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La Banque mondiale mobilise 100 milliards de dollars pour l’IDA

10. Dezember 2024 um 09:30

L’Association internationale de développement (IDA) est le fonds de la Banque mondiale dédié à 78 pays à faible revenu, pour lesquels elle constitue de loin la principale source de financement multilatéral en faveur du développement. Elle apporte des financements concessionnels en faveur de projets qui stimulent la croissance économique, renforcent la résilience et améliorent les conditions de vie des populations, plus des deux tiers de ces ressources étant destinés à des pays africains à faible revenu. Ses ressources bénéficient concrètement à 1,9 milliard de personnes dans le monde.

Depuis sa création, l’IDA a mobilisé 533 milliards de dollars en faveur de 115 pays. Les 78 pays actuellement bénéficiaires de l’IDA se répartissent comme suit: 40 sont situés en Afrique subsaharienne, 14 en Asie de l’Est et dans le Pacifique, 6 en Asie du Sud, 4 en Europe et en Asie centrale, 8 en Amérique latine et dans les Caraïbes et 3 au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Pour pouvoir fonctionner, l’IDA a besoin de ressources. La semaine dernière, elle a pu mobiliser un montant record de 100 milliards de dollars. Cette enveloppe sera atteinte grâce à l’effet de levier basé sur des promesses de contributions à la 21e levée de fonds par l’IDA s’élevant à 23,7 milliards de dollars. 17 pays donateurs ont augmenté leurs contributions de plus de 25% (en monnaie nationale) et 10 autres les ont revues à la hausse de 40 % ou plus. En tout, ce sont 59 pays qui ont pris des engagements financiers en faveur d’IDA-21.

Parallèlement à ce financement record, la Banque mondiale s’est attachée à simplifier, accélérer et assouplir les processus de l’IDA. Elle a réduit de moitié les engagements stratégiques et les critères requis, en laissant ainsi aux bénéficiaires une plus grande marge de liberté dans la définition de leurs priorités de développement.

Cet argent permettra à 78 pays d’investir dans la santé, l’éducation, les infrastructures et la résilience climatique tout en stabilisant les économies, en créant des emplois et en jetant les bases d’une prospérité durable. La Tunisie n’entre pas dans ces pays, puisqu’elle n’est pas un pays à faible revenu. Le dernier projet financé par l’IDA en Tunisie remonte à… 1979.

 

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Dalida à l’honneur : un concert symphonique inédit au Théâtre municipal de Tunis

03. Dezember 2024 um 17:01

Après un premier concert ayant suscité un large engouement, le Carthage Symphony Orchestra (CSO) se produit pour une deuxième date le dimanche 22 décembre 2024 au Théâtre municipal de Tunis (19h30) pour interpréter les plus grands succès de Dalida (1933-1987).

Dans un spectacle symphonique dirigé par le maestro Hafedh Makni, les chansons emblématiques de cette icône intemporelle sont, pour la première fois, réarrangées pour chœur et orchestre symphonique, ou uniquement pour orchestre.

Le chœur du CSO, sous la direction de Mourad Gaâloul, et l’Orchestre invitent à redécouvrir des titres emblématiques tels que “Gigi l’Amoroso” (1974), “Bambino” (1957), “Mourir sur scène” (1983), et bien d’autres, dans des versions totalement inédites.

Ces réécritures, signées Wassim Makni, apportent une nouvelle dimension symphonique aux morceaux ayant marqué des générations, tout en rendant hommage à la vie et à l’œuvre de cette légende de la chanson à travers la symphonie et la voix collective d’un grand chœur.

Sida en Tunisie : sur 7000 contaminés, 2 000 reçoivent des traitements

02. Dezember 2024 um 09:02

Actuellement, environ 2 000 personnes vivant avec le VIH/sida reçoivent des traitements réguliers dans les établissements hospitaliers en Tunisie, dont une quarantaine d’enfants.

Ces données ont été présentées, dimanche 1er décembre 2024, lors d’une manifestation de sensibilisation intitulée «La lutte contre le sida, une responsabilité sociétale», organisée par le ministère de la Santé publique en collaboration avec le Programme des Nations unies sur le VIH/sida (OnuSida), à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida.

Le nombre de personnes vivant en Tunisie avec le VIH est relativement stable ces dernières années, ont rassuré les experts nationaux et étrangers présents, qui ont dressé un état des lieux de cette maladie en Tunisie et dans le monde.

Les données présentées révèlent que le nombre total des personnes infectées en Tunisie avoisine les 7 000 cas.

Cependant, le problème réside dans l’existence de nombreuses infections non déclarées, soit parce que les personnes concernées ignorent leurs symptômes, soit parce qu’elles hésitent à révéler leur statut en raison de divers facteurs, notamment la crainte de la stigmatisation sociale.

