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Stagnation de la prospection énergétique en Tunisie

12. Mai 2025 um 13:32

Le secteur énergétique tunisien comptait, à la fin du mois de mars 2025, un total de 15 permis actifs, soit 14 de recherche et un de prospection, selon le dernier rapport publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines. (Ph. Champ gazier de Nawara).

Par ailleurs, le pays recense 56 concessions d’exploitation, dont 44 sont actuellement en phase de production.

L’État tunisien détient une participation dans 34 de ces concessions, à travers l’Entreprise tunisienne d’activités pétrolières (Etap) et intervient directement dans trois autres.

Côté forages, un nouveau puits de développement, baptisé «Sharqi», a été creusé, tandis que les travaux sur le «Sidi Merzoug», lancés en 2023, se poursuivent.

En revanche, aucun nouveau projet d’exploration n’a été enregistré au cours du premier trimestre 2025, a précisé l’Observatoire, soulignant une phase de stagnation, en matière de prospection.

D’après Tap.

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Les gouvernorats de Monastir, Sidi Bouzid et Gabès privés d’électricité 

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a annoncé, dans un communiqué publié samedi 10 mai, une série de coupures de courant samedi, dimanche et mardi dans les gouvernorats de Monastir, Sidi Bouzid et Gabès.

Ces interruptions s’inscrivent dans le cadre du programme périodique d’entretien des réseaux de distribution électrique.

Ce samedi, le courant a été interrompu de 7h à 14h dans la région de Ben Béchir, relevant de la délégation de Sidi Ali Ben Aoun, dans le gouvernorat de Sidi Bouzid.

Dimanche, une nouvelle coupure est programmée dans le gouvernorat de Monastir, de 8h à 13h, dans le quartier Ibn El Jazzar à Jemmel.

La STEG a également précisé que le courant sera coupé mardi prochain dans le gouvernorat de Gabès, de 8h à 12h.

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Observatoire National de l’Energie: légère hausse de la production nationale d’électricité à fin mars 2025

09. Mai 2025 um 14:54

À la fin du mois de mars 2025, la production nationale d’électricité a enregistré une progression modérée de 1 %, atteignant 4 211 Gigawattheures (GWh), autoproduction renouvelable incluse, contre 4 175 GWh à la même période de 2024. C’est ce qui ressort du rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

En revanche, la production dédiée au marché local a reculé de 2 %. Pour compenser ce repli, les importations, principalement en provenance d’Algérie, ont couvert 13 % de la demande intérieure en électricité à fin mars 2025.

La STEG demeure le principal acteur du secteur, assurant à elle seule 95 % de la production nationale. La production issue du gaz naturel est restée quasiment stable. Quant aux énergies renouvelables, elles ont représenté 5,5 % du mix électrique.

Dans le même temps, environ 300 MW de capacité photovoltaïque en toiture ont été installés dans le secteur résidentiel à fin 2024. Par ailleurs, 323 autorisations ont été délivrées pour un total de 125 MW dans les secteurs industriel, tertiaire et agricole. La pointe de consommation a, de son côté, progressé de 5 %, passant de 3 073 MW en mars 2024 à 3 211 MW à la fin mars 2025.

Les ventes d’électricité ont diminué de 2 % entre fin mars 2024 et fin mars 2025. Si les ventes aux clients en haute tension ont progressé de 15 %, celles en moyenne tension ont fléchi de 3 %.

Concernant la basse tension, qui concerne majoritairement les ménages (environ 75 %), les données issues de la facturation bimestrielle, dont près de la moitié reste estimée, ne permettent pas d’avoir une vision précise de la consommation réelle.

Les industriels demeurent les plus gros consommateurs d’électricité, totalisant 62 % de la demande combinée en haute et moyenne tension. La majorité des secteurs ont vu leurs ventes baisser, notamment le pompage agricole (-13 %), les industries métallurgiques de base (-6 %) ainsi que les secteurs du textile et de l’habillement (-6 %). À l’inverse, les ventes ont augmenté dans l’industrie du papier et de l’édition (+22 %) ainsi que dans les secteurs chimique et pétrolier (+6 %).

