Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Gestern — 17. April 2025Haupt-Feeds

Une fonctionnaire municipale suspectée de malversations financières à Kasserine

Von: La Presse
17. April 2025 um 09:52

Le parquet près le tribunal de première instance de Kasserine a autorisé, mercredi, la brigade de recherches de la Garde nationale à placer en garde à vue la receveuse municipale de la commune de Zouhour, soupçonnée de détournement de fonds publics. L’information a été confirmée par le porte-parole des tribunaux de Kasserine et premier substitut du procureur de la République, Imed El Omri, dans une déclaration aux médias.

Cette mesure intervient à la suite d’une visite d’inspection effectuée le 8 avril 2025 par le gouverneur de Kasserine, Ziad Trabelsi, qui avait relevé plusieurs irrégularités au sein de la municipalité de Zhour. Ces constatations ont conduit à la saisine immédiate du ministère public, en raison de soupçons de falsification et de détournement de fonds publics.

L’article Une fonctionnaire municipale suspectée de malversations financières à Kasserine est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Drame de Mezzouna: Kais Saïed pointe « la négligence et la corruption »

Von: walid
17. April 2025 um 08:08
Drame de Mezzouna: Kais Saïed pointe « la négligence et la corruption »

“Les élèves qui ont trouvé la mort avant-hier à Mezzouna suite à l’effondrement d’une partie du mur d’un lycée sont les « victimes de la négligence et la corruption » qui a gangrené ces institutions de nombreuses années durant”, a déclaré mercredi le chef de l’Etat, souhaitant à ce propos un prompt rétablissement aux deux […]

The post Drame de Mezzouna: Kais Saïed pointe « la négligence et la corruption » first appeared on Directinfo.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Kasserine : Cinq gardes à vue et six auditions pour suspicion de corruption dans un projet public

Von: walid
16. April 2025 um 18:58

Sur instruction du parquet près le tribunal de première instance de Kasserine, cinq personnes ont été placées en garde à vue et six autres déférées en état de comparution immédiate, mercredi, pour soupçons de corruption de détournement de fonds publics liés à la construction d’une maison des jeunes à Foussana. Le premier substitut du procureur […]

The post Kasserine : Cinq gardes à vue et six auditions pour suspicion de corruption dans un projet public first appeared on Directinfo.

Corruption dans des travaux publics: Arrestation de 5 cinq personnes

16. April 2025 um 20:19
Le porte-parole officiel des tribunaux de Kasserine et premier assistant du procureur de la République près le tribunal de première instance de Kasserine, Imed El Omri, a confirmé à Mosaïque que le ministère public près le tribunal de première instance de Kasserine a ordonné, ce mercredi 16 avril 2025, la garde à vue de cinq […]

Un mur chute, le pays se fracture

15. April 2025 um 12:30

La chute du mur de Mezzouna, village de Sidi Bouzid, localité dont est issu le changement majeur de 2011, appelé par certains « révolution », qui a provoqué la mort de trois jeunes lycéens et envoyé deux autres à l’hôpital, a quelque chose de commun avec la chute du mur de Berlin dans la phantasmagorie populaire. La symbolique !

C’est d’ailleurs propre aux mythologies anciennes de signifier la chute d’un mur par le passage à un autre ordre. Mais notre mur à nous cette fois-ci, est tout simplement un mur, comme il y’en a des milliers d’autres chez nous. Mal construit dés le départ, puisque sans fondation, et parait-il avec des cubes en ciment (qalib) et qui date de 1983. Tout le monde sait qu’il va s’écraser un jour.

La municipalité du coin, pour se dédouaner, a publié quelques heures après le désastre, un communiqué pour que les citoyens évitent de s’appuyer sur les murs qu’elle identifie. Les responsables de cette mairie n’ont donc pas pris la décision de les abattre. Sachant que la loi est de leur côté, sachant aussi qu’ils constituent un danger mortel. Alors que partout, on abat des maisons bien construites, des chalets luxueux et des cabanes sur les plages, et même des étages d’immeubles sous prétexte qu’ils ne sont pas conformes aux normes où que les propriétaires n’ont pas reçu la fameuse autorisation de construire. Parions que ce même mur n’a jamais reçu une quelconque autorisation.

Pourquoi tant de scrupules alors à détruire un mur qui est considéré comme un danger public, faute de pouvoir le reconstruire ou tout simplement le réparer? Cette affaire, qui est devenue nationale et dont les échos ont débordé nos frontières, illustre merveilleusement bien la débâcle que vit notre administration, et l’absurdité avec laquelle ses responsables raisonnent. L’anecdote que se racontaient les Tunisiens avant, sur le trou auprès d’un hôpital libyen qui a poussé les responsables des comités populaires de Khadhafi, après cogitation, à bâtir tout un hôpital très loin du trou au lieu tout simplement de le couvrir d’asphalte, est devenue une réalité bien triste dans la Tunisie d’aujourd’hui? Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark!

