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Tunisie : Lancement du projet de station solaire à Mezzouna pour une production durable d’énergie

19. September 2024 um 17:03

La première pierre du projet de construction de la station solaire photovoltaïque, dans la localité d’El Khobna, relevant de la délégation de Mezzouna (Gouvernorat de Sidi Bouzid) a été posée, jeudi, par la ministre de l’Economie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub.

Financé par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et les fournisseurs d’énergies renouvelables norvégien et japonais, «Scatec» et «Aeolus», ce projet dont le coût s’élève à 135 millions de dinars, contribuera à réduire les importations en gaz naturel de 20 à 25 millions de dinars, a indiqué le secrétaire d’Etat chargé de la Transition énergétique, Wael Chouchane.

Et de rappeler que ce projet s’inscrit dans le cadre de publié d’un appel d’offres international lancé en 2018, pour l’installation de 500 mégawatts à partir de l’énergie solaire photovoltaïque sur des sites proposés par l’Etat à Sidi Bouzid (50 mégawatts), Tozeur (50 mégawatts), Kairouan (100 mégawatts), Gafsa (100 mégawatts) et Tataouine (200 mégawatts).

Le ministère de l’Industrie, a également lancé, fin 2022, des appels d’offres pour l’installation, sur la période 2024-2026, de 1700 mégawatts dont 800 mégawatts d’énergie solaire et 600 mégawatts d’énergie éolienne sur des sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts d’énergie solaire sur deux sites proposés par l’Etat, à Sidi Bouzid et Gabès, a-t-il soutenu.

Neuf offres ont été approuvées, le 30 mai 2024, pour la première phase de ces projets concernant l’installation de 200 mégawatts sur les sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts sur les sites choisis par l’Etat. Ces offres sont en phase d’évaluation technique.

La Tunisie ambitionne d’atteindre 35% de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables d’ici 2030 et 50% à l’horizon 2050. Le pays prévoit, aussi, de réduire de 46 % son intensité carbone.

Interconnexion électrique Mauritanie-Mali : un potentiel solaire du Sahel à exploiter

19. September 2024 um 15:09

Le projet d’interconnexion électrique entre la Mauritanie et le Mali ouvre une nouvelle fenêtre d’espoir pour fournir de l’électricité à 250 millions de personnes dans la région africaine du Sahel. Et ce, en maximisant le bénéfice des abondantes ressources d’énergie solaire de la région.

Ce projet ambitieux s’inscrit dans le cadre de l’initiative « Le désert comme source d’énergie », qui vise à transformer la région du Sahel en la plus grande zone de production d’énergie solaire au monde, avec une capacité de 10 000 mégawatts. C’est ce sue révèlent les suivis effectués par la Specialized Energy Platform (basée à Washington), publiés le 18 septembre 2024.

La région africaine du Sahel est située en Afrique de l’Ouest et du Nord et s’étend d’Est en Ouest à travers le Sénégal, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Nigeria, le Tchad, l’Éthiopie, le Soudan et l’Érythrée. Cet avantage géographique confère à ces pays un énorme potentiel de développement des ressources naturelles et énergies renouvelables.

Selon les suivis effectués par la plateforme, ladite initiative devrait accélérer le rythme du développement économique grâce à la diffusion de la technologie de l’énergie solaire.

Un projet ambitieux

Le développement d’un projet d’interconnexion électrique 225 kV Mauritanie-Mali et d’une centrale solaire représente une opportunité stratégique pour soutenir l’innovation technique, améliorer l’efficacité énergétique et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Tout en garantissant un accès universel à l’électricité en Afrique du Nord-Ouest, rapporte le site Energy Capital and Power & Power.

Une fois mis en œuvre sur une période de sept ans, de janvier 2024 à décembre 2030, le projet d’interconnexion Mauritanie-Mali, d’un coût de 888 millions de dollars, renforcera la capacité de production d’électricité dans la région.

Le projet comprend l’installation de deux centrales solaires, d’une capacité de 50 mégawatts chacune, dans les villes mauritaniennes de Kiffa et Naama.