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Légère hausse de la production nationale d’électricité à fin mars 2025

La production nationale d’électricité a enregistré, à fin mars 2025, une hausse de 1 % pour se situer à 4 211 gigawattheures (GWh) (y compris autoproduction renouvelable) contre 4 175 GWh à fin mars 2024, selon le rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La production destinée au marché local a enregistré, par contre, une baisse de 2 %. Ainsi, les achats d’électricité, principalement de l’Algérie, ont couvert 13% des besoins du marché local, à fin mars 2025.

La STEG conserve toujours la part du lion dans la production électrique avec 95% de la production nationale à fin mars 2025. L’électricité produite à partir du gaz naturel a enregistré une quasi-stabilité, à 5,5%.

Par ailleurs, environ 300 MW de toitures photovoltaïques ont été installés à fin 2024, dans le secteur résidentiel et 323 autorisations ont été octroyées pour une puissance totale de 125 MW dans les secteurs industriels, tertiaire et agriculture. La pointe a enregistré une hausse de 5% pour se situer à 3 211 MW à fin mars 2025, contre 3 073 MW à fin mars 2024.

Baisse de 2% des ventes d’électricité à fin mars 2025 

Les ventes d’électricité ont enregistré une baisse de 2% entre fin mars 2024 et fin mars 2025. Les ventes des clients de la haute tension ont enregistré une augmentation de 15 %, celles des clients de la moyenne tension ont enregistré, par contre, une baisse de 3 %.

Pour les ventes, basse tension, destinées majoritairement au secteur résidentiel (près de 75 % en moyenne), les statistiques basées sur la facturation bimestrielle, dont près de la moitié est estimée, ne permettent pas d’avoir une idée exacte sur la consommation réelle.

Les industriels restent les plus grands consommateurs d’électricité avec 62 % de la totalité de la demande des clients haute tension (HT) et moyenne tension (MT), à fin mars 2025. La majorité des secteurs ont enregistré une baisse des ventes, principalement le pompage agricole (-13 %), les industries métallurgiques de base (-6 %) et les industries du textile et de l’habillement (-6 %) contre une hausse des ventes de l’industrie du papier et de l’édition (+22 %) et l’industrie chimique et du pétrole (+6 %).

Avec TAP

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Baisse de 5% de la production de pétrole brut à fin mars 2025

La production nationale de pétrole brut s’est située à 328 kilotonnes (kt), à fin mars 2025, soit une baisse de 5% par rapport à la même période 2024, selon le rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Cette baisse a touché la plupart des principaux champs, à savoir : Ashtart (-15%), Miskar (-32%), El Hajeb/Guebiba (-11%), Hasdrubal (-15%), Nawara (-21%) et Gherib (-17%).

D’autres champs ont enregistré, par contre, une amélioration de production, à savoir El Borma (+15%), M.L.D (+24%) et Adam (+3%). La moyenne journalière de la production de pétrole a régressé de 32,2 mille barils/j, à fin mars 2024 à 27,2 mille barils/j, à fin mars 2025.

La demande nationale de produits pétroliers a enregistré, entre fin mars 2024 et fin mars 2025, une quasi-stabilité pour se situer à 1093 ktep.

L’observatoire a fait état d’une hausse des essences de 3% et du jet d’aviation de 10%. Par contre, la demande du fuel a enregistré une diminution de 35% et du gasoil de 3%.

S’agissant de la structure de la consommation de produits pétroliers, elle n’a pas connu de changement significatif, entre fin mars 2024 et fin mars 2025, à l’exception de quelques produits, notamment le fuel dont la part est passée de 4% à 3%, le gasoil (de 45% à 44%), durant la même période et le jet d’aviation (de 4% à 5%).

Pour ce qui est des carburants routiers, leur consommation a connu, à fin mars 2025, une légère baisse de 1% par rapport à la même période de l’année écoulée. Elle représente 62% de la consommation totale des produits pétroliers.

La consommation de GPL a enregistré, à fin mars 2025, une hausse de 8% par rapport à la même période 2024.

En ce qui concerne le coke de pétrole (produit utilisé exclusivement par les cimenteries, substituable par le gaz naturel et le fuel lourd), sa consommation a enregistré une quasi-stabilité entre fin mars 2024 et fin mars 2025.

