Liban: L'armée sioniste tire sur des soldats de la Finul

© Mosaique FM

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La balance commerciale du textile-habillement a perdu 3,4 points, à fin juillet 2025, par rapport à la même période de 2024, (125% contre 128,4 %), selon la lettre économique publiée dimanche 16 novembre 2025, par le Centre technique du textile (CETTEX). La valeur des exportations du secteur du Textile-Habillement a enregistré, à fin juillet 2025, […]
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Le ministre des Affaires religieuses, Ahmed Bouhali, a effectué une visite de travail en Arabie saoudite du 7 au 13 novembre, consacrée à la finalisation des préparatifs de la saison du pèlerinage 1447 H/2026 et à sa participation au Salon et au Congrès du pèlerinage organisés à Djeddah du 9 au 12 novembre. Au cours […]
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Selon l’Observatoire, cette évolution du déficit s’explique par une dynamique contrastée des échanges. Les exportations de produits énergétiques ont en effet chuté de 33% en valeur sur les neuf premiers mois de l’année. Cependant, cette forte baisse a été partiellement compensée par une diminution de 11% de la valeur des importations énergétiques.
Le rapport souligne la grande sensibilité du secteur énergétique à trois facteurs principaux : les volumes échangés, le taux de change dinar/dollar ($/DT) et les cours internationaux du pétrole brut de référence Brent.
Un environnement international favorable à la baisse du déficit
Le contexte international a joué un rôle clé dans cette réduction du déficit. Au mois de septembre 2025, le prix du Brent a baissé de 6 dollars américains par baril (un baril équivaut à environ 159 litres) par rapport à son niveau de septembre 2024. Parallèlement, le dinar tunisien s’est déprécié de 4% face au dollar américain, la devise principale utilisée pour les transactions énergétiques, sur la même période de comparaison.
Avec TAP
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À l’occasion de la Journée internationale pour la tolérance, la FIFA a annoncé dimanche un renforcement de son action contre les violences verbales en ligne, réaffirmant sa volonté de promouvoir le respect et l’inclusion dans le football.
Dans un communiqué, l’instance dirigeante du football mondial a indiqué avoir amélioré son service de modération sur les réseaux sociaux. Ce dispositif, mis gratuitement à la disposition des joueurs, joueuses, équipes, officiels et associations membres tout au long de l’année, vise à détecter, signaler et filtrer les contenus injurieux publiés sur les différentes plateformes.
Selon la FIFA, plus de 30 000 publications insultantes ont été signalées en 2025 grâce à cette surveillance renforcée. Depuis son lancement en 2022, l’outil a permis d’identifier plus de 65 000 messages haineux ou discriminatoires, dont près de la moitié pour la seule année 2025.
Au-delà de la modération, la FIFA affirme avoir engagé des démarches judiciaires contre certains auteurs. Onze individus ont déjà été signalés aux autorités de pays tels que l’Argentine, le Brésil, l’Espagne, les États-Unis, la France, la Pologne ou le Royaume-Uni. Un dossier a également été transmis à Interpol dans le cadre d’une enquête internationale.
L’organisation précise que ces actions visent notamment à empêcher ces personnes d’accéder aux événements qu’elle organise, via une « liste noire » bloquant toute acquisition de billets.
Le service de modération a été activé lors de plusieurs compétitions en 2025, dont la première Coupe du Monde des Clubs de la FIFA. Durant ce tournoi réunissant 32 équipes issues de 72 nationalités, 2 401 comptes officiels ont été surveillés sur cinq plateformes sociales. Au total, 5,9 millions de publications ont été analysées et plus de 20 000 messages haineux ont été signalés.
« Le football doit être un espace sûr et inclusif, en ligne comme hors ligne. La FIFA prend des mesures concrètes pour protéger les acteurs du football des préjudices causés par les violences verbales en ligne », a déclaré le président Gianni Infantino, qui a réaffirmé que « les comportements violents n’ont pas leur place dans notre sport ».
Avec ce dispositif, la FIFA entend envoyer un message fort : la lutte contre la haine et la discrimination demeure une priorité absolue et s’inscrit dans une stratégie de protection durable des acteurs du football.
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« Depuis plusieurs années, la question des biens culturels africains spoliés pendant la période coloniale a été mise en lumière. Mais qu’en est-il de la période de la Seconde Guerre mondiale ? Alors que les études se sont largement concentrées sur l’art européen, des chercheurs se penchent aujourd’hui sur le destin des œuvres africaines. Parmi eux, le professeur Sofiane Bouhdiba, de l’Université de Tunis, qui a enquêté sur le contexte tunisien durant le conflit ». Ainsi commence le récit de France 24.
