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Heute — 21. November 2024Haupt-Feeds

Human Screen Festival 2024: Féminicide, Paix et Sécurité’ au programme

21. November 2024 um 16:59

Le Festival International du Film des Droits de l’Homme, Human Screen Festival – Karama Tunisie-, se déroulera dans sa neuvième édition du 27 au 30 novembre 2024, autour du thème “Féminicide, Paix et Sécurité”.

Organisé par l’association culturelle tunisienne pour l’insertion et la formation (ACTIF) avec le soutien notamment du Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), ce rendez-vous cinématographique aura lieu à Tunis, Gabès, Zaghouan (Bir Mcharga et Hammam Zriba), Ben Arous (Mornag) et Bizerte.

La sélection de l’édition 2024 regroupe 52 films en provenance de 24 pays, dont 8 longs métrages fiction, 14 courts métrages fiction, 10 longs métrages documentaires, 11 courts documentaires et 9 films d’animation.

Le jury de la compétition des films documentaire réunit le producteur tunisien Habib Ben Hedi, la professeure universitaire Souad Zribi et le réalisateur-producteur-scénariste Akram Moncer.

Le jury de la compétition des films fiction est formé de la réalisatrice, scénariste et productrice Mirvet Kammoun, de l’expert en production et assistance à la réalisation Hakim Abdelfattah et du compositeur et producteur de musique Rabii Zammouri.

Le festival invite à découvrir des perspectives issues de pays dont les cultures restent souvent méconnues. Il propose également des débats sur des questions cruciales touchant aux libertés individuelles et collectives, ainsi qu’à l’émancipation nationale et personnelle face aux multiples formes de l’hégémonie coloniale moderne.

Créé en 2012 par l’association ACTIF, Human Screen Festival Tunisie vise à promouvoir la culture des droits humains en Tunisie à travers le cinéma local et international, tout en assurant une ouverture sur les mouvements et changements qui s’opèrent à l’échelle mondiale.

Avec une sélection de 37 films issus de 16 pays, la huitième édition en 2023 a été placée autour du thème « Femmes, Paix et Sécurité ».

Festival du Caire 2024 : deux films tunisiens primés dans les prix parallèles

21. November 2024 um 16:00

Le cinéma tunisien vient de remporter deux distinctions dans le cadre des prix parallèles de la 45ème édition du Festival international du film du Caire qui se tient du 13 au 22 novembre en Egypte.

Ainsi, le film “Mal Wa Banoun” de Houssem Sanassa, a obtenu une bourse de participation au Mosaik Post-Production Lab, décernée par The Royal Film Commission (RFC) de Jordanie.

De son côté, le film “Barsha” réalisé par Nada Mezni Hfaiedh a été récompensé par le prix “Rough Cut Lab Africa”. Ces distinctions font partie des prix parallèles du festival, en attendant l’annonce des lauréats des différentes catégories de la compétition officielle lors de la cérémonie de clôture.

Présenté en avant-première mondiale, le long-métrage “Nawar achiya” de la cinéaste et productrice tunisienne Khadija Lemkacher est en compétition officielle parmi une sélection de 17 films. Par ailleurs, le film “Qantra” de Walid Mattar, est en lice dans la section “Horizons du cinéma arabe”.

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a lors de ce rendez-vous cinématographique présenté en avant-première son film documentaire « Win Sirna » (The Life That Remains), sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice avec un film sur les conditions des réfugiés palestiniens.

Festival Cinemamed 2024 : le cinéma tunisien brille avec “Aïcha” et “Les enfants rouges

21. November 2024 um 15:37

Le cinéma tunisien affiche cette année sa présence dans la sélection des 19 avant-premières ainsi que dans les deux compétitions, officielle des longs métrages et Révolution de la 24ème édition du Festival Cinéma Méditerranéen de Bruxelles Cinemamed qui se tiendra du 28 novembre au 06 décembre 2024 autour du thème “A la croisée des chemins entre exode rural et retour aux sources”.

Parmi les 19 avant-premières qui sortiront prochainement en Belgique, figurent les deux longs métrages “Aicha” de Mehdi M. Barsaoui et “Les enfants rouges” de Lotfi Achour.

