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Heute — 26. November 2025Haupt-Feeds

MACAM : ouverture des candidatures pour la 2ᵉ édition du Salon national des Beaux-arts 2026

Von: walid
26. November 2025 um 12:45

Le Musée National d’Art Moderne et Contemporain (MACAM) annonce l’ouverture des candidatures pour la 2ème édition du Salon national des Beaux-arts, qui se tiendra du 24 janvier au 24 février 2026. La date limite de dépôt des candidatures est le 22 décembre 2025. Les artistes souhaitant participer à ce salon, organisé sous l’égide du ministère des affaires Culturelles, sont invités à s’inscrire et à soumettre leur candidature en ligne via le lien disponible sur la page Facebook du musée.

Le dossier de candidature doit comprendre un formulaire de candidature dûment rempli, un CV du candidat (200 mots maximum, au format Word) accompagné d’une photographie, ainsi que des photos de cinq œuvres du portfolio de l’artiste, à l’exclusion de celles exposées. Le dossier doit également inclure une brève biographie artistique du candidat (cinq lignes maximum), rédigée en arabe et en français, qui sera publiée dans le catalogue de l’exposition. Cette biographie doit être. Les images des œuvres proposées (trois maximum par artiste) doivent être soumises au format JPG, accompagnées d’un document Word les détaillant, selon un communiqué des organisateurs outre cinq photos d’œuvres autres que celles avec lesquelles l’artiste voudrait participer.

Le dossier doit également contenir une copie de la Carte d’identité nationale (CIN) du candidat ainsi qu’une copie signée de l’engagement et de l’autorisation d’utilisation de l’œuvre, téléchargeable sur le site web du Musée national d’art moderne et contemporain.

Selon un communiqué du musée, les œuvres sélectionnées le seront sur la base de l’avis d’une Commission artistique composée d’artistes et d’experts créée pour cet objectif.

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Coupe du monde U17 2025 : Autriche et Portugal en finale historique ⚽

Von: walid
26. November 2025 um 12:06

Jeudi, au stade international Khalifa à Doha, l’Autriche et le Portugal s’affrontent en finale de la Coupe du monde U17. Les deux équipes visent le sacre historique dans cette catégorie.

L’Autriche rêve du premier titre

L’Autriche, menée par Johannes Moser, meilleur buteur du tournoi avec 8 réalisations, dispute sa première finale depuis l’édition 2013. À cette époque, elle avait été éliminée dès la phase de groupes. Constante tout au long de la compétition, l’équipe autrichienne a remporté tous ses matches et s’est qualifiée pour la finale après une victoire 2-0 contre l’Italie en demi-finale. Moser a inscrit les deux buts décisifs.

Le Portugal vise également l’histoire

Le Portugal disputera lui aussi sa première finale U17. Avec seulement trois participations précédentes (1989, 1995 et 2003), le pays avait réalisé comme meilleur résultat une troisième place en 1989. Au Qatar, la Seleção das Quinas a éliminé le Brésil en demi-finale après une séance de tirs au but réussie (6-5), suite à un nul 0-0 dans le temps réglementaire. Cette performance marque une véritable percée pour le Portugal dans cette catégorie.

Une finale très disputée

La rencontre s’annonce serrée entre deux équipes ambitieuses et jeunes talents prometteurs. L’Autriche s’appuie sur sa solidité défensive et son attaquant vedette Moser, tandis que le Portugal mise sur sa technique et sa capacité à gérer la pression dans les moments clés. Les deux sélections cherchent à entrer dans l’histoire du tournoi et à décrocher leur premier titre mondial U17.

Match pour la troisième place

En parallèle, l’Italie et le Brésil se disputeront la troisième place jeudi au terrain n°7 de l’Aspire Zone à Doha. Après leur défaite en demi-finale, ces deux nations tenteront de conclure le tournoi sur une note positive.

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« Métiers vivants, patrimoine durable » : exposition à Dar El Bey pour valoriser les artisans de la médina de Sousse

Von: walid
26. November 2025 um 11:54

La médina de Sousse vient d’accueillir la cérémonie de clôture de la première phase du projet d’intégration des stratégies de conservation, du tourisme et des moyens de subsistance locaux sur les sites du patrimoine mondial, dans le cadre du programme de l’UNESCO “Gestion des sites du patrimoine mondial post-Covid-19”. Financé par le Fonds japonais de développement et mis en œuvre depuis 2023 par l’Institut National du Patrimoine (INP), en partenariat avec le Bureau régional de l’UNESCO pour le Maghreb et plusieurs institutions tunisiennes, ce projet vise à renforcer les métiers d’art comme levier essentiel de revitalisation économique, culturelle et patrimoniale de la médina de Sousse, classée patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1988. Une exposition dédiée aux artisans, à leurs créations et aux résultats de cette première phase se tient à Dar El Bey du 24 novembre au 24 décembre 2025.

