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Heute — 14. Juni 2025Haupt-Feeds

Tunisie : Coupures d’électricité prévues ce dimanche à Sousse et Monastir

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a annoncé qu’une interruption de l’alimentation électrique aura lieu ce dimanche 15 juin 2025 dans plusieurs quartiers des gouvernorats de Sousse et Monastir, en raison de travaux de maintenance programmés sur le réseau.

A Sousse, la coupure est prévue de 8h00 à 13h00 dans la zone de Ksibet Chott.

Dans le gouvernorat de Monastir, plusieurs localités seront concernées. A Monastir-ville, le courant sera interrompu de 8h00 à 11h00 dans le quartier Skanes, à proximité du carrefour de la Présidence. A Jemmal, la coupure interviendra de 11h00 à 15h00 et touchera les zones de la municipalité de Zaouiet Kontoch, la route de Beni Hassen, la route de Moknine, la route de Sousse, ainsi que l’Avenue des Martyrs.

La STEG précise que le rétablissement de l’électricité se fera progressivement, sans préavis, en fonction de l’avancement des travaux.

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Le bilan humain s’alourdit à plus de 55 000 morts et 128 000 blessés à Gaza

Le bilan des victimes de l’agression israélienne sur la bande de Gaza continue de grimper, selon les chiffres communiqués ce samedi par le ministère palestinien de la Santé. Depuis le début du conflit, le 7 octobre 2023, 55 297 personnes ont été tuées et 128 426 blessées.

Au cours des 48 dernières heures, 90 corps ont été retrouvés et 605 blessés ont été admis dans les établissements hospitaliers de la bande de Gaza, précisent les autorités sanitaires.

Depuis la reprise des hostilités le 18 mars dernier, après une trêve temporaire, les attaques israéliennes ont fait 5 014 morts supplémentaires et 16 385 blessés, selon la même source. De nombreux corps resteraient encore piégés sous les décombres, rendant le bilan provisoire.

L’agression avait été temporairement suspendue par un accord de cessez-le-feu entré en vigueur le 19 janvier 2025, après plus de quinze mois de guerre. Toutefois, cette accalmie n’a duré que deux mois. Depuis la reprise des opérations militaires, les bombardements et incursions terrestres israéliennes se sont intensifiés, aggravant une crise humanitaire déjà dramatique.

Les organisations humanitaires internationales alertent depuis des mois sur la situation catastrophique dans l’enclave palestinienne : infrastructures médicales détruites, pénurie de nourriture et d’eau potable, déplacements massifs de populations.

Alors que la communauté internationale multiplie les appels à une désescalade, les négociations restent au point mort, et les habitants de Gaza continuent de payer un lourd tribut à un conflit sans issue apparente.

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Tunisie : Huit ans de prison ferme pour un avocat

La chambre criminelle de la cour d’appel de Tunis a confirmé un jugement de première instance condamnant un avocat à huit ans de prison ferme, pour falsification de documents officiels et imitation du sceau d’une autorité publique.

Selon les éléments du dossier, le prévenu a été poursuivi pour son implication dans la falsification d’un contrat de vente immobilière, un document dans lequel il aurait inséré de fausses informations, falsifié des signatures et utilisé un sceau officiel imité pour accréditer la validité du contrat.

Le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Tunis avait émis un mandat de dépôt à l’encontre de l’avocat dès les premières étapes de l’enquête, en raison des éléments à charge réunis dans ce dossier.

La chambre criminelle a jugé les accusations fondées et a décidé de confirmer en appel la peine initialement prononcée. L’avocat devra donc purger huit années de réclusion, sans remise de peine à ce stade de la procédure.

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Ons Jabeur reléguée aux qualifications à Berlin après une chute historique au classement WTA

Le début de la saison sur gazon s’annonce comme un tournant décisif pour Ons Jabeur, qui doit désormais passer par les qualifications pour accéder au tableau principal du tournoi WTA 500 de Berlin. Une situation inédite pour la Tunisienne, reléguée à la 54e place mondiale après une série de contre-performances.

Cette chute de 18 rangs au classement WTA, officialisée lundi 9 juin, est l’une des plus marquantes de sa carrière. Elle résulte notamment d’une élimination prématurée à Roland-Garros, où la finaliste de Wimbledon en 2022 et 2023 n’a pas réussi à défendre ses points. Avec 1 063 points au compteur, Jabeur quitte le top 50 mondial pour la première fois depuis plusieurs saisons.

Ce recul contraint désormais la joueuse de 30 ans à débuter sa campagne berlinoise par les qualifications, dès demain, face à la Française Elsa Jacquemot (113e WTA). En cas de victoire, elle affrontera au second tour soit l’Américaine Sofia Kenin (29e), soit la Russe Erika Andreeva (99e), dans un tableau dense et relevé.

