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Heute — 15. Januar 2025Haupt-Feeds

Clôture du programme CoworkUp 4.0

15. Januar 2025 um 15:56

La clôture du programme CoworkUp 4.0, organisé par la coopération allemande GIZ, s’est tenue mercredi 15 janvier à Tunis. Ce programme a permis à 30 structures d’accompagnement de startups en Tunisie de renforcer leurs compétences à travers divers ateliers.

Parmi elles, 10 structures ont été sélectionnées pour bénéficier d’un accompagnement supplémentaire afin d’aider les jeunes entrepreneurs à dynamiser l’économie et à créer des emplois durables.

Lors de cet événement, Amani Wahabi, spécialiste du soutien aux écosystèmes de startups à la GIZ, a souligné l’importance de cette journée, la qualifiant de plus qu’une simple célébration. Elle a mis en avant les opportunités d’échange d’idées, d’exploration de nouvelles collaborations et de construction d’un avenir entrepreneurial solide et durable.

Les discussions entre pairs, les interactions avec des experts et les dialogues constructifs avec des investisseurs ont été des éléments clés de cette rencontre.

Nous y reviendrons…

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Cybersécurité : le Colonel Major Gharbi alerte sur la montée des crimes électroniques

15. Januar 2025 um 11:51

Le Colonel Major Houcine Gharbi, directeur général commandant de la Garde nationale, a déclaré que les crimes électroniques constituent une menace croissante en matière de cybersécurité pour les individus, les institutions et les États. 

Ces crimes se manifestent sous diverses formes, telles que la fraude en ligne, le vol de données, les cyberattaques et les violations de la vie privée.

Lors d’une journée d’étude sur la cybersécurité qui s’est tenue le 15 janvier 2025, il a révélé que des statistiques alarmantes indiquent qu’une fuite de données personnelles se produit toutes les 39 secondes sur Internet. Le Colonel Major Houcine Gharbi a également noté que le développement technologique rapide représente une arme à double tranchant. En effet, bien qu’il ouvre des perspectives pour la créativité et l’innovation; il offre également aux criminels de nouvelles opportunités d’exploitation.

Il a précisé que l’objectif de cette journée d’étude est d’améliorer les connaissances en cybersécurité. De même qu’il s’agit de développer des solutions efficaces pour prévenir et combattre les crimes électroniques; et ce, en favorisant la coordination entre les différentes entités concernées.

En somme, alors que la Tunisie continue d’évoluer dans le domaine de la cybersécurité, il est impératif que toutes les parties prenantes collaborent pour renforcer la protection des données personnelles. Et ce, tout en naviguant dans un paysage technologique en constante évolution.

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Tunisie – Sénégal : plaidoyer pour une coopération africaine renouvelée

15. Januar 2025 um 09:59

Le président de la République Tunisienne, Kaïs Saïed, a rencontré dans l’après-midi du 14 janvier 2025, Birame Diop, ministre des Armées du Sénégal. Ce dernier était porteur d’un message du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye. Lors de cette rencontre, qui s’est déroulée au palais de Carthage, M. Saïed a souligné les relations historiques et fraternelles entre la Tunisie et le Sénégal, établies depuis 1961.

Le Chef de l’Etat a mis en avant le niveau de coopération existant dans divers domaines. De m^mee qu’il a exprimé l’espoir d’un développement futur grâce aux ressources humaines et naturelles des deux pays.

Relations bilatérales 

Il a également évoqué l’importance de l’intégration bilatérale et la nécessité de renforcer les institutions africaines, notamment financières, pour soutenir le développement du continent.

Vision pour l’Afrique

Kaïs Saïed a réaffirmé la conviction que l’Afrique appartient aux Africains et qu’il est crucial d’adopter une approche innovante axée sur la cohésion, la coopération et l’intégration. Il a insisté sur le besoin de surmonter les douleurs du passé pour bâtir un avenir meilleur. Tout en mettant l’accent sur des secteurs essentiels tels que la santé, l’éducation et les transports. Le président a également abordé des défis contemporains comme le terrorisme, les migrations irrégulières et le changement climatique. 

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Gestern — 14. Januar 2025Haupt-Feeds

Souvenirs des 14 janvier : bilan des changements

14. Januar 2025 um 16:32

Les mobilisations commémorant la révolution continuent chaque 14 janvier sur l’avenue Habib Bourguiba, un lieu emblématique de la contestation. Près de quatorze ans après le départ de Ben Ali, les slogans tels que « emploi, liberté et dignité » résonnent toujours, témoignant des attentes non satisfaites du peuple tunisien.

Cependant, depuis 2022, ces célébrations ont pris une tournure différente, rendant la commémoration plus complexe, surtout lorsque cette date coïncide désormais avec le 17 décembre, le jour du déclenchement de la révolution.

Réflexions sur le 14 janvier 2011

Mohsen Marzouk a souligné l’importance de cette journée comme symbole de liberté et de changement, tout en avertissant sur le danger de divisions narratives qui pourraient affaiblir l’essence nationale.

