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Heute — 10. Mai 2025Haupt-Feeds

Le secrétaire régional d’Ennahdha à Béja reste en détention

Von: La Presse
10. Mai 2025 um 11:38

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme auprès du tribunal de première instance de Tunis a rejeté, dans la nuit de jeudi à vendredi, les demandes de libération du secrétaire général régional du mouvement Ennahdha à Béja, Mohamed Mzoughi, ainsi que d’un médecin résident à Djerba.

Les deux hommes sont poursuivis dans le cadre d’une affaire liée à des propos considérés comme offensants envers le président de la République et à des actes présumés d’incitation à la haine, diffusés sur les réseaux sociaux. Ces accusations sont étayées par des éléments recueillis lors de l’enquête.

L’instruction concerne également plusieurs membres du bureau régional du mouvement Ennahdha à Béja. Cinq personnes ont comparu devant la justice, tandis que d’autres sont toujours attendues par les autorités judiciaires.

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Tasfir, takfir un procès qui fait tomber les masques

07. Mai 2025 um 11:12

Notre propos ici n’est pas de juger les verdicts émis par le tribunal tunisien spécialisé dans les questions et les procès liés au terrorisme. Car sans ces tribunaux qui ont déjà condamné à des lourdes peines des terroristes de Ansar al-chariia et autres Jund el-khilafa pour crimes et actes terroristes, le terrorisme aurait triomphé et le pays aurait été détruit et anéanti comme c’est le cas de la Libye, la Somalie ou la Syrie. L’une de ces cours, vient de prononcer de lourdes peines, contre un ancien ministre de l’Intérieur, nahdhaoui de son état, des hauts cadres sécuritaires et des terroristes liés à Daech, qui avaient à l’époque des faits essaimé sur nos plateaux de télévisions pour faire l’apologie du terrorisme, appelé jadis par le chef d’Ennahdha Rached Ghannouchi et son ministre des affaires religieuses Noureddine Khademi, Jihad, qui signifie tout simplement guerre sainte.

Notre objectif est de pousser des pseudos démocrates à faire tomber les masques, qu’ils ont longtemps gardés pour cacher leur alliance directe ou indirecte avec le mouvement. Allant jusqu’à partager le pouvoir politique avec eux et donc aussi le gâteau qu’il offrait à ces nouveaux prédateurs d’un genre particulier.

Ce partage a eu lieu au moment même où des milliers de jeunes tunisiens et tunisiennes, étaient arrachés à leurs familles et leur patrie (entre 7000 et 14000, selon les estimations de l’époque) par des réseaux criminels, moyennant une poigné de dollars et après un endoctrinement et embrigadement de quelques mois dans les mosquées contrôlés par Ennahdha et son sinistre ministre des cultes. Des services secrets de pays étrangers les prenaient ensuite en charge à partir de la Turquie. Ce qui avait poussé l’ancien ministres des Affaires étrangères tunisien, Taïeb Baccouche à élever une protestation solennelle qui accusait Istambul d’être la cause de ce désastre national.

Protestation vite jetée aux oubliettes, car le vrai patron de la Tunisie de l’époque n’était autre que Rached Ghannouchi, sans pour autant avoir un quelconque poste officiel, grand ami de Recep Tayyip Erdoğan et qui serait selon certains laudateurs, même son disciple. Le résultat est l’instauration toute récente d’un califat dont le chef n’est qu’un ancien adjoint du « Calife » Abu Bakr el Baghdadi, patron de Daech, qu’il aurait trahi pour se jeter aux mains des services turcs, qui, à leur tour l’ont intronisé, à la tête de ce qui est désormais une wilaya de l’Etat turc comme à la belle époque de l’Empire Ottoman, la Syrie.

Voilà pourquoi, nos jeunes ont été envoyés se faire tuer sur les murs de Damas. C’est plus qu’une simple affaire de terrorisme, c’est une trahison de la patrie qui n’a aucun équivalent dans l’histoire du pays. Même les supposés « complots contre la sureté de l’Etat » deviennent devant cette affaire gravissime des crimes « mineurs ».

Vouloir « la vérité » pour escamoter le crime

S’il est vrai que notre système judiciaire n’a jamais été parfait et ceci depuis l’Indépendance (même avant) car il n’a jamais été indépendant du pouvoir politique aussi bien à l’époque du grand Bourguiba, que de feu Ben Ali, que pendant la supposé « transition démocratique », mais c’est le seul système que nous avons. Libre aux gens de critiquer la sévérité ou le manque de sévérité des jugements émis, mais un fait est certain, ces jugements sont le produit de nos lois qui sont, par ailleurs, loin d’êtres parfaites.

Faut-il alors, pour satisfaire les puristes du droit, renoncer à tout jugement ou noyer les procès dans des guerres de procédures quitte à tomber dans un laxisme qui est pire pour un Etat qui se veut fort, que des jugements qui pourraient apparaître à certains « iniques » ou injustes?

