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Heute — 24. Dezember 2025Haupt-Feeds

Météo: la CTN ajuste ses traversées vers Marseille et Gênes

24. Dezember 2025 um 11:36

En raison de mauvaises conditions météorologiques attendues sur le bassin méditerranéen entre le 25 et le 27 décembre 2025, la Compagnie tunisienne de navigation (CTN) a annoncé, le 23 décembre, des changements dans le programme de ses traversées pour garantir la sécurité et le confort de ses passagers.

Le voyage Tunis/Marseille/Tunis prévu du 24 au 26 décembre à bord du C/F Tanit est annulé. Les passagers concernés peuvent modifier leur réservation sans frais.

Pour compenser, le voyage Tunis/Gênes/Tunis du 25 au 27 décembre, initialement assuré par le C/F Carthage, sera assuré par le C/F Tanit. Les horaires sont les suivants: départ de Tunis le 25 décembre à 11h00, arrivée à Gênes le 26 décembre à 13h00, retour de Gênes le même jour à 17h00 et arrivée à Tunis le 27 décembre à 18h00.

Le voyage Tunis/Marseille/Tunis prévu du 28 au 30 décembre à bord du C/F Carthage se déroulera normalement: départ de Tunis le 28 décembre à 10h00, arrivée à Marseille le 29 décembre à 12h00, départ de Marseille le 29 décembre à 16h00 et retour à Tunis le 30 décembre à 18h00.

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La non ratification de l’accord Pan-Euro-Med révisé exposera les exportations tunisiennes à une taxe de 12%

24. Dezember 2025 um 11:08

À une semaine de l’échéance du 31 décembre 2025, le retard de ratification par la Tunisie de l’accord Pan-Euro-Med (PEM) révisé met en danger l’industrie exportatrice nationale. Cet accord permet aux entreprises tunisiennes d’exporter leurs produits vers l’Union Européenne en bénéficiant des règles de cumul d’origines euro-méditerranéennes, sans taxation à l’entrée de l’UE. Sans ratification, dès le 1er janvier 2026, les produits concernés seront soumis à des taxes pouvant atteindre 12%.

Dans un courrier adressé le 15 décembre à la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Haithem Bouagila, président de la Fédération Tunisienne de Textile et Habillement (FTTH), alerte sur les impacts économiques : perte de compétitivité des entreprises industrielles, baisse estimée des exportations de plusieurs centaines de millions d’euros, et difficultés pour des centaines d’entreprises dans tout le pays, menaçant environ 60 000 emplois.

Le secteur du textile et de l’habillement emploie directement plus de 155 000 personnes et exporte pour près de trois milliards d’euros. Face à une conjoncture internationale déjà tendue et à une concurrence égyptienne et turque forte, les entreprises tunisiennes risquent de perdre des parts de marché si l’accord n’est pas ratifié.

La FTTH explique la situation avec un exemple concret : une entreprise industrielle tunisienne fondée il y a quarante ans, employant 5 000 personnes et exportant pour environ 95 millions d’euros, utilise 50 % de tissus importés de Turquie. Sans ratification du PEM, elle devra appliquer une taxe de 12 % sur ses exportations vers l’UE, ce qui met en péril la moitié des emplois de l’entreprise et favorise la concurrence égyptienne.

Haithem Bouagila appelle l’État à intervenir rapidement, soulignant que le retard de ratification fragilise la confiance des partenaires internationaux et menace l’équilibre socio-économique du pays. Il dénonce également l’absence de réponses concrètes malgré les alertes répétées depuis plus de trois mois auprès des ministères du commerce, de l’industrie et de l’économie.

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3 nouveaux projets d’énergies renouvelables confirmés à Zaghouan, Tataouine et Gabès

24. Dezember 2025 um 09:37

La Tunisie franchit une nouvelle étape concrète dans sa transition énergétique avec la validation de trois projets majeurs d’énergies renouvelables, combinant éolien et solaire, capables de renforcer la production nationale d’électricité tout en réduisant significativement les coûts et les émissions de carbone.

Ces projets ont été confirmés par la Commission supérieure de la production privée d’électricité, lors de sa réunion tenue le 23 décembre 2025, selon un communiqué officiel de la Présidence du gouvernement tunisien. Ils s’inscrivent dans le cadre des appels d’offres nationaux pour la production d’électricité à partir des énergies renouvelables, via le régime des concessions.  

Le premier projet concerne la réalisation d’un parc éolien à Zaghouan, d’une capacité de 77,25 mégawatts, intégré à un appel d’offres global portant sur 600 MW d’énergie éolienne. Selon les estimations officielles, cette installation permettra de produire environ 290 gigawattheures par an, soit 1,3 % de la production nationale d’électricité. Elle devrait également générer une économie annuelle d’environ 60 000 tonnes équivalent pétrole de gaz naturel, ce qui représente près de 30 millions de dollars d’importations évitées. À cela s’ajoute une réduction des coûts de production de l’électricité estimée à 53 millions de dinars par an, ainsi qu’une baisse des émissions de dioxyde de carbone de l’ordre de 130 000 tonnes par an.

