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Heute — 26. November 2025Haupt-Feeds

Forex et Tunisie : entre glissement du dollar, prudence européenne et respiration du dinar

26. November 2025 um 06:00

Les marchés des devises s’ouvrent cette semaine dans un climat marqué par la retenue, une prudence élevée et une forte sensibilité aux signaux de politique monétaire. Le mouvement récent de la paire EUR/USD, revenue à proximité du seuil symbolique de 1,1500 après deux séances de recul, illustre un marché en transition, hésitant entre la fermeté prudente de la Banque centrale européenne et la possibilité d’un assouplissement plus rapide de la Réserve fédérale américaine.

Durant les échanges asiatiques, l’EUR/USD s’est stabilisé autour de 1,1510, prolongeant une dynamique négative mais dépourvue de panique. L’euro glisse légèrement, mais ne décroche pas : c’est la posture mesurée de la BCE qui en constitue le principal amortisseur. Les membres du Conseil des gouverneurs maintiennent un discours prudent, évoquant un statu quo prolongé des taux directeurs probablement jusqu’à fin 2026, à mesure que l’inflation converge progressivement vers l’objectif de 2 %. Les données d’activité de novembre, en léger retrait mais conformes aux attentes, confortent cette stratégie de stabilité monétaire.

Christine Lagarde a rappelé, dans ses dernières interventions, que la BCE ne relâchera pas sa vigilance : toute dérive, même marginale, de l’inflation pourrait entraîner une adaptation des taux. Gabriel Makhlouf, gouverneur irlandais et membre influent du Conseil, insiste pour sa part sur la pertinence du taux actuel, écartant tout ajustement tant qu’aucune rupture macroéconomique n’apparaît. Cette stratégie permet à l’euro d’éviter un décrochage plus marqué, dans un environnement international encore incertain.

 

Gabriel Makhlouf, gouverneur irlandais et membre influent du Conseil, insiste pour sa part sur la pertinence du taux actuel, écartant tout ajustement tant qu’aucune rupture macroéconomique n’apparaît.

 

Face à cette prudence européenne, le dollar américain poursuit un mouvement opposé. Le billet vert s’affaiblit, plombé par une révision soudaine des anticipations sur la politique de la Fed. Les marchés intègrent désormais une probabilité de 69 % d’une baisse des taux dès la réunion de décembre, contre 44 % il y a seulement une semaine, selon les données du CME FedWatch. Ce retournement d’humeur traduit la montée d’un optimisme prudent quant à la capacité de la Fed à accompagner le ralentissement de l’inflation américaine. L’effet immédiat est une perte d’altitude du dollar, offrant à l’euro une fenêtre d’appréciation malgré sa phase de consolidation.

La parité EUR/USD navigue ainsi dans une zone charnière où s’articulent stratégies monétaires, signaux économiques et seuils techniques. Le niveau de 1,1500 agit comme un pivot psychologique majeur. Les investisseurs évoluent dans une période où les politiques monétaires se redéfinissent, et où chaque donnée d’inflation, chaque mot prononcé par Lagarde ou Powell, peut redessiner la courbe du forex.

 

Le niveau de 1,1500 agit comme un pivot psychologique majeur. Les investisseurs évoluent dans une période où les politiques monétaires se redéfinissent, et où chaque donnée d’inflation, chaque mot prononcé par Lagarde ou Powell, peut redessiner la courbe du forex.

 

Tunisie : un dollar en reflux, une respiration pour un dinar sous tension permanente

La dérive tendancielle du dollar n’est pas un phénomène lointain pour la Tunisie. Bien au contraire : elle produit des effets directs et immédiats sur la trajectoire du dinar, sur les équilibres macroéconomiques et sur les coûts supportés par l’État comme par les entreprises.

Une part considérable des transactions extérieures tunisiennes – hydrocarbures, matières premières industrielles, produits alimentaires stratégiques, fret international, technologies – est libellée en dollar. Lorsque le billet vert s’affaiblit, l’effet est quasi mécanique : la facture énergétique diminue, le coût des importations essentielles se contracte et la pression sur l’inflation importée s’allège. Dans une économie où plus de la moitié de l’inflation découle du renchérissement des importations, cette dépréciation du dollar constitue une véritable bouffée d’oxygène.

