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Centre culturel de Hammamet | « Convergence », exposition internationale de gravure

Von: Yusra NY
24. November 2025 um 23:47

Du 29 novembre au 10 décembre 2025, le Centre culturel de Hammamet accueille l’exposition internationale de gravure « Convergence »

Cet évènement est organisé avec la participation des artistes graveurs de différents pays, la Tunisie (représentée par Raja Zarbout, Salwa Aydi, Karima Hanachi, Karima Ben Saad, Naji Thabti, Kamel Abdallah), la Libye ( Mohammed Baraka), l’Égypte (Waheed Al-Belqasi, Basmalla Muhamed, Ayman Kadry,Muhammed Rahem, Mohamed Moussa, Mohamed Moussa, Muhammed Khaled), l’Arabie Saoudite (Ali Marzouk), la France (Christine Guichardon), la Slovaquie (Peter Kockak), le Nigéria (Tosin Oyeniyi) et la Corée du Sud (Park Chel Ho, Lee Eunsill).

Le vernissage est prévu pour samedi 29 novembre à 16h et l’exposition restera ouverte au public jusqu’au 10 décembre 2025.

Convergence

Nous sommes réunis par la même spécialité ; les idées peuvent diverger et varier, mais elles se rencontrent et interagissent au sein de l’exposition « Convergences ». Là où notre amour pour l’art de la gravure efface toutes les distances qui nous séparent, et où les expériences se croisent, malgré la diversité des techniques : de la gravure sur bois et linoléum, à la pointe sèche sur cuivre ou zinc, de l’impression sur papier ou tissu, jusqu’à la navigation entre les univers du noir et blanc et les éclats de la couleur.

Chacun de nous s’est exprimé à sa manière, libérant sa voix intérieure à travers cet art ancien qui ne cesse de se renouveler.

M’a interpellée une citation de l’artiste graveuse Rachida Ammar, publiée le 24 novembre 2025 sur sa page personnelle :
« La gravure artistique trébuche encore dans l’esprit et le regard du public arabe. »

C’est à partir de cette prise de conscience que l’exposition « Convergences » a vu le jour, tentant de réduire cet obstacle et de faire découvrir au public les différentes techniques de la gravure, en tant que langage plastique contemporain à part entière, riche et profond comme les autres formes d’expressions visuelles.

L’exposition a réuni des œuvres venant de Tunisie, d’Égypte, de Libye, d’Arabie Saoudite, de Slovaquie, du Nigeria, de France et de Corée du Sud, dans un dialogue visuel polyphonique, uni par une seule langue : celle de la gravure.

Un langage qui raconte les mêmes histoires à partir de perspectives différentes, et qui ouvre de nouvelles portes pour contempler les croisements de la mémoire, de l’expérience, du regard et des cultures.

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Humeur: La Badira 1 – Ala & Family 0 : quand la retenue triomphe du vacarme des réseaux

Un animateur de la télévision qui serait -paraît-il- célèbre, habitué aux projecteurs et aux “pass VIP”, s’est vu refuser l’accès à l’hôtel La Badira de Hammamet. Le motif ? Sacrilège : il était accompagné… d’un enfant.

La Badira est réservé aux adultes de plus de 16 ans. C’est clairement affiché partout — sur le mur d’enceinte extérieur de l’hôtel, sur son site web, sur les plateformes de réservation, et presque jusque sur ses serviettes de bain. Donc “Adults Only”, c’est clair, net et précis. Une formule légale appliquée pas par caprice, mais par choix. Un concept paisible, assumé, et même recherché par une clientèle qui aspire au silence… autrement dit, un monde sans cris, sans tablettes qui hurlent et sans que les jardins de l’hôtel ne se transforment en parc d’attraction.

Mais pour notre star du petit écran, accompagné de son épouse et de leur jeune fils, à qui l’on a refusé cette semaine l’entrée de l’établissement, cette règle relève de la barbarie hôtelière. Il a donc dégainé l’arme fatale du XXIe siècle : les réseaux sociaux.

Indignation en story, menaces de poursuites, envolée lyrique sur “l’injustice” d’un hôtel “qui refuse les enfants” (et donc, visiblement, met en péril l’avenir du pays). Le tout ponctué d’un superbe argument : “nulle part au monde ça n’existe”.