L’électricité produite à partir des centrales solaires est transportée par une ligne électrique à haute tension. Laquelle contient des réseaux de distribution d’électricité à moyenne et basse tension s’étendant sur 1 373 kilomètres le long de la côte africaine, reliant la Mauritanie au Tchad via le Mali, le Burkina Faso et le Niger dans sa première phase.

Le projet permettra de connecter 100 000 familles au réseau électrique dans les zones traversées par la ligne, dont 80 000 familles en Mauritanie.

Enfin, un récent rapport de l’Agence internationale des énergies renouvelables (IRENA) montre que le Mali a le potentiel de produire 3 978,7 GW d’énergie solaire et 1,25 GW d’énergie éolienne. Ce potentiel est concentré dans les régions du sud et du sud-ouest du Mali.

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Lancement de deux centrales solaires à Sidi Bouzid et Tozeur

Von: Le Manager
19. September 2024 um 12:10

Deux accords ont été signés, mercredi 18 septembre, lors d’une cérémonie, au Palais du gouvernement à La Kasbah, pour la construction de deux centrales solaires à Sidi Bouzid et Tozeur.

Le début officiel des travaux a lieu aujourd’hui 19 septembre 2024 et la mise en service des stations est prévue pour 2025.

Présidée par la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, la cérémonie a réuni le directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg), ainsi que des représentants des entreprises Scatec (Norvège) et Aeolus (Japon). Ces deux sociétés vont financer la construction des deux centrales, avec chacune une capacité de 50 mégawatts et un coût total de 79 millions d’euros, soit environ 260,7 Mtnd.

Ces projets s’inscrivent dans le cadre d’un appel d’offres international lancé en 2018 par le ministère de l’Industrie, visant à installer 500 mégawatts d’énergie solaire répartis sur plusieurs régions, dont Gafsa, Tataouine, Sidi Bouzid, Tozeur et Kairouan.

Bien que les accords pour Gafsa et Tataouine aient déjà été signés en mai dernier, leur exploitation devrait commencer entre 2025 et 2026. Pour le projet de Kairouan, il a été attribué à Amea Power et prendra plus de temps à voir le jour.

Lors de cette cérémonie, le secrétaire d’État chargé de la Transition énergétique a affirmé l’engagement de la Tunisie à atteindre 35% de production d’électricité à partir des énergies renouvelables d’ici à 2030, avec un objectif de 50% à l’horizon 2050.

Pour appuyer cette transition, trois appels d’offres supplémentaires ont été lancés pour installer 1700 mégawatts d’énergie solaire et éolienne entre 2024 et 2027.


Le pays espère ainsi réduire son empreinte carbone de 46% et jouer un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique. Ces projets témoignent, aussi, de la volonté de la Tunisie de promouvoir les énergies renouvelables et de renforcer son indépendance énergétique.

 

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Énergies renouvelables : La Tunisie accélère avec des projets solaires à 79 millions d’euros

Von: walid
19. September 2024 um 08:59

Deux accords portant sur la création de deux stations de production d’électricité à partir de l’énergie solaire à Sidi Bouzid et Tozeur, ont été conclus, mercredi, au palais de la Kasbah, entre le gouvernement tunisien et les fournisseurs de solutions d’énergie renouvelable norvégien et japonais «Scatec» et «Aeolus».

Ces accords ont été signés par la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Chiboub, le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières, Wajdi Hedhili, du côté tunisien et les représentants de la Norvège et du Japon et les directeurs exécutifs des deux compagnies de ces pays, ayant remporté l’appel d’offres relatif à la réalisation de ces parcs solaires.

La pose de la première pierre de la construction de ces stations aura lieu demain jeudi, alors que leur entrée en exploitation est prévue pour 2025. Les deux stations sont dotées d’une capacité de production d’électricité de 50 mégawatts chacune, moyennant un coût global de 79 millions d’euros (l’équivalent de 260,7 millions de dinars).