A cette occasion, le directeur général de l’INP et l’ambassadeur du Japon en Tunisie ont présidé la cérémonie de clôture dans la médina de Sousse, en présence notamment des représentants du Bureau régional de l’UNESCO pour le Maghreb, du secrétaire général chargé de la gestion de la municipalité de Sousse, de la directrice générale de l’Office national de l’artisanat, ainsi que de nombreux cadres de l’INP, des institutions partenaires et de représentants de la société civile.

L’INP, à travers la division de la Sauvegarde des Monuments et Sites et l’Inspection régionale du Sahel, a commencé à mettre en œuvre ce projet en 2023. L’objectif est d’intégrer les stratégies de préservation, de promotion touristique et de développement des moyens de subsistance locaux dans la gestion de la médina de Sousse avec l’ambition de contribuer à la préservation du caractère vivant de la médina, en soutenant des activités artisanales et en ouvrant de nouvelles perspectives économiques pour les communautés locales.

L’idée du projet repose sur une approche intégrée qui dépasse la simple restauration physique du tissu historique, favorisant la durabilité des pratiques culturelles et économiques qui animent la médina. En renforçant les compétences des artisans participants, le projet valorise leurs savoir-faire, stimule leur créativité tout en maintenant des activités en harmonie avec le caractère patrimonial du site.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la dynamisation de la médina de Sousse, témoignage exceptionnel de l’urbanisme arabo-musulman en Méditerranée. Cependant, la valeur patrimoniale de la médina ne réside pas seulement dans la monumentalité de ses édifices, mais également dans la vitalité de ses activités, où l’artisanat, mêlant traditions ancestrales et innovations modernes, constitue un moteur social et économique.

Dans le contexte de cette clôture, une exposition artistique “Métiers vivants, patrimoine durable” inaugurée au centre culturel de Dar El Bey, a offert l’occasion de rencontrer les artisans participants et de découvrir les résultats de la première phase, mettant en lumière leurs créations dans des domaines variés tels que les bijoux, le cuir, la résine, le design, l’artisanat lapidaire, la céramique, la tapisserie, le moulage, le macramé, l’artisanat de poupées…une exposition qui a donné à admirer des œuvres, où chaque pièce est un témoignage vivant d’un lieu qui respire, qui inspire et qui vit, invitant le visiteur à re/découvrir cette médina autrement.

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Kais Saïed convoque l’ambassadeur de l’UE et dénonce une violation des usages diplomatiques

Von: walid
26. November 2025 um 11:41

Le président de la République, Kais Saïed, a convoqué, mardi, 25 novembre courant, au palais de Carthage, l’ambassadeur de l’Union européenne (UE) en Tunisie, Giuseppe Perrone.

En cause, cite un communiqué, exprimer “la vive protestation” contre “la violation des règles du travail diplomatique” et pour avoir agi en “dehors des cadres officiels reconnus par les usages diplomatiques en sa qualité d’ambassadeur plénipotentiaire de l’UE auprès de l’État tunisien et de ses institutions officielles.”

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Le portefeuille-titres des banques résidentes pèse 33 968 Mtnd

26. November 2025 um 12:11

Alors que la structure du PNB du secteur bancaire a bien évolué au cours des dernières années, avec une plus grande contribution des salles de marchés (30,5% en 2024), il est crucial d’observer l’évolution des placements des banques.

Les chiffres montrent que le portefeuille-titres des établissements de crédit résidents ont progressé de 7 450 Mtnd en 2024 à 33 968 Mtnd, un record absolu. Par rapport à l’actif total du secteur, ce gisement pèse 15,8%.

Par classe d’actifs, les titres de propriété ne représentent que 4 627 Mtnd, soit 13,6% des investissements totaux. Les OPCVM sont de 105 Mtnd, offrant une poche de liquidité pour agir rapidement sur le marché.

L’essentiel est investi dans les titres de créance, qui combinent une rentabilité certaine et un risque minimum. Historiquement, le marché a enregistré peu d’incidents de paiement, tous par des émetteurs privés.

Les bons du Trésor et les autres titres émis par l’État (obligations nationales essentiellement) accaparent 26 118 Mtnd, soit 76,9% de l’ensemble du portefeuille. C’est une garantie pour un PNB solide durant les prochaines années, surtout que la majorité est assortie de rendements élevés. Les obligations corporate attirent 558 Mtnd, et les fonds gérés 2 560 Mtnd.

Cette structure pose des interrogations concernant le futur. L’État compte clairement faire moins appel à l’industrie financière dès l’année prochaine et nous nous attendons même à un désendettement sur le marché local. Est-ce que les banques vont prendre davantage de risques dans les actions? Cela est difficile surtout que le marché manque de profondeur et de liquidité des titres.

