de la conservation de la nature et le développement. C’est dans ce cadre que la  BiotechPole  de  Sidi Thabet a organisé les 6 et 7 novembre  une formation sur les compléments alimentaires à base de plantes et les phyto-médicaments animée par Pr. Bruno Eto, Professeur en sciences du médicament et Président du conseil scientifique Africain pour l’innovation en santé.

Président des Laboratoires TBC, il est expert dans la recherche en pharmacologie clinique, et notamment dans le transport des médicaments et des xénobiotiques à travers les barrières biologiques. Après 20 années d’expériences acquises dans les industries pharmaceutiques internationales, il s’est engagé à 100% dans les bio-phyto-médicaments et les compléments alimentaires à base de plantes. Sa volonté est de les rendre accessibles à tous

Les résultats enregistrés par les médecins et pharmaciens tunisiens  qui prescrivent et dispensent les phyto-médicaments sont encourageants, justifient l’intérêt de l’intégration officielle de ces médicaments et des préparations magistrales phyto-galéniques dans l’arsenal thérapeutique de Ia Tunisie. (M.S)

Le ministère de la santé met en garde contre l’utilisation des produits de lissage Brésilien contenant de l’acide glycolique

08. November 2024 um 09:02
Le ministère de la santé a mis en garde contre l’utilisation des produits de lissage Brésilien contenant de l’acide glycolique, qui a des effets nocifs sur la santé des consommateurs dont les risques de cancers des voies respiratoires et de la peau. Dans un communiqué publié par l’agence nationale d’évaluation des risques, le ministère de […]

Santé : méfiez-vous des produits de « lissage brésilien »

07. November 2024 um 19:47

Le ministère de la Santé a récemment publié un communiqué dans lequel il met en garde contre les dangers du lissage brésilien, notamment celui qui contient du glioksilik. Il précise que les produits labellisés « BRAZIL CACAU » sont les plus dangereux.

Le glioksilik se transforme en formaldéhyde, un produit particulièrement dangereux pour la santé, si on le chauffe.

Voici les risques associés à ce type de lissage :

1. Irritations des voies respiratoires : l’inhalation des vapeurs dégagées par ces produits peut provoquer de la toux, une respiration sifflante, une gorge irritée et des difficultés respiratoires.

2. Effets sur la peau et les yeux : le formaldéhyde, présent dans ces produits, peut entraîner des réactions cutanées telles que rougeurs, démangeaisons ou éruptions, ainsi que des irritations oculaires, provoquant douleurs, démangeaisons et rougeurs.

3. Problèmes rénaux : l’exposition au formaldéhyde et au glioksilik présente un risque d’intoxication rénale et peut altérer les fonctions rénales.

4. Risque de cancer : l’exposition prolongée au formaldéhyde peut entraîner des problèmes de santé graves, notamment un risque accru de cancers, en particulier du système respiratoire et de la peau.

Le ministère déconseille l’utilisation de produits contenant du glioksilik par les esthéticiens et recommande aux consommateurs de lire attentivement la composition des produits de lissage avant de les utiliser.

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Le ministère de la Santé alerte : le lissage « Brasil Cacau » présente des risques graves pour la santé, dont le cancer et les dommages rénaux !

07. November 2024 um 14:45
Le ministère de la Santé alerte : le lissage « Brasil Cacau » présente des risques graves pour la santé, dont le cancer et les dommages rénaux !

Le ministère de la Santé tunisien a lancé une alerte majeure concernant l’utilisation des produits de lissage, en particulier ceux portant la marque « Brasil Cacau ». Ce produit, populaire dans de nombreux salons de coiffure en Tunisie, représente un danger grave pour la santé des consommateurs en raison de la présence d’acide glyoxylique. Cette […]

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Ras-le-bol du personnel médical de… la dégradation de la situation sanitaire à l’hôpital de Gafsa!!!

07. November 2024 um 14:49
Ras-le-bol du personnel médical de… la dégradation de la situation sanitaire à l’hôpital de Gafsa!!! | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (SPORTS) – Des cadres médicaux et paramédicaux de l’hôpital régional Houcine Bouzaïane à Gafsa ont observé un sit-in, jeudi, pour dénoncer ce qu’ils qualifient de « dégradation de la situation sanitaire et désengagement de la direction des revendications professionnelles ».

Le secrétaire général du syndicat des agents de la santé de base, Najeh Amroussia, a indiqué que les protestataires ont signalé la détérioration de la situation sanitaire dans leur établissement hospitalier touché par la pénurie de médicaments, d’équipements et de médecins spécialistes.

Les manifestants ont, également, appelé la direction à satisfaire leurs revendications professionnelles portant sur le versement des primes de l’action sociale, de lait et d’uniforme. 