En parallèle, la commission a donné son feu vert à deux projets solaires photovoltaïques dans les gouvernorats de Tataouine et Gabès, chacun d’une capacité de 100 MW, dans le cadre d’un programme solaire global de 800 MW. Ces deux centrales devraient assurer une production combinée d’environ 550 GWh par an, soit près de 2,5 % de la production nationale d’électricité. Elles permettront d’économiser environ 110 000 tonnes équivalent pétrole de gaz naturel chaque année, de réduire les dépenses de production d’électricité d’environ 107 millions de dinars par an, et d’éviter l’émission de 253 000 tonnes de CO₂ par an.

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Voici ce que la Tunisie prévoit concrètement en matière d’énergies renouvelables. Détails

24. Dezember 2025 um 09:30

La Tunisie renforce sa stratégie énergétique en validant de nouveaux projets majeurs de production d’électricité à partir des énergies renouvelables, notamment l’éolien et le solaire. Ces projets s’inscrivent dans l’objectif national d’atteindre 35% d’électricité issue des énergies renouvelables à l’horizon 2030, tout en réduisant le déficit énergétique et la dépendance aux importations de gaz naturel.

Ces annonces ont été faites à l’issue de la réunion de la Commission supérieure de la production privée d’électricité, tenue le mardi 23 décembre 2025 au Palais du gouvernement à La Kasbah, sous la présidence de la cheffe du gouvernement.

La séance a permis de faire le point sur l’avancement des projets en cours dans le cadre du régime des concessions. À ce titre, la première centrale solaire photovoltaïque de 100 MW à Metbasta, dans le gouvernorat de Kairouan, est entrée en exploitation le 16 décembre 2025. Par ailleurs, les essais de fonctionnement ont débuté pour deux autres centrales solaires photovoltaïques de 50 MW chacune, situées à Mazzouna (Sidi Bouzid) et à Tozeur, avec une mise en exploitation prévue d’ici la fin de l’année 2025.

La commission a donné son feu vert au lancement de nouveaux appels d’offres pour la période 2026-2027. En 2026, des projets éoliens seront lancés à Tabaga (Kébili) pour 600 MW, à Jbel Abderrahmane (Nabeul) pour 400 MW et à El Guettar (Gafsa) pour 200 MW, ainsi que sur de nouveaux sites à Zaghouan, Beni Khédache (Médenine) et Fériana (Kasserine). Un projet solaire photovoltaïque de 350 MW, intégrant le stockage par batteries, est également prévu à Bazma, dans le gouvernorat de Kébili.

Enfin, la commission a approuvé le recours à la valorisation des crédits carbone, à travers les mécanismes prévus par les accords bilatéraux et les marchés volontaires. En clôture de la réunion, la cheffe du gouvernement a rappelé que la Tunisie a fait le choix d’exploiter l’ensemble des mécanismes juridiques disponibles, notamment le régime des concessions, pour concrétiser sa transition énergétique. Elle a également mis en avant le projet de connexion électrique Tunisie-Italie (ELMED), destiné à positionner le pays comme un hub régional de l’énergie propre.

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Secteur public: recrutement exceptionnel pour les diplômés chômeurs de longue durée

24. Dezember 2025 um 08:54

L’État tunisien vient de mettre en place un mécanisme exceptionnel pour recruter des diplômés de l’enseignement supérieur au chômage depuis plusieurs années dans le secteur public et la fonction publique. Cette mesure vise à apporter une réponse directe à la problématique persistante du chômage de longue durée chez les diplômés, en particulier les plus âgés et les plus vulnérables socialement.

Ce dispositif est prévu par la loi n°18 de l’année 2025, datée du 22 décembre 2025, publiée au Journal officiel de la République tunisienne (JORT) et entrée en vigueur immédiatement après sa publication. Le texte a été adopté par l’Assemblée des représentants du peuple et promulgué par le président de la République, Kaïs Saïed.

Concrètement, la loi prévoit un recrutement exceptionnel par dossiers dans les différentes structures publiques de l’État, sous la supervision du ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle. Une plateforme numérique dédiée sera créée afin de centraliser les candidatures et les données des diplômés concernés.

Les candidats seront classés selon des critères précis et hiérarchisés. La priorité sera accordée aux diplômés âgés de plus de 40 ans, à ceux dont l’obtention du diplôme remonte à plus de dix ans, à un seul membre par famille sans condition d’âge, ainsi qu’aux personnes en situation sociale fragile. Cette approche vise à instaurer un traitement différencié fondé sur l’équité plutôt que sur la seule ancienneté académique.

Pour être éligibles, les candidats doivent être inscrits dans les bureaux de l’emploi, ne pas avoir bénéficié de précédentes mesures de régularisation professionnelle, ne pas être affiliés de manière continue aux régimes de retraite et de sécurité sociale, ne pas avoir disposé d’un identifiant fiscal durant l’année précédant l’inscription sur la plateforme, et ne pas avoir contracté un crédit supérieur à 40 000 dinars auprès d’institutions financières ou bancaires.

Le recrutement se fera progressivement, par vagues successives, sur une période maximale de trois ans à compter de l’entrée en vigueur de la loi. Les postes vacants seront comblés en tenant compte de l’équilibre entre les différentes spécialités et les besoins réels des administrations publiques. Les personnes recrutées devront également passer par une phase de qualification et d’adaptation en fonction du poste ou de la fonction qui leur sera attribué.

Les données des candidats inscrits sur la plateforme seront mises à jour une fois par an, afin de garantir la transparence du processus et l’actualisation des situations individuelles.