Le législateur tunisien avait instauré (à l’époque de Ben Ali) le jugement à deux niveaux, et en général le recours à l’appel permet d’approfondir plus la question, sans parler de la Cour de cassation qui peut « casser » tout jugement qu’elle juge non conforme à la loi.

Ce même système a jugé des centaines de hauts cadres de l’Etat, dont des ministres, à l’époque où Ennahdha régnait en maître sur le pays. Ces mêmes puristes qui lancent aujourd’hui des cris de vierges effarouchées, n’avaient émis aucun cri de protestation lorsque des hauts cadres sécuritaires sous Ben Ali ont été jugés par les tribunaux militaires les condamnant à des peines sévères allant jusqu’à 30 ans de prison et des responsables civils à des peines aussi lourdes. Certains ont été inculpés dans plus de 60 affaires, des procès tous fabriqués. A cet égard, notons que l’ex Président de la République, Zine Al Abidine Ben Ali, avait écopé à lui seul de quelques centaines d’années de prison fermes.

Pendant tout le temps que duraient ces procès et certaines affaires continuent à être traitées jusqu’à maintenant, ces belles âmes regardaient ailleurs quand elles n’organisaient pas des manifestations pour l’application de ce qu’elles appelaient la « Justice transitionnelle », et qui n’était qu’une lugubre farce. Comme certains de leurs sponsors étrangers, ils appliquent la règle des deux poids deux mesures.

Pourtant le système judiciaire tunisien est pratiquement le même avec les mêmes lois, les mêmes procédures et souvent les mêmes juges. Ce qui a changé c’est juste celui qui détient le pouvoir. Parler alors d’une justice complétement dépolitisée est de la pure hypocrisie.

Quand ils étaient au pouvoir, ils n’avaient rien fait pour moderniser le système judiciaire malgré la manne d’argent qui a coulé à flot, en provenance notamment de l’Union Européenne. Le pays, il est vrai a besoin d’une véritable révolution judiciaire, mais il ne semble pas que la situation politique actuelle se prête à cela.

Contrairement à ce que certains exigent, le rôle de la justice est d’appliquer la loi en vigueur et d’être aveugle. Changeons de lois et la justice changera. Ce n’est pas de son rôle de mettre toute la lumière sur cette affaire de tasfir, qui est loin d’être seulement une affaire nationale; mais c’est le rôle des médias, des politiques et plus tard des historiens.

Pourtant cette affaire précisément a été largement traitée par la presse nationale, internationale et même par une commission de parlementaires tunisiens s’est déplacée jusqu’en Syrie pour ôter le voile sur les dessous de cette vaste opération mondiale montée par plusieurs services secrets des puissances qui avaient initié, financé et organisé ce massacre de nos jeunes. Pas besoin donc d’un tribunal pour connaître tous les tenants et aboutissants de ce crime contre la jeunesse et la nation.

Mais ce procès a au moins permis une chose, celle de démasquer les véritables alliés de l’Islam politique, qui jouent l’amalgame, en jetant le discrédit sur les juges qui ont eu le courage de prononcer le verdict. Cette affaire n’a rien à voir avec les autres en cours, car elle est plus grave. Ayant porté atteinte non seulement à la sécurité nationale, puisque certains des terroristes recrutés alors ont commis des attentats meurtriers contre nos militaires et nos policiers, sans parler du massacre du Bardo et de Sousse où d’innocents touristes étrangers ont été assassinés ainsi que des citoyens tunisiens, mais aussi aux intérêts supérieurs de la Nation.

Cependant, une question demeure sans réponse. Tous les indices montrent que les responsables du massacre de nos jeunes, en Syrie, leur endoctrinement, le financement de toute cette opération transnationale mènent directement aux deux organisations islamistes qui les ont supervisés Ansar al-chariia et Ennahdha. Alors que la première a été dissoute par l’ancien ministre nahdhaoui condamné aujourd’hui pour brouiller les pistes; la seconde continue de jouir de la légalité et a jusqu’à maintenant ses portes paroles, ses défenseurs attitrés et ses structures mêmes si elles sont mises en berne pour des raisons tactiques. C’est vraiment l’exception tunisienne.

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Le CRLDHT critique les verdicts dans l’affaire d’envoi de Tunisiens dans les zones de conflits

Von: Yusra NY
05. Mai 2025 um 20:39

Le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) a fermement critiqué les verdicts dans l’affaire d’envoi de Tunisiens dans les zones de conflits.

Dans cette affaire, on compte notamment une condamnation à 34 ans de prison ferme à l’encontre de l’ancien premier ministre et ancien ministre de l’Intérieur nahdhaoui Ali Larayedh ainsi que d’autres peines prononcées contre des figures liées au parti islamistes ou encore d’anciens cadres sécuritaires.

Le CRLDHT a notamment dénoncé « des violations flagrantes des droits à un procès équitable et une instrumentalisation politique d’un dossier sensible», tout en exprimant sa solidarité avec les détenus dans cette affaires, condamnés à des peines allant de 18 à 36 ans.

