L’école d’ingénieurs de la South Mediterranean University, MedTech, accréditée Abet, a célébré son 10e anniversaire. Une décennie d’excellence académique et d’innovations technologiques. Cet événement exceptionnel a réuni les membres de la communauté, des partenaires et des anciens élèves de MedTech marquant un jalon important pour l’institution.
Depuis sa création, MedTech s’est engagée à offrir une formation d’excellence en ingénierie avec une portée internationale, préparant ses étudiants à devenir des leaders dans un monde globalisé. L’accréditation de renommée Abet témoigne de la qualité et de la rigueur de ses programmes académiques, alignés avec les normes internationales les plus élevées.
La célébration s’est déroulée sur deux événements. Une soirée réunissant partenaires, staff, professeurs, représentants des étudiants et alumni. Au programme, des discours inspirants du président, du doyen, du conférencier invité, ainsi que des témoignages d’alumni et d’étudiants. La soirée a été l’occasion de mettre en lumière les réussites de la communauté MedTech et de renforcer les liens avec le réseau de partenaires et les anciens élèves.
Avec le deuxième événement, sur campus, les étudiants ont célébré les dix ans de MedTech avec des activités, des expositions de leurs projets ainsi qu’avec des animations de divers clubs de l’institution.
«Nous sommes fiers de célébrer cette décennie de succès et d’impact dans le domaine de l’ingénierie. La collaboration avec nos partenaires et le soutien de nos Alumni ont été essentiels pour atteindre ce niveau d’excellence. Nous sommes impatients de continuer à innover et à former des ingénieurs prêts à relever les défis de demain», a déclaré Hichem Kallel, doyen de MedTech.
Fondée en 2014, le Mediterranean Institute of Technology (MedTech) est la première école d’ingénieurs anglophone en Tunisie, offrant une formation d’excellence basée sur une approche pédagogique interactive et des programmes alignés aux normes internationales. En tant qu’institution sœur de la MSB, MedTech met un fort accent sur l’innovation et la recherche, les nouvelles technologies ainsi que le développement des compétences interpersonnelles.
Hichem Kallel, le doyen.Mahmoud Triki, president-fondateur.
Homologuée par le ministère de l’Enseignement supérieur, ses programmes de spécialisations en génie logiciel, systèmes informatiques, et énergies renouvelables, se distinguent par l’engagement de MedTech à la conformité aux normes tunisiennes. D’autre part, et en guise d’ouverture à l’international, son accréditation Abet ne peut que témoigner de son excellence académique et de la reconnaissance mondiale de ses diplômes.
Le département des lettres de l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts Beit al-Hikma organise le vendredi 4 avril 2025 (11H00) une rencontre sur la littérature tunisienne de langue française autour de la présentation de l’ouvrage “Ecrivains francophones de Tunisie” (2023, Editions Déméter) d’Afifa Chaouachi Marzouki, professeure émérite à l’Université de la Manouba.
Cette rencontre sera l’occasion de découvrir le travail de l’auteure, lauréate du Prix Zoubeida Bchir des écrits de femmes tunisiennes en 1997, dont les recherches portent sur la littérature française des XIXe et XXe siècles, ainsi que sur la littérature francophone en particulier Albert Memmi.
“Les années cinquante,(..) marquent un (…) tournant dans cette littérature tunisienne francophone. A la veille de 1956, date de l’indépendance, commence, en effet, une période de transition vers une littérature autonome, tournée vers les Tunisiens, une littérature des premiers éveils et des premières revendications. On y voit émerger les premières remises en cause et des préoccupations nouvelles : avec elle nous entrons dans “l’ère du soupçon”, matérialisée d’abord et sur le mode majeur par Albert Memmi et son premier roman “La Statue de sel” publié en 1953 et auquel le célèbre essai “Portrait du colonisé” vient succéder en 1957 . Dès lors (..), on voit émerger petit à petit quelques-uns des autres grands écrivains francophones contemporains”(résumé du livre).
Dans cet ouvrage de 192 pages, Afifa Chaouachi Marzouki analyse les œuvres de plusieurs poètes et prosateurs francophones tunisiens, parmi lesquels figurent des noms incontournables dont Salah Guermadi, Moncef Ghachem, Albert Memmi, Tahar Bekri, Samir Marzouki, Mansour M’henni, Kamel Gaha, Mokhtar Sahnoun, Badreddine Ben Henda, Jihèn Souki, Rafik Ben Salah, Fawzia Zouari, Emna Belhaj Yahia, Béchir Garbouj, Sophie Bessis,…
Cette lecture vise à donner un aperçu des trajectoires littéraires, des défis et des spécificités des écrivains tunisiens ayant choisi le français comme langue d’expression.