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Gestern — 23. Dezember 2025Haupt-Feeds

Nouveau: la Tunisie 5e en Afrique en matière d’intelligence artificielle responsable

23. Dezember 2025 um 16:45

La Tunisie se classe 5ᵉ en Afrique dans le Global AI Worthiness Index 2025, un classement international qui évalue la capacité des États à développer, déployer et maintenir des systèmes d’intelligence artificielle fiables, gouvernables et alignés avec l’intérêt public. Avec un score de 57,00, le pays confirme son positionnement parmi les écosystèmes africains les plus structurés en matière d’IA, malgré des ressources limitées.

Il convient de préciser que ce classement est issu du Global AI Worthiness Index 2025, un rapport international consacré à l’évaluation des trajectoires nationales en intelligence artificielle. L’index ne mesure pas la puissance technologique brute, mais la capacité réelle d’un pays à construire une IA utile, responsable et durable, en tenant compte des contraintes économiques et institutionnelles.

Contrairement aux classements centrés sur la puissance de calcul ou les investissements massifs, le Global AI Worthiness Index adopte une approche plus fine et plus réaliste, notamment pour les pays émergents. Contrairement aux classements centrés sur la puissance

L’évaluation repose sur plusieurs piliers clés

  • la qualité des politiques publiques liées à l’IA
  • la capacité institutionnelle à exécuter ces politiques
  • la gouvernance, la transparence et l’alignement éthique
  • la gestion des données et la fiabilité des infrastructures
  • la profondeur des compétences, notamment avancées
  • la capacité à transformer l’IA en valeur publique mesurable

Focus Tunisie                                      

Avec un score de 57,00, la Tunisie se situe dans un groupe très serré comprenant le Kenya, le Maroc, le Nigeria et l’Éthiopie. Dans cette zone médiane du classement, les écarts sont faibles et les rangs se jouent sur des détails structurels.

Selon le même rapport, le  prochain facteur de différenciation pour la Tunisie et le Maroc  résidera probablement dans la qualité de l’exécution : la fidélisation des talents, la transformation de la recherche en produits et services publics, et la cohérence de la mise en œuvre des réformes au sein des institutions.

Le top 10 africain en 2025

Voici le classement africain selon le Global AI Worthiness Index 2025

  1. Afrique du Sud – 65,25
  2. Égypte – 63,50
  3. Rwanda – 61,75
  4. Kenya – 58,75
  5. Tunisie – 57,00
  6. Maroc – 56,67
  7. Nigeria – 56,25
  8. Éthiopie – 55,25
  9. Ghana – 53,67
  10. Maurice – 51,75

L’écart entre le premier et le dixième atteint 13,5 points, ce qui montre que le leadership continental reste réel, mais encore fragile et non consolidé.

Ce que révèle la hiérarchie africaine

La hiérarchie africaine du Global AI Worthiness Index 2025 révèle des trajectoires nationales très contrastées en matière d’intelligence artificielle. L’Afrique du Sud domine grâce à une approche à base large, plus lente mais plus résiliente, tandis que l’Égypte avance par l’échelle et la rapidité de déploiement. Le Rwanda se distingue par une coordination nationale ciblée et efficace, alors que le Kenya progresse porté par le dynamisme de son écosystème privé. La Tunisie et le Maroc affichent une convergence stratégique nord-africaine, avec des capacités proches dont la différenciation dépendra surtout de la qualité d’exécution. Le Nigeria illustre le paradoxe d’un grand marché freiné par une gouvernance fragmentée, tandis que le Ghana et Maurice ferment le top 10 avec un fort potentiel, mais des contraintes de capacité qui limitent leur montée en puissance à court terme.

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UGTT: démission de Noureddine Taboubi

23. Dezember 2025 um 14:16

Un changement majeur secoue l’Union générale tunisienne du travail. Le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, a présenté sa démission officielle ce mardi 23 décembre 2025.

D’après plusieurs sources, la lettre de démission a été déposée au bureau d’ordre central de l’organisation, ce qui lui confère un caractère administratif formel. Cette décision intervient dans un contexte de fortes tensions internes, marquées par des désaccords persistants au sein des instances dirigeantes de la centrale syndicale, notamment lors des récentes réunions de la commission administrative nationale .

Toutefois, la démission n’est pas encore effective. Conformément aux statuts de l’UGTT, elle doit être examinée par les instances compétentes, seules habilitées à statuer sur son acceptation ou son rejet. À ce stade, aucune confirmation officielle n’a été publiée par la centrale syndicale elle-même .

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La Tunisie dépasse les 11 millions de touristes

23. Dezember 2025 um 12:18

Pour la première fois, la Tunisie a franchi la barre des 11 millions de touristes. Cette performance reflète les efforts du ministère du Tourisme pour améliorer la qualité des services, développer la digitalisation, diversifier l’offre touristique et attirer des investissements de qualité.

Le 22 décembre 2025, le ministre du Tourisme, Soufiane Tekaya, a annoncé le lancement du programme « Tunisie capitale de la tourisme arabe 2027 » lors d’une cérémonie au théâtre municipal. L’événement a également présenté un film promotionnel pour la tourisme interne, réalisé par le Office National du Tourisme Tunisien, mettant en valeur la richesse culturelle, historique et naturelle du pays, avec la participation d’artistes et de créateurs de contenu de toutes les régions.

