France: La Statue de Macron au Musée Grévin volée...
© Mosaique FM
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A l’instar de 31 autres clubs, le Real lance sa campagne dans la Coupe du monde des clubs avec un objectif clair et affiché : remporter ce nouveau trophée. Surtout que le club de la capitale espagnole est passé à côté cette saison.
D’où le premier challenge de son nouvel entraîneur, Xabi Alonso, pour qui « cette compétition représente une belle opportunité », et « une chance de se battre pour un titre. C’est ce qu’il a indiqué lors de sa présentation au public madrilène lundi 26 mai. Premier test grandeur nature, le 18 juin contre Al-Hilal.
Il faut noter qu’importe la manière et au-delà du prestige, tous les participants à cette édition 2025 du Mondial des clubs ont les yeux rivés sur la cagnotte réservée au vainqueur final : 130 millions d’euros. Oui vous avez bien lu : 130 000 000 d’euros.
Ceci étant, les prétendants à la couronne sont nombreux et solides, et se nomment (entre autres) : Manchester City, Bayern Munich, Atlético de Madrid et PSG – qui vient d’être sacré champion d’Europe des clubs champions en atomisant l’Inter Milan sur le score sans appel de 5-0.
Et si cela pouvait rassurer les Merengue, une intelligence artificielle a prédit que « le Real Madrid part favori pour la victoire finale », avec 20 % de chances de soulever le trophée, devant Manchester City, le Bayern Munich et le PSG.
A noter que la Confédération africaine de football (CAF) sera représentée par quatre clubs : Al Ahly SC (Egypte), Espérance Sportive de Tunis (Tunisie), Mamelodi Sandows (Afrique du Sud) et Wydad AC (Maroc).
Maintenant, Alonso sait ce qu’on attend de lui : le trophée avec 130 millions d’euros pour les caisses du Real Madrid.
Derrière le Real Madrid, on retrouve Manchester City avec 15 %, suivi du Bayern Munich (13 %) et du PSG (12 %), récemment couronné en Ligue des Champions. L’Atlético de Madrid figure aussi parmi les outsiders, même s’il reste un cran en dessous dans les projections.
Les supporters madrilènes, eux, y croient plus que jamais. L’arrivée de Xabi Alonso, l’intégration de nouvelles recrues comme Dean Huijsen et Alexander-Arnold, et cette dynamique de renouveau, insufflent une vraie énergie autour de l’équipe. Reste maintenant à voir si le terrain confirmera les prévisions de l’algorithme.
L’article Business du foot : le grand favori du Mondial des Clubs 2025, c’est lui ! est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Si cela se produit effectivement, le taux d’acceptation des dépôts sera réduit, pour la huitième fois, de 25 points de base, à 2 %, contre 4 % en juin 2024.
Pour ceux qui ont des prêts en euros à taux variable, une telle évolution signifiera une nouvelle réduction de leur mensualité, car l’Euribor sera également tiré vers le bas.
Bien que relativement peu de membres du Conseil des gouverneurs de la BCE se soient exprimés, directement ou indirectement, avant la réunion de jeudi, la plupart ont indiqué qu’il fallait réduire les taux d’intérêt.
« Je pense que nous allons baisser les taux d’intérêt une fois de plus en juin, puis je vois une pause (lors de la réunion de juillet) », a déclaré le gouverneur de la Banque de Grèce, Yannis Stournaras, dans une interview à Kathimerini.
Les banquiers centraux de France, François Villeroy de Gallo, de Finlande, Olli Rehn, et de Lituanie, Gediminas Simkus, étaient sur la même longueur d’onde.
M. Villeroy a souligné qu’il n’y a pas encore eu de normalisation de la politique monétaire de la BCE et que cela sera probablement constaté lors de la prochaine réunion.
Olli Rehn indique de son côté que si les dernières données et les nouvelles prévisions trimestrielles de la Banque centrale, qui seront présentées jeudi, confirment que l’inflation (qui s’élevait à un taux annuel de 2,2 % en avril) évolue à des niveaux bas et que la croissance économique est lente, « la réaction appropriée en juin serait de poursuivre l’assouplissement monétaire et de réduire les taux d’intérêt ».
Enfin, M. Simkus estime qu’il est certain que l’inflation passera en dessous de l’objectif de 2 % de la BCE centrale, en raison de l’appréciation de l’euro, pour cette raison, il voit une possibilité significative d’une réduction des taux d’intérêt.