Pour la consommation de jet d’aviation, elle a enregistré une hausse de 10% à fin mars 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Avec TAP

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Washington et Moscou étudient les moyens de rétablir les flux de gaz russe vers l’Europe

09. Mai 2025 um 10:07

Des responsables de Washington et de Moscou ont eu des discussions sur la contribution des États-Unis à la relance des ventes de gaz russe à l’Europe. C’est ce qu’ont déclaré, jeudi 8 mai à Reuters huit sources proches de ces discussions.

Des sources proches des discussions bilatérales ont déclaré que définir un rôle renouvelé pour Moscou sur le marché du gaz de l’Union européenne pourrait aider à consolider un accord de paix avec le président russe Vladimir Poutine.

Même si une grande partie de l’Europe a cherché des sources d’approvisionnement alternatives, certains acheteurs sont restés et les responsables de l’industrie affirment que d’autres pourraient revenir une fois qu’un accord de paix sera mis en œuvre.

Quant à la Russie, rien n’a autant nui à son économie que la perte de la majeure partie du marché européen du gaz il y a trois ans.

Aujourd’hui, la Russie fournit 19 % de la demande européenne, contre 40 % auparavant, principalement du gaz naturel liquéfié (GNL), dont une partie transite par la Turquie via le gazoduc TurkStream.

La participation américaine bénéficierait également à Washington, lui offrant la possibilité de voir et éventuellement de contrôler dans une certaine mesure les quantités de gaz naturel russe qui reviendront en Europe, ont indiqué deux sources diplomatiques et une source de la Maison Blanche.

Depuis 2022, l’Europe s’est tournée vers d’autres fournisseurs de gaz naturel, notamment les exportations américaines de gaz naturel liquéfié (GNL).

L’envoyé américain Steve Witkoff et l’envoyé d’investissement de Poutine, Kirill Dmitriev, ont discuté du gaz dans le cadre des pourparlers de paix en Ukraine, ont indiqué deux des huit sources. « Actuellement, il n’y a pas de telles discussions », a déclaré le Fonds d’investissement direct russe, dirigé par Dmitriev, dans un communiqué à Reuters.

Quant à la manière dont les Américains pourraient s’impliquer, cinq sources ont déclaré que les discussions à ce jour ont porté sur la possibilité pour les investisseurs américains de prendre des participations dans le gazoduc Nord Stream reliant la Russie à l’Allemagne, ou dans le gazoduc traversant l’Ukraine, ou dans Gazprom lui-même.

Lire aussi : Négociations secrètes entre Américains et Russes pour relancer Nord Stream 2

Les entreprises américaines pourraient également servir d’acheteurs, en achetant du gaz à Gazprom et en l’envoyant en Europe, notamment en Allemagne, ont indiqué les sources.

La Commission européenne a refusé de commenter. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a exprimé son opposition à un retour aux approvisionnements énergétiques russes. « Certains continuent de dire qu’il faut rouvrir le robinet du gaz et du pétrole russes. Ce serait une erreur historique et nous ne la laisserons jamais se produire », a-t-elle affirmé lors d’une séance du Parlement européen le 7 mai.

Bruxelles veut interdire les nouveaux accords sur le gaz russe d’ici fin 2025 et interdire les importations dans le cadre des accords existants d’ici fin 2027. Le plan, qui sera débattu le mois prochain, nécessitera l’approbation du Parlement européen et d’une majorité des États membres. La Hongrie et la Slovaquie ont exprimé leur opposition à cette démarche.

Trump a déclaré qu’il espérait un accord de paix pour l’Ukraine prochainement et s’attendait à ce que cela ouvre la voie à la Russie et à l’Ukraine pour faire des affaires importantes avec les États-Unis.

La Russie est prête à relancer immédiatement ses exportations de gaz naturel vers l’Europe s’il existe une volonté politique de le faire, a souligné Poutine.

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Keine Quotensystem für Wasser im kommenden Sommer?

Von: Redaktion
08. Mai 2025 um 18:32

Abdelhamid Mnaja, Präsident der Nationalen Gesellschaft zur Nutzung und Verteilung von Wasser, bestätigte am Donnerstag, dass „das Quotensystem in diesem Sommer nicht eingeführt wird, da Mehr

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Gaz russe : l’UE veut tourner la page, mais à quel prix ?