Le ministre a souligné que la croissance touristique ne se mesure pas uniquement en chiffres, mais aussi en termes de qualité et d’impact sur la compétitivité internationale de la Tunisie. Il a insisté sur la nécessité de poursuivre les investissements dans la qualité des services, la protection de l’environnement et le développement d’animations culturelles et touristiques innovantes. L’intégration de l’intelligence artificielle dans le secteur est également considérée comme stratégique pour améliorer la planification et les services sans réduire les emplois.

En matière d’investissements, la stabilité politique et sécuritaire du pays a permis d’attirer des marques touristiques internationales, renforçant la confiance dans la destination et favorisant le tourisme haut de gamme. Le ministre a rappelé que le tourisme interne reste un levier économique et social majeur, tout en soulignant l’importance de l’implication collective dans la propreté et la valorisation des villes.

Le programme « Tunisie capitale de la tourisme arabe 2027 » vise à positionner la capitale comme une destination arabe moderne et vivante, alliant patrimoine historique et vision contemporaine. Les récents développements dans l’investissement touristique, l’infrastructure, la valorisation du patrimoine et la dynamique culturelle confirment le potentiel de Tunis sur le plan arabe et international.

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IA responsable: une priorité stratégique pour les entreprises du futur

23. Dezember 2025 um 11:33

La mise en place d’une intelligence artificielle (IA) responsable est devenue une priorité stratégique pour les entreprises du monde entier. Selon le dernier Artificial Intelligence Index Report 2025, le développement d’IA éthique et sécurisée repose sur quatre dimensions essentielles: la protection de la vie privée et la gouvernance des données, la transparence et l’explicabilité, la sécurité et la sûreté, ainsi que l’équité.

La protection de la vie privée, la transparence, la sécurité et l’équité sont au cœur de la gouvernance de l’intelligence artificielle dans les entreprises.
La protection de la vie privée, la transparence, la sécurité et l’équité sont au cœur de la gouvernance de l’intelligence artificielle dans les entreprises.

Ce rapport, produit par l’AI Index, examine comment ces dimensions se traduisent concrètement dans le monde réel, notamment à travers des plateformes médicales qui utilisent l’IA pour recommander des traitements personnalisés. Par exemple, la protection des données des patients implique leur consentement explicite, tandis que l’explicabilité permet aux médecins de comprendre le raisonnement derrière les recommandations d’un système d’IA. Ces principes visent à renforcer la confiance et à réduire les risques liés à l’usage de l’IA.

Les incidents liés à l’IA sont en forte hausse. En 2024, 233 cas éthiquement préoccupants ont été signalés, soit une augmentation de 56,4 % par rapport à l’année précédente. Parmi eux, des erreurs de reconnaissance faciale au Royaume-Uni, des deepfakes d’images intimes aux États-Unis, et l’exploitation de l’identité de personnes décédées par des chatbots ont mis en lumière les enjeux éthiques et les lacunes des cadres réglementaires existants. Le rapport souligne que la plupart des incidents restent non signalés, ce qui suggère que l’ampleur réelle des problèmes pourrait être encore plus importante.

Le rapport note également que les benchmarks standardisés pour évaluer la sécurité et la responsabilité des IA restent limités. Si les modèles d’IA sont systématiquement testés sur des compétences générales (maths, langage, codage), peu de tests normalisés existent pour la sûreté et l’éthique. Certaines initiatives récentes, comme le Hughes Hallucination Evaluation Model, mesurent la tendance des modèles à générer des informations erronées ou inventées, un problème majeur pour les systèmes de traitement automatique du langage.

Du côté des entreprises, le rapport AI Index, en partenariat avec McKinsey & Company, révèle que l’intégration de l’IA responsable progresse mais varie fortement selon la taille des organisations. Dans un sondage mené auprès de 759 dirigeants dans plus de 30 pays, la sécurité de l’information est le département le plus souvent responsable de la gouvernance de l’IA (21 %), suivi des équipes de données et d’analytique (17 %), tandis que 14 % des entreprises ont créé des rôles dédiés à la gouvernance de l’IA. Les investissements dans la mise en œuvre de l’IA responsable sont significatifs, particulièrement chez les grandes entreprises : celles générant entre 10 et 30 milliards de dollars investissent jusqu’à 25 millions de dollars par an, tandis que les plus grandes dépassant 30 milliards investissent en moyenne 21 millions de dollars.

Ces tendances confirment que l’IA responsable n’est plus une simple question de conformité, mais un levier stratégique pour renforcer la confiance, limiter les risques et préparer les entreprises aux réglementations à venir. Pour les managers et décideurs, la priorité est claire : adopter des pratiques de gouvernance robustes et investir de manière proactive dans la sécurité, la transparence et l’équité des systèmes d’IA.

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Ces pays africains offrent une retraite plus réussie que la Tunisie

23. Dezember 2025 um 10:05

Prendre sa retraite n’est plus seulement une question de repos : c’est aujourd’hui une occasion de choisir un cadre de vie agréable, abordable et sûr. Chaque année, International Living publie son Annual Global Retirement Index, qui classe les pays du monde entier selon leur attractivité pour les retraités internationaux, en tenant compte du coût de la vie, du climat, de la santé et des options de visa.

En 2026, la Tunisie ne figure pas parmi les destinations les mieux classées. Pourtant, plusieurs pays africains se démarquent par leur capacité à offrir une retraite plus confortable et plus sereine.

