Viktor Gyökeres s'engage avec Arsenal
© Mosaique FM
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Le navire Handhala, en route vers la bande de Gaza pour tenter de briser le blocus sioniste, a déclaré l’état d’urgence samedi 26 juillet, après l’approche d’un navire inconnu au large des côtes palestiniennes. À bord, les membres de l’équipage soupçonnent qu’il pourrait s’agir d’un bâtiment militaire sioniste.
L’alerte a été donnée par le journaliste marocain Mohamed El Bakkali, correspondant d’Al Jazeera en Europe et volontaire embarqué sur Handhala. Dans une publication sur Facebook, il a rapporté l’apparition d’un navire non identifié, provoquant la mise en alerte de l’équipage.
Le navire Handhala, appartenant à la coalition de la Flottille de la Liberté, se trouvait samedi soir à environ 180 km de Gaza, à l’endroit même où la précédente embarcation Maddeline avait été interceptée.
La situation à bord est suivie en temps réel : la coalition diffuse en direct les déplacements du navire via YouTube et partage des images radar en continu.
Présente à bord, la députée européenne française Emma Fourreau a indiqué sur la plateforme X (ex-Twitter) que Handhala était à moins de 180 km de Gaza. « Nous venons de dépasser le point où Maddeline a été stoppée. Il ne nous reste qu’une nuit. Nous allons y arriver », a-t-elle écrit, appelant à la solidarité internationale.
Dans un communiqué plus tôt dans la journée, la coalition avait également signalé la présence de drones survolant le navire, qui a quitté récemment les côtes de l’entité sioniste.
Cette initiative s’inscrit dans une nouvelle tentative de briser le blocus sioniste imposé à la bande de Gaza depuis plus de 15 ans.
L’Institut Supérieur des Beaux Arts de Tunis (ISBAT), institution pionnière dans l’enseignement des arts et du design en Tunisie, célèbre cette année son 103ème anniversaire. Pour marquer l’occasion, l’institut organisera au mois de novembre prochain, un colloque international de grande envergure interrogeant la dialectique entre l’Art et le design ainsi que leur l’interconnectivité dans les pratiques artistiques contemporaines. Un sujet pertinent, qui est d’autant plus que jamais d’actualité que les frontières entre ces deux disciplines sont de plus en plus mouvantes. Cette nouvelle dynamique a mené à un décloisonnement des genres et à des redéfinitions disciplinaires. Désormais, il est aujourd’jui simpliste, voire réducteur, de considérer qu’arts et designs évoluent en vase clos, avec des modalités d’enseignement, de formation et des cheminements créatifs distincts et séparés. En effet,, les lignes de démarcation classiques se sont brouillées, faisant de l’Art et du Design des disciplines qui se renvoient l’une à l’autre dans un effet de miroir.
C’est la première fois qu’un colloque d’une telle envergure va avoir lieu au sein même de l’ISBAT. Au programme : des communications scientifiques qui seront présentées par des intervenants tunisiens et étrangers, six workshops transcréatifs (chacun encadré par un designer, un plasticien et un architecte) ainsi qu’une rencontre intergenérationnelle qui remontera aux temps et aux origines de l’interdisciplinarité à l’ISBAT (anciennement École de Tunis, ITAAUT, etc.).
» Art &Design : territoires partagés, résonances et tensions » se veut un projet scientifique, artistique et culturel de grande envergure et à fort impact qui accordera une grande place aux échanges, aux partages, à la co-création. Un évènement qui renforcera le positionnement de l’ISBAT en tant qu’Ecole-mère.
L’appel à communication est désormais disponible sur Calenda et le dernier délai de soumission des propositions est prévu pour le 10 septembre 2025.
La brigade de recherches et d’inspection de la Garde nationale de Gafsa a démantelé, vendredi soir, un réseau de trafic de drogue actif dans le quartier Ennour, à Gafsa-ville. Les agents ont saisi 3,5 kg de cannabis, selon une source de la Garde nationale.
