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Agriculture en Tunisie : où va vraiment l’argent des investissements ?

12. Dezember 2025 um 15:35

Les données du rapport Invest – octobre 2025 publié par l’Onagri montrent que toutes les régions tunisiennes n’ont pas évolué au même rythme en matière d’investissements agricoles et de pêche. Certaines zones ont fortement progressé, tandis que d’autres ont enregistré des reculs sensibles.

La région du Centre-Est, qui regroupe Monastir, Mahdia, Sousse, Kairouan, Siliana et Kasserine, arrive très largement en tête. Les investissements approuvés atteignent 144,114 millions de dinars, soit 42 % du total national. C’est la région la plus dynamique du pays, avec une hausse impressionnante de 50 % par rapport à octobre 2024.

La deuxième région la plus attractive est le Centre-Ouest et Sud-Ouest, comprenant Sfax, Sidi Bouzid, Gafsa et Tozeur. Elle totalise 74,553 millions de dinars, soit 22 % des investissements nationaux. Cette région enregistre toutefois un léger recul de 4 % par rapport à l’année précédente.

Le Nord-Ouest — Bizerte, Béja, Jendouba et Kef — se classe plus loin avec 43,398 millions de dinars, représentant 12 % du total. Cette zone connaît une baisse notable de 11 %, montrant une diminution du rythme d’investissement.

Dans le Sud-Est et Sud, comprenant Médenine, Tataouine, Gabès et Kebili, les investissements atteignent 50,418 millions de dinars, soit 15 % du total national. Là aussi, les chiffres affichent un repli de 11 % par rapport à 2024.

Enfin, la région du Grand Tunis et du Cap Bon — Tunis, Ariana, Ben Arous, Manouba, Zaghouan et Nabeul — enregistre une progression importante. Les investissements approuvés y atteignent 32,003 millions de dinars, soit 9 % du total, avec une hausse de 23 % sur un an.

Les subventions suivent la même tendance régionale

Les subventions accordées aux projets agricoles confirment ces écarts entre régions.

  • Le Centre-Est reste premier avec 33,138 millions de dinars, soit 38 % des subventions, en hausse de 6 %.

  • Le Centre-Ouest et Sud-Ouest obtient 20,379 millions de dinars (23 %), mais enregistre une forte baisse de 24 %.

  • Le Sud/Sud-Est reçoit 14,744 millions de dinars (17 %), avec un recul de 19 %.

  • Le Nord-Ouest perçoit 12,544 millions de dinars (14 %), en baisse de 17 %.

  • Le Grand Tunis et Cap Bon obtient 6,523 millions de dinars (8 %), lui aussi en baisse de 6 %.

Ces chiffres montrent une réalité nette : le Centre-Est domine largement les investissements agricoles en 2025, tandis que plusieurs régions intérieures, notamment le Nord-Ouest et le Sud, connaissent un ralentissement.

 

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Tunisie : Quatre morts dans un accident au Kef

10. Dezember 2025 um 12:49

Un grave accident de la route a coûté la vie à quatre personnes, mardi soir, sur la route nationale 17 reliant les gouvernorats du Kef et de Kasserine, au niveau de la zone de Aïn Charen, relevant de la délégation de Tajerouine.

Selon le directeur régional de la santé au Kef, Moncef El Houani, l’accident s’est produit en début de soirée et a provoqué la mort immédiate de deux hommes, nés en 1966 et 1981, ainsi que de deux femmes, nées en 1972 et 1981.

Un jeune homme de 22 ans a également été grièvement blessé. Transporté en urgence à l’hôpital régional du Kef, il a reçu les premiers soins avant d’être opéré pour traiter plusieurs fractures des côtes et d’autres blessures sur différentes parties du corps. Son état est jugé stable.

Les circonstances de l’accident restent à éclaircir. Une enquête a été ouverte par la brigade de la Garde nationale chargée de la circulation à Tajerouine pour déterminer les causes du drame et établir les responsabilités.

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Collision sur la RN14 entre Gafsa et Sfax : Deux morts et plusieurs blessés

06. Dezember 2025 um 10:50

Un grave accident de la route s’est produit sur la RN14 reliant Gafsa à Sfax. Deux personnes ont perdu la vie et quatre autres ont été blessées, dont une grièvement. Les secours et la Garde nationale ont ouvert une enquête pour déterminer les responsabilités.