À droite, la Grèce, classée parmi les meilleurs pays pour la retraite grâce à son climat, ses plages et sa qualité de vie. À gauche, la Tunisie avec Sidi Bou Saïd, absente du classement 2026 malgré ses charmes architecturaux.

Parmi eux, l’Afrique du Sud attire les retraités grâce à ses villes modernes comme Cape Town, ses paysages spectaculaires et un coût de la vie inférieur à celui de nombreuses métropoles occidentales. La communauté d’expatriés y est également importante, offrant un soutien pratique et social à ceux qui s’y installent.

Le Maroc se distingue par sa proximité avec l’Europe, son climat agréable et ses infrastructures de santé accessibles. Les retraités apprécient également la langue française largement parlée, qui facilite l’installation et l’intégration.

L’île Maurice, connue pour ses plages et son cadre insulaire, combine stabilité économique, services de santé fiables et environnement bilingue, séduisant les retraités en quête d’une vie paisible dans un cadre exotique.

D’autres destinations comme le Sénégal et le Kenya complètent ce panorama africain. Le Sénégal offre une stabilité relative et une ouverture culturelle qui séduisent les francophones, tandis que le Kenya attire ceux qui recherchent une retraite plus active, proche de la nature et des safaris.

À l’international, le top 5 mondial des meilleures destinations pour la retraite 2026 reste dominé par la Grèce, le Panama, le Costa Rica, le Portugal et le Mexique, grâce à un équilibre entre qualité de vie, coût abordable et soins de santé accessibles.

Le message est clair : même si la Tunisie n’apparaît pas dans le classement mondial, l’Afrique offre des alternatives attractives pour une retraite confortable, alliant climat agréable, coût de vie raisonnable et qualité de vie. Pour les retraités qui souhaitent profiter pleinement de cette étape de vie, ces pays africains méritent d’être considérés comme de véritables destinations de choix.

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Ce pays accueillera la première mine de niobium d’Afrique

23. Dezember 2025 um 09:06

Le projet minier Kanyika, développé par la société australienne Globe Metals & Mining, pourrait marquer une étape historique pour Malawi comme futur premier producteur de niobium à grande échelle en Afrique avec l’ouverture annoncée de la première mine de niobium à grande échelle en Afrique. Ce projet vise à offrir une alternative à un marché mondial largement dominé par le Brésil, qui concentre près de 90 % de l’approvisionnement mondial en niobium.

Le projet Kanyika devrait devenir la première mine de niobium à grande échelle du continent africain

Le niobium est un métal stratégique, principalement utilisé dans la sidérurgie pour renforcer l’acier, mais aussi dans des secteurs à forte valeur ajoutée comme l’électronique, la défense et les véhicules électriques. La dépendance à un seul pays producteur est régulièrement pointée comme une vulnérabilité pour les chaînes d’approvisionnement mondiales. 

Malgré son importance stratégique, le projet Kanyika accuse des retards. Plus d’un an après un premier report annoncé en 2024, les travaux de construction n’ont toujours pas débuté. Dans une mise à jour publiée le 19 décembre 2025, Globe Metals & Mining indique être encore en phase de mobilisation des financements et de préparation technique, repoussant ainsi la mise en production à 2028, contre une échéance initialement prévue en 2026.

Selon les estimations actuelles, la mine devrait produire environ 73 250 tonnes de pentoxyde de niobium et 3 240 tonnes de pentoxyde de tantale sur une durée de vie estimée à 23 ans. L’investissement total est évalué à 250 millions de dollars, pour des revenus cumulés attendus de 5,6 milliards de dollars sur l’ensemble de la période d’exploitation.

Plusieurs accords préliminaires de vente ont déjà été conclus avec des acteurs internationaux, signe de l’intérêt du marché pour cette future source africaine de niobium. Pour l’État hôte, le projet représente également une nouvelle source de recettes minières, avec une participation gratuite de 10 %, une redevance de 5 % sur les revenus et une contribution annuelle destinée aux communautés locales.

Si les prochaines étapes prévues en 2026 sont franchies avec succès, Kanyika pourrait jouer un rôle clé dans la diversification de l’offre mondiale en niobium, dans un contexte de croissance soutenue de la demande pour les métaux stratégiques.

 

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Nouvelle circulaire de la BCT sur la lutte contre le blanchiment d’argent

22. Dezember 2025 um 14:19

La Banque centrale de Tunisie (BCT) vient de publier, ce 22 décembre, la circulaire n°2025-17 qui renforce et élargit les règles de contrôle interne imposées aux banques et aux établissements financiers en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et, désormais de manière explicite, le financement de la prolifération des armes de destruction massive.
Le texte introduit une approche plus structurée et plus exigeante de l’évaluation des risques. Les établissements assujettis sont désormais tenus de mettre en place un dispositif formel d’identification, d’évaluation et d’atténuation des risques liés au blanchiment d’argent, au financement du terrorisme et au financement de la prolifération des armes de destruction massive. Cette évaluation doit prendre en compte le profil de la clientèle, les produits et services proposés, les technologies utilisées, ainsi que les zones géographiques concernées par les opérations.

Autre point clé : ces évaluations doivent être documentées dans un rapport actualisé au minimum tous les trois ans, ou plus fréquemment en cas de changement réglementaire ou de nouveaux risques identifiés au niveau national ou international. Les établissements devront être capables de justifier, à tout moment, la pertinence de leurs analyses et l’efficacité des mesures mises en place face à la Banque centrale.

