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Mbarka Aouinia : la Tunisie a réussi à réduire sa dépendance de la Banque mondiale

14. MĂ€rz 2025 um 12:21

InvitĂ©e sur le plateau de la Radio nationale, l’ancienne dĂ©putĂ©e Mbarka Aouinia a affirmĂ© que la Tunisie connaĂźt des dĂ©buts de rĂ©tablissement de maniĂšre progressive et a rĂ©ussi Ă  rĂ©duire sa dĂ©pendance vis-Ă -vis de la Banque mondiale.

A cet effet, la veuve du martyr Mohamed Brahmi a indiquĂ© que le pays en a fini avec la dominance des oligarques qui sont pointĂ©s du doigt par rapport aux pĂ©nuries et aux files d’attente.

Les migrants irrĂ©guliers doivent ĂȘtre expulsĂ©s

En outre, Mbarka Aouinia a Ă©mis des critiques quant Ă  l’absence de porte-parole au niveau de la prĂ©sidence de la RĂ©publique. Tout en regrettant le manque de communication de la part des diffĂ©rentes institutions de l’Etat.

Et l’ancienne dĂ©putĂ©e d’estimer qu’un dialogue national devrait se tenir de maniĂšre horizontale. D’aprĂšs son point de vue, un dialogue horizontal implique une conversation qui se dĂ©roule Ă  l’échelle locale, rĂ©gionale puis nationale.

Dans le registre des migrants, Mbarka Aouinia a expliquĂ© que leur situation est fortement dĂ©licate. Ils ont dĂ» fuir l’enfer qu’ils vivaient dans leur pays et cherchaient simplement Ă  partir en Europe.

A propos des migrants irrĂ©guliers, elle indique qu’ils devraient faire l’objet d’expulsion et de rapatriement dans leurs pays d’origine.

L’ancienne dĂ©putĂ©e a estimĂ© que la Tunisie aurait dĂ» organiser des sommets rĂ©gionaux et internationaux portant sur la question migratoire.

Inquiétudes autour du retour des Tunisiens des zones de combat

Par ailleurs, Mbarka Aouinia a fait part de son opinion quant Ă  l’affaire de l’envoi des jeunes tunisiens vers les zones de conflits. En effet, elle a mis l’accent sur l’importance de ce type d’affaires ainsi que le besoin de mettre toute la lumiĂšre sur la vĂ©ritĂ©. Elle a d’ailleurs expliquĂ© que lorsqu’elle s’est rendue en Syrie, elle y a rencontrĂ© quatre jeunes Tunisiens qui ont pris part aux combats. Ils lui ont expliquĂ© qu’ils avaient pu profiter d’une accĂ©lĂ©ration de l’ensemble des procĂ©dures permettant d’obtenir un passeport pour pouvoir se rendre dans les zones de combats.

Lire aussi : MI : Le nombre de terroristes présents dans les zones de conflits multiplié par deux en un an

De plus, l’ex-dĂ©putĂ©e a manifestĂ© ses inquiĂ©tudes concernant le retour des combattants tunisiens qui sont en Syrie. Elle estime que Daech a actuellement le contrĂŽle de la Syrie et qu’il est nĂ©cessaire de rester vigilant face aux extrĂ©mistes tunisiens prĂ©sents sur place. Elle pense que ces derniers pourraient procĂ©der Ă  des opĂ©rations dans d’autres rĂ©gions.

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Yesser Gourari : le dĂ©cret n°54 ne devrait pas s’appliquer aux journalistes

13. MĂ€rz 2025 um 12:24

De nombreuses lois votĂ©es par l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple s’inscrivent dans le cadre de la rĂ©volution lĂ©gislative. Et le dĂ©cret n°54 ne devrait pas s’appliquer aux journalistes. C’est ce qu’a dĂ©clarĂ© le prĂ©sident de la Commission de lĂ©gislation gĂ©nĂ©rale au sein du Parlement, Yesser Gourari.

