Zensus 2024: Laut der allgemeinen Bevölkerungs- und Siedlungszählung (RGPH2024) des Nationalen Statistikinstituts (INS), deren erste Ergebnisse am 17. Mai 2025 in einer Pressekonferenz veröffentlicht wurde, Mehr
La première édition du concours régional Artiterroir a été clôturée le jeudi 15 mai 2025 par une cérémonie de remise des prix à Nabeul.La créativité des artisans locaux a été mise en lumière autour des trois produits emblématiques de la région : la fleur de bigaradier, la harissa et la figue de barbarie.
Organisée par la Délégation régionale de l’Office National de l’Artisanat Tunisien (Onat) et le Hub Design Nabeul avec l’appui du projet Pampat (Onudi/Seco), sous le thème «Les produits du terroir de Nabeul, source d’inspiration pour l’artisanat local», ce concours a permis de mettre en lumière la créativité des artisans autour des trois produits emblématiques de la région : la fleur de bigaradier, la harissa et la figue de barbarie.
Les trois lauréates ont été récompensées pour des créations originales alliant identité locale et savoir-faire artisanal, notamment en céramique et en jonc, deux spécialités phares de Nabeul.
L’événement s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie nationale de valorisation et de promotion des produits du terroir. Il contribue également à renforcer l’attractivité touristique de la région à travers une offre renouvelée de produits souvenirs authentiques.
Lancé le 12 mars, le concours Artiterroir s’inscrit dans une démarche de valorisation du patrimoine local, en plaçant la créativité artisanale au service de l’identité régionale et du développement économique durable. Il a invité les artisans, designers et entreprises artisanales de la région à proposer des créations inspirées des 3 produits phares à savoir la fleur de bigaradier, la harissa (piment rouge) et la figue de barbarie de Bouargoub. Ce sont des articles cadeaux et souvenirs qui traduisent l’authenticité des savoir-faire locaux tout en répondant aux attentes d’un public en quête de renouveau et de lien au territoire qui ont été proposés.
Sana Mansour, représentante de la Délégation régionale de l’artisanat à Nabeul et du Hub Design, a déclaré : «Ce concours a permis d’explorer de nouvelles passerelles entre les ressources du terroir et la création artisanale. En tant que structure d’accompagnement, le Hub Design a soutenu les participants à chaque étape, de la conception à la finalisation des pièces. Grâce à l’appui du projet Pampat, cette expérience s’est déroulée dans un cadre structuré, collaboratif et stimulant».
La cérémonie de remise des prix du concours s’est tenue en présence de Mourad El Hadj Amor, premier délégué du gouvernorat de Nabeul, de Mohamed El Hedi Chaabene, délégué de Nabeul-Ville, du représentant de l’Onudi en Tunisie, Lassaad Ben Hassine, ainsi que de représentants du ministère de l’Agriculture (DGPA et DGAB), de l’Agence de promotion des investissements agricoles (Apia), du ministère de l’Économie et de la Planification, de l’Office national de l’artisanat tunisien (Onat), du Commissariat régional au tourisme Nabeul-Hammamet, de l’Institut de formation dans les métiers du tourisme (IFMT) de Nabeul et de l’Association pour la sauvegarde de la ville de Nabeul (ASVN).
Durant la cérémonie, les représentants des différentes institutions ont unanimement évoqué l’importance du travail collaboratif entre les différents ministères ainsi que leurs représentations régionales. Ils ont salué une dynamique interinstitutionnelle inédite, rendue possible grâce au projet Pampat, et ont souligné que cette approche concertée permet de faire des produits du terroir un levier de développement local, en valorisant leur dimension culturelle, leur potentiel économique et leur rôle dans la promotion touristique de la région. Cette collaboration interinstitutionnelle constitue une avancée majeure et pourrait servir de référence pour la mise en œuvre de la stratégie nationale dans d’autres territoires.
Le premier prix a été décerné à Souad Hassini pour une série de pièces en céramique inspirées de la figue de barbarie. Par ce travail, l’artisane rend hommage à la céramique, produit emblématique de l’artisanat de Nabeul, en traduisant l’esthétique de ce fruit à travers des formes organiques et des nuances d’émail évoquant ses teintes naturelles. «J’ai voulu créer une collection qui évoque à la fois la robustesse et la beauté naturelle de la figue de barbarie, symbole de notre région. Ce prix me motive à aller encore plus loin dans la mise en valeur de nos ressources locales», a déclaré la lauréate.
