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Tunisie–Norvège : création du Conseil d’affaires tuniso-norvégien pour booster les échanges économiques

Von: walid
10. Oktober 2025 um 09:53

Une délégation de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), conduite par son président, Samir Majoul, a participé, jeudi, à Oslo (Norvège), à la cérémonie de signature d’un protocole d’accord portant création du Conseil d’affaires tuniso-norvégien, en présence du directeur général de la Confédération des entreprises norvégiennes (NHO), Ole Erik Almid.

D’aprés un communiqué de l’UTICA, Majoul a, à cette occasion, souligné que la création de ce Conseil d’affaires permettra d’impulser les relations économiques, ainsi que de renforcer les échanges commerciaux et les investissements bilatéraux, entre les deux pays.

Ce conseil servira de plateforme permanente pour la promotion des affaires, l’échange d’expertise et le lancement de projets communs entre les deux pays », a-t-il déclaré.

Il a, également, estimé que les relations solides entre les deux organisations patronales, l’UTICA et la NHO, sont fondées sur la confiance, le dialogue, l’échange d’expériences, et les contributions conjointes au renforcement des capacités, au soutien de l’entrepreneuriat et à la promotion de la gouvernance et de la durabilité.

De son côté, Ole Erik Almid a affirmé que la coopération entre les deux organisations, qui date de l’année 2016, a favorisé l’amélioration de l’environnement des affaires en Tunisie, rappelant que le programme « Female Future » de la NHO, lancé en Tunisie en 2019, a réussi à former plus de 100 femmes aux compétences en leadership et à la bonne gouvernance.

Il convient de noter que des rencontres d’affaires ont été organisées, en marge de la visite de la délégation de l’UTICA, avec des professionnels affiliés à la NHO.

Par ailleurs, la délégation tunisienne a participé au Sommet d’affaires nordique-africain (Nordic-African Business Summit), organisé par l’Association d’entreprises afro-norvégienne (NABA), afin de renforcer la coopération économique entre les pays scandinaves et africains.

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Samir Abdelhafidh reçoit la BEI : cap sur une coopération économique renforcée

Von: walid
10. Oktober 2025 um 09:00

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh s’est entretenu, jeudi, avec Ulrich Brunnhuber, chef de division “Secteur public – Voisinage méridional” à la Banque européenne d’investissement (BEI), en visite de travail à Tunis.

Cette rencontre a porté sur l’état d’avancement des programmes de coopération financière et technique, ainsi que sur les perspectives et les opportunités disponibles pour renforcer davantage cette coopération dans la période à venir.

A cette occasion, Abdelhafidh a exprimé sa satisfaction quant aux relations privilégiées entre la Tunisie et la BEI, soulignant la volonté de les consolider dans le cadre du plan de développement 2026-2030.

Le ministre a également mis l’accent sur l’importance du dialogue entre les deux parties afin d’apporter plus de flexibilité aux programmes et opérations de financement.

Pour sa part, le responsable européen a évoqué la solidité de la coopération et du partenariat entre la Banque et la Tunisie, exprimant la détermination de les renforcer davantage sur les plans financier et technique au cours de la prochaine période, dans un esprit de respect et de confiance mutuels.

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Coopération suisse en Tunisie : 7 000 bénéficiaires de formations et plus de 14 000 emplois créés

26. September 2025 um 13:01

La coopération suisse en Tunisie continue de porter ses fruits. Selon Fabrizio Poretti, directeur de la coopération suisse à Tunis, près de 7 000 personnes ont bénéficié de programmes de formation financés par la Suisse, visant principalement à renforcer l’employabilité et à favoriser la création d’emplois.

Invité vendredi 26 septembre 2025 sur les ondes de la Radio nationale, Buratti a rappelé que la Suisse compte 103 entreprises installées en Tunisie, opérant dans divers secteurs, notamment l’industrie manufacturière. Ces sociétés offrent à elles seules plus de 14 000 postes de travail.

Il a également souligné que le programme de développement et de coopération tuniso-suisse, lancé en 2014 pour une durée de dix ans, s’achève cette année. Un nouveau cycle couvrant la période 2025-2028 a été mis en place, axé sur le développement économique, tout en veillant à un équilibre entre dimensions économique et sociale.

Des investissements qui comptent

De son côté, Ahlem Haj Ammar, présidente de la Chambre de commerce et d’industrie tuniso-suisse, a précisé que les entreprises helvétiques se classent au dixième rang en Tunisie en matière d’investissements directs étrangers, mais occupent la cinquième place en termes de création d’emplois.