La saison 2025 s’avère difficile pour Jabeur, minée par des blessures récurrentes et un manque de constance, autant de facteurs qui ont fragilisé sa place parmi les meilleures joueuses du circuit.

À l’approche de Wimbledon, où elle reste sur deux finales consécutives, Ons Jabeur doit impérativement rebondir. Le tournoi de Berlin représente une opportunité cruciale pour retrouver confiance, rythme et points avant le Grand Chelem londonien. Pour cela, elle devra montrer que, malgré le coup d’arrêt, sa détermination reste intacte.

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L’Iran abat des drones et avions israéliens après des frappes ciblées

Les tensions militaires entre l’Iran et Israël ont franchi un nouveau cap. L’armée iranienne a annoncé avoir abattu, aujourd’hui, plusieurs drones israéliens qui avaient violé l’espace aérien du pays dans la région frontalière de Salmas, au nord-ouest du territoire. Ces appareils auraient été engagés dans des missions de reconnaissance et d’espionnage, selon la télévision d’État iranienne.

La veille, deux avions de chasse israéliens auraient également été interceptés et détruits alors qu’ils survolaient illégalement le territoire iranien, selon l’agence de presse officielle IRNA. L’agence semi-officielle Tasnim évoque, quant à elle, la destruction de plusieurs « micro-véhicules aériens », en plus des avions de combat.

Cette intensification militaire intervient en réponse à une série de frappes israéliennes menées dès vendredi matin contre des positions militaires et civiles iraniennes, selon les autorités de Téhéran. En représailles, l’Iran a lancé des dizaines de missiles contre des bases et infrastructures militaires situées sur le territoire israélien.

Dans un communiqué, les Gardiens de la Révolution ont affirmé que cette riposte était « ferme et précise », ciblant « des dizaines de sites stratégiques du régime israélien ».

La diplomatie iranienne a, de son côté, dénoncé une violation flagrante du droit international, qualifiant les frappes israéliennes d’« agression manifeste contre l’intégrité territoriale de l’Iran ». Elle a averti qu’une réponse « par tous les moyens nécessaires » serait apportée.

Cette escalade fait craindre un nouvel embrasement régional, alors que les appels à la retenue se multiplient au sein de la communauté internationale.

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Nucléaire iranien : Téhéran juge les négociations avec les États-Unis « dénuées de sens »

L’Iran a annoncé vendredi qu’il considérait les négociations en cours avec les États-Unis sur son programme nucléaire comme « dénuées de sens », à la suite des frappes israéliennes massives sur son territoire.

Téhéran accuse Washington d’avoir tacitement soutenu cette offensive, mettant ainsi en péril le processus diplomatique.

« La partie américaine a vidé le dialogue de son contenu. On ne peut pas prétendre vouloir négocier tout en permettant à Israël de cibler le territoire iranien », a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaeil Baghaei, cité par l’agence semi-officielle Tasnim.

Baghaei a affirmé que les frappes israéliennes, qualifiées d’« attaque sioniste », n’auraient pas eu lieu sans l’aval des États-Unis. Il a également accusé Israël d’avoir influencé le processus diplomatique en cours, sapant ainsi les perspectives d’un règlement par la voie du dialogue.

Washington, de son côté, nie toute implication dans les frappes israéliennes et a rappelé devant le Conseil de sécurité des Nations unies qu’il serait « dans l’intérêt de l’Iran » de poursuivre les pourparlers sur le nucléaire.

Un sixième cycle de négociations, prévu ce dimanche à Oman entre les deux pays, est désormais incertain dans ce climat de tensions croissantes. Aucun report officiel n’a été annoncé, mais la position iranienne laisse présager une possible suspension des discussions.

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L’Iran annonce une salve de 2000 missiles contre Israël

L’escalade militaire entre l’Iran et Israël a franchi un nouveau seuil. L’armée iranienne a annoncé ce samedi matin qu’elle se prépare à lancer près de 2000 missiles en direction d’Israël, affirmant que « les prochaines frappes seront vingt fois plus puissantes que les précédentes ».

Le Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a, de son côté, indiqué que « l’opération contre Israël se poursuivra aussi longtemps que nécessaire », en réponse aux récentes frappes israéliennes sur le territoire iranien.

Cette déclaration intervient après une série de raids israéliens ciblés, revendiqués par l’armée de l’air israélienne. « Nous avons mené des frappes précises à Téhéran, d’une importance opérationnelle majeure », a déclaré le commandant de l’aviation. Selon lui, des centaines de cibles ont été visées en Iran, y compris des installations de défense aérienne.

En réponse aux menaces iraniennes, le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a averti que « le régime iranien paiera un prix très élevé » en cas d’attaque contre Tel-Aviv.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a lancé une opération aérienne d’ampleur inédite contre l’Iran, visant à neutraliser ses infrastructures militaires et nucléaires. Plus de 200 sites à travers le pays ont été bombardés.

