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Gestern — 31. Dezember 2025Managers

Le Ministère de l’Agriculture met en garde contre l’introduction de plantes et végétaux depuis l’étranger

31. Dezember 2025 um 15:00

Le Ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la pêche invite les Tunisiens vivant à l’étranger à éviter l’importation de plantes ou de végétaux susceptibles de transporter des insectes ou des agents pathogènes pouvant causer des dommages importants à l’agriculture nationale.

Cette mise en garde intervient dans un contexte de multiplication des maladies et des ravageurs invasifs à l’échelle régionale et internationale. Selon le communiqué publié mercredi par le Ministère, cette précaution vise à protéger la sécurité alimentaire et à préserver les filières agricoles, qui constituent un pilier essentiel de l’économie nationale.

Les voyageurs entrant en Tunisie par tous les points frontaliers sont également priés de ne pas introduire sur le territoire national de plantes ou de végétaux, afin de limiter les risques pour le secteur agricole.

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Hajj 2026 : début de l’intégration des candidats en liste d’attente à partir du 2 janvier

31. Dezember 2025 um 14:10

Le ministère des Affaires religieuses a annoncé le lancement de l’opération d’intégration des candidats au pèlerinage figurant actuellement sur les listes d’attente, afin de compléter les listes définitives des pèlerins pour la saison du hajj 1447H / 2026. 

Selon le communiqué officiel, cette opération débutera le vendredi 2 janvier 2026. Elle concerne les candidats en liste d’attente appelés à remplacer les personnes n’ayant pas réglé les frais du pèlerinage dans les délais impartis. La sélection se fera selon l’ancienneté générale et en fonction des places devenues vacantes.

Les personnes concernées seront informées individuellement par message court (SMS). Une fois notifiées, elles devront procéder au paiement des frais du hajj dans les bureaux de la Poste tunisienne, puis finaliser les démarches de voyage auprès de la Société nationale des services et des résidences.

Ces procédures devront être accomplies entre le 6 et le 20 janvier 2026. Le ministère précise que tout candidat qui ne respecte pas ces délais sera considéré comme désisté, et son remplacement sera effectué automatiquement.

Pour rappel, la finalisation des démarches de voyage s’effectue au siège de la Société nationale des services et des résidences, situé rue du lac Turkana, zone B, immeuble Jrad, Berges du Lac – Tunis.

Le ministère met également à la disposition des candidats un numéro vert (80101863) pour toute demande d’information complémentaire.

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Trois universités tunisiennes de 3 régions différentes au palmarès mondial des écoles de sport

31. Dezember 2025 um 11:16

Le dernier classement mondial 2025 des écoles et départements de sciences du sport, publié par Shanghai Ranking, révèle de belles surprises.

En tête du palmarès, l’australienne Deakin University devance l’University of Southern Denmark et la Norwegian School of Sport Sciences. Ce classement, initié en 2016, scrute plus de 300 universités à travers le monde, en se basant sur la qualité des publications scientifiques, les citations, la présence dans les revues prestigieuses et les collaborations internationales. Parmi elles, 15 établissements sont exclusivement dédiés aux sciences du sport.

Quid de la Tunisie? 

Notre pays n’est pas en reste. Trois universités tunisiennes figurent dans ce classement mondial. L’Université de Sfax, via l’Institut supérieur du sport et de l’éducation physique de Sfax (Issep Sfax), se distingue en se situant dans la tranche 51-100. L’Université de Jendouba, à travers l’Institut supérieur du sport et de l’éducation physique du Kef (Issep Kef), se positionne dans la catégorie 151-200, tandis que l’Université de La Manouba, grâce à l’Institut supérieur du sport et de l’éducation physique de Ksar-Saïd (Issep Ksar-Saïd), se classe dans la tranche 201-300.

Cette progression confirme l’amélioration constante de la recherche tunisienne en sciences du sport. Pour certains instituts, comme celui de La Manouba, il s’agit même d’un retour dans le top mondial après des années de présence stable dans la tranche 201-300. Les efforts en matière de publications académiques et de rayonnement international portent donc leurs fruits.

Le classement 2025 souligne ainsi la montée en puissance de la Tunisie sur la scène mondiale des sciences du sport, tout en mettant en lumière des leaders mondiaux encore largement dominés par l’Australie et l’Europe du Nord. Pour découvrir la liste complète, rendez-vous sur ShanghaiRanking.

 

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Quels sont les meilleurs pays africains où investir en 2026?

31. Dezember 2025 um 10:51

Le rapport Where to Invest in Africa 2025/26 de Rand Merchant Bank (RMB), élaboré en collaboration avec le Gordon Institute of Business Science, dresse un panorama complet de l’attractivité des pays africains pour les investisseurs étrangers et nationaux. Cette analyse couvre 31 économies qui représentent 90 % du PIB du continent, 83 % de sa population et 61 % de sa superficie — offrant une lecture robuste des fondamentaux structurels qui importent réellement pour les investisseurs à moyen et long terme.

Selon le rapport, les Seychelles et l’île Maurice restent en tête du classement, occupant respectivement les 1ᵉʳ et 2ᵉ places des destinations d’investissement du continent. Malgré leur petite taille, ces économies tirent profit d’une forte stabilité macroéconomique, d’une faible corruption et d’un développement humain élevé, trois atouts clés qui inspirent confiance aux investisseurs internationaux.