Le deuxième prix est revenu à Rahma Bouaoun pour un diffuseur de parfum habillé en jonc, une matière elle aussi emblématique du savoir-faire local, orné d’une représentation en céramique de la fleur d’oranger. Cette pièce associe finesse végétale et expression artistique pour offrir un objet sensoriel et élégant. «La fleur d’oranger fait partie de notre quotidien et de nos souvenirs d’enfance. Je voulais la représenter de façon délicate dans un objet utile et décoratif, en travaillant des matériaux qui racontent notre identité», a-t-elle expliqué.
Le troisième prix a été attribué à Nejiba Slama (Poterie Slama) pour un ensemble de bocaux en céramique mettant en valeur le piment, principal ingrédient de la harissa, à travers des formes utilitaires et des décors inspirés de la tradition culinaire régionale. «La harissa est un produit fortement ancré dans notre culture culinaire. J’ai voulu en prolonger la symbolique à travers un objet que les visiteurs peuvent emporter avec eux, comme un souvenir vivant de nos saveurs et de notre identité», a confié Mme Slama.
Ces créations seront présentées dans un espace dédié à l’occasion du Salon de la création artisanale, du 23 mai au 1er juin 2025 au Parc des Expositions du Kram. Cette vitrine constitue une opportunité unique pour les lauréates pour promouvoir leurs réalisations auprès d’un large public.
Le 24 mai 2025, Hammamet accueillera pour la première fois le plus grand semi-marathon du monde, One Run, organisé par la Hero League. Quelque 500 Tunisiens et invités participeront à cet événement sportif organisé avec le soutien de la Fédération tunisienne d’athlétisme (FTA).
Les participants auront le choix entre quatre distances : 1 km, 5 km, 10 km et 21,1 km. Les parcours seront tracés le long des rues centrales, passant par les principaux sites touristiques. Le site archéologique de Pupput accueillera le départ et l’arrivée, ainsi que la fan zone, et toutes les distances débuteront à cet endroit. De là, les parcours longeront la zone touristique de la ville.
Le semi-marathon One Run est ouvert à tous. C’est une occasion unique de passer un week-end actif en famille ou entre amis, ou de rencontrer des personnes partageant les mêmes idées.
Les participants pourront participer à un événement international de course à pied, vivre leur première course officielle ou établir un record personnel.
Le même jour, plus de 180 000 personnes participeront dans toutes les régions de Russie, où l’événement se tiendra pour la 9e fois sous le nom de «ZaBeg.RF».
En outre, environ 40 000 coureurs d’autres pays, dont Bahreïn, le Bangladesh, la Biélorussie, le Brésil, le Qatar, la Chine, l’Égypte, l’Inde, la Jordanie, le Kirghizistan, la Malaisie, le Népal, le Pakistan, le Qatar, l’Arabie saoudite, la Serbie, le Tadjikistan, le Chili, le Liban, l’Arménie, la Tunisie, le Venezuela, l’Ouzbékistan, le Kazakhstan et d’autres, participeront également à l’événement.
Bilel Sahnoun, Directeur Général de la Bourse de Tunis, a été nommé président du conseil d’administration de la Fédération arabe des marchés de capitaux (AFCM) lors de la conférence annuelle 2025 de l’AFCM, qui s’est tenue à Tunis les 13 et 14 mai.
Fondée en 1978 sous l’égide de la Ligue des États arabes, l’AFCM regroupe aujourd’hui 18 places boursières et 8 chambres de compensation (CSDs/CCPs) de la région arabe, couvrant les pays du Golfe, du Levant et d’Afrique du Nord. La fédération organise régulièrement des conférences annuelles réunissant les principaux acteurs des marchés de capitaux arabes afin de favoriser les échanges, partager les bonnes pratiques et soutenir le développement d’un écosystème financier régional intégré et dynamique.