Elyes Kasri, analyste politique, a rappelé que le départ de Ben Ali le 14 janvier 2011 a été entouré de mystère et a conduit à des poursuites contre des membres de son entourage. Il s’interroge sur les progrès réalisés en matière d’emploi et de dignité nationale depuis 2010-2011.

Évolution des commémorations

Le 14 janvier 2025 marquera le 14ème anniversaire de cet événement historique. Mohamed Dhouib, historien, a noté que bien que cet anniversaire a perdu une partie de sa force symbolique au fil des ans, il reste gravé dans la mémoire collective. Il a également rappelé que le véritable déclencheur de la révolution fut l’immolation de Mohamed Bouazizi le 17 décembre 2010, un acte qui a suscité une vague de manifestations à travers le pays.

 Tensions post-révolution

De ce fait, Mohamed Dhouib a mis en avant le rôle crucial des médias sociaux dans l’organisation des manifestations. Soulignant leur capacité à créer un « village global » interconnecté. Malgré la chute du régime de Ben Ali, il estime que le changement politique tant espéré n’a pas eu lieu, avec une continuité dans les anciennes dynamiques politiques. L’absence de jeunes leaders sur la scène politique est également un sujet préoccupant pour lui, alors que les figures politiques dominantes sont souvent âgées.

Contexte actuel

Le climat politique actuel est marqué par des tensions croissantes. À l’occasion du 14 janvier 2025, des manifestations ont eu lieu à Tunis pour réclamer la libération d’opposants politiques. Les manifestants ont exprimé leur colère face à ce qu’ils perçoivent comme une dérive autoritaire.
Malgré les changements dans les dates officielles de commémoration — avec le passage du 14 janvier au 17 décembre — l’avenue Habib Bourguiba reste un symbole vivant des luttes pour pouvoir s’exprimer librement.

Ces réflexions mettent en lumière les défis persistants auxquels fait face la Tunisie depuis sa révolution. De même qu’elles soulignent l’importance d’une narration collective positive pour avancer vers un avenir meilleur.

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Mobilisation du Front de salut national devant le théâtre municipal

14. Januar 2025 um 15:51

Le Front de salut national a organisé, ce 14 janvier 2025, devant le théâtre municipal de Tunis, une manifestation pour exprimer son mécontentement. Les participants ont dénoncé les arrestations d’opposants politiques et ont encouragé les citoyens à surmonter leurs craintes afin de défendre la démocratie, comme en 2011.

 

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CCITF – LF2025 : masse salariale en hausse

14. Januar 2025 um 11:53

Mohamed Louzir, le secrétaire général de la CCITF, a présenté une analyse de la situation économique actuelle, en mettant l’accent sur deux points clés : la masse salariale et le poids de la dette. Cet événement est organisé par la CCITF ce mardi 14 janvier 2025, aux Berges du Lac. 

Concernant la masse salariale, il a souligné qu’elle est en hausse. Ce qui soulève des préoccupations sur le niveau de rémunération des employés. Malgré cela, il existe une volonté d’améliorer la productivité et d’initier des actions pour stimuler l’économie. En effet, selon la loi de finances pour l’année 2025, la masse salariale totale prévue s’élève à 5 843 milliards de dinars. Ce qui représente 34,79 % du budget de l’État. Avec une augmentation de 10,8 % par rapport à l’année précédente. 

En 2025, les effectifs budgétaires devraient atteindre plus de 2,755 millions de dinars avec la création de nouveaux postes dans divers secteurs, notamment dans la santé et l’éducation. 

Sur le sujet du poids de la dette, Mohamed Louzir a noté que le service de la dette représente environ 15 % du PIB. Soit une augmentation significative par rapport aux niveaux antérieurs de 4-5 %. Les prévisions indiquent également un besoin de financement extérieur réduit pour 2024 et 2025, avec des montants estimés à 4 900 milliards de dinars en 2024 et 6 milliards en 2025. Ces informations sont corroborées par les résultats qui mentionnent que la dette de l’État pourrait atteindre environ 139,997 MDT à la fin de l’année 2024, représentant environ 79-81 % du PIB

Enfin, il a également évoqué les défis liés au ratio de la dette par rapport au PIB, qui pourrait augmenter si les prévisions de croissance sont revues à la baisse. En conclusion, il a exprimé l’espoir que des actions appropriées pourraient améliorer la situation économique globale.

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Entreprises publiques, soutien ou réforme?

14. Januar 2025 um 11:26

La situation des entreprises publiques, dans le contexte actuel d’austérité budgétaire, soulève des enjeux importants. Alors que l’État impose des coupes dans des secteurs essentiels tels que l’éducation et la santé, il semble contradictoire de continuer à soutenir financièrement des entreprises publiques en difficulté, notamment dans les domaines du transport, de l’industrie, de l’énergie et du tabac. Ces entreprises, souvent qualifiées de « joyaux nationaux », bénéficient d’un soutien financier malgré des modèles d’affaires obsolètes.

