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Heute — 11. August 2025Haupt-Feeds

Exposition “Visages et causettes” : portraits et confidences par Karim Wardani à Akouda

11. August 2025 um 18:06

L’exposition de l’artiste Karim Wardani “Visages et causettes” aura lieu du 13 au 20 aout 2025 à l’initiative de la Maison de la culture d’Akouda, dans le gouvernorat de Sousse.

Le vernissage est prévu le 13 Août à 19h à la galerie de la Maison de la culture, indiquent les organisateurs, ajoutant que Karim Wardani y expose des portraits de personnalités d’Akouda et d’ailleurs.

Au-delà de la ressemblance physique, le travail reflète une recherche approfondie dans les traits de la personnalité les moins visibles et qui se manifestent au peintre après des heures de causettes interminables avec les sujets.

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Gestern — 10. August 2025Haupt-Feeds

Cheb Mami, R. Kelly, Polanski… Jusqu’où pardonner les artistes condamnés ?

10. August 2025 um 15:43
L’artiste algérien Cheb Mami a mis le feu au Festival International de Hammamet (FIH) le 8 août 2025, avec un concert de raï électrisant. Le théâtre de plein air du centre culturel international, archicomble, a vibré toute la soirée sous l’énergie du roi de la scène algérienne.

Pendant une heure trente, l’artiste a enflammé le public sous les applaudissements d’une foule conquise. Le concert, une incontestable
réussite, a même laissé certains spectateurs sur leur faim : nombreux étaient ceux à souhaiter une performance plus longue, estimant que la
durée était insuffisante au regard de l’excellente ambiance. D’autant que c’était son premier passage sur une scène tunisienne depuis 2014.
Pourtant, derrière cette euphorie collective plane une question épineuse : peut-on, ou doit-on, dissocier l’artiste de ses erreurs judiciaires ?
Le 4 juillet, lors de la conférence de presse dédiée à l’annonce du programme du festival, Néjib El Ksouri, directeur du Festival International
de Hammamet, a défendu la participation de Cheb Mami, malgré les critiques d’une organisation féministe. Dans une déclaration exclusive à
Mosaïque FM, il a estimé que l’exclusion permanente de l’artiste n’était pas justifiée, arguant que le débat autour de sa condamnation pour
violences conjugales en 2009 n’avait plus lieu d’être. El Ksouri a rappelé que le festival choisit ses artistes en fonction de leur parcours musical, de leur valeur artistique et de la qualité de leur spectacle, précisant que la justice française, après l’avoir condamné à cinq ans de prison (dont il a purgé une partie), lui avait accordé le droit de reprendre sa carrière.
Le mouvement féministe tunisien Ena Zeda a condamné cette invitation, y voyant une banalisation des violences faites aux femmes, et a appelé au boycott du concert. L’ombre de l’affaire qui a marqué la carrière de Cheb Mami n’a jamais cessé de planer. En 2009, le chanteur avait été condamné en France à cinq ans de prison pour « violences volontaires » et « tentative d’avortement forcé » sur son ex-compagne, avant de bénéficier d’une libération anticipée en 2011. Cet épisode avait provoqué son retrait temporaire de la scène et divisé son public : si certains ont boycotté son retour, d’autres estiment qu’après avoir purgé sa peine, il mérite une seconde chance.
Le cas de Cheb Mami n’est pas isolé. De nombreuses célébrités ont vu leur carrière ébranlée par des condamnations pour violences contre les
femmes. Le chanteur R. Kelly, emprisonné à vie pour trafic sexuel, a été effacé des plateformes musicales et des mémoires. À l’inverse, des artistes comme Mike Tyson, reconnu coupable de viol dans les années 1990, ont retrouvé une forme de rédemption médiatique, transformant leur image grâce au cinéma ou à la télévision.
Le cinéma offre aussi des exemples ambivalents. Roman Polanski, condamné pour viol sur mineure en 1977 et toujours sous le coup de plusieurs accusations, continue de réaliser des films primés, défendu par une partie du milieu artistique au nom de la séparation entre l’homme et l’œuvre. À l’opposé, Johnny Depp, après un procès très médiatisé pour violences conjugales – où il a aussi été reconnu victime de diffamation –, a vu certaines de ses collaborations hollywoodiennes suspendues, malgré un retour en grâce auprès d’une partie du public.
Ces exemples soulèvent une question récurrente : la justice suffit-elle à « laver » une réputation, ou certaines fautes sont-elles indélébiles ? Entre boycott, réhabilitation et indifférence, la réponse varie selon les cultures, les époques… et le poids médiatique des artistes.
À Hammamet, Cheb Mami a chanté, souri et fait danser. Le public, lui, semblait avoir choisi : pour la grande majorité, c’est la musique qui
prime. Mais la polémique persiste. Faut-il boycotter un artiste condamné ayant purgé sa peine, au nom de la morale, ou accepter qu’un homme puisse se reconstruire après la justice ?
Nous ne prétendons pas apporter une réponse définitive ni nous ériger en donneurs de leçons. Le débat dépasse le cas de Cheb Mami et
interroge notre rapport à l’art, à la culpabilité et à la possibilité du pardon. En quittant la scène, le chanteur a remporté une bataille symbolique et artistique. Mais la guerre des consciences, elle, reste ouverte.