Derrière elles, les grandes économies africaines continuent de se démarquer :

  • Égypte se place 3ᵉ, grâce à un vaste marché domestique et des réformes structurelles attractives.
  • Afrique du Sud et Maroc occupent les 4ᵉ et 5ᵉ rangs, portés par des marchés sophistiqués et des infrastructures robustes.
  • Ghana, Algérie, Côte d’Ivoire, Tanzanie et Kenya complètent le top 10, chacun bénéficiant de dynamiques spécifiques comme la diversification économique ou l’essor industriel.

Comment ce classement est‑il construit ?

Le rapport ne se contente pas de classer les pays sur des impressions générales. Il s’appuie sur vingt indicateurs regroupés en quatre grands piliers, qui mesurent de façon systématique la capacité d’un pays à attirer et à conserver les investissements. Le premier pilier concerne la performance économique et le potentiel, en prenant en compte la croissance du PIB, le PIB par habitant, la taille du marché et la productivité. Le deuxième pilier porte sur l’accessibilité au marché et l’innovation, en évaluant la connectivité, l’urbanisation, la capacité d’innovation et l’adoption des nouvelles technologies. Le troisième pilier analyse la stabilité économique et le climat d’investissement, en examinant l’inflation, la stabilité monétaire, la gouvernance et l’environnement des affaires. Enfin, le quatrième pilier s’intéresse au développement social et humain, en prenant en considération le niveau d’éducation, les indicateurs de santé, les inégalités et la qualité de vie. Ces quatre dimensions permettent de dresser un classement robuste, basé sur des fondamentaux structurels plutôt que sur des perceptions ou des fluctuations temporaires.

Dans ce classement, la Tunisie se situe plutôt en milieu de tableau (généralement autour de la 12ᵉ position selon la plupart des estimations et données du rapport), reflétant une combinaison de points forts modestes et de problèmes structurels persistants.

 

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BCT: les réserves en devises atteignent 25 milliards de dinars à fin décembre 2025

31. Dezember 2025 um 09:56

Les avoirs nets en devises de la Tunisie se sont établis à 25,5 milliards de dinars au 29 décembre 2025, assurant une couverture de 108 jours d’importations, selon le dernier communiqué de la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Comparativement à la même période de 2024, les réserves enregistrent un léger repli. Elles s’élevaient alors à 25,8 milliards de dinars, couvrant 116 jours d’importations. En fait, le maintien des réserves intervient dans un contexte marqué par une dégradation du déficit commercial. Sur les onze premiers mois de 2025, celui-ci a atteint 20,168 milliards de dinars, contre 16,758 milliards un an auparavant. Cette aggravation résulte principalement de la hausse des importations, qui pèse directement sur les sorties de devises. Malgré cela, la situation des réserves a été partiellement soutenue par la bonne performance des recettes touristiques et des revenus du travail des Tunisiens à l’étranger, qui ont contribué à contenir le déficit courant. À fin novembre 2025, le déficit courant s’est établi à 4,188 milliards de dinars, soit 2,4% du PIB, contre 1,2% du PIB un an auparavant. Cette évolution montre que, même si les entrées de devises progressent, elles restent insuffisantes pour compenser totalement l’impact du commerce extérieur.

Autre élément mis en avant par la BCT: la résilience du dinar sur le marché des changes. La monnaie nationale s’est appréciée face au dollar américain, tandis qu’elle a connu un ajustement modéré face à l’euro. Cette stabilité relative contribue à limiter la pression sur les réserves en devises, notamment en réduisant le coût de certaines importations libellées en dollars.

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Sud tunisien: ces villages authentiques qui séduisent les touristes locaux et étrangers au Nouvel An

31. Dezember 2025 um 09:53

Les villages pittoresques de Matmata, Toujane et Tamezret, joyaux du Sud tunisien situés dans le gouvernorat de Gabès, connaissent actuellement une fréquentation touristique exceptionnelle. Et ce, à l’occasion des vacances scolaires et des festivités du Nouvel An.

Source: Wildyness

Les visiteurs tunisiens comme étrangers affluent en nombre pour découvrir ces destinations au riche patrimoine historique et culturel, et profiter de leur charme authentique. D’après l’agence TAP, Bechir Kediri, commissaire régional par intérim au tourisme, a précisé que les établissements hôteliers de la région enregistraient un taux d’occupation dépassant 90%, reflétant l’intérêt croissant des visiteurs pour le tourisme intérieur et la découverte culturelle dans le Sud tunisien.

Les 5 hôtels, 5 maisons d’hôtes, un gîte rural et deux restaurants touristiques de la zone accueillent en moyenne près de 1 200 visiteurs par jour, avec une forte proportion de groupes organisés. 

Pour garantir la sécurité et la qualité des prestations offertes aux touristes, une commission régionale mixte composée des équipes du tourisme, de la santé, de la protection civile et des forces de l’ordre effectue des inspections régulières dans les établissements.

Selon Kediri, les inspections n’ont révélé aucune irrégularité majeure, soulignant le sérieux des établissements et le respect des normes de sécurité. Tous les hôtels et maisons d’hôtes disposent des certificats nécessaires pour garantir un séjour sûr et confortable aux visiteurs. Les contrôles se poursuivront jusqu’à la fin de la semaine, dans le cadre d’un dispositif renforcé visant à assurer la tranquillité et la sécurité des touristes.