Lors de sa participation Ă  la matinale de radio Jawhara FM, le parlementaire a indiquĂ© que le travail des dĂ©putĂ©s doit ĂȘtre Ă  mĂȘme d’apporter les amĂ©liorations nĂ©cessaires Ă  leur prestation ainsi que la performance de l’ARP.

La rĂ©volution lĂ©gislative n’est pas toujours concrĂ©tisĂ©e

A ce titre, Yesser Gourari s’est interrogĂ© sur le fait de savoir si l’ensemble des propositions de loi dĂ©posĂ©es auprĂšs de l’ARP s’inscrivent dans le cadre de la rĂ©volution lĂ©gislative. Ou s’il est nĂ©cessaire de dĂ©terminer celles-ci, en vue de mettre en place des textes qui la concrĂ©tisent.

D’ailleurs, il a prĂ©cisĂ© qu’un certain nombre de propositions de loi sont Ă  mille lieues de cette dĂ©marche, voire s’y opposent. A l’instar de la proposition qui concerne la pension alimentaire.

Ainsi, le prĂ©sident de la Commission de la lĂ©gislation gĂ©nĂ©rale a soulignĂ© que l’intention du gouvernement Ă©tait de soumettre un projet de loi visant Ă  consolider les droits des femmes. Et ce, en leur accordant le droit de percevoir une pension avant mĂȘme la conclusion des procĂ©dures judiciaires en cas de litige. Or, la proposition des dĂ©putĂ©s vise Ă  accorder une amnistie aux personnes qui n’ont pas respectĂ© leurs engagements dans ce domaine.

Le dĂ©cret n°54 devrait ĂȘtre rĂ©visĂ© 

Concernant la rĂ©vision de l’article 96 du code pĂ©nal qui porte sur les fonctionnaires publics, Yesser Gourari a affirmĂ© qu’il est toujours en attente de la rĂ©ponse du ministĂšre de la Justice Ă  ce propos. A ses dires, la plus rĂ©cente session de travail s’articulant autour de cette proposition s’est tenue il y a huit mois.

En outre, Ă  propos de l’amnistie relative aux chĂšques sans provision, Yesser Gourari a dĂ©taillĂ© que plusieurs rĂ©unions ont Ă©tĂ© tenues sur ce sujet. La prĂ©sidence du gouvernement, le ministĂšre de la Justice et le Syndicat des magistrats de Tunisie ont tous manifestĂ© leur dĂ©saccord Ă  propos de cette loi.

Quant au sujet du dĂ©cret-loi n°54, le prĂ©sident de la Commission de lĂ©gislation a exprimĂ©, Ă  nouveau, son attachement Ă  sa rĂ©vision. Tout en estimant que ce texte de loi ne devrait pas ĂȘtre appliquĂ© aux journalistes.

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L’Arabie Saoudite lance une plateforme d’IA pour le contrĂŽle des foules Ă  la MosquĂ©e Al Haram

13. MĂ€rz 2025 um 08:00

La plateforme « BASEER » vient d’ĂȘtre lancĂ©e par l’AutoritĂ© saoudienne des donnĂ©es et de l’intelligence artificielle (SDAIA). Elle repose sur un systĂšme de vision artificielle, soutenu par l’intelligence artificielle (IA), destinĂ© Ă  surveiller et Ă©valuer les dĂ©placements des foules au sein de la MosquĂ©e Al Haram.

 

La nouvelle plateforme a Ă©tĂ© lancĂ©e en coopĂ©ration avec le ministĂšre saoudien de l’IntĂ©rieur, et vise le dĂ©veloppement de plusieurs algorithmes dont le but est l’amĂ©lioration des services dont profitent les visiteurs de la MosquĂ©e Al Haram ainsi que de la MosquĂ©e du ProphĂšte, tel que le rapporte l’Agence de presse saoudienne (SPA) mardi 11 mars 2025.