En revanche, deux membres du conseil d’administration se sont prononcés contre la baisse des taux d’intérêt de la BCE : l’Autrichien Robert Holzmann – considéré comme un « faucon » en raison de sa position sur une politique monétaire dure -, et l’Allemande Isabelle Schnabel – qui fait également partie des « faucons ».
Il faut noter que les deux banquiers centraux s’étaient également opposés à la baisse des taux d’intérêt lors de la réunion d’avril, mais leur position était visiblement minoritaire.
Il est également clair que la plupart des responsables de la BCE ne partagent pas les craintes d’une hausse de l’inflation. Au contraire ils pensent qu’elle va chuter à 2 % cette année et qu’elle pourrait ensuite tomber bien en dessous de ce niveau.
Cette position majoritaire a été récemment exprimée dans les déclarations de la présidente de la BCE, Christine Lagarde, et de son économiste en chef, Philip Lane, qui est également chargé de recommander les politiques de la Banque centrale.
Ainsi, M. Lane a déclaré qu’il était confiant que l’inflation diminuerait, faisant référence, entre autres, à la désescalade des augmentations de salaires. Tout en soulignant que tant que la baisse de l’inflation se poursuivrait, les baisses des taux d’intérêt se poursuivraient également. Il a fait remarquer avec intérêt que les taux d’intérêt pourraient chuter jusqu’à 1,5 %. Affirmant que pour qu’ils tombent en dessous de ce niveau, il faudrait des évolutions très négatives sur le front de la croissance, ce qui n’est pas à l’horizon actuellement.
Cependant, les analystes supposent que la croissance ralentira dans la zone euro, ainsi que dans le monde entier et en particulier aux États-Unis, même si le président Trump devait annuler les droits de douane qu’il a imposés.
Et c’est pourquoi ils pensent que la BCE va réduire ses taux d’intérêt en juin et encore plus jusqu’à 1,75 % cette année – Morgan Stanley voyant le « plancher » à 1,5 %.
L’article La BCE s’apprête à baisser ses taux pour freiner l’inflation est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
TrustShield repose sur trois piliers: des équipes expérimentées et professionnelles ; des process robustes selon des normes internationales ISO 27001, NIST… ; et des technologies leaders sur le marché.
Pourquoi adopter le SOC managé ?
Parce que les attaques deviennent de plus en plus sophistiquées, TrustShield combine surveillance continue, réponse automatisée et accompagnement humain. Grâce à TrustShield, les entreprises pourront bénéficier d’un accompagnement 24/7 par une équipe d’analystes SOC, qui surveille activement les systèmes, analyse les menaces émergentes et opère une veille permanente sur le dark-web. Cette équipe spécialisée agit en première ligne pour contenir les attaques et assister les clients dans leur réponse aux incidents. Contrairement aux SOC traditionnels, TrustShield met l’accent sur l’automatisation des process et l’intelligence artificielle afin d’optimiser les KPI et ce qui implique une augmentation des performances d’analyse/détection/réponse.
« Dans un monde numérique en train d’avancer d’une manière très rapide les attaques et les cybermenaces sont toujours plus sophistiquées. C’est pour cela que TrustShield incarne notre engagement en tant que 3S et GlobalNet pour sécuriser et protéger nos infrastructures, nos clients et nos partenaires. TrustShield est beaucoup plus qu’un bouclier, c’est une promesse basée sur l’excellence, la résilience te la confiance. Il s’agit d’un SOC de nouvelle génération, fruit d’un travail de plusieurs mois et de l’expertise de nos professionnels de 3S et GlobalNet qui ont mis en place cette solution et qui combine en même temps l’intelligence artificielle, un savoir-faire humain très pointu et d’autres technologies très avancées ! » a déclaré à cette occasion Adel Dahmani, DGA de 3S en remerciant au passage, les partenaires Palo Alto et Splunk qui ont contribué pleinement pour leur support et leur soutien lors de la création de cette nouvelle solution de cybersécurité.
