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Peut-on commencer à se familiariser avec une nouvelle langue… avant même d’être né? Une équipe de chercheuses en neuropsychologie vient de montrer que oui: faire entendre à un fœtus une langue étrangère quelques semaines durant la grossesse suffirait à moduler ses réseaux cérébraux du langage. Dès les premières heures de vie, le traitement de la langue étrangère à laquelle il a été soumis suivrait le même patron que le traitement de sa langue maternelle, alors qu’une langue avec laquelle le nouveau-né n’aurait jamais été en contact serait traitée différemment dans son cerveau.
Cette étude a bénéficié d’une subvention du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada. Elle a fait l’objet d’un article scientifique dans la revue Communications Biology dont les auteures principales sont Andréanne René et Laura Caron-Desrochers, doctorantes en psychologie à la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal, dirigées par la professeure Anne Gallagher.
L’article Des chercheurs montrent qu’un fœtus peut déjà reconnaître une langue étrangère avant la naissance est apparu en premier sur WMC.

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En quelques jours, Donald Trump a replacé le nucléaire au centre du pouvoir américain — civil et militaire à la fois.
D’un côté, un accord à 80 milliards de dollars entre Washington et Westinghouse Electric, soutenu par les Canadiens Cameco et Brookfield, pour financer et accélérer la construction de nouveaux réacteurs civils.
De l’autre, la possibilité d’une reprise des essais nucléaires souterrains, interrompus depuis 33 ans.
Le message est clair : dans l’ère de l’intelligence artificielle et de la rivalité mondiale, la puissance se mesure désormais en mégawatts et en ogives.
Selon les termes de l’accord, l’État américain facilitera le financement et les autorisations de réacteurs Westinghouse pour un montant global de 80 milliards de dollars, en échange d’une participation de 20 % dans les bénéfices futurs et d’une prise de participation potentielle dans l’entreprise si sa valeur dépasse 30 milliards d’ici 2029.
Une structure inédite qui fait du gouvernement un acteur financier direct du nucléaire, brouillant la frontière entre régulateur et bénéficiaire.
Ce partenariat incarne la stratégie de Trump : maximiser la production énergétique pour répondre à la soif électrique des data centers et de l’IA, tout en réaffirmant la suprématie industrielle américaine face à la Chine et à la Russie.
Les experts alertent sur les risques d’une dérégulation sous pression. “Les catastrophes de Three Mile Island, Tchernobyl et Fukushima ont toutes une cause commune : le manque d’indépendance du régulateur”, avertit Greg Jaczko, ex-président de la Nuclear Regulatory Commission.
Westinghouse, dont le dernier chantier à Vogtle (Géorgie) a provoqué une faillite en 2017 après sept ans de retard et un coût final de 35 milliards de dollars, veut désormais tourner la page avec ses nouveaux réacteurs AP1000.
Mais les défenseurs de l’environnement rappellent que la crise climatique — sécheresses, réchauffement des eaux — pourrait rendre la production nucléaire encore plus instable.
Interrogé vendredi à bord d’Air Force One sur la reprise possible des essais nucléaires, Trump a simplement répondu : “You’ll find out very soon.”
Selon Reuters, cette déclaration vise autant à rassurer les partisans d’une Amérique forte qu’à envoyer un signal à Pékin et Moscou, accusés de moderniser leurs arsenaux.
Trump a ordonné au Pentagone de “reprendre immédiatement le processus de tests”, une annonce qui met fin à trois décennies de moratoire et réveille les réflexes de la Guerre froide.
Les experts restent prudents. “Ni la Chine ni la Russie n’ont effectué de tests explosifs”, rappelle l’amiral Richard Correll, chef du Strategic Command.
Mais le discours présidentiel, lui, relance la spirale symbolique de la dissuasion.
En mariant le nucléaire civil de profit et le nucléaire militaire de menace, Donald Trump redéfinit la doctrine américaine :
l’atome redevient un outil de souveraineté absolue, un levier économique autant qu’un instrument psychologique.
Les analystes parlent déjà d’un “New Atomic Age”, où la conquête énergétique et la stratégie militaire avancent main dans la main.