Gabès et ses environs attirent de plus en plus de visiteurs, séduits par leur authenticité et leur riche patrimoine culturel. Entre les paysages désertiques, les ksour traditionnels et les villages berbères, la région offre une expérience unique, alliant découverte, confort et sécurité pour les touristes.

Lire aussi : https://wildyness.com/news/matmata-travel-guide

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L’administration Trump rappelle 15 ambassadeurs en Afrique, dont celui en Algérie

31. Dezember 2025 um 09:33

L’administration du président américain Donald Trump procède à un véritable remaniement de son réseau diplomatique, rappelant environ 30 ambassadeurs et hauts diplomates nommés sous la présidence précédente, en particulier en Afrique, où 15 pays sont concernés, dont l’Algérie.

L’ambassadrice des États-Unis en Algérie, Elizabeth Moore Aubin, fait partie des diplomates dont le mandat prendra fin dès janvier 2026, selon des informations concordantes. Ces rappels touchent aussi des postes en Égypte, au Sénégal, au Niger, au Nigeria, au Gabon, et d’autres capitales du continent.

Ce mouvement d’ampleur mondiale, qualifié par certains observateurs de changement stratégique, s’inscrit dans la volonté affichée de l’administration Trump de renforcer l’alignement de ses représentants à l’étranger sur les priorités de sa politique dite “America first”.

 

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Prolongation de l’état d’urgence en Tunisie jusqu’au 30 janvier 2026

31. Dezember 2025 um 08:58

Le décret n°485 du 29 décembre 2025, publié au Journal officiel, prolonge l’état d’urgence sur tout le territoire tunisien du 1ᵉʳ au 30 janvier 2026.

En vigueur depuis le 24 novembre 2015 à la suite d’un attentat terroriste à Tunis, l’état d’urgence avait déjà été prorogé une dernière fois en janvier 2025 pour une durée de 12 mois.

 

Source: JORT

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Huile d’olive: le prix de référence relevé à 10,200 dinars le kilo

31. Dezember 2025 um 08:57

Le prix de référence de l’huile d’olive vierge extra a été revu à la hausse. Les autorités tunisiennes ont décidé de fixer ce prix à 10,200 dinars le kilogramme au niveau des huileries, afin de protéger la filière oléicole et, en particulier, les petits agriculteurs.

Cette décision a été annoncée dans un communiqué conjoint publié par le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche et le ministère du Commerce et du Développement des exportations, dans le cadre du suivi du déroulement de la campagne de récolte et de transformation des olives.

Selon les deux départements, cette révision du prix de référence concerne l’huile d’olive vierge extra (extra vierge) et vise principalement à encourager la qualité et à valoriser le produit national, dans un contexte marqué par la volatilité des prix sur les marchés.

Les ministères précisent que ce prix reste référentiel et mobile. Il ne s’agit donc pas d’un prix fixe. Il sera actualisé de manière hebdomadaire, ou chaque fois que l’évolution du marché l’exigera, afin de rester en phase avec l’offre, la demande et les conditions économiques du secteur.

À travers cette mesure, les autorités entendent préserver l’équilibre de la filière, qui regroupe plusieurs intervenants, des agriculteurs aux huileries, en passant par les exportateurs. L’objectif affiché est d’assurer le bon déroulement de la saison, tout en protégeant les revenus des producteurs, notamment les petits exploitants, souvent les plus exposés aux fluctuations des prix.

La Tunisie figure parmi les principaux producteurs et exportateurs mondiaux d’huile d’olive. La fixation et l’actualisation régulière d’un prix de référence constituent ainsi un outil de régulation destiné à sécuriser le marché et à renforcer la compétitivité du produit tunisien, aussi bien sur le marché local qu’à l’export.

Les deux ministères réaffirment enfin leur engagement à accompagner l’ensemble des étapes de la saison oléicole, afin d’en garantir la réussite et de protéger les droits de toutes les parties prenantes.

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La Banque centrale baisse son taux directeur à 7 % à partir du 7 janvier 2026

30. Dezember 2025 um 20:49

La Banque Centrale de Tunisie (BCT) a décidé d’assouplir sa politique monétaire. Réuni aujourd’hui le 30 décembre 2025, son Conseil d’administration a annoncé une baisse du taux directeur de 50 points de base, le ramenant de 7,5 % à 7 %, une mesure qui entrera en vigueur le 7 janvier 2026.

Cette décision s’inscrit dans un contexte marqué par un ralentissement de l’inflation et une croissance économique nationale en perte de vitesse.

Dans le sillage de cette décision, la BCT a également revu les taux des facilités à 24 heures.

Le taux de prêt est fixé à 8 %, tandis que le taux de dépôt est ramené à 6 %. L’objectif est de préserver la cohérence du corridor des taux et d’assurer une transmission fluide de l’orientation monétaire au marché financier.

Autre mesure notable : le taux minimum de rémunération de l’épargne est abaissé à 6%, contre 6,5 % auparavant.

Pourquoi la BCT assouplit sa politique monétaire

La décision repose sur une analyse approfondie de la conjoncture économique et financière, aussi bien internationale que nationale.

À l’échelle mondiale, l’économie a montré en 2025 une résilience relative, malgré un environnement instable marqué par les tensions géopolitiques et le durcissement de certaines politiques protectionnistes. Cette résilience a été soutenue par la baisse des prix internationaux des matières premières, notamment de l’énergie, et par un assouplissement des conditions financières internationales.

