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Manouba : Instauration du troisième conseil régional

17. September 2024 um 19:25

Le troisième conseil régional du gouvernorat de Manouba, a été instauré, mardi 17 septembre, à la faveur d’une cérémonie qui a connue la présence du gouverneur de la région ainsi que de la totalité des membres du nouveau conseil.

La mise en place du nouveau conseil intervient à l’issue de l’approbation, par le Conseil de l’Instance supérieure Indépendante pour les élections (ISIE), des résultats du processus de tirage au sort pour le renouvèlement de la composition des conseils régionaux.

A cet égard, huit nouveaux membres ont été sélectionnés en outre du nouveau président du conseil, Zine El Abidine Trabelsi pour suppléer à l’ex-présidente, Kmar Houaidi.

Il est à noter que les délégations du gouvernorat de Manouba abritent, à partir de mardi, les cérémonies de mise en place des nouveaux conseils locaux et la finalisation des procédures d’alternance entre les présidents sortants et les nouveaux chefs des conseils.

Avec TAP

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Tunisie : Les raisons de la hausse sans précédent des prix des fruits d’été

12. September 2024 um 12:02

Les prix des fruits d’été connaissent actuellement en Tunisie une hausse sans précédent dont se plaignent les consommateurs, que la baisse de la production, estimée à seulement 6%, ne justifie guère.

Ce chiffre a été avancé par le membre du bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (Utap) chargé de l’arboriculture, Ibrahim Trabelsi, qui intervenait dans l’émission « Ahla Sbeh » sur Mosaïque FM.

Cette baisse de la production, due à hausse des coûts et à la rareté de l’eau d’irrigation, en raison de la sécheresse observée depuis plusieurs années, ne saurait justifier à elle seule les hausses constatées des prix des légumes d’été sur le marché et qui varient entre 30 et 80%, notamment en ce qui concerne les pommes, les poires, les figues, les pêches et les prunes, selon le directeur de l’Observatoire national de l’approvisionnement et des prix Ramzi Trabelsi, qui intervenait dans la même émission.

La cause principale de ces hausses sans précédent réside essentiellement dans les marges bénéficiaires pratiquées par les intermédiaires et les distributeurs et qui atteignent le double du prix de vente à la production. Ainsi donc, les fruits vendus par l’agriculteur à 3 ou 4 dinars le kilo sont-ils vendus par les vendeurs de fruits et légumes à 7 ou 8 dinars. Ce qui requiert un renforcement du contrôle des prix talon d’Achille du circuit de distribution en Tunisie.

Seules les citrons, les pastèques et les melons n’ont pas enregistré de hausses importantes des prix.

I. B.

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Du rififi à Tripoli: Jusqu’à quand le pouvoir de Abdelhamid Dbeibah tiendra-t-il?

04. September 2024 um 12:19

Que se passe-t-il en Libye? La situation est critique et le pouvoir du roublard Abdulhamid Dbeibah et de son acolyte le très souriant Mohamed Younes Al-Manfi semble plus précaire que jamais. Cependant, pour comprendre la tambouille de la politique-politicienne libyenne, il faut des nerfs d’acier, beaucoup de concentration et du souffle. Décryptage. 

Imed Bahri

La revue américaine The National Interest a publié un article de Joshua Yaphe qui fut analyste senior au Bureau of Intelligence and Research du Département d’État américain et qui fait partie de la communauté du renseignement aux États-Unis. Il y était spécialiste du monde arabe.

Yaphe affirme qu’Abdulhamid Dbeibah, l’inamovible Premier ministre du gouvernement d’unité nationale basé à Tripoli, se trouve aujourd’hui en pleine tempête, est le visage politique de l’une des familles d’affaires les plus riches qui a réussi la transition du régime despotique de Mouammar Kadhafi au paysage actuel fait de milices et de Conseils. Au cours des trois dernières semaines, il a réussi à s’aliéner les milices qui constituent la base du pouvoir la plus vitale de son pouvoir et la communauté internationale sur laquelle il compte largement pour sa légitimité.

Yaphe estime que Dbeibah pensait peut-être qu’il pourrait d’une manière ou d’une autre unir les factions rivales et augmenter la part de son gouvernement dans les ressources nationales concentrant ainsi le pouvoir et soulignant son importance et son irremplaçabilité.