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« Tunis tout court » de retour après six ans d’absence

10. August 2025 um 12:26

Après six ans d’absence, le Festival national du court-métrage professionnel « Tunis Tout Court » revient pour sa 13ème édition. Cet évènement se tiendra du 3 au 5 octobre 2025 à la Maison de la culture Ibn Rachiq à Tunis.

Organisé par l’Association Tunisienne pour la Promotion de la Critique Cinématographique (ATPCC), représentant tunisien de la Fédération Internationale de la Presse Cinématographique (FIPRESCI), en partenariat avec le Centre National du Cinéma et de l’Image (CNCI) et la Maison de la Culture Ibn Rachiq, ce nouveau rendez-vous cinématographique célèbre cette année le 20ᵉ anniversaire du festival dédié au court-métrage tunisien professionnel.

« Tunis Tout Court » se veut une vitrine de la création cinématographique tunisienne contemporaine, particulièrement pour les œuvres courtes, qui jouent un rôle essentiel dans l’innovation cinématographique et la découverte de nouveaux talents. Il œuvre à offrir une reconnaissance critique fondamentale pour la visibilité des œuvres et de leurs auteurs.

Dans ce contexte, un appel à films est lancé. La date limite d’envoi des candidatures est fixée au 25 août 2025 à minuit. L’ATPCC mentionne que les films doivent être inscrits obligatoirement sur : https://forms.gle/Rh1pA8HxtxnNH6Py8

 

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FIH2025 : « Sinfonica », une odyssée musicale franco-cosmopolite à deux voix

10. August 2025 um 12:01

Le 9 août 2025, dans le cadre de la 59ᵉ édition du Festival international de Hammamet (FIH), les voix tunisienne de Zeineb Oueslati et française de Philippe Cavaillès se sont unies pour un hommage musical aux grandes icônes de la chanson française, sous la direction du maestro Jihed Jbara. Intitulé Sinfonica – Spécial tubes français, le spectacle a célébré Edith Piaf, Dalida, Charles Aznavour et Jacques Brel.

Zeineb Oueslati a ouvert Sinfonica avec des classiques d’Édith Piaf, avant d’interpréter des titres dynamiques de Dalida. Philippe Cavaillès, reconnu pour sa ressemblance vocale avec Aznavour, a enchaîné avec plusieurs de ses succès, clôturant cette partie par une prestation de La bohème et des chefs-d’œuvre de Jacques Brel. Le duo a conclu en chantant La bohème à la demande du public.

Lors de la conférence de presse, Jihed Jbara a souligné le travail minutieux nécessaire à la réorchestration des œuvres, tandis que Zeineb Oueslati a exprimé sa joie de participer à ce projet. Philippe Cavaillès a salué le cadre exceptionnel du Théâtre de plein air de Hammamet et l’expérience unique d’être accompagné par un orchestre complet, différente de ses précédentes prestations en France. Il a également évoqué son engagement personnel dans ce spectacle hommage à Aznavour, qu’il considère avec passion.

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Deux programmes au 50e Festival « El Karraka – Méditerranée » à la Goulette

08. August 2025 um 19:08

La 50ᵉ édition du Festival El Karraka – Méditerranée se tiendra du 15 au 31 août 2025, célébrant un demi-siècle de créations théâtrales et musicales à La Goulette et au Kram.

Organisée par l’Association du Festival, avec le soutien du ministère des Affaires culturelles, de l’Établissement national pour la promotion des festivals et manifestations culturelles et artistiques, ainsi que des municipalités concernées, cette manifestation est devenue un rendez-vous incontournable de l’été culturel tunisien.

Le programme officiel débutera le 15 août au Parc El Bratel (La Goulette) avec le spectacle festif Dima Nadhak Dima Zahi, avant de se poursuivre jusqu’au 31 août au Stade municipal du Kram. Entre concerts, pièces de théâtre, soirées soufies et spectacles pour enfants, la programmation mettra à l’honneur aussi bien des artistes tunisiens que des productions internationales.

