À la veille d’affronter Barcelone en Ligue des champions, l’entraîneur de Chelsea, Enzo Maresca, a insisté sur l’importance d’une défense collective et agressive. Le technicien italien juge nécessaire d’aborder ce rendez-vous avec un plan clair, face à une équipe catalane capable de multiplier les occasions et de marquer régulièrement.
Maresca veut une défense compacte et agressive
En conférence d’avant-match, Maresca a rappelé que Barcelone dispose d’une force offensive étendue. Selon lui, il faudra « essayer de défendre en équipe, de manière agressive » pour limiter les espaces et contrer une attaque qu’il juge difficile à contenir sur la durée.
Le manager souligne que les Catalans concèdent souvent des buts, mais restent dangereux. « Ils se créent beaucoup d’occasions, ils marquent toujours beaucoup de buts. Nous devons trouver le bon équilibre entre attaquer et défendre », a-t-il expliqué. L’objectif reste de maintenir une structure cohérente tout en gardant une capacité de transition.
Ne pas se focaliser sur Lewandowski
Pour Maresca, Chelsea ne doit pas centrer sa préparation uniquement sur Robert Lewandowski. L’attaquant polonais représente une menace, mais il n’est pas le seul danger. « C’est un joueur fantastique », admet-il, avant de rappeler que Barcelone peut aussi compter sur Lamine Yamal, Fermin Lopez ou encore Frenkie de Jong.
Il a précisé que, comme souvent, son équipe tenterait de défendre collectivement et avec agressivité puisque « il y a tellement de joueurs » à surveiller dans les rangs adverses.
Un choc attendu à Stamford Bridge
La rencontre devrait offrir un spectacle de haut niveau. Estevao, ailier droit de 18 ans, constitue l’un des points d’intérêt côté Chelsea. Le jeune joueur, décrit comme spectaculaire dans le texte fourni, attire l’attention avant cette affiche européenne.
Le duel s’annonce équilibré. Chelsea avait commencé sa campagne européenne par une défaite contre le Bayern Munich, avant de se relancer grâce à deux victoires face à Benfica et l’Ajax. Les « Blues » ont ensuite été tenus en échec 2-2 par Qarabag en Azerbaïdjan.
Deux équipes au bilan identique
Barcelone affiche le même parcours. Les Catalans comptent deux succès, obtenus contre Newcastle et l’Olympiakos. Leur défaite est survenue face au Paris Saint-Germain, avant un match nul contre Bruges. Cette similarité de trajectoire renforce l’enjeu du match de mardi, qui pourrait peser sur la suite de la phase de groupes.
Le procès de l’homme d’affaires et activiste politique Khayem Turki, en détention depuis février 2023, a de nouveau été reporté ce jeudi 20 novembre 2025.
La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière près le Tribunal de première instance de Tunis a décidé un report pour le mois de janvier prochain.
On notera que Khayem Turki est poursuivi dans des affaires de corruption financière, sachant qu’il a est également en détention dans le cadre de l’affaire dite de complot contre la sûreté de l’État.
Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, en février 2022, la Pologne, membre de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (Otan) et de l’Union européenne (UE), est devenue la principale plaque tournante de l’aide militaire et humanitaire à son voisin ukrainien, ce qui en fait une cible pour les saboteurs qui chercherait à l’impliquer dans la guerre russo-ukrainienne…
Habib Glenza
Après la destruction à l’explosif dans le centre de la Pologne d’une portion de voie ferrée sur une ligne cruciale pour le transport de passagers, d’armes et de marchandises vers l’Ukraine, le Premier ministre polonais, Donald Tusk, a écrit sur X, lundi 17 novembre 2025, après s’être rendu sur le lieu de l’incident à Mika, à 100 km au sud-est de Varsovie : «Faire exploser une voie ferrée est un acte de sabotage sans précédent visant la sécurité de l’État polonais et de ses citoyens».