Elyes Kasri, analyste politique et ancien ambassadeur, a exprimé ses préoccupations sur cette situation. Il souligne qu’il est paradoxal de maintenir ces entreprises en « coma artificiel » alors que l’État cherche à réduire ses dépenses dans des domaines cruciaux pour le bien-être des citoyens.

Vous trouverez ci dessous le post d’Elyes Kasri :

« Alors que l’état s’engage à compter sur ses propres moyens en suivant un régime d’austérité dans plusieurs secteurs vitaux pour le bien être des citoyens à l’instar de l’éducation et de la santé, il peut sembler paradoxal et même contradictoire de s’efforcer de maintenir en coma artificiel des entreprises publiques notamment dans les domaines du transport, de l’industrie, de l’énergie et même du tabac qui ont démontré depuis plus d’une décennie le caractère anachronique de leur modèle d’affaires et de gestion.
Les appels qui érigent ces dinosaures économiques en des joyaux nationaux et des lignes rouges à ne pas franchir, risquent fort d’accélérer la folle course à l’endettement pour combler des déficits de mauvaise gouvernance et d’hypothéquer les chances de plus en plus faibles de reprise économique et de préservation de la souveraineté nationale. »
En conclusion, la situation actuelle des entreprises publiques en Tunisie nécessite une attention urgente et une approche stratégique pour éviter un effondrement économique plus large.

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CCITF – LF2025 : défis économiques et perspectives

14. Januar 2025 um 10:51

La Chambre de commerce et d’industrie tuniso-française (CCITF) a organisé une matinée de débats le mardi 14 janvier 2025. Elle porte sur les principales dispositions de la loi de finances 2025. Ce débat intervient dans un contexte économique difficile pour le pays, caractérisé par une faible croissance malgré des dépenses publiques élevées.

Il convient de noter que l’Etat tunisien a décidé d’augmenter l’imposition pour faire face à ces dépenses. Tout en gérant un endettement croissant, principalement sur le marché local, en raison des difficultés d’accès aux dettes extérieures.

Mohamed Louzir, le secrétaire général de la CCITF, a partagé ses observations sur les nouvelles dispositions de la loi de Finances 2025.

Il a souligné que la croissance du PIB a été révisée à 1,2 %, alors qu’elle avait été négative en 2020 à -9 %. Malgré une reprise post-COVID, la croissance n’a pas atteint les niveaux escomptés par rapport à d’autres pays de la région. Il a également mis en avant les défis liés à l’agriculture et à l’industrie manufacturière, qui enregistrent une décroissance.

Réalisations budgétaires et prévisions

En examinant les chiffres du budget, il a noté que les recettes fiscales continuent d’augmenter; malgré des prévisions de baisse des recettes totales. Les dépenses ont également diminué, mais le risque de dépassement des budgets reste élevé.

Mohamed Louzir a exprimé des inquiétudes concernant la gestion des subventions et le poids croissant des dépenses publiques par rapport au PIB.

Hypothèses budgétaires pour 2025

Pour 2025, les hypothèses budgétaires incluent une prévision de croissance à 2,1 % et un déficit prévu à 10 milliards de dinars. Mohamed Louzir a mis en avant l’importance d’une fiscalité efficace pour soutenir le développement économique. De même qu’il a souligné que la pression fiscale en Tunisie est parmi les plus élevées d’Afrique.

Concernant les hypothèses budgétaires pour 2025, il rappelle que « nous partons d’une prévision de croissance de 2,1 % en 2024, avec un atterrissage prévu à 1,2 % et un budget prévu à 3,2 milliards. Cela représente presque un triplement et nous espérons que la croissance sera au rendez-vous cette année, notamment grâce aux pluies récentes ».

Et de continuer : « Pour ce qui est du prix du pétrole, il est fixé à 81,77 et le taux de change reste stable. Nous souhaitons également réduire le déficit. Cependant, cela nécessite une politique prudente visant à améliorer nos équilibres financiers sans trop investir. C’est une équation complexe où tout changement dans les paramètres peut avoir un impact significatif sur l’économie.

En ce qui concerne le budget de l’année 2025, il doit être comparé aux réalisations de 2023 et non à la loi de finances rectificative. Les chiffres proviennent du ministère des Finances et sont encore en attente de validation définitive. En effet, il y a souvent un retard dans l’approbation finale des chiffres.

Ainsi, nous prévoyons une augmentation des recettes fiscales, passant de 38 milliards à 45 milliards. Il est essentiel de noter que la fiscalité joue un rôle crucial dans l’économie tunisienne. Bien que les recettes fiscales stagnent actuellement, les dépenses sociales restent très élevées.

Ce qui fait qu’on est face à un endettement total de 28 milliards avec un remboursement prévu de 18 milliards en dette. Les prévisions indiquent que l’impôt sur les sociétés non pétrolières devrait atteindre environ 5,5 milliards en 2025, doublant ainsi par rapport aux années précédentes ».