Ah, si seulement Google et ChatGPT n’étaient pas aussi élitistes, il aurait découvert que les hôtels “Adults Only” existent partout dans le monde. De Bali à Ibiza, de Santorin à Marrakech, des hordes d’adultes ravis y sirotent des cocktails dans un calme religieux — sans culpabiliser d’avoir laissé les enfants chez belle-maman, le temps d’un week-end prolongé pour se ressourcer.

Mais visiblement, dans le pays des privilèges télévisuels, les règles ne s’appliquent qu’aux autres. On réclame le respect du droit à la tranquillité… à condition que ce soit la sienne.

Et quand l’argument “je venais juste pour un rendez-vous” surgit — comme si le mot “rendez-vous” était un passe-partout magique —, on touche au sublime : on ne voulait pas dormir, juste transgresser un principe. Une nuance subtile que seuls les influenceurs et les procureurs autoproclamés de Facebook peuvent comprendre.

Les propriétaires de l’hôtel, eux, ont carrément été affublés du titre de “bandits”, selon notre star offensée. Parce qu’aujourd’hui, tenir sa ligne, créer un concept et le respecter, c’est devenu un délit. Et le plus marrant, c’est qu’ils se sont ensuite rabattus sur l’hôtel voisin qui les a acceptés (s’agissant cette fois d’un hôtel ouvert aux familles), ne tarissant pas d’éloge à son égard, ignorant qu’il appartient… au même groupe.

Moralité : dans le grand théâtre des réseaux, il n’y a plus de place pour le bon sens. On y confond liberté et privilège, lois et caprices, éthique et égo blessé.

Pendant ce temps, à La Badira, personne ne s’est offusqué. Les clients sirotent toujours leur thé aux pignons dans un calme « badirien », sans réaction, sans sourciller, sans droit de réponse indigné.

La direction, adoptant une zen attitude, a superbement ignoré le vacarme virtuel et certainement observé -non sans un petit rictus- cette tempête qui s’est, au final, retournée contre le couple, ridiculisé par les internautes qui se sont gaussés de leur comportement.

Donia TOUIHRI

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Comment l’aéroport d’Enfidha adapte son offre aux attentes des charters Omra

La mise en place d’un programme de vols charters vers les Lieux Saints par un groupement d’agences de voyage sur l’aéroport d’Enfidha-Hammamet a donné lieu à la création de nouveaux services pour améliorer l’expérience des passagers.

Enfidha-Hammamet adapte son offre aux attentes des pèlerins se rendant en Arabie Saoudite. A l’occasion du démarrage de la nouvelle saison de la Omra, TAV Tunisie, gestionnaire de l’aéroport, a déployé un ensemble de nouveaux services pour s’adapter aux besoins de cette clientèle spécifique.

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Une salle d’embarquement à l’aéroport d’Enfidha, ici pour un vol Omra.

Concrètement et s’agissant de passagers comprenant un pourcentage important de personnes âgées ou voyageant pour la première fois, une assistance personnalisée a été mise en place avec un renforcement du nombre d’agents d’accueil et d’orientation pour une assistance personnalisée, un parcours fluidifié à travers un circuit dédié, des zones d’accueil spécifique, ainsi que la mise en place d’espaces de prière pour hommes et femmes.

Cette approche, selon Francis Sesplugues, directeur général adjoint de TAV Tunisie, « reflète la vision du groupe de bâtir un écosystème aéroportuaire connecté, centré sur la qualité de service aux passagers. »

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Cérémonie d’inauguration du premier vol Omra de la saison : Francis Sespluges (DGA TAV Tunisie) avec le commandant de bord de la Saudia.

5 agences de voyages à l’origine des charters

L’aéroport d’Enfidha-Hammamet va enregistrer durant cette nouvelle saison du petit pèlerinage une nette progression du nombre de vols vers la Mecque. Alors que lors de la dernière saison, on avait enregistré 6 charters, durant cette saison qui s’étend jusqu’à fin avril 2026, ce sont 31 rotations qui sont programmées au départ d’Enfidha vers Médine et avec retour en provenance de Jeddah.

