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Gestern — 30. Mai 2025Haupt-Feeds

Huile d’olive extra : la Tunisie remporte 75 médailles au concours USIOOC

30. Mai 2025 um 08:18

A l’issue de la compétition internationale des huiles d’olive extra vierges des États-Unis, « United States International Olive Oil Competition – USIOOC », qui se tient du 27 au 30 mai 2025, à Miami, la Tunisie a remporté la première place mondiale.

Quelque quatorze (14) pays, entre autres la Tunisie, l’Espagne, l’Italie, la Turquie, l’Algérie, l’Arabie saoudite, la Jordanie, le Portugal et la Libye, ont pris part à cette compétition qui a vu s’affronter près de 140 entreprises, avec un jury composé de 12 experts internationaux.

A cette occasion, l’huile d’olive a raflé 55 médailles d’or dans la catégorie qualité, trois médailles d’argent dans cette même catégorie, ainsi que 17 médailles d’or dans la catégorie santé.

A rappeler que cette compétition est organisée par le groupe suédois GIOOC, spécialisé dans l’organisation de compétitions internationales de l’huile d’olive vierge extra, dirigé par l’ingénieur tunisien, Raouf Chouket.

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UBCI, UE, BEI : un trio gagnant pour les entreprises tunisiennes

29. Mai 2025 um 16:46

Dans le cadre d’une conférence organisée par l’UBCI en partenariat avec l’Union européenne et la Banque européenne d’investissement (BEI) et le soutien technique de Frankfurt School, Mohamed Koubaa, Directeur Général de l’UBCI, a souligné l’importance d’une initiative structurante pour l’écosystème entrepreneurial tunisien.

Placé sur le thème « Invest and Export Solutions », l’événement a marqué l’aboutissement de deux années de travail intensif.

Un partenariat à fort impact pour l’économie tunisienne

M. Koubaa a salué la confiance renouvelée des bailleurs internationaux, notamment de l’Union européenne et de la BEI, affirmant que cette alliance représente bien plus qu’un apport financier : elle symbolise une reconnaissance du rôle stratégique de l’UBCI dans l’accompagnement des investisseurs.

« Ce projet n’est pas une simple ligne de crédit. C’est une reconnaissance de notre engagement à devenir un partenaire clé des projets de développement », a-t-il déclaré. Tout en remerciant notamment Jean-Luc Revéreault et Marco Stella pour leur engagement.

Financer, mais aussi accompagner

Le dirigeant de l’UBCI a insisté sur un changement de paradigme : le rôle des banques ne se limite plus à l’octroi de crédits. « L’enjeu, c’est d’accompagner les entreprises dans leur réussite, avec une politique de conseil, de structuration, et un système d’information performant », a-t-il martelé.

Un levier pour les PME et pour la transition verte

Évoquant les défis structurels du tissu entrepreneurial tunisien, il a appelé à un soutien plus qualitatif, rappelant l’exemple du Programme de mise à niveau (PMN) des années 90. Il a aussi souligné les opportunités qu’offre la transition écologique, affirmant que « la décarbonation n’est pas une charge, mais un investissement stratégique ».

Un appel à l’action pour transformer l’essai

S’adressant à ses équipes, M. Koubaa a lancé un message mobilisateur : « Nous avons les moyens de réussir, maintenant il faut concrétiser ». Il a exprimé sa confiance dans la capacité de l’UBCI à relever ce défi au bénéfice de l’économie tunisienne dans son ensemble.

Changer le regard sur le financement en Tunisie

Dans une intervention remarquée, M. Koubaa a aussi tenu à déconstruire certaines idées reçues sur le financement en Tunisie. Pour lui, le débat sur les taux d’intérêt détourne l’attention de la vraie question : la rentabilité des projets. « Nous ne sommes pas des trésoriers. Nous sommes des partenaires de projet », a-t-il affirmé.

D’entrée, M. Koubaa a tenu à rectifier une perception courante : « On a l’habitude de voir les banquiers tunisiens comme des trésoriers. Nous ne le sommes pas. Nous sommes des partenaires de projet. » Selon lui, la mission d’une banque est d’accompagner la réussite des investissements, bien au-delà de la simple question des taux.

