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L’OMS appelle à une hausse de 50% des prix du sucre, de l’alcool et du tabac

L’Organisation mondiale de la santé recommande une hausse de 50 % des prix des boissons sucrées, de l’alcool et du tabac sur dix ans, via de nouvelles taxes. Objectif : réduire la consommation de ces produits nocifs et générer des ressources pour les systèmes de santé.

Face à l’augmentation des maladies chroniques et au recul de l’aide au développement, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) propose une solution audacieuse : instaurer des taxes sur les produits nocifs pour la santé, avec pour objectif d’en augmenter les prix de 50% d’ici 2035.

Cette initiative, baptisée « 3 par 35 », a été présentée lors de la Conférence des Nations unies sur le financement du développement tenue à Séville. Elle concerne trois catégories de produits : le tabac, l’alcool et les boissons sucrées, identifiés comme des facteurs majeurs de maladies telles que le diabète, les cancers et les affections cardiovasculaires.

Selon l’OMS, une telle politique fiscale pourrait rapporter jusqu’à 1000 milliards de dollars d’ici à 2035, tout en sauvant des millions de vies grâce à la baisse de la consommation. L’expérience de pays comme la Colombie ou l’Afrique du Sud, qui ont déjà mis en place des taxes similaires, renforce la crédibilité de cette approche.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a souligné que ces taxes pourraient aider les États à s’adapter à la nouvelle réalité budgétaire, en finançant leurs propres systèmes de santé de manière plus autonome, alors que de nombreux pays doivent faire face à la réduction de l’aide internationale, notamment des États-Unis.

Si l’OMS plaide de longue date pour des taxes sur le tabac, c’est la première fois qu’elle propose une cible chiffrée et commune pour les trois produits. Elle espère ainsi susciter une mobilisation mondiale, à la hauteur des enjeux sanitaires et économiques de cette décennie.

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Les jeunes médecins suspendent leur grève en attendant la réunion avec le ministère de la Santé

Von: La Presse
03. Juli 2025 um 11:46

Une réunion est prévue ce jeudi entre le ministère de la Santé et l’Organisation tunisienne des jeunes médecins, dans le but de parvenir à un consensus autour des revendications des jeunes médecins et de mettre fin aux mouvements de protestation initiés depuis plusieurs mois. Ces manifestations visent à obtenir une amélioration des conditions de stage des médecins internes et résidents dans les hôpitaux.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le président de l’Organisation tunisienne des jeunes médecins, Wajih Dhokkar, a exprimé l’espoir que cette réunion débouche sur des résultats concrets et un compromis mettant un terme aux mouvements de protestation en cours.

Il a par ailleurs précisé que la médiation du Conseil national de l’Ordre des médecins a permis de dépasser le blocage dans les négociations entre les deux parties.

Il a également indiqué que l’organisation s’est engagée, lors d’une réunion avec l’Ordre des médecins, à suspendre la grève des médecins internes et résidents prévue ce jeudi, « signe d’une volonté sincère de dialogue constructif ».

Toutefois, le président de l’organisation a fait part de la surprise des jeunes médecins face à l’absence de communication officielle de la part du ministère concernant les points convenus dans le cadre de la médiation. Ces points comprennent notamment la levée des réquisitions et l’annulation des tableaux de permanence, en contrepartie de la reprise du travail par les médecins résidents et de la suspension de la grève.

Augmenter de 50 % les taxes sur le tabac, l’alcool et le sucre : la proposition choc de l’OMS

03. Juli 2025 um 11:37

Benjamin Franklin (imprimeur, éditeur, écrivain) disait : « Deux choses sont certaines : la mort et l’impôt ».

 Détrompez-vous, on n’est pas en train de divaguer. Certains pensent que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pourrait s’inspirer de “ce trait d’esprit“ attribué à Benjamin Franklin pour «… utiliser massivement les uns (les impôts) pour retarder l’autre (la mort) ». On pourrait appeler cela “un mal pour un bien“.

En effet, l’agence onusienne chargée de la santé, l’OMS en l’occurrence, a lancé mardi 1er juillet 2025 « une nouvelle initiative encourageant ses États membres à augmenter les prix réels du tabac, de l’alcool et des boissons sucrées d’au moins 50 % d’ici 2035 », rapporte le site Tva Nouvelles.

