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- Journée de l’Industrialisation de l’Afrique : l’ONUDI réaffirme son engagement pour un développement industriel en Tunisie, inclusif et durable
Journée de l’Industrialisation de l’Afrique : l’ONUDI réaffirme son engagement pour un développement industriel en Tunisie, inclusif et durable
Chaque année, le 20 novembre, le monde célèbre la Journée de l’Industrialisation de l’Afrique, instaurée il y a 35 ans pour sensibiliser à l’importance de l’industrialisation du continent et aux défis qu’il rencontre.
À cette occasion, le système des Nations Unies se mobilise pour rappeler que l’industrialisation joue un rôle crucial dans le développement économique, social et environnemental de l’Afrique. Le thème de cette année met en lumière le potentiel des technologies émergentes, notamment l’intelligence artificielle, pour transformer l’industrie africaine.
Ces technologies représentent une opportunité unique pour renforcer la compétitivité dans des secteurs comme les industries vertes, tout en créant des emplois, en augmentant la productivité et en contribuant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
L’engagement de l’ONUDI pour l’industrialisation de l’Afrique L’engagement de l’ONUDI envers le continent africain s’inscrit dans le cadre de la Troisième Décennie pour le Développement Industriel de l’Afrique (IDDA III), proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2016.
Lors de la septième réunion de haut niveau sur l’IDDA III, organisée en septembre 2024 en marge de la 79e Assemblée générale des Nations Unies à New York, l’ONUDI, aux côtés de partenaires tels que la Commission de l’Union africaine (AUC), la Banque africaine de développement (AfDB) et l’Africa Business Council (AfBC), a réitéré stratégiques pour bâtir une industrie africaine durable et résiliente.
La réunion a mis en avant des thèmes clés tels que la diversification économique, l’innovation technologique, les chaînes de valeur régionales et le renforcement des capacités. Selon Fatou Haidara, Directrice générale adjointe de l’ONUDI, « l’Afrique est le continent de l’avenir », et il est de la responsabilité de tous de transformer ce potentiel en prospérité partagée.
L’ONUDI renforce l’industrie tunisienne pour une croissance économique verte et compétitive En Tunisie, le secteur industriel est un pilier essentiel de l’économie nationale, représentant environ 23,5 % du PIB en 2023 (Banque mondiale). Il joue un rôle crucial dans la création de richesse, l’emploi et l’exportation, tout en contribuant à la stabilité économique et à l’intégration régionale.
Sa position stratégique en fait un levier incontournable pour la compétitivité du pays. L’ONUDI accompagne la Tunisie dans son développement industriel à travers des initiatives majeures couvrant des secteurs clés. PAMPATvalorise les produits de terroir, tandis que Creative Tunisia renforce la compétitivité du secteur de l’artisanat et du design.
L’organisation soutient également l’économie circulaire avec SwitchMed, la
transition écologique avec E-mobility, et la protection de l’environnement via le Protocole de Montréal. Parallèlement, l’autonomisation des femmes et l’insertion professionnelle des jeunes sont au cœur de projets nationaux et régionaux, tels que PWE et Employment4Youth – Industrie 4.0.
Ces projets illustrent le rôle de la Tunisie en tant que leader régional dans l’industrialisation inclusive, durable et compétitive et soutiennent pleinement les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies et la Stratégie nationale pour l’industrialisation et l’innovation à l’horizon de 2035, qui ambitionne de créer 840 000 emplois industriels, d’atteindre 36 milliards de dinars d’exportations, et de promouvoir une industrie innovante et respectueuse de l’environnement.
En conclusion, M. Lassaad Ben Hassine, représentant de l’ONUDI en Tunisie, déclare : « En cette Journée de l’Industrialisation de l’Afrique, l’ONUDI réaffirme son engagement à soutenir la stratégie industrielle nationale à l’horizon 2035, en collaboration avec le gouvernement, le secteur privé et les communautés locales.
Nous ambitionnons également de développer des initiatives régionales en s’appuyant sur la Coopération Sud-Sud et Triangulaire, pour promouvoir un avenir industriel plus inclusif et durable en Afrique, en intégrant des domaines tels que l’agro-industrie, l’économie circulaire et les technologies de la Quatrième Révolution Industrielle. »
La Presse avec communiqué
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Tunisie: L’État récupère 14 hectares de terres agricoles à Mourouj
Les services des Domaines de l’État et des Affaires foncières ont procédé, ce jeudi, à l’exécution d’une décision d’évacuation et de récupération d’une propriété de l’État à vocation agricole, d’une superficie de 14 hectares, située à Mourouj 6, dans la délégation de Mourouj, gouvernorat de Ben Arous.
Selon un communiqué des services du gouvernorat de Ben Arous, cette propriété, classée parmi les zones agricoles de la région, avait été illégalement occupée par un citoyen. Elle a été récupérée aujourd’hui dans le cadre des efforts visant à promouvoir et soutenir l’investissement dans le secteur agricole.
La mise en œuvre de la décision a été supervisée par le délégué de Mourouj, Dhia Ben Achour, en présence des membres de la commission chargée de l’exécution de la décision, ainsi que des forces de sécurité.