La même source a précisé à l’Agence TAP que, sur instruction du ministère public, les membres du réseau ont été placés en garde à vue et les procédures légales nécessaires ont été engagées. L’enquête se poursuit.
La Grèce est confrontée, ce samedi, à de nombreux incendies, notamment aux abords d’Athènes, alors qu’une canicule intense, avec des températures frôlant les 46 °C, sévit pour le sixième jour consécutif.
L’un des foyers les plus préoccupants se trouve à Drosopigi, dans le nord de l’Attique, à une trentaine de minutes du centre d’Athènes, selon les pompiers. Des messages d’évacuation ont été envoyés aux habitants sur leurs téléphones portables par les autorités.
Selon la chaîne publique ERT, une maison a été ravagée par les flammes, tandis que de violents vents de force 5 à 6 sur l’échelle de Beaufort (échelle empirique utilisée pour mesurer la vitesse moyenne du vent en milieu maritime) compliquent les opérations d’extinction.
Au total, 102 pompiers, trois équipes à pied, 36 véhicules, deux avions et trois hélicoptères sont mobilisés dans la zone, d’après l’agence de presse ANA.
Sur l’île d’Eubée, proche de l’Attique, un autre incendie est hors de contrôle. Deux sapeurs-pompiers y ont été légèrement blessés et hospitalisés.
Un nouveau feu s’est déclaré samedi matin sur l’île de Cythère, au sud de la péninsule du Péloponnèse. Là aussi, le brasier est incontrôlable. Des vents violents soufflant à 6 Beaufort ont accéléré la propagation des flammes, entraînant l’évacuation de plusieurs localités.
Dans le Péloponnèse, un incendie s’est déclaré à Kryoneri, en Messénie, et s’est rapidement étendu.
Face à ces risques extrêmes, les autorités grecques ont placé plusieurs régions en alerte maximale.
La canicule, qui a débuté lundi, devrait se prolonger jusqu’à lundi prochain, selon les services météorologiques. Vendredi, les températures ont frôlé les 46 °C par endroits, atteignant 42 °C à Athènes. Ce samedi, la température la plus élevée a été enregistrée à Amfilochie, dans l’ouest du pays, avec 45,2 °C, selon le site meteo.gr de l’Observatoire national d’Athènes.
L’agence spatiale américaine, la NASA, a annoncé le licenciement de près de 3 000 de ses employés.
Dans un communiqué, l’agence a indiqué qu’environ 3 000 personnes ont pris part à la deuxième vague de son programme de licenciements différés, qui s’est achevée vendredi.
En ajoutant les 870 départs enregistrés lors de la première phase du programme, ainsi que les départs réguliers du personnel, les effectifs de la NASA sont passés de 18 000 employés à la fin janvier à environ 14 000, soit une réduction de 20 %.
Les employés ayant choisi de quitter l’agence dans le cadre de ce programme seront placés en congé jusqu’à leur date de départ. Un porte-parole de la NASA a précisé que ces chiffres pourraient encore évoluer dans les semaines à venir.
Les unités de la protection civile dans le gouvernorat de Siliana, en collaboration avec les agents forestiers, sont parvenues, samedi après-midi, à maîtriser trois incendies de forêt survenus dans différentes zones depuis vendredi.
Dans une déclaration à l’agence TAP, le commissaire régional au développement agricole à Siliana, Jamel Ferchichi, a précisé que les incendies se sont déclarés à Djebel Jama (délégation de Siliana Nord), à Djebel Balouta (entre les délégations de Siliana Sud et Kesra), ainsi qu’à Djebel Dahar, à Bargou et Ouled Bouhani, cet incendie s’étant étendu jusqu’à Djebel Mansour dans la délégation d’El Fahs (gouvernorat de Zaghouan).