Au final, les débats ont révélé des préoccupations quant à la viabilité du modèle économique actuel et à l’impact des politiques fiscales sur la croissance future. Ce qui amène à déduire que les réformes sont nécessaires pour améliorer la situation économique et réduire le déficit budgétaire tout en soutenant les secteurs essentiels pour le bien-être des citoyens.

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Mohamed Louzir : « L’investissement est le véritable moteur de la croissance »

14. Januar 2025 um 10:19

La Chambre de commerce et d’industrie tuniso-française (CCITF) a organisé une matinée de débats le mardi 14 janvier 2025, portant sur les principales dispositions de la loi de finances 2025. Ce débat intervient dans un contexte économique difficile pour la Tunisie, caractérisé par une faible croissance, malgré des dépenses publiques élevées. Le gouvernement a décidé d’augmenter l’imposition pour faire face à ces dépenses, tout en gérant un endettement croissant, principalement sur le marché local, en raison des difficultés d’accès aux dettes extérieures.

Mohamed Louzir, Secrétaire Général de la CCITF, a partagé ses observations sur les nouvelles dispositions de la Loi de Finances 2025. Il a souligné dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com que la situation économique en Tunisie est marquée par une consommation importante et un investissement qui peine à se développer. Les échéances de règlement des dettes sont importantes et le recours aux dettes extérieures est difficile. Ce qui entraîne une dépendance accrue à la dette locale.

Ainsi, M. Louzir a noté que cette situation est difficile à gérer, avec un investissement qui n’est pas performant et une consommation élevée, exacerbée par une inflation élevée. Il a déclaré : « Nous essayons de sauvegarder les populations nécessiteuses ou à faible revenu. L’impact social des dépenses de l’État est crucial, que ce soit à travers les subventions des produits de base ou les aides sociales accordées aux familles nécessiteuses. Cela réduit considérablement la marge de manœuvre du gouvernement pour mettre en œuvre des mesures fiscales ». 

Mohamed Louzir : « Le déficit est maîtrisé autour de 6 % du PIB, mais il pourrait atteindre 10 milliards de dinars »

La croissance économique prévue pour 2025 est ambitieuse à 3,2 %, alors que la croissance réalisée pour l’année précédente était seulement de 1,2 %. Mohamed Louzir a averti que si cette croissance n’est pas atteinte, le déficit budgétaire pourrait encore augmenter. Actuellement, le déficit est maîtrisé autour de 6 % du PIB; mais il pourrait atteindre 10 milliards de dinars, financé par des crédits. Il a précisé : « Le déficit tourne autour de 15 % du budget. » Tout en  insistant sur la nécessité d’investir dans des secteurs clés tels que les énergies renouvelables et les technologies de l’information, afin de stimuler l’économie.

Rôle des startups et entreprises

Un autre aspect abordé concerne le rôle des startups et entreprises. Mohamed Louzir a souligné que bien que la Tunisie dispose d’un vivier exceptionnel de talents, il manque un cadre législatif favorable pour encourager leur croissance en entreprises de grande taille. Il a affirmé : « Il faut aider ces jeunes entrepreneurs à s’internationaliser et à créer des conglomérats qui peuvent soutenir l’économie nationale. »   

Le secrétaire général de la CCITF a mis l’accent sur l’impératif d’aider les startupers à se développer et à réussir au-delà d’une taille modeste.

Il a également évoqué une problématique plus large concernant la mentalité générale envers ceux qui réussissent : « On n’est pas dans le professionnalisme pour aller vers les choses très très bien faites ». 

Les discussions autour de la loi de finances 2025 mettent en lumière la nécessité d’un équilibre entre une imposition accrue et un soutien aux investissements pour relancer l’économie tunisienne. Et ce, tout en préservant les couches les plus vulnérables de la population. Mohamed Louzir conclut en soulignant que « l’investissement est le véritable moteur de la croissance ». 

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Liban-Joseph Aoun, une élection stratégique au cœur des dynamiques géopolitiques

13. Januar 2025 um 20:21

L’élection du président libanais Joseph Aoun est perçue à travers le prisme des dynamiques géopolitiques régionales. Selon plusieurs Libanais interrogés, cette élection représente une surprise positive sur le plan politique, surtout face à la pression exercée par des acteurs étrangers pour qu’elle se réalise. Toutefois, cette pression n’a pas garanti un résultat immédiat pendant les deux dernières années, suscitant des doutes quant à la possibilité de cette élection.

Bien que certains considèrent l’élection comme une bonne nouvelle, elle n’est pas unanimement appréciée. Une partie des députés a voté contre lui, et même parmi ceux qui ont soutenu sa candidature, il existe un mécontentement quant au message véhiculé par son élection.