Pour quel objectif? Vous aurez compris, c’est pour « réduire les maladies chroniques et générer des revenus essentiels pour les caisses publiques de santé ». C’est ce qu’on peut lire dans un communiqué de l’ONU publié à l’occasion de la Conférence de Séville sur le financement du développement.

Toujours selon le site canadien, “3 d’ici 35“ est le nom de cette initiative de l’OMS. Et elle « survient à un moment où les systèmes de santé sont sous une pression énorme en raison de l’augmentation du nombre de patients atteints de maladies non transmissibles (MNT), de la diminution de l’aide au développement et de l’accroissement de la dette publique ».

Certains experts pensent que taxer davantage ces produits, notamment le tabac, est à même de faire baisser leur consommation. La preuve? « Michael Bloomberg, le milliardaire, maire de New York dans les années 2000 et féroce opposant au tabagisme, a fortement taxé les cigarettes avec succès », rapporte Tva Nouvelles.

En tout cas, le Dr Jeremy Farrar, responsable à l’OMS de la promotion de la santé de la prévention et du contrôle des maladies, affirme que « les taxes sur la santé sont l’un des outils les plus efficaces que nous ayons. Elles réduisent la consommation de produits nocifs et génèrent des revenus que les gouvernements peuvent réinvestir dans les soins de santé, l’éducation et la protection sociale. Il est temps d’agir ». Car, il s’est avéré que «… la consommation de tabac, d’alcool et de boissons sucrées alimente l’épidémie de maladies non transmissibles », alerte l’OMS.

En effet, les statistiques de l’organisme onusien montrent que les MNT (maladies non transmissibles), à savoir les maladies cardiaques, le cancer et le diabète, etc., représenteraient plus de 75 % de tous les décès dans le monde. Et l’OMS estime qu’« une augmentation unique de 50 % des prix de ces produits pourrait prévenir 50 millions de décès prématurés au cours des 50 prochaines années ».

Preuve à l’appui, l’organisme onusien affirme : « Entre 2012 et 2022, près de 140 pays ont augmenté les taxes sur le tabac. Ce qui a entraîné une augmentation des prix réels de plus de 50 % en moyenne, montrant que des changements à grande échelle sont possibles », rapporte Tva Nouvelles.

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Protestation des médecins internes et résidents : espoir d’un accord après médiation de l’Ordre

Von: walid
03. Juli 2025 um 11:33
Protestation des médecins internes et résidents : espoir d’un accord après médiation de l’Ordre

Une réunion est prévue ce jeudi entre le ministère de la santé et l’organisation tunisienne des jeunes médecins en vue d’aboutir à un consensus autour des revendications des jeunes médecins et mettre fin aux mouvements de protestation entamés depuis des mois pour revendiquer l’amélioration des conditions de stages dans les hôpitaux des médecins internes et […]

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Elle suffoquait : Lamia Kallel raconte trois heures de combat pour sauver une vie à l’hôpital public

03. Juli 2025 um 09:56

Dans un récit publié sur sa page Facebook officielle, la Professeure Lamia Kallel, cheffe du service de gastro-entérologie à l’hôpital Mahmoud El-Matéri, revient sur une intervention médicale d’urgence qui a permis de sauver la vie d’une patiente septuagénaire victime d’une obstruction œsophagienne totale.

Appelée en renfort en pleine nuit, Dr Kallel rejoint une équipe déjà engagée face à une urgence critique : un gros morceau de viande bloqué dans le haut de l’œsophage d’une femme âgée, obstruant complètement le passage de l’air et s’impactant dans la muqueuse. La situation menaçait la vie de la patiente, qui étouffait.

Une concertation pluridisciplinaire est immédiatement engagée. Trois stratégies thérapeutiques successives sont mises en œuvre : un plan A par voie endoscopique échoue, suivi d’un plan B, qui ne donne pas davantage de résultats. C’est finalement un plan C, plus complexe, mobilisant deux personnes supplémentaires appelées sans contrainte, qui permet de libérer l’obstruction et d’éviter une intervention chirurgicale lourde.

L’opération a duré près de trois heures et a nécessité la mobilisation de plus de dix professionnels de santé, issus des services de gastro-entérologie, de chirurgie et de réanimation. Grâce à un plateau technique fonctionnel – incluant les équipements nécessaires à la coupe, la coagulation, la dilatation et l’opacification par voie endoscopique – l’équipe a pu travailler dans des conditions sécurisées, le patient étant anesthésié et intubé.