La fondation Tunisie s’ébranle

La panique qui a saisi les autorités est bien réelle, car des heures après on remarque l’absence de réactions officielles à tous les niveaux de la responsabilité. Pire encore, la télévision nationale, dans son édition de 20 h, a affirmé qu’elle a essayé d’avoir l’information à la source, au ministère de l’Education et à la délégation régionale, mais impossible de contacter les responsables.

Les seuls communiqués publiés concernent des organismes ou des responsables. Ils rappellent qu’ils ont alerté sur la dangerosité de ce mur, comme pour dire que la responsabilité du désastre revient à d’autres. La protection civile a ainsi confirmé qu’elle a adressé un rapport aux autorités concernées. Les réseaux sociaux qui se sont enflammés, accusent en grande partie, le ministère de l’Education, qui est le ministère de tutelle du lycée.

Le comble, c’est que quelques jours avant, le ministre lui-même avait effectué une visite dans ce gouvernorat. Comme toujours, les responsables locaux l’ont emmené sur les lieux, qui en apparence ne souffrent pas de ces problèmes de délabrement des écoles, alors qu’ils auraient dû l’amener sur les lieux où rien ne va plus comme ce lycée de Mezzouna. Peut-t-on réellement les blâmer? Non évidement, car depuis l’indépendance, les fonctionnaires de l’Etat se doivent de ne montrer que le côté positif à leurs ministres, faute de subir le courroux de leurs supérieurs directs. Cette règle a fonctionné depuis toujours, même après la supposée révolution, et surtout maintenant. Tricher avec la réalité est une règle d’or de tout bon fonctionnaire qui veut durer à son poste ou au mieux s’élever en grade.

D’ailleurs révéler les points négatifs est associé en général à un acte d’opposition politique. C’est même un délit si l’on applique l’article 54 et l’on peut se trouver en prison parce qu’on a écrit un statut fb pointant du doigt une défaillance quelconque de l’administration. Beaucoup de fonctionnaires ont été traduits devant les tribunaux par leurs propres administrations, ou simplement écartés ou marginalisés.

D’autres part, les procédures administratives pour reconstruire un mur ou le restaurer obéissent aux règles de la comptabilité publique, trop contraignantes et trop strictes. Et le fonctionnaire qui ose les dépasser risque d’être traduit selon l’article 96 du code pénal et à être condamné à dix ans de prison sans parler des amendes.

Cet article est particulièrement responsable de la paralysie générale de l’administration. Plus aucun responsable ne s’aventure à signer. Car des centaines ont été traduits depuis 2011 devant les tribunaux et certains ont été condamnés sans qu’ils aient touché un millime de pot de vin.

Pourtant le Président de la République lui-même a appelé à amender cet article catastrophique pour le pays. Le gouvernement Chahed a même préparer un amendement qui est passé à la trappe avec son auteur. On continue à tourner en rond, en cercle vicieux, car il est clair que personne n’ose prendre le taureau par les cornes et annuler cet article censé lutter contre la corruption.

Or à cause de cet article, non seulement la corruption est devenue endémique, mais il empêche d’agir pour éviter les catastrophes comme celle de Mezzouna. Lorsqu’on paralyse les responsables de l’Etat en agitant toujours l’épée de Damoclès sur leurs têtes, on tue l’essence même de la responsabilité et on enlève toute efficience à l’action de l’administration. Le vrai tueur de Mezzouna, à notre avis est l’article 96 sous sa forme actuelle.

Mais ce désastre a montré une chose. La paralysie des rouages de l’Etat, qui n’arrive même plus à régir promptement à un incident aussi futile, même s’il est meurtrier. Car un Etat c’est une machine dont les rouages doivent êtres constamment entretenus et huilés, non par des destitutions et des nominations successives; mais par une gouvernance qui tend à consolider ses fondements en stabilisant son fonctionnement.

Et le cœur de l’Etat c’est son administration, ses ministères et surtout son premier ministère. La stabilité politique en régime présidentiel, ne dépend pas de ce moteur de l’Etat. Mais le bon fonctionnement des institutions est tributaire de la continuité des politiques et de la stabilité de ceux qui les exécutent, à savoir les hauts fonctionnaires et grands commis. Or, ce dispositif est lourdement déstabilisé à tel point qu’il risque d’ébranler les fondements.

Pourquoi pas un audit des bâtiments publics

Il est clair que cet incident meurtrier risque de se répéter à tout moment dans n’importe quelle ville ou village de la République. L’on ne sait pas si le ministère des biens de l’Etat a effectivement le listing de ces biens, leurs dates de construction et toutes les informations les concernant.