C’est entre autres à cette question que la journaliste Stéphanie Trouillard va tenter, tout au long de ce documentaire, de répondre, avec l’aide d’historiens comme le professeur Sofiane Bouhdiba.
À l’occasion d’une journée d’études organisée le 13 novembre 2025, à Paris, par l’Institut national d’histoire de l’art sur les arts africains pendant cette période, le professeur Sofiane Bouhdiba de l’Université de Tunis a enfin éclairé le sujet. Démographe de formation, spécialiste de la mortalité, il travaille depuis plusieurs années avec le Musée d’histoire de la médecine de Tunis. Dans le cadre de ses recherches, il a été amené à s’intéresser au sort des collections des établissements culturels de son pays entre 1939 et 1945.
« Spolier, c’est profiter d’une situation de domination pour accaparer des biens qui ont une valeur », explique Sofiane Bouhdiba. « Cela peut être une domination militaire, mais aussi diplomatique. Dans tous les cas, c’est profiter d’une situation pour prendre les richesses des autres », ajoute-t-il en préambule de sa présentation intitulée « Spoliation, destruction, et déplacements des objets d’art en Tunisie pendant la Seconde Guerre mondiale ».
« Une spoliation légale »
La France instaure un protectorat en Tunisie en 1881. Deux institutions sont rapidement mises sur pied pour gérer les objets d’art dans le pays sous domination coloniale : le service d’antiquités des Beaux-Arts et des Monuments historiques, créé en 1885, et le musée archéologique, connu aujourd’hui sous le nom de Musée du Bardo, qui voit le jour en 1882…
Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate en 1939, l’administration coloniale décide de mettre à l’abri certaines pièces majeures dans des dépôts, notamment à Alger et Marseille. « C’est vraiment un voyage sans retour », souligne le professeur tunisien. « Ce sont des transferts administratifs qui sont présentés comme des mesures conservatoires, mais qu’on peut considérer comme une spoliation légale, puisqu’elles vont priver le peuple tunisien de la jouissance de son patrimoine »…
Cette première spoliation est suivie d’une seconde à partir de 1942, lorsque Allemands et Italiens vont occuper en partie la Tunisie. À la suite du débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre 1942 et de leur défaite en Libye face à l’armée britannique, Berlin et Rome envoient des renforts pour s’assurer de la possession de Tunis et de Bizerte et conserver la maîtrise de cette partie du bassin méditerranéen…
Lors des différents affrontements, certains soldats, mais également des civils, en profitent pour se livrer à des pillages : « Ces objets se sont retrouvés dans des familles et se revendent encore aujourd’hui sur Internet. » Un marché de l’art va même émerger à cette période. Les ports de Tunis et de Sfax deviennent des points de transit pour des antiquités vendues à des officiers étrangers. Des mosaïques ou encore des statues disparaissent de cette manière pendant la guerre, avant de réapparaitre, parfois dans des collections privées en Europe ou aux États-Unis.
« Il ne s’agit pas d’établir une hiérarchie des violences subies, mais plutôt d’apporter une compréhension supplémentaire à la trajectoire des œuvres dans laquelle le contexte colonial vient se télescoper au fascisme et nazisme », résume l’historienne Yaëlle Biro, coordinatrice scientifique de ce programme. Le Sénégal, le Cameroun, le Nigeria ou encore le Bénin font partie des pays concernés par ces travaux. Un grand colloque international devrait avoir lieu en 2028 au musée du Quai Branly Jacques Chirac pour réunir l’ensemble des connaissances acquises au cours de ces recherches.
Malheureusement, l’article ne dit pas où se cachent ces oeuvres d’art aujourd’hui.
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La production orientée vers le marché intérieur a progressé de 2%. Les importations d’électricité, principalement en provenance d’Algérie, ont représenté 11% de la demande locale à fin septembre 2025.
La STEG maintient sa position dominante dans le secteur électrique avec 94% de la production nationale à fin septembre 2025. Les énergies renouvelables ont contribué à hauteur de 6% de la production totale.
Concernant l’énergie solaire photovoltaïque, environ 400 MW de toitures ont été installés dans le secteur résidentiel jusqu’à fin septembre 2025, auxquels s’ajoutent 70 MW sur les réseaux moyenne et haute tension dans les secteurs industriel, tertiaire et agricole.
La pointe de consommation a diminué de 1%, s’établissant à 4 837 MW à fin septembre 2025, contre 4 888 MW un an auparavant.
Les ventes d’électricité ont enregistré une progression modérée de 1% entre fin septembre 2024 et fin septembre 2025. Les clients haute tension ont connu une augmentation significative de 19% de leur consommation, tandis que les clients moyenne tension sont restés stables.
