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Chawki Tabib renvoyé devant la justice pour des faits présumés de corruption

27. Juni 2025 um 18:47

La chambre d’accusation spécialisée dans les affaires de corruption financière, relevant de la Cour d’appel de Tunis, a décidé de renvoyer Chawki Tabib, ancien président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC) et ex-bâtonnier de l’Ordre national des avocats, devant la chambre criminelle du Tribunal de première instance de Tunis, rapporte la radio Mosaique FM.

Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une instruction portant sur la gestion de l’INLUCC durant la période où Chawki Tabib en assurait la présidence. Les charges retenues contre lui concernent des soupçons de malversations financières et de mauvaise gestion administrative.

Parallèlement, la chambre a décidé de classer sans suite les poursuites engagées contre un second accusé, faute d’éléments probants.

Selon la même source, la justice a également rejeté la demande de levée de l’interdiction de voyager formulée par Chawki Tabib, une mesure conservatoire toujours en vigueur.

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Béchir Akermi renvoyé devant la chambre criminelle

27. Juni 2025 um 18:26

La Chambre d’accusation près la Cour d’appel de Tunis a décidé de renvoyer l’ancien magistrat Béchir Akermi devant la chambre criminelle du Tribunal de première instance de Tunis, a indiqué vendredi à l’agence TAP l’avocat Hamadi Zafraani, membre du collectif de défense.

Le juge d’instruction et ex-procureur de la République, révoqué en 2021, sera poursuivi pour des faits présumés de « falsification, détention et usage de documents falsifiés ».

Akermi est notamment connu pour avoir dirigé l’enquête sur les assassinats des opposants Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, deux figures majeures de la scène politique tunisienne tuées en 2013.

Cette nouvelle décision intervient quelques mois après l’arrêt de la Cour de cassation du 26 février 2025, qui avait annulé une précédente décision de renvoi prise par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel, ordonnant un réexamen du dossier.

Le magistrat déchu est visé depuis plusieurs années par des plaintes du Parti des Patriotes Démocrates Unis et des proches des deux martyrs. Un mandat de dépôt avait été émis à son encontre en 2023, ainsi que deux mandats d’arrêt successifs dans le cadre de ces affaires non élucidées.

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Vacances en Tunisie : Deux numéros verts pour faire entendre sa voix

27. Juni 2025 um 11:49

Le ministère du Tourisme a récemment remis en avant ses numéros verts, outils mis en place pour permettre à tout citoyen tunisien et touriste étranger de signaler des problèmes rencontrés dans les établissements touristiques. Depuis les années 2000, ces lignes directes existent pour renforcer la proximité entre les vacanciers et les autorités, même si leur usage reste parfois discret.

Le premier numéro, 80100440, dépend directement du ministère. Il est destiné à recueillir les plaintes liées aux hôtels et aux séjours touristiques. Le second, 80100333, est géré par l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT), chargé de suivre la qualité des services offerts dans le secteur.

Dans une intervention à la radio nationale le 27 juin 2025, Wahida Jaaït, chargée de mission auprès du ministre, a insisté sur le fait que les touristes tunisiens bénéficient du même traitement que les étrangers, un point souvent évoqué mais parfois contesté dans les faits.

Un outil pour tous les touristes, sans distinction

Elle a aussi précisé que les réclamations peuvent être déposées par téléphone ou par courrier, et qu’une structure administrative centrale est dédiée à leur suivi, en liaison avec les délégations régionales réparties sur tout le territoire tunisien.

Cependant, si l’existence de ces numéros verts est un progrès indéniable, la transparence sur leur efficacité et le volume des appels reçus reste limitée. Le ministère ne communique pas régulièrement de statistiques sur le traitement des plaintes, ce qui alimente une certaine méfiance chez les usagers.

Le tourisme intérieur en chiffres

Sur le plan des chiffres, les touristes tunisiens constituent une part non négligeable du secteur. On estime à environ 6 millions le nombre de nuitées passées par les Tunisiens résidents dans les hôtels touristiques, soit 25 % du total enregistré. Leur nombre est évalué à près de 2,5 millions de personnes, représentant ainsi 38 % de l’ensemble des clients.

Enfin, le ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya, a rappelé l’importance de la réservation anticipée via les agences de voyage agréées pour assurer un séjour bien organisé et protéger les droits des consommateurs.

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Les retraités italiens à Hammamet : Un exil fiscal devenu réalité

27. Juni 2025 um 10:45

Le basculement est désormais chiffré. Selon de nouveaux chiffres publiés hier par Il Messaggero, la Tunisie s’impose comme la deuxième destination préférée des retraités italiens à l’étranger, derrière l’Espagne. Une tendance amorcée il y a quelques années, mais qui prend aujourd’hui une dimension structurelle, notamment dans la ville côtière de Hammamet.

