Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Gestern — 14. Mai 2025Haupt-Feeds

Tunisie : le déficit budgétaire attendu à 5,8 % du PIB en 2025, selon la Banque mondiale

14. Mai 2025 um 14:31

Le déficit budgétaire devrait diminuer légèrement à 5,8 % du PIB en 2025, contre 6,2 % en 2024, indique la Banque mondiale (BM) dans son  dernier Bulletin de mise à jour économique consacré à la Tunisie, intitulé « une meilleure connectivité pour la croissance ».

Selon la BM, la modération de la croissance des subventions, la baisse des dépenses d’investissement et la hausse des recettes fiscales, soutenues par quelques hausses de certains taux d’imposition, en particulier l’Impôt sur les sociétés, sont autant de facteurs favorisant cette baisse.

Si la situation macroéconomique devrait se stabiliser, les finances publiques et la position extérieure de la Tunisie resteront, cependant, vulnérables en l’absence de financements extérieurs suffisants et de progrès dans la modernisation de l’économie, alerte la banque.

S’agissant du déficit commercial courant, il devrait légèrement s’accroître à 1,8 % du PIB en 2025 avec un creusement du déficit commercial également dû à l’incertitude commerciale, en partie compensé par la croissance modérée du tourisme et la baisse attendue des prix du pétrole.

Pour ce qui est de l’emprunt extérieur, l’institution financière estime qu’il resterait une source importante de financement du compte courant ainsi que de remboursement de la dette.

Et d’ajouter que le financement des déficits pourrait nécessiter une augmentation du financement extérieur et des réformes face à l’important calendrier de remboursement de la dette à court terme.

Malgré la baisse du déficit, souligne la même source, les besoins de financement bruts devraient être stables en termes nominaux en 2025 (28 milliards de dinars tunisiens, soit 15,6 % du PIB) en raison de l’augmentation du remboursement de la dette.

Les deux tiers du financement devraient être des amortissements, dont près de la moitié externe.

Pour la BM, le financement du déficit restera difficile étant donné la stratégie de limitation de l’endettement extérieur et des contraintes au financement monétaire.

Il serait nécessaire, estime la banque, que les prêts souverains couvrent la plupart des besoins de financement extérieur si la Tunisie souhaite éviter la dépendance au financement monétaire du budget par le biais des réserves.

L’article Tunisie : le déficit budgétaire attendu à 5,8 % du PIB en 2025, selon la Banque mondiale est apparu en premier sur WMC.

Tunisie │ Des finances publiques toujours vulnérables

14. Mai 2025 um 12:02

Le déficit budgétaire de la Tunisie devrait diminuer légèrement à 5,8% du PIB en 2025, contre 6,2% en 2024, mais ses finances publiques et sa position extérieure resteront vulnérables, en l’absence de progrès dans la modernisation de l’économie.

C’est ce qu’indique la Banque mondiale (BM) dans son dernier Bulletin de mise à jour économique consacré à la Tunisie, intitulé «Une meilleure connectivité pour la croissance», ajoutant que la modération de la croissance des subventions, la baisse des dépenses d’investissement et la hausse des recettes fiscales, soutenues par quelques hausses de certains taux d’imposition, en particulier l’impôt sur les sociétés, sont autant de facteurs pouvant favoriser la légère baisse du déficit budgétaire.

Si la situation macroéconomique devrait se stabiliser, les finances publiques et la position extérieure de la Tunisie resteront, cependant, vulnérables en l’absence de financements extérieurs suffisants et de progrès dans la modernisation de l’économie, alerte la banque.

S’agissant du déficit commercial courant, il devrait légèrement s’accroître à 1,8% du PIB en 2025 avec un creusement du déficit commercial également dû à l’incertitude commerciale, en partie compensé par la croissance modérée du tourisme et la baisse attendue des prix du pétrole.

Pour ce qui est de l’emprunt extérieur, l’institution financière estime qu’il resterait une source importante de financement du compte courant ainsi que de remboursement de la dette. Et d’ajouter que le financement des déficits pourrait nécessiter une augmentation du financement extérieur et des réformes face à l’important calendrier de remboursement de la dette à court terme.

Malgré la baisse du déficit, souligne la même source, les besoins de financement bruts devraient être stables en termes nominaux en 2025 (28 milliards de dinars tunisiens, soit 15,6% du PIB) en raison de l’augmentation du remboursement de la dette.

Les deux tiers du financement devraient être des amortissements, dont près de la moitié externe.

Pour la BM, le financement du déficit restera difficile étant donné la stratégie de limitation de l’endettement extérieur et des contraintes au financement monétaire.

Il serait nécessaire, estime la banque, que les prêts souverains couvrent la plupart des besoins de financement extérieur si la Tunisie souhaite éviter la dépendance au financement monétaire du budget par le biais des réserves.

D’après Tap.

L’article Tunisie │ Des finances publiques toujours vulnérables est apparu en premier sur Kapitalis.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Le déficit commercial continue de se creuser

Von: La Presse
13. Mai 2025 um 12:13

Le déficit commercial aux prix courants s’est aggravé de 54%, passant de 4734,8 millions de dinars (MD), à fin avril 2024, à 7294,1 MD, à fin avril 2025. Ainsi, le taux de couverture s’est dégradé à 74%, contre 81,8%, une année auparavant, a annoncé, mardi, l’Institut National de la Statistique (INS).