Expliquant la raison de la création d’un SOC, le responsable a fait part quelques chiffres significatifs liés à la cybersécurité à travers le monde. Il a ainsi indiqué qu’il existe une pénurie d’ingénieurs en cybersécurité (3,4 millions de personnes). Il a en outre souligné que 72% des sociétés actuelles externalisent leur sécurité à des SOC et 80% de ces entreprises utilisent l’IA pour arrêter, bloquer et diminuer les attaques. Seules 3% des entreprises dans le monde entier sont mâtures en termes de cybersécurité en investissant dans des équipes spécialisées et des équipements capables d’arrêter des attaques. « En moyenne, la cybersécurité représente 12% du budget d’un IT, ce qui est très peu. Malgré-tout, les DSI sont aujourd’hui conscients qu’il est primordial d’augmenter ces budgets. Parmi ces entreprises, 51% augmentent leur budget uniquement quand ils se font attaquer…
Le module XDR (Extended Detection&Response) de TrustShield agrège et corrèle les signaux issus des endpoints, serveurs, réseaux et environnements cloud pour une détection contextualisée et croisée. Le composant VMS (Vulnerability Management System) effectue des scans en continu, identifie les failles critiques et propose des actions de remédiation priorisées selon le niveau de risque. Le SIEM intégré centralise les logs multi-sources, facilite les enquêtes forensiques, génère des alertes corrélées et permet une traçabilité complète. Enfin, grâce à l’intelligence artificielle, TrustShield détecte les comportements anormaux, hiérarchise automatiquement les incidents et renforce la pertinence des alertes.
L’interface centralisée de ce nouveau service offre une visibilité en temps réel sur l’ensemble du périmètre de sécurité, avec des tableaux de bord personnalisables. Qui plus est, TrustShield s’intègre facilement dans les environnements existants grâce à une architecture modulaire, ouverte et scalable. Sans oublier que l’efficacité de notre dispositif repose sur une équipe d’analystes experts certifiés, assurant une surveillance continue, une investigation approfondie et une réponse rapide aux incidents, le tout soutenu par l’intégration de solutions de cybersécurité de leaders du marché et une visibilité claire de la posture de sécurité grâce à des rapports détaillés et personnalisables incluant des indicateurs de performances tels que le Mean Time To Detect (MTTD) et le Mean Time To Recovery (MTTR).
L’intelligence artificielle joue un rôle central : elle renforce l’analyse comportementale, anticipe les attaques complexes et permet de trier automatiquement les alertes selon leur pertinence et leur urgence.
La couche SOAR (Security Orchestration, Automation and Response) automatise les scénarios de réponse pour contenir les menaces en quelques secondes, avec des workflows adaptatifs. L’interface de supervision fournit une vision en temps réel du niveau de sécurité global, avec des tableaux de bord dynamiques et personnalisables. Modulaire et évolutive, TrustShield s’intègre facilement dans les infrastructures existantes et accompagne la croissance des environnements IT. Par ailleurs, l’intégration intelligente de l’IA réduit la charge des analystes, améliore la réactivité globale du SOC et augmente la précision dans la détection comme dans la remédiation.
Avec TrustShield, 3S &GlobalNet proposent une cybersécurité offensive, réactive et adaptée aux enjeux actuels.
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Le ministre de l’Environnement, Habib Abid, a rappelé que la Tunisie a été parmi les premiers pays à ratifier la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et l’Accord de Paris, démontrant son engagement à la lutte globale contre le changement climatique.
Depuis la ratification de l’Accord de Paris, la Tunisie a élaboré une première contribution déterminée au niveau national (CDN) en 2015, visant une réduction de 41 % de son intensité carbone d’ici 2030, puis une CDN actualisée en 2021 avec un objectif renforcé à 45 % de réduction. Cette stratégie mise sur l’efficacité énergétique, le développement des énergies renouvelables et un développement économique durable, notamment dans l’industrie, l’agriculture, l’eau et la gestion des déchets.
En 2022, la Tunisie a aussi défini une stratégie bas-carbone et résiliente au changement climatique à l’horizon 2050, cadre d’action à long terme pour son développement durable. Le ministère travaille à renforcer la gouvernance nationale climatique par la mise en place d’un cadre juridique et institutionnel, incluant les obligations de transparence et de reporting prévues par l’Accord de Paris. Sur le plan international, la Tunisie participe activement aux négociations climatiques, avec une forte délégation à la COP 29 et prévoit un pavillon national à la COP 30 pour mieux valoriser ses priorités et attirer des investissements climatiques.