Entre 2019 et 2023, près de 1 000 retraités italiens ont transféré leur résidence fiscale en Tunisie. Mais c’est surtout le chiffre de 2023 qui interpelle : l’INPS (caisse italienne de retraite) y a versé 87 millions d’euros, avec un montant moyen mensuel de 3 564 euros par pensionné, un record absolu dans la région.

Hammamet concentre une part significative de cette communauté, avec plus de 4 000 retraités italiens recensés – soit environ 8 % de la population locale. Un chiffre qui confirme l’attractivité fiscale de cette ville et la consolidation d’une forme de migration grise, ni économique ni humanitaire, mais fiscale.

Une fiscalité taillée sur mesure

La législation tunisienne autorise une exonération de 80 % du revenu de pension perçu de l’étranger. Seuls 20 % sont imposables, selon un barème progressif dont l’impôt maximal ne dépasse pas 35 %. Le chef de famille bénéficie également d’une déduction supplémentaire.

Mais l’atout le plus stratégique de la Tunisie reste l’exception qu’elle constitue pour les anciens fonctionnaires italiens. Alors que ces derniers ne peuvent généralement pas bénéficier de la défiscalisation dans d’autres pays européens (Portugal, Espagne, etc.), ils en bénéficient en Tunisie. Résultat : 63 % des retraités italiens installés à Hammamet en 2023 sont issus de la fonction publique.

La chute du Portugal, la montée de la Tunisie

Le phénomène s’inscrit dans un rééquilibrage régional. Longtemps en tête, le Portugal a supprimé son régime fiscal spécial en 2024, entraînant une chute de plus de 80 % des nouveaux arrivants italiens. Le pays reste encore premier en valeur totale de pensions versées (157,4 M€), mais c’est un effet d’inertie.

Désormais, ce sont la Tunisie, l’Espagne, la Roumanie et l’Albanie qui se partagent les nouveaux flux. Ces deux derniers pays proposent des systèmes très attractifs : exonération totale en Albanie, et forfait de 10 % sur les pensions étrangères en Roumanie.

L’installation croissante des retraités étrangers en Tunisie – concentrée sur des zones comme Hammamet, Sousse ou Monastir – alimente la demande immobilière et stimule certains segments de l’économie locale, notamment les services médicaux, paramédicaux et touristiques à l’année.

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Cessez-le-feu fragilisé : Trump critique sévèrement Israël

24. Juni 2025 um 17:34

Le cessez-le-feu annoncé entre Israël et l’Iran n’aura tenu que quelques heures. Moins d’une journée après la signature de l’accord, le président américain Donald Trump a accusé Israël de l’avoir immédiatement violé, provoquant une reprise des hostilités.

« À peine on a conclu l’accord, ils [Israël] sont sortis et ont lâché un tas de bombes, comme je n’en avais jamais vu », a-t-il déclaré mardi, avant de s’envoler pour un sommet de l’OTAN à La Haye. Visiblement en colère, Trump a poursuivi sans retenue :
« On a en gros deux pays qui se battent depuis si longtemps et si fort qu’ils ne savent même plus ce qu’ils foutent. »

Cette sortie brutale tranche avec le langage habituellement mesuré dans les affaires diplomatiques. Elle révèle la frustration du président américain face à un accord qu’il avait personnellement soutenu, et qui semble déjà compromis.

Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a revendiqué des « frappes intenses » sur Téhéran, justifiées selon lui par une prétendue violation iranienne de la trêve. Téhéran nie catégoriquement, et accuse Israël de saboter le processus dès ses premières heures.

En représailles, l’Iran a menacé de répondre avec force à toute nouvelle attaque. Les tensions restent vives, et la fragile médiation américaine apparaît plus incertaine que jamais.

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Iran – Israël : Trump proclame un cessez-le-feu, mais les missiles tombent encore

24. Juni 2025 um 06:39

Donald Trump s’autocongratule pour avoir, selon lui, mis fin à la guerre des 12 jours entre Israël et l’Iran. Mais sur le terrain, la violence continue.

Dans une déclaration nocturne publiée sur Truth Social, Donald Trump a annoncé un cessez-le-feu « progressif » entre Israël et l’Iran : arrêt des frappes iraniennes prévu à 04h00 GMT, puis israéliennes douze heures plus tard. Un deal qui aurait été, selon lui, « inspiré par la raison et la vérité ». Pourtant, dans le ciel de la région, la guerre reste bien active.

Au même moment, l’Iran a tiré six salves de missiles sur Israël, tuant au moins trois personnes à Beersheba. L’armée israélienne et les secours ont confirmé les victimes et des blessés, alors que des interceptions ont été observées au-dessus d’Al-Qods et Haïfa.

En réalité, le cycle de représailles n’a jamais cessé. Avant même l’annonce du cessez-le-feu, le 23 juin au soir, l’Iran avait déjà frappé la base américaine d’Al-Udeid, au Qatar, en réponse aux bombardements américains contre ses installations nucléaires. Selon les sources militaires, les missiles ont été interceptés et aucune victime n’est à déplorer.