Elles sont donc théoriquement obligées de basculer à plus de crédits et de financements à l’économie. Mais est-ce qu’elles sont prêtes à prendre ce risque? Est-ce qu’il y a même suffisamment de nouveaux projets bancables? C’est le grand chantier que le secteur doit attaquer avant que la profitabilité soit mise en jeu.

 

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Absence des startups tunisiennes dans la finale du NBA Africa Triple-Double Accelerator

26. November 2025 um 11:51

La NBA Africa a annoncé les 10 startups africaines sélectionnées pour la finale dans le cadre de la deuxième édition du «NBA Africa Triple-Double Accelerator», un programme que la ligue a lancé l’année dernière pour soutenir l’écosystème technologique du continent et la nouvelle génération d’entrepreneurs africains.

Les 10 startups, qui ont été sélectionnées parmi plus de 700 candidatures, présenteront leurs produits à un panel de leaders internationaux de l’industrie.

Voici les 10 startups qui concourront pour les cinq places récompensées:

1- Athlon Technology (Égypte): elle explore la technologie mobile accessible et l’IA pour fournir une analyse vidéo aux équipes sportives amateurs et à budget limité.

2- Atsur (Nigeria): elle utilise la blockchain pour promouvoir l’investissement dans l’art africain et soutenir les artistes et les communautés artistiques.

3- CoLab (Afrique du Sud): une plateforme qui rassemble des créatifs, des entrepreneurs et des professionnels de l’industrie, offrant un espace pour se connecter, gérer des projets et donner vie aux idées.

4- Contestify (Nigeria): une plateforme qui rationalise la gestion des concours, en offrant une cotation en temps réel, une notation transparente et des paiements instantanés.

5- Fitclan (Égypte): un centre de fitness numérique qui utilise un modèle d’abonnement flexible pour les particuliers et les clients corporate.

6- Novate (Maroc): elle offre une expérience de visionnage de football unique et immersive en réalité virtuelle avec des fonctionnalités telles que la sélection de sièges, le changement de caméra, le chat vocal social et les statistiques en direct.

7- ProPath Sports (Kenya): elle révolutionne la découverte des athlètes au Kenya grâce à une identification des talents basée sur les données.

8- Reborn (Maroc): elle propose des indicateurs de performance complets qui donnent aux athlètes un aperçu approfondi de leur condition physique et de leur performance sur le terrain.

9- Safia Health (Kenya): elle propose des programmes d’entraînement personnalisés qui intègrent le fitness, la récupération et le suivi du bien-être mental sur une plateforme unifiée, offrant ainsi de la valeur aux athlètes et aux entraîneurs.

10- Song Dis (Nigeria): elle fournit une distribution numérique et des services complets adaptés aux artistes indépendants et aux labels africains.

Malheureusement, il y a une absence des pépites tunisiennes, qui souffrent essentiellement d’une petite taille de marché qui pénalise leur développement, sans compter la rigidité de la réglementation de change. Espérons que nos startups connaîtront le succès lors de la prochaine édition.

 

 

 

 

 

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Chine: le yuan à son plus haut niveau depuis un an face au dollar

26. November 2025 um 12:17

La Banque centrale de Chine a fixé, mercredi, le taux de référence quotidien du yuan (renminbi) à 7,0796 pour un dollar, son niveau le plus élevé depuis octobre 2024. Cette décision fait suite à une hausse de 0,34% du yuan offshore mardi, qui a brièvement atteint 7,0794, soit son plus haut niveau depuis la fin […]

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Bulletin de suivi : Grêle et fortes pluies attendues mercredi et jeudi

26. November 2025 um 11:22

Des pluies éparses sont attendues mercredi et jeudi sur le nord, localement le centre et le sud-est, indique l’Institut National de la Météorologie (INM). Elles seront temporairement orageuses sur les régions côtières du nord et parfois abondantes, notamment sur les gouvernorats de Jendouba et Béja. Les quantités quotidiennes de pluie varieront généralement entre 20 et […]

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Algerien – Börse von Algier inaktiv – Tagelange Stagnation offenbart mangelndes Aktieninteresse

Von: maghreb
26. November 2025 um 11:56

Algerischer DinarDer algerische Aktienmarkt im Dornröschenschlaf – Die algerische Wertpapierbörse verzeichnete in der jüngsten Berichtsperiode tagelang keine einzige Transaktion, was die strukturellen Herausforderungen des heimischen Kapitalmarkts unterstreicht. Algier – Die Börse von Algier (Bourse d’Alger) präsentierte sich in der letzten Novemberwoche fast durchgehend in einem Zustand der Lähmung. Mehrere aufeinanderfolgende Handelstage verzeichneten keinerlei Aktivität, ein Umstand, […]

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Marokko – Wiederaufbau im Atlas – Offizielle Erfolgsmeldungen und kritische Stimmen zum dritten Erdbebenwinter in Al Haouz