L’AutoritĂ© saoudienne des donnĂ©es et de l’intelligence artificielle a de mĂȘme effectuĂ© le lancement de 70 portes Ă©lectroniques au niveau de l’AĂ©roport international Roi Abdulaziz de Jeddah et ce, afin de garantir la sĂ©curitĂ© des entrĂ©es et pour les rendre plus faciles et intelligentes.

En janvier dernier, la SDAIA et le ministĂšre du Hajj et de la Omra ont conclu un partenariat visant Ă  mettre au point des solutions digitales avant-gardistes, Ă  utiliser des produits intelligents afin de rĂ©pondre aux besoins des fidĂšles ainsi qu’à Ă©tablir une base de donnĂ©es Ă  mĂȘme de permettre le partage des meilleures pratiques en matiĂšre de technologies contemporaines. Ces initiatives sont menĂ©es dans le cadre des efforts dĂ©ployĂ©s par l’AutoritĂ© saoudienne des donnĂ©es et de l’intelligence artificielle dont l’objectif est le soutien des agences gouvernementales dans sa dĂ©marche de prestation de services numĂ©riques avancĂ©s au profit des pĂšlerins ainsi que les visiteurs au cours du mois sacrĂ© du Ramadan. Il est Ă©galement question de veiller Ă  l’installation de l’infrastructure technique dans tous les points de contrĂŽle aĂ©riens, maritimes et terrestres du Royaume d’Arabie Saoudite.

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Le FMI valide un nouveau programme de 1,2 milliard de dollars pour l’Egypte

12. MĂ€rz 2025 um 12:18

Le conseil d’administration du Fonds monĂ©taire international (FMI) a annoncĂ© mardi 11 mars la validation d’un nouveau programme d’aide au profit de l’Egypte. Et ce, pour un montant de 1,2 milliard de dollars, dans le cadre de son Fonds de la rĂ©silience et de la soutenabilitĂ© (RSF).

Le FMI, Ă  travers son conseil d’administration, a parallĂšlement validĂ© la quatriĂšme revue du programme d’aide en cours Ă  mĂȘme de permettre le versement dans l’immĂ©diat d’un montant de 1,3 milliard de dollars Ă  destination du Caire. Cette opĂ©ration porte ainsi le total des fonds ayant dĂ©jĂ  Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l’Egypte Ă  8 milliards de dollars. Aussi bien l’examen que le principe d’un nouveau programme ont Ă©tĂ© annoncĂ©s depuis le 6 fĂ©vrier 2025.

Lire aussi : FMI : la taille du programme Ă©gyptien, Ă  8 milliards de dollars, « reste appropriĂ©e Â»

Un Fonds conçu pour l’avenir

Ledit programme RSF offre au FMI la possibilitĂ© d’accorder des prĂȘts plus longs et assortis d’une pĂ©riode de grĂące prĂ©alable, en vue de pouvoir financer des projets permettant la prĂ©paration des pays Ă  l’impact du rĂ©chauffement climatique; ainsi que pour les aider Ă  la rĂ©alisation de leur transition Ă©nergĂ©tique.

L’Egypte est confrontĂ©e Ă  une dette extĂ©rieure considĂ©rablement croissante, ayant quadruplĂ© depuis 2015 pour s’établir Ă  155,2 milliards de dollars en septembre 2024. Une part significative de cette dette est associĂ©e Ă  d’ambitieux projets d’infrastructure, y compris la construction d’une nouvelle capitale situĂ©e Ă  l’est du Caire.

Le conflit à Gaza a exacerbé les problÚmes économiques

Il faut savoir que les attaques qui ont Ă©tĂ© perpĂ©trĂ©es sur les voies maritimes de la mer Rouge par les groupes rebelles houthis du YĂ©men, acte motivĂ© par la solidaritĂ© avec le peuple palestinien, ont sĂ©vĂšrement touchĂ© le canal de Suez qui reprĂ©sente l’une des principales sources de devises Ă©trangĂšres de l’Egypte. D’ailleurs, les chiffres officiels indiquent que les revenus gĂ©nĂ©rĂ©s par le canal de Suez ont accusĂ© un flĂ©chissement significatif de plus de 70 % l’annĂ©e derniĂšre.