Une programmation mise en place par un groupement de 5 agences de voyage tunisiennes (Liberta Voyages, Sassi Voyages, Mirage Travel & Tours, Options Voyages, Sava Travel et qui seront consolidées en décembre par Rahlati).

Les vols seront opérés par la compagnie Saudia via des modules A.330 et B.777 pouvant accueillir les 380 passagers prévus à chaque desserte. Le premier vol est arrivé à Enfidha-Hammamet le 8 novembre avec 381 pèlerins à bord.

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Le premier charter Omra de la saison à l’aéroport d’Enfidha-Hammamet opéré par la compagnie Saudia.

Pour les agences de voyage spécialistes de la Omra, l’aéroport Enfidha-Hammamet apparaît désormais comme une évidence. Zied Felfoul, de l’agence Options Voyages, explique que «la situation géographique de l’aéroport d’Enfidha-Hammamet constitue un atout de taille pour la clientèle du centre et du sud puisqu’il permet aux pèlerins et à leur familles accompagnantes de réduire le temps et la distance de déplacement en leur évitant de devoir monter jusqu’à Tunis par exemple

Le responsable souligne également que «la relation avec la direction de l’aéroport est particulièrement souple, ce qui a permis de bénéficier de services en conformité avec les besoins de [notre] clientèle

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Accueil des pèlerins par leurs familles à leur arrivée sur le premier vol charter à l’aéroport d’Enfidha le 8 novembre 2025.

Pour le directeur général adjoint de TAV Tunisie, « ces vols positionnent Enfidha comme un hub stratégique et confirme [notre] rôle de facilitateur de mobilité vers les Lieux Saints », ajoutant également au passage et pour la petite histoire que l’aéroport de Médine est également géré par le groupe aéroportuaire franco-turc. « En reliant deux aéroports gérés par TAV Airports, nous créons une continuité de service unique au sein du réseau du groupe ADP », a-t-il également indiqué.

©Destination Tunisie

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Kamel Fourati, figure de l’hôtellerie hammamétoise nous quitte

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La disparition hier de Kamel Fourati, ancien hôtelier à Hammamet, laisse un grand vide dans le cœur de ceux qui l’ont connu.

Plus qu’un professionnel reconnu, il était un homme de contact, un ami fidèle et une figure respectée du monde de l’hospitalité. Pendant des années, Kamel Fourati a incarné cette élégance discrète propre aux grands hôteliers. Sa délicatesse, son sens de l’accueil, son sourire constant et son attention aux autres faisaient de lui plus qu’un compagnon : un ami.

À travers son travail, il a contribué à faire rayonner l’image d’Hammamet (il fut un temps où son hôtel Le Fourati attirait le Tout Tunis, le Tunis qui comptait), Hammamet, une ville qu’il chérissait profondément, et dont il connaissait chaque nuance, chaque lumière.

Attentif à ses équipes, toujours prêt à communiquer, ici, un membre de l’équipe de l’hôtel, là, un client etc. Ses amis, eux, gardent en mémoire sa générosité, son humour, son sourire constant et cette bienveillance naturelle qui donnait envie de le côtoyer.

Avec lui s’éteint une voix douce, mais demeure un souvenir fort : celui d’un homme qui aimait son métier, et par-dessus tout ses amis, sa ville et les gens. Son empreinte, elle, restera longtemps dans le cœur de ceux qui ont eu la chance de l’appeler ami. un homme de cœur et de parole, dont l’amitié sincère et la joie de vivre auront marqué son entourage à jamais.

Nos condoléances les plus attristées à sa famille et à tous ses proches.

Ps: L’enterrement a eu lieu le 28 octobre à Kairouan.

Hamma Hanachi

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Tunisie : La prière sur le terrain de basket rallume la bataille autour de l’école

28. September 2025 um 11:26

La récente affaire du lycée Mohamed Boudhina, à Hammamet – des élèves priant sur le terrain de basket – a réactivé un débat déjà ancien en Tunisie : faut-il autoriser les prières dans les établissements scolaires ? Entre la neutralité de l’école, la liberté de culte, les usages politiques et le rôle de l’éducation, les lignes de fracture réapparaissent avec acuité.

