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Heute — 20. November 2025Haupt-Feeds

L’UGTT menace d’une grève générale

20. November 2025 um 19:06

Lors d’un rassemblement organisé jeudi 20 novembre, le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a affirmé que la direction du syndicat se tiendra en première ligne pour défendre les droits des travailleurs, notamment en matière d’augmentation salariale. Selon lui, malgré les « tempêtes économiques », l’UGTT restera ferme sur ses revendications, comme en témoignent les mouvements sociaux récents dans plusieurs secteurs, tels que le transport, l’enseignement primaire, les banques ou les industries alimentaires.

Taboubi a souligné que le refus d’accorder une augmentation aux salariés du secteur privé pour l’année 2025 est totalement inacceptable, en particulier dans un contexte marqué par la hausse des prix et la détérioration du pouvoir d’achat des Tunisiens. L’organisation syndicale se dit prête à recourir à une grève générale pour défendre les droits sociaux et financiers des travailleurs ainsi que leur droit syndical.

Le secrétaire général a rappelé que les travailleurs ont le droit de protéger leur pouvoir d’achat, de faire face aux difficultés quotidiennes liées au transport, à la santé ou à l’éducation de leurs enfants, et de réclamer une rémunération équitable. Il a insisté sur le fait que l’UGTT est ouverte au dialogue constructif et transparent, mais reste prête à lutter contre toute tentative de remise en cause des droits et acquis des travailleurs, en conformité avec la législation du travail.

Enfin, Taboubi a appelé à la prise de conscience collective des difficultés économiques et sociales actuelles, affirmant la nécessité d’informer les citoyens de manière claire sur la réalité de la situation.

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Grève des banques et assurances : Taboubi réclame un dialogue

03. November 2025 um 18:56

En plein mouvement de grève du secteur bancaire et des assurances, le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a appelé ce lundi à l’ouverture d’un dialogue « sérieux, responsable et transparent » afin d’aboutir à des résultats concrets et équitables pour toutes les parties.

S’exprimant devant des centaines de travailleurs rassemblés à la place Mohamed Ali à Tunis, Taboubi a dénoncé la dégradation du pouvoir d’achat qui touche, selon lui, l’ensemble des catégories sociales, et fustigé le refus des autorités de négocier avec les représentants syndicaux.

Il a réaffirmé que la centrale syndicale poursuivra son combat pour la défense des droits des travailleurs, tout en réitérant son attachement aux libertés publiques et individuelles, à la liberté d’expression et de la presse, ainsi qu’à l’indépendance de la justice.

Le leader syndical a par ailleurs mis en garde contre les restrictions grandissantes sur le droit syndical, qu’il juge « incompatibles avec la démocratie et le respect des droits fondamentaux ».

Des négociations suspendues depuis août

De son côté, Ahmed Jaziri, secrétaire général de la Fédération générale des banques, des institutions financières et des compagnies d’assurance (relevant de l’UGTT), a confirmé que la grève a été suivie massivement dans toutes les régions du pays.

Il a rappelé que la dernière séance de négociation entre la Fédération, le Conseil bancaire et financier et la Fédération tunisienne des sociétés d’assurance remonte à août 2025.

Cette réunion, censée aboutir à un accord sur les augmentations salariales pour trois ans (2025-2027) et sur la création d’un comité consultatif, n’a jamais été suivie de signature, conduisant à la rupture du dialogue.

La Fédération avait ensuite adressé un préavis de grève en date du 20 octobre 2025, resté sans réponse des autorités de tutelle.

Les employeurs dénoncent une grève « injustifiée »

Dans un communiqué publié la semaine dernière, le Conseil bancaire et financier a qualifié l’appel à la grève d’“injustifié et inacceptable”, estimant qu’il porte atteinte aux intérêts des clients et des institutions financières.

Le Conseil affirme s’engager à appliquer les augmentations salariales prévues dans le projet de loi de finances 2026, actuellement en discussion au Parlement, tout en appelant à privilégier le dialogue et la solidarité nationale en cette période économique difficile.