À titre de rappel, une autre propriété de l’État à vocation industrielle, d’une superficie de 1 hectare et 300 mètres carrés, située dans la zone industrielle de Mghira 3, à Fouchana, gouvernorat de Ben Arous, avait également été récupérée en début de semaine. Elle avait été occupée illégalement par un citoyen.
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Tunisie – Météo : Temps instable sur les régions côtières
La soirée de ce jeudi sera marquée par un temps instable, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM).
Des nuages parfois denses couvriront les régions côtières du nord, accompagnés de pluies éparses. Dans les régions du centre et du sud, le ciel sera ponctué de passages nuageux.
Les vents, soufflant du secteur ouest, seront relativement forts à forts près des côtes et modérés à l’intérieur des terres.
En mer, les conditions seront particulièrement agitées : la houle sera forte au nord et dans le golfe de Hammamet, tandis qu’elle sera modérée à agitée le long des autres côtes.
Côté températures, elles s’affichent entre 12 et 16 degrés dans le nord et les régions ouest, et entre 16 et 20 degrés dans le reste du pays.
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- 4e session de la commission mixte tuniso-koweïtienne : Volonté commune de raffermir les relations bilatérales
4e session de la commission mixte tuniso-koweïtienne : Volonté commune de raffermir les relations bilatérales
Un forum d’investissement tuniso-koweïtien sera organisé prochainement avec au programme des partenariats public-privé dans plusieurs secteurs, dont notamment l’infrastructure, le tourisme, l’énergie et les industries pharmaceutiques.
La Presse — Tenue à Tunis, la quatrième session de la commission mixte tuniso-koweïtienne s’est achevée avec un succès confirmé de ses travaux, selon les deux chefs de la diplomatie respectifs Mohamed Ali Nafti et Abdallah Ali Abdallah Al Yahya. En effet, lors de la clôture de ces travaux, les deux ministres des Affaires étrangères, accompagnés chacun d’une importante délégation comportant des responsables de divers secteurs, ils se sont félicités des relations fraternelles et solidaires qui unissent les deux pays et leurs leaders, le Président de la République Kaïs Saïed et l’Emir du Koweït, Cheikh Mechâal Al-Ahmed Al-Jaber al-Sabah, qui ont une vision et une position identiques des questions régionales et internationales, dont notamment la cause palestinienne, selon les deux ministres. L’occasion a permis de formuler l’appel des deux dirigeants et des deux pays à l’arrêt immédiat des violations et agressions sionistes contre les peuples palestinien et libanais.
Pour revenir aux travaux de la commission mixte et aux relations de coopération bilatérale, une cérémonie de signature des accords conclus a eu lieu au siège de l’Académie diplomatique internationale de Tunis entre les deux chefs de la diplomatie et entre des responsables des deux pays. Quatorze accords ont été signés, dont un accord de financement et douze mémorandums d’entente et programmes exécutifs, outre le procès-verbal de la quatrième session de la commission mixte.
Promouvoir la coopération dans les domaines vitaux
Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a souligné qu’avec son homologue koweïtien, ils tendent à «asseoir une nouvelle base dans cette coopération pour l’étendre et l’élargir à des domaines vitaux tels que la sécurité alimentaire, les industries pharmaceutiques et le climat». Et de souligner que ce partenariat avec le Koweït «est un modèle de coopération et de partenariat entre deux pays arabes, qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes principes, notamment au niveau de la condamnation des agressions contre les peuples palestinien et libanais. Nous sommes tout à fait d’accord au niveau de la coordination diplomatique pour assurer un cessez-le feu immédiat dans les territoires occupés», a-t-il ajouté.
Forum d’investissement et PPP
Sur un autre plan, Nafti a affirmé qu’au-delà des conventions, accords et programmes signés, qui sont au nombre de 14, l’organisation prochaine d’un forum bilatéral d’investissement est l’un des résultats les plus palpables de ces travaux, pour réellement impliquer davantage le secteur privé en Tunisie et au Koweït.
«Nous avons tous les fondamentaux pour pouvoir avancer dans le partenariat stratégique entre les deux pays et, comme on l’a annoncé, il s’agit de secteurs nouveaux qui vont être élaborés dans cette coopération en partenariat entre les secteurs public et privé sur la base des résultats probants réalisés en Tunisie. C’est un forum qui, après une période d’absence de partenariat financier et d’investissements, va pouvoir ramener ensemble des hommes d’affaires tunisiens et koweïtiens pour entrevoir les possibilités d’entreprendre des projets innovants qui toucheront essentiellement les secteurs de l’infrastructure, du tourisme, mais également d’autres domaines tels que l’énergie et les industries pharmaceutiques.
Et c’est au secteur privé de percer dans ces domaines sur la base de cette confiance qui règne entre les deux Etats et les chefs des deux pays, et la diplomaties tunisienne et koweïtienne», a expliqué le ministre tunisien des Affaires étrangères après la signature de quatorze accords de programmes exécutifs et mémorandums d’entente, dont un accord de financement, sous forme de crédit du projet de rénovation et de développement des lignes ferroviaires destinées au transport du phosphate.