Parallèlement, une programmation théâtrale se déroulera du 17 au 24 août à la Maison de la Culture du Kram Ouest, proposant pièces, animations de rue, hommages et ateliers pour enfants, illustrant la diversité et la richesse de la scène tunisienne.

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Un concert du groupe suédois Haezz annulé, Tunisair pointée du doigt

08. August 2025 um 17:53

Le Festival International de Sousse a annoncé, vendredi 8 aout, sur sa page officielle l’annulation d’un concert du groupe autrichien Haezz pointant du doigt l’annulation d’un vol causée par des « Perturbations dans le transport aérien».

L’ambassade d’Autriche à Tunis a pointé la compagnie aérienne Tunisair du doigt : « En raison de l’annulation sans remplacement du vol Tunisair, le concert de Haezz d’aujourd’hui est malheureusement annulé. ».

Le concert était prévu pour le vendredi 8 aout dans le cadre de la 66ème édition du Festival international de Sousse.

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Tilal Utique : créativité en mouvement, entre art et nature

08. August 2025 um 15:06

Situé entre Tunis et Bizerte, dans le nord tunisien, Tilal Utique est un lieu hybride pensé pour encourager l’exploration artistique et les échanges culturels au cœur d’une expérience humaine profonde.

Ce projet philanthropique, porté par la Fondation Kamel Lazaar (KLF) en partenariat avec le Community Arts Lab (CAL) de la Fondation Porticus (Pays-Bas), propose une résidence artistique en deux temps (juillet et août 2025). Il offre aux artistes venus de divers horizons un espace privilégié pour réfléchir, expérimenter et dialoguer avec les communautés locales à travers ateliers, expositions et échanges.

Tilal Utique se veut un carrefour où la créativité prend forme, chaque résidence laissant une empreinte durable. Il aspire à devenir un véritable pont artistique entre continents, disciplines et regards, soutenu par un réseau d’alumni en pleine croissance et des collaborations durables.

Pour cette édition, la thématique « Arts, récits et nature » invite à un dialogue direct entre création artistique et environnement écologique. Elle explore les interactions entre pratiques artistiques et écosystèmes, offre un regard sensible sur le paysage et favorise des approches interdisciplinaires.

Du 10 au 31 juillet 2025, une première session a réuni une dizaine d’artistes tunisiens, algériens et marocains — visuels, écrivains, poètes, compositeurs, interprètes et artistes de scène — sélectionnés suite à un appel à candidatures. Ces trois semaines ont été dédiées à la recherche et à l’exploration créative dans un cadre inspirant, propice au développement artistique et aux échanges culturels.

La seconde session, prévue du 14 août au 4 septembre 2025, poursuivra cette aventure artistique au sein de ce lieu unique, situé à l’extrême nord-ouest de l’Afrique. Le site a été conçu par l’architecte germano-burkinabé Diébédo Francis Kéré, premier Africain à recevoir le prix Pritzker d’architecture en 2022 et lauréat du Prix Aga Khan en 2004, reconnu pour son engagement en faveur d’une architecture durable et centrée sur la communauté locale.

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Tilal Utique : un nouveau carrefour artistique entre nature, récits et création en Tunisie

08. August 2025 um 14:10

Situé entre Tunis et Bizerte (nord tunisien), “Tilal Utique” se présente comme un lieu hybride pensé pour encourager l’exploration artistique et les échanges culturels dans une profonde expérience humaine.

Ce projet philanthropique, lancé par la Fondation Kamel Lazaar (KLF) en partenariat avec le Community Arts Lab (CAL) de la Fondation Porticus (Pays Bas), propose une résidence artistique en deux temps (juillet et août 2025). Il offre aux artistes venant de différentes contrées, un espace privilégié pour réfléchir, expérimenter et interagir avec les communautés locales à travers des ateliers, des expositions et des échanges.

Se voulant un lieu où la créativité se façonne et où chaque résidence laisse un impact durable, Tilal Utique aspire à devenir un véritable carrefour artistique entre continents, disciplines et regards, soutenu par un réseau d’alumni en pleine croissance et des collaborations pérennes.

La thématique retenue pour cette édition, “Arts, récits et nature”, place la création artistique en dialogue direct avec l’environnement écologique. Elle interroge les interactions entre pratiques artistiques et écosystèmes, porte un regard sensible sur le paysage et explore des approches interdisciplinaires de l’expression artistique.

Du 10 au 31 juillet 2025, Tilal Utique a accueilli des artistes tunisiens, algériens et marocains, sélectionnés à l’issue d’un appel à candidatures, dans le cadre de son programme de résidence multidisciplinaire. Une dizaine d’artistes visuels, d’écrivains, de poètes, de compositeurs, d’ interprètes et d’artistes de scène se sont réunis pour une première session de trois semaines consacrée à la recherche et à l’exploration créative. Cette expérience a offert un cadre propice au développement des pratiques artistiques, à l’échange culturel et à la réalisation d’œuvres dans un environnement inspirant.