Le parquet a ouvert une enquête pour «sabotage à caractère terroriste», selon un communiqué publié au lendemain de la découverte des dégâts sur cette voie ferrée transportant des approvisionnements vers l’Ukraine, qui lutte contre l’invasion russe
Utilisée quotidiennement par 115 trains différents, la voie sabotée est aussi d’une importance cruciale pour acheminer l’aide vers l’Ukraine, a cru devoir rappeler le, estimant que l’atteinte à cette portion de voie «visait probablement à faire dérailler un train», ce qui a pu être évité grâce à la vigilance d’un conducteur qui a repéré les dommages et sonné l’alarme à temps. Personne n’a été blessé.
A qui profite le crime ?
Le ministre de l’Intérieur, Maciej Kierwinski, a précisé à la presse que l’explosion a été déclenchée via un câble dont un fragment a été retrouvé sur place. Il a évoqué aussi deux autres incidents signalés depuis sur la même ligne ferroviaire, sujette désormais à des analyses. Selon lui, un caténaire a été endommagé sur quelques dizaines de mètres, à proximité de la ville de Pulawy, ce qui a provoqué l’immobilisation d’un train, et quelques centaines de mètres plus loin, «un collier» a été posé sur un des rails, mais sans provoquer d’accident.
Le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, a déclaré, lundi, à Bruxelles, que l’Alliance restait «en contact étroit avec les autorités polonaises» sur ce sujet, en attendant les résultats d’une enquête, lancée immédiatement par les services polonais.
De son côté, le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, a exprimé sa «solidarité avec la Pologne amie» et promis l’aide ukrainienne à l’enquête en cours «si nécessaire». Selon lui, il pourrait s’agir d’une «autre attaque hybride de la Russie – pour tester les réactions».
Une autre piste doit être également examinée : et si les va-en-guerre européens, sentant la fin du conflit russo-ukrainien tourner à l’avantage des Russes, cherchent-ils à entraîner la Pologne et, par ricochet l’Otan, dans ce conflit ?
Les enquêteurs révèlent l’existence d’une organisation criminelle de haut niveau opérant dans les secteurs de l’énergie et de la défense en Ukraine. Conséquence immédiate : les démissions de la ministre de la Justice Svitlana Gryntchouk et de son collègue de l’Energie Guerman Galouchtchenko. Le scandale concerne un détournement de fonds publics d’un montant de 100 à 150 millions d’euros par une organisation criminelle au sein de l’Etat dirigé par Volodymyr Zelenski.(Photo : L’Ukraine qui se bat et l’Ukraine qui se sucre. En médaillon : Zelensky et son ami Minditch).
Habib Glenza
Pour pouvoir continuer ses activités, l’entreprise publique Energoatom était obligée de verser des pots-de-vin. L’instigateur principal de ce détournement de fonds est un proche de Zelensky, Timour Mindich, principal associé dans la société de Zelensky lorsqu’il était acteur. Minditch n’a pas été arrêté car il a quitté très opportunément l’Ukraine deux heures avant l’arrivée des agents de la police criminelle pour l’arrêter. Cherchez l’erreur !
D’après certains médias ukrainiens, Minditch s’est réfugié en Israël d’où il ne risque pas d’être extradé.
Les enquêteurs ne révèlent pas de noms de complices parce que l’enquête n’est pas encore terminée. Mais les Ukrainiens se demandent s’il n’y a pas une complicité entre Minditch et Zelensky ? Dans ce cas, la marionnette de l’Occident à la tête de l’Ukraine serait lui aussi concerné par les soupçons de corruption.
Beaucoup d’Ukrainiens refusent de combattre
Alors que les bombardements russes s’intensifient contre son pays, Zelensky tente, désespérément, de mobiliser son peuple pour le combat, mais cela n’est pas facile. Kiev est engagé dans une guerre contre Moscou depuis près de quatre ans et un grave manque de soldats est signalé par les généraux de l’armée.
C’est dans cette position délicate que se trouve, aujourd’hui, à l’insu de son plein gré, Zelensky, qui réclame, en vain, plus d’hommes pour renforcer les défenses du pays, sachant que les besoins des chefs militaires s’élèvent à 450 000 à 500 000 nouveaux soldats.