Dans la sélection des huit longs métrages en lice dans la compétition officielle figure le film “Les enfants rouges” de Lofti Achour (97′), un drame singulièrement onirique inspiré de faits réels. Bayard d’Or au Festival International du Film Francophone de Namur, le film qui représente la Tunisie aux côtés d’œuvres de l’Espagne, de la Turquie, la Grèce, la France et de l’Italie, concourt pour les différents prix dont le Grand Prix, le Prix Cineuropa, le Prix de la Critique et le Prix du Jury citoyen.

Dans la compétition « Révolution, Un regard sur demain » figure parmi les 8 films sélectionnés et qui montrent à travers le documentaire et la fiction les défis auxquels les jeunesses méditerranéennes font face, le film “Aïcha” de Mehdi M. Barsaoui, présenté comme un étourdissant récit d’émancipation féminine au cœur d’une société gangrénée par la corruption.

Sera en course également le long métrage documentaire “Donga”, une production tuniso-libyenne du réalisateur Muhannad Lamin qui se présente comme voyage personnel est un témoignage de la réalité libyenne post-révolution.

Les films en compétition dans cette catégorie sont en course pour le Prix du Jury Révolution et le Prix du Jury Jeune.

Dressant un portrait subtil du bassin méditerranéen à travers la diversité de son cinéma, le festival Cinemamed prévoit pour son édition 2024 la projection de plus de 70 films du bassin méditerranéen.

Festival international du film du Caire : deux prix pour le cinéma tunisien

Von: La Presse
21. November 2024 um 12:39

Le cinéma tunisien s’est distingué en remportant deux prix parallèles lors de la 45e édition du Festival international du film du Caire, qui se déroule en Égypte du 13 au 22 novembre.

Le film Mal Wa Banoun, réalisé par Houssem Sanassa, a décroché une bourse de participation au laboratoire Mozaïk pour la post-production, offerte par la Commission royale du film de Jordanie. De son côté, le film Barsha, réalisé par Nada Mezni Hfaiedh, s’est vu attribuer le prix Rough Cut Lab Africa. Ces distinctions viennent enrichir les récompenses parallèles du festival, en attendant la révélation des lauréats des prix officiels lors de la cérémonie de clôture.

La Tunisie est également représentée dans la compétition officielle par le film Nwaar Aachiya de la réalisatrice et productrice Khadija Lemkecher, qui sera projeté en avant-première mondiale aux côtés de 17 autres œuvres internationales. Par ailleurs, le film Kantra de Walid Mattar concourt dans la section Horizons du cinéma arabe.

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a marqué cette édition en présentant son premier documentaire, Wen Sarna, une œuvre qui explore la condition des réfugiés palestiniens. Ce film constitue sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice. Zarrouk a également pris part à une table ronde organisée jeudi sur le thème : “Cinéma palestinien et libanais – Histoires d’identité et de résilience”. Elle y a échangé aux côtés de figures du cinéma arabe, notamment Mai Masri, Najwa Najjar et Myriam El Hajj.

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Gestern — 20. November 2024Haupt-Feeds

La salle de cinéma Amilcar rouvre ses portes avec le film événement “Bolice”

20. November 2024 um 21:53
La salle de cinéma Amilcar rouvre ses portes avec le film événement “Bolice”

La mythique salle de cinéma Amilcar, située au Menzah, rouvre ses portes pour accueillir les passionnés du grand écran. Forte de son riche héritage dans l’histoire cinématographique tunisienne, elle promet une expérience unique mêlant confort et luxe. Pour marquer cette réouverture, le film événement “Bolice” du réalisateur Majdi Smiri sera à l’affiche, offrant une occasion […]

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“Bolice” : une comédie d’action tunisienne à l’américaine ?

Von: hechmi
20. November 2024 um 20:05
Film BOLICE
Film BOLICE

Près de 700 spectateurs de tous âges ont assisté lundi soir au complexe culturel de Monastir à l’avant-première du film “Bolice” du réalisateur Majdi Smiri, dans le gouvernorat de Monastir.

