Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 24. Oktober 2025Haupt-Feeds

Green Forward Industrie : un projet pour booster l’économie circulaire et les emplois verts en Tunisie

Von: walid
24. Oktober 2025 um 09:57

Le projet Green Forward Industrie (GFI) financé par l’UE, a été lancé en Tunisie, par l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel, en collaboration avec l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), le ministère de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines, et le ministère de l’Environnement, a annoncé jeudi, l’ONUDI.

L’événement GFI tenu le 22 octobre, “marque une étape décisive dans la transformation industrielle verte de la Tunisie en présentant aux parties prenantes les objectifs du projet : démontrer des modèles commerciaux innovants, économes en ressources et circulaires au sein des PME des secteurs de l’automobile, de l’électricité et de l’électronique, des industries vitales pour l’économie d’exportation de la Tunisie”, selon l’organisation onusienne.

« Dans le secteur industriel, l’économie circulaire n’est pas seulement une option, c’est une opportunité et une nécessité. Elle repose sur un principe simple mais puissant : réduire, recycler et valoriser. En outre, les constructeurs automobiles recyclent intégralement leurs véhicules en fin de vie. Je rappelle que le secteur automobile en Tunisie compte 300 entreprises qui assurent 120 000 emplois. Ce secteur contribue au PIB à hauteur de 6 %, avec 3 milliards de dinars d’exportations », a déclaré à cette occasion, la Cheffe de cabinet du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Afef Chachi Tayari.

Dans le cadre de ce dialogue, un exercice de cartographie sectorielle a été lancé afin d’identifier les chaînes de valeur présentant le plus grand potentiel de circularité. Menée par “Beyond Solutions”, cette cartographie éclairera la sélection de projets pilotes qui seront mis en œuvre début 2026, présentant des modèles commerciaux circulaires qui favorisent la création d’emplois verts et la compétitivité internationale.

Le Représentant de l’ONUDI en Tunisie, Lassaad Ben Hassine a indiqué qu’en «s’appuyant sur les progrès réalisés dans le cadre du programme SwitchMed, le projet Green Forward Industrie tire parti de l’expertise technique de l’ONUDI pemplour aider les PME tunisiennes à adopter des modèles commerciaux circulaires, à débloquer de nouvelles opportunités d’exportation et à renforcer leur position dans les chaînes de valeur mondiales».

Le projet GFI s’inscrit dans le cadre plus large de l’Initiative Green Forward, un effort régional financé par l’Union européenne et mis en œuvre en Égypte, en Algérie, en Jordanie, au Liban, en Libye, au Maroc, en Palestine et en

Tunisie. Il soutient l’adoption de pratiques d’économie circulaire à travers des réformes politiques, le renforcement des capacités institutionnelles et une assistance technique au niveau des PME.

« Avec Green Forward Industrie, nous franchissons une nouvelle étape de notre partenariat stratégique avec la Tunisie. L’Union européenne est fière de soutenir l’adoption de modèles d’économie circulaire dans un secteur aussi clé que l’automobile, dont 80 % des exportations sont destinées au marché de l’UE. Cette initiative vise non seulement à réduire l’empreinte environnementale de l’industrie, mais aussi à renforcer sa compétitivité et donc à créer des emplois verts pour les jeunes et les femmes», a souligné l’Ambassadeur de l’UE en Tunisie, Giuseppe Perrone.

« Le projet Green Forward Industrie arrive à un moment décisif. Il s’agit non seulement d’une réponse aux enjeux environnementaux, mais aussi d’un levier de croissance, d’emploi et d’attractivité pour notre économie. Au nom du patronat tunisien, je réaffirme notre entière disponibilité à soutenir cette initiative, à mobiliser nos entreprises et à travailler la main dans la main avec nos partenaires nationaux et internationaux pour que la Tunisie devienne un modèle d’économie circulaire dans la région», a affirmé le membre du bureau exécutif de l’UTICA, Slim GHORBEL.

De 2024 à 2028, le projet Green Forward Industrie mettra en œuvre deux composantes principales, à savoir “démontrer des modèles commerciaux circulaires et améliorer l’accès des PME au financement ” et “promouvoir le partage des connaissances sur l’efficacité des ressources et l’économie circulaire”.

L’article Green Forward Industrie : un projet pour booster l’économie circulaire et les emplois verts en Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Tunisie | Le secteur automobile opte pour l’économie circulaire

24. Oktober 2025 um 08:36

Le projet Green Forward Industrie (GFI), qui ouvre la voie à l’adoption des pratiques d’économie circulaire dans la chaîne de valeur automobile en Tunisie, a été officiellement lancé lors d’un événement, le 22 octobre 2025 à Tunis.  