Le discours de Joseph Aoun a été bien reçu, reflétant une volonté d’éviter que le pays ne s’effondre sous l’influence d’intérêts étrangers ou face à des menaces extérieures, notamment d’Israël. La décision de réaffirmer la présence des maronites sur la scène politique libanaise en débloquant l’élection présidentielle envoie un signal aux sunnites et aux Russes : leur projet de gouverner sans les chrétiens n’est pas accepté par tous, y compris par les États-Unis.

Dans ce contexte géopolitique complexe, une certaine satisfaction semble émerger parmi la population. Cependant, il reste à déterminer si ce contentement se traduira par des actions concrètes. Actuellement, un optimisme prudent prévaut, avec l’espoir que les tensions se stabilisent à court terme. Néanmoins, des incidents sont encore à prévoir, et la normalisation de la situation pourrait prendre du temps. Malgré cela, une dynamique semble se dessiner pour établir au moins une accalmie durable dans la région.

Ainsi, l’élection de Joseph Aoun s’inscrit dans une volonté plus large de stabiliser le Liban tout en tenant compte des enjeux géopolitiques qui influencent le pays et ses relations avec ses voisins et partenaires internationaux.

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Anne Guéguen : « 1,5 million d’euros pour la mobilité des chercheurs et étudiants »

13. Januar 2025 um 19:50

L’ambassadrice de France en Tunisie, Anne Guéguen, a présenté ses vœux pour l’année 2025 en mettant en avant l’importance de la coopération entre les pays de la région méditerranéenne. Elle a souligné des enjeux cruciaux tels que l’accès à une énergie verte, la lutte contre les pandémies et la formation des jeunes.

Elle a déclaré : »Les pays de l’espace au Nouveau-Méditerranéen ont tout à gagner à travailler encore davantage en commun. À nous de démontrer que ce partenariat se traduit par des projets concrets, notamment au service des populations et de nos jeunesses. »

Anne Guéguen a également mis en avant les initiatives françaises visant à renforcer le capital humain en Tunisie : »En 2025, nous allons poursuivre notre stratégie d’attractivité et de mobilité pour les entrepreneurs, les chercheurs, les journalistes, les étudiants, les scientifiques, les artistes ou les personnes qualifiées qui souhaitent aller en France. »

Concernant la coopération éducative, elle a précisé : « Nous consacrons 1,5 million d’euros chaque année pour l’appui à la mobilité des chercheurs et des étudiants, bénéficiant à plus de 350 personnes. »

Anne Guéguen: « La France est la destination privilégiée pour près de 14 000 étudiants tunisiens »

Elle a rappelé que la France est la destination privilégiée pour près de 14 000 étudiants tunisiens et que plus de 18 000 élèves, dont 75 % sont Tunisiens, sont inscrits dans les établissements de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE). Elle a exprimé le souhait d’aller encore plus loin dans ce domaine en développant des consortiums pour l’université franco-tunisienne et en facilitant la mobilité des étudiants et chercheurs dans les deux sens.

En évoquant les événements diplomatiques à venir, elle a déclaré : »J’espère que vous pourrez vous rendre nombreux en France pour couvrir des événements majeurs. Nous accueillerons le sommet de Paris sur l’intelligence artificielle et la conférence des Nations Unies sur les océans. »
Elle a également appelé à ratifier le traité sur la haute mer avant juin afin qu’il puisse entrer en vigueur. Elle a souligné que cette conférence doit avoir un impact aussi significatif que celui des accords de Paris pour le climat.

Un grand forum sur la transition écologique et énergétique se tiendra à Tunis en avril

Un grand forum sur la transition écologique et énergétique se tiendra à Tunis en avril, réunissant plusieurs pays autour de cette thématique. Sur le plan international, elle a mentionné que 2025 marquera le 80ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale et que cette année doit être dédiée à un retour durable à la paix.

Anne Guéguen a affirmé que la France continuera d’œuvrer pour la paix au Proche-Orient tout en renforçant son soutien au Liban et à la Syrie. Elle a insisté sur le fait que face aux défis actuels, notre réponse doit être fondée sur la solidarité et l’action concrète.

Enfin elle a conclu : “ En 2025, l’action diplomatique sera guidée par les besoins exprimés par nos partenaires tunisiens dans divers secteurs : éducation, culture, environnement et sécurité. »

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Renforcement de la stratégie de l’huile d’olive

13. Januar 2025 um 13:40

Le ministre du Commerce, Samir Abid, a annoncé que la Tunisie perfectionne sa stratégie pour l’huile d’olive, avec environ 100 millions d’oliviers sur son territoire.

Lors d’une conférence le 13 janvier 2025, il a souligné que la Tunisie est l’un des quatre principaux producteurs mondiaux, mais cette position entraîne parfois des pratiques anticoncurrentielles.

Il a évoqué la nécessité d’adapter le traitement de l’huile d’olive et de surmonter divers obstacles. Et ce, pour garantir le succès de la prochaine saison, tout en préservant la qualité et en diversifiant les marchés.