Huit mois après l’épuisante guerre de l’automne 2024 livrée par Israël et l’assassinat de son chef emblématique Hassan Nasrallah, cinq mois après la chute du régime de son précieux allié Bachar al-Assad, le Hezbollah continue de perdre en influence et semble ne plus souffler le chaud et le froid dans le pays du Cèdre. Le parti chiite libanais est en train de perdre sa mainmise sur l’Aéroport international Rafic Hariri de Beyrouth, véritable portail du pays et qui a été longtemps sa chasse gardée. Tout un symbole qui en dit long sur la phase critique dans laquelle se morfond le Hezbollah.
Imed Bahri
Le Wall Street Journal affirme dans une enquête d’Omar Abdelbaqi et d’Adam Shamseddine que le gouvernement libanais, avec le soutien américain, est en train de mettre fin à l’emprise du Hezbollah sur l’aéroport international de Beyrouth.
L’aéroport est situé au cœur d’une zone densément peuplée du sud de Beyrouth qui est en grande partie contrôlée par le Hezbollah. Le groupe armé chiite utilise cette zone depuis de nombreuses années comme canal de contrebande et comme moyen d’affirmer sa domination dans le pays. Aujourd’hui, la donne a changé et le nouveau tandem au pouvoir composé par le président Joseph Aoun et le chef de gouvernement Nawaf Salam qui sont soutenus par les États-Unis tentent de restaurer l’autorité de l’État sur l’ensemble des institutions et l’intégralité du territoire libanais.
L’enquête du WSJ, citant de hauts responsables de la sécurité et de l’armée libanaise, indique que des dizaines d’employés de l’aéroport soupçonnés d’appartenir au Hezbollah ont été évincés. Le nouveau Premier ministre a déclaré que des passeurs ont été arrêtés et que les lois existantes sont désormais appliquées. Le journal noté aussi que les équipes au sol et sur le terrain ne reçoivent plus d’instructions de leurs supérieurs pour exempter certains avions et passagers des contrôles requis tandis que les vols en provenance d’Iran sont suspendus depuis février. Un haut responsable de la sécurité a déclaré que le pays travaillait à l’installation de nouvelles technologies de surveillance intégrant l’intelligence artificielle.
Le journal américain ajoute que ces mesures font partie d’un effort plus large visant à limiter l’influence du Hezbollah et à le priver des revenus qui en ont fait une force dominante dans le pays.
Dans une interview accordée au WSJ, le Premier ministre déclare: «Vous pouvez voir la différence et nous progressons dans la lutte contre la contrebande pour la première fois dans l’histoire moderne du Liban».
Israël accuse le Hezbollah d’utiliser l’aéroport international Rafic Hariri comme voie de transit pour les armes en provenance d’Iran et, lors de la confrontation avec le Hezbollah, l’Etat hébreu a même menacé de frapper les vols qui, selon lui, approvisionnaient le groupe armé.
Lees mesures prises à l’aéroport font partie des efforts de l’armée libanaise qui, sur un autre plan, œuvrent à démanteler les positions et les dépôts d’armes du Hezbollah dans le sud du Liban, une exigence clé de l’accord de cessez-le-feu que le pays a conclu avec Israël en novembre.
Cet accord a été conclu après la guerre israélienne de deux mois durant l’automne 2024 qui s’est traduite par des opérations du renseignement (explosion des bipeurs), par des frappes aériennes et par une offensive terrestre. Cette guerre a éliminé les principaux dirigeants du Hezbollah et la majeure partie de son arsenal. Les combats ont également entraîné la mort de milliers de civils libanais selon le ministère libanais de la Santé.
Le WSJ estime que la guerre israélienne de l’automne 2024 et le cessez-le-feu ont donné au gouvernement libanais l’occasion de se réaffirmer après de longues années de domination du Hezbollah. Le pays a fini par élire un nouveau président plus tôt cette année après que le parti ait longtemps entravé les efforts pour cette élection.
Le Liban renforce son armée dans l’espoir de contrebalancer la présence massive du groupe armé chiite. Des responsables militaires américains et israéliens ont exprimé leur satisfaction quant aux mesures prises par le gouvernement libanais afin de limiter la mainmise du Hezbollah sur les ports et de réduire la circulation des armes dans le sud même s’ils estiment qu’il reste encore beaucoup de travail à faire.