En Tunisie, la dynamique économique s’est affaiblie. La croissance a atteint 2,4 % au troisième trimestre 2025, contre 3,2 % le trimestre précédent.

Hors agriculture, la croissance est encore plus modérée, limitée à 1,5 %, pénalisée par la contreperformance de secteurs clés comme l’énergie, le textile, l’habillement et le cuir.

Sur le plan extérieur, le déficit commercial s’est aggravé pour atteindre 20,2 milliards de dinars sur les onze premiers mois de 2025, contre 16,8 milliards un an plus tôt, sous l’effet d’une hausse des importations.

Cependant, la bonne performance des recettes touristiques et des revenus du travail a permis de limiter le déficit courant à 2,4 % du PIB, contre 1,2 % à la même période de 2024.

Les réserves en devises se sont établies à 25,5 milliards de dinars, couvrant 108 jours d’importations à fin décembre 2025. Le dinar, de son côté, continue de faire preuve de résilience, avec une appréciation face au dollar et un ajustement modéré face à l’euro.

Une inflation en recul, mais sous surveillance

Le taux d’inflation s’est maintenu à 4,9 % en novembre 2025, confirmant la poursuite du processus de désinflation, même à un rythme lent.

Cette tendance est principalement liée au ralentissement de l’inflation des produits à prix administrés et à une légère détente des prix des produits alimentaires frais, dont l’inflation est revenue à 11,1 %.

En revanche, l’inflation sous-jacente continue d’augmenter progressivement, atteignant 4,7 %.

Sur l’ensemble de l’année 2025, l’inflation moyenne devrait s’établir à 5,4 %, contre 7 % en 2024.

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Tunisie: toute diffusion médiatique par un médecin nécessite une autorisation

30. Dezember 2025 um 16:28

Le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) de Tunisie a publié un communiqué visant à encadrer strictement la participation des médecins aux émissions médiatiques et la diffusion de contenus médicaux sur les réseaux sociaux. Cette décision fait suite à la diffusion d’une émission télé, dimanche soir, portant sur la profession de psychiatre, jugée par le CNOM comme présentant des aspects «voyeuristes» et contraires à l’éthique et à la déontologie médicale.

Dans son message, la présidente du CNOM, Rym Ghachem Attia, rappelle que «toute participation à des médias (TV, radio, presse) ou diffusion de contenus audiovisuels médicaux sur les réseaux sociaux doit obligatoirement faire l’objet d’une demande préalable d’autorisation auprès du Conseil régional de l’Ordre des médecins». Un espace dédié à ces demandes a été mis en place sur l’espace médecin en ligne, afin de centraliser et d’examiner les contenus avant leur diffusion.

Le processus prévoit que toute demande est soumise à examen et approbation préalable par le Conseil. En cas d’accord, le médecin doit impérativement mentionner le visa délivré par le Conseil régional lors de la diffusion du contenu. Le communiqué souligne que tout manquement à ces règles, que ce soit par absence d’autorisation ou omission de la mention du visa, expose le praticien à des sanctions disciplinaires.

Ces mesures ont pour objectif de «garantir la déontologie, la dignité de la profession et la confiance du public», précise la présidente du CNOM. 

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Facture électronique en Tunisie: qui est concerné, quelles sanctions et comment s’y préparer? Les explications de Kais Fekih

30. Dezember 2025 um 15:15

À partir du 1er janvier 2026, la facture électronique ne sera plus une option en Tunisie. Elle devient une obligation légale pour une large catégorie d’entreprises et de professionnels, notamment dans le secteur des services. Une réforme fiscale majeure, engagée depuis près d’une décennie, mais qui s’accélère brutalement à quelques heures de son entrée en vigueur. Pour comprendre les enjeux, les obligations concrètes et les difficultés de mise en œuvre, l’éclairage de Kais Fekih, expert-comptable, permet de remettre le cadre juridique et technique à plat.

La facturation électronique n’est pas une nouveauté en Tunisie. Elle a été instaurée par la loi dès 2016, dans une logique d’alignement sur les standards internationaux, notamment européens. «À l’époque, le dispositif reste timide», souligne Fekih, et d’ajouter: «Peu de visibilité, peu d’explications, et surtout aucune sanction réelle». Résultat: même les grandes entreprises, pourtant ciblées en priorité, n’adhèrent pas massivement.

Le véritable tournant intervient lorsque l’État impose la facture électronique aux prestataires privés travaillant avec les entreprises publiques. L’objectif est clair: assurer un meilleur suivi fiscal des transactions avec l’administration. C’est à ce moment-là que le système commence à prendre forme, avec la TTN (Tunisie TradeNet) désignée comme plateforme centrale de traitement et de transmission des factures électroniques.

Les sanctions changent la donne

Pendant longtemps, l’absence de sanctions a freiné l’adoption. La situation évolue lorsque des amendes financières sont introduites pour les grandes entreprises. En cas de non-émission de facture électronique, la sanction peut atteindre 500 dinars par facture. Mais ce que peu d’acteurs avaient anticipé, c’est l’extension du dispositif bien au-delà des grandes structures.

À compter du 1er janvier 2026, l’ensemble du secteur des services est soumis à l’obligation de facturation électronique. Le délai est extrêmement court, à peine quelques semaines, pour un secteur qui représente plus de 350 000 prestataires.