À Hammamet, des lycéens ont prié collectivement sur le terrain de basket, défiant la direction et brandissant le slogan : « On ne peut pas obéir à une créature et désobéir au Créateur ». Les images, devenues virales, ont aussitôt transformé un incident local en nouvelle querelle nationale sur la place du religieux dans l’école.

Mais il serait dangereux de réduire l’éducation tunisienne à ce théâtre d’affrontements identitaires. L’école est d’abord un espace de savoir, de liberté et d’émancipation. Elle ne doit pas devenir un champ de bataille idéologique, où les adolescents se retrouvent instrumentalisés par des logiques qui les dépassent.

La Constitution garantit la liberté de culte, mais aussi la neutralité des lieux publics. Ce double principe impose une règle simple : chacun doit pouvoir croire, prier ou ne pas prier — mais l’école doit rester neutre, protégée de toute forme de pression, qu’elle soit religieuse, politique ou idéologique. Laisser se développer des pratiques collectives visibles, sous l’œil des caméras et au détriment du cadre éducatif, revient à miner l’autorité de l’institution scolaire et à fragiliser l’égalité entre élèves.

Il y a une hypocrisie à invoquer la liberté religieuse tout en niant celle des autres : qu’en est-il de ceux qui ne veulent pas participer à ces démonstrations, mais qui subissent la pression du groupe ? L’école n’est pas une mosquée, pas plus qu’elle n’est une salle de meeting. Elle doit être un sanctuaire pour l’esprit critique, pas un terrain de surenchère.

À l’heure où la Tunisie peine à redresser ses résultats scolaires et à préparer ses jeunes aux défis de demain — science, technologie, climat, citoyenneté — se focaliser sur des tapis de prière au milieu d’un lycée est un luxe qu’elle ne peut plus s’offrir.

Le débat est révélateur : certains veulent faire de l’école un miroir des clivages religieux, d’autres un espace d’unité et de savoir. Il est temps que l’État tranche, clairement, pour rappeler que la mission de l’école n’est ni d’encadrer des rites, ni de nourrir des polémiques, mais de former des citoyens libres et éclairés.

Défendre la neutralité de l’école, ce n’est pas être contre la foi. C’est protéger le droit de chaque élève, croyant ou non, d’apprendre dans un espace serein, à l’abri des pressions.

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Hammamet : L’hyperréalisme selon Fedele Spadafora

27. September 2025 um 10:01

Le Centre culturel international de Hammamet accueille jusqu’à demain, dimanche 28 septembre, une exposition de tableaux de l’artiste américain Fedele Spadafora. Cette exposition est née d’une résidence artistique à Dar Sebastian et se poursuit depuis le 14 septembre sous le titre  » Reflections « .

En soi, cet intitulé choisi par l’artiste intrigue par sa polyvalence et son intertextualité. En effet, en langue anglaise, le terme  » Reflections  » signifie aussi bien reflets que réflexions qui lui-même suggère une pensée en mouvement. En outre, cette notion pose la présence du réel dans une œuvre qui peut à la fois le reproduire ou lui faire subir une distorsion.

Ainsi, dès le premier mot, la démarche de Fedele Spadafora nous place dans un écart qui est celui de l’œuvre dans sa relation au réel. Ce réel, l’artiste le recrée à sa guise tout en plaçant notre regard dans un univers où l’hyperréalisme n’est jamais absent.

Dans sa manière de réaliser un portrait ou une nature morte, Fedele Spadafora semble installé dans un dispositif qui assimile ses tableaux à des photographies légèrement nimbées de flou mais absolument fidèles au modèle. Cette technique débouche sur des œuvres pétries de vérité et issues de scènes du quotidien ou de visages saisis dans leur placidité anonyme et leurs atours culturels.

Avec une palette d’une grande douceur, l’artiste sait feutrer ses couleurs, leur donner une texture photographique et une touche d’éternité. Parfois abstrait et impressionniste à la fois, parfois à la façon des grands néerlandais, Fedele Spadafora restitue des fragments de vérité, des feuillets d’observation et un jeu de réflexion de la lumière.