Une seconde session est prévue du 14 août au 4 septembre 2025 pour poursuivre l’aventure qui met la créativité en mouvement, au fil de l’art et des récits en écho avec la nature dans ce cadre à la pointe nord-ouest de l’Afrique, conçu par l’architecte germano-burkinabé de renommée internationale Diébédo Francis Kéré, premier Africain à recevoir, en 2022, le prix Pritzker d’architecture et, en 2004, le Prix Aga Khan pour ses efforts pour promouvoir une architecture durable, axée sur la communauté locale.

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FIH 2025 : “Arboune”, une danse-théâtre poignante signée Imed Jemaa

07. August 2025 um 17:30

Présenté dans la soirée du mercredi 6 août dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Hammamet (FIH2025), le spectacle chorégraphique de danse-théâtre “Acompte” (titre arabe Arboune), unique création chorégraphique de cette édition, s’est imposé comme une expérience artistique dépassant le simple cadre esthétique pour sonder les douleurs enfouies d’un artiste tunisien, à l’image de toute une société. Une oeuvre prenant la forme d’un cri silencieux, dont le poids est porté par le langage corporel.

Le titre, emprunté au lexique populaire tunisien, désigne une avance financière versée en gage d’un engagement. Mais dans cette création, “Arboune” devient une métaphore poignante : le tribut que paie l’artiste, et au-delà toute une société, pour continuer de survivre et de tenir debout dans un environnement instable où les repères se brouillent, voire se perdent.

Durant près d’une heure, la pièce se déploie dans l’espace d’une chambre modeste aux meubles usés, évoquant une société épuisée. A travers cette scénographie, Imed Jemaa interroge la condition de l’artiste tunisien, dépossédé de ses droits fondamentaux, en proie au doute, contraint de défendre coûte que coûte un rôle social devenu presque illusoire, dans une création où le langage du corps, minutieusement travaillé, révèle une gestuelle resserrée, souvent repliée, traduisant enfermement, impuissance et épuisement.

Mais “Arboune” est aussi une reconnaissance de fidélité à la mémoire d’un art marginalisé, et à toute une génération d’artistes qui croient encore à la portée du geste, à la noblesse d’un art résistant, un clin d’œil de protestation contre une réalité qui broie les vocations et étouffe les espérances.

Sur un plan plus personnel, ce spectacle constitue également un hommage symbolique au père d’Imed Jemaa qui était musicien tout en évoquant l’atmosphère de la pandémie de Covid-19, une étape charnière qui a profondément remodelé la conscience de l’artiste, sa mémoire et ses liens avec son environnement créatif et social.

Entouré de huit danseurs et danseuses -Rania Jdidi, Ameni Chatti, Chokri Jemaa, Ahmed Grindi, Abdelkader Drihli, Omar Abbes, Kais Boulares, Souhaiel Ben Saad et Imed Jemaa-, fort de plus de quarante ans d’expérience, signe une œuvre intense et profondément humaine, malgré les contraintes matérielles, portée par un groupe à l’énergie partagée et renforcée par la présence scénique du chorégraphe lui-même, dont l’engagement physique et émotionnel confère à l’ensemble une densité singulière.

Après la représentation, l’artiste s’est livré à cœur ouvert lors de la conférence de presse, évoquant les difficultés rencontrées pour mener à bien ce projet, fruit d’un travail de plus d’un an et demi. Il a souligné que ce spectacle est né dans un contexte personnel et professionnel difficile, exprimant sa déception face à la réalité artistique en Tunisie, notant que la danse professionnelle est quasiment inexistante et que le nombre de danseurs professionnels diminue jour après jour. Il a également critiqué l’absence de formation sérieuse et la dévalorisation du travail chorégraphique au profit de shows de divertissement.

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Danse et résilience : le spectacle « Arboune » questionne le statut de l’artiste

07. August 2025 um 12:45

La 59e édition du Festival International de Hammamet (FIH) a accueilli, ce mercredi, la représentation « Arboune », une œuvre de danse contemporaine signée Imed Jemâa. D’une durée d’une heure, cette création aborde la vulnérabilité des artistes pendant et après la pandémie de Covid-19, à travers une narration corporelle puissante et des scènes de vie reconstituées.

Interprétée par neuf jeunes danseurs, la pièce explore les difficultés rencontrées par les artistes face au manque de protection sociale et à l’incertitude financière. Le spectacle s’ouvre sur un décor évocateur : un espace partagé, meublé d’un divan, d’une table, de chaises anciennes et d’un rideau rouge, symbolisant le quotidien précaire d’une famille en lutte.