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Hausse des mouvements sociaux au dernier trimestre 2024 : 826 manifestations enregistrées

13. Januar 2025 um 11:09

Le dernier trimestre 2024 a vu une intensification des protestations, atteignant 826 mouvements, contre 752 au trimestre précédent. C’est ce qu’a révélé le Forum Tunisien des droits économiques et sociaux. Selon le tout dernier rapport du FTDES, ces manifestations étaient dominées par des revendications professionnelles et sociales.

L’objectif de ces protestations étant d’améliorer les conditions de travail et le paiement des salaires. Il en va de même de la régularisation de droits syndicaux et professionnels. Idem pour la lutte contre la précarité dans des secteurs tels que l’agriculture, l’éducation et la santé.

Points saillants des protestations

Par ailleurs, on note également dans ce rapport, qu’un conflit, marqué par des licenciements, des poursuites judiciaires et des suspensions syndicales, a mobilisé des organisations de la société civile et des artistes, notamment dans l’usine « Reton » à Sabikha.

Autre élément de ce rapport, l’agriculture n’était pas en reste. En effet, les agriculteurs ont protesté contre la chute des prix de l’huile d’olive. Et ce, en raison des conditions de vie. De ce fait, les citoyens ont dénoncé les pénuries (café) et la hausse du coût de la vie.

Répartition géographique et sociale

  • Régions principales : Tunis (137 mouvements), Kairouan (110) et Gafsa (99).
  • Acteurs clés : enseignants (198 manifestations), ouvriers (190) et habitants (139).
  • Espaces de protestation : établissements d’enseignement (204 actions), lieux publics et routes (150).

Tentatives de suicide : une alerte sociale

Le trimestre a enregistré 22 tentatives de suicide, dont 79 % impliquant des hommes. Les jeunes et les personnes âgées sont les plus touchés, avec des cas liés à des pressions économiques et sociales. Bizerte et Kairouan ont enregistré le plus grand nombre d’incidents.

Progression des violences

  • Types de violence : agressions physiques, sexuelles, conjugales, numériques, et vols.
  • Chiffres clés : 93 % des violences sont commises par des hommes.
  • Lieux : les établissements d’enseignement, les médias et les lieux publics sont les principaux espaces concernés.

En somme, tout cela nous amène à dire que les protestations et violences reflètent une forte tension sociale, alimentée par des conditions économiques difficiles et des revendications professionnelles non satisfaites.

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Baisse de 6 % des accidents de la route en 2024

11. Januar 2025 um 16:00

En 2024, la Tunisie a enregistré une baisse notable du nombre d’accidents de la route, avec un total de 5 600 incidents, marquant une diminution de 6 % par rapport à l’année précédente. Ce chiffre est le reflet d’un effort collectif pour améliorer la sécurité routière dans le pays.

Dans un contexte où chaque vie compte, cette réduction est une lueur d’espoir. Le colonel-major Chamseddine Adouani, chef du bureau de communication de l’Observatoire national de la sécurité routière, a souligné que cette année a également vu une baisse de 4 % des décès et des blessés, avec 1 160 vies tragiquement perdues.

Les causes principales des accidents restent l’inattention et l’excès de vitesse, rappelant ainsi que la vigilance au volant est cruciale. Malgré les défis persistants, ces chiffres témoignent d’une prise de conscience croissante parmi les conducteurs et d’initiatives gouvernementales visant à renforcer la sécurité sur les routes.

Alors que nous nous dirigeons vers l’avenir, il est impératif de continuer à promouvoir des comportements responsables au volant afin d’assurer que cette tendance à la baisse se maintienne et que chaque route devienne plus sûre pour tous.

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Anne Guéguen : « Vers un avenir prometteur pour le partenariat Tuniso-français »

11. Januar 2025 um 13:45

L’ambassadrice de France en Tunisie, Anne Guéguen, a présenté ses vœux pour 2025  à la presse tunisienne et française dans la soirée du vendredi 10 janvier 2025.

Dans cette optique, elle est revenue sur l’amitié entre les deux pays soulignant son rôle essentiel  pour renforcer le partenariat tuniso-français. Elle n’a pas manqué de passer en revue les projets réalisés et d’autres qui sont en cours.

Dans son discours, elle a  évoqué son retour de Paris, où elle a assisté à la 30e conférence des ambassadrices et des ambassadeurs. Elle a souligné que cet événement, lancé par Alain Juppé il y a trois décennies, est un moment clé pour la diplomatie française.

Anne Guéguen a déclaré : « Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd’hui pour ce moment d’échange et de convivialité, ce moment d’amitié.  » 

Elle a ensuite mis en lumière le caractère exceptionnel de l’année 2024, qui a été marquée par des succès sportifs notables pour la Tunisie, notamment lors des Jeux olympiques de Paris, où les athlètes tunisiens ont remporté trois médailles olympiques et onze médailles paralympiques.