En Irak également, plusieurs bases militaires américaines – Taji, Balad, Victory, Imam Ali – ont été visées. Ces attaques confirment un élargissement géographique du conflit.

Dans un autre développement inquiétant, Iran Press TV a affirmé qu’un haut scientifique nucléaire iranien, Sedighi Saber, a été tué dans une frappe israélienne à Téhéran. Une opération qui aurait précipité les dernières ripostes iraniennes.

Israël n’a pas confirmé le cessez-le-feu annoncé par Trump. Le Premier ministre Benyamin Netanyahu a réuni son cabinet de sécurité et imposé une discrétion totale à ses ministres. Téhéran, de son côté, nie l’existence d’un accord formel. Le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi a déclaré que l’Iran cesserait ses attaques uniquement si Israël mettait fin à ses « agressions illégales ».

Le Qatar aurait agi en tant que médiateur discret, facilitant les discussions indirectes. Mais malgré cette tentative de désescalade, les faits montrent que la guerre continue.

Depuis le 13 juin, l’Iran affirme que plus de 400 personnes ont été tuées, dont 13 enfants. Côté israélien, le bilan s’élève à 24 morts depuis le début des frappes iraniennes.

Sur les réseaux sociaux, Trump continue à saluer « une paix historique », allant jusqu’à conclure son message par un étrange « Que Dieu bénisse Israël, que Dieu bénisse l’Iran ». Un refrain diplomatique bien déconnecté des réalités sur le terrain.

Le plan horaire du cessez-le-feu annoncé par Donald Trump

Lundi soir, vers 18h (heure locale à Washington, soit 22h GMT), Donald Trump a publié sur sa plateforme Truth Social un calendrier précis pour l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et l’Iran.

  • Le cessez-le-feu devait débuter environ six heures plus tard, soit à 04h00 GMT (7h00 en Israël, 7h30 à Téhéran). Cette période de six heures permettrait aux deux pays de finaliser leurs « missions finales ».
  • L’Iran devait être le premier à respecter le cessez-le-feu, dès 04h00 GMT (mardi matin).
  • Israël devait suivre 12 heures plus tard, à 19h heure locale (16h GMT).
  • Israël était tenu de maintenir la trêve pendant 12 heures, après quoi le cessez-le-feu serait considéré comme pleinement effectif.

Donald Trump a affirmé que ce calendrier marquerait la fin officielle de ce qu’il a qualifié de la « guerre des douze jours » entre Israël et l’Iran.

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Trump frappe l’Iran : les sites nucléaires visés, la région en alerte

22. Juni 2025 um 08:17

Dans une annonce fracassante, le président américain Donald Trump a confirmé dans la nuit de samedi à dimanche que les forces armées des États-Unis avaient mené des frappes aériennes « très réussies » contre plusieurs installations nucléaires iraniennes, notamment les sites de Fordow, Natanz et Ispahan. Ces infrastructures figurent parmi les plus stratégiques du programme nucléaire iranien. Selon Trump, elles auraient été « totalement et complètement détruites », bien qu’aucune preuve n’ait été fournie à l’appui de ces affirmations.

Dans une allocution solennelle depuis la Maison Blanche, le président américain a averti l’Iran qu’en cas de riposte, d’autres cibles étaient « prêtes à être frappées ». Sur les réseaux sociaux, il a insisté : « N’oubliez pas, il reste beaucoup de cibles. »

Téhéran dénonce une attaque « scandaleuse »

La réaction iranienne ne s’est pas fait attendre. Le ministre des Affaires étrangères a qualifié ces frappes d’« outrageuses » et averti qu’elles auraient des « conséquences durables ». L’Organisation iranienne de l’énergie atomique a juré de ne « jamais » renoncer à son programme nucléaire, appelant la communauté internationale à condamner l’intervention américaine.

Dans un contexte de tensions exacerbées, un haut conseiller du guide suprême iranien a évoqué la possibilité de frappes contre les navires américains dans le Golfe et la fermeture du détroit d’Ormuz, point névralgique du commerce pétrolier mondial. Le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, ne s’est pas encore exprimé publiquement.

Escalade régionale : Israël et l’Iran en première ligne

Les frappes américaines surviennent alors que le conflit entre Israël et l’Iran a pris un tournant dramatique depuis le 13 juin. L’Iran affirme que plus de 400 personnes ont été tuées et plus de 3 000 blessées depuis le début de l’offensive israélienne. En réponse, les missiles iraniens ont visé le centre et le nord d’Israël, faisant au moins 23 blessés et 24 morts côté israélien.

Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a salué la « décision audacieuse » de Donald Trump, assurant que l’opération avait été menée en « parfaite coordination » entre les deux alliés.