Le film célèbre les succès des forces de sécurité et ceux de la joueuse de tennis Ons Jabeur, offrant une image d’un citoyen tunisien capable de relever avec brio des défis internationaux. Il adopte un style comique avec des éléments inspirés du patrimoine linguistique tunisien, bien que certaines scènes, inspirées des films américains, ne reflètent pas nécessairement la réalité tunisienne.

Le film contribue à renforcer la fierté des Tunisiens envers leurs institutions étatiques, tout en valorisant leur image et leur confiance en leurs capacités à s’imposer parmi les nations. Il transmet un message positif qui combat la mentalité de démotivation et de minimisation des peuples, tout en promouvant une culture de paix et de coopération entre eux.

Ce film rappelle également au public tunisien les exploits de ses ancêtres, notamment durant l’Empire carthaginois qui s’étendait sur les rives nord et sud de la Méditerranée et constituait alors une puissance majeure dans la région.

Synopsis
L’histoire tourne autour de la réussite d’une équipe de policiers tunisiens, accompagnée d’un officier militaire, dans leur mission visant à désamorcer une bombe nucléaire. Cette mission les conduit sur les traces de groupes criminels opérant à Moscou, au Japon, à Londres, en Égypte et bien sûr en Tunisie.

Réactions et analyses
Le critique cinématographique Fawzi Sekhiri a déclaré à l’agence TAP, après la projection, que Majdi Smiri possède une vision distinctive et s’appuie largement sur les effets visuels, utilisant des techniques avancées inspirées des standards hollywoodiens.

Ce nouveau film a captivé le public grâce à des moments comiques portés par Kamal Touati et Chadli Arfaoui, entre autres. Bien que l’histoire ne soit pas réaliste, Sekhiri a souligné que cela était un choix apprécié, prévoyant que de nombreux jeunes réalisateurs suivront l’exemple de Smiri.

Pour sa part, le journaliste Mohamed Bouab a salué l’intrigue du film et sa capacité à sortir les spectateurs de la routine quotidienne grâce à de nombreuses situations humoristiques. Il a toutefois estimé que Nidhal Saadi n’a pas réussi à remplacer Lotfi Abdelli dans le rôle d’Amar. Il a également apprécié la qualité de la projection et l’interaction positive du public, notant l’hommage rendu à l’artiste Yasser Jeradi à la fin du film, exempt de tout discours inapproprié.

Programmation et perspectives
Amira Bakouch, directrice du complexe culturel de Monastir, a précisé que “Bolice” avait déjà suscité de l’intérêt lors de sa phase de tournage en septembre dernier. Elle a souligné que le complexe s’efforce de rapprocher le public des nouveautés cinématographiques, en particulier tunisiennes.

Le film, initialement une série télévisée populaire, est qualifié de comédie d’action familiale. Bakouch a également noté l’engouement croissant du public pour le cinéma tunisien et ses nouvelles productions.

Trois autres projections de “Bolice” sont prévues les 24 et 29 novembre ainsi que le 1er décembre. De plus, le film “Sahbek Rajel” de Kais Chekir sera projeté le 7 décembre 2024.

 

Avant-première de Bolice : Le Film Du petit au grand écran

Von: La Presse
20. November 2024 um 17:16

L’avant-première de « Bolice Le Film » s’est tenue le dimanche 17 novembre 2024, à la Cité de la culture de Tunis, dans la prestigieuse salle de l’Opéra.