La chorégraphie, portée par des mouvements expressifs et des tableaux visuels intenses, met en scène des situations marquées par l’entraide et la résilience. Les interprètes – Rania Jdidi, Ameni Chatti, Chokri Jemaa, Abdelkader Drihli, Omar Abbes, Kais Boulares, Imed Jemaa et Houssem Eddine Achouri – y expriment tour à tour la fragilité et la persévérance du milieu artistique. La scénographie, conçue par Souad Ostarcevic, renforce cette immersion.

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Cindy Bearce-Maffini expose « Tunisie Vietnam » à la Galerie Alain Nadaud à Gammarth

Von: walid
06. August 2025 um 12:04

La Galerie Alain Nadaud à Gammarth abrite du 7 au 25 aout 2025 l’exposition d’œuvres choisies de l’artiste franco-américaine Cindy Bearce-Maffini baptisée « Tunisie Vietnam ».

Passionnée de voyages, Bearce-Maffini a choisi, pour ce rendez-vous, des pastels pour mémoriser des œuvres réalisées lors de ses séjours au Vietnam et d’autres inspirées par la Tunisie.

Pour cette artiste qui baigne dans le figuratif, la lumière et la couleur sont primordiales et l’union entre ces deux vecteurs fascinent. Ce duo exprime pour chaque destination un ressenti et un contraste unique pour traduire en pastels poudreux et doux, un voyage puisé dans le réel et l’émotion, capturé en couleurs chaudes et choisies.

Cindy Bearce-Maffini expose depuis les années 70 aussi bien des pastels, des dessins que des huiles. Elle a auparavant exposé aux Etats-Unis et en France ou elle est installée depuis 2002.

Elle partage actuellement son temps entre le Sud de la France et la Tunisie et a choisi ce dernier pour dévoiler ses plus récentes œuvres, à l’instar de nombreux artistes fascinés par la Tunisie, dont Paul Klee, August Macke et Paul Moilliet.

Ayant étudié auprès de l’artiste figuratif américain Mel Leipzig et plus tard avec Nan Benedict et George McNeill à l’Institut Pratt à Brooklyn (New York), Bearce-Maffini puise, notamment, son inspiration d’Edward Hopper, de Neil Welliver et de David Hockney.

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SINOUJ, ou l’art de réinventer la musique tunisienne sans la trahir

05. August 2025 um 17:00

 Faut-il moderniser la musique tunisienne pour la faire voyager, ou préserver son âme contre vents et marées ?

La scène de l’amphithéâtre de Hammamet, ce 21 juillet 2025, pourrait bien avoir apporté une réponse à cette épineuse question. Sous une nuit étoilée, Benjemy et son projet SINOUJ – Odyssey ont offert une performance qui défie les catégories. Entre tradition et modernité, entre racines et envolées, le spectacle a prouvé qu’il était possible de faire résonner la Tunisie dans une langue universelle, sans pour autant en diluer l’authenticité.

Dès les premières notes, l’audace du projet saute aux oreilles. Un orchestre classique dialogue avec des beats électroniques, tandis que les voix de sept artistes tunisiens – Haythem Hadhiri, Boutheina Nabouli, Mohamed Saïd, et d’autres – tissent une toile sonore où le mezwed et les chants soufis se mêlent à des harmonies symphoniques. Le résultat ? Une transe contemporaine, à la fois enracinée et résolument tournée vers l’ailleurs.

« La musique tunisienne n’est pas un musée », explique Benjemy, maître d’œuvre de cette odyssée. « Elle vit, elle respire, et elle peut épouser d’autres langages sans se renier. » Depuis quatre ans, SINOUJ ne cesse d’évoluer, comme une métaphore de cette quête d’équilibre entre patrimoine et innovation.

Dans les coulisses, les artistes partagent cette vision. « Ce projet a changé ma façon d’envisager la musique », confie Mohamed Saïd. « Ce n’est pas juste un spectacle, c’est une manière de porter notre culture plus loin. » Rania Bounaoues, dont la voix a envoûté le public, abonde : « SINOUJ me ressemble – à la fois familier et inattendu. »

Le public, lui, a visiblement adopté cette alchimie. Une fois encore, l’affiche affichait complet, preuve que la rencontre entre tradition et modernité n’a rien d’un artifice, mais bien d’une évidence.

Alors, faut-il occidentalisé la musique tunisienne pour la rendre universelle ? La réponse de Benjemy est claire : non. Il suffit de la réinventer, avec audace et respect. Ce soir-là, à Hammamet, la Tunisie n’a pas eu besoin de se faire petite pour être entendue. Elle a juste eu besoin d’artistes pour la faire résonner autrement.