A travers ce livre, l’auteure met en lumière la richesse et la diversité de la production littéraire tunisienne en langue française, tout en offrant une réflexion sur l’identité, la culture et les influences croisées qui ont façonné ces écrivains.
Le journaliste et chroniqueur Haythem El Mekki et l’universitaire Saloua Charfi Ben Youssef ont été laissés en liberté ce vendredi 21 mars 2025.
Ils avaient été convoqués en tant que suspects par la cinquième brigade de lutte contre la cybercriminalité relevant de la garde nationale de Laouina.
L’objet de leur convocation qui n’avait pas été révélé est désormais connu : il est liée à un post diffusé sur Facebook évoquant une ancienne ministre. Publication publiée par Saloua Charfi et partagée par Haythem El Mekki entre autres internautes, déplore la défense…
Le journaliste et chroniqueur,Haythem El Mekki, et l’universitaire Salwa Charfi ont été convoqués par les forces de l’ordre le 19 mars 2025 pour une audition. Ils ont finalement été laissés en liberté.
Il convient de rappeler qu’il ne s’agit pas du premier litige de Haythem El Mekki avec la justice. Il avait été entendu en mai 2023, avec Elyes Gharbi, par la brigade criminelle d’El-Gorjani pour des propos concernant les forces de l’ordre, avant d’être libéré.
En janvier 2024, il a également comparu à Sfax pour avoir publié des photos de migrants subsahariens sans autorisation, mais a été laissé en liberté.
Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a fermement condamné les poursuites judiciaires visant les journalistes en Tunisie, en particulier celles basées sur le décret 54, jugé liberticide.
Dans un communiqué publié ce jeudi 20 mars 2025, le syndicat a réaffirmé son soutien aux journalistes détenus ou poursuivis en raison de leur travail, et a dénoncé « une instrumentalisation de la loi pour museler la liberté d’expression » tout en pointant du doigt une multiplication des convocations et des procès.
Le SNJT a notamment cité les récents cas du journaliste Haythem El Mekki et de Saloua Charfi, professeure à l’Institut de presse et des sciences de l’information, convoqués à comparaître le 21 mars devant les unités de la Garde nationale de Laouina.
Ce même jour, la Cour d’appel examinera le dossier de Ghassen Ben Khelifa, directeur du site Inhiyez, et qui a été condamné en première instance à six mois de prison, rappelle le Syndicat.
Dans ce même conteste, le SNJT a déploré le maintien en détention des journalistes Mourad Zeghidi et Borhen Bssais, qui ont vu leur demande de libération rejetée mardi dernier.
Le SNJT a par ailleurs appelé le ministère de la Justice et l’ensemble des instances judiciaires à cesser toutes les poursuites visant les journalistes et les professionnels des médias sur la base du décret 54, en rappelant la nécessité d’appliquer le décret-loi n°115, relatif à la liberté de la presse et garantissant une meilleure protection des journalistes.
Le journaliste et chroniqueur Haythem El-Mekki a annoncé avoir reçu une convocation pour être entendu à la caserne de la garde nationale de Laouina.
Haythem El Mekki devra se présenter le 21 mars 2025 pour être entendu par la cinquième brigade de lutte contre la cybercriminalité, lit-on dans la convocation qu’il a reçue et qu’il a publiée ce mercredi.
Les raisons de cette convocation n’ont pas été divulguées mais l’on sait que Haythem El Mekki être entendu en tant qu’accusé.
Pour beaucoup, la guerre russo-ukrainienne a commencé avec l’invasion militaire de l’Ukraine par la Russie le 24 février 2022. Cependant, le conflit opposant les deux pays a commencé bien avant et ses causes plongent leurs racines dans l’histoire agitée des deux voisins.Et de toute la région…(Illustration : La Russie, l’Ukraine et leurs voisins).
Habib Glenza
Cette guerre déclenchée par la Russie et que l’Union européenne cherche à poursuivre jusqu’au dernier Ukrainien, suscite de nombreuses questions sur les motivations et les objectifs des deux belligérants et des pays qui les soutiennent.