A la suite du succès des quatre saisons de la série Bolice, Majdi Smiri refait son immersion dans le 7e art avec Bolice Le Film. Il invite le public à plonger dans un univers captivant et intense avec plein de suspense et d’émotion. Le film se distingue par la présence de grands acteurs, et promet de nombreuses surprises grâce à la participation d’artistes et talents exceptionnels. Ce passage du petit au grand écran  se traduit par une œuvre ambitieuse de divertissement qui allie comédie et action.  Porté par Hosni Ghariani, producteur du film, Bolice Le Film reflète un engagement fort pour promouvoir le patrimoine culturel tunisien tout en adoptant une vision internationale. Avec la production de ce film, il relève un défi stratégique en prônant une convergence entre le cinéma et la publicité. « L’art cinématographique est en soi une source d’inspiration pour des campagnes publicitaires percutantes », affirme Hosni Ghariani. Cette initiative marque la volonté de la production d’ouvrir de nouvelles perspectives culturelles et économiques pour la Tunisie. Sous la direction de Majdi Smiri, le film fait montre d’une mise en scène soignée et d’une vision artistique audacieuse. La collaboration avec l’agence de production Frameworks, dirigée par Farouk Cherif, apporte une expertise technique et créative qui élève la production à un niveau international. Cette synergie met en lumière l’excellence des talents tunisiens dans l’univers cinématographique, consolidant la réputation de la Tunisie comme terre de créativité et d’innovation. Brillant d’un éclat hollywoodien, le film rassemble de grands noms de la scène tunisienne, tels que Kamel Touati, Mouna Noureddine, Chedli Arfaoui, Rim Ben Massoud, Jamil Najjar  et Nidhal Sâadi qui rejoint l’équipe. À cela s’ajoutent des participations d’artistes libanais comme Karol Aboud et Lisa Debes, confortant ainsi un riche échange culturel entre la Tunisie et le Liban. En complément, des talents russes et japonais apportent une dimension internationale, le tout sublimé par une sauce tunisienne pleine d’épices culturelles et artistiques.

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Le film “Emna” de Bouslama Chamakh en avant-première tunisienne à la Cité des Sciences de Tunis

19. November 2024 um 14:55

Mention spéciale du jury à la 11ème édition du festival Cinémas d’Afrique Africlap Film Festival à Toulouse (7-16 novembre 2024), le long métrage fiction “EMNA” (2023), écrit et réalisé par l’architecte et cinéaste tunisien résidant en Suisse, Bouslama Chamakh, sera projeté en avant-première tunisienne le 22 novembre 2024 à la Cité des Sciences de Tunis (CST).

Cette projection s’inscrit dans le cadre d’une journée autour de l’architecture comme vecteur de transformation sociale “Territoire et Alternatives”, organisée par l’association Architectes Citoyens, en collaboration avec l’Ecole nationale d’architecture et d’urbanisme (ENAU) et l’Ordre des architectes de Tunisie (OAT) en vue de repenser le territoire et d’explorer des alternatives pour un avenir durable.

Selon Bouslama Chamakh, “Emna”, son premier long métrage, est né d’un désir de raconter des histoires humanistes. Autour d’une équipe métissée composée notamment de Didier Varrin (photographie) et Bernard Léchot (musique), le film réunit, dans les rôles principaux, l’actrice franco-tunisienne Aoitef Kouki et l’acteur Benjamin Wehrli, dans le rôle de Daniel, un botaniste suisse, “stressé par son environnement, écrasé par la pression sociale et hanté par des pulsions suicidaires, il décide de s’isoler dans la cabane de ses parents. Au même moment, Zaineb et sa fille, abandonnées par un passeur à la frontière italo-suisse, errent dans les montagnes essayant de joindre illégalement la Suisse” (synopsis).

Tourné dans les vallées de Grimmialp et de Simmental en Suisse, la fiction se présente comme une réflexion sur l’universalité du désespoir à travers un huis clos entre des personnages profondément humains, pour se situer selon le cinéaste, au croisement de l’architecture, de l’urbanisme et de l’humain.

Sélectionné dans plusieurs grands festivals, le films a été notamment présenté dans la catégorie “Cinéma du Monde” à la 29ème édition du Festival du Film d’Auteur de Rabat et programmé en 2023 dans la section “Horizons du cinéma tunisien” de la 34ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (édition annulée des JCC).

Projeté lors de la 13ème édition de l’Africa International Film Festival à Lagos (Afriff, Nigeria 3-9 novembre 2024) et au Kuwait International Film Festival (KIFF, 10-16 novembre 2024), le film poursuit sa tournée notamment à la cinquième édition du Festival International de Films Africains et Afro-descendants “Bangui Fait Son Cinéma” (23-30 novembre 2024).

