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Bac 2025 : les élèves appelés à vérifier leurs notes de contrôle continu 

Le ministère de l’Éducation appelle les élèves des classes terminales inscrits dans les lycées publics et privés, candidats à l’examen du baccalauréat (session 2025), à consulter les notes et les codes de contrôle continu via le site www.edunet.tn, à partir du 4 juin 2025 jusqu’au 9 juin 2025.

Dans un communiqué, le département de l’Éducation précise qu’en cas d’erreur, le candidat doit télécharger un formulaire de réclamation du site et le remettre à l’administration de son établissement (public ou privé), au plus tard le 10 juin 2025.

Les personnes concernées peuvent accéder au site susmentionné pour consulter les notes et les codes de contrôle continu, englobant: la moyenne annuelle, le code d’identification, la moyenne finale en éducation physique et la moyenne finale des travaux pratiques en technologie.

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Tunisie – Bac 2025 : les élèves appelés à vérifier leurs notes de contrôle continu

Von: walid
28. Mai 2025 um 11:12
Tunisie – Bac 2025 : les élèves appelés à vérifier leurs notes de contrôle continu

Le ministère de l’Éducation a appelé les élèves des classes terminales inscrits dans les lycées publics et privés, candidats à l’examen du baccalauréat (session 2025), à consulter leurs notes et codes du contrôle continu sur le site www.edunet.tn, et ce, du 4 au 9 juin 2025. Le ministère a précisé, dans un communiqué, qu’en cas […]

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ECLAIRAGES – La BCT s’isole encore dans sa politique de taux élevés

26. Mai 2025 um 07:58

Le consensus des économistes est clair : croissance et inflation au premier trimestre 2025 sont en deçà des objectifs assignés.

Au premier trimestre de 2025, le Produit intérieur brut (PIB) de la Tunisie a enregistré une croissance annuelle de 1,6 %, selon les comptes nationaux trimestriels. Toutefois, par rapport au quatrième trimestre de 2024, une légère diminution de 0,2 % a été observée.

La croissance en 2025 est projetée à 1,9 %, contre 1,4 % en 2024, grâce à des conditions climatiques favorables et à la stabilisation de secteurs clés. Le tourisme et l’agriculture soutiennent la reprise, tandis que la croissance devrait se stabiliser entre 1,6 et 1,7 % en 2026-2027. Cependant, des incertitudes liées au commerce mondial et un financement extérieur limité représentent des défis. Des réformes renforcées pourraient améliorer les perspectives à moyen terme.

L’inflation a également montré des signes de ralentissement, atteignant 5,6 % en avril, son niveau le plus bas depuis 2021, et se rapprochant des moyennes d’avant la pandémie. L’inflation des prix alimentaires a été mesurée à 7,3 %, influencée par des pressions saisonnières et de l’offre.

Lire aussi: Edito – Croissance

En réponse à cette tendance, la Banque centrale de Tunisie avait réduit son taux directeur à 7,5 %, marquant sa première baisse en plus de deux ans… Trop timide, jugent les économistes de la place.

Relance de l’activité économique vs politique monétaire restrictive

Pour autant, elle semble s’enliser dans une politique de taux d’intérêt élevés, mettant sérieusement en danger la santé de l’économie tunisienne.

Dans un environnement économique mondial où d’autres régions, notamment l’Europe et certaines économies émergentes, cherchent activement à dynamiser l’accès au crédit pour stimuler la croissance, la Tunisie se retrouve dans une situation paradoxale, où la nécessité de relancer l’activité économique ne s’accorde pas avec une politique monétaire restrictive.

De fait, alors que la BCT maintient des taux d’intérêt élevés en invoquant la nécessité de stabiliser les prix, les conséquences de cette stratégie pourraient être désastreuses à court et à moyen termes.

Dans un contexte où la raréfaction des opportunités rentables se fait de plus en plus sentir, la Tunisie ne devrait-elle pas explorer de nouvelles avenues d’investissement ?

La Chine, par exemple, après avoir surmonté de profondes transformations économiques et politiques, se profile à nouveau comme un territoire d’investissement incontournable. La dynamique de croissance qui pourrait émerger de ce pays, semblable à celle observée après la crise financière de 2008, pourrait offrir aux investisseurs tunisiens des perspectives intéressantes.

Attention au déséquilibre entre l’offre et la demande

Récemment, le gouverneur de la BCT a confirmé – implicitement – le maintien des taux directeurs à leur niveau actuel, en mettant en garde contre un rebond potentiel de l’inflation dans les mois à venir.