Les responsables américains ont exprimé un optimisme prudent quant à un contrôle accru de l’État central sous la nouvelle direction technocratique du Liban dans un environnement où le Hezbollah est devenu faible et où l’opposition publique à son égard grandit.
Un responsable américain du comité international supervisant le cessez-le-feu a déclaré au WSJ: «Il y a des raisons d’espérer ici. Cela ne fait que six ou sept mois et nous avons atteint un niveau dont je n’étais pas sûr en novembre dernier qu’il aurait pu être atteint».
Les forces de sécurité libanaises ont récemment déjoué une tentative de contrebande de plus de 50 livres d’or destiné au Hezbollah via l’aéroport selon un haut responsable de la sécurité.
L’arrivée des fonds est compromise
Les membres du parti admettent qu’ils sont confrontés à de nouvelles difficultés avec la nouvelle situation qui prévaut à l’aéroport. L’arrivée des fonds est compromise.
Le parti a perdu sa principale voie de transfert d’armes, qui provenait d’Iran via la Syrie, après que Bachar Al-Assad a été renversé en décembre et remplacé par un gouvernement hostile à l’Iran et au Hezbollah.
Le Hezbollah est désormais confronté à des difficultés pour remplir ses obligations de reconstruction des biens endommagés pendant les combats, de soins aux blessés et de reconstruction de ses capacités militaires. Sans parler des pertes sur le plan militaire suite à la dernière guerre.
«Nous avons subi des coups extrêmement graves avec l’assassinat de nos cadres, l’assassinat de nos dirigeants et la destruction d’une grande partie de notre arsenal militaire», a déclaré Ibrahim Mousawi, député du Hezbollah.
La première audience de la seconde affaire dite de «complot contre la sûreté de l’Etat» s’est tenue le 6 mai 2025. Comme dans la première affaire du même genre, les accusés sont majoritairement des figures politiques.
Y sont poursuivis Rached Ghannouchi, président du parti Ennahdha, déjà en détention depuis plus d’un an et condamné à quelques dizaines d’années de prison dans le cadre d’autres dossiers; son fils Mouadh Ghannouchi, son gendre Rafik Abdessalem, ancien ministre des Affaires étrangères; son conseiller Lotfi Zitoun; Habib Ellouze, ancien député, également détenu dans une autre affaire; et, de la coalition Al-Karama, Maher Zid, ancien député.
D’autres personnalités issues d’horizons politiques variés figurent aussi parmi les inculpés : Nadia Akacha, ancienne directrice du cabinet du président Kaïs Saïed; Youssef Chahed, ex-chef de gouvernement; Rayen Hamzaoui élu du parti Nidaa Tounes et ancien maire d’Ezzahra, détenu depuis plus d’un an; ainsi que Samir Hannachi, ancien 0conseiller de l’ancien chef de gouvernement Hamadi Jebali et de l’ancien président, Moncef Marzouki.
La journaliste Chahrazed Akacha est également poursuivie aux côtés d’anciens hauts responsables du ministère de l’Intérieur tels que Kamel Guizani, déjà condamné à 33 ans de prison dans l’affaire du complot n°1; Abdelkader Farhat, ex-chef de la police judiciaire; Abdelkrim Labidi, ancien chef de la sécurité à l’aéroport international de Tunis-Carthage; Mehrez Zouari, ex-chef des services spéciaux; Fethi Beldi, ancien cadre du ministère de l’Intérieur ainsi que des militaires à la retraite tels que Kamel Bedoui.
Selon la Chambre d’accusation du pôle antiterroriste, Rached Ghannouchi et son parti auraient tenté de mettre en place un réseau secret pour infiltrer l’appareil sécuritaire de l’État et dans ce cadre, de recruter de jeunes salafistes tunisiens visant à les inciter à commettre des attentats terroristes.
Les agents de sécurité et responsables politiques mentionnés sont accusés d’avoir soutenu cette opération d’infiltration. «Comme dans la première affaire de complot, l’ensemble des charges et l’arrêt de mise en accusation reposent exclusivement sur un témoignage anonyme sans apporter de preuve factuelle, sourcée et fiable», note le Centre pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) dans un communiqué, en parlant de «règlement de comptes politique orchestré par une justice aux ordres» et en dénonçant un «manque de respect des procédures régulières normalement en vigueur».
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