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UGTT : Noureddine Taboubi dénonce la rupture du dialogue social avec le gouvernement

31. Oktober 2025 um 11:37

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a tiré la sonnette d’alarme sur la rupture persistante du dialogue entre la centrale syndicale et le gouvernement.

Intervenant sur les ondes de Diwan FM, il a affirmé que « tous les canaux de concertation avec le pouvoir exécutif sont fermés depuis un certain temps », déplorant une situation « indigne de la Tunisie du XXIᵉ siècle ».

Un dialogue social à l’arrêt

Taboubi a rappelé que la Tunisie avait longtemps été citée en exemple pour son modèle de dialogue tripartite entre l’État, les syndicats et le patronat. « Aujourd’hui, ce modèle est en panne », a-t-il regretté, estimant que seul un dialogue ouvert et constructif peut garantir « un climat social apaisé et des résultats bénéfiques pour tous ».

Le dirigeant syndical a insisté sur la nécessité d’éviter toute escalade, affirmant : « Nous n’avons pas besoin de tensions. »

« Les travailleurs nous ont élus pour agir »

Interrogé sur la possibilité d’une grève nationale, Taboubi a précisé que « seules les structures internes de l’UGTT sont habilitées à en décider ».

Le secrétaire général a conclu sur un ton ferme : « Les gens nous ont élus pour améliorer leur situation sociale, pas pour rester les bras croisés. »

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Tunisie : L’UGTT propose Francesca Albanese au prix Nobel de la paix

09. September 2025 um 10:45

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi a reçu, lundi 8 septembre 2025, Francesca Albanese, rapporteure spéciale de l’ONU sur les territoires palestiniens occupés, et a annoncé son soutien à sa candidature au prix Nobel de la paix.

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a rencontré Francesca Albanese, rapporteure spéciale des Nations-Unies sur les territoires palestiniens occupés, au siège de la centrale syndicale à Tunis.

Soutien à la candidature de Francesca Albanese au Nobel de la paix

Cette rencontre a été l’occasion pour l’UGTT de réaffirmer son engagement en faveur de la cause palestinienne et d’exprimer officiellement son soutien à la candidature de Francesca Albanese au prix Nobel de la paix.

La rapporteure a salué cette initiative et a remercié l’organisation syndicale pour son appui et pour sa solidarité constante avec le peuple palestinien.

Francesca Albanese, dont le travail est reconnu sur la scène internationale pour la défense des droits humains, a souligné l’importance de la mobilisation syndicale et citoyenne dans le combat pour la justice et l’autodétermination.

Noureddine Taboubi, de son côté, a rappelé la position de l’UGTT, fidèle à son rôle historique de défenseur des causes justes et universelles.

La centrale syndicale tunisienne, lauréate du prix Nobel de la paix en 2015 avec le Quartet du dialogue national, continue de s’impliquer dans les grandes causes internationales.

Ce soutien à Francesca Albanese s’inscrit dans la continuité d’un engagement affirmé pour la Palestine et pour la défense des droits des peuples.

Qui est Francesca Albanese ?

Francesca Albanese est l’auteure d’un rapport très critique, dans lequel elle met en cause le rôle de plusieurs multinationales qui, selon elle, soutiennent directement ou indirectement les activités militaires et la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens.

Elle y dénonce notamment des liens financiers avec l’armée israélienne et appelle à la responsabilité pénale internationale pour ceux qui alimentent, selon ses mots, « le système d’occupation et d’apartheid ».

Albanese soutient également les démarches engagées par la Cour pénale internationale (CPI) visant à poursuivre Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien, pour crimes de guerre dans la bande de Gaza et en Cisjordanie.

La juriste italienne, nommée en 2022 par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, est régulièrement ciblée par les milieux pro-israéliens, qui l’accusent de partialité. Ses rapports, documentés mais souvent virulents, l’ont propulsée au cœur de nombreuses polémiques, notamment après les bombardements israéliens sur Rafah et le siège prolongé de Gaza.

