Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 23. November 2025Haupt-Feeds

57 % des futurs mécaniciens ont une compréhension incomplète de l’accident professionnel

23. November 2025 um 15:24

Une enquête de terrain menée par l’Institut de santé et de sécurité au travail (ISST), en collaboration avec le Centre sectoriel de formation en mécatronique de Borj Cedria (Ben Arous), met en lumière des insuffisances notables dans la compréhension des notions d’accident du travail et de maladie professionnelle chez les futurs techniciens du secteur. Selon […]

The post 57 % des futurs mécaniciens ont une compréhension incomplète de l’accident professionnel first appeared on La Presse de Tunisie.

Vers une séparation entre l’autorisation d’accès à l’eau potable et le permis de construire

23. November 2025 um 15:15

Un rapport conjoint des commissions de l’Agriculture et des Secteurs productifs des deux chambres législatives indique que le ministère de l’Agriculture travaille, en coordination avec le ministère de l’Intérieur, à la publication d’une circulaire visant à dissocier l’autorisation de raccordement à l’eau potable du permis de construire. Cette mesure, actuellement à l’étude, permettrait de simplifier […]

The post Vers une séparation entre l’autorisation d’accès à l’eau potable et le permis de construire first appeared on La Presse de Tunisie.

Forte demande en Jordanie pour l’huile d’olive tunisienne avec des prix attractifs

23. November 2025 um 14:01

Le ministère jordanien de l’Agriculture a annoncé une hausse notable des demandes d’importation d’huile d’olive tunisienne, représentant plus de 70 % des requêtes déposées par les commerçants locaux. Cette tendance s’explique, selon le responsable du marketing au ministère, par des prix jugés compétitifs et par la qualité reconnue de l’huile tunisienne. Le prix d’un bidon […]

The post Forte demande en Jordanie pour l’huile d’olive tunisienne avec des prix attractifs first appeared on La Presse de Tunisie.

Mohamed Ali Nafti conduit la délégation tunisienne au sommet UA–UE à Luanda

23. November 2025 um 14:01

Sur instructions de Son Excellence le Président de la République, Monsieur Kaïs Saïed, M. Mohamed Ali Nafti, Ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, conduit la Délégation Tunisienne participant aux travaux du septième Sommet Union Africaine–Union Européenne, qui se tiendra dans la capitale angolaise, Luanda, les 24 et 25 novembre […]

The post Mohamed Ali Nafti conduit la délégation tunisienne au sommet UA–UE à Luanda first appeared on La Presse de Tunisie.

Tourisme médical : la Tunisie valorise son savoir-faire à Izmir

23. November 2025 um 15:25

La Tunisie a pris part, les 21 et 22 novembre 2025 à Izmir en Turquie, au premier Congrès international du tourisme médical, placé sous le thème « Diplomatie sanitaire et innovation ». Elle y était représenté par son ambassadeur à Ankara, Ahmed Ben Sghaier, qui a présenté les atouts tunisiens dans ce secteur en pleine expansion.

Dans son intervention d’ouverture, Ahmed Ben Sghaier a mis en avant la qualité reconnue des soins médicaux en Tunisie, assurés dans les structures publiques et privées, ainsi que le haut niveau de formation et de qualification du personnel médical et paramédical. Il a également souligné la position géographique stratégique du pays, qui en fait une destination recherchée par les patients étrangers en quête de soins modernes, de bien-être et de séjours thérapeutiques.

Selon l’ambassade, la participation à ce congrès s’inscrit dans la continuité des efforts déployés pour promouvoir le tourisme médical et de bien-être tunisien sur le marché turc et dans les pays voisins. Elle prolonge notamment l’organisation, à Istanbul, de la « Journée de la Tunisie pour le tourisme médical et thérapeutique ».

Ces actions font suite à une présence renforcée de la Tunisie lors du Forum turco-arabe de coopération économique, tenu du 14 au 17 octobre 2025. En marge de cet événement, l’ambassade avait organisé un forum dédié à la coopération tuniso-turque dans le domaine du tourisme médical, en présence d’hommes d’affaires, de représentants du secteur privé, d’experts et d’acteurs associatifs.