“On aurait pu s’arrêter au plan A. On aurait pu s’arrêter au plan B. Mais le personnel présent voulait réussir”, écrit Dr Kallel dans son post. Elle souligne que l’engagement des soignants n’était ni motivé par une obligation hiérarchique, ni par une rémunération supplémentaire, mais uniquement par le sens du devoir et une volonté partagée de sauver une vie humaine.

Au-delà de l’anecdote médicale, le message se veut un plaidoyer en faveur du secteur public de santé, trop souvent critiqué ou affaibli. “Ce cas n’est qu’un exemple parmi des milliers qui démontrent combien un hôpital public bien équipé, avec du personnel motivé, peut sauver des vies chaque jour”, rappelle-t-elle. Elle appelle à garantir la transmission des compétences, à retenir les talents, et à mieux valoriser ceux qui exercent dans les établissements publics : “Doubler ou tripler leur salaire ne sera jamais suffisant face au service qu’ils rendent”.

Ce témoignage, empreint de réalisme et d’humanité, invite à regarder autrement celles et ceux qui, dans le silence des blocs et des urgences, incarnent au quotidien un service public vital et profondément humain.

Tunisie – Santé : Suspension de la grève des jeunes médecins

Von: walid
03. Juli 2025 um 08:54
personnel médical

Après plusieurs semaines de tensions, un accord de principe a été trouvé , à l’issue d’une séance de médiation réunissant l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM) et les autorités de tutelle, sous l’égide de l’Ordre des médecins. Les deux parties ont convenu de lancer un premier cycle de négociations dès le jeudi 3 juillet, avec […]

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Gestern — 02. Juli 2025Haupt-Feeds

Santé | Tunisie : Suspension de la grève des jeunes médecins

Von: Yusra NY
02. Juli 2025 um 23:30

A l’issue d’une rencontre organisée dans la soirée de ce mercredi 2 juillet 2025 au siège du Conseil national de l’Ordre des médecins, un accord de principe a été trouvé entre l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM) et les autorités de tutelle.

L’OTJM a publié un communiqué ce soir pour annoncer la nouvelle en précisant qu’une réunion est prévue demain jeudi 3 juillet 2025 entre des représentants de l’OTJM et ceux ministère de la Santé ainsi que des membres de l’Ordre.

La même source a par ailleurs indiqué que la grève initialement prévue pour demain, a été suspendue, tout comme les réquisitions imposées par les gouverneurs aux internes et résidents.

En attendant l’issue des négociations et les décisions du bureau national de l’organisation, les jeunes médecins sont invités à reprendre leurs postes, ajoute la même source qui n’a pas manqué de remercier ses membres pour leur engagement et leur détermination et les a appelés à rester unis et mobilisés.

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Jendouba : création d’une École supérieure des sciences et techniques de la santé

02. Juli 2025 um 17:06

Le conseil des Universités au Ministère de l’Enseignement supérieur a approuvé, mardi, le projet de création d’une École supérieure des sciences et techniques de la santé à l’université de Jendouba.

Le recteur de l’université de Jendouba., Hichem Sebî, a indiqué à l’Agence TAP que ce projet vise à doter les étudiants des compétences et connaissances médicales essentielles de manière à répondre aux exigences du marché du travail en matière d’anesthésie, de réanimation, de biologique médicale et des métiers du paramédical.

Ecole supérieure des sciences et techniques de la santé sera implanté dans un bâtiment relevant de l’université de Jendouba à proximité de l’hôpital régional de la place.

 

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Tunisie : consommation de cannabis multipliée par 4 chez les 15-17 ans entre 2013 et 2021

02. Juli 2025 um 16:24

Le taux de consommation du cannabis chez les jeunes âgés de 15 à 17 ans a été multiplié par quatre entre 2013 et 2021, a indiqué mardi le responsable au ministère de la Santé, Nabil Ben Salah.

Lors de la 22ème édition de la session “Population et santé reproductive”, autour du thème “La famille et la dépendance : réalité et attentes”, organisée par l’Office National de la Famille et de la Population (ONFP), Ben Salah a précisé que le ministère de la Santé se penche, dans le cadre de la stratégie nationale de prévention de la dépendance, de réduction des risques et de traitement (mise en œuvre depuis 2021), à la mise en place d’une plateforme de collecte de données sur le nombre de personnes dépendantes, actualisée régulièrement, et incluant les types de drogues circulant dans le pays. Plusieurs ministères y participent.