Un choc violent entre un utilitaire et un camion

Un accident mortel est survenu tôt ce samedi sur la route nationale n°14, entre Gafsa et Sfax. Selon une source de la Garde nationale citée par Mosaïque FM, le drame a impliqué un véhicule utilitaire sortant d’un chemin agricole et un camion appartenant à une société spécialisée dans l’emballage d’huile.

La collision a entraîné le décès de deux personnes sur place. Quatre autres ont été blessées, dont une se trouve dans un état critique.

Enquête ouverte

Les blessés ont été transportés vers l’hôpital local de Sened ainsi que vers l’hôpital universitaire Hédi Chaker de Gafsa pour recevoir les soins nécessaires.

Les unités de la protection civile de Sened et les équipes de la Garde nationale de Gafsa sont intervenues rapidement pour évacuer les victimes et sécuriser la zone.

Une enquête a été lancée par la Garde nationale afin d’éclaircir les circonstances exactes de l’accident, notamment les conditions de sortie du véhicule utilitaire sur la voie principale et les responsabilités éventuelles des conducteurs.

Un contexte national alarmant

Ce drame intervient dans un contexte national où le nombre de victimes connait une recrudescence en 2025. Entre janvier et août, plus de 760 personnes ont déjà perdu la vie dans des collisions routières à travers la Tunisie – une hausse d’environ 9% comparée à 2024.

Malgré une baisse du nombre total d’accidents et de blessés, la mortalité continue d’augmenter, ce qui met en lumière l’urgence d’agir pour renforcer la sécurité routière, améliorer les infrastructures et sensibiliser davantage les conducteurs.

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Affaire du GCT à Gabès : Un nouveau report qui interroge

04. Dezember 2025 um 12:03

Pour la quatrième fois consécutive, l’examen de la procédure en référé visant l’arrêt des unités industrielles polluantes du Groupe chimique tunisien (GCT) a été ajourné, cette fois au 25 décembre. Un report de plus, qui laisse un arrière-goût d’impuissance institutionnelle face à l’un des dossiers environnementaux les plus explosifs du Sud tunisien.

Mounir Adouni, président de la section régionale de l’Ordre des avocats, a confirmé à l’Agence TAP que le tribunal avait décidé d’élargir le périmètre du dossier en intégrant trois nouveaux acteurs étatiques : le ministère de l’Environnement, l’Agence nationale de protection de l’environnement (ANPE), et le ministère de la Santé.

La décision s’accompagne d’une demande d’ajout de nouvelles pièces justificatives, un geste perçu par certains observateurs comme un moyen supplémentaire de gagner du temps, alors que les conséquences sanitaires et écologiques ne cessent de s’aggraver.

Colère citoyenne et ras-le-bol environnemental

En marge de cette quatrième audience, plusieurs dizaines de citoyens et d’activistes de la société civile se sont rassemblés devant le tribunal de première instance de Gabès.

Les manifestants ont réitéré leur exigence du démantèlement pur et simple des unités incriminées, dénonçant une pollution persistante qui compromet la qualité de vie, la santé publique et l’avenir écologique de la région.

Leur revendication centrale tient en une phrase : « Les habitants de Gabès ont droit à un air respirable et à un environnement sain ».

Un dossier qui s’enlise

Ce nouvel ajournement renforce l’impression d’un dossier qui avance à reculons, au rythme de reports successifs qui ne font qu’alimenter la frustration locale.

Face à une pollution documentée depuis des décennies, les habitants de Gabès attendent non plus des procédures, mais des décisions concrètes – des décisions qui tardent à venir.

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Gabès frappée par des émanations toxiques : Nouvel épisode d’asphyxie dans les écoles

02. Dezember 2025 um 10:13

Lundi 1ᵉʳ décembre 2025, plusieurs établissements scolaires du centre-ville de Gabès ont été touchés par des émanations toxiques. Le Collectif Stop Pollution a indiqué que le nombre d’élèves affectés est passé de trente à cinquante au fil de la journée, avec des symptômes allant de difficultés respiratoires à des maux de tête et des nausées. Les enfants ont été pris en charge à l’hôpital universitaire Mohamed Sassi.

Gaz toxiques dispersés vers le centre-ville

Ahmed Chebli, membre de la Ligue tunisienne des droits de l’homme à Gabès, a dénoncé mardi sur les ondes de Jawhara fm, la gestion de crise dans les hôpitaux. Selon lui, les services étaient submergés, certains parents ont refusé l’admission de leurs enfants, dénonçant des traitements jugés indignes, et les structures manquent cruellement de moyens pour faire face à ces urgences.