Ces initiatives successives ont offert une plateforme stratégique de promotion pour positionner la Tunisie comme une destination de référence en matière de tourisme médical et thérapeutique, et pour renforcer les partenariats économiques dans ce secteur à fort potentiel.

L’article Tourisme médical : la Tunisie valorise son savoir-faire à Izmir est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Skander Ounaies : « Entre les illusions de l’Etat-providence et l’absence d’un nouveau type de croissance »

23. November 2025 um 14:45

Dans un contexte économique marqué par de profondes incertitudes, le projet de loi de finances (PLF) 2026 suscite de vives critiques et questionnements. Le Professeur Skander Ounaies, ancien conseiller économique au Fonds souverain du Koweït (KIA), partage une analyse claire et sans concession. Il estime que ce PLF reflète un retour à une logique de l’État-providence, inadaptée à la réalité sociale tunisienne. De même qu’il néglige les vrais défis structurels : baisse de la productivité, des investissements publics, gestion inefficace des finances publiques, absence de réformes profondes. Sans langue de bois, il alerte sur les risques d’aggravation de la dette publique et de la crise des finances publiques. Tout en appelant à un changement radical de politique économique, inspiré des réformes du programme d’ajustement structurel (PAS) de 1986, élaboré par des économistes tunisiens. Et ce, pour renouer avec une croissance durable et inclusive et reposant sur l’investissement, la réforme des entreprises publiques et la lutte contre la fiscalité excessive. Interview : 

 

Quelle est votre perception du PLF 2026 ?

Premièrement, on constate un retour en force du concept de l’État-providence. Il s’agit d’un retour à ce concept, avec 20 mesures sur les 33 que comporte le PLF. L’État-providence renvoie à un État d’assistanat. Or, cette forme d’État n’est pas justifiée, au regard de la pauvreté multidimensionnelle qui existe actuellement en Tunisie. Cet indicateur montre la proportion de personnes privées d’accès à plusieurs biens communs essentiels tels que la santé, l’éducation ou les transports.

Selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD, octobre 2025), la Tunisie est classée 15e sur 109 pays dans cet indicateur. Moins de 1% de la population tunisienne est concernée par la pauvreté multidimensionnelle, alors que la moyenne des pays émergents est de 18% et que celle de l’Afrique subsaharienne atteint 48%.

Deuxièmement, le PLF 2026 néglige les problèmes structurels de l’économie tunisienne, comme sa faible productivité. Par exemple, des augmentations salariales uniformes ont été décidées sans négociation et sans prise en compte de la productivité, qui demeure la plus faible de tous les pays méditerranéens.

Troisièmement, il y a le problème du taux d’investissement public, une donnée clé souvent ignorée.

Entre 2010 et 2014, le taux d’investissement public atteignait en moyenne 25%, un niveau très honorable. Entre 2020 et 2024, cette moyenne est tombée à 13%, et selon les dernières estimations du Fonds monétaire international (FMI, Perspectives économiques mondiales, Octobre 2025), elle pourrait chuter à 5% à l’horizon 2030. Ce point est crucial lorsqu’on le met en relation avec le Plan de développement 2026-2030. J’ai abordé ce sujet dans un article paru le 9 août 2025, où j’identifie les trois contraintes incontournables de ce Plan, qui ne trouvent pas de réponse dans le PLF 2026. Ainsi, le projet de loi ne répond pas aux contraintes principales du plan 2026- 2030, qui sont au nombre de trois :

-Le coût total et le financement de ce plan.

-Les nouveaux piliers de croissance envisagés, sachant que les trois piliers actuels (demande, exportation et investissement) sont quasiment à l’arrêt.

-La nouvelle politique économique à mener qui nous semble absolument nécessaire. La question qui doit être posée est la suivante : si nous visons un nouveau modèle, comme on l’entend souvent répéter sur de nombreux plateaux télévisés, comment comptons-nous le financer et sur quoi sera-t-il réellement fondé ?