Par ailleurs, l’Egypte a connu un ralentissement du rythme de son inflation, avec 12,5 % de hausse de prix, indicateur enregistrĂ© au mois de fĂ©vrier dernier, en glissement annuel, alors qu’elle Ă©tait de 23,2 % en janvier 2025. Vers le dĂ©but de l’annĂ©e derniĂšre, une pĂ©nurie de devises Ă©trangĂšres avait suscitĂ© une crise sur le marchĂ© noir dans cette Ă©conomie axĂ©e sur les importations, accompagnĂ©e d’une flambĂ©e des prix des produits de consommation dans les principales mĂ©tropoles.

Lire Ă©galement : L’Egypte va rĂ©duire de 40 % les prix du pain non subventionnĂ©

A noter qu’à la suite de la dĂ©valuation de sa monnaie (la livre) en mars 2024, l’Egypte dĂ©clinait des allures d’émergence de la crise, grĂące Ă  un renflouement dĂ©passant les 50 milliards de dollars. Ces fonds ont Ă©tĂ© rĂ©coltĂ©s Ă  travers des prĂȘts ainsi que des accords d’investissement en provenance du FMI, de la Banque mondiale et des Emirats arabes unis.

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Najmeddine Naour : nous avons recensĂ© 8 800 biens immobiliers appartenant Ă  l’Etat Ă  fin fĂ©vrier

11. MĂ€rz 2025 um 15:00

8 800. C’est le nombre de biens immobiliers appartenant Ă  l’Etat tunisien qui ont Ă©tĂ© recensĂ©s Ă  fin fĂ©vrier 2025. C’est ce qu’affirme le directeur gĂ©nĂ©ral des affaires juridiques auprĂšs du ministĂšre des Domaines de l’Etat et des Affaires fonciĂšres, Najmeddine Naour, au micro de la Radio nationale.

 

L’établissement de l’inventaire des biens publics se base sur une collaboration entre diffĂ©rents ministĂšres, et chacun d’entre eux est dans l’obligation de mettre Ă  disposition les informations et donnĂ©es nĂ©cessaires afin d’effectuer ledit inventaire.

Et Najmeddine Naour de poursuivre : cette opĂ©ration a pris plus d’ampleur grĂące Ă  l’entrĂ©e en vigueur de la loi organique du budget n°15 de 2019. En effet, cette derniĂšre a intĂ©grĂ© un nouveau systĂšme comptable fondĂ© sur l’inventaire exhaustif des actifs fixes matĂ©riels de l’Etat.

 

Des biens de l’Etat vendus à un dinar symbolique

 

Najmeddine Naour a prĂ©cisĂ©, en outre, que ce programme, qui est en cours de prĂ©paration, repose sur deux piliers principaux : d’abord, il y a la dĂ©marche administrative qui vise l’analyse et la centralisation de l’ensemble des donnĂ©es disponibles ; ensuite, un travail de terrain devra se faire Ă  mĂȘme de permettre l’examen concret des biens immobiliers et ce, en vue de prĂ©ciser leur situation juridique et matĂ©rielle.

Le DG a soulignĂ© que la gestion et l’exploitation des biens appartenant Ă  l’Etat sont soumises Ă  des dispositifs spĂ©cifiques. Il a d’ailleurs mis en avant l’importance de consacrer la transparence et la concurrence. La cession des biens en question peut se faire soit dans le cadre d’enchĂšres publiques, soit selon une procĂ©dure de grĂ© Ă  grĂ©.

Dans la mĂȘme veine, Najmeddine Naour a soulignĂ© qu’hormis les terres agricoles publiques, les biens appartenant Ă  l’Etat peuvent s’inscrire dans une dĂ©marche de cession ou de location au profit de structures publiques, des entreprises ou encore des Ă©tablissements publics, tout en demeurant accessibles aux projets d’investissement privĂ©.