Une communauté internationale inquiète

Le secrétaire général des Nations Unies s’est dit « profondément alarmé » par l’intervention américaine, appelant toutes les parties à éviter une escalade incontrôlable. Plusieurs pays d’Amérique latine ont condamné les frappes, tandis que d’autres ont simplement exprimé leur préoccupation, appelant au dialogue.

De son côté, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a indiqué qu’aucune augmentation du niveau de radiation n’avait été détectée autour des sites ciblés.

Un tournant dans la confrontation Iran–États-Unis ?

Alors que les observateurs internationaux retiennent leur souffle, une question cruciale demeure : ces frappes vont-elles précipiter une guerre ouverte dans la région ou, au contraire, ouvrir la voie à une nouvelle dynamique diplomatique ? L’ampleur réelle des dégâts infligés aux installations nucléaires iraniennes reste, à ce stade, incertaine.

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En temps de guerre, CNN préfère voler nos salades !

19. Juni 2025 um 12:09

Missiles au-dessus de Téhéran, silence à Gaza, tension à Washington… et tomates à Tel Aviv. Ce 18 juin, pendant que les gros titres annoncent une possible intervention militaire américaine après les frappes israéliennes sur l’Iran, CNN publie, juste en dessous de sa rubrique “Breaking News”, un article frais, croquant, et bien assaisonné : “Les 24 meilleures salades du monde”.

Et au cœur du top 5 de ce palmarès planétaire, entre une panzanella toscane et une salade thaïe : la fameuse “salade israélienne”. Ou devrions-nous dire… notre salade tunisienne, version simplifiée, sans thon ni œuf.

Une salade rebaptisée, une mémoire confisquée
Tomates. Concombres. Persil. Jus de citron. Huile d’olive. Sel. Rien de plus, rien de moins. Une recette plus vieille que les frontières, connue sous mille noms dans tout le monde arabe — salata baladi en Égypte, salade méchouia en Tunisie, salade arabe en Palestine. Chez nous, on l’appelle “slata”, tout simplement.

Mais dans l’univers de CNN, cette salade devient « israélienne ». Plus fort encore : Michael Solomonov, chef israélo-américain cité dans l’article, reconnaît sans gêne ses “origines arabes”. Et pourtant, CNN classe la salade sous la bannière bleue et blanche. L’aveu est là. Le rebranding, aussi.

Mention spéciale à tout le monde… sauf à nous
Dans ce classement, le Liban est cité pour son taboulé, l’Iran pour sa salade Shirazi. Cette dernière est même comparée à la salade israélienne — ce qui revient à dire que l’original ressemble à sa propre copie. On frôle la caricature.

Mais la Tunisie, elle, brille par son absence, malgré la richesse de ses salades : méchouia, houria, slata tounsia… Rien, pas même une note de bas de page. On est pourtant au cœur de cette tradition culinaire partagée, où la tomate et le concombre se mangent crus, cuits, écrasés, fumés, marinés. Mais visiblement, le goût des origines s’arrête là où commence la géographie du pouvoir.

Soft power dans l’assiette : la guerre culturelle continue
Ce n’est pas une simple salade. C’est une stratégie. Celle de l’effacement, du maquillage, du renommage. Falafel, houmous, keffieh — tous sont devenus “produits d’exportation” israéliens aux yeux d’un certain storytelling occidental.

Et maintenant, la salade.
Publier cet article au moment même où Israël bombarde l’Iran et où les États-Unis menacent d’entrer en guerre, ce n’est pas un hasard. C’est une forme de dissonance stratégique. Tandis que les bombes tombent, les concombres racontent une autre histoire. Plus douce. Plus digeste.

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Trump à Poutine : « Occupe-toi d’abord de la Russie »

18. Juni 2025 um 16:13

Alors que les tensions entre Israël et l’Iran entrent dans leur deuxième semaine, Donald Trump multiplie les déclarations tonitruantes. Mardi soir, depuis les jardins de la Maison Blanche, le président américain a balayé d’un revers de main l’offre de médiation russe dans le conflit en cours.

« Je lui ai dit : Fais-moi une faveur — commence par t’occuper de tes propres affaires. Réglons d’abord les problèmes de la Russie, d’accord ? Vladimir, occupons-nous d’abord de la Russie, tu te soucieras du reste plus tard. », a-t-il lancé en réponse à l’initiative de Vladimir Poutine, qui avait proposé plus tôt dans la journée d’aider à désamorcer l’escalade militaire entre Téhéran et Tel-Aviv.

“I said do me a favor – mediate your own. Let’s mediate Russia first, OK? I said, ‘Vladimir, let’s mediate Russia first, you can worry about this later’”.

Ce rejet, formulé avec une ironie glaciale, en dit long sur la posture actuelle de Washington : aucune place pour une médiation extérieure, surtout venue d’un Kremlin que Trump cherche désormais à marginaliser sur la scène internationale.