Von: maghreb
26. November 2025 um 11:31

ParlamentZwei Jahre nach der Erdbebenkatastrophe in Al-Haouz zeichnen Regierungszahlen ein optimistisches Bild des Wiederaufbaus. Doch angesichts des nahenden dritten Winters in Notunterkünften fordern Oppositionelle mehr Tempo und soziale Gerechtigkeit für die Opfer. Rabat – Die marokkanische Regierung präsentierte kürzlich eine positive Bilanz der Wiederaufbaubemühungen nach dem verheerenden Erdbeben vom September 2023 vor dem Parlament. Am […]

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Tunisie : Création d’une nouvelle zone touristique à Aïn Draham

26. November 2025 um 12:22

Le gouverneur de Jendouba, Taieb Dridi, a annoncé la création d’une nouvelle zone touristique à Aïn Draham, à l’issue d’une visite sur le terrain. Ce projet ambitieux vise à transformer l’offre touristique locale, stimuler les investissements et générer des emplois permanents et saisonniers tout en contribuant au développement régional.

Un site stratégique

Le terrain sélectionné pour ce projet couvre 52 hectares, bénéficie d’un accès facile via une route locale et dispose des réseaux d’eau potable et d’électricité. Il présente des atouts naturels et esthétiques remarquables, permettant le développement de services touristiques tout au long de l’année, y compris en hiver.

Hébergement et dynamisation de l’économie locale

Cette nouvelle zone touristique entend proposer des infrastructures complètes pour diversifier l’offre, augmenter la capacité d’hébergement et encourager les investisseurs à participer au développement du secteur. L’ambition est de créer un modèle touristique durable et attractif, qui profite à l’ensemble de la région.

Le gouverneur Taieb Dridi a donné ses instructions pour engager rapidement toutes les procédures légales et organisationnelles, en coopération avec les ministères de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, ainsi que des Domaines de l’État et des Affaires foncières.

Une collaboration étroite avec la municipalité locale est prévue pour élaborer un plan d’aménagement détaillé, afin que le projet puisse se concrétiser dans les meilleurs délais.

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CIFF 2025 – Namir Abdel Messeeh, l’intime en partage : « La vie après Siham »

26. November 2025 um 12:00

Un voyage à travers les festivals

Présenté pour la première fois à Cannes, dans la sélection de l’ACID, La Vie après Siham de Namir Abdel Messeeh a depuis entamé un long parcours international. Arrivé en Égypte, à El Gouna, le film a remporté deux distinctions – le Prix du meilleur documentaire et celui du meilleur documentaire arabe – avant d’être présenté hors compétition au Festival international du film du Caire, lors de sa 46ᵉ édition (12 au 21 novembre 2025), dans la section « Projections spéciales ».

D’une enfance entre Paris et l’Égypte à une œuvre profondément intime

Ce film profondément personnel, à la fois journal de deuil, geste de fidélité et exploration de la mémoire, prolonge la démarche d’un auteur qui, depuis ses débuts, n’a cessé de sonder la frontière entre la vie et le cinéma. Né à Paris en 1974 dans une famille copte égyptienne, formé à la FEMIS, Namir Abdel Messeeh a toujours fait dialoguer ses deux mondes : la France où il a grandi et l’Égypte dont il porte la mémoire.

Toi, Waguih et La Vierge, les Coptes et moi : les premières pierres d’un triptyque

Après le court métrage Toi, Waguih (2005), consacré à son père, il s’était fait connaître avec La Vierge, les Coptes et moi (2011), sélectionné à Cannes à l’ACID et récompensé du Tanit d’argent documentaire aux Journées Cinématographiques de Carthage en 2012. Ce film, à la frontière du documentaire et de la fiction, posait déjà les questions qui traversent toute son œuvre : comment filmer ses proches, comment faire du cinéma avec eux, sans les trahir ni les enfermer.

Filmer les siens pour interroger la foi, le cinéma et l’héritage

Dans La Vierge, les Coptes et moi, Namir Abdel Messeeh filmait déjà sa propre famille. Parti dans le village de ses parents, il interrogeait les récits d’apparitions de la Vierge Marie tout en filmant sa mère, ses oncles, ses tantes et les habitants du village. En cherchant à comprendre ces phénomènes, il signait un film à la fois spirituel, drôle et lucide, où la quête de vérité religieuse se mêlait à une réflexion sur le cinéma lui-même. En mêlant documentaire et reconstitution, sérieux et humour, il s’y mettait déjà en scène, interrogeant sa place de cinéaste, de fils et d’héritier. Ce geste intime, où l’autodérision côtoie la tendresse, annonçait déjà La Vie après Siham.

La Vie après Siham, un récit de deuil et de transmission

Ce nouveau film s’inscrit dans cette même continuité. Huit ans après la mort de sa mère, Siham, puis celle de son père, Waguih, le cinéaste se retrouve face à un double deuil et à une promesse : raconter leur histoire. De ce serment naît un film de mémoire et de transmission, où le réalisateur convoque des images d’archives, des séquences filmées en Égypte et en France, et des extraits de films de Youssef Chahine pour tisser un récit à la fois intime et universel.