Tels qu’il les voit, ses personnages sont attachants, patinés par la lumière, burinés par le temps. Lorsqu’il peint des fruits, ils sont charnus, rutilant dans les reflets et alourdis par leur ombre.

Cette nouvelle série de l’artiste américain qui vit entre New-York et Hammamet mérite amplement le détour et complète à la perfection, la série antérieure intitulée  » Carthage  » dont elle constitue un second versant. Alors que le finissage de l’exposition  » Reflections  » est pour demain, il est encore temps de découvrir les inspirations d’un artiste qui se nourrit de lumières tunisiennes et de l’écho antérieur de nombreux peintres voyageurs ayant eux aussi sublimé notre pays, ses paysans et ses paysages.

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Disparition de Mohamed Laamouri, fondateur de la chaîne Hasdrubal

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Le secteur hôtelier tunisien a perdu aujourd’hui l’une de ses figures pionnières. Mohamed Laamouri, fondateur de la chaîne Hasdrubal, s’est éteint, laissant derrière lui une empreinte indélébile dans le paysage du tourisme national.

Visionnaire, il fut parmi les quelques rares précurseurs à défendre l’idée que la Tunisie devait miser sur le luxe pour se distinguer et attirer une clientèle internationale exigeante. À une époque où le pari pouvait sembler audacieux, il s’est engagé avec conviction à développer une offre haut de gamme, posant ainsi les jalons d’un tourisme différent, fondé sur l’excellence et le raffinement.

Son héritage se lit aujourd’hui dans les établissements qu’il a fondés à Hammamet, Sousse et Djerba, devenus des références dans l’hôtellerie tunisienne et méditerranéenne.

Avec sa disparition, la Tunisie perd un entrepreneur qui a contribué à redéfinir les contours de la destination, mais son œuvre continuera de vivre à travers les hôtels Hasdrubal, symboles de son audace et de sa vision.

L’équipe de Destination Tunisie présente ses condoléances les plus attristées à ses enfants mais également à tous ses collaborateurs.

Qu’il repose en paix.

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30. Aug 2025: Zwei schwache Erdbeben nahe Hammamet [M2.6-2.9]

Von: Wettermann
30. August 2025 um 20:34

Erdbeben-Überwachungsstationen haben am Samstag, den 30. Aug 2025, zwei schwache Erdbeben nahe Hammamet registriert. Das erste Beben ereignete sich um

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Tunisie : Deux secousses telluriques enregistrées à Gabes et Hammamet

30. August 2025 um 10:36

L’Observatoire tunisien de la météo et du climat a signalé deux secousses telluriques enregistrées ce samedi 30 août 2025.

La première secousse d’une magnitude de 3,3 sur l’échelle de Richter a été enregistrée dans le golfe de Gabès à 00h30.

La deuxième secousse d’une magnitude de 2,9 a été enregistrée à 01h29 à Hammamet (gouvernorat de Nabeul).

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L’aéroport d’Enfidha-Hammamet installe des Kumulus Water

Chez TAV Tunisie, on estime que cette initiative représente une première étape vers un modèle aéroportuaire plus durable, où le bien-être humain et la préservation de la planète vont de pair.

Dans le cadre de ses engagements en faveur du développement durable, de l’amélioration de la qualité de vie au travail et de l’optimisation des services au sein de ses aéroports, TAV Tunisie annonce l’installation de plusieurs machines Kumulus Water à l’aéroport international Enfidha-Hammamet.

Le lancement officiel du projet a eu lieu le jeudi 31 juillet 2025, en présence de Mélanie Lefebvre, Directrice Générale de TAV Tunisie, ainsi que de l’ensemble du personnel aéroportuaire.

Cette initiative s’inscrit dans une politique RSE ambitieuse visant à proposer une alternative écologique, économique et durable à la consommation d’eau en bouteille. Grâce à cette technologie innovante, l’humidité de l’air ambiant est captée, filtrée, minéralisée, puis transformée en eau potable — sans aucun raccordement au réseau hydraulique. Chaque machine peut produire en moyenne 30 litres d’eau potable par jour, permettant de :

-Réduire significativement la consommation de plastique à usage unique ;

-Limiter les émissions de CO₂ liées au transport et à la logistique de l’eau ;

-Garantir un accès permanent à une eau fraîche, saine, certifiée et minéralisée ;

-Favoriser l’hydratation et le bien-être des employés de l’aéroport.