En septembre 2025, une conférence internationale d’investissement climatique sera organisée pour présenter le plan d’investissement de la CDN 3.0 (2026-2030). Ainsi, la Tunisie conjugue actions internes et diplomatie climatique multilatérale pour faire face aux enjeux climatiques majeurs qui la touchent, dans un contexte de vulnérabilité accentuée par le changement climatique.
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Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a affirmé lundi que la diplomatie tunisienne œuvre activement à attirer des investissements orientés vers la prévention des effets du changement climatique.
S’exprimant à l’ouverture d’une conférence sur le renforcement de la diplomatie environnementale et climatique, organisée au siège de l’Académie diplomatique internationale, le ministre a annoncé qu’il effectuera une tournée dans plusieurs pays scandinaves, reconnus pour leur engagement en faveur de la protection de l’environnement et du développement durable et des solutions durables à long terme pour les générations présentes et futures.
Nafti a formé le souhait de voir cette conférence aboutir à des approches innovantes, rappelant que la Tunisie n’est pas épargnée des risques environnementaux et climatiques. Il a, à cette occasion, souligné l’adhésion de la Tunisie aux efforts régionaux et internationaux visant à protéger les ressources vitales, lutter contre la désertification, réduire la pollution urbaine, faire face à l’élévation du niveau de la mer et préserver la biodiversité.
La conférence, organisée par le ministère des Affaires étrangères en collaboration avec le ministère de l’Environnement et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) porte sur les défis auxquels fait face la Tunisie dans sa lutte contre le changement climatique, la pollution environnementale et la dégradation de la biodiversité ainsi que les moyens de renforcer le rôle de la diplomatie tunisienne pour soutenir les efforts nationaux dans ce domaine.
Le programme comprend 3 sessions : une première session sur les défis climatiques et environnementaux en Tunisie ainsi que sur les mesures prises aux niveaux national et international pour y faire face.
La deuxième session est consacrée aux enjeux liés à la mobilisation des ressources financières pour lutter contre ces défis tandis que la troisième a porté sur les voies de renforcement de la diplomatie climatique et environnementale pour soutenir les efforts de l’État tunisien dans ce domaine stratégique.
L’article Tunisie : Mohamed Ali Nafti appelle à la diplomatie climatique pour attirer des investissements verts est apparu en premier sur WMC.
Mohsen Ghressia été élu, nouveau président de l’Ordre des Ingénieurs Tunisiens (OIT), lors de la quatorzième session du conseil de l’OIT, tenue, samedi et dimanche, à Hammamet (Gouvernorat de Nabeul). Ghrissi, qui succède à l’ingénieur Kamel Sahnoun, est le premier ingénieur du secteur privé et représentant de la catégorie des ingénieurs chefs d’entreprises, à occuper ce poste. “Il s’agit d’un tournant important dans l’ouverture de l’Ordre à tous les secteurs d’activités des ingénieurs”, indique l’OIT, dans un communiqué.
“Tout au long de sa carrière professionnelle, Ghrissi a contribué à défendre la place des ingénieurs dans les politiques publiques et à renforcer leur rôle dans le changement économique et social. Il est reconnu au sein des différentes composantes de la communauté des ingénieurs pour sa sagesse et sa capacité à rassembler les ingénieurs, quelles que soient leurs opinions et orientations divergentes, dans un cadre unifié et constructif”, lit-on dans le même communiqué.
En Plus de ses 27 ans d’expérience au sein du conseil, de son expertise dans le domaine de la construction industrielle et du développement de solutions d’ingénierie avancées au service de l’économie, le nouveau président de l’OIT est actuellement PDG d’un groupe composé de trois sociétés spécialisées dans l’acquisition, l’installation et l’identification de solutions industrielles innovantes.
En plus de ses compétences entrepreneuriales, Ghrissi est aussi actif dans le sport et la vie associative depuis sa jeunesse. Il a été membre de la Fédération tunisienne de football et vice-président de la Fédération tunisienne de taekwondo et a participé à l’organisation de plusieurs événements sportifs majeurs aux niveaux national et international, notamment les Jeux olympiques, la Coupe du monde de football et la Coupe d’Afrique des nations. Il est également adjoint au maire d’une municipalité du Grand Tunis.
L’article Qui est Mohsen Ghressia, premier ingénieur privé, élu président de l’Ordre des Ingénieurs Tunisiens ? est apparu en premier sur WMC.