Taux d’intérêt vs. Croissance : une corrélation remise en cause

Le DG de l’UBCI a balayé l’argument selon lequel des taux élevés freineraient nécessairement la croissance. « En Turquie, les taux sont à 50 %, mais la croissance dépasse 5 %. Au Japon, les taux sont négatifs depuis 30 ans, et la croissance est nulle ». Pour lui, le vrai indicateur à surveiller est la rentabilité de l’entreprise. « Si votre performance ne dépasse pas le taux monétaire, vous ne créez pas de valeur. Autant laisser l’argent en compte courant ».

« La décarbonisation n’est pas un coût, c’est un investissement »

M. Koubaa a également insisté sur l’importance des projets durables, notamment dans la transition écologique. « La décarbonisation n’est pas une charge, c’est un investissement stratégique ». Il encourage donc les entreprises à saisir les financements verts (comme les lignes de crédit européennes), tout en améliorant leur gouvernance. « Un projet bien structuré, avec une équipe solide, trouvera toujours des financements. »

Un système bancaire à réformer, mais des opportunités à saisir

Reconnaissant les défis du système de garantie en Tunisie, il a appelé à une meilleure culture financière : « Si un crédit est refusé, c’est parfois parce que le projet n’est pas assez convaincant ». Malgré tout, des dispositifs comme les lignes de crédit européennes (170 millions d’euros) offrent des opportunités, à condition que les entreprises se professionnalisent.

Lors d’une intervention marquante, Mohamed Koubaa, Directeur Général de l’UBCI, a exprimé sa gratitude envers les équipes et partenaires ayant contribué à la mise en place d’un programme stratégique pour la Tunisie. Devant un auditoire attentif, il a souligné l’importance de cette initiative, tout en lançant un appel à la mobilisation collective pour en assurer le succès.

Un projet aux enjeux majeurs

M. Koubaa a insisté sur le caractère pivot de ce programme, affirmant que sa réussite ouvrirait la voie à d’autres financements internationaux. « La Tunisie a besoin que ce programme réussisse, car c’est le prélude à d’autres projets », a-t-il déclaré. Tout en pointant le retard du pays par rapport à des nations comparables comme le Maroc ou l’Égypte en matière de soutien financier international.

 

 

S’appuyant sur les atouts de la Tunisie, il a exhorté les parties prenantes à « transformer l’essai ». Tout en soulignant que le pays dispose de tous les leviers nécessaires pour concrétiser cette ambition.

Mohamed Koubaa a conclu son intervention sur une note optimiste, exprimant l’espoir de voir ce « beau programme » aboutir, pour le bénéfice de la Tunisie et de son économie.

Un partenariat historique, des enjeux actuels

Dans son intervention, Marco Stella, responsable du développement économique à la délégation de l’UE en Tunisie, a souligné l’importance du soutien européen aux petites et moyennes entreprises (PME) tunisiennes. Tout en pointant du doigt des défis systémiques critiques, dont la courte durée de vie moyenne des entreprises locales – seulement 18 mois.

 

M. Stella a rappelé que l’UE et la Tunisie cultivaient un partenariat de 30 ans, à la fois politique, technique et financier. Il a salué les efforts conjoints de l’UBCI, tout en insistant sur la nécessité d’une approche systémique pour renforcer l’écosystème des PME.

« Les besoins sont larges, et c’est normal. Mais en Tunisie, le constat est alarmant : une PME sur deux ne survit pas au-delà de 18 mois », a-t-il déclaré, évoquant des obstacles allant au-delà de l’accès au crédit – notamment des défis structurels liés à la compétitivité, à l’intégration dans les chaînes de valeur internationales et à la transition verte.

L’UE, un bailleur de fonds clé via des dons et des programmes ciblés

Contrairement à d’autres partenaires financiers, l’UE continue à octroyer des dons à la Tunisie, notamment pour :

  • Faciliter l’accès au crédit (via des mécanismes de réduction des risques financiers).
  • Former les PME aux enjeux clés comme la décarbonisation et l’export.
  • Renforcer les secteurs stratégiques (agroalimentaire, textile, automobile).

Le Trade and Competitiveness Program, cité par M. Stella, illustre cette approche, avec un volet dédié à l’accompagnement des entreprises tunisiennes vers les marchés internationaux.

Une vision commune : écosystème durable et synergies européennes

L’UE mise sur une collaboration étroite avec les institutions tunisiennes et le secteur privé, dans le cadre de l’initiative « Équipe Europe », qui fédère les efforts des 27 États membres. L’objectif? Créer un environnement propice à l’innovation, à l’export et à la transition verte.