D’après une note publiée par l’INS, cette aggravation est expliquée par la baisse des exportations de 2,4%, pour ne pas dépasser 20,7 milliards de dinars, contre une hausse importante des importations de 7,8%, atteignant plus de 28 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.La diminution des exportations résulte essentiellement, de la régression des exportations du secteur de l’énergie de 33% sous l’effet de la chute de nos ventes de produits raffinés (105,8 MD contre 621,2 MD), ainsi que celles des industries agro-alimentaires de 19,2%, en raison de la baisse de nos ventes de l’huile d’olive de 28% à 1758,6 MD.S’agissant de la hausse des importations, elle résulte surtout de l’accroissement des importations des biens d’équipement de 22,1% et des matières premières et demi-produits de 11,3%, ce qui laisse présager une amélioration future de l’investissement et de l’appareil productif. De même, les importations des  biens de consommation ont enregistré une évolution de 15,7%, contre la baisse des importations des produits énergétiques de 14,2%.Ainsi, le déficit provient principalement de l’énergie (un déficit de près de 3,7 milliards de dinars), des matières premières et demi-produits (environ 2,5 milliards de dinars), des biens d’équipement (1,1 milliard de dinars) et des biens de consommation (0,6 milliards de dinars).Il importe de souligner que le déficit de la balance commerciale hors énergie s’est réduit à 3,6 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

Aggravation du déficit commercial à 7,3 milliards de dinars, à fin avril 2025

Le déficit commercial aux prix courants s’est aggravé de 54 %, passant de 4 734,8 millions de dinars (MDT), à fin avril 2024, à 7 294,1 MDT, à fin avril 2025. Ainsi, le taux de couverture s’est dégradé à 74 %, contre 81,8 % une année auparavant. C’est ce qu’a annoncé, mardi 13 mai, l’Institut national de la statistique (INS).

D’après une note publiée par l’INS, cette aggravation de ce déficit commercial s’explique par la baisse des exportations de 2,4 %, pour ne pas dépasser 20,7 milliards de dinars. Et ce, contre une hausse importante des importations de 7,8 %, atteignant plus de 28 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

A  cet égard, la diminution des exportations résulte essentiellement de la régression des exportations dans deux secteurs. Tout d’abord, celle du secteur de l’énergie de 33 % sous l’effet de la chute de nos ventes de produits raffinés (105,8 MDT contre 621,2 MDT). Ainsi que celles des industries agro-alimentaires de 19,2 %, en raison de la baisse de nos ventes d’huile d’olive de 2 8 % à 1 758,6 MDT.

S’agissant de la hausse des importations, elle résulte surtout de l’accroissement des importations des biens d’équipement de 22,1 % et des matières premières et demi-produits de 11,3 %. Ce qui laisse présager une amélioration future de l’investissement et de l’appareil productif.

De même, les importations des  biens de consommation ont enregistré une évolution de 15,7 %; contre la baisse des importations des produits énergétiques de 14,2 %.

Ainsi, le déficit provient principalement de : l’énergie (un déficit de près de 3,7 milliards de dinars); matières premières et demi-produits (environ 2,5 milliards de dinars); biens d’équipement (1,1 milliard de dinars) et des biens de consommation (0,6 milliards de dinars).

Enfin, il est important de souligner que le déficit de la balance commerciale hors énergie s’est réduit à 3,6 milliards de dinars; et ce, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

L’article Aggravation du déficit commercial à 7,3 milliards de dinars, à fin avril 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie – Balance commerciale : chute des produits raffinés et de l’huile d’olive accentue le déséquilibre

13. Mai 2025 um 12:15

Le déficit commercial aux prix courants s’est aggravé de 54%, passant de 4734,8 millions de dinars (MD), à fin avril 2024, à 7294,1 MD, à fin avril 2025. Ainsi, le taux de couverture s’est dégradé à 74%, contre 81,8%, une année auparavant, a annoncé, mardi, l’Institut National de la Statistique (INS).

D’après une note publiée par l’INS, cette aggravation est expliquée par la baisse des exportations de 2,4%, pour ne pas dépasser 20,7 milliards de dinars, contre une hausse importante des importations de 7,8%, atteignant plus de 28 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

La diminution des exportations résulte essentiellement, de la régression des exportations du secteur de l’énergie de 33% sous l’effet de la chute de nos ventes de produits raffinés (105,8 MD contre 621,2 MD), ainsi que celles des industries agro-alimentaires de 19,2%, en raison de la baisse de nos ventes de l’huile d’olive de 28% à 1758,6 MD.

S’agissant de la hausse des importations, elle résulte surtout de l’accroissement des importations des biens d’équipement de 22,1% et des matières premières et demi-produits de 11,3%, ce qui laisse présager une amélioration future de l’investissement et de l’appareil productif.

De même, les importations des  biens de consommation ont enregistré une évolution de 15,7%, contre la baisse des importations des produits énergétiques de 14,2%.

Ainsi, le déficit provient principalement de l’énergie (un déficit de près de 3,7 milliards de dinars), des matières premières et demi-produits (environ 2,5 milliards de dinars), des biens d’équipement (1,1 milliard de dinars) et des biens de consommation (0,6 milliards de dinars).

Il importe de souligner que le déficit de la balance commerciale hors énergie s’est réduit à 3,6 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

L’article Tunisie – Balance commerciale : chute des produits raffinés et de l’huile d’olive accentue le déséquilibre est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : le déficit commercial grimpe à 7294 MD fin avril 2025, en hausse de 54 %

13. Mai 2025 um 12:11

Le déficit commercial aux prix courants s’est aggravé de 54%, passant de 4734,8 millions de dinars (MD), à fin avril 2024, à 7294,1 MD, à fin avril 2025. Ainsi, le taux de couverture s’est dégradé à 74%, contre 81,8%, une année auparavant, a annoncé, mardi, l’Institut National de la Statistique (INS).

L’article Tunisie : le déficit commercial grimpe à 7294 MD fin avril 2025, en hausse de 54 % est apparu en premier sur WMC.

❌
❌