Diplômé de l’Ecole nationale d’architecture et d’urbanisme de Tunis en 2001, Bouslama Chamakh a réalisé plusieurs expositions et installations artistiques en France, en Tunisie et en Suisse. A partir de 2015, il s’est consacré au cinéma comme principal moyen d’expression, signant plusieurs courts-métrages dont “Le Fleuriste”, primé par une mention spéciale du jury lors de la 29ème édition des JCC en 2018.

45e édition du festival international du film du Caire – Passing dreams de Rachid Maâcharaoui en ouverture : Une quête de soi et d’un pays

18. November 2024 um 17:50

Projeté en première mondiale et concourant pour la Pyramide d’or, «Rêves passagers» est filmé à hauteur d’enfant. L’histoire est en forme de conte moderne sur le conflit israélo-palestinien mais sans bombes, ni effusion de sang

Le film d’ouverture de la 45e édition du festival international du film du Caire «Rêves passagers» de Rachid Maâcharaoui (Palestine) est, sans aucun doute, l’un de ses meilleurs films. L’œuvre est à la fois sobre et touchante. Projeté en première mondiale et concourant pour la Pyramide d’or, «Rêves passagers» est filmé à hauteur d’enfant. L’histoire est en forme de conte moderne sur le conflit israélo-palestinien mais sans bombes, ni effusion de sang. Le film raconte les pérégrinations d’un adolescent et de son oncle à la recherche d’une colombe qui s’est évadée de sa cage.

Sami, 12 ans, nous emmène dans sa quête douce-amère avec son oncle et sa cousine dans un voyage de Béthelem à Haifa en passant par des camps occupés et des villages, durant toute une journée jusqu’à la tombée de la nuit, à la recherche de la colombe perdue qui s’est envolée de leur maison dans un camp de réfugiés en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967. La trame est juste un prétexte pour évoquer des questions plus importantes en relation avec les conflits familiaux, en l’occurrence entre l’oncle de Sami et son frère, et ceux d’un Etat palestinien sous occupation et dont les prémices d’une paix semblent difficiles voire impossible, compte tenu de ce qui se passe actuellement à Gaza. Cette parabole sur la question palestinienne est traitée cinématographiquement à travers un road-movie d’1h20. La construction dramatique de ce parcours est subtile et efficace. Un voisin de l’oncle de Sami l’informe que l’oiseau est sans doute retourné dans son village d’origine. Les trois personnages : l’oncle, sa fille et son neveu parcourent à bord d’un camping-car rouge du camp de réfugiés de Qalandia traversent toute la région depuis les camps de réfugiés de la bande occupée de l’ouest en passant par les paysages magnifiques des villages palestiniens dont Béthelem, la vieille ville El Qods et Haifa dans le nord d’Israël. A travers une quête de soi et d’un pays sous occupation, cette odyssée se transforme en une sorte de «Nakba», mais dans un sens inverse car la famille de Sami a quitté sa ville natale de Haifa pendant l’exode forcé des Palestiniens en 1948, lors de la création de l’Etat d’Israël.  Selon Rachid Maacharoui, «le cinéma ne peut pas être toujours une réaction aux actions israéliennes, il doit  être aussi une action en soi». Barrages, murs de séparation et restrictions sont montrés comme faisant partie du quotidien du paysage palestinien. Les personnages du film, à la recherche de l’oiseau, ne savent jamais s’ils peuvent circuler là où ils veulent. Il faut recourir à différents stratagèmes pour arriver à se rendre à destination. L’oiseau symbole de la paix et de la liberté sera-t-il retrouvé ? «Rêves passagers » sera projeté lors de la prochaine session des Journées cinématographiques de Carthage, a assuré son réalisateur Rachid Maâcharaoui.

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MyFirstDoc 2024 : Diversité et découverte au cœur du cinéma documentaire

18. November 2024 um 16:19

La 7ème édition du rendez-vous annuel du cinéma documentaire international « MyFirstDoc » se déroulera du 24 au 27 décembre 2024 à la Cinémathèque Tunisienne, à Tunis et dans les régions.