Menace nucléaire implicite

Dans la même intervention, Trump a haussé le ton contre l’Iran, affirmant sans apporter de preuve que « le pays n’a aucune défense aérienne », le qualifiant même de « totalement sans défense ». Il a ensuite évoqué une hypothétique « reddition inconditionnelle » de Téhéran.

« Ensuite, on va faire exploser tout ce qui est nucléaire là-bas », a-t-il lancé, en référence aux sites atomiques de la République islamique. Une menace à peine voilée de frappes préventives, que de nombreux analystes interprètent comme un retour à la doctrine de « dissuasion extrême » chère aux faucons de Washington.

Des négociations… trop tard ?

Trump a par ailleurs affirmé qu’il avait été approché par des responsables iraniens pour entamer un dialogue. Il leur aurait répondu qu’« il était très tard pour parler ». Tout en se gardant d’annoncer clairement une intervention militaire, il a semé le doute : « Je vais peut-être le faire, peut-être pas. Personne ne sait. » Une ambiguïté stratégique assumée, qui vise autant à déstabiliser l’adversaire qu’à garder la main sur le tempo diplomatique.

Une semaine « très importante »

Malgré ces menaces, Trump n’a pas exclu la possibilité d’un dénouement rapide : « La semaine prochaine sera très importante, peut-être même avant. » Il a toutefois reconnu que « rien n’est encore gagné » et que « la guerre, c’est compliqué, beaucoup de choses peuvent tourner mal ».

Ces propos arrivent alors que les États-Unis poursuivent leur soutien défensif à Israël depuis le début des affrontements avec l’Iran. Mais en usant du « nous » pour parler d’éventuelles frappes, Trump continue de brouiller la ligne entre aide indirecte et entrée en guerre ouverte.

Entre menace et confusion

À travers ce mélange de bravades, de fausses ouvertures diplomatiques et d’imprécisions stratégiques, Donald Trump entretient une ambiguïté dangereuse. D’un côté, il souffle la possibilité d’un apaisement ; de l’autre, il attise les braises d’un embrasement régional. Cette posture confuse, marquée par un mépris affiché pour l’ordre diplomatique multilatéral et les institutions internationales, fait redouter le pire.

Alors que les missiles continuent de tomber au Proche-Orient, le monde retient son souffle. Et les prochaines heures pourraient bien être décisives.

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Moscou revient sur scène et avertit : L’ntervention US en soutien à Israël menace la région

18. Juni 2025 um 14:43

Alors que le conflit entre Israël et l’Iran entre ce mercredi 18 juin dans son sixième jour, la Russie sort de sa réserve pour alerter sur les risques d’une implication militaire directe des États-Unis, qui pourrait embraser durablement le Moyen-Orient.

Après plusieurs jours de silence relatif, le ton s’est nettement durci à Moscou. Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a prévenu dans une déclaration à l’agence Interfax que toute aide militaire directe américaine à Israël risquerait de déstabiliser profondément la région. Il a exhorté Washington à la retenue.

L’avertissement est sans équivoque : selon Moscou, une entrée en guerre des États-Unis contre l’Iran constituerait un point de non-retour aux conséquences imprévisibles.

Mise en garde sur le risque de catastrophe nucléaire

La porte‑parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a estimé que le monde était « à quelques millimètres d’une catastrophe nucléaire », en raison des frappes quotidiennes israéliennes contre les infrastructures nucléaires iraniennes

Poutine en première ligne diplomatique

Dans un geste diplomatique important, le président Vladimir Poutine a échangé ce matin avec son homologue des Émirats arabes unis, Mohammed ben Zayed Al Nahyan.

Selon l’agence russe TASS, les deux dirigeants ont exprimé une « profonde inquiétude » face à l’escalade et ont souligné l’urgence d’un cessez-le-feu immédiat. Moscou a confirmé sa disponibilité à jouer un rôle de médiateur, assurant être en contact avec Téhéran et Tel Aviv.

Israël-Iran : une spirale qui menace de s’étendre

Depuis le lancement vendredi dernier de l’opération israélienne « Rising Lion », les frappes s’intensifient des deux côtés. Israël a frappé plusieurs sites nucléaires et militaires en Iran. En réponse, l’Iran a lancé des missiles balistiques sur des zones densément peuplées en Israël. Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, a mis en garde contre une intervention américaine, qui, selon lui, plongerait la région dans un chaos généralisé. Le risque d’un affrontement militaire direct entre Washington et Téhéran inquiète désormais les capitales du Moyen-Orient.