Cependant, ses dernières démarches sont probablement un vain effort pour empêcher son inévitable licenciement, lui permettant de gagner plus de temps pendant lequel il peut créer l’apparence d’un homme maître de son propre destin tout en espérant que les circonstances changeront et que sa fortune s’améliorera.

Des arrangements trop temporaires

L’auteur fait référence au gouvernement d’unité nationale formé en février 2021 pour tenter de réformer et de revitaliser le gouvernement de Tripoli après deux tentatives de l’armée nationale de Khalifa Haftar de s’emparer de la capitale. Cela était conforme à l’esprit de l’accord politique de 2015 qui a fait du Conseil présidentiel une branche exécutive centrale à Tripoli et du Conseil suprême de l’État un organe consultatif coordonnant les décisions entre les deux gouvernements de l’est et de l’ouest de la Libye.

Tous ces arrangements ont toujours été temporaires dans l’esprit des États membres du Conseil de sécurité de l’Onu qui envisageaient d’avancer rapidement vers des élections (dont tout le monde parle tout le temps depuis plus d’une décennie et qui n’arrivent jamais) au cours desquelles le peuple libyen pourrait exprimer sa volonté quant à l’avenir du pays.

Le Maroc a accueilli les pourparlers de la Commission 6+6 qui n’ont pas réussi à fournir une feuille de route pour les élections de juin 2023 mais ont réussi à émettre des recommandations pour un ensemble de mesures et de réglementations qui devraient plaire aux deux parties.

Le gouvernement de l’Ouest (Haftar) a fait de vagues promesses d’organiser des élections avant le Jour de la Révolution, le 17 février, et le gouvernement de l’Est a souligné à plusieurs reprises qu’il soutiendrait les élections après la formation d’un gouvernement d’unité plus large. Cependant, les élections n’ont jamais été dans l’intérêt d’aucun de ces acteurs du pouvoir et par conséquent, elles resteront probablement reportées indéfiniment.

Actuellement, ce sont des familles puissantes de l’Ouest et de l’Est qui dominent et chacune d’elles possède ses propres institutions les utilisant comme plate-forme pour élargir les lignes clientélistes tandis que les Nations Unies et les consommateurs internationaux de pétrole sont les otages de leurs agendas locaux.

En ce sens, le calme relatif de la période depuis 2021 a donné un répit aux principaux acteurs politiques et militaires pour s’établir et explorer des intérêts communs. Les Émirats arabes unis ont contribué à trouver un accord entre Haftar et Dbeibah sur le partage des revenus pétroliers. Dans le même temps, la Turquie et la Russie ont atteint une détente qui leur permet d’étendre leurs bases militaires respectivement dans les régions de l’Ouest et de l’Est.

Les calculs biaisés de Dbeibah

Cependant, au cours du mois dernier, Dbeibah a provoqué un déséquilibre et provoqué des réactions si fortes qu’il ne parviendra peut-être pas à rétablir l’équilibre. Il a effectivement pris le contrôle de la Banque centrale, peut-être dans le but d’obtenir une plus grande part du budget et de garantir l’accès aux réserves de change. Il a également tenté d’unifier la structure de commandement et d’imposer son autorité sur les milices de Tripoli, peut-être pour tenter de rassurer ses alliés politiques et l’opinion publique sur le fait qu’il était toujours aux commandes.

Al-Manfi, proche allié de Dbeibah à la tête du Conseil présidentiel, a prononcé un discours le 18 août (Journée des forces armées) dans lequel il a appelé à l’unification des milices et, en sa qualité de commandant suprême des forces armées, a appelé à la toute première réunion des commandants et des chefs du renseignement. Le 23 août, Dbeibah a lancé un comité supérieur chargé des dispositions sécuritaires, dirigé par le ministre de l’Intérieur Imad Trabelsi, qui a immédiatement ordonné à toutes les milices d’évacuer les bâtiments gouvernementaux dans les vingt-quatre heures.

Le 16 août, le Conseil présidentiel a voté à l’unanimité la destitution du gouverneur de la Banque centrale, Sadiq al-Kabir, au motif que son mandat était expiré depuis longtemps et la nomination d’un nouveau conseil d’administration. Il a également annoncé la formation d’un comité chargé d’enquêter sur la mauvaise gestion de la Banque centrale et sur la nécessité d’une répartition équitable des revenus de l’État.