En marge de cette agression, les autorités iraniennes ont fait état de 78 morts, dont plusieurs responsables militaires, et plus de 320 blessés, en grande majorité des civils. Les frappes ont provoqué des incendies et d’importants dégâts matériels.

En représailles, l’Iran a lancé plusieurs salves de missiles balistiques dans la nuit de vendredi à samedi, touchant diverses régions israéliennes, notamment Tel-Aviv, Al Qods occupé, Rishon LeZion et Ramat Gan pour un bilan de trois morts et près de 50 blessées.

L’armée israélienne affirme avoir intercepté plusieurs missiles grâce à son système de défense antimissile « Dôme de fer ». Toutefois, certains projectiles ont échappé à l’interception, causant des dégâts et des victimes.

Israël revendique avoir détruit la base militaire de Tabriz, un centre stratégique pour les opérations de missiles, ainsi que des infrastructures à Hamadan et Ispahan. L’Iran minimise l’ampleur des dégâts et affirme que ses installations nucléaires restent opérationnelles malgré les attaques.

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Gestern — 13. Juni 2025Haupt-Feeds

Drones contre avions : L’Iran peut-il vraiment affronter Israël sur le plan militaire ?

Face aux frappes israéliennes d’une ampleur inédite, l’Iran révèle les limites de son arsenal militaire conventionnel. Mais derrière ses vieux avions et ses systèmes vieillissants, Téhéran mise sur une stratégie asymétrique redoutable, combinant missiles balistiques, drones kamikazes et saturation des défenses. L’écart technologique est réel, mais la menace iranienne, elle, bien concrète.

Alors que près de 200 avions israéliens ont frappé des sites militaires et nucléaires en Iran dans la nuit de jeudi à vendredi, une question revient avec insistance : que vaut réellement l’armée iranienne face à la puissance de feu israélienne ? Si Téhéran a tenté de riposter par des drones, la comparaison militaire entre les deux pays révèle un déséquilibre profond… mais pas sans surprises.

Une aviation dépassée

La première faiblesse de l’Iran est son aviation. Ses avions de chasse datent d’une autre époque : des F-4 Phantom des années 1960, des F-5 et F-14 américains achetés avant la révolution de 1979, quelques MiG-29 russes… et même, selon certaines sources, d’anciens Mirage F1. Résultat : la flotte iranienne est vieillissante, difficile à entretenir, et incapable de mener des opérations offensives à longue portée, notamment contre Israël.

En face, Israël dispose d’une des armées de l’air les plus modernes du monde, équipée de F-35 furtifs américains, de systèmes de brouillage électronique et d’une expérience opérationnelle inégalée.

Des missiles nombreux, mais inégaux

Si l’aviation iranienne est en retrait, le pays a misé depuis des années sur son programme de missiles balistiques et de croisière. Selon les services de renseignement américains, l’Iran posséderait aujourd’hui la plus grande force de missiles du Moyen-Orient. Certains engins peuvent atteindre des cibles à plus de 2 000 km.

C’est ce qui fait de l’Iran une puissance régionale redoutée : ces missiles peuvent menacer les bases américaines dans la région, les infrastructures pétrolières du Golfe, ou encore Israël. Mais leur précision, leur efficacité réelle et leur capacité à percer les défenses modernes comme le Dôme de fer israélien restent variables.

Les drones, la vraie carte maîtresse de l’Iran

Le domaine où l’Iran s’est réellement modernisé, c’est celui des drones. Ces dernières années, Téhéran a investi massivement dans cette technologie bon marché mais redoutablement efficace. Le drone « Shahed », par exemple, est désormais produit sous licence par la Russie, qui l’utilise dans la guerre en Ukraine.

Ces drones ont plusieurs avantages : ils volent à basse altitude, peuvent parcourir de longues distances et sont très bon marché – jusqu’à 20 fois moins chers qu’un missile de croisière. En avril, l’Iran a envoyé plus de 300 drones et missiles vers Israël dans une attaque largement symbolique, mais qui a montré sa capacité à saturer les défenses ennemies.

Une marine discrète, mais stratégique

Sur le plan naval, l’Iran mise sur une stratégie d’embuscade plutôt que sur la confrontation directe. Avec ses vedettes rapides, ses petits sous-marins et ses mines marines, il cherche à perturber le trafic maritime dans le golfe Persique et à menacer le détroit d’Ormuz – un point clé pour le commerce mondial de pétrole.

Même si ses grands navires de guerre sont peu efficaces, l’Iran espère ainsi jouer la carte de la déstabilisation plutôt que celle de la domination.