Au Caire, l’émotion d’un retour symbolique

Lors de la projection au Caire, l’émotion était palpable. Pour Namir Abdel Messeeh, montrer ce film dans le pays de ses parents avait une résonance particulière : « C’était la première fois que je voyais la version arabe de La Vie après Siham avec le public égyptien, et c’était angoissant pour moi », confie-t-il. « Chaque projection a été différente : en Égypte, en Espagne, en Allemagne, en France… À chaque fois, les réactions changeaient. »

Il se souvient : « Au Caire, le public a applaudi à plusieurs reprises, en plein milieu du film. C’est quelque chose que je n’avais jamais vécu ailleurs. En Allemagne, les gens m’ont dit qu’ils avaient aimé, mais leurs émotions restaient plus silencieuses. Et c’est ça, la force du cinéma : chaque projection a sa propre vie, influencée par le lieu, la taille de la salle, le nombre de spectateurs. »

Cette projection au Caire, entre compatriotes, amis et proches, avait valeur de retour symbolique. « Je suis né en France, mais je suis égyptien. Mon père et ma mère sont restés égyptiens même après avoir émigré en France. Ils n’ont jamais renié leur égyptianité, même s’ils ont été enterrés là-bas. Et moi aussi, je suis égyptien. C’est pour cela que j’ai voulu raconter cette histoire, cette hadouta masreya (clin d’œil à Youssef Chahine ?!). »

Une rencontre avec les étudiants : pourquoi et comment filmer ?

Après la projection, le réalisateur a animé une rencontre intitulée La vie après Siham : construire la mémoire à travers le documentaire (étude de cas), essentiellement destinée aux étudiants en cinéma, où il a livré un témoignage dense, empreint d’humour et d’émotion, sur sa relation au cinéma, à ses parents et à lui-même.

CIFF 2025
Namir Abdel Messeh

Des tournages insatisfaisants à la découverte de son véritable sujet

« J’ai étudié le cinéma en France et pendant mes études, j’ai tourné des films, mais je n’en étais jamais satisfait. J’ai compris qu’un film doit dire quelque chose de toi. Les miens ne disaient rien de moi. » Cette réflexion, à la fois simple et décisive, marque pour lui un tournant.

Il raconte ses débuts : « Même après l’école, j’ai fait un court métrage, mais je n’étais toujours pas content. J’ai senti qu’en filmant, j’avais face à moi quarante personnes que je ne connaissais pas. J’avais pris du temps pour écrire un scénario, et je me trouvais face à des étrangers, comme s’ils me volaient quelque chose. J’ai compris qu’il fallait que je filme des gens que j’aimais, des gens que je connaissais. »

Cette prise de conscience change son regard : « J’ai arrêté de me demander : qu’est-ce que je veux raconter ? et j’ai commencé à me demander : qui est-ce que je veux filmer ? La réponse m’est venue instinctivement : je voulais filmer mon père. »

Filmer le père : un refus, dix mois de supplications et un film de relation

Son premier film sur son père est né presque par hasard. « J’avais déposé un projet à un concours et je l’avais oublié. Un jour, j’ai appris que j’avais gagné un prix de 10 000 euros, à condition de livrer le film en un an. J’ai voulu faire un court documentaire, d’une trentaine de minutes. Mon père a refusé. Il ne comprenait pas pourquoi je voulais le filmer. »

Dix mois de discussions et de supplications s’ensuivent. « J’ai dû le supplier. Et puis, j’ai compris que je devais trouver un moyen de filmer quelqu’un qui refusait d’être filmé. La seule solution, c’était que le film soit sur nous deux. Notre relation devant la caméra. Je devais être là pour le rassurer. »

Cette décision donne naissance à un film d’une nature nouvelle : non plus un portrait, mais une conversation. Le cinéma devient une manière de recréer un lien. « C’est à ce moment-là que j’ai compris que le cinéma pouvait être un moyen d’aimer, de comprendre. »

Sa mère, apprenant le projet, ne cache pas sa jalousie. « Elle m’a dit : pourquoi lui et pas moi ? » racontera-t-il en souriant. Cette remarque, à la fois drôle et sincère, deviendra le point de départ d’un autre film, et d’une réflexion sur la manière de filmer ceux qu’on aime.