Après avoir célébré ces succès sportifs, elle a également abordé les aspects économiques affirmant  que « la France est de loin le premier investisseur en Tunisie « , avec près d’un quart des exportations tunisiennes à la destination de la France. Les échanges entre les deux pays ont atteint un volume total supérieur à 12 milliards d’euros, avec un excédent commercial de plus de 3 milliards d’euros pour la Tunisie.  Anne Guéguen a noté que cet excédent est un moteur essentiel pour la création de richesses et d’emplois en Tunisie.

Elle a également évoqué les investissements français en Tunisie dans des domaines cruciaux tels que la transition énergétique et écologique.  » Les entreprises françaises continuent donc de faire le pari de la Tunisie avec des investissements qualitatifs en 2024 qui contribueront à la transition énergétique », a-t-elle ajouté.

En matière de coopération culturelle, l’ambassadrice a mentionné l’inauguration de l’Institut français de Sousse et l’exposition Salammbô de Flaubert à Carthage, qui a attiré plus de 25 000 visiteurs en trois mois. Elle a encouragé ceux qui ne l’ont pas encore vue à se rendre à cette exposition avant sa clôture ( dimanche 12 janvier 2025 dernier jour).

L’ambassadrice a aussi mis en avant l’importance du multilinguisme dans l’éducation tunisienne :  » Le multilinguisme est une chance « , affirmant que le soutien à l’apprentissage du français et de l’arabe est essentiel pour les enseignants et les élèves.

Pour conclure son discours, elle a exprimé son admiration pour le travail des journalistes :  « Le journalisme est un corps de combat.  » Elle a souligné le rôle crucial des médias dans la promotion d’une information fiable et indépendante, essentielle pour la vitalité des sociétés.

En regardant vers l’avenir,  Anne Guéguen a déclaré son espoir que 2025 sera une année majeure pour renforcer le partenariat entre la France et la Tunisie.

Enfin, elle a rappelé que cette année marque le 30e anniversaire de l’accord d’association entre l’Union européenne et la Tunisie ( 17 juillet 1995)  un moment propice pour approfondir la coopération bilatérale sur des enjeux cruciaux tels que l’accès à une énergie verte et bon marché, ainsi que la lutte contre les pandémies et la protection de l’environnement.

Tout en rappelant: « le 17 juillet 1995, était le premier accord de ce type entre l’Union européenne et un pays du sud de la Méditerranée. La Tunisie, pays méditerranéen par excellence, était déjà à l’avant-garde. Ce 30e anniversaire offre une occasion unique de renforcer notre coopération pour relever ensemble les défis systémiques actuels et pour faire face aux préoccupations concrètes, vitales pour nos concitoyens, qu’il s’agisse de l’eau, de l’accès à une énergie verte et bon marché, de la lutte contre les pandémies, de la maîtrise des technologies numériques et notamment de l’intelligence artificielle, de la protection de l’environnement et du littéral, de la lutte contre la pollution plastique ou encore de la formation et de l’emploi. »

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Hamdi Chabaane appelle à une gouvernance renforcée pour la gestion des déchets

10. Januar 2025 um 16:37
Hamdi Chabaane, expert en environnement et spécialiste du recyclage des déchets, a déclaré sur les ondes de Mosaïque que plusieurs points dans les conclusions du dernier conseil ministériel concernant l’approbation d’un programme de gouvernance du secteur de la propreté et de la gestion des déchets restent flous, notamment le calendrier de mise en œuvre de ce programme.

En outre, il a insisté sur la nécessité de l’intervention des parties concernées et responsables du système environnemental en Tunisie, telles que l’Agence nationale de gestion des déchets, en plus des conseils locaux et des municipalités, tout en allouant un budget pour promouvoir le recyclage des déchets et organiser les décharges.

Il a également appelé à la régularisation et à l’intégration des « barbéchas » (ramasseurs de déchets informels) dans le secteur organisé à travers un système de tri sélectif, en soulignant leur rôle crucial dans la réduction des dommages causés par le plastique à l’environnement.

Chabaane a mis l’accent sur la nécessité de traiter la situation des décharges et d’ouvrir les dossiers de corruption liés à leur gestion, notamment en ce qui concerne les autorisations d’exploitation, les contrats et les méthodes de gestion, citant l’exemple des décharges de Borj Chakir et de Sfax. Il a indiqué que la majorité des décharges régionales souffrent d’infrastructures délabrées, d’odeurs nauséabondes et d’émissions de gaz toxiques, le tout en l’absence de contrôle et de reddition des comptes.

Il a précisé que ces décharges contribuent à la propagation de maladies chez les animaux, telles que la rage et les maladies touchant le bétail, ce qui nécessite une intervention urgente et l’imposition d’un contrôle rigoureux. Chabaane a également souligné l’importance de fournir une ligne de financement dédiée à leur entretien et à leur réhabilitation, afin de garantir la préservation de l’environnement et de la santé publique.