Une guerre asymétrique

Militairement, Israël garde une nette supériorité technologique, opérationnelle et stratégique. Mais l’Iran, contraint par les sanctions et les embargos, a appris à faire avec peu : il mise sur la guerre asymétrique, les frappes indirectes, les attaques symboliques… et les surprises.

Comme le résume un rapport de l’Institut français des relations internationales (IFRI), la vraie force de l’Iran réside dans la combinaison de ses missiles, de ses drones, et de sa capacité à saturer les défenses adverses. Pas de quoi l’emporter dans une guerre frontale, mais suffisant pour dissuader, riposter… et faire trembler toute une région.

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Iran – Israël : Le monde financier en alerte, l’or noir s’enflamme

Alors que le conflit entre Israël et l’Iran franchit un nouveau cap, les marchés financiers mondiaux vacillent. Hausse brutale du pétrole, envolée de l’or, chute des Bourses : les investisseurs redoutent une guerre élargie dans une région clé pour l’économie mondiale.

À la suite des frappes israéliennes contre des installations nucléaires et militaires en Iran, les prix du pétrole se sont envolés. Le baril de brut américain (WTI) a bondi de plus de 8 %, frôlant les 74 dollars, tandis que le Brent de la mer du Nord a grimpé de près de 7,6 %. En pleine nuit, les hausses avaient même dépassé les 12 %.

Pourquoi ? L’Iran est l’un des dix plus gros producteurs mondiaux de pétrole. Et une guerre au Moyen-Orient, notamment dans la région stratégique du Golfe, menace de perturber l’un des axes maritimes essentiels pour l’approvisionnement mondial en or noir. « Un quart du pétrole mondial transite par cette zone », rappelle Ricardo Evangelista, analyste chez ActivTrades.

Comme souvent en période de crise, les investisseurs se tournent vers les valeurs dites « refuge ». Résultat : le cours de l’or a gagné près de 1 %, atteignant les 3 418 dollars l’once (31,1 grammes). Le dollar s’est également renforcé face à l’euro (+0,74 %), profitant de son statut de monnaie refuge.

Les principales places boursières ont ouvert en net recul ce vendredi :

  • Wall Street : S&P 500 -1,00 %, Nasdaq -1,26 %, Dow Jones -1,05 %
  • Europe : Paris -0,80 %, Francfort -1,10 %, Milan -0,99 %, Londres -0,24 %
  • Asie : Tokyo -0,89 %, Séoul -0,87 %, Shanghai -0,75 %, Hong Kong -0,57 %

Les marchés redoutent une escalade incontrôlable, surtout après les propos de l’armée iranienne qui promet une riposte « sans limite ». Selon le ministère iranien des Affaires étrangères, les frappes israéliennes constituent une « déclaration de guerre ».

Les analystes financiers prévoient un week-end particulièrement volatil. « Une riposte massive de l’Iran pourrait bouleverser les équilibres économiques mondiaux », prévient Stephen Innes de SPI Asset Management. « De nombreux investisseurs pourraient réduire leur exposition au risque en attendant de voir comment la situation évolue », renchérit Ipek Ozkardeskaya de Swissquote Bank.

Certaines entreprises du secteur énergétique, en revanche, profitent de cette envolée des cours du pétrole. À Paris, TotalEnergies gagnait +1,72 %, BP +2,5 % à Londres, Shell +1,6 % et Repsol +1,5 % à Madrid. Aux États-Unis, ExxonMobil et Chevron gagnaient près de 3 % en avant-Bourse.

Le regain de tension entre Israël et l’Iran ne se limite pas au terrain militaire. Il fait vaciller l’équilibre fragile des marchés mondiaux, déjà secoués par les incertitudes politiques et économiques. Entre pétrole, or, devises et Bourses, le moindre tir de missile pourrait désormais faire trembler les courbes économiques de la planète.

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Israël frappe l’Iran : Téhéran crie à la « déclaration de guerre »

Après des frappes israéliennes massives sur des sites nucléaires en Iran, Téhéran crie à la déclaration de guerre. La riposte est immédiate et l’escalade militaire menace d’embraser toute la région.

Les tensions au Moyen-Orient ont franchi un nouveau seuil critique ce vendredi 13 juin. Après une série de frappes israéliennes d’une ampleur inédite contre des installations militaires et nucléaires iraniennes, Téhéran a réagi avec une virulence sans précédent, qualifiant l’attaque de « déclaration de guerre ».

Selon les autorités iraniennes, l’opération israélienne – baptisée Rising Lion – a ciblé une centaine de sites stratégiques, notamment les complexes nucléaires de Natanz et Ispahan. Des frappes aériennes massives ont visé également des centres de commandement, des bases des Gardiens de la révolution et des scientifiques de haut rang. Plusieurs responsables militaires de premier plan, dont les généraux Hossein Salami et Mohammad Bagheri, auraient été tués dans l’offensive.