Quatrièmement, ce projet va aggraver la situation des finances publiques. Les augmentations salariales décidées sans négociation vont accroître la dette de l’État. Selon les prévisions du FMI (Perspectives économiques mondiales – Octobre 2025), si les conditions ne changent pas, le poids de la dette publique atteindra 91,6% du PIB en 2030. C’est extrêmement élevé, insoutenable et inacceptable. Le déficit budgétaire prévu pour le PLF 2026 s’élève à 11,5 milliards de dinars, contre 10,2 milliards en 2025, ce qui va encore peser sur les finances publiques. De plus, rien n’est évoqué concernant le système de compensation.

Voici un exemple concret simple : Chaque jour, 900 000 baguettes de pain sont jetées, selon les données officielles. Le prix réel d’une baguette se situe entre 400 et 600 millimes, alors qu’elle est vendue à 250 millimes. Cela représente une compensation d’environ 0,25 dinar par baguette. En calculant 900 000 baguettes × 0,25 dinar × 30 jours, cela correspond à 6,7 millions de dinars de pertes mensuelles liées à la compensation du pain, soit environ 81 millions de dinars par an. Ces sommes sont littéralement jetées par la fenêtre.

Qu’est-ce que cela veut dire ? Ce constat souligne clairement un manque d’efficacité dans la gestion de la compensation alimentaire, qui doit obligatoirement être repensée. La question qui doit être posée est la suivante : comment le gouvernement envisage-t-il de réformer le système de compensation pour réduire ces pertes importantes et améliorer l’efficacité des finances publiques ?

Cinquièmement, la Banque centrale de Tunisie (BCT) va devenir ce qu’on appelle un PDR (prêteur en dernier ressort), selon Bagehot, financier anglais du XIXème siècle. C’est une situation qui est contraire à la loi de 2016, qui garantit l’indépendance de la Banque centrale et lui interdit de financer le déficit public. Bagehot expliquait, pour simplifier, que la Banque centrale doit soutenir les banques en cas de besoin, mais en appliquant des taux d’intérêt très élevés pour les dissuader d’y recourir fréquemment et limiter ainsi les risques. Or, selon le PLF 2026, la BCT accorderait des prêts à 0% d’intérêt, sur 15 ans, avec un délai de grâce de 3 ans.

Cela entraîne deux conséquences majeures : D’abord, ce qu’on appelle l’aléa moral : le gouvernement pourrait se reposer de manière continue sur ce financement facile, tandis que les banques seraient incitées à en abuser, et ainsi, les bons paieraient pour les mauvais. Ensuite, ce mécanisme va inévitablement alimenter l’inflation en augmentant la masse monétaire, qui n’aura pas l’offre conséquente de biens et services. La question est alors la suivante: comment le gouvernement compte-t-il éviter l’aléa moral lié au financement à taux zéro de la Banque centrale et garantir un impact réellement positif des mesures d’incitation dans le PLF ?

Cet extrait de l’interview est disponible dans le mag de l’Economiste Maghrébin 932 du 19 novembre au 3 décembre 2025

L’article Skander Ounaies : « Entre les illusions de l’Etat-providence et l’absence d’un nouveau type de croissance » est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Éducation : la Fédération demande la libération des fonds 2024

23. November 2025 um 14:01

Dans un communiqué publié samedi, la Fédération générale de l’éducation a appelé au Décaissement des montants alloués des promotions sur dossier et par sélection pour l’année 2024, avant le début du concours 2025.

Dans un communiqué, publié à l’issue de la réunion de son bureau exécutif, vendredi 21 novembre, la Fédération demande à l’autorité de tutelle de respecter les dates et les effets des promotions annuelles sur dossier ou par sélection dans le secteur de l’éducation, conformément aux dispositions de l’accord conclu avec le ministère de l’Éducation à cet effet, qui prévoit le décaissement des montants alloués des promotions sur dossier de la promotion annuelle sur dossier au début du mois de juillet de chaque année et de la promotion annuelle sur sélection au début du mois d’octobre de chaque année.