« Ce projet illustre parfaitement notre volonté d’intégrer des solutions innovantes et responsables au sein de nos infrastructures. Nous sommes fiers de contribuer activement à la protection de l’environnement, tout en améliorant le quotidien de nos collaborateurs », a déclaré Mélanie Lefebvre.

Lors de la cérémonie, les participants ont assisté à un atelier de présentation (« onboarding »), suivi de démonstrations pratiques et d’une dégustation d’eau Kumulus dans les espaces de détente du personnel. Une animation ludique sous forme de quiz a également permis de sensibiliser les collaborateurs aux enjeux liés à l’eau et à la durabilité.

Dans les prochains jours, l’aéroport international de Monastir Habib-Bourguiba sera également équipé de machines Kumulus Water, confirmant ainsi la volonté de TAV Tunisie d’étendre cette démarche durable à l’ensemble de ses plateformes aéroportuaires.

Kumulus Water, start-up franco-tunisienne fondée à Paris, est aujourd’hui reconnue au niveau international pour ses solutions innovantes d’eau atmosphérique. Lauréate de plusieurs prix prestigieux (EBRD, SelectUSA, VivaTech), elle collabore déjà avec des partenaires majeurs tels que Sanofi, l’IFC, World Bank Group, PWC ou encore plusieurs ONG internationales.

 

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La Badira: son nouveau projet à Aïn Draham

La région de Aïn Draham va voir s’implanter un nouvel hôtel arborant le brand La Badira. Détails du projet.

La Badira étend sa toile: après Hammamet, un nouvel établissement portant la même appellation est en cours de construction à Aïn Draham.

Il s’agit de l’ancien hôtel Les Chênes, propriété de la CTAMA qui a confié sa réalisation à Mouna Ben Halima, propriétaire de La Badira à Hammamet, qui l’exploitera lors de son ouverture en gestion pour compte sous l’appellation Les Chênes by La Badira.

Le site de l’ancien établissement a totalement été rasé; il est actuellement en pleine reconstruction pour en faire un hôtel de charme de 28 chambres avec 11 suites familiales de 4 lits et 4 autres très grandes suites de prestige notamment avec jacuzzi privatif, cheminées, etc.

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L’avancement du chantier du futur Badira à Aïn Draham (juin 2025).

Le projet devrait accueillir ses premiers clients au premier trimestre 2026. Sa gestionnaire souhaite préserver la mémoire de l’établissement d’origine et recherche dans cette optique notamment des photos d’époque.

La renaissance de l’hôtel Les Chênes – qui est situé à 704 mètres d’altitude et dont l’origine remonte à l’année 1907- s’inscrit dans la foulée de la remise en exploitation d’un autre hôtel tout aussi mythique de la région, à savoir La Forêt qui a officiellement rouvert ses portes récemment après rénovation complète.

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L’hôtel aura une capacité de 28 clés.

A Aïn Draham, ce renouveau hôtelier intervient dans le cadre d’une dynamique qui s’accélère dans le périmètre de cette zone forestière dont l’offre est complétée par un certain nombre de maisons d’hôtes de qualité (Dar Monia, les Chaumières de Aïn Draham…) qui participent à permettre à la région de renouer avec un caractère touristique qui était le sien il y a plusieurs décennies, à savoir une destination nature et immersive tout au long de l’année.

D.T

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11. Juni 2025: Erdbeben südöstlich von Hammamet unter dem Meer [M3.2]

Von: Wettermann
11. Juni 2025 um 20:32

Erdbeben-Überwachungsstationen haben am Mittwoch, den 11. Juni 2025, um 14.57 Uhr ein Erdbeben der Stärke M3.2 auf der Richterskala, vor

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A Hammamet, l’hôtel La Badira dédicace l’une de ses suites à la mémoire de Leïla Menchari

Pour rendre hommage à Leïla Menchari, l’hôtel La Badira à Hammamet a décidé de réaliser une suite spécifique en son nom. Plus encore, cet appartement reprend les références artistiques de celle qui était surnommée La Reine Mage.