Pourquoi les Européens ont-ils pris la défense de l’Ukraine alors qu’il n’est membre ni de l’Otan ni de l’UE? Pour quelles raisons les Européens tiennent-ils à soutenir une guerre à leurs frontières qui peut déboucher, à tout moment, à une guerre mondiale nucléaire dévastatrice?
Pour mieux comprendre les raisons qui ont poussé la Russie à envahir l’Ukraine, il faut connaître l’histoire des pays où vivent des minorités russes après la chute de l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) en 1991.
Au lendemain de la désintégration du bloc communiste, et sous le règne de Mikhaïl Gorbatchev, huitième et dernier dirigeant de l’URSS, la Communauté des Etats indépendants (CEI) fut créée. Elle regroupait plusieurs anciennes républiques soviétiques comme la Biélorussie, l’Ukraine, la Moldavie ainsi que cinq pays d’Asie centrale.
La nomenklatura de chaque république se maintint initialement au pouvoir, gardant les liens étroits et privilégiés avec la Fédération de Russie. Les minorités russes jouissaient des mêmes droits que le reste de la population, jusqu’à la montée des mouvements ultra-nationalistes et russophobes, qui ont déclaré la guerre aux minorités russes, allant jusqu’à réclamer l’épuration ethnique comme ce fut le cas en 2014.
À la suite de l’échec manifeste du protocole de Minsk 1, visant à mettre fin à la guerre en Ukraine orientale entre citoyens ukrainiens, les uns pro-ukrainiens et les autres pro-russes, et après la reprise des tensions, la confrontation est repartie en décembre 2014. Le 12 février 2015, un nouvel accord est signé à Minsk (Minsk II). Cet accord est signé par l’Ukraine, représentée par Petro Porochenko et des représentants des républiques populaires autoproclamées de Donetsk et de Lougansk dans le but de mettre en place un nouveau cessez-le-feu et empêcher les ultranationalistes de commettre le génocide des minorités russes vivant en Ukraine. Les garants de cet accord sont Angela Merkel (Allemagne), François Hollande (France) et Vladimir Poutine (Russie), Cependant, les mouvements ultranationalistes ont mis la pression sur le gouvernement ukrainien pour qu’il ne respecte pas cet accord.
En 2022, Angela Merkel et François Hollande ont avoué, assez maladroitement du reste, que l’accord de Minsk II, qui devait mettre un terme aux affrontements dans le Donbass, ont permis à l’Ukraine de «gagner du temps pour mieux se préparer à la guerre contre la Russie».
Zelenski à la reconquête du Dombass et de la Crimée
Le 26 mars 2021, le président ukrainien Volodymyr Zelenski a émis un décret pour la reconquête de la Crimée et les deux provinces autonomes de Donetsk et de Lougansk, habitées en majorité par des Ukrainiens d’origine russe. Et il a commencé à mobiliser son armée pour récupérer ces territoires, tout en promulguant une loi abolissant le statut du russe comme seconde langue officielle dans le Donbass.
Sous la pression des partis ultranationalistes, le parlement ukrainien a adopté, le 1er juillet 2021, une loi qui stipule que les Russes en Ukraine n’ont pas les mêmes droits que les Ukrainiens. En d’autres termes, ils deviennent des citoyens de seconde zone et la langue russe n’est plus une langue officielle en Ukraine.
Cette loi a mis le feu aux poudres non seulement du côté des minorités russes mais aussi des minorités hongroises et roumaines en Ukraine.
A la fin de mars 2021, l’armée ukrainienne a intensifié ses bombardements sur le Donbass et à la mi-février de la même année, les bombardements ont doublé voire triplé d’intensité jusqu’à la mi-février 2022.
Poutine qui, depuis les accords de Minsk II, n’a pas réagi aux agressions des ultranationalistes ukrainiens envers les Russes, a pris la décision d’intervenir en Ukraine, le 24 février 2022, officiellement pour répondre à l’appel des Russes du Donbass et de la Crimée conformément à l’article 5 de la Charte des Nations Unis concernant la protection des minorités.
Dans la foulée, la Fédération de Russie a reconnu l’indépendance «de facto» des provinces que les Ukrainiens comptaient reprendre.
Le problème de l’Ukraine et des pays baltes (Lettonie, Estonie et Lituanie) est un donc de nature ethnique! Il n’y a pas en réalité de revendication territoriale comme c’est souvent avancé par les médias occidentaux. Par ailleurs, dans aucun de ses discours, Poutine n’a prétendu vouloir annexer l’Ukraine ou envahir l’Europe, pour la simple raison que la Russie dispose de 17 millions de km2 pour 150 millions de d’habitants, et que, par conséquent, elle serait incapable de faire la guerre à une Europe qui compte, dans les faits, plus de 740 millions d’habitants!