Bien que les indicateurs de l’infection soient relativement stables en Tunisie, les experts ont souligné que cela ne marque pas la fin de la lutte contre cette maladie, tout en insistant sur la nécessité de poursuivre les efforts pour encourager la prévention, sensibiliser aux risques et promouvoir les moyens d’éviter l’infection.

En ce qui concerne les modes de transmission, les participants rappellent que les principales causes d’infection, en Tunisie comme ailleurs, demeurent les rapports sexuels non protégés et la consommation de drogues.

Cette manifestation intitulée «La lutte contre le sida, une responsabilité sociétale», organisée depuis plusieurs années par le ministère de la Santé, s’inscrit dans le cadre des efforts conjoints pour sensibiliser à cette maladie et à ses répercussions sur la santé et la société. Elle vise aussi à mobiliser les ressources logistiques et humaines nécessaires pour réussir cette mission, en collaboration avec plusieurs acteurs de la société civile et des organisations régionales et internationales spécialisées.

L’objectif de cet événement est de renforcer la communication en matière de santé publique, de mieux orienter le traitement médiatique pour mettre en lumière cette maladie, ses moyens de prévention et les stratégies de lutte.

Le ministère de la Santé organise chaque année plus de 20 000 activités de sensibilisation, de dépistage et d’information sur cette maladie.

Par ailleurs, une exposition s’est tenue à la Cité de la Culture de Tunis pour mettre en avant les efforts déployés au niveau national et régional par des institutions de santé et des associations de la société civile actives dans le domaine de la lutte contre le sida.

D’après Tap.

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Bachar Al-Assad peut-il tenir sans l’Iran et le Hezbollah?

02. Dezember 2024 um 08:38

Alors que la majeure partie d’Alep, deuxième ville syrienne, avec ses bâtiments administratifs, son aéroport et sa prison a été prise par les rebelles syriens menés par le groupe islamiste Hay’at Tahrir al-Sham, le régime syrien semble subir un contexte complètement défavorable. Ses alliés sur le terrain sont mal en point. Le Hezbollah sort épuisé d’une guerre contre Israël et ses positions en Syrie ainsi que celles des Gardiens de la révolution iraniens ont été pilonnées par l’aviation israélienne et des dépôts d’armes du régime ont été également bombardés. Quant à la Russie, qui lui assurait un soutien aérien, elle a d’autres chats à fouetter en Ukraine. Les vents contraires soufflent de plus en plus fort sur le régime du Baas syrien et l’inoxydable Bachar Al-Assad. 

Imed Bahri

Le journal israélien Jerusalem Post estime que le régime syrien est sur le point de perdre sa ville d’Alep, dans le nord du pays, au profit des groupes rebelles syriens dirigés par Hay’at Tahrir al-Sham en raison de sa faiblesse et de la faiblesse du soutien de l’Iran et du Hezbollah dont les positions en Syrie ont fait l’objet de multiples frappes israéliennes ces derniers mois. 

Le journal explique dans une analyse de Seth J. Frantzman que la région du Moyen-Orient se trouve à un carrefour important puisque Hay’at Tahrir al-Sham peut désormais porter le coup le plus dur au régime du président syrien Bachar Al-Assad en 2017. Des années après, on pensait, il y a encore quelques jours, que ses partisans à Moscou et à Téhéran étaient capables de le protéger.

Les alliés traditionnels ont la tête ailleurs

En regardant en arrière plusieurs années pour comprendre l’importance de ce moment, l’analyste rappelle que le commandant de la Force Al-Quds des Gardiens de la révolution iraniens, Qassem Soleimani a joué un rôle clé dans l’intervention de la Russie en Syrie et a personnellement dirigé la bataille d’Alep en décembre 2015 après s’être rendu à Moscou pour convaincre la Russie d’intervenir militairement dans la guerre contre les rebelles  et le régime syrien. 

La Russie et l’Iran étaient présents en Syrie ainsi que le Hezbollah libanais qui a déplacé ses forces vers la Syrie en 2012 via Qusayr depuis le nord du Liban. Après 2016, le régime syrien a continué à s’emparer de davantage de zones aux rebelles qui ont fini par se diviser: certains se sont mués en mandataires de la Turquie et d’autres se sont installés à Idlib pour vivre sous le règne de Hay’at Tahrir al-Sham. 

Ce groupe était liée à Al-Qaïda il y a des années avant de changer de nom à plusieurs reprises. Il a déclaré avoir pris des mesures pour se rapprocher de l’Occident et tenter de communiquer avec les États-Unis, mais il reste toujours la faction la plus extrémiste parmi les rebelles syriens, tout en disposant de forces importantes sur le terrain. Ce qu’il a démontré après s’être emparé de dizaines de villages et d’avoir vaincu les forces du régime syrien, et marché sur Alep.