La planète devrait connaître des températures de 1,2°C à 1,9°C supérieures aux niveaux préindustriels (1850-1900) au cours des cinq prochaines années. Ainsi, il existe une probabilité de 80 % que le record de chaleur de l’an dernier soit à nouveau battu d’ici 2029, alerte l’Organisation météorologique mondiale (OMM) dans un nouveau rapport qui vient d’être publié.
Selon l’ONM, les températures mondiales vont probablement continuer à augmenter, au point que la décennie actuelle s’annonce comme la plus chaude jamais enregistrée.
En 2024, l’OMM estimait la hausse de la température moyenne de la planète entre 1,34°C et 1,41°C. Désormais, elle prévoit que le réchauffement moyen sur 20 ans, pour la période allant de 2015 à 2034, atteindra 1,44 °C par rapport aux niveaux préindustriels.
Le rapport indique qu’il y a 70 % de chances que la moyenne quinquennale elle-même dépasse le seuil de 1,5 degré fixé en 2015 comme l’une des limites à ne pas dépasser dans le cadre de l’accord de Paris sur le climat.
L’OMM précise cependant que cet accord se réfère à des moyennes à long terme, sur deux décennies, ce qui signifie que le seuil n’a pas encore été franchi.
Toutefois, ces pics à court terme sont des signes avant-coureurs d’une crise climatique qui s’accélère.
L’article Climat 2025 : l’OMM prévoit un réchauffement de 1,2 °C à 1,9 °C d’ici 2029, record déjà menacé est apparu en premier sur WMC.
Le centre de la Coopération pour la Méditerranée de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN) projette d’accélérer l’établissement d’un bureau de projet en Tunisie pour renforcer sa présence en Afrique du Nord et développer un programme dédié à l’eau, afin de renforcer la collaboration avec les partenaires nationaux et régionaux sur la gouvernance de l’eau, la conservation de la biodiversité et la gestion durable des ressources.
Ce projet et bien d’autres figurent dans le rapport annuel 2024 de l’UICN Med, officiellement sorti à l’occasion de la journée internationale de la biodiversité, ayant cette année pour thème “Harmonie avec la nature et développement durable “.
L’équipe méditerranéenne de l’UICN projette également de renforcer les efforts de gouvernance, de conservation et de durabilité à travers la Méditerranée.
Le projet “Dialogue for Nature” renforcera la politique et le renforcement des capacités au sein des administrations régionales et locales pour soutenir les objectifs du Cadre mondial pour la biodiversité (CMB), tandis que l’Initiative “Mubadarat” et le nouveau projet “Tamkeen” lancé avec l’AECID (Agence espagnole pour la Coopération internationale au développement), permettront de renforcer les organisations de la société civile pour promouvoir les Solutions fondées sur la nature (SfN), la résilience climatique et l’inclusion sociale, lit-on dans le rapport.
L’article IUCN Méditerranée 2024 : lancement d’un programme eau et biodiversité en Tunisie est apparu en premier sur WMC.
Le Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES) se prépare à lancer une note sur les politiques en matière de “migrant environnemental” ou “déplacé climatique” en vue de jeter la lumière sur cette catégorie de personne subissant le changement climatique, assurer sa protection juridique et sociale et proposer des solutions à la migration environnementale et climatique.
Selon le FTDES, la Tunisie est confrontée à l’instar à d’autres pays aux impacts du changement climatique avec les successions des périodes de sécheresse, la baisse de la biodiversité, la diversification et la multiplication des catastrophes naturelles et leurs impacts sur la stabilité des petites communautés, incitant ses membres à se déplacer à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
En dépit de l’adhésion de la Tunisie aux différentes conventions et initiatives internationales relatives à cette question, le système législatif tunisien manque toujours un cadre juridique clair portant sur cette catégorie de personnes (définition, protection juridique et sociale), note le Forum.
L’ONG invite les jeunes chercheurs intéressés par les questions environnementales à soumettre leurs propositions et contributions à travers ce lien recrutement@al-forum.org
L’article FTDES : appels à contributions pour définir les droits des migrants environnementaux en Tunisie est apparu en premier sur WMC.
L’Organisation tunisienne des jeunes médecins a décidé d’observer, à partir du 12 juin courant, une grève générale de cinq jours, en signe de protestation contre le non-respect de leurs revendications par l’autorité de tutelle. Le président de l’organisation, Wajih Dhoukar, a indiqué lors d’une conférence de presse tenue lundi à Tunis que la grève générale […]
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