Pour la basse tension, destinée majoritairement au secteur résidentiel (environ 75% en moyenne), les données basées sur une facturation bimestrielle avec près de la moitié des relevés estimés ne permettent pas d’obtenir une vision précise de la consommation réelle.
Les industriels demeurent les principaux consommateurs avec 56% de la demande totale des clients haute et moyenne tension à fin septembre 2025.
Parmi les évolutions sectorielles notables :
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In Bardo, einem Vorort westlich von Tunis, war Kamal überrascht, wie schnell salzfreies Brot aus den Regalen einiger Bäckereien verschwindet. Ein Angestellter erklärte ihm, dass Mehr
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Lors de la 46ᵉ édition du Festival International du Film du Caire (CIFF), qui se déroule du 12 au 21 novembre 2025, son président Hussein Fahmy a consacré une rencontre à la presse arabe pour revenir sur les grands enjeux du festival, sur sa vision du cinéma égyptien et sur la manière dont il conçoit son rôle à la tête d’un événement qu’il considère comme l’un des plus importants du monde arabe et du continent africain.
Une réflexion sur le rôle du CIFF et son héritage
Dès les premières questions, Hussein Fahmy a exprimé le souhait que cette édition soit meilleure que les précédentes. L’idée d’avancer, d’enrichir le festival et de renforcer son identité revient souvent dans ses propos. Pour lui, le CIFF tire sa force de ses racines : l’Égypte, son histoire cinématographique et le fait qu’il s’agit du festival le plus ancien et le plus important de la région, fondé en 1972. Il semble toutefois oublier que les Journées cinématographiques de Carthage, créées en 1966, sont plus anciennes encore ; mais leur caractère initialement biennal explique qu’elles n’en soient qu’à leur 36ᵉ édition.
Interrogé sur l’avenir du festival, Hussein Fahmy se montre confiant. Malgré la multiplication des festivals de cinéma dans le monde arabe, il ne perçoit pas cette dynamique comme une menace mais comme un contexte stimulant. « La compétition stimule la créativité », affirme-t-il, soulignant que les quarante-sept années d’histoire du CIFF constituent un socle institutionnel solide. Ce qu’il espère transmettre, dit-il, c’est un festival renforcé, durable et capable de porter l’évolution du cinéma arabe.
Un engagement personnel pour la restauration du patrimoine cinématographique
La restauration des films constitue un pilier majeur de son action, un engagement directement lié à son propre parcours. Dès ses débuts, Hussein Fahmy a appris son métier auprès de la première génération des cinéastes égyptiens, et a travaillé avec des figures telles que Hassan El Imam ou Youssef Chahine. Cette proximité avec ces maîtres, dit-il, a façonné son goût du cinéma et son sentiment de responsabilité envers ce patrimoine. Sa volonté de restaurer les films découle naturellement de cette formation et de la conviction qu’il porte une part d’héritage.
Lorsqu’il est devenu président du CIFF, il a été nommé au conseil d’administration d’une entreprise qui possède 1 400 films et plusieurs salles de cinéma. Il a alors lancé un vaste chantier de restauration, mené avec le directeur de la photographie Mahmoud Abdel Samie, très impliqué dans cette mission. Plusieurs films ont été restaurés, des sous-titres ont été ajoutés, et le travail continue. Divers pays, notamment la Chine et l’Allemagne, ont apporté leur soutien.
Pour Hussein Fahmy, restaurer ces films n’a de sens que s’ils sont vus : en plus de les programmer au CIFF, il envisage de les mettre à disposition sur des plateformes pour toucher un public plus large. Il rappelle qu’à leur sortie, nombre de ces films circulaient déjà en URSS, au Brésil ou en Chine, et que les sous-titres facilitent aujourd’hui leur retour sur la scène internationale.
Cette année, il a eu l’idée d’imprimer les affiches des films restaurés sur les sacs du festival. La réaction du public, qui demandait des sacs précis en fonction des affiches, a amusé les organisateurs et, selon lui, témoigne de l’attachement des spectateurs à ces œuvres.
Le lendemain de cette rencontre, et toujours dans le même esprit de célébration de la mémoire cinématographique, Hussein Fahmy a convié la presse autour d’une immense caméra ancienne appartenant au Studio Misr, installée pour l’occasion dans le jardin de l’Opéra du Caire. Il en a expliqué le fonctionnement, les mécanismes et les particularités, avant d’annoncer que des études et discussions avancées sont en cours avec des spécialistes italiens pour créer enfin un musée du cinéma en Égypte. L’emplacement reste à déterminer, mais l’initiative s’inscrit dans une vision patrimoniale globale.