Elle a cité l’exemple d’une société suisse installée de longue date en Tunisie dans le secteur des matériaux de construction, qui emploie à elle seule 3 000 travailleurs.

Avec de tels chiffres, la coopération économique tuniso-suisse confirme son rôle moteur, contribuant à la fois à l’attractivité du site tunisien et au renforcement du marché de l’emploi local.

Lire aussi : Pour moderniser son transport public, la Suisse offre 200 bus à la Tunisie

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18ᵉ session de la Commission mixte tuniso-égyptienne: Signature de huit accords de coopération

11. September 2025 um 20:20

Le jeudi 11 septembre 2025, à l’issue de la 18ᵉ session de la commission supérieure mixte tuniso-égyptienne, la cheffe du gouvernement tunisien, Sara Zaafrani Zenzri, et le Premier ministre égyptien, Mostafa Madbouly, ont supervisé à la nouvelle capitale administrative du Caire la signature de plusieurs mémorandums d’entente et programmes exécutifs dans différents domaines de coopération.

Coopération dans le sport et la jeunesse

Les deux gouvernements ont signé :

  • Un programme exécutif de coopération dans le domaine sportif pour 2026-2027.
  • Un programme exécutif de coopération dans le domaine de la jeunesse pour 2026-2027.

    Ces accords visent à renforcer les échanges, la formation et les initiatives conjointes entre les jeunes et les acteurs du sport des deux pays.

    Santé, protection sociale et consommateurs

    D’autres accords portent sur :

    • La coopération dans le domaine de la santé et des sciences médicales entre les ministères tunisiens et égyptiens de la Santé.
    • Un programme exécutif de coopération en matière de jeunesse et affaires sociales.
    • Un mémorandum sur la protection des consommateurs et la régulation des marchés, afin d’harmoniser les pratiques et renforcer la confiance des citoyens.

    Développement économique et commerce

    Les deux parties ont également signé :

    • Une mémorandum pour la promotion et le développement des exportations.
    • Un mémorandum sur l’accompagnement des petites et moyennes entreprises (PME) et microentreprises, visant à stimuler l’investissement et l’entrepreneuriat entre les deux pays.

    Diplomatie et formation

    Enfin, un accord a été signé entre l’Académie diplomatique tunisienne et l’Institut d’études diplomatiques égyptien, renforçant la coopération dans la formation et les échanges d’experts diplomatiques et consulaires.

    Clôture officielle

    La cérémonie s’est conclue par la signature par Mostafa Madbouly et Sara Zafrani Zenzri du procès-verbal de la 18ᵉ session de la commission mixte tuniso-égyptienne, officialisant ainsi tous les accords adoptés lors de cette rencontre.

    Lire aussi :

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    La Tunisie et la Jordanie renforcent leur coopération sanitaire

    20. August 2025 um 19:36

    Le ministre de la Santé, Dr Mustafa Farjani, a accueilli ce mercredi 20 août 2025 Abdullah Abu Roman, ambassadeur de Jordanie en Tunisie, accompagné d’une délégation.

    Lors de leur rencontre, ils ont discuté de plusieurs domaines de coopération. Leurs échanges porteront sur les médicaments, les vaccins et les sérums. La collaboration inclura aussi les études cliniques et les essais de bioéquivalence. Les deux parties ont abordé le développement du tourisme de santé et la digitalisation du secteur sanitaire.

    Un accord a été trouvé pour organiser prochainement la visite du ministre jordanien de la Santé, Ibrahim Baddour, à Tunis. Cette visite permettra de lancer concrètement les projets communs.

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    Tunisie – Libye : Convergence de vues

    19. August 2025 um 08:28

    Le président Kaïs Saïed a reçu, lundi 18 août 2025, son homologue libyen Mohamed Younes El-Manfi à Tunis. Une rencontre placée sous le signe du renforcement des relations bilatérales et de la sécurité commune, mais aussi de la solidarité avec la cause palestinienne face aux crimes de l’occupation.

    Le chef de l’État tunisien a reçu son homologue libyen dès son arrivée à l’aéroport de Tunis-Carthage, avec les honneurs militaires, avant de tenir une séance de travail au palais présidentiel.

    Les deux dirigeants ont réaffirmé la solidité des liens historiques unissant les peuples tunisien et libyen, ainsi que leur volonté commune de développer la coopération dans tous les domaines, en insistant sur l’importance d’accélérer les projets conjoints pour surmonter les difficultés actuelles.