La même source affirme par ailleurs qu’elle considère la détention d’Ali Larayedh, comme arbitraire : sa condamnation est politique, celle-ci ayant d’ailleurs été propagée sur les réseaux sociaux proches du régime avant même qu’elle ne soit prononcée par les tribunaux !, lit-on encore dans le communiqué du CRLDHT

Rappelons que plusieurs parties, à l’instar du parti Ennahdha ou encore le Front du salut national, regroupant des partis de l’opposition, ont dénonce les verdicts prononcés et ont exprimé leur pleine solidarité à Ali Larayedh et ceux condamnés dans cette affaire.

Y. N.

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Larayedh condamné à 34 ans | Ennahdha dénonce et accuse

Von: Yusra NY
03. Mai 2025 um 20:47

Le parti islamiste Ennahdha a vivement réagi à la condamnation de son vice-président et ancien chef du gouvernement Ali Laarayedh à 34 ans de prison dans l’affaire d’envoi de Tunisiens dans les zones de conflits.

Dans un communiqué publié ce samedi 3 mai 2025, le bureau exécutif du parti islamiste a dénoncé un « jugement éminemment politique et une instrumentalisation de la justice par le pouvoir en place », en affirmant qu’Ali Larayedh n’a aucun lien avec cette affaire et que « les accusations le visant sont fabriquées et dénuées de tout fondement juridique ou fait incriminable »

Selon Ennahdha, ce verdict « s’inscrit dans l’instrumentalisation de la justice, utilisée comme outil de règlement de comptes politiques contre les opposants et étouffer toute voix libre », lit-on encore dans le communiqué du parti islamiste qui réaffirme sa solidarité inconditionnelle à Ali Larayedh.

La même source a lancé un appel pressant à l’unité pour faire face à ce « tournant dangereux de l’histoire du pays et imposer une voie de respect des droits, des libertés et de la démocratie»…

Y. N.

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Communiqué du comité de défense d’Ali Larayedh à l’approche du verdict

Von: Yusra NY
01. Mai 2025 um 21:21

À l’approche du verdict dans l’affaire d’envoi de Tunisiens dans des zones de conflits, le comité de défense de l’ancien chef du gouvernement et ancien ministre de l’Intérieur nahdhaoui Ali Laarayedh a publié un communiqué adressé à l’opinion publique.

Diffusé via la page du parti islamiste Ennahadha ce jeudi 1er mai 2025, le communiqué dénonce notamment ce que la défense qualifie de « campagne de diffamation et de désinformation orchestrée et visant à imposer un récit basé sur le mensonge, la tromperie et la calomnie contre les opposants au pouvoir ».

Le comité de défense met par ailleurs en garde l’opinion publique contre la propagation d’informations erronées et d’allégations sans fondement, et affirme même que les investigations approfondies n’ont révélé aucune infraction à la loi imputable à Ali Larayedh.

Les avocats affirment aussi que l’enquête a « prouvé l’absence d’intervention d’Ali Larayedh pour autoriser des entrées ou sorties du territoire tunisien, la mise en place de mesures strictes sous sa direction au ministère de l’Intérieur pour limiter les départs vers les zones de conflits (notamment l’autorisation parentale pour les moins de 35 ans et l’application de la procédure S17) et le niveau historiquement bas des départs durant cette période ».

La même source a de ce fait lancé un appel pour que cessent les tentatives de pression sur le pouvoir judiciaire à travers la diffusion de « fausses informations et de récits erronés visant à diffamer Ali Larayedh » et a par ailleurs annoncé son intention d’engager des poursuites contre toutes les personnes ayant « agi de manière préjudiciable au dirigeant du parti Ennahdha, s’étant rendues coupables de falsification, de mensonge et de calomnie », lit-on encore dans le communiqué.

Y. N.

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Le Front du salut national solidaire avec Ajmi Lourimi

Von: Yusra NY
29. April 2025 um 20:17

Le Front du Salut National (FSN) a publié ce mmardi 29 avril 2025 un communiqué afin d’exprimer sa solidarité avec le dirigeant Ennahdha, Ajmi Lourimi, actuellement incarcéré.

Ce dernier a subi une fracture au bras gauche en prison, indique le FSN en soulignant la nécessité qu’il puisse jouir « de son droit à recevoir tous les soins médicaux adéquats et complets jusqu’à rétablissement».

Dans son communiqué, le Front regroupant des partis de l’opposition, a tenu à exprimer sa pleine solidarité avec Ajmi Lourimi estimant qu’il est « victime d’injustice et que sa détention est arbitraire décidée sur la base d’accusations fabriquées ».

Le FSN a par ailleurs saisi cette occasion pour réitérer sa demande pressante de libération de tous les détenus politiques.

Notons que selon Habib Torkhani, porte-parole de la Cour d’appel de Tunis, Ajmi Lourimi est accusé « de ne pas avoir signalé aux autorités compétentes, des faits dont il a connaissance, concernant un crime terroriste ».

Y. N.

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