Lorsque des hommes armés sont arrivés pour s’emparer du siège de la Banque centrale à Tripoli, ils ont trouvé le bâtiment fermé et les employés en congé à cause d’un jour férié  prolongé selon une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.

Muhammad Al-Shukri, qui avait été nommé à ce poste en 2018 mais n’a jamais assumé ces fonctions, a cette fois rejeté l’offre. Le vice-gouverneur Abdel Fattah Ghaffar est désormais aux commandes, quoique temporairement, tandis que divers représentants des deux gouvernements explorent l’idée de parvenir à un compromis qui rassurerait les marchés internationaux.

Yaphe estime que Dbeibah et ses alliés ont imposé ces mesures dans l’espoir qu’elles refléteraient leur influence et leur objectif et confirmeraient qu’elles sont indispensables à la stabilité dans l’Ouest de la Libye et ne peuvent être remplacées au pouvoir ce qui n’est en fait pas vrai car la loyauté des milices à Tripoli ne s’étend que dans la mesure où elles reçoivent leurs salaires.

Si Dbeibah pariait que les milices se détestaient plus qu’elles ne le détestaient et que sa promesse d’une plus grande part du budget national galvaniserait leur confiance en lui, il serait probablement déçu.

Néanmoins, Dbeibah est un homme politique sérieux et ses récentes décisions ont peut-être été motivées non pas par une estime exagérée de sa propre valeur mais par la peur de son éviction imminente du pouvoir. Il ne peut pas rivaliser avec l’Est de la Libye en termes de ressources naturelles ou d’investissements directs étrangers et cela apparaît clairement lorsque les images de longues files d’attente devant les stations-service de l’Ouest et de promoteurs immobiliers émiratis signant des accords pour de grands projets à Benghazi se propagent dans les journaux et les médias sociaux. Mais en même temps, cette mesure intervient au moment où le Conseil suprême de l’État fait face à de sévères critiques. Le mémorandum d’accord qu’il a signé en mars, donnant à la Turquie une grande latitude pour déployer ses forces en Libye, a été vivement critiqué comme une forme de néocolonialisme lorsque les détails ont été rendus publics le 12 août.

Et comme si tout cela ne suffisait pas à la tambouille libyenne, un autre vaudeville vient d’avoir lieu. L’allié de Dbeibah à la tête du Conseil suprême de l’État, Mohamed Takala, a perdu face à son rival Khaled Al-Mishri au deuxième tour du scrutin le 6 août et a dépassé la durée de son mandat. Takala a fait appel aux tribunaux et maintenant lui et Al-Mishri tentent de convoquer une réunion du conseil en tant que présidents rivaux. S’il est pleinement habilité, Al-Mishri pourrait parvenir à un accord avec Aguila Saleh, le président de la Chambre des représentants dans l’est de la Libye, et s’efforcer de convaincre les Nations Unies de la nécessité d’un nouveau gouvernement d’unité avant les élections.

Khalifa Haftar pousse ses pions

Khalifa Haftar, Aguila Saleh, Oussama Hammad et d’autres à l’Est attendent le bon moment espérant que Dbeibah trébuche. La Chambre des représentants a fait des déclarations sans fin déclarant illégale la destitution du gouverneur Sadiq Al-Kabir, le Conseil présidentiel illégitime, le placement de l’exploitation des gisements de pétrole dans une situation de force majeure, le transfert du titre de Commandant suprême des forces armées, etc.

Tout au long de ce mélodrame, Saddam, le fils de Haftar, a mené ses forces terrestres lors de patrouilles dans le désert pour attaquer les trafiquants de drogue et les trafiquants d’êtres humains dans le sud afin de montrer au public que pendant que les politiciens se chamaillent, sa famille réalise des progrès tangibles dans le renforcement de la sécurité des frontières et de la sûreté publique. Tant que la Chambre des représentants reste unie, que le successeur de Haftar, Oussama Hammad, se présente comme une alternative fiable et que Haftar reste disposé à servir en tant que médiateur entre les factions, le gouvernement de l’Est peut observer et attendre.

En fin de compte, Yaphe estime que Dbeibah peut créer de nouvelles structures de sécurité, fermer le siège de la banque centrale et contourner le large consensus qui a soutenu l’accord politique de 2015 et toutes les tentatives de dialogue national depuis lors. Il pourrait même tenter d’organiser un référendum sur une Constitution avec des élections partielles cet hiver même si ces élections n’auront lieu qu’à l’Ouest et que leur légitimité sera menacée.