Sont concernés aussi bien les sociétés que les entreprises individuelles relevant du régime réel. La liste est large: comptables, avocats, médecins, ingénieurs, architectes, artisans, hôtels, agences de voyages, banques, assurances, transporteurs, informaticiens, consultants, designers. En clair, quasiment toute activité de services.

Une procédure lourde et très technique

Contrairement à une idée répandue, la facture électronique ne se résume pas à l’envoi d’un PDF par email. Il s’agit d’un système structuré, reposant sur plusieurs étapes obligatoires. La première consiste à obtenir une signature électronique auprès de la NCE (Agence nationale de certification électronique). Sans cette signature, aucune adhésion n’est possible. Une fois la signature obtenue, l’entreprise doit constituer un dossier complet auprès de la TTN, incluant formulaires, contrats et documents juridiques.

Des tests techniques sont ensuite imposés avant le passage en production réelle. Après l’adhésion à la TTN, une démarche supplémentaire est requise auprès de l’administration fiscale, via le dépôt d’une lettre d’information confirmant l’adhésion au système. Là encore, les délais sont incertains.

Selon l’expert, ni la NCE ni la TTN ne disposent aujourd’hui des ressources humaines et techniques suffisantes pour absorber un tel volume de demandes dans des délais aussi courts. Une estimation réaliste situe la durée complète du processus autour de six mois, bien au-delà du calendrier officiel.

Un système incomplet sans les clients

La facture électronique repose sur une chaîne complète. Une entreprise de services émet une facture, la transmet à la TTN, qui la transmet ensuite au client final. Mais si ce client n’est pas lui-même adhérent au système, le processus s’arrête.

Imposer l’obligation uniquement aux prestataires, sans intégrer progressivement leurs clients, crée un système partiellement fonctionnel, sans réelle finalité économique, hormis l’information rapide de l’administration fiscale.

Un modèle européen… encore en chantier

L’expérience européenne invite à la prudence. «En France, la facturation électronique est en préparation depuis quatre ans, avec des reports successifs», indique Kais Fekih. La mise en œuvre est désormais annoncée pour septembre 2026, sans garantie absolue.

Si une économie comme la France peine à finaliser le dispositif malgré des moyens importants, la question de la capacité de la Tunisie à réussir ce basculement en quelques semaines reste ouverte.

Cependant, malgré les critiques, la facture électronique présente des avantages concrets. En cas de contrôle fiscal, elle permet de sécuriser le chiffre d’affaires déclaré et de limiter les suspicions systématiques de dissimulation. Elle réduit également l’arbitraire des contrôles et apporte plus de traçabilité pour l’administration comme pour les entreprises.

Ce qu’il faut faire, dès maintenant

La recommandation centrale est claire: déposer au minimum une demande d’adhésion, même si le système n’est pas encore pleinement opérationnel. En parallèle, le développement de fournisseurs privés de solutions de facturation électronique devient essentiel.

 

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Afrique: les 5 pays à la plus forte pression fiscale, la Tunisie en tête!

30. Dezember 2025 um 12:32

Le récent rapport sur les statistiques des recettes publiques en Afrique 2025 révèle une tendance à la hausse de la mobilisation des ressources intérieures sur le continent. En 2023, le ratio moyen impôts/PIB en Afrique a atteint 16.1%, marquant une progression pour la troisième année consécutive. Cependant, derrière cette moyenne se cachent de fortes disparités nationales, allant de seulement 2.9% en Somalie à des sommets dépassant les 30%.

Voici les cinq pays africains qui affichent le taux de pression fiscale le plus élevé en 2023:

  1. Tunisie: 34.0%
  2. Seychelles: 29.1%
  3. Maroc: 28.5%
  4. Afrique du Sud: 26.5%
  5. Maurice: 23.1%

La Tunisie occupe la première place du podium avec un ratio de 34.0%, un niveau qui dépasse même la moyenne des pays de l’OCDE (33.9%). Le pays a connu une progression spectaculaire, enregistrant la plus forte hausse du continent entre 2013 et 2023 avec une augmentation de 5.7 points de pourcentage.

Selon le rapport, cette pression fiscale tunisienne repose sur trois piliers majeurs:

  • L’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP): il a contribué à hauteur de 3.3 points de la hausse sur dix ans.
  • La TVA: en progression de 1.7 point sur la même période.
  • Les cotisations de sécurité sociale: elles représentent plus de 20% du total des recettes fiscales tunisiennes.

Cette hausse s’explique en partie par une explosion de 147% de la masse salariale à la suite d’augmentations de salaires successives, boostant mécaniquement les recettes liées à l’IRPP et aux cotisations sociales.

Les Seychelles (29.1%) et le Maroc (28.5%) suivent de près la Tunisie. Aux Seychelles, la performance est notamment portée par le secteur du tourisme qui génère environ la moitié des recettes de TVA. Le Maroc, tout comme la Tunisie, se distingue par l’importance de ses cotisations de sécurité sociale dans sa structure fiscale.

L’Afrique du Sud (26.5%) maintient une pression fiscale élevée, s’appuyant fortement sur l’impôt sur le revenu et les bénéfices qui constituent plus de la moitié de ses recettes totales. Enfin, Maurice complète ce top 5 avec un ratio de 23.1%, affichant une efficacité notable dans la collecte de la TVA par rapport à ses voisins.