Les vents violents auraient favorisé la propagation des gaz jusqu’aux quartiers centraux, alors qu’ils restaient auparavant cantonnés aux abords du Groupe chimique. Cette nouvelle dispersion a intensifié la colère des habitants, excédés par la récurrence des incidents et l’absence de mesures durables.

Mobilisation des familles

Certains parents ont transféré leurs enfants vers d’autres établissements pour les protéger. Le Collectif Stop Pollution réclame une intervention urgente et des diagnostics médicaux fiables.

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Explosion de gaz à El Mourouj1, la Steg écarte sa responsabilité !

30. November 2025 um 10:04

Une explosion de gaz s’est produite dans la soirée du samedi 29 novembre à El Mourouj1. L’origine de cette explosion reste inconnue pour le moment, mais la STEG a réagi dans un communiqué explicatif indiquant que les enquêtes préliminaires concernant l’explosion d’un tuyau de gaz survenue dans la nuit de samedi ont démontré que le réseau externe de gaz et les compteurs n’ont pas été endommagés, ce qui signifie qu’ils ne sont pas à l’origine de l’explosion.​

Toujours selon le communiqué, les enquêtes initiales ont également prouvé que la fuite de gaz s’est produite au niveau du réseau interne de la maison affectée, et non dans un tuyau de gaz, contrairement à ce qui a circulé sur les réseaux sociaux.​

Par ailleurs, les unités techniques se sont rendues sur place immédiatement après avoir été informées de l’explosion, pour effectuer les interventions nécessaires en coordination avec la protection civile et les forces de sécurité.

Or la question est essentielle : si de tels incidents étaient récurrents. Selon les informations recensées, il y a eu en effet des incidents antérieurs comme une explosion de conduite en 2008 à El Mourouj 1. Le gouvernorat de Ben Arous a connu d’autres fuites de gaz mortelles, telles qu’à Hammam Lif en janvier 2025. Ces événements soulignent des risques récurrents seraient liés aux installations domestiques. 

 

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Un dimanche doux à Tunis entre 8° le jour et 11° la nuit !

30. November 2025 um 08:55

Le temps aujourd’hui à Tunis sera doux, avec des températures avoisinant les 18°C. Pendant la nuit, la température tombera à 11°C.

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Jendouba : Route coupée à cause des intempéries

28. November 2025 um 13:53

La direction régionale de la Protection civile à Jendouba a annoncé, ce vendredi, l’interruption de la route non numérotée reliant Oued Meliz à Dekhaila, au niveau de Wadi Reghai, en raison d’une montée subite des eaux provoquée par les pluies abondantes tombées dans la région.

Selon les autorités locales, la hausse du débit de l’oued a rapidement rendu la chaussée impraticable, obligeant les services de secours à intervenir pour sécuriser les lieux et prévenir tout risque pour les usagers.

La Protection civile a appelé les habitants et automobilistes à emprunter la route de Chemtou comme itinéraire alternatif jusqu’au rétablissement de la circulation. Elle a également exhorté les conducteurs à redoubler de prudence, à respecter les consignes de sécurité routière et à se tenir informés de l’évolution de la situation météorologique.

Un phénomène récurrent dans la région

Les coupures de routes provoquées par les crues soudaines ne sont pas inédites dans le gouvernorat de Jendouba. Les zones montagneuses et forestières du Nord-Ouest connaissent régulièrement des épisodes de précipitations intenses qui entraînent la montée rapide des oueds, notamment à Wadi Reghai, où d’autres interruptions de circulation ont été enregistrées ces dernières années.

Lire aussi : Météo en Tunisie : Froid hivernal, averses orageuses et risque de grêle

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Pluies diluviennes à Béja : les cours suspendus à Nefza et Amdoun

27. November 2025 um 15:15

Les fortes précipitations des dernières 24 heures ont provoqué des débordements d’oueds et perturbé les déplacements, poussant les autorités éducatives à interrompre les cours ce jeudi après-midi.

À Béja, plusieurs délégations ont été touchées par des pluies intenses ayant entraîné la montée rapide des eaux dans les oueds. Face aux risques d’inondation et aux difficultés de circulation, la direction régionale de l’Éducation a décidé de suspendre les cours à Nefza et Amdoun ce jeudi après-midi. La mesure s’inscrit dans un dispositif de vigilance renforcée.

Pluies abondantes et risques d’inondation

Depuis la nuit précédente, le gouvernorat de Béja a enregistré d’importants cumuls de pluie. Plusieurs oueds ont atteint des niveaux critiques, certains débordant sur les axes secondaires et bloquant temporairement la circulation dans différents points du relief nord-ouest.