Les services régionaux de l’Équipement ont mobilisé une chargeuse et deux niveleuses pour ouvrir des pistes agricoles et faciliter l’accès des camions-citernes aux zones difficiles d’accès, assurant que la situation est désormais sous contrôle, bien que les opérations de refroidissement et de surveillance se poursuivent.
Selon la même source, les superficies endommagées ne sont pas encore précisément déterminées, mais l’incendie de Djebel Dahar, à Bargou et Ouled Bouhani, qui s’est propagé jusqu’à Djebel Mansour, a ravagé d’importantes zones forestières.
À noter que certaines poches de feu s’étaient rallumées vendredi à Djebel Balouta, Djebel Bargou et Ouled Bouhani, avant de se propager rapidement sous l’effet du sirocco.
Des cellules orageuses accompagnées de pluies éparses sont attendues cette nuit dans les régions de l’ouest, du centre et du sud, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM).
Le vent soufflera du secteur nord sur le nord et le centre du pays, et du secteur est sur le sud. Il sera relativement fort à fort, notamment près des côtes, sur les hauteurs et dans le sud, avec des tourbillons de sable locaux. Lors du passage des cellules orageuses, des rafales pouvant temporairement dépasser les 70 km/h sont prévues.
La mer sera très agitée. Les températures nocturnes varieront entre 19°C et 26°C au nord et au centre, et entre 27°C et 32°C dans le sud.
Ex-gloire des années 90, il revêt un nouvel habit, celui de meneur d’un club qui veut se relancer.
La Presse —Reconverti d’ex-joueur international en président d’un grand club come l’Etoile, Zoubeir Beya crée l’événement. Lui-même a déclaré qu’il ne pensait pas un jour endosser cette responsabilité. D’ailleurs, notre football n’a pas cette tradition avec les ex-joueurs qui se transforment souvent en entraîneurs.
Beya, qui peut être considéré comme l’une des ex-gloires monumentales de l’ESS, était à la barre depuis un bon moment dans le cadre d’un comité provisoire qui a bataillé sur un front hypersensible et fatigant, celui des dettes. Aidé beaucoup par les socios et par les donateurs fidèles, ce comité a réussi à clore maints dossiers et épongé des dettes faramineuses envers des ex-entraîneurs et ex-joueurs locaux et étrangers. Un héritage lourd qui a handicapé l’ESS ces dernières saisons.
Et comme attendu, c’était le seul candidat à des élections tant attendues pour rompre avec le provisoire. Les ex-présidents de clubs et dirigeants connus n’étaient pas enthousiastes pour revenir depuis des années. Alors la voie était libre pour Zoubeir Beya qui jouit d’une popularité au niveau du public. Il restera toujours un ex-joueur de calibre à l’Etoile et cela lui donne un crédit inusable et un respect intarissable. Sans oublier qu’il a assumé ses responsabilités dans un moment critique.
Maintenant, Beya et son équipe passent du statut «provisoire» à celui permanent. Donc, ils n’auront plus cette clémence et cette patience de la part des supporteurs qui veulent revoir leur club jouer les premiers rôles. La saison 24-25 peut être considérée comme très satisfaisante avec un début chaotique et un superbe retour qui aurait pu amener le titre de champion si les Etoilés n’avaient pas perdu des points faciles en fin de parcours. La présence en coupe de la CAF est un stimulant pour Lassâad Dridi et ses joueurs.
On attend toujours les renforts définitifs, surtout côté joueurs étrangers. Mais ce seront toujours des recrutements étudiés bon marché pour ne plus alourdir les caisses du club et se trouver dans des litiges douloureux plus tard.
Sauver les autres sections
L’ESS a été par le passé un exemple d’un club omnisports brillant. Les quatre sections des sports collectifs gagnaient des titres et produisaient de grands joueurs. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. En hand, en basket ou en volley, ces trois sections souffrent du manque de moyens et de mauvais résultats. Ce sera aussi un chantier grand ouvert pour l’équipe de Zoubeïr Beya.
