Samy Chaffaï s’est vu décerner le prestigieux titre de meilleur créateur de contenu dans la catégorie art lors des “Digital Creators Awards” à Doha, au Qatar. 

Cette distinction illustre son talent remarquable pour mettre en scène le monde artistique dans l’univers numérique, captivant un public de plus en plus large à travers la région MENA. 

Avec une passion sincère, Samy Chaffaï s’impose aujourd’hui comme l’une des figures incontournables de la scène digitale arabe. 

Ce prix est une reconnaissance méritée de son parcours et de sa contribution significative au secteur numérique, consolidant ainsi sa place parmi les créateurs de contenu de référence.

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La Fondation Abdelwaheb Ben Ayed a dévoilé les lauréats de laz quatrième édition du prix Abdelwaheb Ben Ayed de Littérature, mais aussi les oeuvres présélectionnées dans les différentes catégories.

Ce prix, créé en hommage à Abdelwaheb Ben Ayed, vise à valoriser la littérature tunisienne, à inciter à la lecture  et à encourager les talents littéraires de notre pays.

Cette année, vici les oeuvres qui ont été primées:

Le beau livre en arabe ou en français:

Lauréat : 20 000 DT
– Mohamed-Salah Bettaieb, Ibrahim Chabbouh, Ameur Oueslati, Viviane Bettaieb :La Tunisie et la mer. 2290 KM de côtes (2022).

Short List :
– Collectif (Mohamed Salah Bettaieb, Foued Allani, Naceur Baklouti, Ismahen Ben Barka, Viviane Bettaieb, Ibrahim Chabbouh, Ali Abid, Omar Jomni :Patrimoine & Terroirs – Saveurs & Savoirs (2023)
– Aïda Sellami Zahar & Samia Smaoui Turki :Dar & Borj. Mémoire de Sfax (2022)

Le recueil de poésie en arabe ou en français:

Lauréat : 20 000 DT
– AmamaZaier : Non… pour gâcher l’humeur générale  (2024)

Short List :
– Monia Ben Salah : Comme s’il le rencontrait ou moins (2024)

L’essai en langue arabe ou française:

Lauréat : 20 000 DT
– Sahraoui Gamaoun : La Palestine et les guerres de désinformation médiatique (2024).

Short List :
– Lamine Kallal :Houmani. Us et coutumes des Tunisois. 1945-1955 (2024)

Le roman ou le recueil de nouvelles en langue française:

Lauréat : 20 000 DT
– Saber Mansouri :Paris est une dette (Tunis, Éditions Elyzad, 2024).

Short List :
– Amel Bedoui : Sonate d’une âme perdue (Tunis, Ibn Arabi Éditions, 2024)
– Naïma Amine : Les Jacarandas de Lafayette (Tunis, Arabesques, 2023)

Le roman ou le recueil de nouvelles en langue arabe:

Lauréat : 20 000 DT
-AmiraGhenim : Terre ardente (2024)

Short List :
– Mehdi Othmane :  Ghilan (2023)
– Balkis Khalifa : Fenêtre sur le soleil  (2024)

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La Tunisie participe à la 43e édition de la Foire internationale du livre de Sharjah, aux Émirats arabes unis.

Cette foire, qui a commencé mercredi, se poursuivra jusqu’au 17 novembre.

Hier était l’occasion pour l’Académie de la langue arabe de présenter la version finale du Corpus historique de la langue arabe composé de 127 volumes, et ce, lors d’une conférence de presse tenue au siège de la Foire, Expo Centre Sharjah.

Des chercheurs tunisiens ont pris part aux travaux de recherches et de vérification continus ayant précédé le parachèvement de ce projet de dictionnaire réalisé sur une période de sept ans, de 2018 à 2024.

Par ailleurs, d’importants moyens, scientifiques et matériels, ont été mis à la disposition d’une équipe de linguistes et de spécialistes de l’histoire de la langue arabe issus des différents pays arabes ayant collaboré dans la réalisation de ce projet littéraire d’envergure.

Un site électronique dédié au Corpus historique de la langue arabe et ses 127 volumes sera ouvert aux universitaires, linguistes, chercheurs ainsi qu’aux passionnés de la langue arabe.

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La romancière tunisienne Amira Ghenim a remporté le prix de la littérature arabe 2024 pour son roman “Le désastre de la maison des notables”.

Ce prix, attribué par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe (IMA), met en valeur les contributions marquantes à la littérature arabe et donne une voix à des auteurs d’exception issus du monde arabe.

Depuis sa création en 2013, ce prix, doté de 10 000 €, est l’une des rares distinctions françaises dédiées à la littérature arabe, récompensant des œuvres d’écrivains membres de la Ligue arabe, écrites ou traduites en français.

En ce qui concerne Amira Ghenim, elle est une universitaire et écrivaine renommée née en 1978 à Sousse. Agrégée d’arabe et titulaire d’un doctorat en linguistique, elle enseigne à l’université de Sousse. 

Elle est l’auteure de plusieurs essais académiques et de trois romans, dont Le dossier jaune (2019), Terre ardente (2024) et Le désastre de la maison des notables. Ce dernier, finaliste de l’Arab Booker Prize et lauréat du Comar d’Or en Tunisie en 2021, est son premier ouvrage traduit en français.

Le jury de cette édition 2024, présidé par Pierre Leroy de la Fondation Jean-Luc Lagardère, rassemble des personnalités influentes, parmi lesquelles l’écrivain et peintre Mahi Binebine, le directeur de la Fondation Luma Mustapha Bouhayati, et l’auteure et journaliste Houda Ibrahim.

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