“Nous sommes revenus à la dynamique de la Guerre froide”, note Jon Wolfsthal, ancien conseiller de Barack Obama.
Lire aussi:
Trump déploie des sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev
L’article Trump relance la guerre de l’atome : du deal Westinghouse aux essais nucléaires est apparu en premier sur webdo.
Une équipe de chercheurs allemands a révélé la possibilité d’améliorer l’efficacité du médicament traditionnel « tamoxifène » en l’associant à un complément connu sous le nom de « Z-endoxifène », ce qui pourrait représenter une avancée médicale significative pour les femmes qui ne réagissent pas bien au traitement actuel.
Il est à noter que Le « tamoxifène » est l’un des principaux médicaments utilisés dans le traitement du cancer du sein hormonalement dépendant.. Toutefois, son efficacité diminue chez environ un tiers des patientes en raison de la diminution des niveaux de l’enzyme « CYP2D6 », qui est responsable de la conversion du médicament en sa forme active dans le corps.
L’étude, publiée dans la revue « Clinical Cancer Research », spécialisée dans la recherche oncologique, a précisé que l’administration du médicament « Z-endoxifène » en complément aide à surmonter cet obstacle biochimique et à renforcer l’efficacité du traitement chez les femmes qui souffrent d’une faible transformation médicamenteuse.
L’étude a impliqué 235 femmes au stade précoce de la maladie, avec un groupe recevant uniquement du « tamoxifène » et un autre recevant le traitement combiné avec « Z-endoxifène ». Les résultats ont montré que les niveaux du médicament actif dans le sang étaient similaires dans les deux groupes, avec des effets secondaires légers et comparables.
L’article Cancer du sein : une équipe allemande améliore l’efficacité du tamoxifène grâce au Z-endoxifène est apparu en premier sur WMC.
Les exportations égyptiennes de vêtements confectionnés ont progressé de 22% au cours des neuf premiers mois de 2025, atteignant 2,5 milliards de dollars, contre 2,05 milliards sur la même période de l’an dernier, selon les données publiées jeudi par le Conseil d’exportation des vêtements confectionnés en Égypte. Cette hausse équivaut à un gain de 450 millions de dollars.
Le secteur connaît depuis le début de l’année une dynamique exceptionnelle, soutenue par un plan de croissance visant une progression annuelle de 30 à 35% et un objectif ambitieux de 12 milliards de dollars d’exportations d’ici 2030.
Le président du Conseil d’exportation des vêtements, Fadhel Marzouk, a indiqué que les entreprises du secteur devaient poursuivre leurs efforts de présence sur les marchés internationaux afin de maintenir cette trajectoire ascendante. Il a précisé que la valeur totale des exportations pourrait atteindre 3,6 milliards de dollars d’ici la fin de l’année, soit le niveau le plus élevé jamais enregistré.
Les marchés européens ont enregistré une croissance de 30%, totalisant 637 millions de dollars sur les neuf premiers mois, confirmant le potentiel du Vieux Continent pour le prêt-à-porter égyptien. Toutefois, Marzouk a insisté sur la nécessité de diversifier les débouchés vers d’autres régions.
Le marché américain demeure la destination principale des vêtements égyptiens, avec 990 millions de dollars d’exportations, en hausse de 13% grâce à l’accord commercial QIZ.
Enfin, le marché saoudien s’impose comme une nouvelle locomotive : les exportations y ont plus que doublé (+116%) pour atteindre 283 millions de dollars sur les neuf premiers mois de 2025.
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Le géant américain des puces Nvidia a annoncé vendredi un plan d’envergure pour déployer jusqu’à 260 000 unités de traitement graphique (GPU) en Corée du Sud, en collaboration avec le gouvernement et plusieurs entreprises majeures du pays. L’objectif est de construire des usines d’intelligence artificielle (IA) et de renforcer la position de la Corée comme centre mondial de calcul IA.
Selon l’agence Yonhap, Samsung Electronics, SK Group, Hyundai Motor Group et Naver Cloud Corp. installeront leurs propres centres de calcul IA équipés des derniers GPU Blackwell de Nvidia. Chaque entreprise déploiera jusqu’à 50 000 GPU, à l’exception de Naver Cloud qui en installera 60 000, portant le total à 260 000 unités.