Un père cultivé, des désaccords de cinéma et une larme fondatrice

« Ma relation avec les films est plus importante qu’avec les êtres humains. Un film parle, un film communique, un film est émotions… un film est vivant. »
C’est à ce moment précis qu’il découvre ce qu’est un réalisateur : « Et c’est ainsi que j’ai compris qu’il existe quelqu’un qui s’appelle le réalisateur. C’est lui qui raconte cette histoire. Pourquoi et comment ? Un film est le portrait d’un réalisateur. C’est ce qui m’a fait aimer les films. »

Namir Abdel Messeeh évoque souvent son père avec admiration. « Mon père était très instruit : il lisait beaucoup, allait au théâtre, au cinéma. Mais nous n’aimions pas les mêmes films. »

Cette différence de goût nourrit leurs échanges, parfois leurs désaccords. « Il n’a pas aimé La Vierge, les Coptes et moi. Il ne comprenait pas qu’on puisse faire un film pour raconter une personne, ou une famille, ni comment ce film avait pu obtenir des prix. »

Et pourtant, c’est une scène muette de ce père cultivé et pudique qui devient le cœur de son inspiration. « Le jour de sa retraite, il devait faire un discours. Il n’avait pas pu. Une collègue a pris la parole à sa place. J’ai commencé à filmer notre famille et tous nos événements très tôt. Donc ce jour-là, j’étais là, je filmais la fête. Et j’ai filmé une larme qui a glissé sur sa joue. C’est à ce moment-là que j’ai compris que je voulais faire un film pour qu’il puisse dire ce qu’il n’avait jamais dit. »

CIFF 2025
Namir Abdel Messeh
CIFF 2025 – Namir Abdel Messeh lors de la rencontre avec les étudiants

La peur du ridicule et la décision d’assumer sa famille à l’écran

Le réalisateur, en préparant La Vierge, les Coptes et moi, et alors qu’il devait aller filmer sa famille dans leur village, décide d’appeler sa mère via Skype. « J’ai demandé à mon équipe de filmer la conversation sans qu’elle le sache. Elle posait plein de questions. Quand elle a su que j’allais filmer ma famille, elle s’est mise en colère. Elle m’a dit qu’elle allait leur dire de refuser de tourner, qu’elle porterait plainte contre moi s’il le faut. »

« Je ne savais plus quoi faire et je regarde le caméraman, il riait. »

Ce moment, aussi drôle que violent, révèle une peur enfouie. « Ma mère avait peur que les gens se moquent de sa famille, de leur pauvreté, de leur ignorance. » En revoyant les rushs, il comprend que cette peur est elle-même un sujet, et décide de garder cette scène pour son film. « J’ai pris cette responsabilité et j’accepte la réaction des spectateurs. Peut-être que certains se sont moqués d’eux. Peut-être que certains les ont détestés. Mais d’autres les ont aimés, parce qu’ils ont senti que moi, je les aimais. »

Pour lui, filmer quelqu’un, c’est avant tout une question d’amour. « J’ai demandé à Yousry Nasrallah s’il aimait ses acteurs. Il m’a répondu : oui, comme un père. Cet amour est essentiel. Moi, je ne peux filmer une personne que si je l’aime. »

« Je reviens à la question : pourquoi tu fais des films ? Si c’est pour que les gens t’aiment, c’est ton droit. Moi, je veux aimer mes films et les spectateurs sont libres d’aimer ou pas ! »

Cannes : une projection éprouvante, entre fatigue et panique

Quand il évoque La Vie après Siham, la voix du réalisateur se charge d’émotion. « Pendant la projection à Cannes, j’ai pleuré. C’était dans la section ACID, il y avait quatre cents exploitants de salles. C’était le troisième jour, tout le monde était fatigué. »

Il se souvient d’une scène censée être comique : personne n’a ri. Aucune réaction. Aucune réaction jusqu’à la fin. « J’étais assis, et je commençais à paniquer. J’avais ouvert les portes de chez moi et j’y ai invité des inconnus, et je me disais que je ne voulais plus les voir chez moi. Je pleurais aussi parce que pendant dix ans, j’avais travaillé mon film, il était mon bébé et en même temps je sentais ma mère avec moi. Mais c’était fini, je perdais le contrôle de mon film. Je devais accepter que c’était fini : ma mère est morte et le film ne m’appartient plus. Je devais dire adieu à un process, comme si j’avais un enfant qui venait d’atteindre dix-huit ans et qu’il fallait le laisser vivre sa vie, et accepter qu’il allait prendre ses propres décisions. »

Les films de Youssef Chahine comme mémoire collective et refuge

Il en tire une leçon : « Si ton film réussit, tant mieux. Sinon, il faut comprendre les raisons de son échec et apprendre pour mieux faire ensuite. Mon premier court, que j’ai détesté, m’a appris beaucoup de choses. »

Il raconte ensuite comment est née l’idée d’utiliser des extraits des films de Youssef Chahine. « Je ne me rappelle plus exactement comment j’ai eu cette idée, mais j’ai compris que les films de Chahine font partie de notre mémoire collective. En les utilisant, je créais une connexion entre ma mère et les spectateurs. »

Pendant le montage, il réalise que montrer trop de photos de sa mère ne produirait pas l’effet espéré. « Les spectateurs ne la connaissent pas. Ces images ne les toucheraient pas. Mais tout le monde connaît les films de Chahine. Ils font partie de notre inconscient collectif et ces scènes créent un lien et expriment des émotions. »