Cependant, ces mesures ne permettront à Dbeibah que de gagner six mois supplémentaires au gouvernement. Les trois dernières semaines ont montré que la situation est volatile et instable. Dbeibah et ses alliés ont outrepassé leur autorité et la communauté internationale ne veut pas lui faire un chèque en blanc.

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Le Sri Lanka avec Turkish Airlines, une destination qui veut s’ouvrir aux agences tunisiennes

Le Sri Lanka a reçu en 2023 à peine 600 visiteurs en provenance de Tunisie. Un chiffre très modeste mais qui est appelé à se développer eu égard aux intentions affichées.

Ce n’est certes pas la porte à côté mais c’est une destination que les agences de voyages spécialisées dans l’outgoing peuvent aisément programmer. C’est en tout cas la volonté affichée par Hichem Trabelsi, consul honoraire du Sri Lanka en Tunisie.

« Le Sri Lanka, pays touristique situé dans l’Océan indien, est une destination pouvant être programmée par les agences de voyages à l’intention de leurs clients tunisiens » a-t-il déclaré lors d’une cérémonie qui s’est déroulée récemment à Tunis en présence de nombreux professionnels du tourisme et du voyage.

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Hichem Trabelsi, consul honoraire du Sri Lanka en Tunisie

Partant du constat que les agences de voyages tunisiennes spécialisées dans les voyages à l’étranger (outgoing) étaient constamment à la recherche de nouveautés pour leurs clients, M. Trabelsi estime que le Sri Lanka, par la diversité de son offre touristique et naturelle et la richesse de sa culture pouvait constituer une alternative à ceux parmi les grands voyageurs à la recherche d’une destination offrant un dépaysement total.

Concernant les procédures d’entrées dans le pays, le Consul honoraire a expliqué que les démarches étaient relativement simples pour l’obtention d’un visa pour les ressortissants tunisiens et que la procédure serait transmise aux agences de voyages lesquelles seront régulièrement informées des formalités nécessaires.

De son côté, Kasun Balasooriya, deuxième secrétaire à l’ambassade du Sri Lanka au Caire, a indiqué, lors de ce même événement, que la destination avait reçu en 2023 précisément 1,487 million de touristes étrangers, en hausse de 106% par rapport à l’année 2022. Parmi eux, 687 porteurs de la nationalité tunisienne. « Ce chiffre n’est cependant pas un record en soit », a souligné le diplomate qui a indiqué « qu’en 2019, 878 Tunisiens avaient visité le Sri Lanka. »

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Kasun Balasooriya, deuxième secrétaire à l’ambassade du Sri Lanka au Caire

Sur le plan du transport aérien et en l’absence de ligne directe entre la Tunisie et le Sri Lanka, la compagnie aérienne Turkish Airlines se positionne actuellement comme étant celle pouvant offrir des dessertes efficaces entre Tunis et Colombo avec un temps d’escale réduit à l’aéroport d’Istanbul.

Turkish Airlines, grâce à ses deux vols quotidiens (puis 3 à compter d’avril) entre Tunis et Istanbul et ses 4 fréquences par semaine Istanbul-Colombo, apparaît ainsi comme meilleure alternative en matière de liaison aérienne sur la destination Sri Lanka au départ de la Tunisie.

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Turkish Airlines opère à raison de 3 fréquences par semaine sur Colombo au départ d’Istanbul. La représentation de la compagnie a offert deux billets aller-retour à un heureux gagnant lors de l’événement organisé à Tunis.

DONNEES TOURISTIQUES SUR LE SRI LANKA

Zone touristique de Colombo et du Grand Colombo :

La zone touristique de Colombo et du Grand Colombo s’étend du mont Lavinia, au sud, à Negombo, au nord. La ville de Colombo est la partie principale de la zone et constitue le centre des activités commerciales, des conférences et des événements sportifs du pays. Colombo est à la fois une porte d’entrée et un point d’arrêt pour les touristes internationaux.