Le gouvernement coréen allouera jusqu’à 50 000 GPU supplémentaires pour la création d’une plateforme nationale d’“IA souveraine”, destinée à entraîner de grands modèles de langage (LLM) adaptés à la langue coréenne et à des applications industrielles.
Cette initiative portera la capacité totale de GPU installés en Corée de 65 000 à plus de 300 000 unités, faisant du pays l’un des principaux centres mondiaux de calcul IA hors des États-Unis. Nvidia souligne que l’infrastructure basée sur l’architecture Blackwell permettra de renforcer la recherche en IA et les applications industrielles locales.
Samsung utilisera sa nouvelle usine d’IA pour accélérer la fabrication de semi-conducteurs, via des simulations de jumeaux numériques et la robotique intelligente, avec les plateformes NeMo, CUDA-X et Omniverse de Nvidia.
Hyundai Motor emploiera ses 50 000 GPU pour l’entraînement de modèles IA destinés à la conduite autonome, à la robotique et aux usines intelligentes, dans le cadre d’un co-investissement d’environ 3 milliards de dollars avec le gouvernement sud-coréen.
Nvidia prévoit également de développer des réseaux d’accès radio 6G basés sur l’IA, ouvrant la voie à un système sans fil de nouvelle génération.
Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, arrivé jeudi en Corée, a rencontré les présidents de Hyundai Motor Group, Euisun Chung, et de Samsung Electronics, Lee Jae-yong, pour finaliser les collaborations. Les détails financiers des accords n’ont pas été rendus publics.
L’article Nvidia et la Corée : 260 000 GPU pour l’IA souveraine et l’industrie avancée est apparu en premier sur WMC.

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Dans un message publié jeudi 30 octobre sur la plateforme X, Junts a annoncé que 86,98 % des membres du parti avaient voté en faveur de la proposition de la direction et que seulement 10,22 % avaient exprimé le souhait de continuer à soutenir le gouvernement Sanchez.
Carles Puigdemont, chef du parti et figure de proue du mouvement indépendantiste catalan, a milité pour cette scission. « Nous entrons dans l’opposition… Nous n’aiderons pas ceux qui n’aident pas la Catalogne ».
Bien que cette mesure n’entraîne pas la chute du gouvernement minoritaire, celui-ci ne pourra plus compter sur les sept sièges de Junts au Parlement (350 députés).
Au cours des deux dernières années, Junts a apporté son soutien de manière ponctuelle, généralement en échange de concessions de la part du gouvernement, qui détient 146 sièges et dépend d’un certain nombre de petits partis régionaux pour pouvoir faire adopter certaines lois.
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Après une rencontre à Busan (Corée du Sud), Washington annonce une baisse de l’«average tariff» sur les importations chinoises de 57% à 47%. Pékin diffère pendant un an ses nouvelles restrictions d’exportation sur les terres rares. Les deux pays suspendent pour un an leurs frais portuaires réciproques.
Objectif : désescalade commerciale et reprise ciblée des échanges.
La Chine s’engage à reprendre des achats de soja américains (12 Mt « cette saison », puis 25 Mt/an sur trois ans, selon le Trésor US). Washington évoque des ventes d’hydrocarbures (projets LNG/Alaska) à négocier.
Les sujets sensibles (semi-conducteurs, Nvidia, contrôle des exportations) restent ouverts. Les États-Unis suspendent pour un an l’extension de certaines listes de contrôle (Entity List/subsidiaries). Pékin indique une volonté de « résoudre » le dossier TikTok dans le cadre des échanges.
Outre les tarifs, les deux capitales annoncent la suspension réciproque des frais portuaires imposés en octobre, afin d’alléger les coûts de transport et d’éviter de nouvelles frictions logistiques.
L’accord est présenté comme une désescalade limitée dans le temps. Les marchés réagissent prudemment. Plusieurs contentieux structurels demeurent (technologies, sécurité, subventions). Renégociation annuelle annoncée.
L’article USA – Chine : Tarifs américains réduits, trêve d’un an sur les terres rares est apparu en premier sur WMC.

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