Une crise à double tranchant pour Moscou

Si Moscou exprime son inquiétude, certains experts soulignent que ce conflit offre aussi des avantages géopolitiques au Kremlin. La hausse des prix du pétrole profite à la Russie malgré les sanctions. Par ailleurs, l’attention mondiale se détourne de la guerre en Ukraine pour se concentrer sur le Moyen-Orient. Enfin, cette crise donne à Moscou l’occasion de renforcer son rôle de médiateur international, malgré les critiques liées à son invasion de l’Ukraine. L’Iran reste cependant un allié stratégique majeur pour la Russie. Membre des BRICS depuis 2024 et partenaire dans plusieurs projets énergétiques, Téhéran est un pilier essentiel de la stratégie russe face à l’Occident.

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Khamenei défie Washington : « Ni guerre imposée, ni paix imposée »

18. Juni 2025 um 12:05

À la télévision nationale, le guide suprême iranien Ali Khamenei a lancé une mise en garde cinglante à l’adresse des États-Unis, dénonçant toute tentative d’imposer une guerre ou une paix à la République islamique.

« Ce peuple ne se rendra à personne face à l’imposition », a-t-il déclaré d’un ton ferme, dans un discours retransmis par les agences Tasnim et Mehr. « L’Iran résistera à une guerre imposée tout comme à une paix imposée. »

Cette prise de parole intervient alors que les tensions atteignent un nouveau sommet dans la région, une semaine après des frappes israéliennes sur le territoire iranien.

Le président américain Donald Trump, particulièrement virulent sur les réseaux sociaux, a qualifié Khamenei de « cible facile », appelant mardi à une « reddition inconditionnelle » de l’Iran.

Une rhétorique jugée provocatrice par Téhéran. Sans nommer directement Trump, Khamenei a taclé ceux qui « ne connaissent ni l’histoire ni le caractère du peuple iranien ». « Ceux qui connaissent vraiment cette nation savent qu’elle ne répond pas au langage des menaces. »

Le guide suprême a prévenu : toute intervention militaire américaine serait accueillie par des « conséquences graves et irréparables ».

Dans un contexte d’escalade, où la diplomatie semble marginalisée par le fracas des ultimatums, les propos de Khamenei résonnent comme une tentative de dissuasion stratégique. Mais aussi comme un signal clair : Téhéran ne reculera pas.

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Iran – Israël : Un colonel américain suspendu pour propos anti-israéliens

18. Juni 2025 um 11:58

Le Pentagone a suspendu un officier supérieur après la publication de messages hostiles à Israël. L’affaire intervient alors que le Congrès cherche à encadrer tout recours à la force contre l’Iran.

Le 17 juin 2025, le colonel Nathan McCormack, responsable de la cellule Levant et Égypte au sein de l’état-major interarmées américain, a été suspendu de ses fonctions. En cause : des publications sur X (ex-Twitter) jugées incompatibles avec ses responsabilités stratégiques.

Dans ces messages, McCormack qualifie Israël de « pire allié » et accuse le Premier ministre Benyamin Netanyahou de vouloir « expulser les Palestiniens » dans le cadre d’un projet de « purification ethnique ». Il critique aussi la complaisance occidentale envers Israël, qu’il attribue à une « culpabilité post-Shoah ».

Le Pentagone a réagi en soulignant que ces opinions ne représentent pas la position du Département de la Défense. L’officier a été écarté du Joint Staff le temps d’une enquête administrative.

Le Congrès tente de freiner une escalade contre l’Iran

Le même jour, les représentants Thomas Massie (républicain) et Ro Khanna (démocrate) ont déposé une résolution bipartisane pour empêcher tout engagement militaire contre l’Iran sans autorisation du Congrès. « Ce n’est pas notre guerre », a déclaré Massie.

Alors que Donald Trump accentue sa rhétorique contre Téhéran, plusieurs parlementaires, dont Bernie Sanders et Tim Kaine, appellent à un strict encadrement du pouvoir exécutif. Leur objectif : éviter une nouvelle intervention militaire au Moyen-Orient, alors que les tensions entre Israël et l’Iran restent à un niveau critique.

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Trump exige la reddition de l’Iran

18. Juni 2025 um 09:40

Alors que la guerre entre Israël et l’Iran entre dans son sixième jour, Donald Trump change de ton. Le président américain a exigé mardi soir la “reddition inconditionnelle” de Téhéran, affirmant que les États-Unis “contrôlent totalement le ciel iranien”. Cette inflexion majeure survient alors que les bombardements israéliens sur Téhéran s’intensifient et que les frappes iraniennes se poursuivent sur le territoire israélien.

“La patience américaine touche à sa fin”

Dans un message publié sur Truth Social, Donald Trump a directement visé l’ayatollah Ali Khamenei, qu’il a qualifié de “cible facile”. “La patience des États-Unis touche à sa fin”, a-t-il écrit, avant de réclamer une “reddition inconditionnelle” de l’Iran.