Région de villégiature de la côte sud :

La zone de la côte sud s’étend de Wadduwa à Tissamaharama. La zone a été divisée en deux régions principales. La première région s’étend de Wadduwa à Galle. Les zones côtières telles que Kalutara, Beruwala, Bentota, Dedduwa, Madu Ganga, Balapitiya, Ahungalla et Hikkaduwa sont incluses dans cette région. La deuxième région, qui s’étend de Galle à Tissamaharama, comprend les régions d’Unawatuna, de Koggala, de Weligama, de Mirissa, de Matara, de Tangalle et d’Hambantota.

Région touristique de la côte Est :

La région touristique de la côte Est s’étend de Kuchchaveli au nord à Pottuvil au sud. Les principales zones touristiques de cette région sont Arugam Bay, Pasikudah, Trincomalee et Nilaveli.

Région de villégiature de la côte Ouest :

La région de villégiature de la côte ouest s’étend le long des zones de Kalpitiya, Marawila et Waikkala.

Région de villégiature du Haut-Pays :

Nuwara Eliya, Bandarawela et Maskeliya sont inclus dans la région de villégiature du Haut-Pays.

Région de villégiature des villes anciennes :

Cette région compte cinq sites classés au patrimoine mondial, à savoir Anuradhapura, Dambulla, Kandy, Polonnaruwa et Sigiriya. Les autres régions comprennent Habarana, Giritale, Matale et Victoria.

Autres régions de villégiature :

Yala, Udawalawa, Wasgamuwa, Pinnawala et Ratnapura.

La faune et la flore :

Malgré sa petite taille, le Sri Lanka possède un niveau élevé de biodiversité et de ressources fauniques, et est classé parmi les 34 points chauds de la biodiversité dans le monde. De nombreuses espèces de flore et de faune sont indigènes au Sri Lanka. Cela a fait de l’île un pays présentant les taux d’endémisme biologique les plus élevés au monde.

13 % de la surface terrestre du Sri Lanka ont été désignés comme zones de protection de la faune et de la flore (WLPA), ce qui représente actuellement une superficie totale de 8 500 km2. Environ 7 % de la superficie sont des parcs nationaux, c’est-à-dire des zones où le public peut observer et étudier la faune et la flore. Les parcs nationaux du Sri Lanka sont devenus des destinations touristiques populaires.

Plages :

Le Sri Lanka possède près de 1600 km de côtes avec des plages tropicales très appréciées des touristes locaux et étrangers. La plupart des côtes du pays sont parsemées de caractéristiques côtières variées telles que des baies, des lagunes, des bancs de sable et des promontoires rocheux.

 

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Les activités récréatives marines, telles que les bains de mer et la natation, le surf, la navigation de plaisance, la plongée en apnée, la pêche en haute mer, la photographie sous-marine et la plongée sous-marine, peuvent être pratiquées sur la plupart de ces plages et dans les zones de villégiature qui y sont associées. Les plages de Tangalle, Beruwala, Mirissa, Bentota, Unawatuna Arugam Bay, Pasikudah, Hikkaduwa, Uppuveli et Negombo sont considérées comme des plages touristiques célèbres dans le pays.

Beauté naturelle :

Le Sri Lanka possède de nombreuses attractions touristiques avec des zones de beauté naturelle, notamment des terrains montagneux, des paysages agricoles, des chutes d’eau, des lieux aux conditions climatiques diverses, des réservoirs (wewas) et des rivières.

Le patrimoine :

Le tourisme patrimonial consiste à visiter des sites historiques. Le Sri Lanka est très riche en monuments préhistoriques, protohistoriques et historiques, qui témoignent de sa civilisation et de sa culture anciennes. Le bouddhisme a principalement contribué à façonner le patrimoine culturel du pays. La période historique du Sri Lanka proprement dite commence vers 236 av. J.-C. avec l’introduction du bouddhisme dans le pays par les missionnaires envoyés par l’empire indien Asoka.

L’UNESCO a déclaré six sites archéologiques et deux sites écologiques du patrimoine mondial dans le pays. Outre les sites du patrimoine mondial, le gouvernement du Sri Lanka a déclaré un certain nombre de sites archéologiques protégés et de monuments dans le pays.