 

Une part considérable des transactions extérieures tunisiennes – hydrocarbures, matières premières industrielles, produits alimentaires stratégiques, fret international, technologies – est libellée en dollar. Lorsque le billet vert s’affaiblit, l’effet est quasi mécanique : la facture énergétique diminue, le coût des importations essentielles se contracte et la pression sur l’inflation importée s’allège.

 

À cela s’ajoute la dynamique de l’euro. Une légère appréciation de la monnaie européenne face au dollar se traduit par une détente du taux EUR/TND. Pour la Tunisie, reliée commercialement, touristiquement et financièrement à l’Union européenne, cette évolution est favorable : elle améliore la valeur des recettes touristiques et des transferts des Tunisiens à l’étranger, souvent libellés en euro. Elle agit également comme un stabilisateur sur les importations provenant de la zone euro, premier fournisseur du pays.

Un répit conjoncturel, mais aucun changement structurel

Pour autant, il serait illusoire d’y voir une amélioration durable de la situation du dinar. Si l’affaiblissement du dollar procure un soulagement, il ne corrige en rien les déterminants fondamentaux de la fragilité monétaire tunisienne : déficit commercial structurel, dépendance énergétique, faiblesse chronique du taux d’épargne, besoins massifs de financement extérieur, inflation persistante et croissance insuffisante pour régénérer les réserves de change.

La Banque centrale de Tunisie (BCT), contrainte par un environnement interne dégradé, ne peut capitaliser pleinement sur la faiblesse du billet vert. Elle reste enfermée dans une stratégie de défense graduelle du dinar, sans marge de manœuvre pour assouplir la politique monétaire ou relancer le crédit. En conséquence, la détente du dollar constitue un facteur conjoncturel de stabilisation, non un levier de valorisation durable.

 

La Banque centrale de Tunisie (BCT), contrainte par un environnement interne dégradé, ne peut capitaliser pleinement sur la faiblesse du billet vert. Elle reste enfermée dans une stratégie de défense graduelle du dinar, sans marge de manœuvre pour assouplir la politique monétaire ou relancer le crédit.

 

Une fenêtre stratégique pour atténuer les vulnérabilités

L’environnement monétaire international actuel ouvre toutefois une fenêtre d’opportunité : réduire temporairement la pression sur les importations stratégiques, lisser le profil de remboursement de certaines dettes en devises et contenir la transmission inflationniste. À condition que ces marges de respiration soient exploitées pour renforcer la balance extérieure, améliorer la gestion des subventions énergétiques, relancer l’exportation et accélérer les réformes structurelles.

La Tunisie évolue dans un système où les variables externes – Fed, BCE, marchés des matières premières – influencent directement sa trajectoire macroéconomique. La dérive tendancielle du dollar en est un exemple. Reste maintenant à transformer cette respiration passagère en une dynamique plus durable, ce qui suppose une stratégie cohérente de réformes, d’intégration commerciale et de renforcement de la productivité. 

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Tunisie : Samir Abid présente à Genève les réformes économiques du pays devant l’OMC

Von: balkis T
26. November 2025 um 00:20

À la tête d’une délégation mandatée par le Président de la République, le ministre du Commerce et du Développement des exportations, Samir Abid, a représenté la Tunisie ce mardi 25 novembre 2025 à Genève, à l’occasion du quatrième examen des politiques commerciales de la Tunisie au siège de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Un rendez-vous […]

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JTC 2025 : Yehia El-Fakharani ouvre les Journées théâtrales de Carthage avec un Roi Lear magistral

Von: walid
25. November 2025 um 22:53

Le Théâtre de l’Opéra de Tunis a inauguré samedi soir la 26ᵉ édition des Journées théâtrales de Carthage (JTC) avec la première tunisienne de « Le roi Lear », marquant le retour de l’acteur égyptien Yehia El-Fakharani, qui incarne un souverain de son âge dans l’une des plus grandes tragédies de Shakespeare.