Les autorités locales signalent des zones où les habitants peinent à se déplacer, en raison de chaussées glissantes ou partiellement submergées. Les équipes de protection civile restent mobilisées pour évaluer les points les plus sensibles et prévenir d’éventuelles évacuations.

Décision de suspendre les cours à Nefza et Amdoun

Interrogé par Diwan FM, le délégué régional de l’Éducation, Mohamed Farouk Ouichri, a confirmé que les établissements scolaires de Nefza et d’Amdoun n’assureraient pas les cours durant la séance de l’après-midi.

La décision intervient alors que les prévisions annoncent la poursuite des averses, rendant les trajets scolaires potentiellement dangereux pour les élèves et le personnel.

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Tunisie : Création d’une nouvelle zone touristique à Aïn Draham

26. November 2025 um 12:22

Le gouverneur de Jendouba, Taieb Dridi, a annoncé la création d’une nouvelle zone touristique à Aïn Draham, à l’issue d’une visite sur le terrain. Ce projet ambitieux vise à transformer l’offre touristique locale, stimuler les investissements et générer des emplois permanents et saisonniers tout en contribuant au développement régional.

Un site stratégique

Le terrain sélectionné pour ce projet couvre 52 hectares, bénéficie d’un accès facile via une route locale et dispose des réseaux d’eau potable et d’électricité. Il présente des atouts naturels et esthétiques remarquables, permettant le développement de services touristiques tout au long de l’année, y compris en hiver.

Hébergement et dynamisation de l’économie locale

Cette nouvelle zone touristique entend proposer des infrastructures complètes pour diversifier l’offre, augmenter la capacité d’hébergement et encourager les investisseurs à participer au développement du secteur. L’ambition est de créer un modèle touristique durable et attractif, qui profite à l’ensemble de la région.

Le gouverneur Taieb Dridi a donné ses instructions pour engager rapidement toutes les procédures légales et organisationnelles, en coopération avec les ministères de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, ainsi que des Domaines de l’État et des Affaires foncières.

Une collaboration étroite avec la municipalité locale est prévue pour élaborer un plan d’aménagement détaillé, afin que le projet puisse se concrétiser dans les meilleurs délais.

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Pluies abondantes au Nord : Nefza, Béni Mtir et Sejnène parmi les zones les plus arrosées

23. November 2025 um 15:19

Plusieurs régions du Nord ont enregistré d’importantes quantités de pluie au cours des dernières 24 heures, selon les données publiées dimanche 23 novembre.

Les gouvernorats de Béja, Jendouba et Bizerte ont été les plus concernés, avec des relevés dépassant parfois les 40 mm. Plus au sud, les précipitations sont restées faibles et localisées. Ce cumul pluvieux confirme le retour d’un épisode humide marqué sur le Nord-Ouest.

Béja et Jendouba fortement arrosés

Le gouvernorat de Béja a connu des pluies notables, notamment à Nefza (35 mm), Barrage Kessab (26 mm), Béja-Sud et Amdoun (16 mm chacun). D’autres stations comme Tibar (10 mm) ou Mejez El Bab (10 mm) affichent également des niveaux significatifs, témoignant d’un front actif dans la région.

À Jendouba, les cumuls sont encore plus élevés dans plusieurs localités : Béni Mtir atteint 49 mm, Tabarka Aéroport 42 mm, Aïn Draham 46 mm, Balta Bouaouane 32 mm, Tabarka-ville 32 mm, confirmant un épisode pluvieux intense sur la bande frontalière et forestière du Nord-Ouest.

Bizerte : un épisode marqué sur la côte et les hauteurs

Le gouvernorat de Bizerte figure parmi les plus arrosés de cet épisode, avec : Sejnène à 41 mm, Joumine à 40 mm, Ghezala à 34 mm. Des valeurs situées entre 16 et 20 mm dans plusieurs localités côtières comme Menzel Bourguiba, El Médina, Metline, Raf Raf ou Ghar El Melh.

Ce régime de pluie confirme un apport important sur le bassin versant de plusieurs barrages du Nord.

Plus à l’est et au centre-nord, les cumuls enregistrés sont nettement plus modestes. À Siliana, plusieurs stations ne dépassent pas 1 mm, signe d’un épisode très atténué dans cette zone. Même constat au Kef, où Sakiet Sidi Youssef n’a relevé que 1 mm sur la période.