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Tunisie – UGTT : Taboubi hausse le ton, Tahri menace de grève

11. August 2025 um 15:37

L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a lancé, ce lundi, un avertissement clair au pouvoir. Réunie en instance administrative nationale pour examiner la situation générale, les négociations sociales et les dossiers en suspens, la centrale syndicale a dénoncé les attaques et les tentatives d’atteinte à son siège central.

Dans un discours au ton ferme, le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, a condamné les campagnes de diffamation et les accusations de corruption visant certains syndicalistes. « Celui qui détient un dossier doit le présenter à la justice. Nous ne sommes pas au-dessus de la reddition de comptes. Il suffit de cette symphonie », a-t-il martelé, ajoutant que la question est désormais celle de « la dignité et de l’honneur ».

Taboubi a pointé du doigt les autorités, les accusant d’être responsables de l’incident du 7 août dernier, lorsque des individus ont tenté de forcer l’entrée du siège de l’UGTT à la place Mohamed Ali, après la levée soudaine des barrières de sécurité par les forces de l’ordre. « La place Mohamed Ali ne sera pas ouverte à n’importe qui », a-t-il prévenu.

Le leader syndical a également dénoncé une « politique du deux poids deux mesures » dans la gestion des manifestations : certaines activités de l’UGTT sont interdites faute d’autorisation, tandis que celles de ses adversaires se déroulent librement.

Rappelant le rôle historique de l’UGTT dans la lutte nationale et la défense des droits sociaux, Taboubi a insisté sur la contribution de l’organisation à l’annulation de la sous-traitance dans la fonction publique, à la régularisation des travailleurs des dispositifs « Mécanisme 16 » et « Mécanisme 20 », ainsi qu’à la défense des enseignants suppléants, des militants syndiqués réprimés et des docteurs au chômage.

Pour sa part, le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Sami Tahri, a affirmé que la grève figure parmi les options sur la table, mais que la décision finale appartiendra souverainement à la structure réunie.

« L’Union ne prendra pas de décisions sous le coup de l’émotion, mais avec un sens aigu de la responsabilité. Le pays n’a pas besoin de confrontation », a-t-il déclaré, rappelant que l’UGTT avait joué un rôle clé dans le dialogue national qui avait évité un affrontement politique en 2012.

Rappelons que le président de la République avait implicitement évoqué que l’UGTT n’était pas au-dessus de la loi.

Lire aussi : Tunisie : Entre Kaïs Saïed et la direction de l’UGTT, le divorce est désormais consommé

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Fausse alerte à l’UGTT : Taboubi n’a pas passé la main

06. August 2025 um 11:37

Le porte-parole de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a formellement démenti les rumeurs circulant sur les réseaux sociaux selon lesquelles le secrétaire général de la centrale syndicale, Noureddine Taboubi, aurait quitté son poste et été remplacé par Farouk Ayari.

Dans une déclaration à Diwan FM, Tahri a qualifié ces allégations de fausses et infondées, affirmant qu’elles visaient à susciter la confusion parmi les syndicalistes et à semer le trouble dans l’opinion publique. Il a attribué la diffusion de cette fausse information à des « parties hostiles à l’organisation syndicale » cherchant à la discréditer.

Le porte-parole a précisé que Noureddine Taboubi est actuellement en congé, et qu’il reprendra ses fonctions normalement à la fin de cette période. Il n’a pas exclu une interruption anticipée du congé, compte tenu de la conjoncture délicate que traverse le pays, marquée selon lui par des attaques contre l’UGTT, la suspension du dialogue social et l’annulation de plusieurs séances de négociation.

Sami Tahri a également commenté les récents mouvements de grève organisés par l’UGTT, affirmant qu’ils ont dérangé le pouvoir en place, ce qui aurait poussé certains de ses soutiens à réagir de manière « maladroite ». Il a rappelé que l’organisation fonctionne selon des règles internes strictes : en cas de voyage, de maladie ou de congé du secrétaire général, la suppléance est assurée par le secrétaire général adjoint chargé de l’ordre intérieur. Si ce dernier est également indisponible, un autre membre du bureau exécutif est désigné pour assurer l’intérim, conformément au règlement interne.

Lire aussi : L’UGTT dénonce l’annulation de séances de conciliation dans plusieurs secteurs

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