« Ce qui s’est produit est une déclaration de guerre claire contre la souveraineté iranienne. Le Conseil de sécurité des Nations unies doit agir immédiatement », a déclaré Abbas Araghchi, ministre iranien des Affaires étrangères, dans un message adressé à l’ONU. Le Guide suprême, Ali Khamenei, a promis une riposte « douloureuse et sans limites », affirmant que « le régime sioniste devra en payer le prix fort ».

En réaction, l’Iran a lancé plus d’une centaine de drones en direction d’Israël, selon les médias officiels iraniens. L’armée israélienne (IDF) affirme avoir intercepté la majorité de ces engins grâce à son bouclier antimissile, mais l’alerte a été déclenchée dans plusieurs régions, de Tel-Aviv au sud du pays.

Donald Trump a exhorté l’Iran à conclure un accord nucléaire « avant qu’il ne reste plus rien », tout en dénonçant les pertes humaines et matérielles causées par le conflit. « Il est encore temps d’arrêter ce massacre », a-t-il lancé, sans pour autant condamner les frappes israéliennes.

Selon des sources diplomatiques relayées par Reuters, les États-Unis n’auraient pas directement participé aux frappes mais auraient fourni un soutien logistique et du renseignement à leur allié israélien. L’administration américaine s’est toutefois gardée de commenter publiquement la situation, appelant « à la retenue » de toutes les parties.

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Trump met en garde l’Iran : « Il faut conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien »

Alors que les frappes israéliennes contre l’Iran provoquent une flambée des tensions au Moyen-Orient, Donald Trump appelle Téhéran à conclure rapidement un accord diplomatique. L’ex-président américain avertit que sans compromis, les prochaines attaques seront « encore plus brutales », et que l’Iran pourrait être détruit.

Dans un message publié ce vendredi 13 juin sur sa plateforme Truth Social, le président américain Donald Trump a lancé un avertissement ferme à l’Iran, au moment où les frappes israéliennes visant des sites militaires et nucléaires iraniens se poursuivent. Il estime qu’un accord diplomatique est encore possible, mais que le temps presse.

    « L’Iran doit conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien », a écrit Trump, ajoutant que les prochaines attaques israéliennes pourraient être « encore plus brutales ».

Le dirigeant républicain affirme avoir donné « chance après chance » à Téhéran pour renégocier un accord sur le nucléaire, et accuse les dirigeants iraniens d’avoir ignoré ces opportunités. Il a salué la puissance de feu d’Israël, soulignant que l’État hébreu dispose « d’armes létales fabriquées aux États-Unis » et « sait s’en servir ».

Tout en dénonçant les « nombreuses pertes humaines et destructions » déjà causées, Trump assure qu’il est encore temps d’« arrêter ce massacre », avant que l’Iran ne subisse des dégâts irréversibles.

Frappes massives et riposte iranienne

L’opération israélienne, baptisée Operation Rising Lion, aurait ciblé plus de cent installations stratégiques en Iran, notamment les sites nucléaires de Natanz et d’Ispahan. Les médias internationaux rapportent des frappes aériennes massives et l’élimination de plusieurs hauts responsables des Gardiens de la Révolution, dont les généraux Hossein Salami et Mohammad Bagheri.

En réaction, Téhéran a lancé une centaine de drones armés en direction du territoire israélien, provoquant une alerte régionale et la fermeture de plusieurs espaces aériens au Moyen-Orient.

Washington en retrait, mais attentif

Selon l’agence Reuters, l’administration Trump aurait signifié à Israël qu’aucune assistance militaire offensive ne serait fournie pour ces opérations, tout en maintenant un appui en matière de renseignement et de défense, notamment en cas de représailles iraniennes.

Donald Trump a insisté sur le fait que les États-Unis n’étaient pas impliqués dans l’offensive israélienne, tout en profitant de la situation pour renouveler son appel à une résolution diplomatique. En février dernier, il avait réactivé sa stratégie de « pression maximale » contre l’Iran, combinant sanctions économiques renforcées et menaces militaires.

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Bloqué en Iran, le journaliste Ala Chebbi livre son témoignage

L’attaque lancée par Israël contre l’Iran, la nuit dernière en a surpris plus d’un dont la journaliste tunisien Ala Chebbi. Celui-ci est actuellement en Iran avec son épouse en tant que touriste.

Contacté par la radio Express fm pour livrer son témoignage, le journaliste a tenu à rassurer tout le monde. Dans son témoignage il révèle qu’il est présent dans l’ouest de l’Iran, assez loin de la série de frappes ciblées contre plusieurs sites stratégiques dans le nord.

Malgré cette attaque, la vie est normale là où il se trouve actuellement et rien n’est venu perturber les habitudes des habitants et des quelques touristes étrangers dont des Américains.