 

 

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Chantal Goya enchante le théâtre romain de Carthage

04. August 2025 um 21:19

Chantal Goya, l’icône intemporelle de l’enfance a fait son grand retour  le 3 août 2025 sur la scène du prestigieux Festival international de Carthage. Si les plus jeunes générations sont aujourd’hui davantage attirées par la culture anglophone, avec ses super-héros comme Spider-Man ou des jeux vidéo, les chansons de Chantal Goya restent un trésor nostalgique pour les parents, témoins d’une époque où son univers enchanté captivait les enfants.

Parmi ses titres les plus emblématiques, « Bécassine » continue de faire vibrer les cœurs avec la même tendresse.

À l’issue de son spectacle, nous avons eu la chance de rencontrer Chantal Goya, qui a partagé avec émotion son attachement particulier à la Tunisie : «  J’aime beaucoup ce pays, d’abord parce qu’il est tout proche de la France. J’ai souvent eu le bonheur de venir avec ma famille, notamment à Djerba, et maintenant c’est à Tunis, dans ce magnifique festival, que j’ai été invitée. Je n’ai pas hésité une seconde, c’était un vrai plaisir de revenir. « 

Interrogée sur la relation qu’elle entretient avec les enfants d’aujourd’hui, souvent plongés dans des univers très différents des siens, elle confie avec une belle simplicité : « Pour moi, les enfants restent toujours les enfants. Ce sont les parents qui transmettent mes chansons. Ainsi, les petits découvrent à la fois la nostalgie de leurs parents et mon univers, celui de Marie-Rose. Ils ne confondent pas les dessins animés, les jeux vidéo et ce que je leur propose. « 

En outre, elle poursuit sur ce lien si particulier qui l’unit à son jeune public : » Ils savent que je suis présente, ils me le disent même sur Facebook, mais ils rêvent encore avec mes chansons. Ce qui compte, c’est que l’amour pour une artiste vienne du cœur de l’enfant. J’ai gardé la même énergie qu’eux, nous vibrons ensemble. C’est quelque chose d’inexplicable et très naturel. « 

Chantal Goya: C’est un vrai bonheur de chanter pour les enfants, c’est ma vie

Toujours passionnée, Chantal Goya affirme qu’elle ne s’arrêtera jamais : «  C’est un vrai bonheur de chanter pour les enfants, c’est ma vie. Je n’ai jamais changé. Tant que je pourrai, je continuerai à créer des chansons et des spectacles pour eux. « 

Par ailleurs, présente au festival, Amina Srarfi, ministre des Affaires culturelles, a souligné à quel point cet échange intergénérationnel est enrichissant : « Chantal Goya apporte une musicalité et des textes touchants qui parlent aux enfants. Ses personnages sont familiers et les parents comme les plus petits ont applaudi avec un immense bonheur. C’était vraiment magnifique. « 

Ainsi, la magie de Chantal Goya continue de traverser les époques, unissant les générations autour de chansons et d’émotions qui ne vieillissent jamais.

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Théâtre : inscrivez-vous à la 12e promotion de l’École de l’Acteur du Théâtre National

Von: walid
04. August 2025 um 12:46

Le Théâtre National Tunisien (TNT) vient d’annoncer l’ouverture d’un appel à candidatures pour la 12ème promotion de l’Ecole Pratique des Métiers du Théâtre optant pour la spécialité «Art du comédien ».

Le diplôme délivré en fin de parcours est le Brevet de Technicien Supérieur des métiers du Théâtre (BTS), spécialité « l’Ecole de l’Acteur », permettra aux lauréats l’obtention d’une carte professionnelle.

Les apprenants ayant validé deux années de formation peuvent postuler à un contrat de préprofessionnalisation dans le cadre du « Jeune Théâtre National » en vue de participer à la création et à la diffusion d’une production théâtrale.

Comme critères d’admission, le TNT requiert la passion pour le théâtre, la pratique du théâtre dans un cadre professionnel ou amateur, l’obtention du baccalauréat ou son équivalent (ou plus).

Les candidats doivent être âgés de moins de 32 ans mais l’Ecole peut accepter des candidats ayant dépassé la limite d’âge mentionnée, en tant qu’auditeurs libres s’ils remplissent le reste des critères requis.

Outre le talent, une motivation réelle, une intelligence vive, une habilité d’ordre pratique, un sens du travail en groupe et un sens artistique affirmé, le candidat doit faire valoir d’un bon niveau d’instruction, avoir une bonne santé physique, d’un équilibre psychologique, tout en étant capable de travailler en s’imposant une auto-discipline.

L’école procède à des auditions d’admission et organise un stage pratique de deux semaines pour la sélection finale des candidats. Les épreuves de sélection comprennent une audition, des épreuves pratiques et un stage de sélection finale.