Il se souvient d’une scène bouleversante : « Ma mère était très malade. Sa bouche était enflée, elle avait du mal à articuler. Elle m’a dit : Namir, tu avais dit que tu irais à Cannes un jour. Tu n’as encore fait aucun film qui y soit allé. Si un jour tu y vas, sache que je serai avec toi et que je te ferai un signe de la main. »

Cette scène, son monteur et lui l’ont revue plusieurs fois, mais elle était insoutenable. « Son visage était trop enflé. Je ne pouvais pas la montrer ainsi. J’ai remplacé cette séquence par des images de Chahine. Elles disaient la même chose, sans la montrer diminuée. »

Dépression, doute et nécessité d’une équipe qui croit au film

Mais La Vie après Siham n’a pas été un film facile à faire. « Après avoir commencé le tournage, j’ai fait une dépression pendant trois ans. J’ai cru que le film ne se ferait jamais. »

C’est son monteur qui l’a poussé à continuer. « Il m’a dit : il te faut un producteur et un scénariste qui croient en toi. » Namir rencontre alors une productrice passionnée, prête à défendre le projet. « Il faut quelqu’un qui ait du recul, qui comprenne ton film et qui te soutienne. »

Faire un film personnel, dit-il, demande de la force et de la patience. « Ce genre de cinéma est difficile, pas seulement pour des raisons artistiques, mais parce qu’il t’oblige à te confronter à toi-même. Il faut accepter d’être fragile. »

Un homme, sa caméra et une famille qui le prend pour un idiot

Le sujet du film, c’est celui d’un type qui, depuis toujours, filme sa famille, toujours, et sa famille le traite d’idiot. C’est comme si la caméra, depuis toujours, était sa mémoire. Ce film a été difficile à trouver. Il a fallu trouver le personnage principal et, contrairement à ce qu’on aurait pu croire, ce n’est pas Siham, c’est Namir. C’est son histoire avec la caméra depuis de très longues années, avant même l’idée de ces films.

Au Caire, devant les étudiants, il parle de cette fragilité avec une franchise rare. « La Vie après Siham est un film douloureux, mais il est aussi plein de vie. Ce genre de sentiments, on passe souvent notre existence à essayer de les éviter. Le film m’a obligé à les affronter. »
Et il conclut simplement : « Filmer, c’est aimer. C’est comprendre. C’est dire adieu sans oublier. »

S’enraciner entre l’Égypte et la France, et transmettre cet héritage

À travers ses trois films, Namir Abdel Messeeh n’a cessé de creuser un même sillon : celui de la mémoire et de l’appartenance. En filmant son père, sa mère, sa famille égyptienne, son village, puis leur souvenir, il a voulu retenir ce qui risquait de s’effacer : les gestes, les voix, les visages, la langue d’un pays quitté mais jamais perdu. Son cinéma s’enracine dans cette Égypte intérieure, transmise par ses parents. Il la porte en lui, au plus profond de son être. Et il cherche à la préserver du temps, comme s’il craignait que ses racines se diluent.

Ce travail de mémoire est aussi une manière de se construire. Français par la naissance et par la vie, égyptien par le sang et par le cœur, il relie ces deux parts de lui-même pour en faire un lieu de passage : un pont entre deux histoires, deux imaginaires, deux façons d’exister. Il documente pour se souvenir, mais aussi pour ne pas rompre la chaîne – pour que le lien continue à vivre à travers les images.

Et lorsque La Vie après Siham referme ce long chapitre de deuil et de transmission, une autre question demeure, suspendue : cet héritage qu’il a sauvé, le transmettra-t-il à son tour ? Ses enfants poursuivront-ils cette œuvre de mémoire, ce dialogue ininterrompu entre les racines et le présent, entre l’Égypte et la France, entre la vie et ce qu’elle laisse ?

Neïla Driss

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Crise arbitrale en Ligue 1 : Les clubs passent à l’offensive et récusent plusieurs arbitres

26. November 2025 um 11:45

Une réunion tenue lundi 24 novembre au siège de la Fédération tunisienne de football a réuni le ministre de la Jeunesse et des Sports, la FTF, la Direction nationale de l’arbitrage et les présidents des clubs de Ligue 1. L’objectif affiché était d’évaluer la première partie du championnat et d’améliorer la relation entre arbitres et clubs. Mais la rencontre a débouché sur une action inédite : la récusation collective de plusieurs arbitres par la majorité des équipes.

Tensions, rapport technique et revendications des clubs

Autour de la table, le ministre Sadok Mourali et le président de la FTF Moez Naciri ont insisté sur la nécessité d’une compétition plus sereine et transparente. Le superviseur de la DNA, Jamel Himoudi, a présenté un rapport détaillé sur les performances arbitrales, les statistiques de la phase aller et les outils de suivi mis en place pour améliorer les désignations et la communication.