Le ministre des Affaires étrangères koweïtien, Abdallah Ali Abdallah Al Yahya, a, pour sa part, réitéré les félicitations au Président Kaïs Saïed pour sa réélection en tant que président de la République, et au ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, pour la confiance placée en sa personne à la tête de la diplomatie tunisienne. Il a, à cette l’occasion, confirmé la volonté de l’Emir du Koweït, Cheikh Mechâal al-Ahmed al-Jaber al-Sabah, de poursuivre le processus de coopération et de travail de construction bilatéral, sur la base de l’esprit de fraternité entre les deux pays et peuples frères, qui date depuis des décennies. Le chef de la diplomatie koweïtienne a évoqué la multitude de défis régionaux mais aussi internationaux que les deux pays sont appelés à relever. Il a affirmé l’engagement du Koweït à exploiter, d’une part, les différentes opportunités de coopération et de partenariat afin de booster les relations bilatérales et, d’autre part, à soutenir davantage cette coopération, entre autres, à travers le Fonds koweïtien de développement économique arabe qui a financé et continue de financer des projets de développement en Tunisie, soulignant la détermination à renforcer ces coopérations dans divers domaines et à instaurer des partenariats dans de nouveaux secteurs innovants.
En outre, il a affirmé le succès de la coopération dans son ancien format et qui concerne notamment les secteur de la santé, de l’éducation, et autres, se félicitant des résultats réalisés par les ressources humaines tunisiennes au Koweït.
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- 4e session de la commission mixte tuniso-koweïtienne : Signature de 14 accords et mémorandums d’entente
4e session de la commission mixte tuniso-koweïtienne : Signature de 14 accords et mémorandums d’entente
Outre les accords de coopération, les mémorandums d’entente, et les programmes exécutifs signés, un accord de financement a été signé pour financer la rénovation et le développement des lignes ferroviaires destinées au transport du phosphate.
La Presse — A l’issue des travaux de la Commission mixte tuniso-koweïtienne au siège de l’Académie diplomatique de Tunis, les accords ont été signés par le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, le ministre des Affaires étrangères du Koweït, Abdallah Ali Abdallah Al Yahya et des responsables de divers départements et institutions des deux pays. La cérémonie de signature a ainsi englobé 14 accords et mémorandums d’entente, dont le PV de la 4e Commission mixte tuniso-koweïtienne.
Ces accords comprennent la signature de 12 mémorandums d’entente et programmes exécutifs, ainsi qu’un contrat de prêt pour le projet de rénovation et de développement des lignes ferroviaires destinées au transport du phosphate. Cet accord de financement, qui est signé entre la République tunisienne et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe, Kfaed. En matière de coopération, des accords ont été signés pour la coopération militaire, la coopération dans le domaine des services de l’aviation, et un autre pour le secteur de la météorologie et du climat.
Pour ce qui est des mémorandums d’entente, voici la liste des accords signés :
— un mémorandum d’entente entre l’Académie diplomatique internationale et l’Institut diplomatique «Saoud Al-Nasser Al-Sabah»
— un mémorandum d’entente entre le gouvernement de la République tunisienne et le gouvernement du Koweït pour la coopération technique dans le domaine de l’accréditation et de l’évaluation de la conformité
— un programme exécutif pour l’accord de coopération dans le domaine des activités de normalisation entre le gouvernement tunisien et le gouvernement du Koweït pour les années 2025- 2026-2027
— un programme exécutif pour l’accord de coopération industrielle pour 2025-2027
— un programme exécutif d’un mémorandum d’entente dans le domaine du développement des exportations industrielles pour 2025-2026
— un programme exécutif pour l’accord de coopération touristique pour 2025-2026-2027
— un programme exécutif dans le domaine des sports pour 2024-2025-2026-2027
— un mémorandum d’entente concernant l’échange de la main d’œuvre dans le secteur privé — un mémorandum d’entente dans le secteur des affaires sociales
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Point de vue : De la rentabilité des installations sportives…
Nos stades, nos salles omnisports couvertes et non couvertes, nos piscines et toute cette infrastructure sportive de plus en plus usée et incapable de répondre aux attentes et à la demande des sportifs et des clubs, peuvent-ils encore tenir dans ce modèle économique où tout est à la charge de l’Etat et des collectivités locales? Non, bien sûr, et cela se confirme au fil des années. Ces stades et ces salles souffrent d’un manque terrible d’entretien, d’une direction floue et irrationnelle avec des malversations et une corruption qui les a délabrés et usés. Ce n’est pas le nombre des stades et des salles qui compte, mais plutôt leur solidité, leur entretien, leur capacité à subvenir aux besoins des sportifs amateurs et professionnels. Ce qui compte, c’est aussi leur rentabilité au sens large du terme. Ces investissements publics lourds et amortis sur de longues années sont arrivés à un seuil alarmant de «non-rentabilité». Ils coûtent cher, ils demandent un entretien et une logistique de plus en plus chère et en grande partie importée en devise et, dans la plupart des cas, ils sont délabrés et limite-pratiques. Plein de ces stades et salles ne répondent pas aux normes des instances continentales et internationales, comme l’exemple des stades de Sousse (un énorme dossier de corruption et de mauvaise gouvernance publique), Zouiten (fermé pratiquement toute l’année) et les exemples sont multiples. Les municipalités ne sont plus aptes financièrement et logistiquement à entretenir ces installations qui se dirigent vers l’arrêt. Que faire alors?