Pèlerinage :

Le Sri Lanka est bien connu pour sa riche culture bouddhiste ainsi que pour d’autres religions. En tant que pays religieux, le Sri Lanka possède de nombreux lieux ayant une signification religieuse et historique, qui attirent des touristes du monde entier. Anuradhapura, le temple de la Dent, Sri Pada, le sanctuaire de Notre-Dame de Madhu et Kataragama sont quelques-uns des sites religieux célèbres de l’île qui attirent un grand nombre de touristes. Le pèlerinage à pied appelé Pada Yatra, qui est l’une des plus anciennes traditions du Sri Lanka, est pratiqué depuis des siècles. Les habitants de Jaffna longent la côte est pour se rendre au sanctuaire de Kataragama, des sites religieux célèbres de l’île qui attirent un grand nombre de touristes.

Attractions connexes :

Vihara bouddhiste au Sri Lanka – Temples hindous au Sri Lanka – Aatamasthana – Solosmasthana

Le sport et l’aventure :

Le tourisme sportif se définit comme l’implication, l’observation ou la participation à un événement sportif particulier à des fins de loisirs. Le Sri Lanka est également une destination pour des sports tels que le cricket, le rugby, le golf et le surf. À l’exception du cricket, la contribution des autres sports au secteur du tourisme reste très faible. Outre les événements sportifs classiques, les sports d’aventure font également partie du tourisme sportif. Le trekking, la randonnée, la plongée, l’escalade, la pêche en haute mer, l’observation des baleines et la montgolfière sont quelques-uns des sports d’aventure que l’on peut pratiquer au Sri Lanka.

Culture et autres :

Le tourisme culturel comprend le tourisme dans les zones urbaines, en particulier les villes historiques ou les grandes villes et leurs équipements culturels tels que les musées et les théâtres.

Musées et théâtres – Actuellement, quatre musées nationaux et 26 musées archéologiques ont été créés au Sri Lanka. Les musées nationaux sont gérés par le département des musées nationaux et les musées archéologiques par le département d’archéologie. Outre les musées, le Sri Lanka compte également un grand nombre de théâtres.

Festivals – Le Sri Lanka est un pays multiculturel où plusieurs festivals sont célébrés par différentes communautés. Les célébrations du Nouvel An cinghalais et tamoul, le festival de Vesak, Noël, le festival du Ramadan, le Pongal thaïlandais et le festival littéraire de Galle sont quelques-uns des principaux festivals.

Arts du spectacle – Il existe trois formes principales de danse traditionnelle au Sri Lanka : La danse kandyenne, la danse des basses terres et la danse sabaragamuwa. Bien qu’il ne soit pas propre au Sri Lanka, le « Bharatanatyam », originaire de l’Inde, est également populaire au Sri Lanka, en particulier au sein de la communauté tamoule.

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Alimentation – La cuisine du Sri Lanka a été influencée par de nombreux facteurs historiques, culturels et autres. Le riz est le principal aliment de base du pays. Les autres aliments de base sont les hoppers, les string hoppers et le pittu.

Le Sri Lanka étant l’un des plus grands producteurs de thé au monde, il est surtout connu pour sa production de thé peu orthodoxe. Le thé a été introduit dans le pays par les Britanniques, qui l’ont appelé « Ceylan ». Le thé de Ceylan pur est considéré comme l’un des meilleurs thés produits dans le monde.

Artisanat – L’artisanat disponible au Sri Lanka comprend la sculpture sur bois, l’argenterie, les moulages en laiton, la céramique, les produits en bambou, la poterie, les batiks, la dentelle, la canne à sucre, les bijoux fantaisie, la laque, les masques en bois, les articles en coco, les métiers à main et les produits en ivoire.

Hébergement :

L’hébergement touristique au Sri Lanka se compose d’hôtels classés, d’établissements supplémentaires, de maisons d’hôtes et de campings à petite échelle. Des hébergements plus informels sont disponibles selon un système d’hôtes payants dans des maisons privées et des bungalows de plantations de thé dans les collines.

Ecotourisme

Un autre type de tourisme, appelé écotourisme, tourisme durable ou tourisme responsable, permet aux voyageurs de participer au tourisme dans tout le Sri Lanka tout en contribuant au bien-être des communautés locales et en veillant à limiter leur impact sur l’environnement. La Sri Lanka Ecotourism Foundation est l’organisation nationale qui a créé un réseau officiel d’écotourisme à travers l’île, permettant de développer un tourisme durable avec de nombreuses options de voyage. En 2010, la fondation a reçu le prix présidentiel de la « contribution exceptionnelle au tourisme au Sri Lanka ».

 

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