Quelques heures plus tôt, le président américain s’était réuni pendant plus d’une heure et vingt minutes dans la Situation Room avec ses principaux ministres, chefs militaires et le président des chefs d’état-major interarmées. Selon plusieurs sources relayées par CNN, Trump se montre de plus en plus favorable à des frappes américaines contre les infrastructures nucléaires iraniennes, même s’il n’écarte pas une sortie diplomatique — à condition que Téhéran cède sans conditions.

Coordination avec Israël, vers une posture commune

Dans la soirée de mardi, Trump s’est également entretenu par téléphone avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Aucun communiqué officiel n’a été publié, mais cet échange, tenu au plus fort des frappes israéliennes sur Téhéran, laisse peu de doutes sur l’objectif commun : neutraliser la capacité militaire stratégique de l’Iran.

Washington affirme désormais exercer un “contrôle total” de l’espace aérien iranien. Ce message vise autant à dissuader une riposte de Téhéran qu’à signaler aux alliés régionaux que la doctrine de “pression maximale” est pleinement réactivée.

Téhéran sous les bombes

Tôt ce mercredi matin, plusieurs explosions ont secoué la capitale iranienne. L’armée israélienne a confirmé avoir mené des frappes aériennes visant des sites militaires et nucléaires à Téhéran et ses environs, notamment des centres de production d’armes et des centrifugeuses à Natanz.

Les défenses aériennes iraniennes ont tenté d’intercepter les missiles, mais des images partagées sur les réseaux sociaux montrent des panaches de fumée noire s’élevant au-dessus de plusieurs quartiers résidentiels. Les autorités iraniennes restent avares en détails, et le bilan humain exact demeure incertain.

Riposte iranienne et black-out israélien

En réponse, l’Iran a lancé dans la nuit une salve de missiles, dont certains de type hypersonique “Fattah”, vers le centre et le nord d’Israël. Des explosions ont été entendues à Tel-Aviv, et 94 blessés ont été recensés par le ministère israélien de la Santé, principalement en raison d’éclats liés aux interceptions.

L’armée israélienne maintient une stricte censure sur les cibles touchées et l’étendue des dégâts. La presse locale évoque néanmoins plusieurs incendies déclenchés par les frappes.

Un bilan déséquilibré

Depuis le début des hostilités, les frappes israéliennes sur l’Iran ont fait plus de 240 morts, dont au moins 70 femmes et enfants, selon des sources hospitalières. Côté israélien, 24 personnes ont été tuées par les attaques iraniennes.

Gaza en ruines

Parallèlement, la guerre à Gaza se poursuit dans l’indifférence diplomatique. Ce mercredi, les forces israéliennes ont tué 89 Palestiniens à Khan Younès, dont une majorité se trouvait dans une file d’attente pour l’aide alimentaire. Le ministère de la Santé local affirme que le nombre total de morts dépasse 55 000, avec plus de 128 000 blessés.

Vers un affrontement direct ?

L’exigence américaine de capitulation marque un tournant stratégique. La ligne rouge semble franchie. Face à une posture de guerre totale portée par Trump, Téhéran devra choisir entre l’escalade ou une difficile négociation en position de faiblesse. Aucun canal diplomatique crédible n’est, à cette heure, activé.

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Appel entre Tunis et Le Caire consacré aux tensions régionales

16. Juni 2025 um 19:26

Le ministre tunisien des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, a échangé ce lundi 16 juin 2025 avec son homologue égyptien, Badr Abdelatty, à propos des derniers développements géopolitiques dans la région. Selon un communiqué officiel, les deux diplomates ont souligné l’urgence d’une coordination arabe et musulmane renforcée, afin d’anticiper les risques pesant sur la stabilité régionale et internationale.

Au cours de cet échange, Tunis et Le Caire ont réaffirmé la solidité de leurs relations bilatérales et exprimé leur volonté commune d’intensifier la coopération sur les plans diplomatique, économique et sécuritaire, en prévision de futures échéances entre les deux capitales.

Cette conversation intervient alors que l’Égypte est critiquée pour avoir refusé à la Caravane Soumoud le passage vers Gaza via son territoire, contraignant les volontaires maghrébins à annoncer leur retour.

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Tunisie : quatre organisations unies pour la libération des volontaires de la Caravane Soumoud

16. Juni 2025 um 18:59

Quatre grandes organisations tunisiennes – la Ligue tunisienne des droits de l’Homme, l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), l’Ordre national des avocats et la Fédération nationale des journalistes tunisiens – ont publié, ce lundi 16 juin 2025, un communiqué commun appelant les autorités de l’Est libyen à libérer sans délai les volontaires de la « Caravane Soumoud » détenus en Libye.

Cette caravane solidaire avec Gaza, largement soutenue par les peuples du Maghreb, incarne une action civile et pacifique en faveur de la cause palestinienne.

Cependant, son avancée a été interrompue à Syrte où plusieurs militants – trois Tunisiens, trois Algériens, six Libyens et un Soudanais – ont été arrêtés.