À 80 ans, le comédien reprend l’un de ses rôles les plus emblématiques vingt ans après sa dernière incarnation sur scène. Sous la direction de Shady Sorour, la mise en scène mêle puissance visuelle et finesse psychologique.

Placé sous le slogan « Le théâtre, une conscience et un changement. Le théâtre, le cœur battant de la rue », le festival a choisi d’ouvrir sur ce monument shakespearien, réunissant artistes égyptiens et tunisiens dans un spectacle inédit.

■ Un retour chargé d’histoire et d’émotion

À la sortie de scène, Yehia El-Fakharani s’est adressé au public tunisien avec émotion : « Je suis heureux de me présenter en Tunisie… Qui dit culture dit Tunisie. ».

El-Fakharani a rappelé qu’en en 1984, il avait été sacré au Tanit d’argent lors des Journées cinématographiques de Carthage pour son rôle dans « Porté disparu » de Mohamed Khan.

Accueilli par une longue ovation, le retour de cette légende du théâtre arabe a résonné comme un hommage réciproque. Le festival a décerné à El-Fakharani le Tanit d’or honorifique qui lui a été remis des mains du directeur artistique et homme de théâtre, Mounir Ergui.

La pièce est interprétée en arabe littéraire, avec un accent égyptien familier aux spectateurs tunisiens, nourri de décennies de séries et de films égyptiens. Cette sonorité apporte à la langue une musicalité et une élégance particulières, renforçant la profondeur des personnages et l’intensité des émotions.

■ Une mise en scène collective entre Égypte et Tunisie

Shady Sorour propose un spectacle où projections, fresques visuelles et scènes chorégraphiées structurent la chute de Lear. La production bénéficie d’une contribution tunisienne de seize chorégraphes, danseurs et danceuses, qui ont été sélectionnés en milieu de semaine. Parmi eux, Rayen Fatnassi et Ahmed Grindi, habitués du Théâtre de l’Opéra, qui ont déclaré à l’agence TAP avoir tous participé à des répétitions quotidiennes pour incarner soldats, princes et princesses, dans des scènes de foule et de combat.

Au centre de la scène, El-Fakharani incarne un Lear d’une profonde humanité, dont la majesté se fissure face aux trahisons et aux erreurs, révélant toute la fragilité du pouvoir et de l’existence. Il est entouré d’un casting prestigieux : Tarek Desouki, Hassan Youssef, Ahmed Othman, Tamer El-Kachef, Amal Abdallah, Iman Ragai, Basma Douidar, Tarek Sharaf, Mohamed Azaizi, Adel Khalaf et Mohamed Hassan.

■ Lear, une tragédie universelle revisitée

Écrit entre 1603 et 1606, Le Roi Lear explore la chute d’un monarque qui divise son royaume selon l’expression d’amour de ses filles. L’aveuglement, l’ingratitude et la vérité refoulée — « une chienne que l’on doit laisser au chenil », selon le Fou — façonnent la tragédie.

Dans le monde arabe, Lear a été adapté au théâtre, au cinéma et à la télévision. El-Fakharani lui-même a marqué toute une génération avec sa version télévisuelle. L’œuvre continue d’inspirer les créateurs à travers des transpositions contemporaines sur scène, des films dramatiques, des opéras, de la musique symphonique ou encore des versions pour enfants et jeunes lecteurs. En Tunisie, la pièce avait été revisitée notamment par feu Hichem Rostom dans “Le comédien King Lear”, méditation sur la solitude d’un artiste vieillissant.

Longuement applaudie, la représentation a rappelé que cette tragédie demeure d’une grande actualité. L’arabe littéraire, sublimé par la musicalité de l’accent égyptien, a rendu Shakespeare plus vivant que jamais.

Cette première tunisienne de Lear interprété par un acteur légendaire, s’impose comme un temps fort des JTC 2025 et une démonstration de la vitalité du théâtre arabe contemporain.

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Prix Abou El Kacem Chebbi de la Banque de Tunisie : Quand la Tunisie fait vibrer la voix des lettres arabes

25. November 2025 um 22:45
Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi - Banque de Tunisie
Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi 2025

Samedi 22 novembre 2025, la Banque de Tunisie a célébré au Palais Ksar Said la 31ᵉ édition du Prix Abou El Kacem Chebbi pour la littérature arabe. La cérémonie, organisée devant un public nombreux, a consacré cette année le roman et dévoilé le nom de la lauréate.