On ne célèbrera jamais assez l’empreinte de Leïla Menchari; pour l’artiste iconique qu’elle était et pour son engagement en faveur de la valorisation de l’artisanat tunisien, notamment dans les fameuses vitrines de la maison Hermès à Paris qu’elle sublimait par ses créations originales.

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Quelques-unes des vitrines d’Hermès reconstituées en miniature, oeuvres de Leila Menchari.

Artiste solaire et engagée, Leïla Menchari avait fait aussi de la ville de Hammamet un refuge, une source d’inspiration infinie, un dialogue silencieux entre l’art et la mer. Aujourd’hui, l’hôtel La Badira lui consacre une nouvelle suite que Mouna Ben Halima, maîtresse des lieux, s’est empressée de faire rayonner. « Nous avons voulu célébrer l’héritage de Leïla Menchari à travers un espace qui lui ressemble, alliant élégance, authenticité et poésie », explique-t-elle, soulignant que « cette suite est une invitation à découvrir Hammamet sous un nouveau jour, à travers les yeux d’une artiste qui l’a tant aimée.»

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Cette opération s’inscrit dans le cadre des actions liées au 10e anniversaire de l’hôtel. Cette suite Legend de 160 m² complète ainsi une série de 6 grandes suites avec piscines privées dédiées à une figure illustre ayant marqué l’histoire et contribué au rayonnement international d’Hammamet, chacune dédiée, en plus de Leila Menchari, à Paul Klee, George Sebastian, Wallis Simpson, Claudia Cardinale et Jean Cocteau.

Successions d’hommages

Cette suite n’a pas vocation à être une simple chambre d’hôtel où l’on vient pour dormir ou se relaxer, contempler la plage et la mer. C’est un écrin vivant, vibrant des couleurs de Leïla Menchari, de son image et de ses souvenirs. Chaque détail évoque son regard unique sur le patrimoine, qu’elle savait magnifier sans jamais le figer. Le décor incite à la contemplation et à la méditation.

En guise d’accueil, et avant même de pénétrer dans la suite, dans le hall d’entrée, le nom de Leïla Menchari trône magistralement, telle une dédicace murale, aux côtés de 5 de ses vitrines miniatures reprenant fidèlement le travail qu’elle avait réalisé pour le compte d’Hermès.

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Le subtil mélange de matériaux nobles, de couleurs chatoyantes et les éléments de l’artisanat tunisien qui la composent renvoie vers l’âme de l’artiste. Un travail de restitution et de mémoire réalisé par deux décoratrices tunisiennes, Arlette Zouaoui et Chebilya Sayah Kaouel.

« Une de nos bases de travail a été l’ouvrage de Leïla Menchari “Les Vitrines Hermès, Contes nomades” où sont décrites toutes ses vitrines qui sont des pures merveilles du point de vue de la composition, de l’originalité et de la création », explique Arlette Zouaoui, qui ajoute: « Nous avons voulu mêler couleurs vibrantes, objets rares et ce sens si aigu du théâtre qu’elle projetait dans les espaces réduits où elle s’exprimait ».

Dès l’entrée dans la suite, c’est une onde de couleurs chatoyantes qui subjugue le visiteur. A commencer par cette table en mosaïque de marbre aux thématiques maritimes (poissons, vagues et branches de corail, avec des incrustations de pierres semi-précieuses dont des lapis-lazuli pour rappeler le bleu de la Méditerranée et bucoliques) réalisée par un autre artiste, Mehdi Benedetto, qui eut l’occasion de collaborer avec Leïla Menchari en son temps.

Le décor renvoie vers la mer qui éclaire déjà tout le salon de sa lumière. Dans la continuité de la table, une œuvre de l’artiste tunisienne Sinda Belhassen trône magistralement dans la pièce avec ses branches de coraux et algues marines en 3D.

Deux autres grands tableaux aux tons pastel de la même artiste, inspirés par les croquis de Leïla Menchari et réalisés avec des matériaux naturels évoquant les jardins d’Hammamet, sont placés  de part et d’autre de la table à manger.