Il faut que l’on sache qu’une installation sportive qui ne fait qu’abriter des matches du week-end et qui reste fermée le matin et des jours entiers, c’est un gaspillage monstre de l’argent public. En même temps, une salle de sport pour les entraînements et à la compétition ensemble, c’est aussi une usure reportée. Il faudra étudier plus l’emplacement de ces salles implantées pour qu’elles puissent être près des clubs et du genre des sports ciblés. On doit aussi rentabiliser ces salles ou stades ou piscines en «créant» des événements et des tournois qui permettent d’améliorer le taux d’exploitation sans mettre en danger leur état. Et ceci doit se faire en pleine collaboration avec les clubs, les fédérations (pour les installations dédiées aux sélections), mais aussi avec le secteur privé et ces entrepreneurs qui connaissent le sport et peuvent générer des revenus à partir de l’exploitation intelligente. Un stade comme Radès, qui a coûté des milliards, n’a que 23 ans d’exercice et il paraît usé et manque d’entretien. Pourquoi on le matraque avec ces matches non-stop, alors qu’on n’a pas pensé un jour à l’exploiter pour des galas et des événements qui ramènent beaucoup d’argent? On voit bien que, du moment que les installations sportives arrivent à couvrir des charges d’entretien et d’exploitation, elles permettront de mieux former les sportifs et de décharger l’Etat. Ce sera mieux que de les voir vétustes, ou éparpillées ici et là sans grande utilité. Avec ce fâcheux constat de déséquilibre entre le nombre et l’emplacement de cette infrastructure sportive et la demande énorme et disproportionnée par région et par type de sport.
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Les Clubistes ont leur destin en main : Pourquoi le CA peut y croire ?
A la réception de l’AS Soliman à huis clos ce samedi, le Club Africain vise la passe de deux certes, mais tentera surtout de marquer les esprits, en alliant le résultat à la manière.
Un mercato de qualité et huit journées disputées avec David Bettoni aux manettes ont suffi aux fans clubistes de croire plus que jamais en leur équipe. Avec cette équipe cuvée 2024-2025, le moins que l’on puisse dire donc, c’est que jusqu’à présent, les supporters sont servis avec un CA qui pointe à une unité du leader et qui affiche sa sérénité en préservant son invincibilité. A présent, et on peut le dire sans détour, à la faveur de l’arrivée de Bettoni et aussi de l’intronisation d’Arthur Houched, préparateur physique, sans oublier en amont un exécutif aux petits soins, le CA peut nourrir des ambitions légitimes cette saison, c’est-à-dire aller au bout en participant à la lutte pour le titre jusqu’à la fin de la saison. Cinq victoires et trois parités, jusque-là, les coéquipiers d’Ahmed Khalil n’ont pas chuté, mais ils n’ont pas optimisé non plus. Pas de circonstances atténuantes en l’état donc, même si l’on ne peut omettre de rappeler que, durant quatre à cinq rencontres, le coach a expérimenté, tenté des associations, des coups aussi, comme on dit. Des postes fournis sur les flancs et en défense, avec, outre les tauliers Ben Abda, Ali Youssef, Zaâlouni et Tiny, des volontaires tels que Shili et Ghrissi. Des milieux, pour les uns hyperactifs avec Moataz Zemzemi, Ahmed Khélil, Ghaith Sghaier, Kenneth Semakula et «l’hybride» Ait Malek. Et pour les autres, des promesses qui tardent encore (l’on pense à Kelaleche et Shawkan). Enfin, en attaque, Hamza Khadhraoui et Kinzumbi (qui ne progressent pas en ce moment), Eduwo, Srarfi, Laâbidi, le CA peut s’en remettre à un contingent d’attaque où les solutions de rechange ne manquent pas.
Les armes pour réussir
Parfois spectaculaire et enivrant par moments, mais aussi perfectible, au final le CA tient la route, même s’il n’occupe actuellement que la seconde place de la Ligue 1. Cependant, s’il est pour le moment trop tôt pour tirer des conclusions définitives, le CA prouve qu’il a les armes, mais aussi la capacité à aller titiller le haut du pavé et ce n’est pas peu. N’oublions pas, en revanche, que l’objectif tracé en début de saison était d’aller le plus loin possible avec un CA à présent qui refuse de s’emballer car la saison s’annonce longue et périlleuse. Rester humble mais se montrer performant et avoir de la régularité. Voilà le maître mot à respecter pour renouer avec la gloire.