En 2015 et 2016, le régime syrien bénéficiait de l’aide précieuse de milliers de membres du Hezbollah et du soutien de l’Iran via sa force Al-Quds présente en Syrie ainsi que des avions de guerre russes. Aujourd’hui, il semble impuissant en partie à cause de l’attention portée par Moscou à l’Ukraine où la guerre fait rage et où la Russie elle-même a besoin de davantage d’effectifs mais surtout à cause des coups portés par Israël au Hezbollah qui ne peut plus envoyer de forces via Qusayr et même s’il le pouvait la route est devenue impraticable car détruite par l’aviation israélienne. 

Le régime syrien pensait que l’histoire évoluait en sa faveur alors qu’il normalisait ses relations avec l’Égypte et plusieurs grands États du Golfe mais aujourd’hui les rapports de force sur le terrain semble être en sa défaveur, estime Seth J. Frantzman, ajoutant que la crise à Alep pourrait contraindre ce régime à démanteler les défenses ailleurs dans le pays. Ce qui aiderait l’Etat Islamique ou inciterait les milices irakiennes à pénétrer dans certaines zones de la Syrie.

Ces milices pourraient finir par menacer le Golan ainsi que les forces américaines en Syrie comme elles l’ont fait par le passé. C’est important et cela intervient alors que le nouveau président américain Donald Trump se prépare à prendre ses fonctions. Ce dernier avait cherché à retirer les forces américaines de Syrie en 2018 et 2019. Cela signifie que de nombreux fronts sont en jeu actuellement dans la région.

Les rapports de force ont changé, les vents contraires soufflent de plus en plus fort et l’unique survivant des printemps arabes, l’inoxydable Bachar Al-Assad va-t-il pouvoir s’en sortir seul alors que ses alliés qui lui permis de tenir jusque-là sont plus affaiblis que jamais? Le doute est permis mais seul l’avenir proche pourra indiquer si le règne de la dynastie Al-Assad qui dure depuis 53 ans va se poursuivre ou bien s’il vit son crépuscule. 

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VIH/sida en Tunisie : 2 000 patients sous traitement

Von: walid
01. Dezember 2024 um 19:31
VIH/sida en Tunisie : 2 000 patients sous traitement

Actuellement, environ 2 000 personnes vivant avec le VIH/sida reçoivent des traitements réguliers dans les établissements hospitaliers relevant du ministère de la Santé. Environ 40 cas parmi les enfants sont aujourd’hui sous traitement, selon des données présentées, ce dimanche, lors d’une manifestation de sensibilisation intitulée « La lutte contre le sida, une responsabilité sociétale ». […]

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Sfax : Ouverture d’une information judiciaire contre Thameur Bdida

Von: walid
29. November 2024 um 19:08
Sfax : Ouverture d’une information judiciaire contre Thameur Bdida

Le tribunal militaire de Sfax a ordonné, vendredi, l’ouverture d’une information judiciaire contre le dénommé Thameur Bdida et toute autre personne qui sera révélée par l’enquête. Les chefs d’accusation incluent “tentative d’atteinte à l’intégrité du territoire tunisien par des écrits, offense contre le chef de l’État et atteinte à la dignité de l’Armée nationale”. Dans […]

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Thameur Bdida visé par une enquête sur ordre du procureur militaire de Sfax

Von: Yusra NY
29. November 2024 um 18:57

Le procureur militaire de Sfax a ordonné, ce vendredi 29 novembre 2024, l’ouverture d’une enquête contre l’activiste politique Thameur Bdida.

Il est poursuivi pour « tentative d’atteinte à l’intégrité du territoire tunisien par l’écriture, injure envers le président de la République, et atteinte à la dignité de l’armée nationale », précise l’agence Tap, citant une source proche du dossier.

L’enquête a été ouverte suite à la diffusion par Bdida, qui habite à l’étranger, de contenus sur les réseaux sociaux visant à propager de fausses informations, dans le but de nuire à la sécurité publique et à la défense nationale, ainsi que l’usage de systèmes d’information pour répandre des informations montées de toutes pièces, visant à diffamer et à ternir la réputation d’un fonctionnaire public, indique encore la même source

Rappelons qu’en octobre dernier, une enquête a été ouverte et un avis de recherche émis à l’encontre de Thameur Bdida sur ordre du Pôle judiciaire antiterroriste, après que ce dernier ait « appelé à la désobéissance civile, à la fermeture des routes, des bureaux et des urnes de vote à l’intérieur et à l’extérieur du pays et a incité à la violence… tout en menaçant les citoyens de prison et de procès populaires», et ce à l’occasion de la présidentielle du 6 octobre 2024.

Y. N.

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