Le Festival “MyFirstDoc”, organisé par l’Association Cinéma documentaire Tunisien (ACDT), met en lumière le jeune cinéma international en offrant la possibilité à des réalisateurs de présenter leurs œuvres devant le public tunisien.

Premier Festival du Film Documentaire en Tunisie “MyFirstDoc” se fixe comme objectif principal la découverte et la promotion de premiers films de jeunes talents en donnant la visibilité à différentes expressions du cinéma documentaire international devant un public le plus large possible.

La programmation qui allie découverte et diversité proposera au public des films documentaires de création avec un regard d’auteur. La volonté du festival est de faire découvrir des documentaristes indépendants, en mettant également à l’honneur des cinéastes tunisiens.

« MyFirstDoc » : Le festival du film documentaire tunisien du 24 au 27 décembre à Tunis et dans les régions

Von: La Presse
18. November 2024 um 12:13

La 7 édition du rendez-vous annuel du cinéma documentaire international « MyFirstDoc » se déroulera du 24 au 27 décembre 2024 à la Cinémathèque Tunisienne, à Tunis et dans les régions.

Le Festival « MyFirstDoc », organisé par l’Association Cinéma documentaire Tunisien (Acdt), met en lumière le jeune cinéma international en offrant la possibilité à des réalisateurs de présenter leurs œuvres devant le public tunisien.

Le premier Festival du Film Documentaire en Tunisie « MyFirstDoc » se fixe comme objectif principal la découverte et la promotion de premiers films de jeunes talents en donnant la visibilité à différentes expressions du cinéma documentaire international devant un public le plus large possible.

La programmation qui allie découverte et diversité proposera au public des films documentaires de création avec un regard d’auteur. La volonté du festival est de faire découvrir des documentaristes indépendants, en mettant également à l’honneur des cinéastes tunisiens.

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Cinéma arabe et africain : Les incontournables des JCC 2024

Von: walid
17. November 2024 um 20:52

CinémaLa 35e édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) se tiendra du 14 au 21 décembre 2024, réunissant 67 films issus de 22 pays, dont la Tunisie.

Parmi eux, 9 pays arabes :

  • Algérie,
  • Syrie,
  • Liban,
  • Égypte,
  • Maroc,
  • Yémen,
  • Jordanie,
  • Palestine,
  • Arabie Saoudite
  • et 13 pays africains :
  • Sénégal,
  • RD Congo,
  • Togo,
  • Cap-Vert,
  • Soudan,
  • Congo-Brazzaville,
  • Nigeria,
  • Comores,
  • Somalie,
  • Burkina Faso,
  • Mauritanie,
  • Cameroun,
  • Kenya

Participeront aux cinq catégories de la compétition officielle :

  • longs métrages fiction (LMF),
  • longs métrages documentaires (LMD),
  • courts métrages fiction (CMF),
  • courts métrages documentaires (CMD) et
  • Carthage Ciné Promesse.

Cette année, le cinéma jordanien sera à l’honneur dans la section “Focus”, avec une sélection de 12 films dédiés.

La Tunisie domine la compétition avec 17 œuvres sélectionnées : 4 longs métrages fiction, 3 longs métrages documentaires, 4 courts métrages fiction, 2 courts métrages documentaires et 4 films dans la catégorie Carthage Ciné Promesse. La Palestine et le Sénégal suivent respectivement avec 7 et 5 films en lice.

Les JCC continuent ainsi de célébrer la diversité cinématographique arabe et africaine, tout en mettant en avant des talents émergents et des productions variées, qui reflètent la richesse culturelle des régions représentées.