Parlons échéances à présent. A la réception de l’AS Soliman à huis clos, ce samedi, le Club Africain vise la passe de deux certes, mais tentera surtout de marquer les esprits, en alliant le résultat à la manière. Faire en sorte aussi que les rentrants en cours de jeu sachent et puissent faire la différence. Faire preuve d’une grande force de caractère et ne jamais oublier ce que chacun sait, soit que les Clubistes n’ont que le championnat à jouer cette saison. Cette saison ou jamais ? Nous n’irons pas jusque-là mais force est tout de même de constater et de noter que l’effectif clubiste est très équilibré sur le papier, avec, qui plus est, un grand entraîneur sur son banc, dont le jeu et la grinta du groupe portent déjà sa signature. Changements encore dans le onze type ? Bettoni croit en la rotation, même si l’on s’attend à revoir Tiny sur son flanc gauche ainsi que Zaâlouni sur son flanc droit. Ce sera une formation différente de celle qui a battu l’UST.
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Chadi Hammami, premier adjoint de Santos : Le vent du changement
Alexander Santos n’est plus l’unique décideur désormais.
Après le nul par 0 à 0 contre l’OB à Sfax, le 3 novembre, l’entraîneur Alexander Santos a surpris plus d’un en déclarant qu’il «est difficile de marquer des buts dans un championnat tunisien où les équipes sont hyper défensives». Une semaine plus tard, le 10 novembre, après le 1 à 1 devant l’USM, il est allé encore plus loin en disant «que gagner des matches est une tâche très délicate pour ne pas dire très ardue».
Ces déclarations ont été plus que la goutte qui a fait déborder le vase. Elles ont mis le feu aux poudres. Comment un technicien dont le salaire est aux environs de 120 mille dinars par mois, payés de surcroît rubis sur l’ongle et en devises, peut faire de tels aveux défaitistes et frustrants! Pour le Bureau directeur qui commençait à en avoir marre de défendre le maigre bilan du technicien portugais, il fallait réagir au plus vite et remettre les pendules à l’heure. Il n’est pas allé jusqu’à la solution extrême que réclament les fans des «Noir et Blanc», à savoir une rupture à l’amiable ou unilatérale du contrat, dont le coût financier serait exorbitant. Il a choisi d’aller par étapes en retirant le chèque en blanc donné à Alexander Santos pour être le premier et le dernier décideur dans un staff technique où la seule voix du directeur sportif, Mohamed Slim Ben Othman, était à peine audible. Ce dernier a également dérapé en affirmant que «si le choix d’Alexander Santos était à refaire, il ferait de nouveau confiance au technicien portugais».
Plus qu’un entraîneur adjoint
La première décision prise a été donc d’imposer un adjoint tunisien proche des joueurs et capable d’assurer la bonne communication avec eux. Il n’y avait pas mieux que leur ex-coéquipier sur le terrain, Chadi Hammami, qui a pris sa retraite à l’intersaison. Son expérience assez longue avec le club de la capitale du Sud, son palmarès assez riche, son vécu immense et son impact sur le groupe plaident largement en faveur d’un tel choix. Chadi Hammami aura désormais son mot à dire dans les choix techniques du coach portugais et cogitera avec lui afin d’opter pour un système de jeu différent et d’en finir avec le manque d’audace et d’efficacité constatés jusqu’ici. Sa prise de fonctions coïncide avec le match de samedi contre une UST qui connaît, elle aussi, une très mauvaise entame de saison. Une rencontre qui sera une belle opportunité au CSS pour renouer avec la victoire et empocher les trois points avec la manière.
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Le grand OL relégué à titre conservatoire : Un exemple à suivre
C’est l’application tout court des règlements du football professionnel.
La relégation à titre conservatoire du grand Olympique Lyonnais en deuxième division, pour cause d’endettement et non viabilité financière, ne devrait pas passer inaperçue. Bien au contraire, elle devrait être mise en évidence et commentée comme il se doit. Ce club formateur a pourtant donné des joueurs emblématiques comme Jean Tigana, Karim Benzema, Hugo Lloris, Nabil Fakir, Lissandro Lopez et bien d’autres vedettes. C’est tout simplement l’application stricte, sans concession ni hésitation, des règlements régissant le football professionnel. Il y a quelques années, c’est Nice qui avait connu les mêmes difficultés financières qui a été empêché d’accéder en A.
Pas de sentiments
Dans ce genre de cas, pour appliquer les règlements, il n’y a ni sentiments qui prévalent, ni régionalisme, ni pression locale pour éviter des remous qui viendraient troubler la quiétude des gestionnaires des lieux. Les conséquences sont, bien entendu, connues : un club non fiable dont la solvabilité est remise en question et qui s’enfonce davantage dans ses difficultés pour ne pas dire sa misère. Nous avons connu ces problèmes où on s’est empressé de changer les règlements en maintenant des relégables ou en figeant la situation pour éviter les troubles que pourraient occasionner les fans de ces clubs. Autant dire que le prestige de l’Etat est remis en question pour donner satisfaction à une équipe de football.Ce genre de compromission et de comportement a été à l’origine de la mise en cause de la crédibilité de nos compétitions qui jouissaient d’un enviable prestige. En fin de compte, la FTF mérite ce qu’elle a fini par payer. Ceux qui prendront le relais auront sur quoi méditer pour essayer d’être à la hauteur de leurs responsabilités.