Cette position s’accompagne d’une critique implicite des politiques tarifaires appliquées par les autorités locales, qui, tout comme celles mises en œuvre par des gouvernements étrangers, peuvent avoir des effets pervers sur le pouvoir d’achat des Tunisiens. Les taux de TVA, les droits de douane élevés et autres droits de consommation excessifs, bien qu’envisagés comme des mesures de protection et/ou pour doper les ressources fiscales, risquent d’accroître encore davantage les prix des biens de consommation, affectant directement les ménages déjà en difficulté.

Il est donc nécessaire que la BCT prenne en compte que la situation économique de la Tunisie en 2025 ne sera pas celle de 2022. En effet, la nouvelle vague d’inflation pourrait ne pas être le résultat d’une surchauffe économique, mais plutôt d’un déséquilibre croissant entre l’offre et la demande, aggravé par une forte déviance des circuits de distribution et d’une conjoncture internationale défavorable à l’importation de biens. La diminution des produits importés, conjuguée à une demande intérieure qui peine à se relever, pourrait plonger l’économie tunisienne dans une stagnation prolongée.

Impact d’une orthodoxie financière sur le pouvoir d’achat

En parallèle, la comparaison avec l’Europe devient de plus en plus pertinente. La stratégie adoptée par la BCT pourrait ressembler à celle de la Banque centrale européenne (BCE) d’il y a quelques années, lorsque celle-ci a cherché à étouffer la demande dans le but de rétablir l’équilibre entre l’offre et la demande.

Une telle approche, orthodoxe certes, pourrait avoir des effets dévastateurs sur le pouvoir d’achat des citoyens tunisiens, déjà fragilisés par une inflation des produits alimentaires galopante, et sur la rentabilité des entreprises locales, qui ont besoin de conditions favorables pour investir et croître.

Tandis que d’autres banques centrales, en Europe et au Royaume-Uni, adoptent des politiques d’assouplissement monétaire pour faciliter l’accès au crédit, la BCT se retrouve isolée, désormais considérée comme une exception dans le paysage économique mondial.

De fait, même avec les récents efforts pour stimuler la croissance, l’accès au capital devient de plus en plus difficile en Tunisie, alors qu’il est en train de se normaliser ailleurs.

Cette situation constitue un revers pour un pays qui s’est longtemps vanté de sa stabilité et de son attractivité pour les investisseurs.

Nécessité d’envisager des mesures incitatives plus hardies

Dans ce contexte, les signaux envoyés par la BCT doivent être réévalués. Les récentes décisions des banques centrales à travers le monde, y compris l’assouplissement des politiques monétaires, montrent une tendance à prioriser la stimulation de l’économie sur la stricte maîtrise de l’inflation et/ou de réduction du déficit public

Ne serait-il pas plus sage pour la Tunisie d’adopter une approche similaire en cherchant à relancer la consommation et les investissements tout en surveillant attentivement les indicateurs d’inflation?

La nécessité d’un réajustement des taux d’intérêt et d’une libéralisation de l’accès au crédit (nous y reviendrons) devient donc impérative. La BCT devrait envisager des mesures incitatives plus hardies et des mécanismes de soutien visant à encourager les banques à prêter davantage aux entreprises et aux ménages.

La Tunisie pourrait-elle relancer sa consommation intérieure et stimuler ainsi l’économie dans son ensemble en créant un environnement où l’accès au crédit est facilité?

La BCT devrait-elle repenser sa stratégie monétaire pour éviter de tomber dans le piège de l’austérité?

Ne serait-il pas opportun qu’elle s’inspire des pratiques d’autres pays ayant trouvé un équilibre entre contrôle de l’inflation et soutien à la croissance?

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Kasserine : 10 élèves intoxiqués après avoir bu un jus de source inconnue

24. Mai 2025 um 17:38
Kasserine : 10 élèves intoxiqués après avoir bu un jus de source inconnue

Dix élèves de l’enseignement primaire ont été victimes d’une intoxication alimentaire ce samedi 24 mai 2025, dans le gouvernorat de Kasserine, après avoir consommé un jus de provenance inconnue, probablement de contrebande. Selon les premières informations communiquées par le directeur régional de la santé, Dr Abdelghani Chaâbani, les enfants ont été immédiatement transférés à l’hôpital […]

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