Dans le gouvernorat de Nabeul, les quantités sont variables mais restent modérées, avec des postes comme Dar Allouche (28 mm), Haouaria (19 mm), Azmour (10 mm) ou Boukrim (8 mm), tandis que d’autres zones côtières n’ont enregistré que quelques millimètres.

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Tataouine : Le projet du Gaz du Sud réactivé après des années d’arrêt

21. November 2025 um 10:16

Après plusieurs années de blocage, le projet du Gaz du Sud dans la zone de Kardhabe relevant de la délégation de Ghomrassen, située à près de 5 km de la ville de Tataouine, affiche une avancée significative de 36%, selon le délégué de Ghomrassen, Abdelatif Seboui.

Les travaux, figés depuis 2022 à seulement 7%, ont repris en juin 2025 et se poursuivent désormais sans interruption. Ce chantier stratégique entend renforcer la production nationale et connecter Tataouine au réseau gazier.

Reprise des travaux après un long gel du projet

Le délégué de Ghomrassen explique que les travaux, suspendus depuis 2022, ont été relancés au mois de juin 2025 dans le cadre de la réactivation des grands projets énergétiques. En quelques mois, le taux d’avancement est passé de 7% à 36%, redonnant une dynamique nouvelle à un chantier considéré comme prioritaire pour la région, rapporte Mosaique fm.

Le projet repose sur l’exploitation du gaz naturel provenant du champ de Nawara et comprend plusieurs composantes majeures : une station de traitement du gaz à Kardhabe, une unité de remplissage de bouteilles de gaz, ainsi qu’un pipeline de 94 km reliant Tataouine à Gabès. L’ensemble représente un investissement estimé à 500 millions de dinars, confirmant sa dimension stratégique pour l’économie nationale.

Raccorder Tataouine au réseau

Selon Seboui, le projet vise à accroître l’offre nationale en gaz naturel et à améliorer les infrastructures dans le sud. L’opération de mise en pression du gaz sur le réseau de transport à Tataouine a débuté en juin 2025, première étape vers un raccordement complet de la région au réseau national, répondant à une revendication locale de longue date.

Au-delà de son impact énergétique, le projet devrait générer de nouveaux emplois durant et après la phase de réalisation. Les autorités locales estiment que l’entrée en service de ces installations contribuera directement au développement économique de Tataouine et à l’amélioration du climat social dans la région.

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Le mur du lycée de Mezzouna toujours en construction !

21. November 2025 um 05:41

Lors de la séance plénière consacrée à l’examen du budget du ministère de l’Éducation, le ministre Nourdine Ennouri a présenté une mise à jour détaillée sur l’avancement du programme des interventions urgentes engagé depuis plusieurs mois. Selon lui, 682 établissements éducatifs ont été concernés par ces travaux, dont 190 sont actuellement en chantier et 61 ont été totalement achevés.

À Mezzouna, le mur d’enceinte de l’Institut secondaire ayant connu un drame en avril dernier affiche désormais un taux d’avancement de 80 %, annonce également le ministre.

Le ministre a souligné que ces interventions couvrent tout autant la réhabilitation des infrastructures que l’amélioration des équipements pédagogiques et technologiques. Toutefois, il a rappelé que certaines problématiques, comme la montée du climat de violence dans les écoles, dépassent la seule responsabilité de l’institution éducative. Selon lui, ces phénomènes s’enracinent dans des réalités sociales qu’il faut traiter de manière globale.

Ennouri a mis en avant l’importance de ramener les élèves vers leur espace naturel, que ce soit au sein de l’école ou à travers le programme de la deuxième chance. Il a rappelé que les activités périscolaires constituent un levier essentiel. Les clubs de musique, de théâtre, de dialogue civique et de sport se multiplient, tout comme les sorties pédagogiques. Près de 5600 élèves, issus principalement de zones rurales, ont profité de voyages éducatifs pendant les dernières vacances.

Le ministre a également pointé les difficultés administratives et juridiques qui freinent certains chantiers, citant notamment la réticence de plusieurs entrepreneurs à s’engager. Malgré cela, il assure que le département s’efforce de lever les obstacles pour garantir la continuité des projets dans toutes les régions, en particulier sur le littoral et dans le nord du pays. Il a aussi reconnu un déficit en ressources humaines spécialisées, notamment les psychologues scolaires.

Avec la loi de finances 2026, le ministère prévoit de renforcer ces dispositifs, d’élargir la couverture en personnel spécialisé et d’améliorer la qualité globale des services éducatifs. L’objectif est de permettre une mise en œuvre plus fluide des projets en cours et de répondre aux attentes des communautés scolaires à travers le pays.

