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Fillette violentée à Kasserine | Son frère de 15 ans arrêté

Von: Yusra NY
13. September 2025 um 23:47

Un adolescent de 15 ans a été placé en détention, ce samedi 13 septembre 2025, pour l’agression de sa sœur âgée de 10 ans.

C’est ce qu’affirme le substitut du procureur de la République et porte-parole des Tribunaux de Kasserine Imed Bahri, cité par Mosaïque FM, sachant que le suspect de 15 ans a été arrêté et présenté au Parquet près le Tribunal de première instance qui a ordonné sa détention.

Notons que l’alerte a été faite par des activistes, via les réseaux sociaux, qui ont diffusé des photos montrant des traces de coups sur le dos de la fillette de 10 ans, en affirmant que son frère l’a violemment battue avant de fuir.

Y. N.

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Kasserine : un adolescent de 15 ans arrêté pour avoir violenté sa sœur de 10 ans

13. September 2025 um 21:21
Kasserine : un adolescent de 15 ans arrêté pour avoir violenté sa sœur de 10 ans

Un adolescent âgé de 15 ans a été placé en garde à vue à Kasserine, sur décision du parquet près le tribunal de première instance, après avoir violemment agressé sa sœur de dix ans. Selon les premiers éléments relayés par le porte-parole officiel des tribunaux de Kasserine, le juge Imed Al-Omri, l’affaire a éclaté suite […]

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Programme du Printemps culturel tunisien en Belgique

13. September 2025 um 09:43

Le Comité de vigilance pour la démocratie en Tunisie (CVDT), une association dotée du statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et social, et le Centre culturel arabe en pays de Liège, organisent la 6ᵉ édition du Printemps culturel tunisien en Belgique, entre le 20 septembre et le 18 octobre 2025, sur le thème «Cyberviolence à l’égard des femmes : regards croisés entre la Tunisie et la Belgique».

Cette manifestation vise à promouvoir la culture tunisienne dans toute sa richesse artistique, historique et contemporaine auprès du public belge et de la diaspora, dépasser les clichés touristiques pour présenter une image authentique et vivante de la Tunisie, favoriser les échanges culturels et citoyens entre communautés tunisienne et belge, soutenir les artistes émergents et confirmés et encourager le dialogue et le partage d’expériences pour mieux protéger les femmes en ligne et lutter contre la cyberviolence.

Au programme des conférences-débats autour du thème central déjà cité (mécanismes juridiques comparés, rôle des réseaux sociaux dans la lutte contre la cyberviolence, autonomisation numérique des femmes, éducation aux médias, self-défense digitale…) avec la participation des spécialistes : Monia Lachheb (Université de Tunis El Manar); Nevruz Unal, échevine de la rénovation urbaine, des contrats de quartier, de la prévention, des droits humains & de l’égalité des chances, Salma Triki, docteure en sociologie, spécialiste des questions de genre; Nesrine Rebai, experte internationale senior en genre, fondatrice de Ganbatte, bureau d’études, de formation et de conseils qui accompagne les ONG, institutions publiques et le secteur privé dans la mise en œuvre de projets de développement; Bruno Humbeeck (Université de Mons), psychologue de l’éducation, chercheur et auteur d’une quarantaine d’ouvrages sur l’éducation et la famille; Aïcha Bacha, docteure en sciences politiques et sociales, fondatrice du Centre européen pour le développement et les études géostratégiques.

Au programme aussi un concert intitulé «Lady of the Sea» où Myriam Laraiedh proposera un voyage musical méditerranéen en hommage à la résilience des femmes et au dialogue interculturel.

I. B.

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Violence dans les stades en Tunisie : Retraits de points à l’étude pour sanctionner les clubs

06. September 2025 um 09:19

Le ministère de la Jeunesse et des Sports a annoncé, vendredi, une série de mesures fermes pour lutter contre la violence dans les stades. Parmi elles figure la révision du code disciplinaire, qui pourrait désormais sanctionner les clubs par des retraits de points.

Lors d’une réunion présidée par le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, au siège du ministère de l’Intérieur, la commission mixte a validé le principe de la révision du code disciplinaire. Ce texte sera soumis à la prochaine réunion du bureau fédéral.

Un code disciplinaire plus sévère

L’objectif affiché est de durcir les sanctions à l’encontre des clubs en cas d’incidents violents, avec la possibilité d’aller jusqu’à des retraits de points au classement.

La réunion a également décidé la création d’une cellule de coordination opérationnelle regroupant l’arbitre, le commissaire du match, le coordinateur général et un responsable de la sécurité. Cette équipe sera chargée de superviser chaque rencontre sur les plans sportif, sécuritaire et logistique, et de prendre toutes les mesures nécessaires pour en assurer le bon déroulement.

Le ministère a annoncé la soumission du statut des coordinateurs généraux aux ministères concernés pour validation. Par ailleurs, un appel solennel a été lancé aux présidents de clubs et aux médias pour éviter les déclarations incendiaires et tout discours susceptible d’attiser les tensions autour des matchs.

Une démarche élargie aux autres disciplines

Sadok Mourali a insisté sur la nécessité de sanctionner fermement toute personne impliquée dans des actes de violence, rappelant que ce phénomène menace la sécurité des citoyens et des biens publics.