Les représentants des clubs ont ensuite exposé remarques et griefs concernant la gestion des matchs, les critères de nomination, les contestations répétées et le manque de confiance dans certaines décisions. La FTF a décrit cet échange direct comme un moyen de réduire les tensions et de rétablir un climat de respect mutuel.

Réactions : une vague de récusations sans précédent

La réunion a pris un tournant inattendu lorsque douze des seize clubs ont transmis une liste d’arbitres dont ils refusent l’attribution pour leurs prochains matchs. Parmi les noms les plus rejetés figurent Houssem Boulaares, Mahrez Melki, Sadok Selmi, Oussama Ben Isaac et Amir Ayadi.

Seuls quatre clubs – AS Soliman, Olympique de Béja, ES Métlaoui et AS Marsa – n’ont récusé aucun officiel, adoptant une position présentée comme neutre ou prudente. Cette démarche collective illustre le climat d’hostilité croissant autour de l’arbitrage et la pression exercée sur les instances en charge des désignations.

Un championnat sous crispation permanente

Les polémiques arbitrales rythment la saison depuis le coup d’envoi, alimentées par l’introduction élargie de la VAR, des contestations publiques des présidents, et une méfiance installée entre clubs et instances. La FTF tente de restaurer la crédibilité du corps arbitral, tandis que les clubs réclament des garanties fermes, des explications systématiques et un processus de désignation qu’ils jugent plus équitable et lisible.

Les arbitres rejetés

  • AS Gabès : Houssem Boulaares, Mahrez Melki, Khalil Jarii,Nidhal Ben Letaief
  • Club africain : Khaled Gouider, Mahrez Malki
  • CA Bizertin : Achref Harakati, Mahmoud Ksia
  • CS Sfaxien : Naïm Hosni, Sadok Selmi, Oussama Ben Isaac, Houssem Boulaares
  • ES Sahel : Sadok Selmi, Oussama Ben Isaac, Houssem Boulaares, Amir Loucif
  • ES Tunis : Mahrez Melki, Amir Ayadi
  • ES Zarzis : Aymen Nasri
  • JS Kairouanaise : Oussama Ben Isaac, Amir Ayadi
  • JS Omrane : Houssem Boulaares, Sofiene Ouertani
  • Stade Tunisien : Houssem Boulaares, Sadok Selmi, Mahrez Melki
  • US Ben Guerdane : Houssem Boulaares, Aymen Nasri
  • US Monastirienne : Khaled Gouider, Houssem Boulaares, Achref Harakati

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Kaïs Saïed, les ordures, les lobbys et nous

26. November 2025 um 12:00

Pour le président Kais Saïed, les ordures jonchant les rues un peu partout dans le pays, qu’il s’agisse des déchets ménagers ou des débris de construction, sont le fait de lobbys qui cherchent exacerber la situation dans le pays. Et il menace de sévir contre les responsables de cette défaillance.

Cette situation «n’est pas normale ni anodine», a souligné le président de la république, lors de son entretien, mardi 25 novembre 2025, au palais de Carthage, avec le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri.

Déplorant le non ramassage des ordures, malgré la mise à disposition des moyens et capacités nécessaires à cette opération, il a laissé entendre l’existence d’actes de sabotage délibéré ou même d’un complot, tout en promettant de mettre fin à cette situation.

Le président de la République ne comprend pas pourquoi les choses ont-elles changé depuis 2019. Au lendemain des élections de 2019, qui l’ont porté à la tête de l’Etat, les Tunisiens ont mené de leur propre gré une campagne de nettoyage, a-t-il rappelé. «Les Tunisiens s’étaient alors réconciliés avec l’espace public», a-t-il souligné, alors qu’aujourd’hui les ordures jonchent partout les rues. Donc, pour lui, il y aurait nécessairement des lobbys qui ont délibérément saboté cette «campagne historique», laquelle, on s’en souvient, n’a duré qu’une journée ou deux.

Saïed, qui ne semble pas admettre le changement survenu dans le pays au cours des six dernières années, les gens étant passés de l’espoir en 2019 à l’abattement six ans après, en raison de la non amélioration de leur situation socio-économique, a appelé à ce que la loi soit vigoureusement appliquée à l’encontre des responsables défaillants.

Il convient de rappeler, à ce propos, que le ramassage des ordures est du ressort des municipalités, que les conseils municipaux élus en 2018 ont tous été dissous en 2022 et que les communes sont gérées par des secrétaires généraux, soit des agents administratifs qui ne sont pas tenus par des contrats de performances ou d’obligations de résultats. A chaque fois que les citoyens les interpellent à propos de la mauvaise tenue de l’espace public, ils justifient leurs manquements par le manque de moyens dont ils disposent.

I. B.

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Von: D .
26. November 2025 um 12:15

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