Le Secrétaire d’État chargé de la transition énergétique, Wael Chouchane a déclaré, à cette occasion, que la signature de ces accords est le fruit d’efforts déployés par différents intervenants, pendant plusieurs années marquées par de multiples défis dont le Covid-19 et la guerre en Ukraine.

Et de souligner que la transition énergétique demeure une priorité, la Tunisie a mis en place une stratégie qui ambitionne d’atteindre 35% de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables d’ici 2030 et 50% à l’horizon 2050. Le pays prévoit, aussi, de réduire de 46 % son intensité carbone.

Le secrétaire d’Etat a, également, fait savoir que 3 appels d’offres ont été lancés pour l’installation de 1700 mégawatts dans le cadre de concessions pour la période 2024-2027. “Le taux d’intégration des énergies renouvelables a atteint 5,6% à fin juin 2024. Le retard enregistré en matière d’adoption des énergies renouvelables pourrait être rattrapé pour atteindre un taux d’intégration de 35% à l’horizon 2030″.

Il est à noter que le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie a publié un appel d’offres international en 2018, pour l’installation de 500 mégawatts à partir de l’énergie solaire photovoltaïque sur des sites proposés par l’Etat à Sidi Bouzid (50 mégawatts), Tozeur (50 mégawatts), Kairouan (100 mégawatts), Gafsa (100 mégawatts) et Tataouine (200 mégawatts).

L’entrée en exploitation des cinq projets est prévue pour la deuxième moitié de 2025 et 2026.

Toujours dans le cadre du programme national de développement des énergies renouvelables, le ministère de l’Industrie, a lancé, fin 2022, des appels d’offres pour l’installation, sur la période 2024-2026, de 1700 mégawatts dont 800 mégawatts d’énergie solaire et 600 mégawatts d’énergie éolienne sur des sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts d’énergie solaire sur deux sites proposés par l’Etat, à Sidi Bouzid et Gabès. Neuf offres ont été approuvées, le 30 mai 2024, pour la première phase de ces projets relative à l’installation de 200 mégawatts sur les sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts sur les sites choisis par l’Etat. Ces offres sont en phase d’évaluation technique.

Les appels d’offres relatifs à la deuxième phase du projet d’installation de 200 mégawatts d’énergie solaire et à la première phase pour l’installation de 150 mégawatts d’éolien, seront lancés avant la fin de l’année en cours.

Vers la construction de deux centrales solaires à Sidi Bouzid et Tozeur  

19. September 2024 um 08:27

Deux stations de production d’électricité à partir de l’énergie solaire seront construites à Sidi Bouzid et Tozeur. Les accords y afférents ont été conclus, mercredi 18 septembre 2024, entre le gouvernement tunisien et les fournisseurs de solutions d’énergie renouvelable norvégien et japonais Scatec et Aeolus.

La pose de la première pierre de la construction de ces stations aura lieu aujourd’hui, jeudi, alors que leur entrée en exploitation est prévue pour 2025.

Les deux stations sont dotées d’une capacité de production d’électricité de 50 mégawatts chacune, moyennant un coût global de 79 millions d’euros (environ 260 millions de dinars).

Ces accords ont été signés au palais de la Kasbah par la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Chiboub, le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières, Wajdi Hedhili, du côté tunisien, et les représentants de la Norvège et du Japon et les directeurs exécutifs des deux compagnies ayant remporté l’appel d’offres relatif à la réalisation de ces parcs solaires.

Le secrétaire d’État chargé de la transition énergétique, Wael Chouchane a déclaré, à cette occasion, que la signature de ces accords est le fruit d’efforts déployés par différents intervenants, pendant plusieurs années marquées par de multiples défis dont le Covid-19 et la guerre en Ukraine. Et de souligner que la transition énergétique demeure une priorité, la Tunisie a mis en place une stratégie qui ambitionne d’atteindre 35% de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables d’ici 2030 et 50% à l’horizon 2050. Le pays prévoit, aussi, de réduire de 46% son intensité carbone.