Le stage pratique de sélection finale, quant-à-lui, dure deux semaines. Il servira à évaluer les aptitudes et les capacités des postulants (corps, voix, espace, interprétation…..).

Les candidats doivent préparer un dossier de candidature comprenant une demande écrite au nom du Directeur Général du TNT, et notamment remplir le formulaire de candidature en ligne sachant que les frais d’inscription annuels sont de 100 TND pour les apprenants tunisiens et 1000 TND de frais pour les non-tunisiens.

Les candidats tunisiens sélectionnés peuvent bénéficier de l’octroi d’une bourse d’études après la présentation d’un dossier justifiant leurs situations sociales.

Le dépôt de candidatures peut se faire au Palais du Théâtre 1006 Tunis, ou en ligne contact@theatrenational.tn ou par courrier recommandé. Le dernier délai de dépôt des candidatures est le 1er septembre 2025.

Le cursus de formation s’étale sur 2 ans, soit 4 semestres d’octobre 2025 à fin juillet 2027 à raison de 37 heures par semaine.

Pour rappel, l’Ecole pratique des métiers du Théâtre « L’Ecole de l’acteur » dispense une formation dirigée par des enseignants spécialisés et des formateurs de renommée, et comprenant des cours théoriques, des ateliers pratiques, des stages, des workshops, des MasterClass et des projets artistiques individuels et collectifs.

L’Ecole procède à une évaluation des aptitudes des apprenants à chaque semestre avec contrôle continu qui est associé aux examens semestriels.

Fondé en 1983, Le Théâtre National Tunisien a deux espaces à savoir : « Le palais du théâtre » dans le quartier de Halfaouine, à la Médina de Tunis et « Le 4ème Art », avenue de Paris au centre ville de Tunis.

Cet établissement public a pour mission le développement du théâtre tunisien à travers la formation, la production et la distribution. Il bénéficie d’une autonomie financière sous la tutelle du ministère des affaires culturelles.

Le Palais du Théâtre, pour sa part, est le siège social du Théâtre National Tunisien. Il s’agit de l’ancien Palais de Mustapha Khaznadar, ministre des finances et grand vizir du Bey au 19ème siècle. Ce monument est situé place Halfaouine, quartier de la médina de Tunis qui était un véritable théâtre des arts populaires au début du 20e siècle.

En plus de l’administration du Théâtre National Tunisien, le Palais du Théâtre possède plusieurs salles de répétition dont la grande salle construite dans le jardin du palais en 1994 qui peut accueillir représentations de théâtre, danse ou cirque… On y trouve également une bibliothèque du théâtre et des arts vivants ainsi qu’un atelier de couture, un atelier de menuiserie et un atelier de ferronnerie pour la création de costumes, décors et accessoires. C’est un lieu dédié à la création, où sont produits les spectacles du Théâtre National Tunisien, à la formation également et à la recherche sur le développement du théâtre.

Fadhel Jaïbi, alors directeur général du Théâtre National Tunisien crée l’École de l’Acteur en 2014 qui offre un enseignement professionnel approfondi sous forme d’ateliers pratiques et de séminaires théoriques. Elle confronte les élèves-acteurs à la réalité du théâtre afin de les préparer à acquérir les rudiments du métier avant de se lancer dans la profession. Le but étant de contribuer à l’évolution qualitative du théâtre tunisien et à le rendre plus présent au sein du marché international.

Fadhel Jaïbi fonde également une troupe permanente, le Jeune Théâtre National, qui intègre des jeunes comédiens admis au bout de leur formation à l’École de l’Acteur. Cette troupe doit créer et diffuser des productions du Théâtre National Tunisien sur une durée d’une année renouvelable sous la direction de metteurs en scène de renommée. Au bout de cette période, les pensionnaires auront acquis le métier nécessaire à leurs parcours d’artiste.

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FIH 2025 : le CCIH met le cinéma tunisien à l’honneur avec “Regards Cinématographiques”

Von: walid
04. August 2025 um 12:39

Le Centre Culturel International de Hammamet (CCIH) organise les 5 et 6 aout prochains deux projections en plein air de courts et long métrages tunisiens suivies de débats au menu des « Regards Cinématographiques Jardin des Arts », une édition placée sous le signe du partage et de la réflexion.

Ce rendez-vous avec le cinéma tunisien illustre la volonté du CCIH de renforcer le dialogue entre les cinéastes et le public, en présentant un bouquet choisi et audacieux de films qui mettent en lumière un cinéma qui interroge, bouleverse et raconte une Tunisie en pleine transformation.