Reste alors le développement des ressources du club comme un chantier actif et sensible.
L’Etoile a plusieurs licenciés et des charges élevées. En même temps, il y a un public nombreux et un potentiel important de sponsoring dans la région. Beya sera-t-il capable de cibler plus de mécènes et sponsors et couper court avec le modèle traditionnel des mécènes historiques du club ? Il a déjà commencé à varier le portefeuille des sponsors même si ce sont des montants moyens. L’équilibre budgétaire sera sa vraie épreuve en fin de saison. Et il le sait bien.
De retour au complexe sportif Hédi-Ennaifer, le groupe stadiste s’apprête à mettre le cap sur Sfax où le onze de Chokri Khatoui croisera l’USM, demain, dans le cadre du barrage menant au Super tunisien.
La Presse — C’est un Stade quelque peu expérimental que les puristes ont suivi lors des dernières répétitions, trois au total. Le bilan est d’ailleurs évocateur de certaines failles identifiées en défense, alors qu’en attaque, c’est toujours le même refrain avec une indigence récurrente.
Khatoui a donc beaucoup de travail avant de proposer un onze qui tienne la route. Cependant, du point de vue individuel, le coach dispose de plusieurs joueurs talentueux, à l’instar de Smaâli, Atoui, Dabbebi, Saâfi, Ayari, Gharbi et autre Ferchichi. Ce qui lui permettrait de varier ses plans de jeu sans souffrir de l’absence de joueurs qui assimilent rapidement et qui apportent cette touche technique qui fait la différence.
La saison passée, au ST, que ce soit avec Maher Kanzari ou Chokri Khatoui, l’équipe s’est quelque peu illustrée par ce jeu de transition rapide grâce à un milieu de terrain généreux en efforts. A cet effet, Rayan Smaâli, Mugisha Bonheur, et à un degré moindre Amath Ndaw et Yussuf Touré, incarnaient cette approche, même si en fin de compte, la réussite dépend finalement de l’efficacité.
Affinités et automatismes en cours…
Demain au Taïeb Mhiri de Sfax, face à une USM toujours assez bien rodée, le ST doit mettre en avant son jeu en bloc et ne plus se disperser comme face à Ahly du Caire en amical. Quant au coach, il doit aligner des joueurs qui ont des affinités sur le terrain car, actuellement, les automatismes, en cours de développement, tardent à se traduire par une identité de jeu claire.
Ligne par ligne, le Stade doit se mettre à la fois au service du jeu de projection tout en ne laissant pas le temps à l’adversaire de se replacer. En défense par exemple, le quatuor Khalfa-Sahraoui-Arous-Mizouni doit proposer des séquences de jeu denses tout en combinant avec les médians que seraient Elyès Jelassi, Smaâli et Touré, voire Ndaw. Plus globalement enfin, le ST doit soigner ses amorces offensives.
Clairement, l’on ne peut toujours tout imputer au manque de réalisme offensif, car le problème est aussi celui de l’absence de créateur et de justesse technique dans les derniers 20 mètres. Au ST, aujourd’hui, le club peut compter sur plusieurs finisseurs et animateurs de couloirs, mais c’est la vérité du terrain qui installera une certaine hiérarchie. A titre d’exemple, qui des six attaquants récupérés cet été marquera son territoire ? Khemissi a marqué des points, Guezmir est à revoir et les Aifia, Hanchi, Jaouadi et Béji n’ont pas encore percé, du moins en marge des tests amicaux.
Forcément, cette donne peut laisser croire que le staff compterait sur les joueurs en place depuis la saison écoulée, mais rien n’est moins sûr car l’amalgame est toujours possible en espérant que la mayonnaise prenne. Bref, en attaque toujours, Khatoui peut toujours s’en remettre aux ailiers gauches Sajed Ferchichi et Moncef Gharbi.