07. Mai 2025 um 16:01

Même si l’Union européenne tente de se sevrer des approvisionnements en gaz russe après cinq décennies, l’environnement géopolitique complexe rend ses plans difficiles à mettre en œuvre.

La Commission européenne, l’organe exécutif du bloc, a présenté mardi 6 mai 2025 une feuille de route visant à couper définitivement les flux restants de gaz, de combustible nucléaire et de pétrole russes, plus de trois ans après l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Comme l’a rapporté Bloomberg, le plan prévoit que les entreprises européennes résilieront tous leurs contrats avec les fournisseurs de gaz russes d’ici la fin de 2027.

Si l’UE y parvient, ce sera un changement notable par rapport à l’ancien plus grand fournisseur d’énergie du bloc : la Russie couvrait 40% de ses besoins en gaz et un tiers de sa consommation de pétrole avant la guerre. Bruxelles parie qu’elle peut développer les énergies renouvelables et s’approvisionner en combustibles fossiles ailleurs, mais son plan pourrait être affecté par les efforts de Donald Trump pour négocier un accord de paix en Ukraine et par sa demande que l’Europe achète davantage de gaz américain.

La feuille de route de l’UE est considérée comme une ouverture à Trump, mais des questions subsistent quant à l’expansion des expéditions de gaz naturel liquéfié en provenance des États-Unis au moment où Washington menace d’imposer des tarifs douaniers.

« La guerre en Ukraine a brutalement exposé les risques de chantage, de coercition économique et de chocs sur les prix », a déclaré Ursula von der Leyen, présidente de la Commission. « Il est désormais temps pour l’Europe de rompre complètement ses liens énergétiques avec un fournisseur peu fiable ».

Les détails sur la manière exacte dont l’UE prévoit de forcer les entreprises à résilier leurs contrats avec la Russie seront annoncés en juin, mais la feuille de route présentée mardi à Strasbourg suggère qu’elle envisage une approche progressive. Premièrement, elle interdira tous les nouveaux contrats et mettra fin aux accords existants sur le marché spot – un tiers des flux de gaz russe vers le bloc – d’ici la fin de 2025. Les contrats à long terme seront progressivement supprimés d’ici la fin de 2027.

À noter que le Premier ministre slovaque, Robert Fico, n’a pas tardé à critiquer, lundi 5 mai, la publication prévue du plan. Il tente de maintenir le flux de gaz russe après qu’une route de transit à travers l’Ukraine a été coupée à la fin de l’année dernière, alors que son pays, avec la Hongrie, reste l’un des plus dépendants du pétrole de Moscou.

« Nous sommes tous préoccupés par les prix élevés de l’énergie, pour lesquels l’Union européenne ne propose pas de solutions pratiques. C’est exactement le contraire. En s’efforçant de stopper l’approvisionnement énergétique en provenance de l’Est, les autorités de l’UE, pour des raisons purement politiques, créent les conditions d’une nouvelle hausse des prix du gaz », regrette-t-il.

Pas seulement du gaz naturel…

La réticence de la Slovaquie et de la Hongrie à mettre fin à leurs relations énergétiques avec la Russie signifie que les sanctions – l’outil le plus puissant de l’UE pour mettre fin aux contrats, mais qui requiert l’unanimité de ses 27 États membres – pourraient s’avérer un obstacle trop important.

Le bloc pourrait plutôt utiliser des outils commerciaux, tels que des tarifs douaniers ou des quotas, mais il n’est pas juridiquement certain qu’ils puissent agir comme un cas de « force majeure » pour permettre aux entreprises d’abandonner les contrats techniques de type « take or pay » avec Moscou.

« Si un embargo total sur le gaz russe est hautement souhaitable d’un point de vue politique, cette option pourrait être très difficile à mettre en œuvre, compte tenu de l’exigence d’unanimité », a déclaré Simone Tagliapietra, analyste au groupe de réflexion Bruegel à Bruxelles.

L’inquiétude pourrait également exister parmi les entreprises européennes. En vertu des règles qui doivent être introduites le mois prochain, elles seront obligées de fournir des détails clés sur les contrats qu’elles ont avec les fournisseurs russes. TotalEnergies SE, Naturgy Energy Group SA et l’entreprise allemande Securing Energy for Europe GmbH font partie des entreprises qui ont des contrats à long terme.