La circulaire apporte également une définition claire du risque de financement de la prolifération des armes de destruction massive. Celui-ci couvre tout manquement ou contournement des sanctions financières ciblées décidées par les Nations Unies, notamment l’obligation de gel immédiat des avoirs des personnes ou entités désignées.

Sur le plan opérationnel, la BCT renforce les obligations de déclaration. Les transactions suspectes devront être signalées immédiatement via la plateforme goAML, conformément aux procédures définies par la Commission Tunisienne des Analyses Financières (CTAF). Les établissements sont aussi tenus de transmettre à la Banque Centrale, chaque trimestre, un état détaillé des avoirs gelés, qu’ils relèvent de sanctions onusiennes ou de décisions nationales liées à la lutte contre le terrorisme.

La gouvernance interne est également concernée. Les règles de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme sont désormais intégrées au code de déontologie des établissements financiers. Par ailleurs, la désignation du correspondant auprès de la CTAF et de son suppléant doit être communiquée à la BCT dans un délai maximum de cinq jours.

Enfin, la circulaire allège certaines données d’identification de la clientèle, avec la suppression de la mention « nombre d’enfants », tout en renforçant le reporting prudentiel et statistique lié aux dispositifs de contrôle interne.
Il convient de noter que la circulaire n°2025-17 entre en vigueur dès sa publication. Elle marque une nouvelle étape dans le renforcement de la transparence et de la conformité du secteur financier tunisien, dans un contexte international où la vigilance face aux flux financiers illicites est devenue un standard non négociable.

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Ces pays africains sont les meilleurs en matière d’écosystèmes d’entrepreneuriat numérique

22. Dezember 2025 um 12:16

Les pays africains progressent progressivement dans le développement de leurs écosystèmes d’entrepreneuriat numérique, portés par l’amélioration des infrastructures, la montée en compétences numériques et l’essor des startup technologiques. Cette dynamique est mise en lumière par l’édition 2025 du Digital Entrepreneurship Ecosystem Index, publié par The Vienna Institute for Global Studies (VIGS), qui évalue la capacité des pays à transformer la numérisation en opportunités entrepreneuriales durables .

En fait, ce classement international analyse les performances de 170 pays à partir de plus de 50 indicateurs, regroupés en quatre grands piliers. Il s’agit des infrastructures numériques, qui mesurent notamment la qualité des réseaux, l’accès à l’électricité et la sécurité des serveurs Internet, de la citoyenneté numérique, qui prend en compte les compétences digitales, les libertés en ligne et la cybersécurité, des plateformes numériques multi-faces, ainsi que de l’entrepreneuriat technologique, incluant l’accès au capital-risque, la présence d’incubateurs, le nombre de startup et d’applications développées localement. Chaque pays est noté sur une échelle allant de 0 à 100 points .

À l’échelle africaine, le classement 2025 montre une hiérarchie relativement stable, dominée par des pays ayant investi de longue date dans la transformation numérique. L’Afrique du Sud arrive en tête du continent, portée par un cadre réglementaire avancé dans les technologies de l’information, un marché numérique structuré et un écosystème de startup relativement mature. Elle est suivie de près par la République de Maurice, qui bénéficie d’un environnement favorable aux affaires et d’une stratégie numérique cohérente, puis par le Maroc, qui s’impose comme un hub régional en matière de services numériques et d’innovation technologique .

D’autres pays, comme la Tunisie et l’Égypte, confirment leur position grâce à un capital humain qualifié et à une base croissante d’entreprises technologiques, tandis que des économies plus petites, à l’image du Cap-Vert ou du Botswana, tirent leur épingle du jeu grâce à des progrès ciblés dans les infrastructures et la gouvernance numérique .

Classement 2025 des 10 premiers pays africains en matière d’écosystèmes d’entrepreneuriat numérique

  1. Afrique du Sud (59e rang mondial)
  2. Maurice (60e)
  3. Maroc (83e)
  4. Tunisie (87e)
  5. Égypte (92e)
  6. Cap-Vert (93e)
  7. Botswana (101e)
  8. Kenya (104e)
  9. Ghana (105e)
  10. Algérie (111e)

Au-delà du classement brut, l’étude souligne une tendance clé : l’Afrique subsaharienne affiche la plus forte progression relative au monde entre 2017 et 2022. Même si son score moyen reste inférieur à celui des régions développées, cette progression traduit une accélération réelle, notamment dans les domaines des infrastructures numériques et de la citoyenneté numérique. Autrement dit, les pays africains partent de plus loin, mais avancent plus vite proportionnellement.

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Déclaration pays par pays: les entreprises concernées doivent déposer avant cette date

22. Dezember 2025 um 10:20

Les entreprises établies en Tunisie soumises à l’obligation de la Déclaration pays par pays (DPP) devront déposer leurs déclarations relatives à l’exercice 2024 au plus tard le 31 décembre 2025. L’annonce a été faite par le ministère des Finances à travers un avis officiel publié par la Direction générale des impôts (DGI).

Cette obligation s’inscrit dans le cadre de l’application de l’article 17 ter du Code des droits et procédures fiscaux (CDPF), qui encadre le reporting fiscal des groupes d’entreprises multinationales opérant en Tunisie. L’objectif est de renforcer la transparence fiscale et de faciliter l’échange automatique d’informations entre administrations fiscales, conformément aux standards internationaux portés notamment par l’OCDE.