Tout en excluant totalement la mobilisation de femmes pour l’armée, Zelensky demande des détails sur ce que 500 000 soldats supplémentaires vont coûter aux contribuables ukrainiens. Le coût global de cette mobilisation s’élèverait, selon les experts, à 13,4 milliards de dollars. Il faudrait donc, au moins, six contribuables pour un soldat, et Zelensky se demande où le pays pourrait trouver trois millions de nouveaux contribuables pour financer les nouvelles troupes demandées par l’armée, rapporte le journal ukrainien de langue anglaise Kyiv Post.
Cependant, et même si l’Ukraine parvenait à trouver le financement nécessaire à la mobilisation de ces 500 000 hommes supplémentaires exigés par l’armée, il est tout à fait possible qu’il n’y ait pas assez d’hommes disponibles, aptes au service ou n’ayant pas encore servi sur les lignes du front.
Selon les statistiques du ministère ukrainien de la Défense, citées par le journal américain The Hill, l’Ukraine compte déjà 800 000 soldats, un chiffre qui n’inclut pas la garde nationale.
Après les nombreux problèmes rencontrés depuis le début de la guerre, les autorités de Kiev ont cherché à faciliter la mobilisation de nouveaux combattants. Mais si le pays compte aujourd’hui au total d’un million d’hommes en uniforme, il n’est pas facile de déterminer combien de soldats supplémentaires le pays pourrait encore mobiliser.
Désertion, corruption et pots-de-vin
Par ailleurs, un nombre croissant de personnes peu disposées à partir à la guerre cherchent à obtenir des exemptions médicales auprès des fonctionnaires en échange de sommes d’argent. Un rapport de l’agence de presse internationale Reuters révèle que l’Ukraine souffre d’un grave problème de pots-de-vin et de corruption.
Zelensky a lui-même avoué qu’«il existe des exemples de régions où le nombre d’exemptions du service militaire suite à des décisions de la commission médicale a été multiplié par dix depuis février de l’année dernière». Certaines personnes soudoient des fonctionnaires avec des sommes allant de 3 000 à 15 000 dollars pour obtenir une exemption médicale, a expliqué le président ukrainien, en ajoutant : «La nature de ces décisions est tout à fait claire. Des décisions corrompues».
Selon les informations fournies par l’agence Reuters, Zelensky a également révélé qu’il était possible que plusieurs milliers de personnes aient fui le pays grâce à une exemption médicale. Ce chiffre a été calculé à partir d’une analyse indépendante. Et il semble, d’après une enquête de la BBC, effectuée en novembre, que 21 113 personnes ont été capturées alors qu’elles tentaient de fuir et 20 000 avaient fui l’Ukraine pour éviter la guerre, entre février 2022 et août 2023.
Beaucoup d’Ukrainiens ne veulent pas risquer leur vie pour défendre leur pays contre la Russie. C’est, en tout cas, ce que révèlent les problèmes de conscription et de corruption.
Un propriétaire d’usine a déclaré au journal britannique The Guardian en août 2023 : «Il y a deux catégories de personnes : l’une est déjà dans l’armée, et l’autre a trop peur de sortir parce qu’elle pourrait être enrôlée, et aucun salaire ne la fera sortir de chez elle». Cette situation doit probablement prévaloir encore aujourd’hui. Si elle ne s’est pas aggravée entretemps…
La Délégation générale Wallonie-Bruxelles en Tunisie organise une présentation de l’ouvrage ‘‘Les femmes et l’art au Maghreb’’ (Éditions Le Fennec, Maroc),le samedi 15 novembre 2025 de 18h à 20h à l’auditorium du Musée du Bardo.
La présentation se fera en présence des co-directrices de l’ouvrage Nadia Sabri (directrice du Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain, Rabat et présidente de l’Aica au Maroc, et Rachida Triki, philosophe, critique d’art et universitaire en Tunisie.
«Créant un espace commun de parole et une visibilité aux créatrices et actrices culturelles œuvrant au Maroc, en Algérie et en Tunisie, les deux autrices de ce livre invitent une vingtaine de femmes artistes, des commissaires d’exposition, des historiennes de l’art, des journalistes culturelles, et des directrices de musées et d’espaces d’art, à s’exprimer sur leurs projets et vécus en tant que professionnelles de l’art.