Pour l’instant, la feuille de route présentée mardi est un plan pour l’avenir. Les mois à venir montreront à quel point l’UE est sérieuse.

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Cuivre et transition énergétique : un déséquilibre qui inquiète la CNUCED

L’industrie mondiale du cuivre entre dans une phase charnière – une phase qui exige non seulement une augmentation de la production, mais aussi des stratégies de croissance plus judicieuses, plus inclusives et axées sur la technologie.

Une pénurie imminente de cuivre pourrait freiner la transition mondiale vers les énergies propres et les infrastructures numériques, met en garde ONU commerce et développement (CNUCED) dans sa dernière mise à jour sur le commerce mondial publié le 6 mai 2025. Le rapport qualifie le cuivre de « nouvelle matière première stratégique » pour la nouvelle économie verte et numérique et de test pour la capacité des systèmes commerciaux mondiaux à faire face aux pressions exercées sur les ressources.

Le cuivre est essentiel pour les véhicules électriques, les énergies renouvelables, les infrastructures d’intelligence artificielle, les centres de données et les réseaux intelligents. Or, l’offre ne suit pas. La demande mondiale devrait augmenter de plus de 40 % d’ici 2040, mais la faible teneur des minerais, les risques géopolitiques et les longs délais de développement (jusqu’à 25 ans pour les nouvelles mines) posent des défis structurels.

Pour répondre aux besoins estimés, il faudrait 80 nouvelles mines et 250 milliards de dollars d’investissements d’ici 2030.

Les pays riches en ressources exportent le cuivre brut et passent à côté de gains en valeur ajoutée

Plus de la moitié des réserves mondiales de cuivre se trouvent dans seulement cinq pays, dont l’Australie, le Chili, la Fédération de Russie, le Pérou et la République démocratique du Congo. Mais la majeure partie de la valeur ajoutée est créée ailleurs. La Chine importe aujourd’hui 60 % du minerai de cuivre mondial et produit plus de 45 % du cuivre raffiné.

La CNUCED constate que de nombreux pays riches en ressources naturelles sont coincés au bas de la chaîne de valeur, exportant des matières premières mais incapables de s’industrialiser. L’escalade tarifaire – les droits de douane peu élevés sur le cuivre raffiné (moins de 2 %) augmentent fortement (jusqu’à 8 %) sur d’autres produits finis tels que les feuilles et les fils, ce qui peut décourager une progression sur la chaîne de valeur.

La plupart des grands exportateurs de cuivre se situent également en dessous de la moyenne mondiale en termes de complexité économique, ce qui souligne la nécessité d’investir dans les infrastructures, les compétences et des politiques commerciales ciblées.

« Le cuivre n’est plus seulement une matière première, c’est un atout stratégique », a déclaré Luz María de la Mora, directrice de la Division du commerce international et des produits de base à ONU commerce et développement ou CNUCED.

« Son marché met en évidence les asymétries de pouvoir qui continuent de façonner le commerce mondial. C’est pourquoi nous devons investir dans la valeur ajoutée produite localement, intensifier le recyclage et supprimer les obstacles commerciaux qui en limitent les possibilités. C’est un moment où tous les pays peuvent être gagnants, à condition que le commerce soit mis au service du développement. »

Le recyclage fournit désormais 1 tonne de cuivre sur 5

En 2023, 4,5 millions de tonnes, soit près de 20 % du cuivre raffiné dans le monde, provenaient de sources secondaires. Les États-Unis, l’Allemagne et le Japon sont les principaux exportateurs de déchets, tandis que la Chine, le Canada et la Corée du Sud en sont les principaux importateurs.

Pour les pays en développement, le recyclage du cuivre est une opportunité stratégique. Le renforcement des capacités locales peut réduire la dépendance à l’égard des importations, diminuer les émissions et soutenir des pratiques d’économie circulaire pour protéger l’environnement et utiliser les ressources de manière plus efficace.

Le cuivre, un test pour les futures stratégies commerciales

Le rapport affirme que le cuivre est un test pour la gestion des matières critiques dans un contexte de tensions commerciales mondiales, de fragmentation des chaînes d’approvisionnement et d’évolution des politiques industrielles. Ces risques reflètent le ralentissement général et l’incertitude signalés précédemment par la CNUCED.