Le ministre a également indiqué que des réunions similaires seront organisées avec les fédérations tunisiennes de handball et de basket-ball, afin d’étendre ces mesures aux salles sportives.

Cette réunion s’est tenue en présence de hauts responsables du ministère de l’Intérieur, des cadres du ministère des Sports, ainsi que des représentants de la Fédération tunisienne de football, de la Ligue nationale de football professionnel et de la Direction nationale de l’arbitrage.

Lire aussi :

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Kasserine : la famille de Hassan Dhibi proteste après sa mort par balles à Marseille

03. September 2025 um 17:59
Kasserine : la famille de Hassan Dhibi proteste après sa mort par balles à Marseille

La famille du jeune Hassan Dhibi, originaire du quartier Ez-Zohour à Kasserine, a organisé ce lundi une manifestation de protestation suite à sa mort par balles aux mains de la police française à Marseille. Entourés des habitants du quartier et des amis du défunt, ses proches ont exprimé leur profonde indignation et ont appelé les […]

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Tunisie : Réseaux en feu après une bagarre sauvage entre deux rappeurs

07. August 2025 um 08:15

Une violente bagarre entre deux rappeurs tunisiens, Laya et Boussada, survenue hier à l’Ariana, a mis le feu aux réseaux sociaux. Dans plusieurs vidéos virales, on peut voir les deux artistes se livrer à une rixe brutale, encerclés par une foule de spectateurs filmant la scène avec leurs téléphones, visiblement plus fascinés qu’indignés.

Ce face-à-face, organisé comme un véritable « combat de rue », a choqué bon nombre d’internautes par sa violence crue et sa mise en scène presque ritualisée. Les coups pleuvent, les cris fusent, et le tout est capté, relayé et commenté à grande vitesse sur TikTok, Instagram ou encore Facebook, où des centaines de jeunes fans suivent de près ces figures de la scène rap locale.

Mais au-delà du buzz, cet épisode soulève des questions préoccupantes sur la dérive d’une certaine culture urbaine en Tunisie. Car si le rap s’est imposé ces dernières années comme un moyen d’expression artistique et sociale pour de nombreux jeunes, il semble désormais flirter dangereusement avec une glorification de la violence.

Cette culture underground, longtemps marginale, s’installe désormais dans l’espace public, alimentée par des réseaux sociaux avides de contenus spectaculaires et sensationnalistes. Ce n’est plus uniquement une affaire de musique : c’est tout un mode de vie, avec ses codes, ses provocations et parfois, ses dérapages.

À l’heure où la Tunisie est en quête de repères pour sa jeunesse, certains craignent que ce genre d’épisodes ne contribue à enraciner une culture de la violence et du clash comme nouvelle norme.

Reste à savoir si les autorités, comme les artistes eux-mêmes, sauront prendre la mesure de leur responsabilité dans la formation des imaginaires collectifs.

Lire aussi : Tunisie : Un premier festival international dédié au rap verra le jour

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Un inextinguible ressentiment

30. Juli 2025 um 11:18

Quelle pulsion de violence peut pousser à s’attaquer à des équipements médicaux, caillasser un bus tout neuf ou s’attaquer à un édifice public ?

Sociologues et psychologues sont-ils suffisamment sur le terrain pour nous aider à mieux comprendre les pulsions de violence qui traversent notre société ? Depuis de longues années, une nouvelle norme semble prédominer dans l’attitude de certaines franges de citoyens par rapport à des biens publics qu’on détruit sans vergogne.

Les explications semblent insuffisantes pour comprendre ce phénomène qui se répand et prend de nombreuses formes qui vont de la pollution dite ordinaire aux déprédations en tous genres.

Comment expliquer pourquoi des citoyens s’attaquent-ils à des équipements médicaux après avoir envahi un hôpital ? Comment comprendre le geste scandaleux qui, ces derniers jours, a pris la forme d’un bus tout neuf vandalisé de manière absurde ?

Il faut d’abord réaliser que cette violence destructrice fait aujourd’hui partie de notre quotidien. On caillasse les trains pour le plaisir malsain que cela procure comme on le fait pour un bus qui vient d’arriver dans le parc public.

Il y a dans ces gestes aussi bien l’expression d’un « No Future » que l’exacerbation de cette fameuse mentalité dite du « beylik » et qui attend encore d’être analysée en profondeur.

Sommes-nous face à une jeunesse déboussolée qui en veut à tout et son contraire ? Sommes-nous plutôt devant des formes de radicalisation qui profitent de la déroute de la gestion urbaine face à des enjeux de territoires qui vont dans tous les sens ?

Cette violence à fleur de peau et cette propension à détruire sont désormais partie intégrante du paysage quotidien, aussi bien dans les stades que dans les rues, autant dans les quartiers populaires que les cités périphériques, sur les routes et aussi dans les rues.

À première vue, le délitement des familles y est pour beaucoup. De même, la faillite morale de l’école et la dégradation du lien social y sont pour beaucoup. Quant à la crise endémique que nous traversons et ses corollaires en termes de chômage et de malaise, y jouent un rôle important.

C’est en tous cas l’un des symptômes d’une société malade qui s’exprime ainsi. Car cette péripétie du caillassage d’un bus n’est que la partie d’un tout qu’il est essentiel de comprendre pour mieux juguler cet inextinguible ressentiment.

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