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WMC LEMAG 242 : Un numéro lucide sur les déséquilibres de l’économie tunisienne

Von: hechmi
08. Oktober 2025 um 12:08
WMC LEMAG 242
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Le numéro 242 de WMC LeMag (18 septembre 2025) s’attaque à un thème brûlant : la spirale du déficit commercial tunisien. Sous le titre « La Tunisie face au vertige du déficit : lucidité ou renoncement ? », la rédaction décrypte une situation alarmante où l’économie nationale s’enfonce dans un déséquilibre structurel.

Selon les chiffres de l’INS, le déficit commercial dépasse déjà 11,9 milliards de dinars à mi-année, un niveau record qui menace la stabilité monétaire et l’emploi productif. Derrière ces statistiques, un constat s’impose : la machine exportatrice cale, les importations galopent, et la dépendance extérieure s’aggrave.

Une économie en tension, des leviers encore possibles

Les pages Éco-Finance détaillent les causes de cette dérive : recul des exportations d’huile d’olive (–17 %), chute des ventes de produits raffinés (–34 %) et ralentissement industriel. En parallèle, WMC LeMag met en lumière les signaux d’espoir : reprise du PIB (+3,2 %), investissements chinois dans le phosphate et l’énergie, et innovations locales dans la gestion de l’eau.

Un numéro dense et lucide, à lire pour comprendre les défis économiques, sociaux et géopolitiques qui façonnent la Tunisie de 2025.

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Comment se portent les échanges commerciaux de la Tunisie en 2025 ?

12. August 2025 um 18:49

Entre janvier et juillet 2025, la Tunisie a poursuivi ses échanges commerciaux avec le reste du monde. Si le volume des produits vendus à l’étranger est resté presque stable, les achats en provenance d’autres pays ont eux augmenté. Cette évolution a creusé le déficit commercial du pays, révélant des déséquilibres sectoriels et géographiques importants. Voici un point clair et simple sur la situation économique actuelle de la Tunisie en matière d’importations et d’exportations.

Les exportations stagnent, les importations augmentent

La Tunisie a vendu pour environ 37 milliards de dinars de produits à l’étranger, quasiment le même montant qu’en 2024. Par contre, elle a acheté plus de produits venant de l’étranger : presque 49 milliards de dinars, soit une hausse de presque 5 % par rapport à l’année précédente.

Cela veut dire que la Tunisie dépense plus qu’elle ne gagne avec ses échanges internationaux. Le déficit commercial, c’est-à-dire la différence entre ce qu’on achète et ce qu’on vend, s’est creusé pour atteindre environ 12 milliards de dinars.

Quels secteurs exportent plus ou moins ?

Certaines industries ont bien réussi : les mines et le secteur mécanique/électrique ont augmenté leurs ventes à l’étranger.

Mais d’autres secteurs ont moins vendu, comme l’énergie (à cause d’une baisse des produits raffinés), l’agroalimentaire (notamment l’huile d’olive) et le textile.

La Tunisie importe plus de machines, de matières premières et de biens de consommation. En revanche, elle achète moins de produits énergétiques et alimentaires.

Avec qui la Tunisie échange-t-elle le plus ?

L’Union européenne reste le principal partenaire commercial, avec plus des deux tiers des exportations. Les ventes augmentent vers l’Allemagne, la France et les Pays-Bas, mais diminuent vers l’Italie et l’Espagne.

Les échanges avec les pays arabes, comme la Libye, le Maroc, l’Algérie et l’Égypte, sont aussi en hausse.

Côté importations, la Tunisie achète plus à la France, à l’Allemagne, à la Chine et à la Turquie, mais moins à la Russie, à l’Inde, à la Grèce et à la Belgique.

D’où vient le déficit commercial ?

Le plus gros déficit vient du secteur de l’énergie (plus de 6 milliards de dinars). Les matières premières, les machines et les biens de consommation participent aussi à ce déséquilibre. En revanche, le secteur alimentaire est excédentaire, c’est-à-dire qu’il rapporte plus qu’il ne coûte.

En résumé, malgré une légère stabilité des ventes à l’étranger, la Tunisie fait face à un déficit commercial qui se creuse, en raison surtout de la hausse des achats de certains produits essentiels. Ce déséquilibre souligne l’importance de soutenir certains secteurs et de diversifier les marchés pour améliorer l’équilibre économique du pays dans les mois à venir.

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