La présence d’une selle de cheval ne laisse pas indifférent. Posée dans un angle du salon, elle interpelle le visiteur curieux de savoir quel rapport avec Leïla Menchari. Le lien existe bien-sûr puisqu’il s’agit d’une manière de dire que cette dernière faisait elle-même broder des éléments de sacs pour Hermès par un artisan des souks de Tunis.

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Dans un des angles de la suite se trouve une selle traditionnelle, entièrement brodée à la main au fil d’argent, avec des motifs colorés. A droite, une suspension en verre soufflé tunisien rappelant l’atmosphère des palais anciens de l’époque du beylicat.

La chambre à coucher, une ode à la tradition tunisienne

Ce qui attire le regard en entrant dans la chambre tout d’abord, c’est la tête de lit avec son contour décoratif en bois connu sous l’appellation, hanout hajjem datant du XVIIème siècle. Son bois sculpté et incrusté de miroirs rappelle les décors des mille et une nuits.

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Dans l’axe, un tableau typiquement tunisien fixé sous verre évoque les amours d’Antar et Abla, les « Roméo et Juliette de la littérature arabe », comme les décrit Amin Maalouf.

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Face au lit, un panneau décoratif est inspiré de la vitrine « Les vagues de marbre » de Leïla Menchari, très joliment décrite dans le livre « Leïla Menchari, la Reine Mage », édité par Hermès chez Actes Sud.

Cette suite se complète par une terrasse spacieuse, baignée de lumière. Face à l’horizon infini, une mer azur, bercée par le doux clapotis des vagues.

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Là, en toute intimité, la piscine privée ajoute à la fraîcheur, au confort absolu et l’élégance. Un écrin exclusif où le luxe se vit au rythme du soleil, entre ciel et mer et qui renvoie vers un jardin, celui de Dar Henson, la maison de Leïla Menchari à Hammamet, immortalisé.

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L’aéroport Enfidha-Hammamet lance ses premiers vols pour la Omra

L’aéroport international d’Enfidha-Hammamet annonce le lancement de ses tout premiers vols de la Omra, marquant ainsi une nouvelle ère dans la facilitation du voyage vers les Lieux-Saints pour les pèlerins.

Dans un communiqué de presse, la direction de l’aéroport souligne que cette initiative stratégique, fruit d’un partenariat étroit avec Saudia Airlines et Kounouz Travel, témoigne de l’engagement de l’aéroport à miser sur la proximité pour répondre davantage aux besoins et aux exigences des pèlerins dans toutes les régions du pays, mais aussi pour promouvoir une offre de transport aérien moderne, sûr et confortable, répondant aux attentes d’une clientèle en quête d’excellence.

Les premiers vols entre Enfidha et Djeddah (JED) sont programmés le jeudi 20 et vendredi 21 mars 2025, alors que les vols retour Médine (MED)-Enfidha sont programmés le mardi 8 et le mercredi 9 avril 2025.

Les vols Enfidha et Djeddah (JED) et Médine (MED)-Enfidha s’effectueront à bord d’appareils Airbus A330 de dernière génération, offrant une capacité comprise entre 360 et 426 sièges.

Ces avions, équipés des technologies les plus récentes, assurent non seulement un confort de vol inégalé mais respectent également les normes internationales les plus strictes en matière de sécurité aérienne, garantissant une expérience de voyage sereine et efficace.

« Au-delà de l’enrichissement de son réseau, l’ouverture de ces lignes confirme la volonté l’aéroport d’Enfidha-Hammamet de se positionner comme un véritable hub aérien régional, attractif capable d’offrir  des solutions de transport qui incarnent l’excellence et l’innovation au service du tourisme religieux et du développement régional » souligne encore le communiqué.

 

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Neue Busverbindungen von und zum Flughafen Enfidha-Hammamet

Von: Redaktion
12. Juli 2024 um 16:21

Die Einweihungszeremonie der neuen Busverbindungen der Socièté de Transport du Sahel (STS), die den Flughafen mit den wichtigsten Touristenstädten an der Küste verbinden, wurde am Mehr

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