Elle a souligné que « malgré ce qu’il apporte au processus éducatif dans un contexte de pénurie alarmante de cadres et de conditions de travail déplorables et périlleuses, le secteur reste victime de lois injustes, puisque la valeur financière des promotions ne dépassent pas quelques dinars », soulignant « la volonté délibérée du ministère de marginaliser davantage le secteur, d’autant plus que la valeur financière de ces promotions est prévue et inscrite dans le budget du ministère de l’Éducation inclus dans la loi de finances de chaque année », selon la même source.

Elle a estimé que « la promotion d’une catégorie à l’autre est un droit acquis pour ses bénéficiaires, et a imputé à l’autorité de tutelle la responsabilité de tout retard dans la réalisation des promotions ou de tout contournement de celles-ci », selon le texte du communiqué.

L’article Éducation : la Fédération demande la libération des fonds 2024 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Projet de Loi de finances 2026 : L’article 50 sur l’impôt sur la fortune finalement rejeté

23. November 2025 um 15:28

Les commissions des finances des deux chambres ont achevé l’examen du projet de Loi de finances 2026. Après de longues discussions, un seul article a été écarté : celui instaurant un impôt sur la fortune.

Les commissions des finances de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil national des régions et des districts ont finalisé samedi soir l’étude de l’ensemble des articles du projet de Loi de finances 2026.

Selon le député Dhafer Seghiri, les échanges entre les deux structures ont permis d’aboutir à près de 150 amendements. Un seul article n’a pas survécu aux débats : l’article 50, consacré à l’impôt sur la fortune, jugé coûteux et peu rentable.

Des travaux conjoints qui aboutissent à 150 modifications

Dhafer Seghiri a indiqué que la coordination entre les commissions des deux chambres a permis de revoir en profondeur le texte initial. Les amendements adoptés concernent aussi bien les mesures fiscales que les dispositifs de soutien aux secteurs économiques.

Ces travaux, menés en parallèle avec des séances d’audition et d’analyse technique, ont permis de clarifier plusieurs mécanismes et de réduire les zones d’imprécision du projet gouvernemental.

Pourquoi l’article 50 a été écarté

Selon Seghiri, les simulations présentées lors des débats ont montré que l’impôt sur la fortune ne rapporterait qu’environ 11 millions de dinars par an au budget de l’État – un rendement jugé insuffisant au regard des moyens nécessaires pour son application.

L’article aurait exigé, selon lui, une importante mobilisation de ressources humaines, des procédures de contrôle complexes et des investissements logistiques conséquents.

Les commissions ont également souligné le risque d’un impact négatif sur l’épargne nationale, déjà fragilisée.

Les suites du processus budgétaire

Après l’adoption des amendements et le rejet de l’article 50, le projet de Loi de finances 2026 sera transmis en plénière pour débat général puis pour vote final.

Le gouvernement devra intégrer les modifications validées par les deux chambres avant la présentation officielle du texte consolidé.

Lire aussi

L’article Projet de Loi de finances 2026 : L’article 50 sur l’impôt sur la fortune finalement rejeté est apparu en premier sur webdo.

Pluies abondantes au Nord : Nefza, Béni Mtir et Sejnène parmi les zones les plus arrosées

23. November 2025 um 15:19

Plusieurs régions du Nord ont enregistré d’importantes quantités de pluie au cours des dernières 24 heures, selon les données publiées dimanche 23 novembre.

Les gouvernorats de Béja, Jendouba et Bizerte ont été les plus concernés, avec des relevés dépassant parfois les 40 mm. Plus au sud, les précipitations sont restées faibles et localisées. Ce cumul pluvieux confirme le retour d’un épisode humide marqué sur le Nord-Ouest.

Béja et Jendouba fortement arrosés

Le gouvernorat de Béja a connu des pluies notables, notamment à Nefza (35 mm), Barrage Kessab (26 mm), Béja-Sud et Amdoun (16 mm chacun). D’autres stations comme Tibar (10 mm) ou Mejez El Bab (10 mm) affichent également des niveaux significatifs, témoignant d’un front actif dans la région.