L’existence des minorités russes en Ukraine et dans les pays baltes date de l’époque soviétique où toutes les ethnies vivaient sous un seul parapluie, celui de l’URSS. Aujourd’hui, en Ukraine ou dans les pays baltes, des ultranationalistes russophobes exigent l’expulsion des Russes, à l’instar de ce qui se passe à Gaza et en Cisjordanie où les ultranationalistes juifs arabophobes sont en train de commettre des crimes contre les Palestiniens! La seule différence, c’est qu’en Palestine, il n’y a personne pour défendre et protéger les Palestiniens, ni leurs voisins Arabes ni, à fortiori, les Européens, qui soutiennent plutôt l’expansionnisme israélien.
Ce qu’il faut retenir de cette guerre insensée, voulue par Joe Biden et les Russophobes européens, qui comptent continuer à soutenir l’Ukraine dans son combat contre la Russie, c’est son impact négatif sur l’économie européenne, jadis prospère, et qui est aujourd’hui en pleine crise, à cause notamment de ce conflit qui aurait pu être évité lors des pourparlers d’Istanbul en 2022 et même avant, en 2015, après l’accord de Minsk II.
La Suisse : une démocratie unique au monde
La Suisse comporte quatre régions culturelles et linguistiques et quatre langues nationales : l’allemand, le français, l’italien et le romanche, cette dernière n’étant que partiellement officielle.
En conséquence, les Suisses forment une nation au sens civique du terme, n’ayant pas d’unicité forte sur un plan ethnique ou linguistique.
Le sens fort de l’identité et de la communauté des Suisses est fondé sur un fond historique commun et le partage de principes politiques et de caractéristiques telles que le fédéralisme, la démocratie directe, le symbolisme alpin et des mythes fondateurs. C’est ce qui fait défaut en Ukraine et dans les pays baltes. Aussi, et à tout moment, surtout lorsque les sentiments nationalistes s’exacerbent parmi les populations, une guerre peut éclater entre l’Ukraine et la Hongrie, l’Ukraine et la Roumanie ou peut être entre la Russie et la Lituanie, l’Estonie ou la Lettonie en raison d’une mentalité ethnique sinon raciale qui alimente la haine de tous côtés.
Première destination de voyages à l’étranger (hors Omra) pour les Tunisiens, la Türkiye veut montrer qu’elle a également une offre d’hiver conséquente en termes de produits.
En Türkiye, l’hiver est une excellente période pour admirer la destination sous la neige. Des sports d’hiver dans des stations de ski de classe mondiale à la détente dans des destinations chaudes, les aventures possibles pour des vacances d’hiver sont innombrables. Tour d’horizon de l’offre existante.
Les joies du ski et des sports d’hiver
Avec une neige constante, des pistes impressionnantes, des hôtels élégants et des équipements de qualité, les stations de ski en Türkiye sont propices aux sports d’hiver, du ski au snowboard et de l’héliski au snowkite. Uludağ à Bursa, populaire pour sa proximité avec İstanbul, offre des équipements tels que des télésièges et la location de skis. Kartepe, à Kocaeli, une autre destination populaire proche d’Istanbul, offre des aventures de ski plus décontractées avec des pistes pour les skieurs de tous niveaux. Kartalkaya, à Bolu, est une autre option à proximité des grandes villes. Elle offre un cadre agréable au milieu d’une forêt luxuriante, avec des parcs à neige et des remontées mécaniques.
En Anatolie centrale, le mont Erciyes, un volcan éteint proche de la région de la Cappadoce, impressionne avec ses 41 pistes et ses installations ultramodernes, facilement accessibles grâce à des vols fréquents. Vers l’est, le mont Palandöken à Erzurum attend de satisfaire tous les pros avec ses pentes abruptes, la plus longue piste du pays et de la neige poudreuse. Enfin, Sarıkamış située à Kars est une merveille hivernale de l’Anatolie orientale. Alors que le centre s’enorgueillit d’une neige cristalline de type alpin, les attractions voisines telles que le lac Çıldır et l’ancienne ville d’Ani complètent l’expérience magique de l’hiver dans la ville.