Gafsa-Mouvement de protestation à l’hôpital régional Houcine Bouzaïene : Pénurie de médicaments, d’équipements et de médecins spécialistes

07. November 2024 um 14:03

 

Le personnel médical et paramédical à l’hôpital régional de Houcine Bouzaïene de gafsa ont organisé un mouvement de protestation pacifique au cours duquel ils ont dénoncé les mauvaises conditions de travail, la détérioration de la situation sanitaire ainsi que l’attentisme de la direction face à leurs revendications professionnelles.

Le Secrétaire Général du Syndicat de Base des agents de santé, Najeh Amroussia, a souligné que ce mouvement de protestation est l’expression du ras-le-bol du personnel de santé face à la dégradation des conditions de travail à l’hôpital qui souffre d’une pénurie de médicaments, d’équipements et de médecins et paramédicaux notamment dans la médecine de spécialité.

Le syndicat a appelé la direction de l’hôpital à honorer ses précédents engagements relatifs notamment aux versements de certaines primes.

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La Banque mondiale au chevet du secteur de la santé en Tunisie

07. November 2024 um 12:04

Une délégation de la Banque mondiale (BM) se rendra en Tunisie le 8 novembre 2024 pour discuter d’un nouveau projet de coopération d’une valeur de 25 millions de dollars, visant à renforcer le système national de santé avec l’appui du Fonds de lutte contre les pandémies, indique un communiqué du ministère de la Santé.

Lors d’une rencontre entre le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, et la délégation de la BM, conduite par le représentant de l’institution financière internationale en Tunisie, Alexandre Arrobbio, et le directeur du département Santé, Nutrition et Population pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, en présence de nombreux responsables du ministère, plusieurs décisions ont été prises pour commencer la mise en œuvre du projet de coopération à partir de 2025.

L’initiative repose sur trois piliers principaux : le premier est lié à la préparation aux urgences sanitaires et aux épidémies à travers l’appui aux capacités du Centre d’opérations stratégiques du ministère de la Santé, l’amélioration de la surveillance des épidémies à travers un système moderne de collecte et d’analyse d’information, le développement de la gestion des données de santé et l’amélioration de la gestion des ressources humaines dans le secteur.

Le second se concentre sur le renforcement des équipes d’intervention rapide, le soutien aux capacités des laboratoires et la création de laboratoires de diagnostic de référence.

Le troisième est axé sur le renforcement des services hospitaliers et d’urgence, l’extension des unités mobiles d’urgence, la fourniture d’ambulances équipées, l’exploitation et la maintenance d’équipements médicaux avancés et la mise en place d’un système d’information hospitalier complet.

Ce projet vise à développer les soins de santé primaires en mettant en œuvre un plan de restructuration des soins de première ligne, renforcer les programmes de prévention et de diagnostic précoce, moderniser les centres de soins de santé primaires, les numériser pour améliorer la coordination et le suivi et équiper les centres des zones prioritaires de structures préfabriquées alimentées par l’énergie solaire.

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Une délégation de la Banque mondiale en Tunisie le 8 novembre 2024

07. November 2024 um 10:13

Une délégation de la Banque mondiale sera en Tunisie le 8 novembre pour discuter d’un nouveau projet de coopération d’une valeur de 25 millions de dollars. Il vise à renforcer le système national de santé avec l’appui du Fonds Pandémie, selon une note du ministère de la Santé. Telle est l’annonce de l’agence de presse italienne Ansa.it

Plusieurs décisions seront prises pour commencer à mettre en œuvre le projet de coopération à partir de 2025.

Toujours selon Ansa. it, l’initiative repose sur trois piliers principaux : le premier concerne la préparation aux urgences sanitaires et aux épidémies en soutenant la capacité du centre d’opérations stratégiques du ministère de la Santé, en améliorant la surveillance des épidémies grâce à un système moderne de collecte et d’analyse des informations, en développant la gestion des données sanitaires et en améliorant la gestion des ressources humaines dans le secteur de la santé. Ainsi plusieurs décisions seront prises pour commencer à mettre en œuvre le projet de coopération à partir de 2025.

Le deuxième pilier se concentre sur le renforcement des équipes de réaction rapide, le soutien aux capacités des laboratoires et la mise en place de laboratoires de référence pour le diagnostic.

Le troisième pilier est relatif au renforcement des services hospitaliers et des services d’urgence, l’expansion des services d’urgence et de santé publique.

Ce projet vise à développer les soins de santé primaires en mettant en œuvre un plan de restructuration des soins de santé de première ligne, en renforçant les programmes de prévention et de diagnostic précoce, en modernisant les centres de soins de santé primaires, en les numérisant pour améliorer la coordination et le suivi, et en équipant les centres dans les zones prioritaires d’installations préfabriquées fonctionnant à l’énergie solaire.

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