La stratégie nationale de prévention de la dépendance repose depuis 2021 sur six axes : la prévention, la réduction des risques, le traitement, la réinsertion dans la société en général et dans le monde professionnel en particulier, la mise en place d’un environnement favorable à l’accès aux services de soins, et la réduction de la stigmatisation sociale, selon Nabil Ben Salah.

Il a souligné que les centres de traitement sont disponibles dans les services de psychiatrie des hôpitaux publics, ainsi qu’au Centre Amal spécialisé, situé dans le complexe sanitaire de Djebel Oust (gouvernorat de Zaghouan), qui assure depuis sa réactivation en 2019 le traitement annuel d’environ 1300 patients.

Il a également indiqué que le ministère de la Santé ouvrira durant ce mois de juillet une clinique spécialisée dans le traitement des addictions à Sfax, et qu’il prévoit aussi la rénovation et la remise en service du centre de traitement des addictions de Thyna (gouvernorat de Sfax). Un nouveau centre sera également implanté dans la région du Sahel d’ici la fin de l’année.

Nabil Ben Salah a insisté sur l’ambition du ministère de créer une unité spécialisée dans le traitement des adolescents dépendants au sein des différents centres de l’ONFP.

De son côté, le PDG de l’Office National de la Famille et de la Population, Ali Douaji, a affirmé que l’Office est très actif dans la prévention de la dépendance, notamment auprès des jeunes et des groupes vulnérables. Il a précisé que sa stratégie repose sur trois axes complémentaires : l’information, l’éducation et la communication ; le soutien psychologique pour aider au sevrage ; et l’orientation des personnes vers les structures spécialisées dans le traitement.

Douaji a ajouté que l’ONFP offre des services de consultation psychologique à travers ses centres régionaux pour les personnes dépendantes ou en situation de fragilité psychologique. L’Office joue également un rôle de médiateur en orientant les patients vers les structures spécialisées, notamment les centres de traitement des addictions relevant du ministère de la Santé.

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Lutte contre la dépendance : le ministère de la Santé et l’ONFP intensifient leurs efforts

Von: walid
02. Juli 2025 um 14:57
Lutte contre la dépendance : le ministère de la Santé et l’ONFP intensifient leurs efforts

Le taux de consommation du cannabis chez les jeunes âgés de 15 à 17 ans a été multiplié par quatre entre 2013 et 2021, a indiqué mardi le responsable au ministère de la Santé, Nabil Ben Salah. Lors de la 22ème édition de la session “Population et santé reproductive”, autour du thème “La famille et […]

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Crise des jeunes médecins : vers une sortie de l’impasse, selon Wajih Dhakar

Von: S. M.
02. Juli 2025 um 13:07

Invité ce mercredi 2 juillet 2025 sur les ondes de Mosaïque Fl, Wajih Dhakar, président de l’Organisation Tunisienne des Jeunes Médecins, a affirmé que « la crise des jeunes médecins tend vers une résolution » et que « les négociations avancent sans heurts ».

Il a rappelé que le mouvement de protestation, initié en février dernier, faisait suite à une série de revendications restées sans réponse. « La lenteur de la réaction des autorités de tutelle n’a fait qu’aggraver la situation », a-t-il souligné.

Selon lui, cette mobilisation a été rendue nécessaire face à l’immobilisme institutionnel : « Nous savons pertinemment que les autorités ne répondent à nos demandes qu’en cas de pression. C’est ce qui nous a poussés à agir », a-t-il expliqué, déplorant le manque de sérieux accordé aux revendications du corps médical en début de crise.

Wajih Dhakar a également insisté sur le fait que certaines avancées, comme l’abolition des gardes supplémentaires, ne doivent pas être perçues comme des concessions du ministère de la Santé. « Ce n’est pas une faveur, mais un droit que nous avons récupéré », a-t-il affirmé.

Vers la fin du mouvement de protestation des jeunes médecins

02. Juli 2025 um 13:11

Wajih Dhakar, le président de l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM), a indiqué lors de son intervention dans l’émission Ahla Sabah, mercredi 2 juillet 2025, que la crise les touchant semble s’orienter vers une issue favorable. Il a fait savoir que les négociations en cours se déroulaient dans un climat serein et sans obstacles majeurs.