S’agissant de l’aspect social, le DG a Ă©voquĂ© la procĂ©dure de la cession symbolique d’un certain nombre de biens immobiliers, au prix d’un dinar symbolique, et dont profiteraient des entreprises et des promoteurs publics Ă  l’instar de la SociĂ©tĂ© nationale immobiliĂšre de Tunisie (SNIT) ainsi que la SociĂ©tĂ© de promotion des logements sociaux (Sprols). Le but de cette initiative est de favoriser la construction de logements sociaux au profit des mĂ©nages Ă  revenu limitĂ©.

 

L’accùs des entreprises communautaires aux biens immobiliers de l’Etat

 

Dans un autre registre, Najmeddine Naour a prĂ©cisĂ© qu’un projet de loi a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©, en collaboration avec d’autres ministĂšres, visant Ă  favoriser les entreprises communautaires dans l’accĂšs aux propriĂ©tĂ©s immobiliĂšres appartenant Ă  l’État. Dans ce cadre, le 4 mars 2025, le ministre des Domaines de l’État, Wajdi Hedhili, a Ă©tĂ© reçu par le prĂ©sident de la RĂ©publique, KaĂŻs SaĂŻed, afin d’évoquer la gestion des terrains publics.

Le chef de l’Etat a fermement dĂ©sapprouvĂ© la suspension du recensement cadastral commencĂ© dans les annĂ©es 1970, qu’il considĂšre comme une manƓuvre pour dissimuler des anomalies, y compris des ventes illicites de terres agricoles.

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Le Maroc a accueilli 2,7 millions de visiteurs à fin février 2025

11. MĂ€rz 2025 um 14:24

Au cours des deux premiers de l’annĂ©e en cours, le Maroc a enregistrĂ© l’arrivĂ©e de 2,7 millions de touristes, soit 521 000 de plus en comparaison avec la mĂȘme pĂ©riode de 2024. A fin fĂ©vrier 2025, les entrĂ©es touristiques au Royaume se sont Ă©tablies Ă  hauteur d’environ 1,4 million Ă  mĂȘme de constituer une Ă©volution significative de 22 %, soit 248 000 d’arrivĂ©es supplĂ©mentaires en comparaison Ă  fĂ©vrier 2024.

 

Cette tendance est soutenue aussi bien par les touristes Ă©trangers, dont le nombre a augmentĂ© de 18 % avec 119 000 entrĂ©es, que par les Marocains vivant Ă  l’étranger, qui ont connu une progression de 26 % (+130 000 entrĂ©es).

Au cours des deux premiers mois de l’annĂ©e, environ 2,7 millions de visiteurs ont Ă©tĂ© comptabilisĂ©s, marquant une augmentation de 24 % par rapport Ă  2024, ce qui reprĂ©sente 521 000 arrivĂ©es de plus, avec des rĂ©sultats robustes sur les marchĂ©s principaux Ă©metteurs.

Dans une dĂ©claration aux mĂ©dias, Fatim-Zahra Ammor, ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, affirme : « les 500 000 visiteurs supplĂ©mentaires en Ă  peine deux mois sont un chiffre qui se passe de commentaires. Ceci atteste que le Maroc occupe une position parmi les principales destinations Ă  l’échelle mondiale. Chaque touriste qui opte pour le Maroc participe directement au dĂ©veloppement Ă©conomique de nos rĂ©gions, Ă  la gĂ©nĂ©ration d’emplois et Ă  l’intĂ©gration des jeunes. C’est une dynamique bĂ©nĂ©fique pour tout l’écosystĂšme, et une illustration que la stratĂ©gie touristique du Maroc, dirigĂ©e par Sa MajestĂ© le Roi Mohammed VI que Dieu l’assiste, continue de donner des rĂ©sultats positifs ».

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