Selon la DGI, sont tenues de déposer la Déclaration pays par pays, en premier lieu, les entreprises ayant la qualité d’entité mère ultime d’un groupe d’entreprises multinationales. Sont également concernées les entreprises établies en Tunisie ayant la qualité d’entité constitutive d’un groupe multinational, lorsque certaines conditions spécifiques sont réunies. Il s’agit notamment des cas où l’entreprise mère est établie dans une juridiction qui n’exige pas le dépôt de la DPP ou dans une juridiction ne figurant pas sur la liste des pays ayant conclu avec la Tunisie un accord autorisant l’échange automatique de cette déclaration.

Le dépôt de la DPP s’effectue exclusivement en ligne via le portail officiel de l’administration fiscale jibaya.tn, dans la rubrique « Déclaration pays par pays ». Les entreprises concernées doivent respecter le schéma XSD ainsi que le cahier des charges techniques publiés sur la même plateforme, conditions indispensables pour que la déclaration soit recevable.

Le communiqué précise également qu’en présence de deux ou plusieurs entités constitutives d’un même groupe multinational résidentes en Tunisie, une seule entité peut être désignée pour assurer le dépôt local de la DPP. Les autres entités doivent alors notifier l’administration fiscale de cette désignation à travers la plateforme dédiée. Cette mesure vise à éviter les doublons et à simplifier les obligations déclaratives au sein d’un même groupe.

Enfin, l’accès à la plateforme de dépôt et de notification est conditionné par la détention d’un certificat électronique d’authentification DigiGO. L’administration fiscale recommande vivement aux entreprises de vérifier la validité de ce certificat avant d’entamer les procédures, afin d’éviter tout blocage technique à l’approche de l’échéance.

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5 Tunisiens figurent parmi les «100 Africains les plus influents en 2025»

22. Dezember 2025 um 09:00

Le classement annuel des 100 Africains les plus influents a été publié le 19 décembre par le New African Magazine.

Ce palmarès met en lumière des leaders, innovateurs et penseurs qui ont marqué l’année 2025 par leurs contributions significatives à l’échelle du continent africain et dans le monde.

En fait, l’influence se mesure ici au-delà des titres officiels : il s’agit de personnes dont le travail transforme des secteurs entiers — de la finance à la technologie, en passant par la culture, la politique ou encore l’activisme social.

Le classement répartit ces 100 personnalités dans sept catégories clés, chacune représentant un domaine stratégique du développement africain :

  • Affaires et finances : 21 personnalités
  • Créatifs : 19 personnalités
  • Penseurs et leaders d’opinion : 15 personnalités
  • Fonction publique : 15 personnalités
  • Sports : 13 personnalités
  • Acteurs du changement social : 9 personnalités
  • Technologies : 8 personnalités

Une des grandes tendances de l’édition 2025 est l’ascension du secteur des affaires et de la technologie, avec notamment une forte représentation de chefs d’entreprise, investisseurs et innovateurs en intelligence artificielle.

Il convient de noter que la liste officielle représente 32 pays africains, avec des personnalités issues d’une grande variété de contextes socio-économiques. Parmi ces pays, le Nigeria est le plus représenté avec 21 personnalités, suivi de l’Afrique du Sud (10), du Kenya (7), du Ghana (7) et de la Tunisie (5). Cette diversité géographique reflète les dynamiques régionales en Afrique, où des hubs de leadership émergent sur différents axes — qu’il s’agisse de hubs technologiques en Afrique de l’Est, de pôles financiers en Afrique du Sud ou de centres culturels en Afrique de l’Ouest.

Zoom sur les Tunisiens présents dans le classement

La Tunisie se distingue avec cinq personnalités figurant dans le classement, une performance qui place le pays dans le top 5 des nations les plus représentées :

  • Hazem Ben Gacem – investisseur et co-fondateur de BlueFive Capital.
  • Lotfi Karoui – financier et directeur général chez PIMCO.
  • Semia Gharbi – activiste écologiste reconnue internationalement.
  • Myriam Ben Salah – conservatrice d’art et directrice artistique.
  • Fadhel Kaboub – économiste et conseiller en politique mondiale.

Leur présence illustre comment la Tunisie se positionne comme un acteur clé dans des domaines variés, de la finance mondiale à l’activisme social et à la culture.

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Malte veut investir 520 millions d’euros dans une centrale solaire de 350 MW à Gafsa

19. Dezember 2025 um 12:26

Une délégation maltaise de HandsOn Systems Ltd. a annoncé, jeudi 18 décembre 2025, son intention de développer un projet d’investissement majeur en Tunisie : la construction d’une centrale solaire photovoltaïque de 350 MW dans la région de Gafsa, au sud du pays, pour un montant total estimé à 520 millions d’euros.

La visite, organisée par FIPA-Tunisia, a été l’occasion pour les représentants de la société maltaise de présenter leurs activités. HandsOn Systems Ltd. est spécialisée dans les solutions de suivi GPS et de gestion de flotte, la gestion d’actifs via RFID, les solutions énergétiques intelligentes et les plateformes IoT pour la collecte et le traitement de données. La délégation, conduite par Geoffrey Farrugia, directeur général, était accompagnée de Ahmed Marwan, directeur technique, et Marouen Ketat, directeur Afrique.