Initiées lors du colloque de Rabat en 2021, co-organisé par l’Aica-Maroc et l’Aica International (l’Association internationale des critiques d’art), les contributions documentées et approfondies dans ce livre, sont représentatives de l’écosystème artistique maghrébin où les femmes partagent souvent le même vécu et sont confrontées aux mêmes challenges pour s’affirmer.»
Ls contributeurs.trices sont Rita El Khayat, Anissa Bouayed, Brahim Alaoui, Meryem Sebti, Jacques Leenhardt, Farid Zahi, Sayda Ben Zineb, Khadija Tnana, Amina Menia, Najah Zarbout, Safaa Erruas, Fatima Chafaa, Najet Dhahbi, El Meya, Malika Bouabdellah Dorbani, Maroua Cherkaoui, Emna Ben Yedder, Elisabeth Piskernik, Myriam Amroun, Wafa Gabsi, Nouha Ben Yebdri, Wassyla Tamzali.
Après plus de 28 ans passés au service des enfants et de l’humain, la grande famille de l’Association Tunisienne des Villages d’Enfants SOS (ATVESOS) rend un hommage à Madame Olfa Jerad Rekrouki, sacrée « Mère des Mères ».
Pour son dévouement inestimable, son amour sans faille et son expertise qu’elle a généreusement partagés avec les enfants, les jeunes, les mères SOS et toutes les équipes de l’association, elle a reçu le titre et le trophée plus que mérités, commente l’association.
Olfa Jerad Rekrouki « Mère des Mères », a été honorée en reconnaissance d’un parcours professionnel et humain dont l’empreinte restera dans chaque cœur qu’elle a touché
Trois ans après l’affaire Hambli, la Tunisie retrouve une place de choix dans la gouvernance mondiale de la lutte antidopage
L’Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé l’élection de la Tunisienne Hala Kouki au sein de sa Commission consultative des experts, représentant le continent africain. Une désignation qui consacre le retour de la Tunisie sur la scène internationale, après plusieurs années de turbulences institutionnelles dans le secteur de l’antidopage.
De la crise Hambli à la normalisation
En 2023, la Tunisie avait traversé une crise ouverte avec l’AMA, après l’arrestation du directeur général de l’Agence nationale antidopage (ANAD), Mourad Hambli. L’organisation mondiale avait alors réagi avec fermeté, dénonçant une « injustice » et réclamant sa libération immédiate, estimant que cette détention portait atteinte à l’indépendance du système antidopage tunisien.
Le différend trouvait son origine dans une décision de non-conformité prononcée contre l’ANAD par l’AMA, reprochant à la Tunisie de ne pas respecter certains standards internationaux du Code mondial antidopage. Cette sanction avait conduit à la suspension provisoire de certains droits sportifs du pays — dont l’interdiction de faire flotter le drapeau tunisien lors d’un tournoi de natation à Radès — avant d’entraîner le limogeage de Hambli et sa détention préventive, dans un contexte institutionnel tendu.
Depuis, l’affaire a été close, Mourad Hambli a été libéré, et la Tunisie a procédé à une réorganisation complète de son agence antidopage. L’ANAD a retrouvé sa conformité, et ses relations avec l’AMA se sont normalisées, ouvrant la voie à une coopération renouvelée.
Une représentante tunisienne à l’échelle mondiale
L’élection de Hala Kouki à la Commission consultative des experts de l’AMA marque un tournant symbolique. Candidate de la Tunisie pour l’Afrique, elle a obtenu 8 voix, devançant l’Égyptienne Iman Gomaa (7 voix), tandis que les représentants d’Afrique du Sud et du Cap-Vert ont obtenu chacun 5 voix.
Cette commission, composée de dix membres élus pour trois ans représentant les cinq zones continentales, a pour mission de formuler des recommandations techniques et stratégiques à l’AMA, afin d’améliorer la coordination entre agences nationales.
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