Ce projet, financé par l’Union européenne (UE), est initié par l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (Onudi), en collaboration avec l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), le ministère de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines, et le ministère de l’Environnement.

GFI marque une étape décisive dans la transformation industrielle verte de la Tunisie en présentant aux parties prenantes les objectifs du projet : démontrer des modèles commerciaux innovants, économes en ressources et circulaires au sein des petites et moyennes entreprises (PME) des secteurs de l’automobile, de l’électricité et de l’électronique — des industries vitales pour l’économie d’exportation de la Tunisie.

Réduire, recycler et valoriser

«Dans le secteur industriel, l’économie circulaire n’est pas seulement une option, c’est une opportunité et une nécessité. Elle repose sur un principe simple mais puissant : réduire, recycler et valoriser. En outre, les constructeurs automobiles recyclent intégralement leurs véhicules en fin de vie», a déclaré Afef Chachi Tayari, cheffe de cabinet du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, en rappelant que le secteur automobile en Tunisie compte 300 entreprises, assure 120 000 emplois, contribue à 6% du PIB et représente 3 milliards de dinars d’exportations.

Dans le cadre de ce dialogue, un exercice de cartographie sectorielle a été lancé afin d’identifier les chaînes de valeur présentant le plus grand potentiel de circularité.

Menée par Beyond Solutions, cette cartographie éclairera la sélection de projets pilotes qui seront mis en œuvre début 2026, présentant des modèles commerciaux circulaires qui favorisent la création d’emplois verts et la compétitivité internationale. «Cette initiative témoigne de l’engagement stratégique de l’Onudi dans la région et de notre soutien à la transition verte de la Tunisie», a annoncé Lassaad Ben Hassine, représentant de l’Onudi en Tunisie, tout en expliquant que le projet GFI s’appuie sur les progrès réalisés dans le cadre du programme SwitchMed et tire parti de l’expertise technique de l’Onudi pour «aider les PME tunisiennes à adopter des modèles commerciaux circulaires, à débloquer de nouvelles opportunités d’exportation et renforcer leur position dans les chaînes de valeur mondiales.»

Le projet GFI s’inscrit dans le cadre plus large de l’Initiative Green Forward, un effort régional financé par l’UE et mis en œuvre dans huit pays du sud de la Méditerranée. Il soutient l’adoption de pratiques d’économie circulaire à travers des réformes politiques, le renforcement des capacités institutionnelles et une assistance technique au niveau des PME.

Réduire l’empreinte environnementale

«Avec Green Forward Industrie, nous franchissons une nouvelle étape de notre partenariat stratégique avec la Tunisie. L’Union européenne est fière de soutenir l’adoption de modèles d’économie circulaire dans un secteur aussi clé que l’automobile, dont 80 % des exportations sont destinées au marché de l’UE», a déclaré Giuseppe Perrone, ambassadeur de l’UE en Tunisie. Et d’ajouter : «Cette initiative vise non seulement à réduire l’empreinte environnementale de l’industrie, mais aussi à renforcer sa compétitivité et donc à créer des emplois verts pour les jeunes et les femmes. La transition verte n’est pas une contrainte : c’est une formidable opportunité de croissance et de prospérité partagée.»

Pour sa part, le secteur privé tunisien exprime sa volonté de jouer un rôle moteur dans cette transition en mobilisant les entreprises et en s’engageant à collaborer avec l’ensemble des partenaires. A ce propos, Slim Ghorbel, membre du bureau exécutif de l’Utica, a déclaré : «Le projet Green Forward Industrie arrive à un moment décisif. Il s’agit non seulement d’une réponse aux enjeux environnementaux, mais aussi d’un levier de croissance, d’emploi et d’attractivité pour notre économie. Au nom du patronat tunisien, je réaffirme notre entière disponibilité à soutenir cette initiative, à mobiliser nos entreprises et à travailler la main dans la main avec nos partenaires nationaux et internationaux pour que la Tunisie devienne un modèle d’économie circulaire dans la région», a affirmé.

D’après communiqué.

L’article Tunisie | Le secteur automobile opte pour l’économie circulaire est apparu en premier sur Kapitalis.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Maher Ben Aissa : « La position stratégique de la Tunisie pourrait permettre d’aller loin »

20. Oktober 2025 um 14:02

Face à un déficit commercial inquiétant, l’urgence de bâtir une stratégie à moyen et long terme est plus que nécessaire. Et ce, dans le but de renforcer le dialogue public-privé, en diversifiant les marchés vers l’Afrique et le Moyen-Orient, et en surmontant les obstacles logistiques et financiers. Maher Ben Aissa, vice-président de la chambre syndicale nationale des sociétés de commerce international à l’UTICA, tire la sonnette d’alarme sur la situation des exportations tunisiennes. Interview :

Quels sont les indicateurs clés pour renforcer le dialogue public-privé dans le commerce international ? On parle de moins en moins de ce dialogue, alors qu’on l’entendait souvent auparavant. Quel est l’état des lieux aujourd’hui ?