Lire aussi : Tunisie : Le directeur du lycée de Mazzouna en garde à vue suite au drame du mur effondré

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Gabès : L’affaire en référé contre le Groupe Chimique Tunisien reportée au 4 décembre

20. November 2025 um 12:19

L’affaire judiciaire visant à obtenir la fermeture des unités polluantes du Groupe Chimique de Gabès (GCT) a de nouveau été reportée. Le président de l’Ordre régional des avocats de Gabès, Mounir Adouni, a annoncé que la troisième audience en référé est désormais fixée au 4 décembre 2025, dans un contexte de mobilisation croissante des citoyens et des associations locales.

Une justice freinée alors que la colère monte

Mounir Adouni, en déclarant à l’agence TAP, a souligné que l’audience, qui devait se tenir initialement plus tôt, avait été repoussée à plusieurs reprises. Il rappelle que, lors de la deuxième audience, la section régionale des avocats avait déjà présenté des preuves convaincantes exposant le danger « imminent » que font peser les unités du GCT sur la santé des habitants.

Selon lui, ces reports sont particulièrement graves, compte tenu de la situation sanitaire alarmante : des cas d’asphyxie ont été signalés chez des élèves, et les hôpitaux de la région peinent à répondre à l’afflux de malades.

Parallèlement aux procédures judiciaires, la pression sociale s’intensifie. Un rassemblement d’habitants ainsi que de militants de la société civile s’est tenu devant le Tribunal de première instance de Gabès. Les manifestants demandent non seulement l’arrêt des activités polluantes, mais le démantèlement total des unités industrielles du GCT.

La semaine précédente, une marche pacifique avait déjà traversé plusieurs artères de la ville, dénonçant ce qu’ils considèrent comme une négligence chronique des autorités et un manque de volonté politique pour résoudre durablement la crise.

Un problème environnemental ancien mais exacerbé

Le différend judiciaire s’inscrit dans un contexte beaucoup plus large de colère environnementale à Gabès. Le GCT, pilier industriel de la région, est accusé depuis des années de rejeter des quantités importantes de phosphogypse, un déchet toxique contenant des métaux lourds et des substances radioactives.

Les habitants dénoncent une pollution atmosphérique persistante, liée aux émissions d’ammoniac, de soufre et de composés azotés.

Selon l’Association tunisienne pour l’environnement à Gabès, la situation sanitaire se détériore : des maladies respiratoires, des cas d’asphyxie et d’autres effets sont de plus en plus fréquents, en partie à cause de l’ancienneté des installations industrielles du complexe.

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Situation environnementale à Gabès : Kaïs Saïed resserre l’étau autour du comité chargé des solutions urgentes

19. November 2025 um 09:50

Mardi 18 novembre au Palais de Carthage, le président Kaïs Saïed a présidé une nouvelle réunion du comité mandaté pour proposer des mesures urgentes face à la crise environnementale qui frappe Gabès.

Autour de lui, les membres de cette commission ont présenté un premier rapport préliminaire. Le chef de l’État a insisté sur la nécessité d’un plan d’action rapide, dénonçant au passage la mauvaise gestion, les équipements abandonnés et les tentatives de manipulation autour du dossier.

Cette rencontre réaffirme la volonté de l’exécutif d’accélérer la sortie de crise, tout en appelant à la vigilance face aux tensions.

Réunion de crise autour du premier rapport préliminaire

Au Palais de Carthage, Kaïs Saïed a réuni les membres du comité qu’il avait désignés pour élaborer des solutions immédiates pour Gabès : Ali Ben Hammoud, Samia Ben Ali, Hamida Kawas, Rafik Aouadi, Noureddine Rachdi, Mohamed Salah Ennajjar et Mohamed Ben Charrada.

Les participants ont remis au président une première version de leur rapport, document que Saïed a appelé à finaliser « dans les plus brefs délais » avec des mesures concrètes, rapides et applicables.

Le chef de l’État a insisté pour que le rapport final propose non seulement des solutions de court terme mais aussi une vision environnementale durable, capable d’impliquer la jeunesse locale. Il a rappelé que de nombreux pays s’inspirent encore des études environnementales réalisées par des experts tunisiens.

Le dossier des équipements abandonnés : un point de colère présidentielle

Kaïs Saïed est revenu en détail sur le scandale des équipements acquis en 2018 pour le Groupe chimique tunisien (GCT), abandonnés puis devenus inutilisables.