L’ouverture de cette édition, le mardi 5 aout, sera marquée par la projection de 3 courts à savoir “Le Sentier de Aïcha” de Selma Hobbi (26 mn), “Makun” de Farès Naânaâ, Tunisie, (26 mn), suivi de “Flesh and Blood” d’Inès Arsi (19 mn).

Le 6 août sera dédiée à la projection de “WED”, un long métrage de 75 mn de Habib Mestiri qui sera dévoilé en première au public. Cette fiction met en lumière l’histoire de Khalil, un journaliste engagé à gauche en quête de vérité et de défense des droits qui se retrouve plongé dans un sombre tableau.

Tous les films seront projetés à 20h. Les débats qui suivront permettront au public d’échanger avec les cinéastes et de renforcer le dialogue avec le 7eme art tunisien à l’honneur dans une édition spécialement estivale qui s’inscrit au menu du programme de la 59eme édition du Festival International de Hammamet (11 juillet au 13 août) qui a prévu des soirées alliant musique, théâtre, cinéma et chorégraphie de divers courants et horizons artistiques.

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Salle 4ème art : “La Mouette” de Tchekhov revisitée par la 10e promotion de l’École de l’Acteur

01. August 2025 um 15:22

Le samedi 2 août 2025 à 19h00, la salle “Le 4ème Art” à Tunis accueillera la présentation du projet de fin de formation de la dixième promotion de l’Ecole de l’Acteur. Intitulée et inspirée de la pièce tragique “La Mouette” du dramaturge russe Anton Tchekhov, la nouvelle création sera présentée sous la direction artistique de Moez Mrabet, metteur en scène et actuel directeur du Théâtre National Tunisien (TNT).

Cette représentation marque l’aboutissement du parcours des jeunes comédiennes et comédiens formés au sein de l’Ecole Pratique des Métiers du Théâtre, relevant du Théâtre National Tunisien. Créée pour professionnaliser les métiers de la scène, l’école accueille chaque année une sélection d’élèves-comédiens qui suivent un enseignement mêlant cours théoriques, ateliers pratiques et stages dirigés par des artistes et pédagogues tunisiens et internationaux. Elle forme ainsi une génération de créateurs capables d’affronter les exigences de la scène théâtrale contemporaine.

Plus de dix comédiens et comédiennes monteront sur les planches: Skander Hentati, Sami Fakhet, Hajer Zaidi, Nebras Khalafallah, Zeineb Henana, Maryem Bougoffa, Fatma Goutali, Aziz Nawi, Fatma Bennour, Ghada Jebali et Mohamed Abidi, qui incarneront les figures complexes de Tchekhov. A travers cette œuvre, ils questionneront les rêves, les désillusions et la quête d’expression artistique, en résonance avec leur cursus de formation.

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JTC 2025 : ouverture des candidatures pour la 26e édition des Journées Théâtrales de Carthage

01. August 2025 um 14:43

Le comité directeur des Journées Théâtrales de Carthage (JTC), a annoncé dans un communiqué l’ouverture de l’appel à candidatures pour la 26ème édition qui se tiendra du 22 au 29 novembre 2025. Les candidatures sont ouvertes pour la participation à la compétition officielle ainsi qu’aux représentations parallèles. Cet appel est ainsi ouvert aux structures théâtrales professionnelles tunisiennes, arabes et africaines. Il concerne également la section “Expressions théâtrales de l’immigration”, destinée aux dramaturges tunisiens, arabes et africains de la diaspora, ainsi que la section “Théâtre du Monde”, réservée aux spectacles de théâtre et performances artistiques professionnels issus de pays hors du monde arabe et africain.

Les candidats doivent remplir un formulaire en ligne disponible à l’adresse suivante : https://forms.gle/ffHNTRqQckBxwZPx6.

Le dossier doit inclure toutes les informations requises, les biographies et photos de l’auteur, du metteur en scène, des comédiens et des techniciens, ainsi que les copies des passeports pour les membres de troupes étrangères. Il est également demandé de fournir un dossier artistique et de presse comprenant le synopsis du spectacle, les critiques et les éléments de couverture médiatique, accompagnés de photos en haute résolution. Un dossier technique détaillé, décrivant la scénographie, les éléments scéniques et les besoins en son et lumière, doit être joint. Pour les productions tunisiennes, une attestation de la première représentation est requise. Un enregistrement audiovisuel du spectacle en haute définition, sur un seul support, est également indispensable.

Toutes les œuvres sélectionnées, quelle que soit la section, doivent être accompagnées d’un sous-titrage en anglais. L’ensemble du dossier de candidature doit être soumis au plus tard le 31 août 2025. Les dossiers incomplets ou envoyés hors délais ne seront pas pris en considération, ajoute la même source.

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