L’écrivaine égyptienne Camélia Abdel Fattah a remporté le prix pour son œuvre « An Yataarajah Bika » (“أن يتأرجح بك”). Le prix, instauré en 1984 en partenariat avec le ministère des Affaires culturelles, s’inscrit dans une tradition visant à soutenir la création littéraire et à honorer les œuvres marquantes. Il constitue aussi un hommage constant au poète tunisien Abou El Kacem Chebbi (1909-1934).

Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi - Banque de TunisiePourquoi une banque célèbre Abou El Kacem Al Chebbi

Depuis plus de quatre décennies, la Banque de Tunisie ne se limite pas à un simple geste de mécénat culturel. En portant le nom de Chebbi, elle inscrit son engagement dans une vision où la finance appuie la mémoire et accompagne l’avenir. Le choix d’un poète romantique et révolutionnaire n’a rien d’anodin.

Abou El Kacem Chebbi a bouleversé les codes de la poésie classique en Afrique du Nord. Son recueil « Les Chants de la vie » marque une rupture durable : un langage neuf, vibrant, nourri parfois du parler populaire tunisien, qui modernise la poésie arabe et l’ancre dans les aspirations de son époque.

Poète de l’amour, de la liberté et de la révolte, il a donné voix aux émotions universelles – solitude, souffrance, beauté – et aux élans collectifs. Son vers célèbre, « Si le peuple un jour veut la vie, le destin doit forcément répondre », résonne encore dans les mouvements de libération à travers le monde.

Figure nationale, surnommé le “poète de la Tunisie”, Chebbi incarne l’âme du pays. Ses mots figurent dans l’hymne national et son œuvre reste une expression vivante de la dignité tunisienne. En célébrant son nom, la Banque de Tunisie affirme que la culture constitue un capital immatériel essentiel.

Elle montre que les institutions financières peuvent être des acteurs de la renaissance culturelle, en soutenant la littérature et en valorisant les créateurs. Le prix devient un pont entre la mémoire poétique et l’innovation littéraire, entre la force des mots et la responsabilité institutionnelle.

Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi - Banque de TunisieCulture, héritage et responsabilité institutionnelle

Dans son discours, Hichem Rebai, directeur général de la Banque de Tunisie, a rappelé les 141 ans d’histoire de l’institution et l’ancienneté du prix créé en 1984. Il a souligné son rôle pionnier, premier prix littéraire attribué par une institution financière dans le monde arabe, et a insisté sur l’importance de soutenir la culture « dans une époque dominée par la performance chiffrée ».

Évoquant la vision universaliste d’Abou El Kacem Chebbi, il a mis en avant le rôle du patrimoine littéraire dans la préservation de la mémoire, de l’identité et de la créativité à l’ère du numérique et de l’intelligence artificielle.

A.B.A

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Appels à une action urgente pour rendre les espaces numériques sûrs pour tous·tes

Von: Yusra NY
25. November 2025 um 23:40

A l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes le 25 novembre 2025, le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) a annoncé le lancement de la campagne « 16 jours d’activisme ».

En Tunisie comme dans le monde entier, cette campagne internationale se déroule chaque année depuis 1991 du 25 novembre au 10 décembre, pour lutter contre la violence fondée sur le genre et en faveur des droits des femmes.

Le Pnud a par ailleurs appelé à se mobiliser pour inciter l’élimination de toutes les formes de violence à l’égard des femmes, en rappelant au passage que la violence numérique s’intensifie à grande échelle : 38 % des femmes dans le monde en ont déjà vécu et 85 % d’entre elles en ont été témoins.

« En ces 16 jours d’activisme, nous appelons à une action urgente pour rendre les espaces numériques sûrs pour tous·tes».

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La FTCR solidaire avec le cinéaste tunisien Nader Ayache

Von: Yusra NY
25. November 2025 um 23:10

La Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des Deux Rives (FTCR) a exprimé son soutien total à Nader Ayache, réalisateur et doctorant tunisien, en grève de la faim depuis le 8 novembre 2025, afin de dénoncer l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) dont il est l’objet depuis 2019.