Le secrétaire d’Etat a, également, fait savoir que 3 appels d’offres ont été lancés pour l’installation de 1700 mégawatts dans le cadre de concessions pour la période 2024-2027. «Le taux d’intégration des énergies renouvelables a atteint 5,6% à fin juin 2024. Le retard enregistré en matière d’adoption des énergies renouvelables pourrait être rattrapé pour atteindre un taux d’intégration de 35% à l’horizon 2030», affirme-t-il.

Il est à noter que le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie a publié un appel d’offres international en 2018, pour l’installation de 500 mégawatts à partir de l’énergie solaire photovoltaïque sur des sites proposés par l’Etat à Sidi Bouzid (50 mégawatts), Tozeur (50 mégawatts), Kairouan (100 mégawatts), Gafsa (100 mégawatts) et Tataouine (200 mégawatts).

L’entrée en exploitation des cinq projets est prévue pour la deuxième moitié de 2025 et 2026.

Toujours dans le cadre du programme national de développement des énergies renouvelables, le ministère de l’Industrie, a lancé, fin 2022, des appels d’offres pour l’installation, sur la période 2024-2026, de 1700 mégawatts dont 800 mégawatts d’énergie solaire et 600 mégawatts d’énergie éolienne sur des sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts d’énergie solaire sur deux sites proposés par l’Etat, à Sidi Bouzid et Gabès. Neuf offres ont été approuvées, le 30 mai 2024, pour la première phase de ces projets relative à l’installation de 200 mégawatts sur les sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts sur les sites choisis par l’Etat. Ces offres sont en phase d’évaluation technique.

Les appels d’offres relatifs à la deuxième phase du projet d’installation de 200 mégawatts d’énergie solaire et à la première phase pour l’installation de 150 mégawatts d’éolien, seront lancés avant la fin de l’année en cours.

D’après Tap.

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Accords tuniso-norvégiens : 100 MW d’énergie solaire en préparation pour Sidi Bouzid et Tozeur

18. September 2024 um 16:31

La Tunisie a signé, mercredi 18 septembre 2024, au Palais du gouvernement à La Kasbah, des accords de financement avec les sociétés norvégiennes Scatec et Aeolus, cette dernière étant une filiale du groupe japonais Toyota, pour la réalisation de deux projets à Sidi Bouzid et Tozeur, chacun destiné à produire 50 mégawatts d’électricité à partir de l’énergie solaire.

Ouael Chouchane, secrétaire d’État chargé de la Transition énergétique, a annoncé que la pose de la première pierre pour le lancement de ces deux projets aura lieu demain, jeudi 19 septembre 2024, à Sidi Bouzid et Tozeur.

Le secrétaire d’État a souligné que les projets de production d’électricité à partir de l’énergie solaire à Sidi Bouzid, Tozeur, Kairouan, Gafsa et Tataouine, avec une capacité de production de 500 mégawatts d’énergie photovoltaïque, entreront tous en exploitation entre le second semestre 2025 et 2026.

Il a également précisé que le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie a lancé un nouvel appel d’offres à la fin de l’année 2022, visant à installer 1 700 mégawatts d’énergies renouvelables, dont 800 mégawatts d’énergie solaire et 600 mégawatts d’énergie éolienne, répartis en quatre phases durant la période 2024-2026 sur des sites proposés par les investisseurs, et 300 mégawatts d’énergie solaire sur deux sites proposés par l’État à Sidi Bouzid et Gabès.

Il a affirmé que la première phase pour l’énergie solaire, qui concerne l’installation de 200 mégawatts sur des sites d’investisseurs et 300 mégawatts sur des sites d’État, est déjà achevée. Neuf offres ont été reçues le 30 mai 2024 et sont actuellement en cours d’évaluation technique. La deuxième phase, portant sur l’installation de 200 mégawatts d’énergie solaire, ainsi que la première phase pour 150 mégawatts d’énergie éolienne sur des sites d’investisseurs, seront lancées avant la fin de cette année, a-t-il ajouté.

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