Aux ailiers droits Youssef Saâfi et Khalil Ayari. Et aux pointes Atoui et Dabbebi pour performer face aux Bleus. Toujours volet front stadiste, l’absence d’informations sur Sadok Kadida relance les spéculations sur son avenir immédiat et certaines velléités de départ.
Or, actuellement, le Stade a vraiment besoin d’un joueur capable de créer l’éclair. Bref, si le véloce attaquant stadiste ne figure pas sur la feuille de match demain, le ST va devoir composer avec ses forces, ses atouts, en espérant que l’efficacité soit au rendez-vous et qu’elle se mette surtout au service du jeu.
La Presse — A partir d’aujourd’hui, la Tunisie prendra part aux premiers Jeux scolaires africains qui seront organisés en Algérie. La délégation tunisienne est forte de 192 athlètes qui concourront dans 19 disciplines sportives.
C’est la première édition des Jeux scolaires africains en cette année 2025.
Quatre villes algériennes se sont préparées pour accueillir cet événement : Annaba, Sétif, Constantine et Skikda. C’est une première en Afrique.
Il y avait des Jeux scolaires et universitaires maghrébins qui avaient lieu tous les deux ans et réunissaient les nations maghrébines. Des compétitions qui, rappelons-le, avaient permis la découverte de nombreux talents aussi bien dans les sports individuels que collectifs.
C’est donc une très bonne occasion que représente ce rassemblement de 3 018 athlètes et entraîneurs de 51 pays africains.
L’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (Acnoa) et la Fédération internationale du sport scolaire (Issf) parrainent cet événement dans le cadre du protocole d’accord signé lors des Jeux olympiques de Paris 2024 qui a tenu à mettre en place une compétition qui rassemblerait toutes les nations africaines.
Un moyen de rapprocher
Le sport, en effet, est un moyen d’éduquer, de rapprocher et surtout permet de mieux connaître l’autre, ouvrant la porte au vivre ensemble.
Actuellement, les jeunes africains se rencontrent seulement au niveau de l’élite et ne connaissent des autres pays africains que ce que fournissent leurs livres scolaires.
C’est incontestablement grâce à des joutes de cette envergure que s’instaurent les bonnes pratiques et que l’on met en place cet outil de rapprochement et de solidarité. Il favorise surtout le développement du sport scolaire qui constitue, dans le monde, le creuset dans lequel se fonde toute future élite représentative du sport civil.
Une compétition à consolider et à ne jamais perdre de vue, comme cela a été le cas de la pionnière du genre, les Jeux maghrébins scolaires et universitaires qui ont disparu du paysage sportif, sans aucune explication.
Les équipes de la protection civile et les services forestiers, de l’équipement au gouvernorat de Zaghouan sont parvenus à maîtriser à hauteur de 95% l’incendie qui s’est déclaré, hier vendredi dans la zone forestière de Telil Essalhi – Dbidiba à El Fahs, suite à la propagation des flammes en provenance de Djebel Mansour à Siliana sous l’effet du vent.
Dans une déclaration à l’Agence TAP, le chef du centre forestier de Sidi Aouidet, Houssem Riahi, a indiqué que des engins des services de l’équipement ont permis l’aménagement de barrières de terre afin de contenir la propagation du feu.
Dans ce cadre, douze camions-citernes appartenant à la direction des forêts et à la protection civile ont été mobilisés pour l’opération d’extinction, ce qui a permis de maîtriser rapidement le feu malgré la vitesse de propagation attisée par les vents et la forte inflammabilité des arbres.
Il a ajouté que les équipes concernées poursuivent actuellement les efforts pour éteindre certains poches de feu et refroidir les amas de cendres, par précaution contre une éventuelle reprise du feu.
Le responsable a précisé qu’il n’est pas encore possible de déterminer avec exactitude la superficie de forêt ravagée, mais l’estime à environ 300 hectares de pins d’Alep.