« Nous croyons au potentiel du secteur privé tunisien pour bâtir un avenir plus durable et inclusif », a conclu M. Stella, appelant à renforcer les liens économiques entre les deux rives de la Méditerranée.

La BEI et l’UBCI : un projet pilote pour l’avenir des PME tunisiennes

Lors de cet événement organisé à Tunis, la Banque européenne d’investissement (BEI) et l’Union bancaire pour le commerce et l’industrie (UBCI) ont officialisé un partenariat stratégique visant à renforcer l’accès des PME tunisiennes aux financements. Ce projet, soutenu par l’Union européenne et accompagné par l’expertise technique française, représente l’aboutissement de quatre années de discussions et s’inscrit dans la continuité de l’engagement historique de la BEI en Tunisie depuis la fin des années 1970.

Jean-Luc Revéreault, représentant de la BEI en Tunisie, a rappelé le rôle clé joué par l’institution dans le développement économique du pays, notamment à travers le financement des infrastructures et l’appui indirect aux entrepreneurs via des lignes de crédit, des fonds d’investissement et des programmes de microfinance. Il a souligné que certaines PME soutenues par la BEI dans le passé sont aujourd’hui devenues des leaders nationaux, voire internationaux, bien qu’il ait évité de citer des noms pour ne pas en omettre.

Ce nouveau partenariat intervient dans un contexte marqué par des contraintes économiques croissantes, qui ont compliqué la collaboration directe entre la BEI et les banques tunisiennes ces dernières années. Pour y remédier, un mécanisme innovant a été mis en place, combinant une ligne de crédit de 170 millions d’euros, signée en 2023 et destinée à l’ensemble du secteur bancaire tunisien, et une ligne de garantie pilote de 12 millions d’euros, financée par l’Union européenne et confiée exclusivement à l’UBCI.

Le choix de l’UBCI comme partenaire privilégié pour cette garantie s’explique par sa solidité financière, son respect des normes internationales (dont les IFRS) et sa certification ESG, une première en Tunisie. Revéreault a également salué la philosophie de la banque, axée sur l’accompagnement des entrepreneurs et une gestion rigoureuse du risque crédit, des atouts décisifs dans la sélection.

Au-delà des aspects financiers, le projet prévoit un important volet d’assistance technique, piloté par la France, afin de renforcer les capacités des différents acteurs impliqués. La Banque centrale tunisienne bénéficiera d’un appui pour améliorer ses indicateurs de suivi. Tandis que les banques partenaires, dont l’UBCI, recevront une expertise pour affiner leurs modèles d’analyse de risque. Les PME bénéficiaires, quant à elles, seront accompagnées dans la structuration de leurs dossiers de financement et dans l’adaptation de leurs processus aux exigences environnementales, notamment en vue de l’entrée en vigueur prochaine de la taxe carbone aux frontières de l’UE.

Les secteurs prioritaires ciblés par cette initiative comprennent le textile, l’agroalimentaire et l’automobile, avec pour objectif d’aider les entreprises tunisiennes à grimper dans les chaînes de valeur et à améliorer leur compétitivité à l’international.

Il a toutefois tenu à souligner le caractère expérimental de la ligne de garantie, dont le montant reste limité. Son succès sera déterminant pour convaincre les bailleurs de fonds internationaux de débloquer des enveloppes plus importantes à l’avenir. L’UBCI, désormais sous les projecteurs, devra démontrer sa capacité à déployer efficacement ces fonds et à générer un impact tangible sur le tissu économique tunisien.

Ce projet s’inscrit dans le cadre plus large du programme Trade and Competitiveness de l’UE, crucial pour la Tunisie, où les PME représentent près de 90 % du tissu économique mais peinent encore à accéder aux financements nécessaires à leur croissance. Dans un contexte de dette publique élevée, ce partenariat ouvre une voie prometteuse pour mobiliser des fonds internationaux tout en préservant les finances de l’État.

Les prochains mois seront déterminants pour évaluer les premières retombées de cette initiative, avec un focus particulier sur les entreprises bénéficiaires et l’évolution de leur compétitivité. Si les résultats sont concluants, ce dispositif pourrait servir de modèle pour de futurs programmes de soutien aux PME en Tunisie et ailleurs dans la région.

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Présidence de la BAD : le Mauritanien Sidi Ould Tah succède à Adesina avec 76,18 % des voix

29. Mai 2025 um 16:45

C’est finalement le Mauritanien Sidi Ould Tah qui a été élu, jeudi 29 mai 2025, président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Et ce, à l’issue d’un vote organisé lors des Assemblées de l’institution, tenues à Abidjan.