La CNUCED préconise des stratégies commerciales et industrielles plus judicieuses (simplification des autorisations, réduction des droits de douane, chaînes de valeur régionales) afin d’aider les pays en développement à progresser dans la chaîne de valeur et à participer plus équitablement aux transformations énergétiques et technologiques.

Bien plus qu’un simple métal, il est présent dans nos téléphones, nos maisons, nos voitures – infiltrant discrètement notre quotidien. Alors que la demande pour des technologies renouvelables, comme les panneaux solaires et les voitures électriques, continue d’augmenter, le cuivre devient un atout majeur.

Source : CNUCED

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Sommer steht bevor: Ist Tunesien auf die Gefahr einer Wasserknappheit vorbereitet?

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05. Mai 2025 um 14:22

Tunesien hat in diesem Jahr zum ersten Mal seit drei Jahren durch eine deutliche Verbesserung der in den Talsperren gespeicherten Wassermengen eine bessere Ausgangsposition für Mehr

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1,2 Milliarden Dinar für Projekte zur Stromerzeugung aus Photovoltaik

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25. März 2025 um 12:37

Die Ministerin für Energie und Bergbau, Fatima Thabet Chiboub, hat am Montag, 24. März 2025, die Unterzeichnung von vier Verträgen im Gesamtwert von 1,2 Milliarden Mehr

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Wasserbewirtschaftung: Auf dem Weg zu einem innovativen Wassergesetzbuch

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26. Februar 2025 um 21:40

Regierungschef Kamel Maddouri hat am Dienstag, den 25. Februar 2025, im Regierungspalast in der Kasbah eine Ministerratssitzung im engeren Kreis geleitet, bei der Dossiers im Mehr

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Wallah We Can: Öffentliche Schule in Siliana, Tunesien energie- und nahrungsautark

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21. Februar 2025 um 16:18

In der Region Siliana in Tunesien hat eine öffentliche Schule dank der vom Team Wallah We Can (Ja, wir können) ins Leben gerufenen Initiative „Green Mehr

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Erhöhung der Wasserpreise eine dringende Notwendigkeit zur Bewältigung der Wasserkrise

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19. Dezember 2024 um 18:59

Angesichts der zunehmend besorgniserregenden Situation im Bereich der Wasserwirtschaft sieht sich Tunesien gezwungen, seine Wassertarife zu überarbeiten, um den Herausforderungen der Wasserkrise im Land gerecht Mehr

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Solarförderung für Haushalte: Tunesien investiert 370 Mio Dinar

Von: Redaktion
27. September 2024 um 12:40

Mit einem umfassenden Förderpaket zielt die tunesische Regierung darauf ab, den Ausbau privater Solaranlagen zu fördern. Die tunesische Regierung hat 121 Millionen Dollar (370 Mio Mehr

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600-Megawatt-Verbindung „Elmed“: Grünes Licht vom italienischen Umweltministerium

Von: Redaktion
15. Mai 2024 um 14:46

Das italienische Ministerium für Umwelt und Energiesicherheit hat mit einem Dekret vom 10. Mai 2024 Elmed, die Stromverbindung zwischen Italien und Tunesien, die von Terna Mehr

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SONEDE: Erhöhung der Trinkwassertarife 2024

Von: Redaktion
02. März 2024 um 14:44

Das Ministerium für Landwirtschaft, Wasserressourcen und Seefischerei hat per Erlass neue Trinkwassertarife festgelegt, die im Amtsblatt der Republik Tunesien (JORT Nr. 33 vom 1. März Mehr

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Tunesien: Nationale Rohölproduktion sinkt um 5%, Stromerzeugung um 1%

Von: Redaktion
15. Februar 2024 um 13:35

Die nationale Rohölproduktion erreichte 2023 1.566 Kilotonnen (kt), was einem Rückgang von 5% gegenüber 2022 entspricht, wie aus dem Monatsbericht Dezember 2023 der Nationalen Beobachtungsstelle Mehr

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Tunesien: Parlament (ARP) genehmigt Darlehen für die STEG

Von: Redaktion
31. Januar 2024 um 17:59

Die Versammlung der Volksvertreter (ARP) hat am Dienstag, den 30. Januar 2024, in einer Plenarsitzung den Gesetzentwurf zur Genehmigung der am 22. Juni 2023 zwischen Mehr

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