Arrivé en France en 2015 pour poursuivre un doctorat et un projet artistique sérieux, Nader Ayache se voit aujourd’hui privé d’un titre de séjour régulier malgré ses démarches répétées. L’OQTF qu’il subit résulte d’un dépassement d’heures de travail autorisées par son titre étudiant, alors qu’il travaillait pour financer ses études.

En lançant cette grève de la faim, Nader Ayache porte un cri d’alarme face à la situation de milliers de personnes sans papiers dont l’existence est suspendue à une décision administrative. Il affirme : « J’arrêterai ma grève de la faim le jour où j’aurai un titre de séjour. » .

Cette dramatique mobilisation souligne que la privation de titre de séjour n’est pas un simple défaut administratif, mais une mise en danger de l’intégrité physique, sociale et culturelle.

La FTCR demande instamment à la Préfecture de suspendre immédiatement l’expulsion de Nader Ayache, de lui accorder un titre de séjour lui permettant de poursuivre son travail artistique et académique et de revoir de manière globale les conditions de délivrance des titres de séjour pour les créateurs, étudiants et chercheurs, afin d’éviter de réduire des parcours d’exception à des procédures kafkaïennes

La même source rappelle la nécessité de promouvoir un accueil digne et solide des étrangers, dans le respect des droits fondamentaux, de la dignité humaine et de la liberté de création.

En ce jour, la FTCR appelle également à une mobilisation collective : artistes, universitaires, citoyens, associations de défense des droits humains sont invités à exprimer leur solidarité et à signer cet appel pour un traitement juste et humain des cas d’OQTF impliquant des parcours d’études, de création ou de recherche.

« Nous rappelons que la culture et la création constituent des vecteurs essentiels de dialogue et d’échange entre les peuples. Condamner un tel parcours par une simple OQTF obligation de quitter le territoire eviendrait à fermer une porte à l’innovation artistique et au rayonnement d’une diaspora engagée ».

Pour la FTCR, cette situation n’est pas un fait isolé, mais symptomatique d’un système qui priorise la contrainte sur la reconnaissance. Il est urgent d’agir.

Communiqué

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États-Unis : les tarifs douaniers de Trump freinent la reprise industrielle, selon Bloomberg

Von: balkis T
25. November 2025 um 23:15

Un rapport publié par Bloomberg met en lumière une contradiction profonde au cœur de la politique économique de Donald Trump. Alors que l’ancien président promettait depuis avril dernier une « nouvelle ère de prospérité industrielle » grâce à une vague de droits de douane, ces mêmes tarifs se révèlent aujourd’hui être un frein direct à […]

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Gestern — 25. November 2025Haupt-Feeds

Mois de la langue arabe 2026 : La Ligue arabe lance un concours littéraire et artistique pour les étudiants

Von: walid
25. November 2025 um 22:43

La ligue des états arabes organise, en collaboration avec le Conseil international de la langue arabe, du 21 février au 22 mars 2026, le concours “Mois de la langue arabe” dans cinq catégories : essai, récit, poésie, calligraphie et dessin.

Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a appelé les étudiants tunisiens à participer à ce concours et à envoyer leurs œuvres à la direction générale des affaires estudiantines – direction des activités étudiantes, et ce, avant le 10 décembre 2025, selon un communiqué publié sur le site Web du ministère.

Ce concours, qui englobe les cycles d’enseignement primaire, collège, secondaire et universitaire, vise à développer la créativité littéraire et artistique chez les élèves et les étudiants, à renforcer l’identité nationale et arabe, à enraciner les valeurs d’appartenance et à découvrir les nouveaux talents dans les domaines de l’écriture, de la calligraphie et des arts.

L’on prévoit que 100 candidatures seront présentées pour chaque pays arabe, qui seront sélectionnées dans le cadre de ce concours à l’échelle nationale. La Ligue des états arabes a programmé l’acceptation de 2200 œuvres provenant des différents états membres qui seront par la suite imprimées, publiées et distribuées.

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