La délégation maltaise a exprimé sa satisfaction quant au climat des affaires tunisien et a réaffirmé sa volonté d’étendre ses investissements dans le pays, tout en explorant de futurs projets technologiques et énergétiques.

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15,4 millions de dinars pour financer la transition énergétique en Tunisie

19. Dezember 2025 um 12:09

Un nouveau levier financier vient d’être réactivé pour soutenir la transition énergétique en Tunisie. L’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME) et la Société tunisienne de garantie (SOTUGAR) ont signé, le jeudi 18 décembre 2025, un accord de partenariat visant à remettre en service le fonds de garantie dédié aux projets d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables.
L’objectif est clair : faciliter l’accès au financement pour les entreprises qui souhaitent investir dans la maîtrise de l’énergie et les solutions énergétiques durables.

Concrètement, cet accord permet de réactiver le fonds de garantie de l’efficacité énergétique, un mécanisme existant mais resté peu mobilisé ces dernières années. Ce fonds est géré par la Société tunisienne de garantie dans le cadre d’un accord initial conclu avec l’ANME le 1er septembre 2004. Il a été mis en place pour sécuriser les prêts bancaires accordés aux projets énergétiques, en réduisant le risque supporté par les banques.

Ce dispositif a été créé dans le cadre d’un projet pilote d’efficacité énergétique, financé par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) en coopération avec la Banque mondiale. Il visait à soutenir les projets de maîtrise de l’énergie réalisés par les industriels, notamment via les sociétés de services énergétiques, un modèle encore peu connu mais stratégique pour améliorer la performance énergétique des entreprises.

Aujourd’hui, le fonds dispose d’une enveloppe financière estimée à 15,4 millions de dinars. Grâce à la nouvelle convention, ces ressources seront réaffectées au financement de projets liés à la transition énergétique, sous forme de crédits à moyen et long terme. Un plafond d’engagement sera fixé afin de préserver l’équilibre financier et assurer la pérennité du fonds.

Au-delà des chiffres, cette initiative apporte une réponse concrète à un frein majeur rencontré par les entreprises : la difficulté d’accéder au crédit pour des projets énergétiques souvent perçus comme risqués ou à retour sur investissement différé. En garantissant une partie des prêts, le fonds rassure les banques et encourage l’investissement privé dans un secteur clé.

Cette relance s’inscrit dans une vision plus large visant à accélérer la transformation du système énergétique tunisien. En soutenant l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, l’accord contribue à la réduction de la dépendance énergétique, à la maîtrise des coûts pour les entreprises et au renforcement de la résilience économique face aux chocs énergétiques.

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L’Égypte a-t-elle vraiment augmenté ses frais de visa ?

19. Dezember 2025 um 08:14

Depuis plusieurs jours, des informations circulent faisant état d’une hausse des frais de visas d’entrée en Égypte, évoquant un passage de 25 à 45 dollars. Ces annonces, largement relayées sur certains sites et réseaux sociaux, ont suscité des interrogations chez les voyageurs et les professionnels du tourisme. Face à cette confusion, le ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités a tenu à clarifier officiellement la situation. 

Dans un communiqué publié début décembre 2025, le ministère affirme qu’aucune augmentation des frais de visa n’est actuellement appliquée. Les autorités démentent formellement les informations faisant état d’un changement immédiat des tarifs et précisent qu’aucune décision exécutive n’a été adoptée en ce sens. Selon le communiqué, ces rumeurs reposent sur une interprétation erronée de récentes évolutions législatives .

Le cadre de cette polémique est lié à la loi n°175 de 2025, récemment publiée au Journal officiel. Ce texte prévoit la possibilité de fixer un plafond maximal pour certains frais de visa et services consulaires. Toutefois, le ministère insiste sur un point essentiel : ce plafond ne signifie pas une hausse automatique des prix. Il s’agit d’un cadre légal qui ne devient effectif qu’en cas de décisions réglementaires ultérieures, lesquelles n’ont pas encore été prises .

Sur le terrain, aucun changement n’a été constaté. Les frais en vigueur demeurent de 25 dollars pour un visa touristique à entrée unique et de 60 dollars pour un visa à entrées multiples. Ces montants s’appliquent aussi bien aux visas délivrés à l’arrivée qu’à ceux demandés via le portail officiel de l’e-Visa ou auprès des représentations diplomatiques égyptiennes. 

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Sotuver cède plus de 40% de son capital…

18. Dezember 2025 um 17:01

La Société tunisienne de verreries (Sotuver) vient d’annoncer que ses actionnaires de référence ont signé le 16 décembre 2025 la documentation contractuelle pour la cession de 41,28 % de son capital à B.A Glass BV, société du groupe BA Glass, l’un des principaux acteurs mondiaux de l’industrie de l’emballage en verre.

Actuellement, la Compagnie Financière d’Investissement, agissant de concert avec des personnes physiques et morales du groupe Bayahi, détient 82,56 % du capital de Sotuver.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une revue stratégique de l’actionnariat, visant à accompagner le développement à long terme de l’entreprise, renforcer sa structure financière et soutenir ses perspectives de croissance.

La réalisation effective de la cession reste soumise aux conditions suspensives usuelles, notamment l’obtention des autorisations réglementaires nécessaires. Sotuver a précisé qu’elle tiendra le marché informé de toute évolution significative relative à cette opération, conformément à la réglementation en vigueur.

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