Une présidence menée en parallèle d’une carrière d’acteur active
Interrogé sur la manière dont il concilie sa carrière d’acteur et la présidence du CIFF, Hussein Fahmy explique qu’il n’a pas besoin d’être présent au bureau chaque jour pendant de longues heures. Son rôle consiste à définir la stratégie, les grandes orientations, les décisions structurantes, et à résoudre les problèmes éventuels. L’exécution quotidienne est assurée par son équipe, composée de professionnels qualifiés.
L’an dernier, il tournait même pendant le festival. Cette année, dès la clôture, il se rendra au Festival de Marrakech, au Maroc, où un hommage lui sera rendu, avant de reprendre un tournage en Égypte. Il vient d’ailleurs de célébrer cinquante ans de carrière, au cours desquels il a exploré tous les genres – tragédie, comédie, théâtre, cinéma – en veillant, dit-il, à ne jamais se répéter. Selon lui, il a accompli tout ce qu’il souhaitait sur le plan artistique.
Décisions difficiles, contexte politique et responsabilités culturelles
Revenant sur ses trois années de présidence, Hussein Fahmy cite parmi les décisions les plus difficiles le remplacement de certains membres de l’ancienne équipe du CIFF.
Il évoque également les défis de l’édition 2024. Après le massacre qui a suivi le 7 octobre, le festival avait jugé indispensable de mettre les projecteurs sur Gaza et de prendre une position claire. Il rappelle notamment sa décision d’annoncer que l’État d’Israël ne participerait pas au CIFF. Une prise de position qui lui a été reprochée lorsqu’il exerçait des fonctions d’ambassadeur de bonne volonté à l’ONU. Il dit l’avoir assumée totalement, allant jusqu’à rendre son passeport diplomatique : « Ils ne peuvent pas nous faire taire », affirme-t-il.
Cette année, la situation est différente, marquée par ce qu’il qualifie de « pseudo-paix ». Parallèlement, l’Égypte traverse une période particulièrement intense, marquée par de grands projets culturels comme l’inauguration du Grand Musée égyptien, qui donnent le sentiment d’une nouvelle dynamique. Le festival s’inscrit dans ce contexte, tout en gardant un regard attentif sur les situations en Palestine, au Soudan et au Liban.
La sélection des films et la question des artistes égyptiens
S’agissant de la sélection de la 46ᵉ édition, Hussein Fahmy décrit un processus en plusieurs étapes : une commission visionne les films et lui remet des rapports. Il regarde certains titres qu’il juge importants, mais les films d’ouverture et de clôture relèvent de son choix direct. Cette année, il a retenu le film brésilien Les voyages de Tereza pour l’ouverture et La voix de Hend Rajab, de Kaouther Ben Hania, pour la clôture. Il insiste sur le fait qu’aucune pression extérieure ni financière n’intervient dans ces décisions.
À la question de savoir si l’Égypte peut encore produire des artistes comparables à Ahmed Zaki, Nour Sherif, Hussein Fahmy lui-même, Nagla Fathy ou Shadia, il répond que oui. Même si des artistes de cette envergure sont rares, la nouvelle génération compte, selon lui, d’excellents talents.
L’intelligence artificielle : un outil utile, mais jamais un substitut à l’humain
Interrogé sur l’intelligence artificielle, Hussein Fahmy se montre prudent. L’IA peut être utile ponctuellement, dit-il, mais ne doit jamais remplacer l’humain. Elle rend les choses superficielles, crée une distance entre le spectateur et les personnages, et risque d’appauvrir la profondeur émotionnelle du cinéma. Il craint qu’un usage excessif ne fasse disparaître la dimension sensible qui constitue l’essence même du septième art.
Neïla Driss
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La séance plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts s’est tenue samedi 15 novembre 2025 avec un dossier majeur à l’ordre du jour : la mission « Justice » dans le cadre du projet de budget de l’État pour 2026. À cette occasion, la ministre […]
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Pendant des années, l’Arabie saoudite a été le paradis des cadres expatriés : packages logés, scolarité payée, billets d’avion, primes généreuses et salaires largement supérieurs à ceux pratiqués en Europe ou en Amérique du Nord. Selon le cabinet ECA International, les managers expatriés y affichaient encore en 2023 un salaire moyen de 83 763 livres […]
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La France s’achemine vers un déficit public plus important que prévu pour l’année 2026. La ministre des Comptes publics, Émilie de Montchalin, a confirmé que le pays devrait enregistrer un déficit équivalant à 5 % du PIB, un niveau supérieur à l’objectif gouvernemental initial de 4,7 % fixé dans le projet de loi de finances […]
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