Le président de l’organisation a rappelé que le mouvement de protestation avait été lancé dès le mois de février. Mais, la lenteur de la réaction des autorités compétentes avait contribué à aggraver la situation. Il estime donc que l’absence d’engagement initial des ministères concernés aurait contraint les jeunes médecins à hausser le ton; et ce, afin d’obtenir une réelle prise en compte de leurs revendications.

Dans ce contexte, M. Dhakar a souligné que les discussions manquaient, jusqu’à récemment, de sérieux de la part des autorités concernées. Ce qui a conduit au renforcement de la détermination des jeunes médecins à maintenir la pression.

Il a enfin précisé que la suppression des gardes supplémentaires ne devait pas être interprétée comme une faveur accordée par le ministère de la Santé aux médecins. Mais plutôt comme la restitution d’un droit légitime pour lequel les jeunes médecins se sont entièrement mobilisés.

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Chef du cabinet du ministre de la Santé : nous avons répondu positivement à la plupart des doléances des jeunes médecins

Von: La Presse
02. Juli 2025 um 11:51

Mabrouk Aounallah, chef de cabinet du ministre de la Santé, a déclaré ce mercredi 2 juillet 2025, lors de son intervention dans l’émission « Ahla Sabah », que les mouvements des jeunes médecins avaient débuté il y a plusieurs mois, parallèlement aux négociations avec les autorités de tutelle.

Il a précisé que les revendications portaient sur six points, à savoir: l’approbation des stages,

le service national, le paiement des arriérés des heures de permanence,

l’augmentation de la capacité d’attribution des bourses pour les heures de permanence,

l’augmentation de la bourse des heures de permanence et une augmentation générale des salaires.

Concernant l’évaluation des stages, le chef a expliqué que les jeunes médecins changent de stage tous les six mois et sont évalués par les chefs de service dans lesquels ils travaillent. Leur demande portait sur l’objectivité et la transparence dans l’approbation des stages, un droit légitime. C’est pourquoi le ministère a rencontré les doyens des facultés de médecine et ils sont parvenus à un accord pour l’adoption de critères d’évaluation transparents. Selon lui, cette revendication a été satisfaite à 100 %.

Quant au service national, effectué par les médecins au sein des établissements de santé publique, leur salaire était auparavant estimé entre 950 et 1250 dinars, sans compter la subvention de 200 dinars du ministère de la Défense, a expliqué le chef de cabinet du ministre de la Santé. Il a ajouté : « L’autorité de tutelle est consciente de ce point. Lors d’une réunion entre les ministres de la Santé et de la Défense, une décision commune a été prise concernant l’augmentation de la subvention à 2000 dinars. La décision a été publiée au Journal Officiel, et le plus important est qu’ils puissent bénéficier de la couverture sociale. »

Ministère de la santé et jeunes médecins… sur leurs positions!!!

02. Juli 2025 um 10:26
Ministère de la santé et jeunes médecins… sur leurs positions!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Santé) – Tension persistante entre les jeunes médecins et la tutelle, avec la grève entamée, hier, et une réunion de réconciliation qui n’a abouti à rien de concret, alors que l’Organisation des jeunes médecins (OJMT) accuse le ministère d’user de main forte.

L’Organisation a condamné mardi la décision du ministère de la Santé obligeant les médecins résidents n’ayant pas choisi de nouveaux lieux d’exercice à poursuivre leur activité dans leurs centres d’affectation actuels. Dans un communiqué publié mardi à l’issue d’une séance de négociation tenue lundi avec l’autorité de tutelle, expliquant que cette décision contrevient aux articles 8 et 37 du règlement régissant les études de médecine, considérant que cela aura un impact sur leur parcours universitaire et leur réussite, ce qui, selon le communiqué, constitue « une poursuite de la marginalisation de leurs droits et de la restriction de leurs déplacements ».

L’organisation a constaté l’absence de toute intention de l’autorité de tutelle d’engager de véritables négociations, ce qui aggravera la crise et poussera les médecins à émigrer. Elle a exprimé son rejet de ce qu’elle considère comme un discours faisant allusion à la manipulation par certains partis politiques derrière le mouvement des jeunes médecins.