En effet, Sidi Ould Tah a obtenu 76,18 % des voix, devançant largement le Zambien Samuel Munzele Maimbo (20,26 %) et le Sénégalais Amadou Hott (3,55 %). C’est ce que révèlet les résultats officiels communiqués par le Comité des gouverneurs. Il succède ainsi au Nigérian Akinwumi Adesina, en poste depuis 2015.

Lire aussi : Assemblées annuelles 2025 de la BAD : qui pour succéder à Adesina?

« Économiste de formation, technocrate discret et pragmatique, écrit le site anadolu, Sidi Ould Tah dirigeait depuis 2015 la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), basée à Khartoum au Soudan, qu’il a profondément transformée. Sous sa présidence, les engagements annuels de la BADEA sont passés de 200 millions à 2,2 milliards de dollars en 2023. En 2024, il a conduit l’institution à émettre son premier eurobond, d’un montant de 500 millions d’euros ».

Selon certains médias, Sidi Ould Tah a reçu le soutien des pays membres de la BAD, entre autres la Côte d’Ivoire, le Nigeria, la Tunisie, le Congo-Brazzaville, l’Italie et le Bénin.

Il est né à Mederdra, dans le sud-ouest de la Mauritanie. Il est titulaire d’un doctorat en sciences économiques de l’Université de Nice Sophia Antipolis et d’un DEA de l’Université Paris VII.

Le nouveau président a occupé divers postes dans le secteur bancaire et public, en Mauritanie et dans d’autres pays, notamment à la Banque islamique de développement (BID) en Arabie saoudite.

De 2008 à 2015, il fut ministre des Affaires économiques et du Développement de la Mauritanie.

Dans sa campagne pour la présidence de la BAD, Sidi Ould Tah a évoqué quatre priorités : la résilience climatique, la diversification économique, l’inclusion des jeunes et des femmes et la mobilisation de financements innovants. Mais ce n’est pas tout, il a aussi lancé un plaidoyer pour « une réforme en profondeur de l’architecture financière africaine et une meilleure intégration du secteur informel, notamment via la fintech et la blockchain ».

Sa candidature a reçu le soutien de plusieurs pays membres, dont la Côte d’Ivoire, le Nigeria, la Tunisie, le Congo-Brazzaville, l’Italie et le Bénin. En décembre 2024, il avait été désigné « Financier africain de l’année » par le magazine Financial Afrik.

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Souveraineté alimentaire : la Tunisie dévoile ses solutions agricoles à Dakar

28. Mai 2025 um 17:20

Elles sont six entreprises tunisiennes opérant dans le secteur technologique privé qui participent à la 2e édition de la « Semaine de l’Agritech Tunisienne » au Sénégal, qui se tient du 25 au 29 mai à Dakar.

« Organisé par STECIA International dans le cadre du programme Digital Tunisia, avec le soutien de l’Agence française de développement (AFD) via Qawafel, l’événement se veut un jalon stratégique pour une agriculture africaine moderne, connectée et résiliente », rapporte le site pressafrik.com.

Cette initiative, qui se tient sous le sceau d’une coopération gagnant-gagnant entre la Tunisie et le Sénégal, écrit le site, « vise à faire émerger des solutions concrètes aux enjeux agricoles par la technologie, l’expertise locale et les partenariats régionaux », assurent les organisateurs.

En clair, Digital Tunisia se veut un catalyseur de transformation agricole sur le continent africain. Et mise sur « les synergies régionales et les besoins concrets des territoires »…

Toujours selon la même source, l’événement s’inscrit également dans « la vision du New Deal technologique impulsé par le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, alignée sur les ambitions de l’Agenda 2050 en matière de souveraineté alimentaire et de digitalisation du secteur agricole ».

Le programme de la Semaine de l’Agritech prévoit plusieurs temps forts, à savoir : une journée de rencontres B2B, des ateliers de co-innovation avec des startups sénégalaises, des visites de terrain dans les régions de Dakar et Thiès, ainsi que des échanges structurés avec les institutions et réseaux agricoles locaux, détaillent les organisateurs.

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Elon Musk – DOGE : échec et mat !

28. Mai 2025 um 15:54

Que restera-t-il de la création du Département de l’Efficacité gouvernementale (DOGE) et de sa gestion confiée à Elon Musk ?

La création de ce ministère par Donald Trump avait – ou a – pour ambition de « réduire les dépenses publiques et moderniser l’administration fédérale ».