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Mustapha Ferjani : « La numérisation, moteur de réforme du système de santé »

10. Januar 2025 um 15:40

Mustapha Ferjani, ministre de la Santé, a affirmé, ce vendredi 10 janvier 2025, sur les ondes de Mosaïque FM, que la numérisation des services de santé constitue un pilier fondamental pour le développement du système de santé. Il a également souligné, comme y a insisté le président de la République, l’importance de la restructuration du système de santé dans toutes ses composantes, en considérant que la numérisation est l’un des éléments clés permettant de mettre en place un nouveau système sanitaire.

Mustapha Ferjani a mentionné le lancement de la numérisation des services dans les centres et points de don du sang, permettant de sauver des vies grâce à la prise de rendez-vous via une plateforme numérique. Il a ajouté que la numérisation s’étendra également à d’autres domaines, notamment ceux liés à la médecine spécialisée, à la gestion des rendez-vous, à l’organisation des ressources humaines, aux médicaments et à la rémunération des médecins dans le service de radiologie. Ces derniers seront intégrés dans une plateforme commune qui leur permettra de bénéficier de formations à distance.

Il a également fait état de l’accueil favorable des médecins concernant l’approbation, par le président de la République la semaine dernière, d’un décret qu’ils considèrent comme un mécanisme incitatif. Ce décret vise à préserver les compétences médicales tunisiennes, qu’il s’agisse de médecins spécialistes ou de médecins généralistes, afin qu’ils restent en Tunisie pour améliorer et garantir des services de santé de haute qualité à tous les citoyens sur l’ensemble du territoire national.

Cette déclaration a été faite au siège du ministère de la Santé, en marge de la signature de deux accords pour le lancement de la construction de deux hôpitaux régionaux de catégorie « B » : l’un dans la région de Sbiba, dans le gouvernorat de Kasserine, et l’autre dans la ville d’El Jem, dans le gouvernorat de Mahdia.

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Les chauffeurs de taxi réclament une tarification de 2 dinars au démarrage du compteur

10. Januar 2025 um 15:24

Qui n’a jamais eu une mésaventure avec un chauffeur de taxi qui refuse une course ou qui vous interroge sur votre destination avant même que vous ne soyez monté dans le véhicule ? Quelle ironie pour ces chauffeurs, qui se considèrent comme des rois et qui appellent à une augmentation du tarif de lancement du compteur. 

L’Union tunisienne des taxis individuels envisage d’organiser un rassemblement de protestation ou un arrêt total des activités pour faire entendre ses revendications. Lors de son interview sur les ondes de Mosaïque FM, son président, Mohamed Ali Arfaoui, a indiqué qu’une réunion du bureau exécutif se tiendrait le 10 janvier 2025 pour décider de la stratégie à adopter.

Les chauffeurs demandent une révision de la tarification, notamment une augmentation du tarif de départ du compteur de 0,9 à 2 dinars, afin de compenser l’augmentation des coûts.

Avec ce rassemblement, qui ne ravit certainement pas les Tunisiens, la question demeure : quand ce problème de taxis sera-t-il résolu ? Malheureusement, la réponse ne semble pas se profiler à l’horizon.

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Tunisie – Algérie : signature de deux accords pour renforcer le secteur de l’énergie

09. Januar 2025 um 17:03

Le renforcement de la coopération tuniso-algérienne dans le secteur électrique était au cœur de la rencontre entre la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, et le président directeur général de la société algérienne d’électricité et de gaz « Sonelgaz », Mourad Ajal.

Selon le communiqué du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, la société tunisienne d’électricité et celle algérienne ont signé deux accords.

L’objectif étant de renforcer davantage le partenariat économique et social entre les deux parties, ainsi que d’échanger des connaissances et des compétences techniques. Ce qui contribue à améliorer l’échange électrique et à mettre en œuvre des projets énergétiques futurs dans les deux pays.

Il a également été question de développer davantage la coopération conjointe dans le secteur énergétique et de renforcer le raccordement électrique trilatéral entre la Tunisie, l’Algérie et la Libye afin de faire face à plusieurs défis énergétiques. Notamment en ce qui concerne la réponse aux pics de consommation d’électricité durant l’été et à alléger la pression sur les réseaux de transport et de distribution.

De son côté, Fatma Thabet Chiboub a souligné l’importance de cette rencontre qui reflète la volonté commune des deux pays à un niveau élevé, visant à développer les bases de la coopération à tous les niveaux. En particulier dans le domaine énergétique, qui est aujourd’hui l’un des secteurs les plus vitaux pour le développement économique et social.

Pour sa part, Mourad Ajal a insisté sur la nécessité de multiplier les efforts des deux parties pour élargir les horizons du partenariat bilatéral et réaliser davantage d’intégration.

Il convient de noter que cette réunion s’inscrit dans le cadre de la visite actuelle de Mourad Ajal en Tunisie, en réponse à une invitation de la société tunisienne d’électricité et de gaz, dans le cadre du suivi de la réunion trilatérale entre Steg, Sonelgaz et la société générale d’électricité en Libye « Gecol » concernant le raccordement électrique trilatéral.

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