Un audit qui sera rendu public s’impose pour diagnostiquer la situation et ne pas laisser la tâche de repérer les délabrements à la seule protection civile. Car elle n’a pas les moyens ni le droit de procéder à identifier quel bâtiment représente un danger. L’inventaire est par conséquent nécessaire et seuls des sociétés constituées de professionnels peuvent le faire. Cela implique une décision politique au plus haut niveau. En attendant, les autorités gagnent à éclairer l’opinion publique sure ce qui s’est réellement passé. C’est uniquement à la justice qu’il revient de fixer les responsabilités?

L’article Un mur chute, le pays se fracture est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Soupçons de corruption dans des projets publics à Kasserine : plusieurs gardes à vue

Von: La Presse
15. April 2025 um 10:55

Le ministère public près le tribunal de première instance de Kasserine a ordonné plusieurs mesures de garde à vue dans le cadre d’une enquête portant sur des soupçons de corruption liés à la réalisation de projets publics dans la région, a indiqué ce lundi le porte-parole des juridictions de Kasserine, Imed Al-Omri.

Selon ses déclarations à la radio Mosaïque FM, un contrôleur des travaux publics a été placé en garde à vue, tandis que l’ancien délégué régional de l’équipement et le représentant légal d’une entreprise de travaux publics ont été déférés en état de présentation dans la même affaire.

Le parquet a également ordonné la garde à vue d’un chef de service à la direction régionale de l’équipement, toujours dans le cadre de cette enquête en cours.

Ces décisions font suite à une plainte déposée par le gouverneur de Kasserine, signalant des irrégularités et des soupçons de corruption dans l’exécution de projets publics dans la région. Le dossier a été transmis au ministère public, qui a ouvert une enquête approfondie.

Les investigations se poursuivent afin de déterminer les responsabilités et d’établir les faits.

Des soupçons de Corruption dans une municipalité à Kasserine ?

10. April 2025 um 09:13
Le gouverneur de Kasserine, Zied Trabelsi, a transmis un dossier contenant des soupçons de falsification et de détournement de fonds publics au parquet, à la suite d’une visite inopinée qu’il a effectuée,  mardi 8 avril 2025, à la municipalité de Ezzouhour, selon mosaique fm. Le gouvernorat de Kasserine indique que Zied Trabelsi a constaté, lors […]

Deux ans de prison pour un homme d’affaires impliqué dans une affaire bancaire

10. April 2025 um 14:09
Deux ans de prison pour un homme d’affaires impliqué dans une affaire bancaire

Le tribunal de première instance de Tunis, à travers la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière, a récemment condamné un homme d’affaires bien connu opérant dans le secteur du bâtiment et des travaux publics à deux ans de prison avec sursis, assortis d’une amende de 612 000 dinars. Cette décision intervient dans […]

The post Deux ans de prison pour un homme d’affaires impliqué dans une affaire bancaire first appeared on Directinfo.

Dix ans de prison pour Imed Trabelsi pour corruption 

04. April 2025 um 12:19

Imed Trabelsi, neveu de Leila Trabelsi, veuve de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, réfugiée depuis 2011 en Arabie saoudite, a été condamné à une peine de 10 ans de prison, dans trois affaires liées au détournement de fonds publics ainsi qu’à des abus administratifs et financiers.

Incarcéré depuis le 14 janvier 2011 et condamné de lourdes peines de prison dans plusieurs affaires de corruption, Imed Trabelsi a comparu hier, jeudi 3 avril 2025, devant la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès du tribunal de première instance de Tunis. Il a nié l’ensemble des faits qui lui sont reprochés, mais le tribunal l’a condamné à 10 ans de prison ferme, rapporte Mosaïque.

Pour rappel, la même chambre criminelle avait déjà infligé à Imed Trabelsi une peine de 8 ans de prison, assortie d’une amende de trois millions de dinars, pour des faits liés à l’obtention d’avantages indus ayant causé un préjudice à l’administration.

Il avait demandé de bénéficier de la procédure de réconciliation pénale mais sa demande n’a pas été retenue par la commission nationale de réconciliation nationale

I. B.

L’article Dix ans de prison pour Imed Trabelsi pour corruption  est apparu en premier sur Kapitalis.

Tunis | Taieb Rached reste en détention

Von: Yusra NY
03. April 2025 um 23:14

La chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a rejeté la demande de libération de Taieb Rached, ancien premier président de la Cour de cassation, révoqué de ses fonctions.

Son procès a par ailleurs été reporté au 18 mai prochain, précise Mosaïque FM, citant une source proche du dossier.

Rappelons que l’ancien premier président de la Cour de cassation, est accusé de corruption, de falsification de documents, accusations qu’ils rejette catégoriquement depuis son arrestation en février 2023.

Y. N.

L’article Tunis | Taieb Rached reste en détention est apparu en premier sur Kapitalis.

❌
❌