Malgré ces performances de pointe, le rapport souligne que 20 des 38 pays étudiés présentent encore un ratio inférieur à 15%. Ce seuil est pourtant considéré comme essentiel par les experts pour financer durablement les infrastructures, la santé et l’éducation, indispensables à la croissance inclusive du continent.

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Tout le monde est connecté? Pas vraiment: les disparités numériques en 2026

30. Dezember 2025 um 11:47

En 2025, 84% des adultes dans les pays en développement possèdent un téléphone mobile, selon le Global Findex. Mais un adulte sur quatre n’a qu’un téléphone basique, sans Internet ni applications. Donc, seulement deux tiers des adultes ont un smartphone capable de naviguer sur le web et d’utiliser des services numériques.

Source: Frontières officielles de la Banque mondiale, Base de données Global Findex 2025, Gallup World Poll, 2024.

Une grande différence selon les régions

La possession de smartphones est très différente selon les pays. Dans les pays développés, le smartphone est devenu essentiel pour la vie quotidienne, l’éducation, le travail et l’accès aux services en ligne. Dans certaines régions comme l’Afrique subsaharienne et l’Asie du Sud, beaucoup de gens n’ont pas de smartphone. Cela s’explique par les faibles revenus et des infrastructures insuffisantes.

Ces inégalités touchent surtout les femmes et les ménages à faibles revenus. Les téléphones basiques sont assez répandus, mais les smartphones restent hors de portée pour beaucoup. L’accès au smartphone dépend du niveau de développement, des revenus et du genre.

Le smartphone est un symbole de modernité et de connectivité, mais tout le monde n’y a pas accès. Réduire ces écarts est important pour permettre à tous d’utiliser Internet et de soutenir le développement des régions défavorisées.

Des usages numériques différents selon les régions

En 2024, les réseaux sociaux et l’envoi de messages numériques sont les usages les plus répandus, surtout en Asie de l’Est-Pacifique et en Europe-Asie centrale.

Source: Base de données Global Findex 2025.


La lecture d’actualités en ligne est aussi fréquente. L’accès aux services publics en ligne reste limité, mais il progresse. Pour l’éducation, seulement 20 à 30% des adultes utilisent Internet à cette fin. Pour le travail ou gagner de l’argent en ligne, les usages restent très faibles, surtout en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud. Même quand les smartphones sont disponibles, l’usage d’Internet dépend des connaissances, des infrastructures et du revenu.

Les obstacles à l’inclusion numérique

Le coût des smartphones reste le principal obstacle, surtout en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne. Même lorsque des appareils sont gratuits ou subventionnés, cela ne suffit pas toujours. Certains utilisateurs les revendent ou les laissent à d’autres membres de la famille. D’autres difficultés limitent l’accès aux services numériques, tels que le prix des forfaits de données, les problèmes de lecture, d’écriture ou d’utilisation des touches, la dépendance au téléphone d’une autre personne… D’autre part, l’accès à certains services nécessite souvent une pièce d’identité, par exemple pour acheter une carte SIM, ouvrir un compte d’argent mobile, ou même pour s’inscrire sur des plateformes de travail en ligne. Dans les pays où moins de 70% des adultes possèdent une pièce d’identité, l’enregistrement d’une carte SIM devient un obstacle majeur à l’inclusion numérique.

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Le Ghana et le Japon lancent un programme de formation en IA pour les jeunes

30. Dezember 2025 um 10:53

Selon la Banque mondiale, 230 millions d’emplois en Afrique subsaharienne nécessiteront des compétences numériques d’ici à 2030, soulignant l’importance stratégique de développer ces compétences pour soutenir la croissance et l’emploi sur le continent.

Dans ce contexte, la transformation numérique apparaît comme un levier majeur pour l’économie du Ghana. La GSMA estime que cette transition pourrait générer à peu près 2,9 milliards USD d’ici à 2027. Cependant, le pays est confronté à un chômage des jeunes élevé, avec un taux de 32% pour les 15‑24 ans en 2024, ce qui rend urgente la mise en place de programmes de formation adaptés aux besoins du marché du travail numérique.

Source: Ministry of Communication, Digital Technology and Innovations (MoCDTI)

 

Pour répondre à ces enjeux, le Ghana considère la formation en intelligence artificielle (IA) et en technologies numériques comme un outil clé pour réduire le chômage, accroître la productivité et renforcer sa position dans l’économie numérique mondiale. Dans cette optique, le gouvernement ghanéen prévoit un programme structuré de formation en IA et science des données, en partenariat avec le Japon, via l’Université de Tokyo et la JICA. Ce programme s’inscrit dans le cadre de l’initiative africaine du laboratoire Matsuo. Il vise à former 30 000 professionnels en IA sur 3 ans, avec des certifications orientées vers l’employabilité et les compétences pratiques. Par ailleurs, le recours à des partenariats internationaux montre que le Ghana reconnaît l’importance des standards mondiaux en matière de formation numérique et souhaite accélérer la montée en compétence locale grâce à l’expertise japonaise.

En effet, les formations seront dispensées en ligne et en anglais, ciblant les étudiants des universités publiques ainsi que certaines écoles secondaires sélectionnées. Les certifications obtenues sont conçues pour favoriser l’insertion professionnelle immédiate, tant dans l’écosystème numérique local qu’international. Parallèlement, des programmes complémentaires, comme One Million Coders, visent à former 1 million de jeunes Ghanéens en 4 ans, en collaboration avec des acteurs technologiques mondiaux tels que Google, Microsoft, TikTok ou AWS.