Saïed plaide pour un nouveau cadre juridique garantissant les droits des médecins et du personnel de santé

Von: La Presse
02. Juli 2025 um 07:32

Le président de la République, Kaïs Saïed, a souligné l’urgence d’établir un nouveau cadre juridique afin de garantir les droits et la dignité des médecins, du personnel paramédical et de l’ensemble des travailleurs du secteur de la santé.
Lors d’une audience accordée mardi au Palais de Carthage au ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, le chef de l’État a salué l’excellence des médecins tunisiens, dont les compétences sont très prisées à l’étranger. « La Tunisie prête à de nombreux pays des compétences inestimables, qu’aucune monnaie ne peut évaluer », a-t-il déclaré, avant d’ajouter, interpellé par ce paradoxe : « Alors, qui prête à qui ? », une référence aux difficultés économiques du pays, contraint d’emprunter malgré l’exportation de ses talents médicaux.
Le président a réaffirmé l’urgence de garantir le droit à la santé, un droit à la fois constitutionnel et humain, en appelant à la mise en œuvre de mesures immédiates en attendant une réforme en profondeur du système de santé publique, notamment dans les régions défavorisées.
Il a également rendu hommage à plusieurs figures historiques de la médecine tunisienne, telles que le Dr Habib Thameur, Ahmed Ben Miled, surnommé « le médecin des pauvres », Slimane Ben Slimane et Tawhida Ben Cheikh, pionnière de la médecine féminine en Tunisie. Il a salué les efforts des fondateurs de la Faculté de médecine de Tunis dans les années 1960, qui avaient choisi de revenir dans leur pays pour contribuer à l’édification du système médical national.
Enfin, Kaïs Saïed a plaidé pour une approche nationale afin de résoudre les problèmes économiques et sociaux, avertissant que « pour les corrompus, seules des nouvelles lois et un règlement juste des comptes constitueront un remède efficace ».

Kaïs Saïed plaide pour un nouveau cadre juridique en faveur du personnel de santé

Von: walid
02. Juli 2025 um 08:28
Kaïs Saïed plaide pour un nouveau cadre juridique en faveur du personnel de santé

Le président de la République, Kaïs Saïed, a souligné l’urgence d’établir un nouveau cadre juridique afin de garantir les droits et la dignité des médecins, du personnel paramédical et des travailleurs du secteur de la santé. Lors d’une audience accordée mardi au Palais de Carthage au ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, le chef de […]

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Tunisie : le ministère de la Santé ordonne le retour des médecins résidents dès le 1er juillet

30. Juni 2025 um 22:15
Tunisie : le ministère de la Santé ordonne le retour des médecins résidents dès le 1er juillet

Le ministère de la Santé a publié un avis à l’attention des médecins résidents, dans le but de prévenir toute rupture dans la couverture des services de santé, à la suite du boycott en cours des opérations de choix des services de stage par les résidents et internes. À compter du 1er juillet, les médecins […]

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Agression du personnel de l’hôpital de Kasserine | Du nouveau dans l’affaire

Von: Yusra NY
30. Juni 2025 um 19:10

Le ministère de la Santé a fermement dénoncé l’agression du personnel médical, paramédical et ouvriers du service des urgences de l’hôpital régional de Kasserine. Alors que l’enqête se poursuit, 4 suspects ont été arrêtés.

Dans un communiqué publié lundi 30 juin 2025, le département de la santé a exprimé sa plus vive indignation après ce nouvel épisode de violence, en affirmant que cette agression et les dégradations matérielles ayant touché la salle de réanimation ont gravement perturbé le bon fonctionnement du service, mettant en danger à la fois le personnel de santé et les patients.

Le ministère considère aussi que de tels abus portent atteinte à la dignité des soignants, à l’intégrité des structures hospitalières, et compromettent le droit fondamental des citoyens à des soins sûrs et de qualité, lit-on dans le communiqué, où l’on annonce un renforcement immédiat des dispositifs de sécurité, en particulier dans les services d’urgence et les unités à haute sensibilité.

D’autre part, dans une déclaration à l’agence Tap, Imed Amri substitut du procureur de la République près le Tribunal de première instance de Kasserine, a annoncé l’arrestation de 4 suspects, en soulignant par ailleurs que les dégâts ont aussi causé des pertes financières estimées à 400.000 dinars, d’autant que service concerné a récemment été équipé de matériel neuf.

La même source précise que l’enquête se poursuit et que la justice prononcera des peines exemplaires…

Y. N.

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