Maher Ben Aissa : Actuellement, on parle surtout d’export, mais la situation est difficile. Cette année, on s’attend peut-être à un déficit commercial dépassant 20 milliards de dinars, ce qui serait alarmant. L’année dernière, nos exportations étaient à 62 milliards de dinars, majoritairement (72 %) vers l’Europe, ce qui est à la fois une force et une faiblesse puisque l’Europe est une région en déclin démographique et de faible croissance. Il faut donc consolider ce marché tout en cherchant d’autres horizons, comme l’Afrique subsaharienne et les pays arabes, malgré la concurrence, la logistique et les problèmes bancaires en Tunisie.

Existe-t-il une stratégie sur le long terme pour les exportations tunisiennes, par exemple à l’horizon 2035 ?

Maher Ben Aissa : Malheureusement, cette stratégie n’existe pas encore. Il y avait un projet avec l’International Trading Center (ITC) pour réaliser une étude et définir une stratégie à horizon 2035, mais il n’a pas encore démarré. Aujourd’hui, on travaille surtout à court terme, ce qui est illogique. La Tunisie doit rechercher des niches dans de nouveaux marchés comme l’Afrique.

Vous évoquez l’Afrique comme un marché prometteur avec une population qui devrait atteindre 2 à 2,5 milliards d’habitants d’ici 2050. Pourtant, vous dites que la Tunisie n’a plus de produits à offrir. Pouvez-vous l’expliquer ?

Exact. Il y a dix ans, on exportait beaucoup de produits vers l’Afrique, comme des couches pour bébés, des carreaux céramiques, mais ces produits ont presque tous disparu car ces pays construisent eux-mêmes leurs industries pour résorber leur chômage et exporter à leur tour. Donc la stratégie d’implantation directe en Afrique est essentielle.

Quelles mesures faut-il prendre pour encourager les PME tunisiennes à aller s’implanter en Afrique ?

La Tunisie compte 95 % de PME qu’il faut guider et encourager à s’installer en Afrique, ce qui n’est pas facile. L’État doit intervenir pour accompagner ces jeunes entrepreneurs, comme l’ont fait la Turquie et le Maroc, avec des politiques publiques fortes, des infrastructures et une présence diplomatique renforcée. Prenons l’exemple de la Turquie qui a ouvert ses ambassades partout en Afrique, développé des lignes aériennes directes avec Turkish Airlines, investi dans les infrastructures locales (mosquées, stades) et renforcé sa flotte maritime. De même, il serait judicieux que les pays du Maghreb s’unissent pour agir ensemble, notamment avec l’Algérie via la consolidation de la route transsaharienne – une voie stratégique pour réduire les coûts et améliorer les délais.

Quel bilan faites-vous de la participation tunisienne lors de la Foire intra-africaine IATF 2025 à Alger ?

Malheureusement, je n’y étais pas, mais j’ai observé le travail de l’Afreximbank à Tunis, notamment avec M. Hafedh Ben Afia. La Tunisie doit renforcer ses liens avec l’Algérie, surtout via la voie transsaharienne, qui est cruciale pour capter le marché africain rapidement.
Quelles sont les difficultés majeures rencontrées dans le commerce africain, notamment au sujet du financement et de la logistique ?
Les banques européennes ont quitté l’Afrique, ce qui pose un vrai problème.

En Tunisie, les virements tardent car ils passent par des banques chinoises, libyennes ou kenyanes, ce qui augmente les coûts. Un autre problème est la conformité bancaire, car souvent les virements africains passent par plusieurs pays. La Tunisie doit simplifier ces procédures et trouver des solutions financières, comme l’acceptation du franc CFA par la Banque centrale de Tunisie ( BCT) , une demande en attente depuis plusieurs années. J’ajouterais que la solution PAPSS, le paiement en monnaie locale africaine, est viable pour la Tunisie, qui, à mon sens, est une idée positive. Cependant, quelques banques restent réticentes. Ce système est encore peu utilisé (à part au Zimbabwe). Il faut encourager cette solution, mais d’autres obstacles, notamment logistiques, sont encore plus importants.

Qu’en est-il du coût de la logistique en Tunisie ?

Le coût de la logistique en Tunisie est trois fois supérieur à la moyenne internationale, ce qui est très élevé. La gouvernance du secteur doit être améliorée. Les ports, comme celui de Tunis classé 251ème au monde, et le port d’Enfidha, bien que port en eau profonde, ne jouent pas encore pleinement leur rôle. Il faut un partenariat stratégique similaire à celui de Tanger Med au Maroc, géré par des opérateurs privés internationaux.