La magie hivernale de la Cappadoce
La Cappadoce est toujours une terre mystique à découvrir en Türkiye tout au long de l’année, mais les cheminées de fées de la région, recouvertes de neige, offrent une vue unique. Séjourner dans un hôtel troglodyte est une expérience à ne pas manquer en hiver.
Dans ces grottes, transformées en luxueux hôtels de charme dotés d’équipements modernes, vous pourrez vous endormir dans une chambre confortable, vous détendre dans les piscines chauffées, les spas et les saunas, et vous réchauffer près de la cheminée en sirotant un verre de vin issu des raisins locaux de la Cappadoce.
La région ayant un passé historique profond et un riche patrimoine culturel, vous pourrez visiter de mystérieuses villes souterraines et participer à un atelier de poterie. La dégustation de la cuisine locale, avec de délicieux mets tels que le testi (poterie) kebab et le kaymak sec (crème), complètera parfaitement cette expérience.
Das Institut für neue Energie-Systeme (InES) freut sich über die Förderung eines zukunftsweisenden Projekts: Dig-e-Farm, ein KI-gestütztes Bewässerungssystem für die tunesische Landwirtschaft. Professor Wilfried Zörner, Mehr
Amadeus Tunisie célèbre les 25 ans de son installation sur le marché tunisien. L’occasion pour cette filiale du groupe Tunisair (qui en détient 70%) d’honorer ses partenaires agences de voyage.
C’est en 1999 qu’Amadeus s’est installé en Tunisie en tant que premier GDS à l’époque. Devenue avec le temps une entreprise spécialisée dans le développement de solutions technologiques dédiées au monde du voyage, elle accompagne les agences de voyage tunisiennes dans leur quotidien professionnel.
La cérémonie du 25e anniversaire d’Amadeus Tunisie vient d’être organisée à Tunis. Elle avait pour but de célébrer cette échéance symbolique et récompenser les partenaires agences de voyage pour leurs réalisations commerciales et pour leur partenariat qui s’inscrit dans la durée.
Walid Mekki, directeur général de la société, en a profité pour remercier sa « famille élargie, constituée à la fois des agences de voyage mais également des centres de formation et d’enseignement », Amadeus Tunisie étant en effet active en matière de formation professionnelle dans le secteur.
Walid Mekki, directeur général d’Amadeus Tunisie
De nombreux hommages ont par ailleurs été rendus aux anciens dirigeants et membres d’Amadeus Tunisie pour leur apport à l’entreprise et au secteur au cours du quart de siècle écoulé.
Personnalités présentes
La célébration a été marquée par la présence de Montassar Bnouni, directeur général chargé de la gestion de Tunisair, de Mohamed Berjeb, président du Conseil d’administration d’Amadeus Tunisie ainsi que de Brahim Ouerzazi, vice-président de la FTAV (Fédération tunisienne des agences de voyage et de tourisme).
De g. à dr., W. Mekki, B. Ouerzazi, M. Bnouni, J. Chandoul et M. Berjeb.
Venu spécialement de Dubaï pour l’occasion, Jamel Chandoul, VP Head of META & EMEA Partner Markets -EMEA Travel Sellers d’Amadeus, a rappelé les différentes étapes clés de la société créée en 1987 et devenue au fil du temps un partenaire technologique pour les agences de voyage en développant pour elles des solutions pour l’aérien mais également pour les réservations d’hôtels. M. Chandoul a également évoqué les nouvelles solutions NDC d’Amadeus, saluant Tunisair « qui est l’une des premières compagnies de la région MENA à l’avoir implémentée », indiquant que plus de contenu sera bientôt disponible grâce à la trentaine de compagnies aériennes mondiales qui les auront adoptées dans les trois ou quatre mois à venir.
Jamel Chandoul
Abordant la question de l’avenir du métier d’agent de voyages, le responsable Afrique et MENA d’Amadeus s’est voulu rassurant, rappelant au passage que ces craintes avaient déjà été émises au moment de l’avènement de l’Internet et du BtoC au début des années 2000 ou encore lors de la mise en place du billet électronique. « Les agences s’adaptent à chaque fois, et en tant qu’Amadeus, notre rôle c’est de les accompagner à travers des solutions leur permettant de se digitaliser et être avec eux dans cette transformation » a-t-il indiqué.
Trophées pour les agences et partenaires d’Amadeus Tunisie:
Plusieurs trophées par catégories ont été attribuées aux agences :
TOP PERFORMER – AWARD IT Solutions: Kounouz Travel, Tunisie Booking, Traveltodo et Madinah Voyages.