Compétition des films Longs métrages fiction : 15 films de 11 pays dont la Tunisie avec 4 films :

“DEMBA” de Mamadou Dia (Sénégal)
“Frantz Fanon” de Abdenour Zahzah (Algérie)
“HANAMI ” de Denise Fernandes (Cap Vert)
“Red Path” de Lotfi Achour (Tunisie)
“Mé El Aïn” de Meryam Joobeur (Tunisie)
“Aicha” de Mehdi Barsaoui (Tunisie)
“Borj Roumi” de Moncef Dhouib (Tunisie)
“SALMA” de Joud Said (Syrie)
“THE MAN DIED” de Awam Amkpa (Sénégal)
“THE VANISHING” de Karim Moussaoui (Algérie)
“THE VILLAGE NEXT TO PARADISE ” de Mo Harawe (Somalie)
“ARZÉ” de Mira Shaib (Liban)
“Seeking Haven for Mr. Rambo” de Khaled Mansour (Egypte)
“THE BLUE LAKE” de Daoud AOULAD-SYAD (Maroc)
“To a Land Unknown” de Mahdi Fleifei (Palestine)

Compétition officielle des longs métrages Documentaire : 13 films de 9 pays dont la Tunisie avec 3 films :

“A FIDAI FILM” de Kamal Djaafari (Palestine)
“À QUAND L’AFRIQUE ? ” de David Pierre Fila (Congo-Brazzaville)
“CENT DOUZE ” de Tchedre M’maka Joel (Togo)
“DAHOMEY” de Mati Diop (Sénégal).
“Hackers of the Borders” de Ismaël (Tunisie)
“Janin Jenin” de Mohamed Bakri (Palestine)
“Maroun Returns to Beirut” de Serhal Feyrouz (Liban)
“Matula” de Abdallah Yahia (Tunisie)
“NDAR : SAGA WAALO ” de Ousmane William Mbaye (Sénégal)
“Sh’hili” de Habib Ayeb (Tunisie)
“TONGO SAA” de Nelson Makengo (RD Congo)
“The Brink of Dreams” de Nada Riyadh Et Ayman El Amir (Egypte)
“RESSACS, UNE HISTOIRE TOUAREGUE ” El Ansari Intagrist (Mauritanie)

Compétition officielle des courts métrages Fiction : 17 films de 12 pays dont la Tunisie avec 4 films :

“Après le soleil” de Rayane Mcirdi (Algérie)
“Ayo ” de Yolande Eckel et Françoise-Ellong Gomez (Cameroun)
“Better than earth” de Sherif Elbendary (Egypte)
“Chikha” de Ayoub Layoussifi et Zahoua Raji (Maroc)
“In Three Layers Of Darkness ” de Houcem Slouli (Tunisie)
“In the waiting room” de Moatasem Taha (Palestine)
“LEES WAXUL” de Yoro Mbaye (Sénégal)
“MAKUN” de Farès Naanaa (Tunisie)
“Mango” de Randa Ali (Egypte)
“Leni Africo” de Marwen Labib (Tunisie)
“Nothing happens after that” de Ibrahim Omar (Soudan)
“Rouge” de Samaher Mously (Arabie Saoudite)
“Bord à bord” de Sahar El Echi (Tunisie)
“Sans vous” de Oulebsir Nadjib Fawzi (Algérie)
“The Father probably” de Tolba Brothers (Mauritanie)
“Where have you been” de Mohammad Gotta (Jordanie)
“Zanatany, l’empreinte des linceuls esseulés” de Hachimiya Ahamada (Comores)

Compétition officielle des courts métrages Documentaire : 11 films de 10 pays dont la Tunisie avec 2 films :

“Fariha” de Badr Yousef (Yemen)
“Fluid Lagos” de Fluid Lagos (Nigeria)
“Cinema AlDunia” de Ali Amr (Syrie)
“The Poem We Sang” de Annie Sakhab (Palestine)
“Your Harvest May Be Delayed” de AHMAD AL-ZU’BI (Jordanie)
“Les derniers jours avec Eliane” de Mehdi Hajri (Tunisie)
“Roots Of Weaving” de Malika Sawadogo (Burkina Faso)
“Donkey Race” de Mohammed Baqer (Arabie Saoudite)
“UNYAGONI: Bahati’s sex education journey ” de Saitabao Kaiyare (Kenya)
“Au Bout Des Doigts” de Aïda Chemekh (Tunisie)
“The Other Side of Beauty” de Sami Saif Sirelkhatim (Soudan)