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25e édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC): Pour plus d’inclusion
Une table ronde sera aussi organisée dans ce sens, intitulée «Théâtre de l’intégration: expression et thérapie» qui abordera différentes expériences tunisiennes et discutera les perspectives, les impacts et les particularités.
Cette année encore, les JTC poursuivent leur démarche inclusive en tentant de rendre accessibles des expériences théâtrales à celles et ceux qui n’y ont pas toujours accès, entre autres les détenus et autres pensionnaires des centres carcéraux, auxquels le festival, à travers la section «Le théâtre la liberté», offre la possibilité de représenter devant un public leurs créations. Onze pièces de 11 institutions pénitentiaires à la section «Théâtre de la Liberté» figurent au programme avec plus de cent détenus qui prennent part à la 25e édition des Journées théâtrales de Carthage. Ces œuvres sont produites par les clubs de théâtre de 11 institutions pénitentiaires : les prisons civiles de Gafsa, Mahdia, Essers, Mornaguia, Sfax et Kébili, les centres de rééducation des mineurs délinquants à Oudhna, El Meghira, Mourouj et Sidi Hani, ainsi que la prison pour femmes de Manouba.
Cette tradition, instaurée en 2017 dans le cadre de la section «Théâtre de la Liberté» en partenariat avec le Comité général des prisons et de la Rééducation (Cgpr), offre une opportunité unique aux détenus de se produire sur scène et souligne le rôle du quatrième art comme outil de réhabilitation et de réinsertion psychologique et sociale. Le concept de «Théâtre de la Liberté» a vu le jour en 2017, avec la première représentation théâtrale organisée hors des murs des prisons. En terme de chiffres, cette initiative a évolué au fil des éditions passant de 5 représentations lors de l’édition 2018 à 11 en 2019. En 2022, le nombre de spectacles a atteint 12, avant de baisser à 8 en 2023 pour atteindre à nouveau 11 en 2024. Cette section est devenue aussi compétitive et les trois meilleures seront récompensées et des certificats de participation seront attribués à tous les participants en guise d’encouragement. Dans ce même objectif, cette année, le théâtre se déplacera aussi dans ces établissements pour faire profiter au maximum de détenus d’un bouquet de représentations de pièces au cœur des prisons.
« Le théâtre de la différence»
A des personnes en situation de handicap est destinée la nouvelle section «Le théâtre de l’intégration» ou « Le théâtre de la différence», qui leur donne l’opportunité de créer leurs propres spectacles pour exprimer leur créativité. Ainsi, des personnes avec et sans handicap se réuniront dans un même spectacle, interagissant et se fondant dans le jeu théâtral pour présenter leurs créations devant le public.
L’idée étant aussi, à travers ce volet, de promouvoir cette expérience comme un soutien aux méthodes pédagogiques et d’animation pour l’inclusion de ces groupes. Les pièces sélectionnées dans cette section sont : «J’ai un grand rêve», produite par Le laboratoire de la volonté pour les arts de l’intégration, en partenariat avec l’Association tunisienne des arts de la rue et le Centre des arts dramatiques et scéniques de Djerba, écrite et mise en scène par Zouhaïer Ben Terdaïet (inspiré des jeux d’enfants)
«L’avenue de l’amour», un spectacle théâtral destiné aux enfants atteints de trouble du spectre autistique, produit par La ferme thérapeutique Errayhan de l’Association Ibn Sina et l’Association théâtre sans frontières et encadré par Hamadi Mellouli.
«Délire», une production de l’Association tunisienne des personnes handicapées, écrite et mise en scène par Hajer Ammar.
«La boîte magique», une production de l’Union tunisienne pour l’assistance aux personnes handicapées (branche M’saken), encadrée et mise en scène par Hammadi Mellouli. Les spectacles de théâtre ne seront pas les seuls à représenter cette expérience inclusive tunisienne, il sera question aussi de rencontres scientifiques, de colloques et de formations autour du théâtre de l’inclusion. Une table ronde sera aussi organisée dans ce sens, intitulée «Théâtre de l’intégration : expression et thérapie» et qui abordera différentes expériences tunisiennes et discutera les perspectives, les impacts et les particularités. Comment le théâtre peut-il être un moyen thérapeutique ? Et comment peut-il être un processus d’inclusion ?
Le public est-il «soigné» par son identification aux personnages et ses émotions éveillées par le spectacle ? L’intégration est-elle incompatible avec l’expression libre ? Et le théâtre de l’inclusion peut-il être une expression libre dans une diversité collective où l’interaction aboutit à un discours ou des émotions partagés…?