Les quatre organisations tunisiennes appellent leurs gouvernements à engager d’urgence toutes les démarches diplomatiques nécessaires pour obtenir la libération de ces volontaires et soutenir la caravane.

Par ailleurs, la « Coordination Soumoud » organise une manifestation devant l’ambassade de Libye à Tunis, en coordination avec la société civile et des acteurs politiques, afin de réclamer la libération des détenus et la levée du blocus imposé à la caravane.

La coalition réaffirme son soutien total à cette initiative pacifique inscrite dans le mouvement mondial de solidarité envers la Palestine.

Enfin, la Coordination de l’action commune pour la Palestine annonce une libération partielle des détenus, tandis que les négociations se poursuivent pour la remise en liberté complète des autres participants.

Cette situation met en lumière la complexité politique en Libye et l’importance d’une mobilisation diplomatique et populaire pour défendre les acteurs civils engagés dans des causes justes.

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Hyundai Tunisie lance un roadshow dédié au STARIA 9 Places

16. Juni 2025 um 18:23

Alpha Hyundai Motor, importateur officiel de la marque sud-coréenne en Tunisie, a annoncé le lancement de la deuxième édition de son roadshow national dédié au modèle Hyundai STARIA 9 Places, à partir du 11 juin 2025.

Après une première tournée concluante en 2022, l’objectif de cette nouvelle campagne est de rapprocher la marque des professionnels du transport collectif, en mettant à leur disposition des essais dynamiques et des présentations techniques du véhicule. Le STARIA 9 Places s’adresse principalement aux exploitants de grands taxis, de louages et d’entreprises touristiques.

Doté d’un design futuriste, d’une motorisation performante et d’un espace intérieur optimisé, le véhicule a été pensé pour répondre aux exigences du marché tunisien : confort, fiabilité, rentabilité.

« Le STARIA 9 Places a été conçu pour répondre aux attentes des professionnels du transport, en alliant innovation, espace, confort et maîtrise des coûts », souligne Mehdi Mahjoub, directeur général de Hyundai Tunisie.

Hyundai Tunisie accompagne ce roadshow d’un ensemble d’initiatives commerciales, dont le renforcement de son réseau à travers de nouveaux centres de service rapide. La marque, déjà récompensée pour la quatrième année consécutive comme “Élu Service Client de l’Année 2025”, entend consolider sa position sur le segment utilitaire.

Avec une garantie constructeur de 5 ans et un réseau de plus de 20 agences à travers le pays, Hyundai mise sur la proximité et la qualité de service pour fidéliser sa clientèle.

Le calendrier du roadshow et la fiche technique du véhicule sont disponibles sur le site officiel : www.hyundai.com.tn


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Tunisie : l’armée de l’air commande 12 hélicoptères américains Bell

16. Juni 2025 um 18:09

L’armée de l’air tunisienne a signé un accord pour l’acquisition de 12 hélicoptères utilitaires Subaru Bell 412EPX, a annoncé lundi le constructeur américain Bell Textron Inc. lors du Salon aéronautique de Paris.

Cette commande marque la première livraison de cette version dans la région Moyen-Orient et Afrique. Les hélicoptères seront destinés à des missions militaires et sécuritaires multiples, selon Bell.

Le Bell 412EPX, développé en partenariat avec le constructeur japonais Subaru, dispose d’un poids maximal au décollage de 5 530 kg. Il peut transporter jusqu’à 2,4 tonnes en charge interne, ou 2,8 tonnes en charge externe, grâce à deux moteurs PT6T-9 de Pratt & Whitney Canada.

La Tunisie opère déjà 39 appareils de la marque Bell, incluant les modèles UH-1, 205 et OH-58. Ce nouvel achat vise à renforcer les capacités de projection de l’armée dans un contexte sécuritaire régional instable.

« Le Bell 412 est l’un des appareils les plus fiables au monde », a déclaré Tim Evans, directeur régional de Bell pour le Moyen-Orient et l’Afrique. Selon l’industriel, plus de 54 % des Bell 412 en service dans le monde sont engagés dans des missions militaires ou parapubliques.

Vers une remise à niveau de la sécurité aérienne militaire

Cette commande intervient alors que l’aviation militaire tunisienne a enregistré quatre crashs majeurs d’hélicoptères en moins de quatre ans. Le dernier en date, le 21 juin 2024 à Gafsa, a coûté la vie à un pilote.

Depuis 2021, des accidents similaires ont été recensés à Bizerte, en mer au large de Bizerte, et à El Hamma, causant la mort d’au moins neuf militaires au total. Ces incidents ont ravivé les inquiétudes sur l’état des équipements et la sécurité des vols.

Des enquêtes ont été ouvertes à chaque fois, mais la récurrence des crashs met en lumière les limites de la flotte existante. La modernisation annoncée pourrait répondre en partie à ces défaillances.

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