Quatre mois après l’arrivée du milliardaire américano-sud-africain à la tête dudit ministère, il a annoncé, dimanche 25 mai, qu’il quitterait le département pour retourner à ses affaires. Sa démission prendra effet le 30 courant.

Comme le rappellent plusieurs médias américains, l’implication de Musk a été marquée par « des controverses, notamment des licenciements massifs de fonctionnaires et des critiques concernant la transparence et la constitutionnalité de l’initiative ».

D’ailleurs, en février 2025, environ un tiers du personnel du DOGE a démissionné en raison de désaccords éthiques et professionnels, écrit le New York Post.

Sur le plan comptable et financier, le bilan de Musk reste modeste, étant donné que l’objectif était de faire économiser au budget fédéral pas moins de 200 milliards de dollars. Mais selon les chiffres disponibles, on est loin du compte, puisque seuls 90 milliards de dollars ont été “économisés“.

Et sur le plan humain, des milliers de personnes ont perdu leur emploi à la suite des décisions prises par le DOGE sous la houlette de Musk. Ce qui fait de lui l’homme le plus impopulaire de l’administration américaine.

Toutefois, Elon Musk demeurera « une figure influente dans les cercles politiques américains, continuant à conseiller sur des sujets tels que l’intelligence artificielle et la réforme gouvernementale », ajoute pour sa part Business Insider.

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Décès de Jean Tiberi, ancien maire de Paris, à 90 ans

27. Mai 2025 um 12:49

La maire du Ve arrondissement de Paris, Florence Berthout, a annoncé, mardi 27 mai 2025, le décès de Jean Tiberi, ancien édile de la capitale, de 1995 à 2001. Il avait 90 ans.

Voici son message son message sur X : « J’apprends avec beaucoup de tristesse la disparition de Jean Tiberi qui fut quatre mandats durant, le maire engagé du Ve arrondissement. À son épouse et ses enfants, j’exprime mes condoléances les plus sincères ».

Anne Hidalgo renchérit : « Paris, sa ville, lui rendra hommage. Je veux saluer la mémoire de cet homme qui a consacré une part immense de sa vie à Paris et au Ve arrondissement, qui perd l’un des siens. Je garderai le souvenir d’un homme chaleureux, avec qui j’avais tissé des relations cordiales et respectueuses ».

Pour sa part, la ministre de la Culture, Rachida Dati, a déclaré : « Il a su porter haut les couleurs de la capitale ».

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A. Adesina quitte la BAD mais s’engage à servir les intérêts de l’Afrique 

26. Mai 2025 um 15:50

Le président sortant du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi A. Adesina, a salué la coopération diversifiée entre la Tunisie et son Institution.

Répondant à une question de l’agence TAP lors d’un petit-déjeuner de presse organisé lundi à Abidjan (Côte d’ivoire) et en présence de représentants des médias du continent africain et du reste du monde dans le cadre des Assemblées annuelles de la BAD, qui seront marquées par l’élection d’un nouveau président de la Banque, le responsable a rappelé que cette coopération touche plusieurs secteurs, essentiellement, l’énergie, l’infrastructure de la pharmacie, et l’utilisation des drones dans le secteur agricole, ainsi que le pharmaceutique. Il a rappelé le fait que la Tunisie a abrité le siège de la Banque pendant plusieurs années.

Les Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la BAD se tiennent du 26 au 30 mai 2025 à Abidjan (Côte d’Ivoire) sur le thème ‘’Tirer le meilleur parti du capital de l’Afrique pour favoriser son développement’’. La délégation tunisienne y participe. Elle est conduite par le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, gouverneur du groupe de la BAD pour la Tunisie.

« Je m’engage à dédier mon temps au réseautage et je servirai les intérêts de l’Afrique dans cette dynamique mondiale », répond le président sortant de la BAD à l’agence TAP sur ce qu’il allait faire après la fin de son actuel mandat.

M. Adesina a indiqué par ailleurs que la Banque a réalisé la plus importante augmentation de capital de son histoire, le faisant passer de 93 milliards de dollars en 2015 à 318 milliards de dollars aujourd’hui. « Une réalisation sans précédent », ajoute-t-il, car la BAD a réalisé la plus importante reconstitution des ressources du Fonds africain de développement (FAD) de son histoire. Permettant ainsi de mobiliser 8,9 milliards de dollars dans le cadre de sa 16ème reconstitution.

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