Et d’autres interrogations seront au cœur du débat qui verra la contribution de l’Institut supérieur d’art dramatique, l’Institut supérieur d’éducation spécialisée, le Centre international de promotion des personnes handicapées, l’Hôpital Razi, le ministère de la Femme et de l’Enfance, le ministère des Affaires sociales. La table ronde sera dirigée par le Pr Zouhaïer Ben Terdaïet et verra les interventions des artistes: Kamel Allaoui («Théâtre de l’intégration en Tunisie, expériences éclairantes»), Mohamed Al-Atiri («Le théâtre des personnes en situation de handicap à Sousse»), Anouar Chaafi («Les laboratoires théâtraux en Tunisie, entre théorie et pratique»), Ziad Ghanainiya («Les chemins d’intégration dans le théâtre des détenus en Tunisie»), Houda Lamoushi («L’intégration dans le théâtre de marionnettes»), Mohamed Ali Saïd («L’expérience de l’Espace Cortina dans l’organisation de la pensée et la formation en théâtre de l’intégration») et Zouhaïer Ben Terdaïet («Le laboratoire Irada pour le théâtre de l’intégration»).
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- Leconomiste Maghrebin
- Coopération : Le ministre de l’Economie et de la Planification s’entretient avec des partenaires financiers de la Tunisie
Coopération : Le ministre de l’Economie et de la Planification s’entretient avec des partenaires financiers de la Tunisie
Le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, s’est entretenu, jeudi 21 novembre, à Tunis, avec des partenaires financiers et des bailleurs de fonds de la Tunisie à l’échelle bilatérale et multilatérale.
Le ministre a souligné que cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’échange de points de vue dans l’objectif de consolider la coopération financière et technique et à la rendre plus efficace, conformément aux choix et priorités de développement de la Tunisie.
Il a passé en revue les principaux indicateurs macroéconomiques enregistrés au cours des neuf derniers mois et les prévisions pour l’année prochaine, notant qu’en dépit de la situation mondiale difficile, la Tunisie s’est montrée résiliente et a pu réaliser une amélioration de nombreux indicateurs et honorer ses engagements financiers extérieurs.
Le ministre a également abordé les principales orientations en matière de développement pour la période à venir, notamment le renforcement du rôle social de l’Etat, la promotion de l’investissement public et privé, la lutte contre la corruption et le soutien au développement régional.
A ce titre, il a évoqué les principales mesures prises sur le plan social et les mesures en cours d’adoption pour améliorer le climat de l’investissement et des affaires, ainsi que celles visant à accélérer la mise en œuvre des projets en suspens, notamment les projets structurants et ceux à participation étrangère en matière de financement.
Les représentants des institutions financières présents ont exprimé leur satisfaction quant aux mesures récemment adoptées par le gouvernement tunisien pour accélérer la réalisation des projets et impulser l’investissement, réitérant l’engagement de leurs institutions à continuer à soutenir le processus de réformes et de développement en Tunisie conformément aux choix et aux priorités nationales et à poursuivre la coordination pour atteindre l’efficience et l’efficacité souhaitées dans le cadre des différents programmes et mécanismes de coopération existants et à venir.
Avec TAP
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Baisse du Tunindex de 0,01%
Le marché a terminé la séance du jeudi21 novembre, sur une légère note négative. Le Tunindex a glissé de 0,01 %, à 9800,2 points. Les volumes restent faibles, se montant à 2,5 millions de dinars (MD), selon Tunisie Valeurs.
Le titre ICF s’est distingué sur la séance, chapeautant le palmarès de la cote. Amassant un flux de transactions de 352 mille dinars (soit 14 % du volume échangé sur la séance), l’action du producteur de fluorure d’aluminium a signé une avancée de 6 %, à 88,450 D.
Le titre ESSOUKNA a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action a inscrit une progression de 4,2 % à 1,490 D. La valeur a drainé de maigres échanges de 15 mille dinars sur la séance.
Le titre TUNISAIR a accusé la plus forte baisse de la séance. Dans un modeste flux de 2 mille dinars, l’action du transporteur national a reculé de 2,5 %, à 0,370 D.
Le titre CARTHAGE CEMENT a affiché une performance négative. L’action de la cimenterie a abandonné 1,3 %,
à 2,230 D. La valeur a brassé un volume relativement soutenu de 185 mille dinars sur la séance.
Avec TAP
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Economie: vers le renforcement de la coopération financière et technique
Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh a tenu une session de travail avec des partenaires financiers, tant bilatéraux que multilatéraux. Cette rencontre visait à renforcer la coopération financière et technique, tout en améliorant son efficacité en fonction des priorités de développement de la Tunisie.
Au cours de la réunion, le ministre de l’Economie et de la Planification a présenté les résultats macroéconomiques des neuf derniers mois et les prévisions pour l’année à venir. Il a souligné que, malgré un contexte mondial difficile, la Tunisie a réussi à maintenir une croissance positive et à honorer ses engagements financiers internationaux.
Le ministre a également discuté des orientations futures, mettant l’accent sur le renforcement du rôle social de l’État, la promotion des investissements, la lutte contre la corruption et le soutien au développement régional. Il a détaillé les mesures sociales récentes et celles en cours pour améliorer le climat d’investissement et accélérer l’exécution des projets en attente.
Les représentants des institutions financières ont salué les performances positives de l’économie tunisienne et exprimé leur satisfaction concernant les mesures gouvernementales visant à stimuler l’investissement et à réaliser des projets.