Il a toutefois exprimé son souhait de rentrer au plus vite en Tunisie sachant que l’espace aérien iranien a été fermé, mais il espère revenir par voie terrestre via la Turquie. Il a également indiqué avoir été contacté personnellement par l’ambassadeur de Tunisie en Iran.

Ala Chebbi devra donc attendre que la situation se calme pour pouvoir espérer revenir en Tunisie. Dans ce contexte bien précis, le journaliste Samir Ouafi a tenu à préciser dans un message publié sur Facebook mercredi, qu’il avait, lui aussi, été invité à passer quelques jours en Iran mais qu’il avait choisi de décliner l’invitation pour des raisons professionnelles.

« J’avais été invité en Iran par une partie officielle iranienne, dans le cadre d’une délégation médiatique tunisienne restreinte, partie il y a deux jours, pour découvrir l’Iran de près et pour la première fois. Le programme de la visite, prévu pour une semaine, était passionnant et bien organisé, sous la supervision de l’État iranien. (…).

Je remercie l’État iranien, son ambassade ainsi que son centre culturel à Tunis pour cette aimable invitation et pour leur insistance à ce que je participe jusqu’au dernier moment. Je leur présente mes excuses pour mon absence, et j’espère avoir une prochaine occasion pour visiter l’Iran et découvrir réellement sa civilisation ».

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La Russie condamne « l’escalade » après les frappes israéliennes en Iran

Au lendemain de frappes israéliennes sur des sites nucléaires et militaires en Iran, la Russie exprime sa « profonde préoccupation » et condamne une « escalade dangereuse » au Moyen-Orient. Moscou, allié stratégique de Téhéran, appelle à la retenue tout en mettant en garde contre le risque d’un embrasement régional majeur.

La Russie a exprimé, ce vendredi 13 juin, sa profonde préoccupation et condamné fermement la « forte escalade des tensions » après les frappes aériennes israéliennes ayant visé des installations nucléaires et militaires en Iran.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a assuré que le président Vladimir Poutine était tenu « informé en temps réel » de l’évolution des événements. Dans la foulée, l’ambassade russe en Israël a déconseillé tout déplacement vers ce pays.

Moscou rappelle régulièrement sa position : toute action militaire contre les installations nucléaires iraniennes doit être exclue, invoquant le risque d’une « catastrophe régionale ». Début avril, M. Peskov avait déjà souligné la nécessité d’un règlement diplomatique des tensions liées au nucléaire iranien.

La visite surprise du président Poutine en Iran en janvier 2025 avait renforcé les liens entre les deux pays : un traité stratégique global de coopération a été signé, couvrant l’énergie nucléaire civile, la défense, le commerce et la mise en place d’un corridor économique reliant la Russie à l’Inde via l’Iran.

Pourtant, cette alliance reste prudente : si la Russie soutient des sanctions légales et non militaires contre l’Iran, le partenariat ne comprend pas d’engagement de défense mutuelle.

En avril dernier Moscou avait mis en garde contre toute frappe visant les sites nucléaires iraniens, avertissant qu’une telle action pourrait déclencher une « catastrophe régionale ».

La Russie avertit que les frappes de l’opération israélienne dite Operation Rising Lion – ayant touché jusqu’à 100 installations dont des sites nucléaires – risquent de déclencher une spirale incontrôlable

Les déclarations russes et les initiatives diplomatiques dans les prochains jours seront déterminantes pour savoir si la région s’approchera de la guerre ou si une désescalade maîtrisée sera possible.

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Tunisie : Près de 9500 croisiéristes ont débarqué à La Goulette

Le port de La Goulette a accueilli, hier, deux navires de croisière transportant près de 9500 touristes venus de divers horizons, notamment d’Europe, d’Amérique et d’Asie. Cette escale s’inscrit dans le cadre des circuits réguliers des croisières vers la Tunisie.

Selon un communiqué du ministère du Tourisme et de l’Artisanat, les passagers ont visité plusieurs sites emblématiques de la capitale et de sa banlieue, dont le musée national du Bardo, la médina de Tunis et le village pittoresque de Sidi Bou Saïd.

Ces excursions ont permis aux visiteurs de découvrir la richesse du patrimoine historique et culturel tunisien. Le ministère souligne également que cette affluence a contribué à dynamiser l’économie locale à travers divers services liés au tourisme, tels que le transport, les guides, les artisans et les commerçants.

La Tunisie prévoit de poursuivre l’accueil de croisiéristes dans le cadre d’une stratégie nationale visant à renforcer le rôle du tourisme dans l’économie, à diversifier l’offre touristique et à attirer une clientèle à fort pouvoir d’achat.