Maher Ben Aissa : « L’export doit devenir une stratégie nationale fondamentale »

Et enfin, quel avenir pour la jeunesse tunisienne dans ce contexte ?

Il faut encadrer et encourager la jeunesse. Le fonds FOPRODEX, avec 100 millions de dinars, est sous-utilisé (59 millions consommés en trois ans). Beaucoup de jeunes veulent partir à l’étranger pour de meilleures conditions, mais c’est une opportunité aussi : leur diaspora peut renforcer la Tunisie via les IDE, les startups et les transferts financiers (déjà près de 10 milliards de dinars). Il faut aussi les encourager à s’implanter en Afrique, où se trouve la croissance.

Pour conclure, quel message voulez-vous transmettre concernant la stratégie d’exportation ?

L’export doit devenir une stratégie nationale fondamentale. La position stratégique de la Tunisie pourrait permettre d’aller loin, en intégrant aussi la réexportation, à l’image de Singapour, qui avec 4 millions d’habitants fait plus de 400 milliards de dollars d’exportation. Il faut renforcer cette position et multiplier les partenariats avec l’Europe, le monde arabe et l’Afrique.

L’article Maher Ben Aissa : « La position stratégique de la Tunisie pourrait permettre d’aller loin » est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie | Les torréfacteurs protestent contre la contrebande de café

15. Oktober 2025 um 12:56

Le syndicat des torréfacteurs de café a annoncé une manifestation le jeudi 16 octobre 2025, devant le siège du gouvernement, place de la Kasbah, à Tunis, pour protester contre la prolifération du café de contrebande et les distorsions du marché.

Cette action vise à dénoncer le marché parallèle et à réclamer un meilleur approvisionnement du marché par les circuits légaux, explique le syndicat dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux.

Les torréfacteurs se plaignent de la croissance du marché parallèle et des risques pour la concurrence loyale et la qualité des produits.

La Chambre syndicale des torréfacteurs de café, affiliée à l’Union tunisienne de l’industrie et du commerce (Utica), avait appelé à plusieurs reprises à la libéralisation du secteur et mis en garde contre la prolifération du café dont les circuits d’importation sont intraçables.

Les professionnels de la filière protestent après une longue période de tensions sur l’approvisionnement.

En octobre 2024, le ministère du Commerce avait annoncé des cargaisons supplémentaires de café, suite à des réunions avec la Chambre nationale des propriétaires de café et la Chambre des torréfacteurs, afin de stabiliser le marché. Les professionnels espèrent des arrivages de nouvelles cargaisons de matières premières pour réguler le marché et calmer les tensions.

La filière réclame depuis longtemps un cadre réglementaire plus transparent, une lutte efficace contre la contrefaçon et la contrebande, ainsi que des mécanismes d’approvisionnement permettant d’éviter les goulots d’étranglement et la spéculation.

La protestation du jeudi vise à attirer l’attention du gouvernement sur les conséquences économiques et sanitaires du marché parallèle, afin de protéger les entreprises, les travailleurs et les consommateurs, souligne-t-on.

I. B.

L’article Tunisie | Les torréfacteurs protestent contre la contrebande de café est apparu en premier sur Kapitalis.

Salon de l’Économie Verte | L’avenir durable se conjugue au féminin

Von: Yusra NY
10. Oktober 2025 um 20:54

La deuxième édition du Salon de l’Économie Verte, de la Finance Responsable et du Développement Durable, se tiendra les 16 et 17 octobre 2025 au Centre international des congrès de l’UTICA, à Tunis.

Sous le thème « Entrepreneuriat féminin, inclusion financière et économie durable en Tunisie », ce salon se positionne comme le carrefour incontournable pour les acteurs du changement, les innovateurs et tous ceux qui s’engagent pour un avenir plus vert et plus juste en Tunisie.

Cet évènement permettra de rencontrer les acteurs du changement, pour un partage d’idées et la découverte des innovations durables qui façonnent l’avenir.

L’article Salon de l’Économie Verte | L’avenir durable se conjugue au féminin est apparu en premier sur Kapitalis.

Utica: Von der Hafenstadt zu einer archäologischen Stätte im Landesinneren

Von: Redaktion
01. Januar 2024 um 18:12

Haben Sie sich jemals gefragt, warum die ehemalige Stadt Utica zwischen der Hauptstadt Tunis (30 km) und Bizerté (20 km), die zur karthagischen Zeit vor Mehr

Der Beitrag Utica: Von der Hafenstadt zu einer archäologischen Stätte im Landesinneren erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

❌
❌