À Jendouba, les cumuls sont encore plus élevés dans plusieurs localités : Béni Mtir atteint 49 mm, Tabarka Aéroport 42 mm, Aïn Draham 46 mm, Balta Bouaouane 32 mm, Tabarka-ville 32 mm, confirmant un épisode pluvieux intense sur la bande frontalière et forestière du Nord-Ouest.

Bizerte : un épisode marqué sur la côte et les hauteurs

Le gouvernorat de Bizerte figure parmi les plus arrosés de cet épisode, avec : Sejnène à 41 mm, Joumine à 40 mm, Ghezala à 34 mm. Des valeurs situées entre 16 et 20 mm dans plusieurs localités côtières comme Menzel Bourguiba, El Médina, Metline, Raf Raf ou Ghar El Melh.

Ce régime de pluie confirme un apport important sur le bassin versant de plusieurs barrages du Nord.

Plus à l’est et au centre-nord, les cumuls enregistrés sont nettement plus modestes. À Siliana, plusieurs stations ne dépassent pas 1 mm, signe d’un épisode très atténué dans cette zone. Même constat au Kef, où Sakiet Sidi Youssef n’a relevé que 1 mm sur la période.

Dans le gouvernorat de Nabeul, les quantités sont variables mais restent modérées, avec des postes comme Dar Allouche (28 mm), Haouaria (19 mm), Azmour (10 mm) ou Boukrim (8 mm), tandis que d’autres zones côtières n’ont enregistré que quelques millimètres.

Lire aussi

L’article Pluies abondantes au Nord : Nefza, Béni Mtir et Sejnène parmi les zones les plus arrosées est apparu en premier sur webdo.

Décès de Noureddine Ben Ayad : la Tunisie perd un grand nom de la scène artistique

23. November 2025 um 13:00
Décès de Noureddine Ben Ayad : la Tunisie perd un grand nom de la scène artistique

La scène culturelle et artistique tunisienne est en deuil après l’annonce du décès de l’acteur emblématique Noureddine Ben Ayad, disparu ce dimanche 23 novembre 2025 à l’âge de 73 ans. Figure respectée du théâtre, de la télévision et du cinéma, il laisse derrière lui un héritage riche, façonné par des rôles marquants et une présence […]

The post Décès de Noureddine Ben Ayad : la Tunisie perd un grand nom de la scène artistique first appeared on Directinfo.

La Tunisie participe au 1er congrès international du tourisme médical en Turquie

23. November 2025 um 13:30

Représentée par son ambassadeur à Ankara, Ahmed Ben Sghaier, la Tunisie a participé à la première édition du Congrès international du tourisme médical, organisée dans la ville d’Izmir en Turquie les 21 et 22 novembre 2025, sous le thème « Diplomatie sanitaire et innovation ». Dans son discours d’ouverture, l’ambassadeur a présenté les atouts du […]

The post La Tunisie participe au 1er congrès international du tourisme médical en Turquie first appeared on La Presse de Tunisie.

Tunisie Autoroutes – Poste tunisienne : un partenariat pour digitaliser les services publics

23. November 2025 um 13:25

La Société Tunisie Autoroutes a annoncé, dimanche, qu’elle dévoilera prochainement les premiers projets de coopération numérique conclus avec la Poste tunisienne, dans le cadre d’une nouvelle stratégie visant à moderniser les services destinés aux usagers du réseau autoroutier. Selon un communiqué publié sur les réseaux sociaux, Tunisie Autoroutes a signé, vendredi, un partenariat stratégique avec […]

The post Tunisie Autoroutes – Poste tunisienne : un partenariat pour digitaliser les services publics first appeared on La Presse de Tunisie.