Selon lui, cet épisode symbolise une gestion défaillante des fonds publics, aggravée par une négligence délibérée. Il a dénoncé l’usage de rumeurs et de contre-vérités destinées, selon lui, à détourner l’attention de projets de cession d’établissements publics.

Pour le président, cette accumulation d’erreurs a « méprisé les souffrances des habitants de Gabès », déjà confrontés à une situation environnementale étouffante.

Hommage appuyé aux habitants de Gabès

Tout en exposant ces dysfonctionnements, le président a salué la population locale pour sa retenue et son sens de l’intérêt général. Il a souligné leur engagement à préserver la paix civile, notamment en collaborant avec les forces de sécurité face aux tentatives visant à envenimer la situation.

Saïed a assuré qu’il suit personnellement l’évolution du dossier et que les habitants ont le droit « de connaître toute la vérité, de demander des comptes conformément à la loi et de vivre librement, dans la dignité ».

Mise en garde présidentielle

Au-delà du dossier environnemental, le président a livré un message politique très direct. Il a parlé d’une « guerre de libération nationale tous azimuts », évoquant des tentatives de déstabilisation, de manipulations médiatiques et d’allégeance à l’étranger.

Selon lui, « l’État tunisien ne se gouverne pas par des publications sur les réseaux sociaux », ni par ceux qui diffament ou cherchent à « propager les mensonges ».

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Crise environnementale à Gabès : Nouvelle vague d’asphyxie d’élèves

18. November 2025 um 16:19

La situation environnementale et sanitaire dans la région de Gabès atteint un point critique. Un nouvel incident d’intoxication au gaz a frappé le collège de Chatt Essalem ce mardi 18 novembre 2025, relançant la controverse autour des émissions industrielles du Groupe Chimique Tunisien (GCT).

Urgence sanitaire au collège

Plusieurs élèves du collège de Chatt Essalem ont été touchés par ces nouvelles émanations toxiques. Les symptômes rapportés sont graves, incluant des évanouissements et des cas de suffocation. Face à l’urgence, les élèves intoxiqués ont été rapidement transportés à bord d’ambulances vers l’hôpital universitaire de Gabès pour y recevoir les premiers soins.

Cette information a été corroborée par l’association environnementale Stop Pollution ainsi que par plusieurs habitants de la région. Tous pointent du doigt, une fois de plus, les émissions de gaz provenant de l’une des unités industrielles opérant sous l’égide du GCT, suspecté d’être la cause de cette asphyxie collective.

Colère populaire et scolarité suspendue

Cet incident survient dans un contexte de forte tension sociale et environnementale. Depuis plusieurs semaines, la population de Gabès dénonce publiquement les émanations gazeuses suffocantes qui impactent l’ensemble des citoyens, mais qui touchent particulièrement les enfants. Le collège de Chatt Essalem a d’ailleurs été confronté à plusieurs incidents similaires par le passé.

La veille de l’incident, les parents d’élèves de l’École primaire Gnayna de Chatt Essalem avaient déjà pris une mesure radicale annonçant la suspension de la scolarité de leurs enfants.

Ils réclament l’installation d’un point de santé permanent au sein de l’école pour pouvoir administrer immédiatement les premiers soins en cas d’urgence et refusent de renvoyer leurs enfants à l’école tant que des conditions sanitaires adéquates – exemptes de gaz et d’odeurs nocives – ne sont pas garanties.

Revendications citoyennes pour un air sain

L’indignation populaire s’est traduite par une série de manifestations de grande ampleur. La plus marquante a eu lieu lors de la grève générale régionale du 21 octobre 2025, où une mobilisation massive a exigé un air sain, dénoncé les graves atteintes à la santé publique et appelé sans équivoque au démantèlement des unités industrielles polluantes responsables de cette crise chronique.

Face à l’ampleur du problème, les autorités au plus haut niveau de l’État se sont saisies du dossier. Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu le samedi 8 novembre 2025, au Palais de Carthage, Ali Ben Hammoud, un ingénieur en pétrochimie diplômé de l’Université de Shanghai.

Le chef de l’État a évoqué la situation environnementale critique à Gabès et a salué la réponse « sans hésitation » de l’ingénieur à l’appel visant à s’engager activement dans la recherche d’une solution pour la région. L’attente est désormais grande quant aux actions concrètes qui découleront de cet engagement pour mettre fin à cette menace sanitaire quotidienne.