    Kaïs Saïed a souligné que la sécurité de la Tunisie est intrinsèquement liée à celle de la Libye, estimant que les défis communs doivent être relevés dans une approche coordonnée.

    Le président tunisien a rappelé la position constante de son pays en faveur d’une solution « libyenne-libyenne », excluant toute ingérence étrangère et reconnaissant au peuple libyen le droit exclusif de décider de son avenir.

    La rencontre a également abordé la situation en Palestine. Kaïs Saïed a dénoncé les crimes de guerre commis par l’occupation israélienne, évoquant les dizaines de milliers de victimes et la politique de famine imposée aux civils. Il a réitéré le soutien de la Tunisie au droit inaliénable du peuple palestinien à établir un État souverain avec Al Qods pour capitale.

    La visite intervient dans un contexte régional marqué par l’instabilité persistante en Libye et l’escalade des violences à Gaza. Tunis et Tripoli, liées par des relations économiques, sociales et sécuritaires profondes, cherchent à coordonner davantage leurs positions face aux défis communs.

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    Le président du Conseil libyen Mohamed Al-Manfi en visite officielle en Tunisie

    18. August 2025 um 10:30

    La présidence tunisienne a annoncé que Mohamed Younes Al-Manfi, président du Conseil présidentiel libyen, effectue ce lundi 18 août 2025 une visite officielle en Tunisie. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations historiques et fraternelles entre les deux pays voisins.

    Selon un communiqué publié par la Présidence de la République sur sa page officielle, le président du Conseil présidentiel libyen est attendu à Tunis pour une visite officielle. Aucune précision n’a encore été donnée sur le programme de la journée, mais les discussions devraient porter sur la coopération bilatérale et la consolidation des liens tuniso-libyens.

    La présidence tunisienne a souligné le caractère fraternel et historique des relations entre la Tunisie et la Libye. Cette visite est perçue comme un nouveau signal de rapprochement entre les deux pays, dans un contexte régional où les dossiers de sécurité, de migration et d’économie sont au cœur des préoccupations.

    La Tunisie et la Libye entretiennent des liens étroits, marqués par des échanges économiques et humains constants. La Libye reste l’un des premiers partenaires commerciaux de la Tunisie, tandis que Tunis accueille régulièrement des réunions de concertation politique et diplomatique pour accompagner la transition libyenne.

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    Damien Cazé, Directeur général de l’Aviation civile (DGAC) française : « nous entendons signer un accord de coopération avec la Tunisie qui va permettre d’ouvrir de nouvelles perspectives ».

    Rencontre avec Damien Cazé, DGAC française, en marge de la visite de travail qu’il a effectuée en Tunisie le 8 juillet 2025.

    Vous avez rencontré le ministre du Transport et le directeur général de l’aviation civile tunisienne. A la lumière de cette dernière rencontre, comment se porte aujourd’hui la coopération entre la Tunisie et la France en matière d’aviation civile ?

    La relation entre la France et la Tunisie est à l’image de la coopération bilatérale entre les deux pays. Elle est à la fois historiquement riche, très fournie, très cordiale, empreinte de confiance et surtout avec de beaux projets pour l’avenir. Nous avons effectivement des relations très denses, assez saisonnières pendant la période estivale mais également très régulières pendant la période hivernale.

    Cela montre la densité et l’intensité des relations qui existent entre les deux pays sachant qu’il y a, à la fois, un flux de Français qui vont en Tunisie comme un flux de Tunisiens qui se rendent en France.

    A mon avis, notre relation est très équilibrée. Il y a de même un équilibre en termes de relations au niveau des compagnies aériennes parce que nous avons, d’une part, les compagnies tunisiennes qui sont performantes et de l’autre côté les compagnies françaises qui sont présentes sur un créneau de la relation franco-tunisienne et elles sont autant développées en matière de flux aérien.

    Quant aux deux administrations, elles ont beaucoup en commun historiquement et partagent une même vision de l’aviation dans un monde décarboné et fait de relations économiques sur un plan d’équilibre.

    Les deux administrations veulent aussi renforcer leurs relations en matière de sécurité, de sûreté, de formation des pilotes et de management. Nous avons donc plein de projets en commun. C’est pour cela que nous entendons signer dans les mois qui viennent un accord de coopération entre les deux pays qui va permettre, de front, d’ancrer davantage ces avancées et d’ouvrir de nouvelles perspectives.