Ainsi, ce projet dépasse le simple cadre académique. Il ambitionne de créer un écosystème numérique complet, où formation, emploi et innovation se nourrissent mutuellement, renforçant à la fois la compétitivité économique et l’insertion professionnelle des jeunes Ghanéens.

 

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TotalEnergies fait vibrer la Tunisie au rythme de la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2025

30. Dezember 2025 um 10:40

Pour des millions d’Africains, le football dépasse le cadre du sport: il est une célébration collective et un langage universel qui unit les peuples et les cultures du continent.

Partenaire majeur du football africain depuis 2016, TotalEnergies réaffirme, à l’occasion de la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2025, son engagement durable en faveur de cette passion fédératrice et de ses millions de supporters, en Tunisie comme à l’échelle du continent, en plaçant l’inclusion, le partage et l’énergie du football au cœur de ses actions.

Bien plus qu’un événement sportif, la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations incarne un temps fort de rassemblement populaire, de passion partagée et de fierté collective. Elle fait vibrer les peuples africains autour d’un langage universel: le football.

TotalEnergies accompagne cette compétition emblématique avec une ambition claire: rapprocher le football de celles et ceux qui le font vivre au quotidien, en mettant les supporters, la jeunesse et l’inclusion au cœur de ses actions.

La Tunisie au cœur de la ferveur africaine

En Tunisie, où le football occupe une place centrale dans la vie sociale et culturelle, TotalEnergies Marketing Tunisie déploie un dispositif d’animations et d’activations destiné à prolonger l’expérience de la CAN bien au-delà des stades.

Les stations-service TotalEnergies Marketing Tunisie se transforment en espaces de convivialité et de partage, aux couleurs de la compétition, proposant jeux, animations et expériences immersives pour permettre aux fans de vivre pleinement l’événement, en famille ou entre amis.

À travers ces initiatives, TotalEnergies Marketing Tunisie entend ancrer la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2025 dans le quotidien des Tunisiens et créer des moments de célébration accessibles à tous.

«Football Together»: une énergie collective

À travers son partenariat historique avec la Confédération africaine de football et le programme panafricain «Football Together», TotalEnergies célèbre l’énergie, la convivialité et l’enthousiasme qui font vibrer le football africain. Cette initiative met en lumière les supporters, les jeunes talents et les histoires humaines qui incarnent la passion du continent pour ce sport fédérateur.

En Tunisie, les fans seront invités à vivre pleinement la compétition grâce à un écosystème digital dédié, relayé sur les réseaux sociaux Facebook, Instagram, TikTok, YouTube et X, qui promeut le partage, la ferveur et le rassemblement autour du football africain.

La dimension humaine est au cœur des activations «Football Together», notamment à travers l’implication de la jeunesse africaine au plus près des terrains, dans des rôles emblématiques tels que ramasseurs de balles, ainsi que par l’immersion des supporters dans l’ambiance des matchs grâce à des contenus exclusifs proposés par des influenceurs et ambassadeurs.

Tout au long de la compétition, les comptes Social Media «Football Together» mettront à l’honneur l’énergie des fans et l’intensité de la ferveur populaire à travers des contenus exclusifs et engageants.

Un engagement qui dépasse le cadre sportif

Fidèle à ses valeurs, TotalEnergies inscrit son partenariat avec la Confédération africaine de football dans une démarche responsable et inclusive. Soutien à la jeunesse, promotion de l’égalité des chances et attention portée à l’accessibilité: la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2025 illustre le rôle du sport comme levier de cohésion sociale et de transmission positive.

À l’occasion de la compétition, TotalEnergies déploie plusieurs initiatives en faveur de l’inclusion, en partenariat avec des associations œuvrant pour la scolarité et l’intégration d’enfants en situation de handicap. Cinq enfants en situation d’autisme seront ainsi invités, accompagnés d’un proche, à assister à un match des quarts de finale le 9 janvier à Rabat, tandis que des enfants présentant des troubles dyslexiques vivront la rencontre en tribunes le même jour à Tanger.

Par ailleurs, le 14 janvier, cinq enfants de l’association Anaïs, engagée pour l’inclusion des personnes porteuses de trisomie 21, participeront à la «Football Together Experience», une projection privée enrichie d’animations, pensée comme un moment de partage et de convivialité autour du football.

Présente en Tunisie depuis 1948, TotalEnergies Marketing Tunisie renforce ainsi son ancrage local et son lien avec les communautés, en conjuguant passion du sport et engagement sociétal.

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La BFT en liquidation: mise en vente des éléments du bureau de l’ex-président-directeur général

30. Dezember 2025 um 10:22

En vertu de l’ordonnance du 09/12/2025 du Juge Contrôleur de la BFT, Salah Feki, liquidateur de la BFT, envisage la mise en vente de l’ensemble des éléments composant le bureau de l’ex-président-directeur général de la BFT.