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Frappes israéliennes contre l’Iran : Les prix du pétrole s’envolent de plus de 10%

Les cours du pétrole ont bondi de plus de 10% ce vendredi 13 juin, après des frappes israéliennes massives sur des sites militaires et nucléaires en Iran. Alors que le spectre d’une guerre régionale se précise, les marchés redoutent des perturbations majeures dans les approvisionnements énergétiques mondiaux.

Aux premières heures du vendredi 13 juin 2025, Israël a lancé une vaste opération militaire – baptisée « Operation Rising Lion » – visant au moins 100 cibles militaires et nucléaires en Iran, notamment les sites de Natanz, Ispahan et ceux liés aux missiles balistiques. Parmi les victimes figurent des figures de haut rang : le général Mohammad Bagheri, chef d’état-major iranien, et Hossein Salami, commandant du CGRI, ont été tués.

L’attaque décrite par Israël comme un geste « préventif » pour contrer ce qu’il estimait être une menace nucléaire imminente, a entraîné une escalade rapide : l’Iran a riposté avec plus de 100 drones en direction d’Israël, poussant à la fermeture d’environnements aériens régionaux.

Sur les marchés, la réaction a été immédiate : le prix du baril WTI a bondi de 10,41% à 75,10 $, tandis que le Brent prenait 10,15%, atteignant 76,40 $. D’autres sources évoquent des hausses encore plus fortes : jusqu’à +12% pour le WTI et +11,7% pour le Brent. Reuters rapporte une envolée des prix de plus de 9% .

L’opération survient alors que les négociations américaines‑iraniennes étaient déjà au point mort suite à un blâme de l’AIEA envers Téhéran pour son manque de coopération.

D’un autre côté, le FMI estime qu’une hausse de 10% du pétrole fait grimper l’inflation mondiale d’environ 0,4% durant deux ans. A partir de là, les marchés financiers ont réagi avec volatilité : les actions chutent en Europe et en Asie, les indices américains plongent, tandis que l’or progresse.

Par ailleurs, les analystes craignent que l’élargissement du conflit perturbe le trafic au détroit d’Hormuz, voie vitale pour 20% du pétrole maritime mondial.

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La caravane Soumoud bloquée par les forces de l’Est libyen aux portes de Syrte

Alors qu’elle s’apprêtait à entrer dans la ville de Syrte, la caravane Soumoud, partie de Tunis à destination de Gaza, a été stoppée par les forces de l’Est libyen. Les organisateurs dénoncent une entrave inattendue à cette mission humanitaire, lancée en solidarité avec les Gazaouis.

La Coordination de l’action commune pour la Palestine a annoncé, jeudi soir, que la caravane Soumoud a été bloquée par les forces de sécurité et l’armée relevant des autorités de l’Est libyen, alors qu’elle arrivait aux abords de la ville de Syrte.

Selon ces forces sécuritaires, les membres de la caravane doivent patienter jusqu’à réception d’instructions émanant des autorités de Benghazi, comme l’indique un communiqué publié par la coordination sur sa page Facebook officielle.

Face à ce qu’elle qualifie de « réaction inattendue », la coordination précise que les responsables de la caravane ont décidé de ne pas faire demi-tour. Ils se sont rangés sur le bas-côté de la route et se déclarent prêts à passer la nuit sur place si nécessaire.

Dans le même communiqué, la caravane a exhorté les autorités de Benghazi à concrétiser leur soutien à cette initiative, rappelant les propos favorables du ministère libyen des Affaires étrangères publiés mercredi. Ce dernier avait exprimé sa confiance dans l’unité du peuple libyen, estimant que le soutien populaire à la caravane transcende les clivages entre l’Est et l’Ouest du pays.

La coordination a lancé un appel aux autorités concernées pour faciliter la mission de la caravane, qui affirme avoir pour unique objectif humanitaire de « briser le blocus imposé à Gaza et de contribuer à mettre fin à la famine et au génocide en cours dans l’enclave palestinienne ».

Elle a également tenu à rassurer les familles des participants : tous les membres de la caravane sont en bonne santé et regroupés à quelques kilomètres de Syrte. Les difficultés de communication sont dues à l’absence de couverture téléphonique dans la zone.

Pour rappel, la caravane Soumoud a quitté Tunis le 9 juin en direction de Gaza, via la Libye et l’Égypte. Elle réunit des militants originaires de plusieurs pays du Maghreb, porteurs d’un message de solidarité avec les Gazaouis et d’une aide humanitaire destinée à la population de l’enclave, toujours soumise à un blocus sévère depuis plus d’un an et demi.

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Tunisie – Amnistie fiscale : Jusqu’à 1,5 milliard de dinars pour renflouer les caisses de l’État

L’amnistie fiscale prévue par la loi de finances 2025 est officiellement en vigueur depuis le 2 janvier. Une mesure exceptionnelle qui pourrait rapporter jusqu’à 1 500 millions de dinars à l’État, selon l’expert fiscal Mohamed Salah Ayari.