    La Tunisie ambitionne d’atteindre la barre des 2 millions de touristes français à l’horizon 2030, ce qui augmentera les besoins en capacités aériennes, en slots au départ notamment des deux principaux aéroports parisiens et probablement aussi à une révision des accords aériens actuels. Quel est votre point de vue sur le sujet ?

    Nous sommes tout à fait d’accord pour développer le tourisme et le flux aérien avec la Tunisie. Nous ferons tout pour accompagner ce projet des Tunisiens avec une relation équilibrée dans notre accord aérien.

    Nous sommes évidemment à la disposition de la partie tunisienne pour permettre cette évolution équilibrée. Après, il y a des règles qui sont propres à la répartition des créneaux et aux aéroports de Charles de Gaulle et d’Orly.

    Il faudrait donc que ce développement s’inscrive dans ces règles de droit qui ne peuvent pas aller à l’encontre des droits historiques des autres compagnies. Nous espérons également que les compagnies tunisiennes reprennent une part importante de ce marché mais aussi que les compagnies françaises puissent avoir un accroissement de ce flux entre les deux pays.

    C’est non seulement une possibilité mais un vrai enthousiasme pour la partie française.

    On évoque souvent la saturation du ciel qui provoque des perturbations dans la gestion du trafic aérien. En tant que régulateur, qu’est-ce qui est entrepris notamment par la DGAC française pour atténuer les conséquences de cette situation, je pense notamment à l’impact sur les vols entre la France et la Tunisie ?

    L’encombrement du ciel est mécanique et il est dû au développement du trafic, surtout aux moments de pointe. Ce qui fait que nous avons un encombrement des avions étant donné que nous ne pouvons pas avoir un nombre infini d’avions dans l’espace ; et en même temps, nous devons avoir les moyens au sol permettant de gérer ce trafic.

    C’est vrai que nous avons un encombrement notamment dans le ciel européen que l’on peut constater aux moments de pointe, notamment le vendredi soir, les dimanches tard et pendant les jours de grands départs, auxquels on ajoute des conditions météorologiques dégradées que nous voyons de plus en plus souvent en Europe.

    Cette situation crée, certes, des difficultés. En outre, il y a d’autres aléas comme les pannes techniques et les conflits sociaux, ce qui rend la vie de plus en plus difficile pour les compagnies aériennes et les passagers.

    Pour cette raison, nous devons nous moderniser, renforcer nos effectifs et imaginer des voies nouvelles pour faire passer ce trafic. C’est ce que nous faisons d’ailleurs en Europe avec Eurocontrol et c’est ce que nous voulons faire également avec les DGAC française et tunisienne.

    En matière d’aviation civile de manière générale, quels sont selon vous les nouveaux enjeux prioritaires pour les Etats mais aussi pour les compagnies aériennes : la décarbonation ? La sûreté et la sécurité ?

    La sécurité est un impératif absolu. Dernièrement, nous avons eu encore cet événement très triste d’Air India qui impose de se poser toujours des questions et de se remettre constamment en cause.

    Toutefois, je sais que les avionneurs, les administrations et les compagnies sont très mobilisés car c’est un vrai défi qu’il ne faut jamais oublier.

    Le deuxième défi est la décarbonation. On ne doit pas se payer des maux et attendre 2050 pour voir une aviation totalement décarbonée. Il faut déjà montrer des progrès.

    Nous le constatons avec les nouveaux avions, les carburants d’aviation durables et les nouvelles façons plus économes de piloter les avions.

    Il y a, par ailleurs, d’autres défis, notamment en matière de sûreté. La menace croît et il faut toujours se mobiliser pour ne pas se laisser distancer par cette menace. Il y a de nouvelles technologies qui vont sortir. Nous devons se les approprier et les développer davantage.

    Il y a, enfin, la connectivité où il y a de plus en plus de la concurrence qui est plutôt bonne dans un monde libéral auquel nous croyons. La concurrence est toujours un défi et une opportunité pour se remettre en question et pour aller conquérir de nouveaux marchés.

    En fait, des concurrents vont venir et d’autres qui sont déjà là. Nous tenons, en revanche, à ce qu’ils respectent un niveau d’égalité de traitement entre les compagnies aériennes européennes et d’autres parties du monde.

    Je crois que nous sommes prêts à relever ce défi et que nous sommes assez alignés avec la partie tunisienne là-dessus et notamment avec l’OACI (Organisation de l’aviation civile internationale) pour faire en sorte que cette concurrence soit loyale.

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