Toutes entités et personnes intéressées peuvent retirer le cahier des charges auprès du siège social de la BFT, sis à Cité Ennacim, rue Aboubaker Achahid, Mont Plaisir Le Belvédère -1002- Tunis, contre le paiement de la somme non récupérable de 50 dinars à verser au compte de la BFT (en liquidation) tenu à la STB Agence Avenue Kheireddine Pacha Tunis sous le Numéro 10 006 035 1881375 788 93. Les offres sont adressées conformément au cahier des charges par voie postale dans des enveloppes cachetées au nom de M. le Liquidateur de la BFT à l’adresse de la BFT ci-haut citée au plus tard le 30/01/2026.

Les visites se feront tous les jours ouvrables avec une prise de rendez-vous au préalable avec M. le Liquidateur. Tél: (98 440 598)

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Le Canada supprime le visa pour ce pays arabe

30. Dezember 2025 um 10:06

Les citoyens qataris n’ont plus besoin de visa pour se rendre au Canada. Et ce, depuis le 25 novembre 2025. Toutefois, ils doivent obtenir une AVE (Autorisation de voyage électronique) pour voyager par avion.

Les ressortissants du Qatar qui possèdent déjà un visa de résident temporaire valide peuvent continuer à l’utiliser pour voyager au Canada jusqu’à son expiration ou jusqu’à celle de leur passeport, selon la première échéance. Ceux qui n’ont pas de visa valide doivent faire une demande d’AVE pour voyager vers le Canada. Les voyageurs peuvent consulter le site canada.ca/AVE  pour vérifier leur admissibilité et connaître la procédure à suivre.

Cette mesure vise à faciliter les déplacements touristiques et professionnels, à renforcer les liens bilatéraux entre Ottawa et Doha, et à stimuler le tourisme et les échanges économiques, tout en maintenant une migration gérée et sécurisée.

«La levée des exigences en matière de visa est une étape importante dans nos relations avec le Qatar et permet aux voyageurs admissibles de découvrir plus facilement tout ce que le Canada a à offrir. Non seulement cela renforcera les possibilités d’affaires et d’investissement, mais cela apportera également des avantages économiques au pays et à l’étranger, tout en approfondissant les liens solides qui unissent nos deux pays», a déclaré Lena Metlege Diab, ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté.

En 2024, le commerce bilatéral entre le Canada et le Qatar s’élevait à environ 325 millions de dollars canadiens. La même année, près de 9 000 visiteurs qataris ont voyagé au Canada, soit une hausse de 11,5% par rapport à 2023.

Pour rappel, l’AVE est un document de voyage numérique pour la plupart des voyageurs dispensés de visa qui se rendent au Canada par voie aérienne. Elle permet aux agents de procéder à un contrôle rapide avant le départ. La majorité des demandes sont acceptées en quelques minutes et ne nécessitent qu’un passeport valide, une carte de crédit et une adresse e-mail.

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Attendre, encore attendre: le transport aérien tunisien pèse sur le tourisme

30. Dezember 2025 um 09:31

Retards extrêmes, annulations imprévisibles et rupture de continuité territoriale.

Le transport aérien tunisien traverse une zone de fortes turbulences. En l’espace de 48 heures, deux prises de parole majeures, celle de la présidence de la République et celle de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie, ont mis en lumière une crise qui dépasse le simple désagrément pour les voyageurs et commence à peser lourdement sur le tourisme et l’économie nationale.

Le cadre est posé le 29 décembre au palais de Carthage. Lors d’un entretien avec le ministre du Transport, le président de la République, Kaïs Saïed, a qualifié la situation du transport aérien d’«inacceptable», évoquant des retards pouvant atteindre jusqu’à cinq jours sur certaines liaisons internationales. Il a insisté sur le caractère intolérable de ces dysfonctionnements, que ce soit dans les aéroports tunisiens ou à l’étranger, appelant à une mise en cause directe des responsabilités. Selon le président de la République, garantir un transport aérien fiable relève d’un droit humain fondamental, au même titre que l’accès aux services publics essentiels.

Un jour plus tôt, le 28 décembre, la Fédération tunisienne de l’hôtellerie sonnait, de son côté, le signal d’alarme. Dans un communiqué au ton ferme, elle dénonce une crise «structurelle» du transport aérien intérieur, particulièrement sur les lignes reliant Tunis à Djerba et Tozeur. Les retards, parfois supérieurs à dix heures, et les annulations de dernière minute ne sont plus perçus comme des incidents ponctuels, mais comme un facteur de désorganisation durable. La FTH parle même d’un isolement forcé de certaines régions, avec des impacts directs sur les citoyens, mais aussi sur les professionnels du tourisme.

Sur le terrain, les conséquences sont concrètes. Le manque de fiabilité des liaisons aériennes perturbe les programmes des agences de voyages, fragilise les engagements contractuels avec les tour-opérateurs et affaiblit la promotion de niches stratégiques comme le tourisme saharien ou le tourisme insulaire. Les alternatives terrestres, longues et insuffisamment équipées, ne permettent pas de compenser ces défaillances, accentuant le sentiment de marginalisation des régions intérieures.

Ce double constat, politique et professionnel, converge vers une même urgence: réformer en profondeur le transport aérien tunisien. La présidence évoque une reconstruction globale des services publics, tandis que les acteurs du tourisme appellent à des décisions courageuses et immédiates. Au-delà de l’image du pays, c’est la compétitivité de la destination Tunisie qui est en jeu, dans un contexte international où la fiabilité des transports est devenue un critère décisif pour les voyageurs.

En clair, sans un ciel stable, difficile de faire décoller durablement le tourisme tunisien.

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