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Déviation sur la A1 : Circulation perturbée en direction de Hammamet

18. November 2025 um 12:27

Ce mardi 18 novembre, les automobilistes empruntant la N3 A1 en direction de Sousse et Hammamet devront suivre une déviation partielle, le temps des travaux sur l’échangeur de l’Hôpital des Grands Brûlés à Ben Arous. La mesure, mise en place dès 9h30, s’inscrit dans le projet d’extension de l’entrée sud de Tunis.

Une bretelle provisoire pour sécuriser les travaux

Les travaux concernent l’échangeur reliant la Route Nationale n°3 A1 et la Route Régionale n°22, dans le cadre du lot n°03 du projet d’extension sud de la capitale. Pour permettre aux équipes de poursuivre les interventions en toute sécurité, la circulation a été redirigée vers une bretelle provisoire récemment aménagée.

Les automobilistes venant de l’intersection de la Yahoudia et de la Nationale n°3, et se dirigeant vers la banlieue sud ou Hammamet, doivent désormais emprunter cette voie temporaire. Les autorités routières recommandent prudence et respect de la signalisation pour éviter tout incident.

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Tunisie : Grève générale du secteur privé à Sfax

18. November 2025 um 11:01

Sfax a observé ce mardi une grève générale du secteur privé, déclenchée par l’absence des négociations salariales et l’impasse du dialogue social. Une grève initiée par l’UGTT.

La journée du 18 novembre a marqué un nouvel épisode de tension sociale : à Sfax, l’Union régionale de l’UGTT a maintenu une grève générale dans les entreprises privées, dénonçant l’arrêt des négociations salariales pour 2025-2027, la Centrale syndicale accusant le gouvernement d’avoir bloqué les discussions malgré des engagements antérieurs..

Dialogue social à l’arrêt

Cette grève a concerné les entreprises du secteur privé, dont les salariés se sont rassemblés à la maison de l’UGTT avant de se diriger vers le gouvernorat.

Un mouvement s’inscrit dans la démarche de l’UGTT, celle-ci dénonçant que l’État ait mis fin unilatéralement au cycle de négociations pourtant obligatoire et l’accusant de vouloir imposer des augmentations salariales sans discussions tripartites, une démarche qualifiée « d’inédite depuis 1973 ».

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Gabès : Pollution, phosphogypse et industries en crise – ce qu’il faut retenir du débat parlementaire

14. November 2025 um 14:51

Lors de la plénière consacrée au budget 2026 du ministère de l’Industrie, la situation environnementale à Gabès a éclipsé toutes les autres questions. Les députés ont dénoncé l’inaction de l’État face au phosphogypse rejeté en mer et aux dégâts sanitaires, tandis que la ministre Fatma Thabet Chiboub a tenté de rassurer sur les priorités du gouvernement.

Gabès au cœur des inquiétudes

Le rapport conjoint des commissions parlementaires de l’Industrie et des secteurs productifs a ouvert la voie à un débat dominé par la crise environnementale à Gabès, décrite comme l’une des plus graves du pays.

Les députés ont pointé la situation du Groupe chimique de Gabès, l’état du complexe industriel et surtout la poursuite du rejet du phosphogypse en mer, considéré comme un facteur majeur de pollution et de risques sanitaires.

Plusieurs élus ont mis en garde contre la hausse des cancers, la dégradation des oasis, l’appauvrissement des terres agricoles et l’effondrement de la pêche. Beaucoup ont exigé des solutions durables, une responsabilisation des acteurs publics et un respect du droit constitutionnel à un environnement sain.

Certains parlementaires ont également plaidé pour une décision nationale urgente concernant le démantèlement des unités vétustes du complexe chimique, en reprochant au ministère un manque de coordination avec les élus de la région.

Le député Abdelhalim Bousma a, pour sa part, soutenu une approche pragmatique : traiter au cas par cas les grandes entreprises industrielles publiques — notamment la CPG et le Groupe chimique tunisien — et envisager des partenariats public-privé pour alléger la charge financière de l’État.

Le ministre défend une approche graduelle

Face à un hémicycle tendu, la ministre de l’Industrie a assuré que Gabès figure parmi les priorités du gouvernement. Elle a également rappelé que l’État reste attaché à la préservation de l’emploi et des entreprises publiques, affirmant que le Président de la République suit personnellement ce dossier.

La ministre a évoqué l’existence de programmes urgents, mais aussi de plans à moyen et long terme visant à améliorer la production et renforcer le respect des normes environnementales.

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