Le ministère des Finances a activé la mise en œuvre des mesures d’amnistie fiscale prévues par l’article 74 de la loi de finances pour l’année en cours, le 2 janvier 2025. Cette initiative, soutenue par le Parlement et plusieurs institutions, vise à offrir aux contribuables une possibilité de régulariser leur situation fiscale dans un cadre favorable.

Concrètement, les contribuables peuvent bénéficier de plusieurs allègements, à condition de se rapprocher des brigades fiscales et des bureaux de contrôle pour entamer les démarches :

  • Suppression des amendes de contrôle, de retard de paiement et des frais de poursuites, pour les dettes fiscales dues à l’État, si le règlement se fait en une seule fois ou selon un plan en trois tranches sur cinq ans, avec un premier versement impératif avant le 30 juin 2025.
  • Remise de 50 % sur les amendes liées aux infractions fiscales administratives antérieures au 20 juin 2025, sous les mêmes conditions de paiement.
  • Annulation des amendes prévues par les articles 81, 82 et 85 du Code des droits et procédures fiscaux, en contrepartie du dépôt des déclarations fiscales non soumises, rectificatives ou relatives aux droits d’enregistrement, avec règlement de l’impôt principal au moment du dépôt ou de l’enregistrement, entre le 1er janvier et le 20 juin 2025.

Intervenant ce jeudi 12 juin 2025 sur les ondes de Mosaique fm, l’expert fiscal et membre du Conseil fiscal, Mohamed Salah Ayari, a souligné que cette mesure pourrait générer jusqu’à 1 500 millions de dinars de recettes pour le Trésor public, si une majorité des demandes sont acceptées. Il a rappelé que des amnisties similaires en 2022 et 2024 avaient permis de récolter respectivement 1 200 millions et 1 750 millions de dinars.

Selon lui, cette nouvelle édition d’amnistie fiscale concerne en particulier les pénalités fiscales lourdes, les dettes fiscales des entreprises, ainsi que les déclarations fiscales rectificatives.

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L’italien SAGE Automotive va doubler ses emplois en Tunisie d’ici 2027

Le groupe italien SAGE Automotive, spécialisé dans les textiles techniques pour l’automobile, prévoit de créer un nouveau site de production en Tunisie, avec pour objectif 3 000 emplois d’ici 2027. Une annonce qui conforte la stratégie tunisienne de faire du secteur des composants automobiles un pilier de l’export et de l’innovation.

Le géant italien des textiles techniques pour l’automobile, SAGE Automotive Interiors, poursuit son ancrage en Tunisie. Lors d’une séance de travail tenue mercredi avec la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, la direction du groupe a exprimé son intention d’étendre ses activités en lançant un nouveau site de production sur le territoire tunisien.

Objectif affiché : doubler le nombre de postes d’ici 2027, pour atteindre les 3 000 emplois directs. Un projet ambitieux qui s’inscrit dans une stratégie plus large visant à renforcer la valeur ajoutée locale et à faire de la Tunisie une plateforme régionale dans le domaine des composants automobiles.

La ministre a rappelé que le secteur fait partie des priorités nationales, notamment à travers la charte de partenariat public-privé pour les équipements automobiles, qui vise un doublement des exportations et des emplois à l’horizon 2027.

Présent en Tunisie depuis mars 2019, SAGE Automotive dispose déjà d’une usine implantée dans la zone industrielle d’El Agba, sur une superficie de 27 000 m², et qui emploie actuellement plus de 1 400 personnes. Le groupe opère à l’international avec 22 sites de production répartis dans 18 pays.

La Tunisie, deuxième exportateur africain de composants automobiles, abrite plus de 280 entreprises industrielles dans ce domaine, dont 140 à participation étrangère. 65 % d’entre elles sont totalement tournées vers l’export, générant plus de 100 000 emplois, selon les derniers chiffres officiels.

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La Tunisie lance un appel d’offres international pour 75 000 tonnes de blé tendre

L’Office national des céréales (ONC) a officiellement lancé un appel d’offres international pour l’acquisition de 75 000 tonnes de blé tendre, d’après des informations relayées par des sources européennes et reprises par Reuters.

Les offres doivent être déposées avant le 13 juin. La quantité demandée est 75 000 tonnes, réparties en trois lots de 25 000 tonnes chacun.

Selon des traders européens, l’offre la plus compétitive serait détenue par Cargill, à 262,91 $ la tonne C&F, pour un lot de 25 000 tonnes. Cargill aurait également soumis une seconde offre à 263,91 $ pour la même quantité

Les offres recueillies seront examinées après la date limite du 13 juin. Le contrat final ne sera pas toujours attribué au prix le plus bas : la qualité, la fiabilité des délais de livraison et les conditions logistiques seront des critères essentiels dans le choix du fournisseur.

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