Ils ont réaffirmé leur engagement à soutenir la Tunisie dans ses réformes et son développement, tout en se montrant disponibles pour une meilleure coordination afin d’optimiser l’efficacité des programmes de coopération actuels et futurs.
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- Leconomiste Maghrebin
- Kasserine : Avancement de 20% des travaux de réhabilitation de la cité Essourour à Sbeitla
Kasserine : Avancement de 20% des travaux de réhabilitation de la cité Essourour à Sbeitla
Les travaux de réhabilitation de la cité Essourour à Sbeitla (gouvernorat de Kasserine) ont atteint un taux d’avancement de 20%. Ce projet entamé, en août dernier, serait fin prêt, en juillet 2025, dans le cadre du second programme de réhabilitation et d’intégration des quartiers d’habitation.
Une source régionale a indiqué à l’Agence TAP que la deuxième tranche de ce projet est réalisé moyennant une enveloppe de 5,415 millions de dinars, cofinancée par l’Etat tunisien et l’Union Européenne.
Les travaux concernent notamment le revêtement de 26 mille 600 m2 et de 12920 m2 de routes, l’extension du réseau d’éclairage public et celui d’évacuation des eaux pluviales.
Un programme, s’étendant de 2024 à 2028, est établi par l’Agence de Réhabilitation et de Rénovation Urbaine (ARRU) pour réaménager plusieurs quartiers répartis de toute la République moyennant un financement de 671 millions de dinars. Il consiste en particulier à construire 52 espaces collectifs, 19 ouvrages industriels et à améliorer des logements.
Une enveloppe de 55 millions de dinars est destinée à réaménager des quartiers relevant des mairies de Kasserine, Ennour, Foussena, Sbeitla et Sbiba, selon les données fournies.
Avec TAP
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- Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants du 22 au 29 décembre 2024
Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants du 22 au 29 décembre 2024
La 37ème édition du Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants, est prévue du 22 au 29 décembre 2024. Outre la Tunisie, le festival verra la participation de troupes théâtrales en provenance de 16 pays : Algérie, Arabie Saoudite, Bahreïn, Belgique, Chine, Égypte, Émirats Arabes Unis, Espagne, France, Hongrie, Indonésie, Irak, Iran, Maroc, Palestine et Russie.
Des spectacles de théâtre, de danse et des performances pluridisciplinaires sont au programme de cette édition 2024. Le festival qu’abrite chaque année la ville de Nabeul prévoit une sélection de 21 spectacles dont 12 tunisiens.
Nabeul vivra au rythme des spectacles de rue qui auront lieu quotidiennement tout au long de la durée du festival. La programmation couvrira également certaines villes relevant du gouvernorat de Nabeul, à savoir Kélibia, Grombalia, Maâmoura, Korba, Haouaria et Hammamet.
D’autres spectacles seront organisés dans différentes villes à travers la république dont Tunis, Bizerte, Kairouan, Agareb et Sfax.
Le festival est habituellement axé sur les sections suivantes : les Journées de Néapolis du théâtre pour enfant, les Journées de Néapolis du théâtre des contes et les Journées de Néapolis du théâtre scolaire qui est une section à vocation internationale pour les institutions scolaires publiques et privées.
Comme chaque année, la programmation parallèle sera composée de conférences, de tables rondes et d’ateliers de théâtre pour enfants et pour adultes.
Le Festival international Néapolis du théâtre pour enfants est organisé par l’association Néapolis en partenariat avec la délégation régionale des Affaires culturelles et la municipalité de Nabeul.
Depuis sa première édition en 1980, le Festival s’est donné pour objectif de faire du théâtre pour enfants un outil efficace pour s’exprimer, s’épanouir et former une personnalité équilibrée à travers la culture théâtrale.
Avec TAP
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Dattes: Hausse de 82,9% des recettes des exportations durant octobre 2024
Les recettes des exportations des dattes tunisiennes ont connu, durant le premier mois de la campagne 2024/2025 ( octobre) , une hausse de 82,9%, par rapport à la même période de l’année écoulée, pour atteindre 84,4 millions de dinars, selon les données publiées, jeudi 21 novembre, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).
Le volume des dattes exportées a atteint 12,5 mille tonnes, soit une hausse de 72,8%, par rapport à la même période de la campagne écoulée.
Le prix moyen enregistré durant octobre 2024 a augmenté de 8,8% soit 6,72 D/kg contre 6,35 D/kg, enregistré au cours de la même période de la campagne précédente.
L’Italie est la principale destination des dattes tunisiennes au cours du mois d’octobre, avec 15,6% des quantités exportées suivi par l’Allemagne et le Maroc avec respectivement 8,14% et 8,12%.
S’agissant des dattes biologiques, leurs recettes ont atteint 8,1 millions de dinars durant le mois d’octobre pour une quantité de 750 tonnes exportées, avec un prix moyen de 10,80 D/kg.
Leur part dans le total des exportations de dattes tunisiennes est de 6% et 9,6% respectivement, en termes de quantité et de valeur.
L’Allemagne est la principale destination des produits des dattes biologiques avec 18% des quantités exportées suivi par les Pays-Bas et la Suisse, avec respectivement 18% et 12%.
Avec TAP
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