Le ministère de la Justice a démenti, dimanche les informations relayées sur les réseaux sociaux concernant des prétendus actes de torture sur un détenu dans une prison à Bizerte. Le département a affirmé la poursuite en justice de toute personne impliquée dans la diffusion de ces rumeurs.

Dans un communiqué, le ministère de la Justice  précise que le parquet près le tribunal de première instance de Bizerte a convoqué vendredi le détenu pour vérifier les allégations de torture. Ainsi  un représentant du ministère public, a examiné le dossier concluant à l’absence de toute trace de violence sur son corps.

De son côté, l’Inspection générale des prisons et de la rééducation a immédiatement mené son enquête. Elle a écouté toutes les parties concernées et n’a pu établir aucune preuve de mauvais traitement infligé au détenu, selon la même source.

Par ailleurs, l’ouverture d’une enquête judiciaire a lieu ce samedi 3 mai. Un juge d’instruction, et un représentant du ministère public se sont rendus à la prison pour examiner le détenu concerné. Ils ont entrepris les procédures nécessaires prévues par la loi (examens et auditions). Et ce bien avant de confirmer l’absence de toute trace de violence sur le corps du détenu.

De ce fait, le ministère précise, dans son communiqué, que la photo diffusée sur les réseaux sociaux n’est pas celle du détenu en question. La photo date, en effet, de 2017 et a été prise dans un autre pays.

En outre, le département réaffirme son attachement aux principes des droits de l’homme et aux standards internationaux en matière de traitement des détenus et se dit ouvert à tous les mécanismes de contrôle qui garantissent les droits des prisonniers et luttent contre l’impunité en cas de violations établies.

Selon une publication attribuée à une avocate et publiée la semaine dernière sur les réseaux sociaux, un jeune homme de 19 ans, aurait été victime de mauvais traitement pendant sa détention à la prison de Bizerte. L’Organisation contre la torture en Tunisie, s’est saisie de l’affaire et a appelé le parquet à ouvrir une enquête urgente et transférer le détenu à l’hôpital.

Avec TAP

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Un braqueur récidiviste et faisant l’objet de 26 mandats de recherche, a été arrêté au quartier Sijoumi de Tunis.

Selon un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale, un homme a porté plainte après avoir été violenté par cet individu alors qu’il était à vélo.

Après l’avoir frappé, l’agresseur l’a menacé à l’aide d’une arme blanche et lui a dérobé deux téléphones portables, une smart watch, son vélo ainsi qu’une somme estimée à 150 dinars.

Les investigations menées rapidement ont permis de localiser le braqueur qui a été arrêté et placé en détention sur instruction du représentant du ministère public.

Les investigations se poursuivent afin de faire la lumière sur l’ensemble de ses activités criminelles, ajoute encore la DGSN dans son communiqué publié ce samedi 3 mai 2025.

Y. N.

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Les surveillants  généraux ont effectué un sit-in de deux heures dans tous les établissements éducatifs, le mercredi matin de 8h00 à 9h00, pour protester contre l’agression d’un surveillant général par une parente d’élève survenue au sein du collège  Mohamed Laroui à Sousse, selon Boulbaba Salmi, Secrétaire Général de la Fédération générale des surveillants et surveillants généraux. Au cours de son intervention sur Jawhara FM, M. Salmi a expliqué que ce sit-in dans les établissements éducatifs a été organisé afin de protester contre le phénomène croissant de la violence dans le milieu éducatif, pointant du doigt l’attentisme du le ministère de l’éducation face aux attaques répétées contre les enseignants.

Les cours ont été suspendus ce mardi 29 avril 2025 au collège “El Aroui Jawhara” dans le gouvernorat de Sousse, à la suite d’une agression violente subie par le surveillant général de l’établissement. Selon les déclarations de Farid El Hamdi, surveillant général et secrétaire général de la section régionale des surveillants à Sousse, une mère […]

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Le 15 mai prochain, le fils de l’artiste égyptien Mohamed Ramadan comparaîtra devant le tribunal pour enfants à 6 octobre, en raison d’une accusation de violences physiques sur un enfant au sein d’un club privé de la ville. Cette affaire fait suite à une plainte déposée en septembre dernier par la mère de la victime, […]

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