Pluies des dernières 24 heures

23. November 2025 um 13:23

Voici les quantités de pluie enregistrées en mm, durant les dernières 24h: Gouvernorat de Béjà Station Oued Ezzargua 6 – Barrage Sidi Salem 1 – Béjà Sud 16 – Amdoun 16 – Tibar 10 – Barrage Kessab 26 – Teboursouk 7 – Gobellat 3 – Mejez El Bab 10 – Béjà Station 9 – Nefza […]

The post Pluies des dernières 24 heures first appeared on La Presse de Tunisie.

Ligue 1 – 15e journée – ESS : Gravir les échelons

23. November 2025 um 12:47

L’Etoile engage le Classico face au CSS avec optimisme et certitudes. La Presse — En dépit des absences du Guinéen Omar Bah, convalescent, du milieu de terrain Jean-Cédric Gbo, suspendu, et de Ben Choug qui doit encore purger un match de suspension, Mohamed Ali Nafkha a d’autres atouts dans sa manche pour relever le défi. […]

The post Ligue 1 – 15e journée – ESS : Gravir les échelons first appeared on La Presse de Tunisie.

Le budget du ministère de l’Agriculture s’élèvera à près de 2,5 Mrds de dinars en 2026 

23. November 2025 um 13:45

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont entamé, lors de la séance plénière commune tenue, dimanche, l’examen du budget de la mission du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la pêche, pour l’exercice 2026.

 Le projet de budget de la mission de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche pour 2026, est estimé à 2 467 millions de dinars (MDT), contre 2 346 MDT en 2025, en hausse de 5 %.

Les dépenses de rémunération sont fixées à environ 681 MDT (engagement et paiement) en 2026, contre 702 MDT en 2025, enregistrant une baisse de 3 %.

Pour les dépenses de gestion, elles sont fixées à environ 44,926 MDT (engagement et paiement) contre 41,900 MDT en 2025, en progression de 7,2 %.

S’agissant des dépenses d’intervention de la mission du ministère de l’Agriculture, elles s’élèveront à environ 947,777 MDT (Engagement et paiement), contre 867,783 MDT (Engagement et paiement) en 2025, enregistrant, ainsi, une hausse de 9,2 %.

En ce qui concerne les dépenses d’investissement, elles sont estimées à 1 205 MDT (engagement) et 726 MDT (paiement) en 2026, contre 1 222 MDT (engagement) et 667 MDT (paiement), en 2025, enregistrant une hausse de 8,8 %.

Les objectifs du projet de budget de la mission de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche pour l’année 2026 visent à atteindre l’autosuffisance et la sécurité alimentaires, en préservant, développant et optimisant l’utilisation des ressources naturelles.

Il s’agit, en outre, de diversifier la production agricole, de s’adapter aux transformations économiques et numériques et de faire face aux défis attendus dans un contexte de changements climatiques et de crises.

« Une agriculture résiliente, inclusive et durable soutenant la sécurité alimentaire et hydrique », est la vision du secteur laquelle repose sur les axes stratégiques inclus dans le plan de développement 2026-2030, afin d’atteindre les objectifs de développement global à l’horizon 2030.

En effet, le secteur agricole est considéré comme un pilier fondamental de l’économie nationale en Tunisie, par sa contribution au développement économique et comme l’un des secteurs productifs les plus importants composant le produit intérieur brut (9 % du PIB en 2025).

Il est, également, considéré comme une source essentielle de nourriture, fournissant des matières premières et répondant aux besoins alimentaires des citoyens, tout en assurant leur sécurité alimentaire, contribuant à l’absorption du chômage et à la création d’emplois pour différentes catégories sociales.

Le secteur agricole a un rôle dans l’augmentation du volume des exportations et, par conséquent, il contribue à la réduction du déficit de la balance commerciale. À partir de 2026, la politique de développement dans le secteur de l’agriculture et de la pêche sera axée sur l’harmonisation des dimensions économiques et sociales tout en garantissant les équilibres environnementaux, dans un contexte de changements climatiques, de sécheresses récurrentes, d’augmentation du coût des matières premières et des produits de base, ainsi, que de la limitation des mécanismes de financement nécessaires.

L’article Le budget du ministère de l’Agriculture s’élèvera à près de 2,5 Mrds de dinars en 2026  est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌
❌