Samir Abdelhafidh, ministre de l’Économie et de la Planification, a annoncé lors d’une session plénière conjointe (ARP-CNRD), le 7 novembre 2025, l’acquisition imminente de 418 bus de transport supplémentaires en faveur des sociétés de transport public.

Cette initiative vise à améliorer la qualité des services de transport et à augmenter la capacité dans les zones urbaines densément peuplées ainsi qu’à l’échelle régionale, selon La Presse.

Ces bus se répartiront comme suit : 260 bus articulés pour les entreprises de transport régionales, 118 bus pour la Société des transports de Tunis (Tanstu), et 40 bus confort pour la Société nationale de transport interurbain (Sntri).

Mise à jour du réseau ferroviaire

Et ce n’est pas tout. Le ministre de l’Économie a aussi fait mention de quelques avancées dans la modernisation du réseau ferroviaire national, avec l’acquisition de 14 nouveaux trains pour la ligne Tunis-Goulette-Marsa (TGM) et de 30 métros, pour un coût d’investissement total de 450 millions de dinars.

De son côté, le projet du Réseau ferroviaire rapide (RFR) se poursuivra afin d’améliorer la circulation dans le Grand Tunis. Ces efforts visent à renforcer l’infrastructure de transport et à répondre aux besoins croissants des usagers.

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Une déclaration d’intention a été signée entre l’Algérie et le PNUD le 28 octobre, afin de soutenir sa transition numérique. Et ce, lors du Sommet mondial sur les infrastructures numériques publiques, qui se déroule du 4 au 6 novembre au Cap Town en Afrique du Sud. L’Algérie souhaite renforcer sa coopération internationale dans ce secteur.

Sid Ali Zerrouki, ministre de la Poste et des Télécommunications, qui a représenté l’Algérie au Sommet du Cap, a signé une lettre d’intention avec son homologue sud-africain, Solly Malatsi, visant à renforcer la coopération entre leurs pays et assurer un suivi régulier des initiatives communes, comme le rapportent nos confrères d’Agence Ecofin.

Avec Luc Missidimbazi, conseiller du Premier ministre congolais, les discussions ont porté sur l’amélioration de la coopération africaine, dans le but de réduire la dépendance technologique et d’accroître les compétences nationales en matière de digitalisation.

Cité dans un communiqué, Zerrouki a déclaré : « Ces rencontres s’inscrivent dans une dynamique de renforcement de la présence internationale de l’Algérie et d’échange d’expertises pour soutenir le développement des infrastructures numériques publiques, au service d’une croissance inclusive et durable »…

A noter que l’Algérie se classe 116ème dans l’Indice de développement de l’e-gouvernement 2024, avec un score de 0,5956 sur 1. Ce score est supérieur à la moyenne africaine (0,4247), mais inférieur à la moyenne mondiale (0,6382).

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La Tunisie et l’Égypte entendent donner un nouvel élan à leur coopération dans le secteur de la santé. C’est dans cette optique qu’une rencontre s’est tenue au siège du ministère tunisien de la Santé. Elle a réuni Mabrouk Aounallah, chef de cabinet du ministère de la Santé, et Hachem Sateet, président de l’Autorité égyptienne des achats unifiés, de l’approvisionnement et de la logistique médicale; en présence de l’ambassadeur d’Égypte à Tunis.

Au cœur des discussions : la mise en place de projets conjoints axés sur le partage d’expertise médicale; la formation du personnel de santé; et la coordination en matière de recherche et de technologies médicales, souligne La Presse.

Les deux parties ont également convenu de promouvoir une politique d’acquisition groupée de médicaments et d’équipements médicaux. Et ce, dans le but de réduire les coûts, tout en maintenant des standards de qualité élevés.

A cet égard, notons que ce partenariat s’inscrit dans une vision commune de développement durable du secteur sanitaire, fondée sur la solidarité, la complémentarité et la mutualisation des ressources. La Tunisie et l’Égypte ambitionnent ainsi de consolider un modèle de coopération régionale à même de renforcer la sécurité sanitaire et d’améliorer l’accès aux soins dans les pays respectifs.

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La 9ème édition du Festival de la Grenade se déroule à Testour, dans le gouvernorat de Béja, du 29 octobre au 2 novembre 2025. Cet événement a pour objectif de mettre en valeur ce fruit emblématique, en vue de l’obtention prochaine de l’appellation d’origine contrôlée (AOC).

Le festival propose un programme combinant enjeux culturels, scientifiques et gastronomiques. Tout en renforçant Testour comme pôle national de production de la grenade et site majeur du patrimoine andalou. Et ce, avec une production de grenade estimée à 91 000 tonnes pour la campagne 2025/2026; contre 102 900 tonnes pour la précédente campagne.

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La cérémonie d’ouverture, le 29 octobre, a été marquée par un Salon dédié aux produits dérivés de la grenade, mais aussi des colloques scientifiques. Ainsi qu’un spectacle artistique rassemblant plusieurs grandes figures de la scène tunisienne. Les journées suivantes ont inclus : des conférences sur les techniques agricoles andalouses (30 octobre) et le patrimoine hydraulique mauresque; avec une intervention du Dr Ali Taïeb (31 octobre).

Le 1er novembre, l’animation culinaire « Cuisine du terroir » mettra en avant des plats traditionnels à base de grenade, préparés par des chefs tunisiens réputés. La clôture du festival se fera le 2 novembre avec des spectacles folkloriques.

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Par ailleurs, notons que les vergers couvrent une superficie de 12 300 hectares, souligne le Groupement interprofessionnel des fruits (GIFruits). Le gouvernorat de Gabès demeurant le premier producteur national avec 21,5 % du total. Suivent Béja (15 000 tonnes), Nabeul (14 000 tonnes) et Kairouan (13 400 tonnes).

Enfin, relevons que la campagne d’exportation de la grenade a commencé le 29 septembre 2025.

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Les commerçants anticipent le Black Friday 2025, prévu pour le vendredi 28 novembre, en lançant leurs promotions dès ce 31 octobre. Selon Numerama, cette tendance à débuter les soldes avant la date officielle s’intensifie chaque année. Les marques n’attendent plus systématiquement le vendredi suivant Thanksgiving pour proposer des réductions.

Ainsi, les consommateurs ont désormais l’opportunité de profiter d’offres intéressantes bien avant le jour J. Ce qui complexifie la compréhension du calendrier des promotions. De nombreuses promotions sont déjà disponibles et méritent d’être explorées. Il est donc judicieux de ne pas attendre le 28 novembre pour commencer à faire des économies sur les produits désirés.

D’ailleurs, Numerama s’engage à mener une veille approfondie. Et ce, afin de répertorier les meilleures offres du Black Friday accessibles en ligne. Offrant ainsi aux consommateurs la possibilité de bénéficier des meilleures affaires dès à présent.

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