TOP BOOKING PERFORMER – AWARD-Retail: Tunisivision, Syrine Tours, L’Oiseau Bleu, Achwak Tours, Samir Voyages, Voyages d’or, Sassi Voyages, My Dream Voyages, Debdab Travel, Ben Guerdene Voyages, Tarek Voyages et Mehdi Tours.
TOP BOOKING PERFORMER – AWARD- Consolidator: Kounouz Travel, Madinah Voyages, Satguru Travels and Tours Services, Walid Voyages, Skyline Travel et Tunisie Booking.
TOP BOOKING PERFORMER-AWARD- NDC-X: Dragon Voyages, Yassine Travel et Mirfak Travel.
TOP BOOKING AGENT PERFORMER – AWARD: Khawla CHAHBA, Faouzia LECHIHEB, Sami RABOUDI, Samir HMIDA et Ali JDIDI.
Attendu depuis plusieurs années, le changement dans le mode de gouvernance du groupe Tunisair a été officiellement approuvé lors d’un conseil d’administration qui s’est tenu le 2 août dernier.
Il n’y aura plus de PDG de Tunisair mais un directeur général comme pour toutes les autres filiales, le tout chapeauté par un président de conseil d’administration.
Ce nouveau mode de gouvernance avait été évoqué à maintes reprises comme l’une des conditions sine qua non à la clarification des affaires au sein du groupe Tunisair, le nouveau statut adopté lors de l’AGE du mois de mai 2022 séparant les prérogatives et les tâches confiées au conseil d’administration et celles accordées au directeur général.
Il a été décidé à cet effet la nomination de Habib Mekki en qualité de nouveau président du conseil d’administration de Tunisair. Il cumulera en même temps ses fonctions en tant que secrétaire général du ministère du Transport, poste qu’il occupe depuis le mois de juin 2024.
Habib Mekki, nouveau président du conseil d’administration de Tunisair.
M. Mekki est une figure notoire dans le monde du transport aérien en Tunisie pour avoir occupé à plusieurs reprises et pendant plusieurs années le poste de directeur général de l’Aviation civile (en 2011 et 2012 puis d’avril 2015 à septembre 2017 et encore de juin 2018 jusqu’à mars 2022). Il est également celui qui a mené l’essentiel des négociations avec l’Union européenne concernant l’Open Sky avec la Tunisie.
Economiste de formation et titulaire d’un diplôme supérieur de l’ENA, il a également dirigé l’ATCT (Aviation training center of Tunisia), la société qui gère les simulateurs de vols Airbus à Gammarth.
Intérim à Tunisair
Par ailleurs, Montassar Bnouni a été désigné pour l’intérim de la direction générale de Tunisair pour une durée de 3 mois afin de gérer les affaires courantes de la compagnie aérienne en remplacement de Khaled Chelly qui n’est plus en fonction depuis le 31 juillet 2024.
Montassar Bnouni, à la tête de Tunisair.
Montassar Bnouni est un haut cadre de Tunisair au sein de laquelle il a occupé différents postes au siège de la Charguia en qualité de directeur central mais aussi à l’étranger, notamment en tant que représentant au Maroc ou encore en Grèce. Il est également en charge de la direction générale de Tunisair Express depuis le départ récent à la retraite de Hatem Motemri, ancien directeur général de la filiale du groupe spécialisée dans les vols intérieurs et internationaux de proximité.
Seit dem 1. Mai bis zum 5. Juni 2024 sind an den tunesischen Stränden zehn Menschen durch Ertrinken ums Leben gekommen. Laut Aussagen des Sprechers Mehr
Die Zusammenarbeit zwischen THW und seinem tunesischen Projektpartner „Office National de la Protection Civile“ hat einen weiteren Meilenstein erreicht. Am 18. April 2024 wurde im Mehr
Österreichs Innenminister Gerhard Karner hat während eines Arbeitsbesuchs in Tunesien am 17. November 2023 das neue Ausbildungszentrum des tunesischen Grenzschutzes in Nefta eröffnet. Beim Arbeitsgespräch Mehr
Österreichs Innenminister Gerhard Karner hat während eines Arbeitsbesuchs in Tunesien am 17. November 2023 das neue Ausbildungszentrum des tunesischen Grenzschutzes in Nefta eröffnet. Beim Arbeitsgespräch Mehr