L’article Zaghouan: enfin, l’incendie maîtrisé à 95% à Telil Essalhi etDbidiba à El Fahs est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
« Chevron a été informée de la délivrance de permis qui lui permettent de reprendre ses activités au Venezuela », a affirmé Maduro lors d’une interview avec la chaîne de télévision teleSUR.
En effet, le président américain a annoncé fin février la révocation de la licence accordée à Chevron en novembre 2022 par son prédécesseur, Joe Biden, pour maintenir des opérations limitées au Venezuela. Le géant pétrolier a toutefois été autorisé à garantir le maintien de ses installations dans ce pays d’Amérique latine.
Rappelons que les relations entre Caracas et Washington sont tendues depuis des années. Les deux pays n’ont plus de relations diplomatiques depuis 2019, lorsque les États-Unis et leurs alliés ont contesté la réélection de Maduro. Washington a imposé des sanctions et un embargo sur le pétrole vénézuélien.
Néanmoins, les canaux de communication restent ouverts, comme le démontre la récente libération de prisonniers américains au Venezuela en échange de plus de 200 citoyens de ce pays latino-américain qui ont été expulsés des États-Unis et transférés dans une prison de haute sécurité au Salvador au début de cette année.
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Selon plusieurs médias libanais, la légendaire chanteuse Fairouz traverse un moment de profonde détresse après la disparition soudaine de son fils, le musicien et compositeur Zied Rahbani, décédé ce samedi à l’âge de 69 ans. Bouleversée par la nouvelle, l’icône surnommée « la Voix du Liban » a dû recevoir la visite d’une équipe médicale dépêchée à […]
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L’ancien député et activiste Majdi Karbai a annoncé, ce samedi 26 juillet 2025, qu’un Tunisien est décédé dans la prison de Pietro Cerulli à Trapani.
Cette nouvelle tragédie porte à 8 le nombre de Tunisiens morts dans les prisons italiennes depuis el début de cette année 2025 et le 2e en seulement une semaine, rappelle Majdi Karbai.
Dans la prison de Pietro Cerulli, le jeune Tunisien est décédé après plusieurs tentatives d’automutilation, signes évidents de sa fragilité psychologique. Mais l’administration du pénitencier a choisi d’ignorer ces signaux d’alerte, jusqu’à ce que le drame se produise, dénonce l’ancien député.
Ce nouveau drame survient quelques jours seulement après celui enregistré dans la prison de “Massa Carrara”, où le corps sans vie d’un jeune Tunisien de 26 ans a été retrouvé dans sa cellule et dont la famille n’a pas été informée mais a appris le décès via les réseaux sociaux…
« La tragédie des Tunisiens dans les prisons italiennes continue de s’aggraver dans un silence meurtrier, face à une indifférence officielle honteuse », déplore la même source, en pointant du doigt l’absence d’enquête et de réaction diplomatique des autorités tunisiennes et en affirmant que les témoignages font état de « négligence, de mauvais traitements, de surpopulation dramatique et de pressions psychologiques menant les jeunes au désespoir… et à la mort ».
Y. N.
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Matches amicaux : l'USMo et l'ESZ dos à dos, programme de dimanche
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Le Maroc accélère sa transformation infrastructurelle en vue des grands événements sportifs à venir. Le gouvernement a annoncé ce jeudi un plan d’investissement de 38 milliards de dirhams (environ 4,2 milliards de dollars) sur cinq ans, destiné à étendre et moderniser les principaux aéroports du pays, en préparation notamment de la Coupe du monde de football 2030, que le Royaume coorganisera avec l’Espagne et le Portugal. Ce programme ambitieux, officialisé par un accord entre l’État marocain et l’Office national des aéroports (ONDA), vise à porter la capacité d’accueil des aéroports marocains à 80 millions de passagers d’ici 2030, contre 38 […]
L’article Le Maroc investit 4,2 milliards de dollars pour moderniser ses aéroports avant la Coupe du monde 2030 est apparu en premier sur Tunisie numerique.