Carthage Ciné-Promesse : 11 films de 6 pays dont la Tunisie avec 4 films :

Terre de Dieu” de Imad Benomar (Maroc)
“Ephemeral You” de Nour Dimashkieh (Liban)
“The Deer’s Tooth” de Saif Hammash (Palestine)
“Unless you’re a tree” de Wadih Abdel Nour (Liban)
“Une Malédiction” de Bouthayna Aloulou (Tunisie)
“Ici et Là” de Youssef Guermazi (Tunisie)
“Loss” de Rami Al-Kassab (Syrie)
“Les Buveurs des Larmes” de Hazar Abbassi (Tunisie)
“Where To? ” de Omar Hossam Eldin Anbar (Egypte)
“Born a Celebrity ” de Luay Awwad (Palestine)
“1321” de Bilel Zaghdoudi (Tunisie)

Décès de Ridha Aziz : un acteur, réalisateur et journaliste de talent

17. November 2024 um 14:10
Décès de Ridha Aziz : un acteur, réalisateur et journaliste de talent

Le ministère des Affaires culturelles a annoncé avec une grande tristesse le décès du réalisateur, acteur et journaliste Ridha Aziz, survenu à l’aube du dimanche 17 novembre 2024, après une longue lutte contre la maladie. Figure emblématique de la scène artistique, le défunt a marqué le paysage culturel tunisien par ses rôles au théâtre, à […]

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Fatma Sfar couronnée meilleure actrice au Festival de Rabat pour L’Aiguille de Abdelhamid Bouchnak

16. November 2024 um 21:53
Fatma Sfar couronnée meilleure actrice au Festival de Rabat pour L’Aiguille de Abdelhamid Bouchnak

La talentueuse actrice tunisienne Fatma Sfar a remporté le Prix d’interprétation féminine au prestigieux Festival de Rabat pour son rôle dans le film L’Aiguille (El Ibra), réalisé par Abdelhamid Bouchnak. Cette distinction vient saluer la performance exceptionnelle de l’actrice dans ce film captivant qui explore des thèmes profonds et émouvants. Le travail de Fatma Sfar […]

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Dorra Zarrouk brille au Festival du Caire avec son premier film, Wine Serna

15. November 2024 um 20:36
Dorra Zarrouk brille au Festival du Caire avec son premier film, Wine Serna

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a brillé sur le tapis rouge lors de la présentation de son film “Wine Serna” au prestigieux Festival international du film du Caire, tenu à l’Opéra du Caire dans le cadre de sa 45e édition. Ce film marque une étape importante dans la carrière de Dorra, puisqu’il s’agit de sa première […]

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JCC 2024 : Découvrez la sélection officielle des longs métrages de fiction

15. November 2024 um 17:34

Le comité d’organisation de la 35ème édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) qui se tiendra du 14 au 21 décembre 2024, a annoncé vendredi matin sur sa page officielle la liste des films sélectionnés pour la compétition officielle des longs métrages de fiction. Seront en lice 15 films réalisés par des cinéastes de onze pays : Sénégal, Algérie, La Suisse, Syrie, Nigéria, Liban, Palestine, Egypte, Maroc, Somalie et la Tunisie représentée par quatre films.

Ci-après la liste des films Longs métrages fiction :

“DEMBA” de Mamadou Dia
“Frantz Fanon” de Abdenour Zahzah
“HANAMI ” de Denise Fernandes
“Red Path” (Les enfants rouges) de Lotfi Achour
“Mé El Aïn” (Là d’où l’on vient) de Meryam Joobeur
“Aicha” de Mehdi Barsaoui
“Borj El Roumi” de Moncef Dhouib
“SALMA” de Joud Said
“THE MAN DIED” de Awam Amkpa
“THE VANISHING” de Karim Moussaoui
“THE VILLAGE NEXT TO PARADISE ” de Mo Harawe
“ARZÉ” de Mira Shaib
“Seeking Haven for Mr. Rambo” de Khaled Mansour
“THE BLUE LAKE” de Daoud Aoulad-Syad
“To a Land Unknown” de Mahdi Fleifei

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